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Scouby

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Tout ce qui a été posté par Scouby

  1. [Chapitre 47 : LE CHEF DE MEUTE A SES PRINCIPES Pour moi, ça roule ! Je suis toujours le même, pas beau mais sympa. Heureusement, les chattes du coin ont décrété que j’ai un physique, non pas « horrible » (dixit cette peste de Petite-Goulaffe), mais bien « intéressant », et ne se détournent pas en glapissant quand je fais ma promenade dans la rue principale de notre village. Faut dire que la rue est large, je suis petit, et quand on me voit de loin et que je marche vite, j’ai l’air plus ou moins normal. Je ressemble à un chat, quoi ! Il n’y a que la chère Ardoise qui fronce le nez lorsque j’apparais dans son champ de vision. Ces chattes des villes, ça n’a pas vu grand-chose, c’est vite dégoûté… Pourtant, si j’ai bien compris son histoire, cette chatte-ci a fait les poubelles quand elle était petite… Que voulez-vous ? Mademoiselle ne s’en souvient plus ! Elle a pris quelque part l’idée que son « de Gouttière » est un titre de noblesse et elle y croit dur comme fer ! Maintenant, elle se donne des airs d’adjudant et, évidemment, les bidasses, c’est moi et Petite-Goulaffe ! Ou plutôt, moi tout seul, parce que Petite-Goulaffe fait semblant, elle rigole… Elle trouve tout ça très amusant, la Petite-Goulaffe ! Il faut la voir quand elle s’introduit chez moi avec son faux air penché ! Même moi, je pourrais m’y laisser prendre et pourtant, vous savez comme je connais le bestiau ! Sitôt le museau apparu dans l’entrouverture de la porte, la chérubine lance un coup d’œil aigu sur le siège où la chère Ardoise a l’habitude de trôner, tout près du poêle à bois. Si le « chef de meute » est présent, Petite-Goulaffe prend une attitude effacée, un petit air entre deux airs qui veut dire : « C’est moi, mais faites comme si je n’étais pas là, je ne suis qu’une ombre qui passe… J’ai juste un tout petit peu faim ! » et, d’une démarche aérienne, elle se dirige vers les gamelles. Lorsqu’elle a tout vidé, elle s’esquive vers le salon avec, à l’attention de la noble « de Gouttière », un petit sourire d’excuse, style : « Maintenant faut que je fasse une petite sieste, mais ne vous en formalisez pas. Je serai à peine visible, tout juste un soupçon de chat dans du tissu à fleurs ! » D’un bond léger, elle saute sur son fauteuil préféré, se met en boule et s’endort. Quand, d’aventure, la belle Ardoise se met en idée de « vérifier » la présence de ses troupes et se dirige vers ledit fauteuil, l’Attila en fourrure la suit attentivement du regard sans en avoir l’air. Après avoir donné un léger coup de patte sur l’oreille du soi-disant « soupçon de chat », l’air de dire « Votre conduite est satisfaisante mais n’oubliez surtout pas que vous êtes ici chez moi ! », la générale en chef fait demi-tour et va se réinstaller dans la cuisine en me gratifiant d’un coup d’œil sévère : « Vous, la forte tête, j’vous ai dans le collimateur ! Pas de faux pas, Sinon… » Si, par un heureux hasard, il n’y a pas trace d’un chef de meute à l’horizon quand la Petite-Goulaffe se pointe, finis les airs sournois ! L’animal respire d’abord un bon coup pour déterminer si aucun effluve « ardoisien » ne flotte dans l’air puis, rassuré, fait irruption dans ma cuisine d’un pas martial. Après s’être précipitée, sans état d’âme (ni aucun mot d’excuse) sur mon assiette, elle fait le tour du salon à toute allure pour se vautrer finalement, soit dans son fauteuil (avec toutefois infiniment moins de discrétion que lorsque la maîtresse des lieux est présente), soit sur les genoux de Scouby (tout à fait interdit en temps ordinaire). Ce que je pense, moi ? On s’en fiche ! - Petite-Goulaffe, dis-je, en l’absence de la chère Ardoise, c’est moi le chef de meute intérimaire ! Il faut m’obéir ! - Hi hi, z’êtes comique quand vous prenez cet air-là , M’sieur Orca ! s’esclaffe la meute. Je devrais être découragé, mais je suis opiniâtre : je n’ai pas perdu l’espoir d’améliorer les déplorables manières du chaton que le monde entier m’envie… - Petite-Goulaffe, je suis très mécontent ! - Ah ? Et pourquoi ça, M’sieur Orca ? s’enquiert l’infâme animal sans la moindre nuance d’inquiétude dans le ton. - Le respect dû aux aînés se perd ! constaté-je d’une voix lugubre. - Oh, M’sieur Orca, comme c’est beau ce que vous dites là ! Mais c’est quoi le respect du « Oh-zéné », M’sieur Orca ? - L’autre jour, tu te trouvais avec ta maman (ma chère Gourmande !) et j’ai cru entendre… comme un grognement de ta part ! Ca ne se fait pas, grogner sur sa maman, Petite-Goulaffe ! - J’ai pas le choix, M’sieur Orca ! Vous savez, M’man est bien gentille, mais elle n’a pas tellement la fibre maternelle… Ca, j’avais remarqué. - Alors, quand elle a plongé la tête dans une assiette, faut bien que je la rappelle un peu à l’ordre ! J’ai le droit de manger, moi aussi ! - Oui, mais de là à grogner… - Quand elle se remplit l’estomac, c’est le seul langage qu’elle comprenne, M’sieur Orca ! Je bats en retraite. Comment avoir le dernier mot avec cette engeance ? Sans compter que, si on y réfléchit, la Petite-Goulaffe n’a pas tort à 100 %. Plutôt à 95 %, je dirais… Le dernier week-end, elle a grogné une fois de trop… La chère Ardoise était présente et la Petite-Goulaffe, ayant accompli tous les salamalecs décrits plus haut, s’est dirigée vers son fauteuil préféré pour la sieste rituelle. Subitement, elle a changé d’idée : et si elle passait à la phase 2 de son plan de conquête ? Elle s’est entortillée autour des chevilles de Scouby en poussant de grands miaulements roucoulants : « Rrrrrrrrrrrrrrmiou ! Rrrrrrrrrrrrrrrrmiou ! Yèèèèèèk ! » Et de faire des petites mines ! Et de balancer langoureusement sa superbe queue d’écureuil ! - Pas vrai, M’dame Scouby, que vous allez m’adopter ? Je pourrai rester ici, hein, M’dame Scouby ? Dites oui ! Dites oui ! Mais M’dame Scouby, après avoir jeté un petit coup d’œil précautionneux vers la cuisine où la chère Ardoise se repose sur sa chaise sans avoir la moindre idée de ce qui se trame derrière son dos, se contente de caresser le faux chaton (mais vraie chatte) et de le déposer sur un autre fauteuil… gentiment mais sans avoir prononcé le « oui » tellement attendu ! Désappointée, Petite-Goulaffe se pose des questions : « Mais pourquoi la phase 1 de mon plan a tellement bien marché et pas la phase 2 ? J’ai pourtant tout calculé ! Bien réfléchi ! » Obligeant, j’y mets mon grain de sel : « Ca n’a rien à voir avec toi, Petite-Goulaffe ! Tes plans sont sûrement bien ficelés, mais Scouby ne souhaite pas adopter un troisième chat pour le moment, voilà tout ! » - Mais je ne suis pas un quelconque troisième chat ! Je suis la grande Petite-Goulaffe ! - Et puis, Petite-Goulaffe, tu as déjà une maison ! Et tu ne te prives pas de venir ici en visite ! Qu’est-ce que cela t’apporterait de plus ? Elle fait la tête. Impossible de la raisonner ! J’y renonce. Sur ces entrefaites, Ardoise se réveille, s’étire et, consciencieuse comme de coutume, décide de passer la revue de son cheptel. Après m’avoir flairé d’un air distrait, elle se dirige nonchalamment vers le fauteuil où la Petite-Goulaffe remâche sa déconvenue. Comme la générale en chef tend le nez pour vérifier si c’est bien sa Petite-Goulaffe à elle qui se trouve là et non une autre entrée par inadvertance, ne voilà-t-il pas que l’ignoble chaton fait entendre un grognement rageur ! Pauvre Ardoise ! Elle en reste sidérée, les yeux emplis d’un douloureux étonnement. Comment est-ce possible ? La moitié de sa meute se rebellerait contre son autorité ? Sans mot dire, elle fait dignement demi-tour et retourne se pelotonner sur son siège, les idées visiblement en déroute. Evidemment, brave type comme toujours, j’entreprends de la consoler. - Vous bilez pas, chère Ardoise ! Petite-Goulaffe a ses têtes, ça lui passera ! Je vous avais bien dit qu’il ne fallait pas lui faire confiance ! Bon ! J’aurais dû savoir qu’en cas de problème, c’est toujours celui qui entonne le grand air du « Je-l’avais-bien-dit » qui est le plus haï. - Vous, la paix ! J’vous ai pas sonné ! me jette ma supérieure hiérarchique avec un regard furibond. Et elle retourne à ses sombres pensées, tandis que je n’ose plus bouger un poil. Dans le salon, Scouby est en train de morigéner la Petite-Goulaffe qui sent bien qu’elle a fait un pas de travers. - Petite-Goulaffe, ce n’est pas gentil de grogner sur Ardoise qui est si conciliante avec toi ! Si tu recommences, tu ne pourras plus entrer ici ! D’ailleurs, il est temps que tu rentres chez toi, la nuit tombe. Catastrophée, la Petite-Goulaffe fait la morte. Elle n’a pas du tout envie de quitter ce bon fauteuil bien moelleux. - La pauvre, elle dort, dit Dan qui a un faible pour l’infernal chaton. Tu ne vas pas la réveiller maintenant, attends que nous allions au lit ! Il détourne les yeux de Petite-Goulaffe qui, d’un regard soudain bien vif, l’épie étroitement, pressentant un renfort inattendu. - Mais non, elle ne dort pas ! dit Scouby. Dan regarde une nouvelle fois la créature qui, roulée en boule, semble enfoncée dans un profond sommeil. A peine l’a-t-il quittée des yeux que Petite-Goulaffe, sans se rendre compte que Scouby l’observe sans en avoir l’air, relève la tête. - Retourne-toi, Daniel, c’est vraiment trop drôle ! Il obtempère : Petite-Goulaffe dort à pattes fermées, un air d’innocence répandu sur toute sa personne. Qui aurait le cœur de mettre à la porte cette malheureuse petite bête ? C’est pourtant ce à quoi il faut se résoudre, quand sonne l’heure du couvre-feu. En grande cérémonie, Scouby raccompagne sur le seuil de la porte notre Attila qui gémit à fendre le cœur. - Pourquoi moi je dois sortir et eux pas ? C’est pas juste… Tiens, ce refrain éveille certains échos dans ma mémoire… N’ai-je pas tenu les même propos, il y a déjà deux ans de cela ? - M’dame Scouby, z’imaginez pas tous les dangers qui guettent un innocent chaton, dans l’obscurité ! Si vous saviez, vous me laisseriez pas sortir ! - Voyons, arrête ton cinéma, Petite-Goulaffe ! dis-je sans pitié inutile tandis que la chère Ardoise regarde ostensiblement ailleurs, montrant bien par là qu’elle est toujours vexée. - Vous avez pas de cœur, M’sieur Orca ! - Petite-Goulaffe, tu as une maison et une famille ! dit Scouby pour mettre les choses au point. Rentre chez toi, tu n’as que la longueur de la rue à traverser ! - Oui, mais j’aime mieux cette maison-ci ! Dans ma famille, il y a M’man ! Et où-s’kya M’man, c’est la ruine ! Elle mange tout ! Ici, je suis plus tranquille… Elle continue à se lamenter en quittant notre terrasse pour regagner son bercail. Le malheur des uns faisant le bonheur des autres, je me sens doublement heureux d’être moi ! La douce Ardoise serait-elle rancunière ? Ce dernier dimanche, comme le temps était au beau fixe, Scouby s’était installée sur la terrasse, dans son fauteuil de jardin, pour prendre le soleil. Ardoise, bien étalée sur ses genoux, jouissait elle aussi de la douceur de l’air. Moi j’étais, comme d’habitude, collé contre le poêle ronronnant. Depuis que j’ai maigri, j’ai plus souvent froid qu’avant. Une petite forme a traversé la haie et s’est humblement avancée, jetant un regard craintif à la despotique créature à quatre pattes qui se bronzait le dos au soleil d’avril. Petite-Goulaffe, bien sûr ! Toute douce, toute repentante, prête à tout pour se faire pardonner un grognement intempestif et regagner le terrain perdu. - Noble demoiselle Ardoise, c’est moi… La chère et tendre n’a pas bougé, mais elle a entamé l’un des processus de transformation dont elle a le secret. Elle vous a sûrement raconté comme elle peut, à volonté, se métamorphoser en petit chat de peluche, tout attendrissant ? Eh bien, figurez-vous qu’avec la même facilité, elle a la faculté de se muer en serpent venimeux ! C’est Petite-Goulaffe qui en a fait les frais. Les oreilles de la chère Ardoise se sont aplaties, son pelage est devenu d’argent au soleil tandis que ses yeux, habituellement couleur de feuille tendre, se sont faits d’ambre jaune, avec les pupilles réduites à deux fentes minces… En une seconde, Petite-Goulaffe a cru se trouver face à un boa constrictor. Et ce boa la fixait, la fixait… Après deux ou trois petits tours hésitants sur la terrasse, histoire de ne pas perdre la face, la Petite-Goulaffe a préféré se retirer. Elle reviendra quand la rancune du chef de la meute se sera diluée dans l’oubli… D’ici une semaine peut-être. Dès son départ, les oreilles de la tendre Ardoise ont retrouvé leur position normale. Le boa si terrifiant est redevenu une chatte grise paisible, prenant un bain de soleil. Elle n’est même plus fâchée : c’est pour le principe. Ardoise est une bête à principes. Vous vous souvenez certainement que, durant les mois d’hiver, le chef de meute et moi avons passé le temps sur deux chaises, devant le feu. Mais Scouby commençait à trouver encombrants ces meubles conçus pour des humains adultes et non pour des créatures félines hautes comme trois pommes. Elle les a remplacés par deux petites chaises d’enfant en plastique rouge. Naturellement, la puérile Ardoise s’est empressée d’essayer ces deux petites chaises, l’une après l’autre. Moi, j’hésitais. - Une chaise de bébé pour moi, l’Orca Maître-Chat ? N’est-ce pas un peu ridicule ? Mon prestige… - Quel prestige ? s’enquiert l’Ardoise, piétinant joyeusement mon amour-propre. C’est vous qui êtes ridicule ! Elles sont géniales ces chaises ! Et bien à notre taille ! Quand je lève la tête, maintenant, je vois derrière le dossier au moins ! C’est plus facile pour surveiller… Enchantée, elle a choisi minutieusement sa chaise à elle (notez qu’elles sont absolument identiques) et n’en a plus bougé. Pour un peu, elle l’aurait emmenée avec elle, à Bruxelles. Moi, j’hésite toujours… - Vous repartez encore ? Comme je suis triste ! C’est gentil de me laisser de la nourriture, mais, vous savez, ce n’est pas pour ça que je viens… C’est pour la tendresse ! - Pauvre Orca, dit Scouby toute émue elle aussi, il ne lui manque vraiment que la parole… - Et tout ce que je vous raconte alors, c’est quoi, si ce n’est pas de la parole ? Ne me dites pas que vous n’entendez que des miaous sans signification ! - Ses yeux sont tellement parlants, à ce pauvre Orca ! Nous aussi on est triste, mon minou ! On revient dans cinq jours, sans faute ! Et bientôt, tu seras bien content ! - Oui ? Pourquoi ? - Dan va venir passer deux semaines de vacances avec toi, mon Orca ! Eh bien, voilà une excellente nouvelle. Un doute me vient. - Avec ou sans Ardoise ? - Sans, mon Orkatteke ! - Quel dommage ! dis-je avec une hypocrisie sans borne. - Heu… Si vous y tenez beaucoup… propose la bestiole qui se voit déjà à la joie de me surveiller pendant quinze jours. - Non, non, dis-je avec énergie. Vous ne voulez pas laisser Scouby toute seule à Bruxelles, hein, chère Ardoise ! Que deviendrait-elle sans vous ? - C’est vrai, opine gravement l’animal pénétré de sa responsabilité : faut que je reste à Bruxelles pour surveiller Scouby ! Ca ne fait rien, quand viendra le mois de juillet, nous serons à nouveau ensemble… - Mais oui, dis-je. C’est dans combien de temps, le mois de juillet ?
  2. Scouby

    Le caracal

    Il est superbe, il ressemble à un fauve !
  3. Je trouve que Brigitrte a très bien répondu... Petit à petit, Pélisse va s'habituer et la petite boîte n'aura plus de signification pour elle... Pour toi, bien sûr, c'est différent, c'est tout à fait normal que pour le mioment, tu ne puisses encore regarder les photos, j'ai vécu la même chose avec mes amours que j'ai perdus, mais au fil du temps, les bons souvenirs remontent à la surface et apportent du réconfort.
  4. Tiens-nous au courant pour Sam, Brigitte ! Je ne m'y connais pas en chiens, mais je me semande si ce ne serait pas une question de jalousie vis-à-vis de toi. Il ne supporte peut-être pas que tu prennes soin d'un autre chien que lui ?
  5. Ce post me fait pleurer, Ninon, tu as été une maman fabuleuse pour Orion, jusque par-delà la mort. Sa petite âme immortelle veille à présent sur toi. Je t'embrasse.
  6. Ca avait commencé comme un conte de fée Une petite chatte grise, drôle et fûtée. Elle s'est introduite un jour chez nous tout chaton, Mais déjà courageuse comme un petit lion, Avec sa maman la belle Néfertiti toute noire. Elles sont restées... comme on le peut bien croire. Elle faisait bien des bêtises, Notre bébé à fourrure grise ! Elle aimait les fleurs, les papillons, Notre si jolie Cendrillon. ] Elle n'avait pas encore trois ans, Et elle attendait le printemps Immobile à la fenêtre... Ce printemps qu'elle eût du connaître N'a hélas pas voulu d'elle, Ma Cendrillon douce et rebelle... Elle a connu une triste fin, Elle dort à présent sous les sapins Et sa maman est avec elle Au pays de l'arc-en-Ciel.
  7. C'est vrai qu'elle est géniale cette photo !
  8. Je n'y connais rien en élevage mais j'en sais à présent plus en lisant ce post. Ce n'est vraiment pas facile et je trouve que tu es quelqu'un de formidable, Grenouille ! Responsable, réfléchie, et en même temps tellement sensible !... Je comprends que ta décision te rende triste, mais cela n'influe en rien sur Lou qui reste ta chienne bien-aimée. Le fait de l'avoir fait tatouer peut être très utile, même si elle n'a pas de portée je suppose...
  9. Je trouve cela très gentil également et je te remercie d'avoir mis ce message, Janick ! Bisous à Babs. Nous pensons tous à Orion.
  10. Même quand on sait que c'était la seule décision à prendre, c'est toujours tellement dur... Le petit savait que son heure était venue et il est parti sereinement en comptant sur l'amour des siens. C'est le dernier et plus beau cadeau que vous pouviez lui faire. Courage !...
  11. Toutes mes pensées vous accompagnent, Ninon et Thorgal...
  12. Quand c'est arrivé à Caramel, nous avons posé au véto la question : "Si c'était la vôtre... ?" Il nous a répondu : "Si c'était la mienne, je l'endormirais." Il a ajouté qu'il pouvait la prolonger de quelques jours, mais qu'elle allait souffrir. Cela nous ne l'avons pas voulu, bien que notre chagrin de la perdre ait été immense. C'est à peu près la même situation, je crois... C'est dire comme je te comprends, Ninon. Ta véto semble très humaine, d'après ce que tu en dis, elle a mis l'accent sur le fait que tu as offert deux belles années de vie supplémentaires à Orion. Tant qu'il ne souffre pas, c'est normal que tu veuilles le garder près de toi. Ensuite, c'est ton coeur qui décidera, je pense à toi. Kiwini, continue à nous dire ce qu'il en est por ton fils. Que disent les médecins ?
  13. Ninon, je ne sais pas... Il me semble que son regard voit déjà plus loin que le nôtre. C'est une photo qui fait pleurer, je ne sais que dire. Il est si beau.
  14. Que dire d'autre ? Je pense très fort à toi, Ninon, et à Orion... Kiwini, tiens-nous au courant pour ton fils, j'espère qu'il n'y a rien de trop grave !
  15. Kaylla tes photos sont sublimes ! Ces mimiques, ces expressions, ces poses... Géniales !
  16. C'est la voix même de la sagesse... Continuons à espérer.
  17. 1) Shrek Candy et Zora 2) Fenouil 3) Foxy entre maman et tata 4) Caramel BB et sa maman 5) Noisette
  18. Gros bisous à vous, Ninon et Thorgal, et une caresse à Orion. Nous sommes tous passés par cette épreuve et nous savons comme c'est dur, Ninon... Ecoute ton coeur, je sais que tu feras pour le mieux à l'égard d'Orion.
  19. Je découvre ce post, Ninon, je suis profondément désolée pour toi ! Je sais à quel point tu aimes Orion, ta décision sera la bonne, justement parce que ton amour pour lui est si fort. Gros bisous, Ninon, on attend les nouvelles ! En espérant quand même...
  20. Elles sont tellement belles que le choix risque d'être encore plus difficile que d'habitude !
  21. Scoubidou : "Le rose et le noir... Ne s'épousent-ils pas ?"
  22. Ooooh que nous sommes fatigués ! (Charlot et Geisha)
  23. Dur le travail de chef de meute ! Faut se reposer ! Signé Mam'zelle Ardoise .
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