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francis03

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À propos de francis03

  • Date de naissance 01/01/1947
  1. Merci pour ces réponses rapides... et de partager vos actions. Cordialement.
  2. Bonjour. Depuis des années j'ai un poulailler dans le bourg qui devient ville au bon vouloir de promoteurs. Je commence à avoir des remarques et enquêtes. Merci de me faire partager la façon, les textes de loi et tout autre information pour me défendre et conserver autour de la maison : poules, oies et ... Très cordialement.
  3. Bonjour et bonne lecture... Des informations revue du CNV 2010 LE DESSIN COLUMBIA Pour le profane comme pour le débutant, le coloris herminé bleu ou noir – columbia - est exclusivement l’apanage de la Sussex. Ce joli dessin est cependant difficile. Afin de préciser certaines données il convient en premier lieu de faire la différence entre les termes dessin et facteur Columbia ; en second lieu un dessin noir ou bleu sur un plumage blanc, fauve ou rouge appelé Columbia par les anglophones alors qu’en France on emploie l’expression herminé ; en troisième lieu les caractéristiques du dessin Columbia peuvent être différentes d’une race à l’autre. On peut à cet égard citer l’exemple de la Bourbonnaise chez laquelle on souhaite un camail ouvert à l’avant et la selle dessinée chez le coq alors que chez la Sussex le camail doit être fermé à l’avant et les lancettes des reins exempts de dessins. Le facteur Columbian est un gène Co autosomal et dominant qui intervient afin de limiter l’apparition du noir ou du bleu à certaines parties bien précises du plumage comme la tête, le camail, les rémiges ainsi que la queue. La Sussex, la Lakenfelder, la Vorwerk, la New Hampshire possèdent ce gène de mêmes que de nombreuses races. Le dessin Columbia provient du mélange des gènes eb, Co et Xs, soit l’interaction des types Perdrix et Columbia ceci explique que l’on peut rencontrer parfois des traces paille dans le plumage argenté, elle est donc due à une réapparition du facteur Perdrix et pas à l’effet du soleil. Ce dessin doit être précis au niveau du camail, des rémiges et des plumes de couverture de la queue, identiques chez les deux sexes. Il est identique pour toutes les vari étés de couleur. Le noir ou le bleu se présentent sur un plumage d’une couleur de fond blanche, fauve ou rouge. Chaque plume du camail comporte une flamme large, noir intense bordée d’un liseré blanc qu’elle ne doit pas traverser. Le camail est fermé sur le devant sauf chez la Bourbonnaise. Les plumes du début du dos comportent des taches noires ou bleues mais sont recouvertes par le camail. Les rémiges sont le meilleur indicateur de la teneur en pigmentation de l’animal. Les rémiges primaires et les rémiges secondaires ont les barbes internes noires et les barbes externes blanches. Les sujets présentant des rémiges grisâtres, mal délimitées voir entièrement blanches ne sont pas à utiliser pour la reproduction car le dessin Columbia s’estompe peu à peu. Les plumes de couverture de la queue sont dessinées le plus nettement possible. De couleur noires, elles sont bordées d’un liseré blanc qui ne doit pas être traversé. Les petites faucilles du coq comportent le même dessin. On remarque que les sujets d’exposition ont la selle la moins dessinée possible. Ceux qui l’ont fortement sont la preuve d’une bonne réserve de couleur. Il est intéressant de les accoupler avec des poules plutôt claires. Comme pour d’autres coloris, il serait bon de posséder un parquet d’élevage et un parquet d’exposition. Le coq a les rectrices et les faucilles noir intense avec des reflets vert scarabée. Il arrive souvent de rencontrer l’apparition de blanc à la racine des grandes faucilles lorsque celles-ci sont terminées et de plus souvent chez des coqs à forte pigmentation . Il semble que cela soit dû à l’action du gène Columbia qui repousse le noir vers l’extrémité de la plume. Il va sans dire que les coqs présentant le moins de blanc possible sont à préférer. Le standard demande le sous-plumage cendré mais non visible de l’extérieur. Cette exigence permet de garder des sujets assez pigmentés dans le parquet d’élevage. Si le dessin est correct dans son ensemble, un sous-plumage blanc doit être toléré. On obtient des résultats satisfaisants en sélectionnant plutôt par rapport à la qualité du dessin des rémiges que suivant la couleur du sous-plumage. La couleur Columbia n’est pas aussi simple que l’on pourrait le croire. En règle générale, il faut s’abstenir d’accoupler des sujets ayant les mêmes défauts. par Jacques ETIENNE Juge officiel Volailles Commandeur du Mérite Agricole
  4. et aussi : [img][/img] pour répondre, il faut voir le coq car la poule présente une organisation du maillage assez nette. On est loin de l'ébauche de dessins.
  5. Bonsoir et voici des éléments de réponses... LA PEKIN Variétés perdrix doré et perdrix brun maillé Goldhalsig und braungebändert Zwerg-Cochin La Pékin perdrix doré est certainement la plus belle avec ses éclats colorés. On est en présence d’une sélection variétale sur la base du coq, ce qui veut dire qu’on cherche avant tout la perfection dans le coloris de celui-ci. La poule n’est que partie prenante pour atteindre cet objectif et doit être considérée comme « sujet de travail » en vue de l’obtention de coqs parfaits. Il ne faut pas pour autant négliger sa prestance certes moins remarquable, preuve en est que des sujets parfaits dans l’expression recherchée pour le coloris et les dessins sont présentés régulièrement par les éleveurs chevronnés et ceci en parfaite adéquation avec le standard officiel de référence. Une tête rouge brunâtre orne le coq, les lancettes du camail et de la selle sont jaune clair soutenu avec un dessin de flamme large, noir profond à riches reflets verdâtres ; Les tiges des plumes de ces ornements se doivent d’être noires. Le dos et les ailes sont rouge carmin brillant. Le noir à riches reflets verdâtres se répartit sur la gorge, la poitrine, l’abdomen, les cuisses et la queue. Les rémiges primaires sont noires avec des barbes externes brunes formant un triangle de l’aile brun or bien marqué. La couverture des ailes quant à elles sont noires à riches reflets verdâtres pour soutenir les brassards bien définis. Le manteau du coq est de ce fait très contrasté. Pour obtenir cette parure sur le coq, la poule doit être la base du coloris. Elle aussi montre le camail idéal du coq dans sa perfection de couleur et dessins mais le reste du corps est relativement modeste. On recherche un manteau gris brun foncé, si possible sans ébauche de dessin. Les nervures sont finement marquées comme on le connaît chez l’Italienne par exemple. La poitrine est si possible de couleur saumon tendre. La Pékin perdrix brun maillé présente l’uniformité du coloris de base. Ici c’est la poule qui est à l’honneur, elle présente des dessins maillés noir multiples sur chaque plume y compris l’emplumage des cuisses et des tarses. Le coq n’est que « sujet de travail ». Les dessins noirs en fer à cheval sur une plume brun clair soutenu et uniforme sur l’ensemble du sujet sont typiques de cette variété. La perfection des dessins maillés chez la poule est tributaire d’un coq au manteau assez uniforme. On demande au coq de s’effacer mais néanmoins d’assurer. Pour assurer le coq doit être issu d’une poule parfaite en dessins et coloris et présenter une pigmentation brun or soutenue sur le manteau. Des traces noires s’apparentant aux dessins de la poule sont admises dans le camail mais aussi sur le reste du corps. Il faut toujours rechercher un coloris brun or uniforme sur l’ensemble du sujet. Le sous plumage est un deuxième réservoir pour les dessins par sa double coloration. La partie supérieure de la plume est brun or, ensuite bien délimitée, une bande gris noir passant au brun soutenu vers la racine de la plume constituent le coloris recherché du sous plumage. La tige de chaque plume est brun or soutenu. Chez la poule, la croupe dans sa transition vers la queue est ornée de plumes noires brillantes qui peuvent être contournées de brun. Ces plumes sont recouvertes par les couvertures de la queue même, ces plumes sont maillées. Les dessins maillés couvrent tout le corps de la poulette sachant que les dessins en fer à cheval apparaissent sur un fond brun or et suivent les contours de la poule elle-même. Pour le coq, le coloris de base apparaît sous différentes intensités selon l’endroit du corps mais ceci ne doit pas être sanctionné tant que on est assuré de la pureté du coloris. Ce n’est que par ce biais qu’il peut transmettre un coloris de base uniforme chez la poule sans qu’apparaissent des plumes à contours brun. Le dessin noir contourne toujours la plume. Le sous plumage de la poule est gris noir à tige de plume brun or. Ce coloris passe ensuite au brun clair soutenu comparable à une noisette. La présence de blanc, y compris dans le sous plumage, est un défaut très difficile à éradiquer. A l’origine de la sélection de ces deux variétés, le coq perdrix doré et la poule perdrix brun maillé étaient présentés en exposition, leurs partenaires respectifs n’étant que des « sujets de travail ». Les éleveurs se devaient de travailler sur deux lignées avec un travail et des moyens conséquents. Actuellement, le compromis est trouvé par l’acceptation de deux variétés distinctes. Ceci est également vrai pour d’autres variétés et cela permet de contenter les éleveurs et d’apprécier une gamme de coloris très large. C’est là le bien fondé de tout travail de sélection. Le travail des uns et des autres, techniquement difficile, mérite notre respect et un soutien sans faille. Nos remerciements vont aux éleveurs et membres des commissions de standard qui permettent à l’aviculture sportive de nous fasciner. Christian SCHUSTER Ancien juge ‘’Volailles’’ Revue du CNV novembre 2009
  6. Bonjour. Pas mal Teddy ! et à plus pour d'autres photos.
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