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Eliz@

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Tout ce qui a été posté par Eliz@

  1. Eliz@

    Hello :O)

    Winette ta signature!!!
  2. Eliz@

    Notre toilette

    La bonne vieille méthode de nos arrières arrières grands parents! ça fesait longtemps qu'on nous l'avait pas sortie! Tu sais y'a des méthodes bien plus simple, plus douce et plus respectueuse de chien qui éxistent?! Et quand il revient pas au rappel, chose très très étonnante de la part d'un Husky, tu le tapes non?
  3. Dzaro Légende : Abandon Race : Husky - Sexe : Mâle Année de naissance : 2003 Refuge pour chiens et chats Siège social 02 385 00 75 tous les jours : de 11 h à 16 h info@animauxenperil.be . animaux en peril . 15 a, chemin de la Praye 1420 Braine l'Alleud Belgique.... Le refuge n'accepte pas les adoptions sur la France car ils ne disposent pas d'inspecteurs dans ce pays. Dzaro et Faïka attendent un maître aimant, au coeur plus grand que d'habitude... Nous recherchons un adoptant très spécial pour ces magnifiques petits « nounours » qui rertent et dorment constamment ensemble. Dzaro est un magnifique husky (malamute) mâle né en 2003, qui se retrouve abandonné et très malheureux. Il connaît avec Faïka, une superbe husky femelle née en 2003, une magnifique histoire d’amour. La séparation serait des plus douloureuse pour chacun d'entre eux et ils mourraient de chagrin, s'ils étaient séparés. Nous tentons donc de trouver un maître qui permettrait à ces deux amoureux de rester ensemble. Ils seront mit a l'adoption ensemble 3semains ce laps de temps écoulé, ils seront alors mis à l’adoption individuellement. http://www.animauxenperil.be/Cadres/jdc_principal.htm]http://www.animauxenperil.be/Cadres/jdc_principal.htm[/url] http://www.animauxenperil.be/Cadres/jdc_principal.htm Les 3 semaines écoulées Faika à été adoptée et Dzaro à vécu 2 adoptions ratées... c'est très dure pour lui et ce laisse dépérir... C'est très urgent pour lui de sortir de ce refuge et de trouver enfin une famille qui ne le considèrera pas comme un objet. .
  4. Du Producteur au Consommateur : Toute la vérité sur les animaux que vous achètez en animalerie. version papier de l'article, 4 Le 19 juillet de cette année, Laurence achète un chiot de type Westie dans une animalerie niçoise pour faire plaisir à ses enfants. Le chiot tousse un peu mais la vendeuse leur conseille de lui donner du sirop. Quelques jours plus tard, la petite famille se décide à amener le chiot chez le vétérinaire qui diagnostiquera une gale d'oreille, la présence de vers et une forte toux du chenil. Laurence et ses petits soignent le chien mais rien n’y fait. Il peine à se déplacer et se traîne difficilement. Prenant soin de rappeler la vendeuse, le mari de Laurence se voit conseiller d’obliger le chien à bouger et à courir car il ne peut être question que de fainéantise… Le chiot meurt par asphyxie dans la nuit du 2 au 3 août dans les bras du mari de Laurence qui la réveille en larmes. Le vétérinaire découvrira dans la cage thoracique une cyanose des muqueuses et des lésions de broncho-pneumonie infectieuse. L’animalerie ne voudra pas entendre parler d’un éventuel remboursement des frais vétérinaires occasionnés. Laurence, qui avait acheté en toute confiance ce chiot dont les papiers lui semblaient en règle, n’apprendra que bien après qu’il venait de Belgique, principale plaque tournante des trafics de chiens en provenance des Pays de l’Est. L’affaire est révoltante mais malheureusement très courante. La demande très forte d’animaux de compagnie dans notre pays est une aubaine pour les trafiquants… mais également pour les distributeurs belges ou français : en réalité, ce sont prés de 100 000 chiens et chats qui entrent ainsi chaque année en France en toute illégalité. Le Rungis de la gent canine et féline à prix discount Difficile de résister à une affaire pareille : en Belgique, on peut faire ses courses dans un gigantesque marché couvert à la vitrine attrayante, lorsque l’on est un particulier, ou derrière, sous des tentes plantées dans la boue, lorsque l’on est un professionnel, éleveur malhonnête ou gérant d’animalerie. Ici, on achète sa marchandise à 15€ ou 30€ (100 ou 200 F) pièce, parfois même au kilo, et de retour en France, on revendra le petit animal tout parfumé et arrangé pour environ 800€ ( soit environ 5000 F) Chaque semaine, ce sont des centaines de bébés chiens et chats entassés dans des caisses qui sont déchargés de camions en provenance des pays de l’Est. photos One Voice Une marchandise pas toujours vivante… On estime le taux de mortalité à 4 animaux sur 10 avant l’arrivée en animalerie. Conditions de stockage abominables, fatigue, stress et déshydratation importante, s’ajoutent à la malnutrition et au sevrage précoce de ces petits êtres. Un trafic « légal » destiné à la France Comment passer outre la législation française ? La nouvelle réglementation décidée par le ministre français de l’Agriculture interdit l’importation de chatons et de chiots d’origine hongroise, tchèque ou polonaise, mais la législation belge, beaucoup moins contraignante, autorise l’entrée de ces animaux dès l’âge de 7 semaines. Vaccinés et dotés d’un carnet de santé belge dès leur arrivée, les animaux deviennent des ressortissants de l’Union Européenne et peuvent aussitôt entrer en France le plus légalement du monde. Ainsi, 90 % de ce trafic est destiné à notre pays. C’est ce même ministère de l’Agriculture auquel l’association One Voice a envoyé par deux fois un rapport édifiant sur les réseaux d’importation d’animaux domestiques, lourd de plaintes et d’appels au secours de clients bernés, et auquel n’a étrangement été donné aucune suite… L’horreur n’est pas encore à son comble Les complications, c’est vous qui risquez de les connaître. Outre le fait que de nombreuses zones sont encore infestées par la rage dans les pays exportateurs et que les chiots ne reçoivent aucun vaccin anti-rabique et ne subissent pas de quarantaine, ils sont de surcroît importés en France trop jeunes, et présentent souvent des maladies extrêmement contagieuses, fréquentes dans les chenils et élevages surpeuplés ou insalubres. La toux de chenil, la maladie de carré, l’infestation par les vers et les gales sont les plus courantes et peuvent être fatales pour le nouvel arrivant. Malformations, dysplasies, problèmes cardiaques et respiratoires, sont également monnaie courante. Mais il en est de moins faciles à déceler : il y a les maladies de l’âme, celles du chiot qui a été séparé d’une génitrice devant mettre bas portée sur portée pour être rentable. Un chiot qui ne pourra ni être sevré ni suffisamment sociabilisé pour être équilibré : il deviendra un labrador mordeur, un retriever agressif, un bull-terrier peureux, destructeur, anxieux, pouvant développer un syndrome d’hyper-attachement qui peut aller jusqu’à des attitudes psychotiques comme l’automutilation… Les cas sont légions, tout comme les clients bernés, déçus par une justice qui ne peut les entendre face à des fournisseurs surprotégés par une loi clairement de leur coté. Ainsi, ce sont des centaines de plaintes qui sont déposées chaque année et seront pour la grande majorité classées sans suite. Une goutte d’eau lorsque l’on sait que la plupart des adoptants floués ne portent pas plainte ou acceptent un échange standard comme on changerait une cocotte minute qui fuit. C’est pour certains un « chien kleenex », pur produit de consommation. Véronique, bénévole dans un refuge de l’Essonne, explique qu’elle héberge de nombreux cas de chiens d’animalerie abandonnés suite à ce type de problème. Pour elle, la répétition du problème vient du fait que les gens « oublient » toutes les mises en garde et les encarts journalistiques dès qu’ils passent devant une vitrine où s’ébattent les petits bouts tout craquants. Il faudrait, selon elle, stopper l’achat d’impulsion et éduquer les plus jeunes à considérer la vie animale plus que comme un simple objet de consommation. La charte adoptée par les « hypermarchés » du chien Quant aux grandes surfaces du chien qui promettent de ne pas vendre de chiens d’origine Est-européenne, ne nous enthousiasmons pas. S’il est vrai que certaines sociétés intermédiaires françaises s’engagent à les fournir en chiens plus sains, il est quand même assez illogique qu’un « petit » éleveur vende un ou plusieurs chiens de sa portée à moitié prix à cet intermédiaire sans aucune bonne raison. Ceux qu’il écoulera ainsi seront ceux qu’il ne voudra pas voir assimilés à son affixe pour cause de tares trop apparentes et qui, dans le meilleur des cas, ne pourront être confirmés, dans le pire développeront de graves complications (cas de dysplasie courants). Dans son langage de professionnel on appelle ça le « culot de portée ». Pour les besoins de marchandise plus importants, il y a les élevages industriels, bien français : parfois plus de 600 géniteurs sont enfermés dans des enclos à ciel ouvert ou sous tôle (imaginez la température l’été), destinés à faire portée sur portée toute leur vie. Le principe consiste à enlever rapidement les chiots à la lice afin qu’elle ait de nouveau rapidement ses chaleurs et se fasse saillir le plus vite possible… rentabilité, rentabilité… C’est un peu le même principe que pour les poulets ou les porcs, mais le fait est que l’on ne passe pas 15 ans de sa vie avec un cochon et que son manque de sociabilisation nous importe peu lorsqu’il est dans notre assiette. Voilà ce que vous risquiez d’acheter dans une grande enseigne bordelaise très réputée il y a quelques mois : un dalmatien prognathe, un bulldog de 4 mois qui semble en avoir 2, un dogue argentin aussi taché qu’un dalmatien, un boxer cryptorchide à 900€ … Rien qui ne puisse effrayer le néophyte passant par le rayon animalerie, un pot de Géranium sous le bras. Que faire ? Le chien pur produit de consommation ? Dans ce cas, pourquoi n’est-il pas possible de recevoir les mêmes garanties que pour nos autres produits de consommation courante ? Nous avons depuis peu la possibilité d’exiger de connaître la provenance de certaines viandes de bœuf, il devrait donc être possible d’exiger la traçabilité des chiens vendus en animalerie. La solution du problème est entre plusieurs mains : celles des législateurs belges qui ouvrent impunément leurs frontières et déroulent le tapis rouge aux trafiquants de toutes sortes, et des pouvoirs français qui devraient renforcer les contrôles dans un premier temps, et établir de nouveaux décrets quant à l’importation de chiens de l’Union Européenne… Ce qui semble malheureusement compromis sans aller à l’encontre des accords de Schengen. Donc elle réside surtout dans celles des consommateurs : vous et moi. Car lorsqu’il n’y aura plus de demande… il n’y aura forcement plus de marché. Vous pensez sortir un chien de l’Enfer, vous en précipitez dix. Dépassée, l’excuse du «Je fais une bonne action, je sauve un chien de l’Enfer… » car d’une part, il n’est pas sûr qu’il soit pour autant sauvé, d’autre part, vous engraissez un trafic juteux qui entraîne la mort de centaines d’autres chiens. Lorsque l’on aime réellement les animaux, on ne peut rester insensible à cela. Préférez l’élevage sérieux, professionnel ou amateur, qui ne commercialise que votre race préférée et qui ne vend pas forcement ses chiens LOF plus cher qu’en animalerie, ou, si votre porte-monnaie crie famine ou si le cœur vous en dit, passez donc faire un tour au refuge le plus proche. Vous y rencontrerez nombre de compagnons attachants et fidèles qui n’auront pas eu la chance de rencontrer plus tôt un maître tel que vous, et qui méritent autant, sinon plus, l’amour que vous leur porterez. Sandrine Anzagoth En mémoire de Kipling Cet article a été publié dans Top Dogs magazine au mois de Novembre 2002 L'article date de 2002 et pourtant rien n'a changé
  5. Eliz@

    pas husky ...

    Je viens de me rappeler qu'un shar-pei est au refuge de mon département... http://www.spa.asso.fr/Animaux/CASIMIR/TPL_CODE/TPL_ANIMAUX/PAR_TPL_IDENTIFIANT/40531/3-adoptions-animaux.htm
  6. Eliz@

    pas husky ...

    J'avoue je ne suis pas fan de ce type de chien (j'aime les chiens avec une belle fourrure ) ils ont la "réputation" d'être sujet à pas mal de maladie lié à leur morphologie, peau, yeux... non?
  7. Eliz@

    Duke,Male Husky LOF 1 ans Alsace

    Duke a été adopté par une famille ayant 4 autres huskies
  8. J'ai également eu un chinchilla "Inook", j'aime beaucoup ces petites bêtes, j'aimerai en avoir un autre mais adopté cette fois ci Jimmy n'était pas trop interressé par ce genre de bestiole, il préfère les plus grosses
  9. Très émouvante histoire! Très belle adoption malgré ses petits travers de nordique (son gout par la chasse ) vous avez su faire preuve de détermination et rendre ce chien heureux!
  10. Eliz@

    L'intruse ..

    Qu'est ce qui a fait que tu te sois tourné vers des races totalement différente aux huskies? Et félicitation pour ton implication auprès des chiens.
  11. On dirait qu'elle a eu des petits avant d'être placée
  12. Eliz@

    Coucou

    Déjà tu fais les choses dans le bon ordre! Te renseigner avant d'avoir le chiot et non pas après comme on le voit trop souvent. Le siberian husky est un chien particulier et vaut mieux être au courant avant de ses traits de caratère pour ne pas être "déçu" et ce rendre compte trop tard que c'est un chien qui ne convient pas à ton mode de vie.
  13. Très interréssant reportage sur la sélection des chiens de race... http://www.pluzz.fr/chiens-de-race-les-maitres-fous-2010-09-05-16h25.html
  14. Eliz@

    Uswan 7 ans

    Uswan! C'est le quel le plus âgé de tes loups?
  15. Eliz@

    Lors de votre absence

    Dans le jardin car je sais qu'il est 100% sur et que dans la maison il s'ennuierait...
  16. Tes 2 mâles sont castré? En effet il faut la faire stériliser pour éviter que ça ce reproduise... et ce serait bien que les familles qui adoptent ces petits bouts le fasse à leur tour pour éviter que eux aussi reproduise... J'espère que tu leur trouveras une bonne famille responsable avec qui ils resteront toute leur vie...
  17. Es tu sure de bien interpréter son comportement? Car un husky peu être très content devant des invités et sauter, aboyer, hurler mais par exitations/joie...
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