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Néphélie-titmousefairycottage

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Tout ce qui a été posté par Néphélie-titmousefairycottage

  1. Info du 29/07/2009 Suisse - Vies de chiens Certaines associations de défense des animaux estiment que l’abandon de nos meilleurs compagnons a augmenté de 50% cette année. Au refuge de Sainte-Catherine, près de Lausanne, la situation n’est pas aussi alarmante. Reportage tendresse. Par Patrick Baumann C’est l’été, le soleil, les vacances et parfois des animaux abandonnés par des propriétaires sans scrupules. Ces images de chiens errant sur les routes en période estivale, courantes chez nos voisins européens, sont-elles une réalité en Suisse romande? Alors que la Protection suisse des animaux (PSA) a annoncé une augmentation de 50% des abandons d’animaux dans certains cantons alémaniques, on a poussé la porte du refuge Sainte-Catherine, au-dessus de Lausanne, pour se faire une idée. D’emblée, Sabine Baehler, responsable du lieu, nous a rassurés. Avec l’introduction de la puce électronique, on n’abandonne plus son chien dans la nature sous peine d’être retrouvé et amendé. «N’empêche, la période est un peu plus fébrile qu’à l’accoutumée, nous enregistrons plus d’animaux que les autres mois de l’année. Heureusement, dit-elle avec un joli sourire, c’est compensé par le nombre d’adoptions, lui aussi en hausse.» «A se demander pourquoi il ne l’a pas gardé!» Stabilité sur la balance de la désaffection et de l’affection, voilà qui est encourageant pour ce début de visite à l’orphelinat des animaux. Dans les box grillagés, près de l’entrée, Yoyo, Bambou, Douchka et Speedy y vont de leur accueil sonore, la queue frétillante et un petit espoir dans la prunelle de repartir avec au bout de la laisse un nouveau propriétaire. Désolé, les gars, je ne suis là que pour parler de vous! «Soyez heureux dans une autre famille et pardonnez-moi!» Fabienne En ce lundi après-midi, toutous et matous arrivés durant le week-end passent à la consultation du Dr Herbez. Jean-Marie, un des employés du refuge, assiste le vétérinaire. La vie passée de ces animaux se résume bien souvent à une ligne laconique sur une fiche. «Gentil avec les enfants», «habitué à un jardin», «propre ». Ce jour-là, un jeune pitbull regarde avec curiosité trois chatons sauvages dans une cage, trouvés dans la nature avec leur mère. Un vaccin plus tard, lui succède sur la table d’examen un golden retriever abandonné (attention, le terme n’est pas adéquat, me dit-on, ici on préfère parler d’animaux placés). Lui succède donc un golden retriever placé qui a tout pour plaire. «Il aime les autres chiens, les enfants, obéit au doigt et à l’oeil», dixit son ex-propriétaire. «A se demander pourquoi il ne l’a pas gardé, soupire Jean-Marie. Travailler ici, c’est souvent en apprendre autant sur la nature humaine que sur le comportement animal.» Quoi qu’il en soit, à la Société vaudoise pour la protection des animaux (SVPA) on ne juge pas, on ne sermonne pas, on ne pose pas de questions. «Sinon les gens hésiteraient à nous confier leurs animaux et les abandonneraient dans la rue.» «On devrait pourtant nous décerner un diplôme de psychologue, renchérit Sabine. On voit le pire et le meilleur. Il y a des gens qui mentent ou font preuve d’une sacrée hypocrisie; on a hâte alors qu’ils tournent les talons.» Comme cette personne venue le jour d’avant avec un chien de 15 ans souffrant de dysplasie. Faisant comme si on allait pouvoir le replacer. «On dit bien sûr, tout en se demandant ce qui motive un tel abandon: faire l’économie du vétérinaire ou l’impossibilité d’affronter la mort de son animal. Il a fallu euthanasier la bête dès le lendemain. Qui veut adopter un vieux chien malade?» explique, fataliste, la responsable du refuge. Comme pour valider la thèse de la noirceur de l’âme humaine, arrive l’inspecteur Cedric Berner, un oiseau dans les mains. Une calopsitte retrouvée à Morges avec une bride à la patte qui lui entaille les chairs. «Cela relève du mauvais traitement, elle a bien fait de s’échapper, explique l’inspecteur Columbo des animaux. Si je retrouve son ancien propriétaire, il aura affaire à moi et une amende!» L’inspecteur dépose l’animal dans les mains du vétérinaire avant de repartir vers d’autres missions. On lui a signalé une propriétaire qui aurait laissé six chihuahuas dans une voiture sur un parking. Un bébé qui s’annonce et bye bye l’aïeule à quatre pattes Notre coup de coeur s’appelle Leika, une labrador au museau un peu grisonnant qui trahit ses 10 ans. Un bébé qui s’annonce dans la famille et bye bye l’aïeule à quatre pattes. Au rebut, la retraitée qui avait pourtant offert à ses maîtres son quota d’amour et d’obéissance. Aujourd’hui, le regard des visiteurs ne s’est pas attardé sur Leika, demain, peut être, une autre chance... Sabine Baehler apprécie le propriétaire qui fait montre d’émotion en laissant son animal, parfois pour cas de force majeure. C’est le cas de Fabienne, qui vient d’arriver du canton de Neuchâtel avec quatre chats dans une cage, deux adultes et deux chatons. Un peu nerveuse, Fabienne, qui ne cache pas sa culpabilité à laisser Neptune et Titou à la SPVA. Elle s’isole dans un coin pour leur dire au revoir et demander pardon. «Soyez heureux dans une autre famille», sanglote-telle devant ses félidés qui l’observent placidement. «Je suis mère de sept enfants, j’ai déjà quatorze chats, je ne peux pas continuer, trop de travail.» Elle s’inquiète, pourtant, à l’idée que ses animaux puissent être euthanasiés. On la rassure. Ses chats retrouveront un foyer. Le taux d’euthanasie est très bas à la SVPA, soit 10% chez les chiens, 20% chez les chats. Sabine Baehler explique en aparté que le chat souffre plus de la promiscuité. «Le chien est un animal de meute, à la rigueur cela peut l’amuser d’être placé provisoirement avec ses congénères. Pour le chat, c’est plus catastrophique. C’est un animal solitaire qui n’aime pas partager son territoire!» Annelise, de Pully, vient justement de passer un quart d’heure dans «la zone chats». Elle avait jeté son dévolu sur un matou blanc, mais partira finalement avec un félidé tigré, plus d’atomes crochus. Cette valse à deux temps de l’abandon et de l’adoption se danse toute l’année à Sainte-Catherine, à des rythmes différents. En règle générale, les animaux, sauf exception, restent peu de temps. En 2008, la SVPA a accueilli 548 chiens et 1686 chats pour placement. Mais à la fin de la journée, ce qui frappe l’observateur, c’est la rapidité, ou la lenteur, qui préside aux adoptions. Katia, la mère de famille lausannoise, inconsolable de la perte de son chien deux jours plus tôt, adopte Ginseng le pitbull en quelques secondes, arguant d’«un vrai coup de foudre»; alors que Julia, du Val-de-Travers, a eu besoin de venir deux fois rencontrer Ticoulou, le berger corse, avant de lui offrir une nouvelle chance de bonheur. En amour, chez les animaux comme chez les humains, tout est question de tempo!
  2. Info du 27/07/2009 ADOPTER UN CHIEN EN REFUGE Adopter un animal abandonné pour lui offrir une vie meilleure est une décision fort généreuse. Nous sommes souvent persuadés que ce pauvre toutou a surtout manqué d'affection, et nous sommes prêts à lui donner tout notre " amour ". En y regardant de plus près, en se plaçant côté " chien ", comment notre nouveau compagnon va-t-il percevoir ces débordements d'affections, de caresses, d'attentions que l'on est tenté de lui prodiguer ? Essayons de nous rapprocher de la réalité canine pour comprendre ce qu'a pu vivre le chien durant son séjour au refuge et définir ses réels besoins lorsque nous l'accueillons dans son nouveau cadre de vie. Quel que soit son âge et comme tout être vivant, le chien abandonné a son histoire personnelle. Les causes d'abandon sont hélas souvent les mêmes : mauvaises conditions de développement précoce du chien entrainant des difficultés d'adaptation, mauvaises connaissances de ses besoins, mode de vie inadapté à l'animal, maltraitance … c'est donc souvent un chien qui a déjà fait de difficiles expériences. Un animal abandonné et placé en refuge perd ses repères, ses êtres d'attachement (humains ou animaux), son environnement familier. Il doit s'adapter à la vie du refuge, les allées et venues de " 2 pattes " inconnus -soignants, bénévoles, visiteurs- et de " 4 pattes " aussi stressés que lui. Sa perception si fine des phéromones projette le chien dans un univers chargé de peurs, de tensions véhiculées par ses compagnons d'infortune, sensation d'insécurité qui le plonge dans un état anxieux. Malgré toute l'attention et les soins apportés par le personnel des refuges, les chiens manquent bien souvent de sorties. La vie en refuge peut favoriser une perte de certains acquis sociaux comme la propreté, la perte de confiance dans l'humain. Si certains chiens parviennent à s'adapter plus ou moins bien à cet environnement, pour d'autres la rupture avec le milieu familial est vécue dans un stress permanent. Reconsidérons donc les besoins réels d'un animal adopté en refuge. Il convient tout d'abord d'initier la confiance, et cela ne passe pas par des excès d'affection (l'animal peut même dans ces circonstances se sentir agressé), mais par une relation calme et apaisante pour le chien. Son panier doit être placé dans un endroit tranquille où il pourra se reposer sans être dérangé. Donnez-lui ses repas à heure fixe, ne laissez pas les enfants envahir le chien en jouant sans cesse avec lui, il a besoin de prendre d'abord ses repères. Proposez-lui des balades quotidiennes. Même avec un jardin à disposition, un chien a besoin d'explorer, de flairer de nouvelles odeurs, ces stimulations sont indispensables à son équilibre et notre compagnon issu d'un refuge en a bien besoin ! Soyez indulgent avec lui, il doit s'adapter à sa nouvelle vie et cela ne sera pas toujours facile, patience et constance seront nécessaires pour lui apprendre les règles de vie de son nouveau foyer. Bannissez les punitions qui ne feraient qu'accentuer son anxiété. Pensez aussi qu'il vous faudra une certaine disponibilité au début pour l'aider dans cette adaptation, votre chien sera peut-être inquiet de se retrouver seul dans un endroit non familier, il faut prévoir une période d'habituation progressive à la solitude. Vous pouvez vous faire aider par un comportementaliste qui saura vous guider et vous conseiller pour accueillir au mieux votre nouveau compagnon. Concernant les caresses, câlins et papouilles en tout genre, soyez " léger ", quelques caresses délicates sous le cou ou sur le flanc suffisent. Prenez le temps d'observer votre chien, de voir ses réactions quand vous le caressez. Certains chiens n'apprécient pas particulièrement les contacts physiques, il faut les respecter et ne jamais faire de " forcing ". D'autres semblent en raffoler, se frottent sur vous, s'agitent, se couchent et se relèvent, poussent votre main du museau, lèchent, mordillent… attention aux fausses interprétations ! Les excès d'agitation lors des séances de caresses traduisent des tensions chez l'animal, ce sont des tentatives d'apaisement : " Stop ! Arrête ! Assez ! " que nous prenons pour de la " joie ". En prolongeant ces effusions affectives avec lui (pensant alors bien faire !), nous alimentons cette agitation et son état de stress. Restez donc mesurés dans vos interactions avec votre chien, qu'il s'agisse de caresses ou de jeux. Cela aidera à son adaptation et lui permettra de se sentir en sécurité, en confiance auprès de vous, et ce de façon beaucoup plus efficace qu'avec force câlins !!! Et si vous en ressentez quelques frustrations, dites-vous bien que c'est là le plus beau cadeau que vous allez lui faire ! Source : Sylvie Chantre Comportementaliste Spécialiste de la Relation Homme/Animal en région PACA http://www.comportementaliste-(...) Tél : 06 07 83 13 74 E-mail : sylvie.chantre@gmail.com
  3. Moi aussi j'adore ma Sonson ! Et je reconnais bien le sable des plages du Nord !
  4. Ma Sonson, il me tarde déjà de découvrir les prochaines aventures de tes tites merveilles. pour ce superbe reportage et gros calins à tes puces.
  5. Oh là là, quelle formidable nouvelle Karine ! Et comme je suis heureuse pour toi ! Ta petite Esmée est magnifique. Tu dois avoir hate de pouvoir l'accueillir.
  6. Enchantée Marie-Laure ! Tu es charmante et ton sourire est magnifique.
  7. sur Chihuahua Angel, Cécé !
  8. sur Chihuahua Angel, Maria ! Tes deux petits bouts sont splendides mais j'ai un immense coup de coeur pour Léa !
  9. sur Chihuahua Angel, Marie-Laure ! J'espère que tu te plairas parmi nous. Ton petit Evens est magnifique et je suis certaine qu'il t'apporte beaucoup de réconfort. Je t'envoie de bonnes ondes pour ta santé.
  10. Info du 25/07/2009 Usa - Un chiot à cinq pattes évite in extremis de devenir une bête de foire Aux Etays-Unis, un chiot doté de cinq pattes a eu la chance de trouver un foyer qui le rendra heureux, alors qu'il aurait pu passer le restant de ses jours comme attraction dans une foire. Allyson Siegel, une femme de 45 ans vivant en Caroline du Nord, a ainsi acheté Lilly, une petite chienne de 6 semaines, née avec une cinquième patte sortant de son estomac, pour 4000 dollars. Elle a ainsi évité à l'animal de faire partie d'un show d'animaux bizarres à New York. Le propriétaire et naisseur de Lilly, d'abord nommé Precious, particulièrement avide d'argent après avoir perdu son emploi d'électricien, avait passé une annonce au plus offrant, cirques ou particuliers. Le chien était mis à prix à 3000 dollars. Les défenseurs des animaux ont tiré le signal d'alarme lorsque le propriétaire a affirmé être prêt à céder l'animal à un cirque. C'est alors qu'Allyson Siegel s'est manifestée, offrant 1000 dollars de plus pour que Lilly puisse avoir une vie normale. La nouvelle propriétaire de la petite chienne cherche maintenant à faire opérer l'animal de son appendice, qui est gênant quand elle marche. Après avoir entendu l'histoire dans les médias, un vétérinaire de New York s'est porté volontaire pour pratiquer l'opération gratuitement, selon le New York Daily News. L'opération coûterait normalement 2000 dollars. Pour sa convalescence, Lilly irait probablement chez la soeur de sa nouvelle maîtresse, en Caroline du Nord, pour éviter de cohabiter tout de suite avec ses six chats ! Source : Examiner.com
  11. Info du 24/07/2009 Chiens : Dobermann et narcolepsie Dans le but de trouver les origines de la narcolepsie *, des chercheurs et scientifiques de l’Université de Stanford (USA) ont étudié la seule race de chien touchée par la narcolepsie : les dobermans. Ils ont découvert que ceux touchés par la narcolepsie avaient une mutation génétique faisant que dans le cerveau, le récepteur de l’hypocrétine ne fonctionnait pas. Pour faire le test, les chercheurs présentaient aux chiens un morceau de viande, devant lequel ces derniers s’endormaient aussitôt, car leur joie était trop intense. * La narcolepsie est un trouble du sommeil se caractérisant par une hypersomnolence, régulièrement associée à des paralysies, des hallucinations, des pertes brutales du tonus musculaire lié à des émotions vives. En quelques mots, ce trouble fait que le malade peut « s’endormir » brutalement plusieurs fois dans une même journée, dès qu’il ressent une émotion forte.
  12. Origane, entre ton merveilleux petit Dolby et ces payages féériques, j'ai l'impression d'etre dans un reve ! Mille mercis pour ces magnifiques photos. Que de beaux souvenirs tu as du rapporter de tes vacances ! Je suis heureuse de te savoir de nouveau parmi nous et je t'embrasse de tout mon coeur, ainsi que ton adorable petit prince.
  13. à ta petite meute ! J'adore chacun de tes chihuahuas !
  14. Trop mignon ce ptit bout ! Je partirais bien en vacances avec lui.
  15. sur Chihuahua Angel, Maddy ! J'espère que tu te plairas parmi nous.
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