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es Pékin comme comme la race "cousine" "en GR la Cochin ou une autre poule d'origine chinoise , la Poule Soie, possède effectivement un tempérament très familier avec l'éleveur et doux en tant que mère tout en conservant un comportement actif au quotidien ou en termes de reproduction. C'est significativement différent de la majorité des races européennes anciennes, qui possèdent de nombreuses autres qualités mais sont souvent beaucoup plus sauvages. C'est donc une question de goût. Si tu ne fais pas de reproduction sportive mais qu'au contraire tu élèves tes petits pensionnaires en liberté et sur la durée, tu pourras outre leur beauté mieux comprendre jour après jour la complexité "très humaine" de leurs liens sociaux. "Bête comme une poule ou une oie" n'est qu'une erreur liée au manque d'observation.

Si le blanc te plait n'hésite pas. j'habite comme toi en Auvergne qui plus est aussi dans le 63 avec des sujets le plus souvent au grand air et.... pas de problème majeur de coloris. En fait tout dépend de la souche. Le soleil a certes une action mais plus en tant que révélateur que comme inducteur. En d'autres termes, Pour un même ensoleillement certaines souches voire certains sujets verront leur camail, épaules et lancettes (zones "pyle") devenir pailleux alors que d'autres resteront d'un blanc quasi immaculé .

Les coloris sont bien ceux que tu évoques. S'agissant du type et même du coloris il faut attendre le développement définitif pour émettre un avis. Envisage-tu de faire de la reproduction ? Si oui, attention, tu as là un sympathique trio mais regroupant des couleurs non miscibles... Tu auras de mignons poussins mais de coloris non reconnus ni fixés .

Paris, le 30 juin 2017 COMMUNIQUE DE PRESSE du Ministère de l’Agriculture et de l'alimentation lnfluenza aviaire H5N8: un foyer confirmé dans une basse cour dans le département du Nord Un foyer d'influenza aviaire hautement pathogène H5N8 a été confirmé le 30 juin 2017 dans une basse cour située dans la commune de Brillon dans le département du Nord. Pour stopper au plus vite la propagation du virus, des zones de protection et de surveillance sont mises en place immédiatement dans un rayon de 3 et 10 kilomètres autour du foyer. Dans ces zones, les mouvements de tous les animaux sensibles sont interdits et les mesures de biosécurité renforcées. Ce foyer se situe à 15 kilomètres, d'un foyer identifié le 23 juin dernier à Tournai en Belgique, dans un élevage non commercial de volailles. Ce foyer serait lié à l'achat de poussins et de pigeons sur le marché de Tournay en Belgique. Depuis le début du mois de juin, onze cas d'Influenza aviaire ont été confirmés en Belgique, essentiellement chez des éleveurs amateurs de volailles d'ornement et quatre cas au Luxembourg. Le 23 juin dernier la Direction Générale de l'Alimentation, du ministère en charge de l'Agriculture, avait demandé au préfet des départements frontaliers avec la Belgique et le Luxembourg de sensibiliser l'ensemble des détenteurs de volailles afin qu'ils fassent preuve de la plus grande vigilance et déclarent tout signe clinique suspect à leur vétérinaire sanitaire. Ce foyer confirmé ce 30 juin 2017 à Brillon, rappelle l'importance de protéger nos élevages de volailles en appliquant des mesures de biosécurité renforcées et en s'assurant notamment de l'absence de contact entre les volailles de basse cours et les élevages commerciaux. Près de trois mois après l'identification du dernier cas d'influenza aviaire H5N8 dans le sud ouest de la France et face à ce nouveau foyer, il convient que l'ensemble des acteurs de la filière volailles (professionnels, amateurs, négociants, transporteurs...) restent mobilisés pour prévenir toute réapparition ou diffusion de la maladie sur notre territoire. Toutes ces informations sont détaillées sur le site Alim'Agri.

Les virus grippaux sont globalement espèces spécifiques (virus de l'homme, virus des oiseaux etc...) avec juste des mutations fréquentes par petites touches tous les ans d'où assez une bonne immunité des populations d'une année sur l'autre. Il y a cependant aussi environ tous les 10 ans des mélanges de génomes (gènes) entre virus grippaux inter espèces et c'est là l'origine des épidémies problématiques. Les globules blancs sont alors un peu voire beaucoup déboussolés d'où des atteintes cliniques parfois graves... Il y a alors épidémie et il faut attendre qu'une nouvelle immunité se mette en place au sein des populations concernée.

NOTE D'INFORMATION du Ministère de l’Agriculture et de l'alimentation en date du 21 juin 2017 lnfluenza aviaire H5N8 hautement pathogène Vigilance renforcée suite à l'identification de cas en Belgique et au Luxembourg Quatre nouveaux cas d'Influenza aviaire ont été confirmés depuis le 16 juin 2017 en Belgique chez des éleveurs amateurs de volailles d'ornement et chez un négociant de volailles. Ces cas font suite à cinq précédents cas mis en évidence depuis le début juin en Belgique et à quatre cas confirmés au Luxembourg, ces derniers étant liés aux cas belges. Les élevages concernés sont très majoritairement des élevages amateurs de volailles d'ornement dont plusieurs ont participé récemment à des marchés ou expositions de volailles. Deux cas recensés en Belgique sont situés non loin de la frontière, localisés à Ménen et à Quievrain. Dans ce cadre, le Préfet du Nord va placer ce 20 juin 2017 six communes de son département sous surveillance, en lien avec le foyer situé à Ménen. Dans ces zones, des restrictions de mouvements de volailles sont mises en place et toute exposition ou rassemblements de volailles vont être interdits. Plus largement, il apparaît utile d'appeler l'ensemble de détenteurs de volailles, commerciaux et non commerciaux, situés dans les départements proches de la Belgique et du Luxembourg à la plus grande vigilance afin d'éviter le retour de la maladie sur le territoire français notamment s’ils ont été amenés à acheter récemment des volailles sur des marchés d'amateurs en Belgique et au Luxembourg. Afin de protéger en particulier les élevages commerciaux de toute contamination par l'influenza aviaire, il est indispensable que les éleveurs commerciaux et tous les intervenants en élevages de volailles respectent les mesures de biosécurité et en particulier, s'assurent de l'absence de contact entre les volailles de basses-cours et les élevages commerciaux. Il sera également rappelé l'importance de contacter sans délai un vétérinaire sanitaire en cas de signes cliniques anormaux constatés sur ses volailles. Enfin, ce message de prévention de l'influenza aviaire pourra être complété par une incitation aux détenteurs de volailles d'ornement d'éviter toute participation à des expositions ou concours dans les pays récemment infectés tant que la situation épidémiologique n'y est pas stabilisée. Près de 3 mois après l'identification du dernier cas d'influenza à H5N8 sur notre territoire, il convient que l'ensemble des acteurs de la filière volailles (professionnels, amateurs, négociants, transporteurs..) restent mobilisés pour éviter toute résurgence de la maladie en France. Les enjeux sanitaires et économiques justifient cette vigilance demandée à chacun.

Situation épidémiologique des virus IAHP (Influenza aviaire hautement pathogène) en Europe : point de situation au 19/06/2017 (Source : J.C PERIQUET, Président de la FFV) Du 1er au 19 juin 2017 inclus (semaines 22 à 25), treize foyers et cas d’influenza aviaire hautement pathogène (IAHP) de sous-type H5 ont été déclarés dans cinq pays européens : Luxembourg (premières déclarations), Belgique, Italie, Pays-Bas et Royaume-Uni (précédent foyer déclaré le 8 mai) (Figure 1). Les virus H5N8 et H5N5 ont été détectés : - Luxembourg : Le virus IAHP H5 a été détecté pour la première fois. Quatre cas H5N8 au sein de l’avifaune captive ont été confirmés les 2 et 3 juin 2017. - Belgique : Six foyers ont été confirmés en Belgique entre le 1er et le 16 juin (cinq foyers dans l’avifaune captive et un foyer en élevage avec une mortalité de 500/4047). Après plusieurs cas chez des éleveurs amateurs, et suite aux enquêtes réalisées dans ce cadre, le virus H5N8 a été confirmé chez un négociant d’oiseaux de loisir de Oostkamp (Flandre Occidentale), dont l’activité était la vente aux particuliers (et donc pas aux autres professionnels de la filière). L’enquête était en cours le 15 juin, notamment quant à l’origine de la contamination chez le négociant, de même que chez son fournisseur (également « bloqué » depuis plusieurs jours car il avait été identifié comme point commun entre plusieurs particuliers, mais sans mise en évidence de la maladie chez lui). - Italie : Un foyer d’IAHP H5N8 a été déclaré le 31 mai au sein d’un élevage de dindes, et le virus H5N8 a aussi été détecté le 7 juin chez un héron cendré (Ardea cinerea) retrouvé à proximité de l’exploitation de dindes contaminée. - Pays-Bas : Le 1er juin, les Pays-Bas ont déclaré un cas d’IAHP H5N5 chez deux oies sauvages (Anser anser domesticus). - Royaume-Uni : Un foyer d’IAHP H5N8 a été déclaré le 5 juin au Royaume-Uni au sein d’un élevage de poules et d’oies (mortalité 23/41). La situation épidémiologique entre octobre 2016 et fin mai 2017 des virus IAHP issus du clade 2.3.4.4 circulant en Europe est détaillée dans le dernier point de situation publiée sur le site de la Plateforme ESA le 31 mai. ******** MESURES PRISES EN BELGIQUE : Source – CVO Belgique 15 juin 2017 Elevages amateurs : Une zone de 3 km est délimitée autour de chaque lieu d’hébergement des oiseaux détectés infectés, et ce depuis le premier cas. Au sein de cette zone, les déplacements de volailles, autres oiseaux et œufs à couver sont interdits pendant au moins trois semaines. Négociants : Dans les zones de restriction et surveillance (3 et 10 km) autour de l’exploitation contaminée du négociant d’Oostkamp, les mesures prévues par la législation EU sont mises en application. Le département du Nord en France est concerné par une zone de surveillance associée à un cas chez des oiseaux captifs. Pour le reste du pays : Les mesures décidées en début de semaine 24 (12-18 juin) suite aux nouveaux cas chez des amateurs sont d’application : la vente d’oiseaux et de volailles sur les marchés publics, de même que les autres rassemblements (exposition, concours, vente, …) de volailles, sont interdits.

Si les deux type de couvées présentent ce même déficit de naissances, il semble logique de rechercher une cause en amont : consanguinité des géniteurs, coccidiose, problème de conservation des oeufs...

Les photos de qualité de Pékin et de Cochin ne s'inventent pas d'autant que comme vous le savez, il n'est possible de prendre des photos sur le Web pour des raison de propriété légale. Les photos de poussins et de juvéniles sont encore moins fréquentes et pourtant bien intéressantes Aussi, si vous faites de chouettes photos de vos sujets adultes ou jeunes, n'hésitez pas à en faire part et à les envoyer au club !

Nous voici célèbres en plus de notre Forum, Google référence désormais le site internet du CFPPC ! https://www.google.fr/search?q=club+poules+pekin+cochin&oq=club+poules+pekin+cochin&aqs=chrome..69i57j69i60j69i65j0j69i60l2.10983j0j8&sourceid=chrome&ie=UTF-8 Nous allons êtres connus même au Myanmar

En couvées naturelles ou artificielles ?

Très jolies photos, beaux sujets et visiblement bien propres et en pleine santé. ça c'est de l'élevage ! Bravo !

La grande force de l'élevage amateur, c'est que chacun peut le pratiquer selon son goût: plaisir simple d'un jardin animé ou sélection sportive , partage familial ou entre passionnés A mon sens le tout est de le faire avec plaisir et dans le respect de nos petites pensionnaires.

L'atomisation n'est pas un terme spécifiquement avicole. Je l'ai simplement employé au sens du Larousse "Action de parcellariser, de se parcellariser ; état de dispersion qui en résulte et qui engendre anarchie et faiblesse. En clair les éleveurs d'une race sont toujours partagés entre élever tous les coloris de l'arc en ciel pour le plaisir de la multiplicité ou se limiter à un nombre de coloris restreint permettant la naissance d'un nombre important de poussins de ces coloris gage de meilleures possibilités de sélection et de faible consanguinité donc de bonne santé.

Oui bien sûr mais cela ne résoud pas la question de l'atomisation du cheptel...

Là, mine de rien tu abordes une question importante : faut il ou non multiplier sans limite les variétés disponibles ? quelques arguments des "pour" : - créer ou introduire un nouveau coloris au sein d'une race,c'est un travail de sélection passionnant; - pourquoi se priver de tel ou tel coloris si joli... quelques arguments des "contre" : - on finit par créer des coloris complexes sans autre intérêt que la nouveauté; - le nombre d'éleveurs n'étant pas énorme ni réellement extensible, en multipliant les coloris élevés, on atomise le cheptel avec pour chaque coloris un nombre d'éleveurs et de sujets élevés inférieur au minimum nécessaire pour obtenir des sujets conformes et pas trop consanguins... A chacun de se faire son opinion...

Pour la première photo, je dirais coloris saumon bleu argenté mais là aussi coloris non homologué en France.

La seconde photo correspond au coloris FURNESS (également orthographié FURNACE), coloris non homologué en FRANCE. Au plan génétique, il s'agit d'un froment (doré) mélanisé. Le Furness est au Froment (doré) ce que le coloris Caille est au Fauve herminé noir...

La vente est une chose mais ce n'est pas ce qui motive la plupart des éleveurs même si chacun essaie légitimement d'au moins couvrir ses frais de nourriture. Un éleveur sélectionneur est par contre par essence tourné vers les expositions 'juge de paix' en dernier ressort de la qualité de son élevage et de sa sélection. L'avis des juges et donc le standard sont de ce fait incontournables. L'avis des éleveurs peut cependant être entendu justement via les clubs de race comme le CFPPC qui sont régulièrement consultés par la Commission des standards de l'ANJA (Association nationale des juges avicoles). L'union fait la force et sans aucune volonté de prosélytisme, on ne peut que conseiller à chaque éleveur d'adhérer au club de la race qu'il élève s'il existe ou dans le cas contraire au BCF s'il est par exemple éleveur de naines.

Effectivement, les années 70/80 étaient plutôt "petite Pékin" à l'anglaise , les années 2000 sont plutôt "volumineuse Pékin" à l'allemande ... Un standard n'est pas de même nature que les Tables de la Loi; il évolue par principe avec les goûts de son époque et avec le centre de gravité européen...

réponse : évolution du standard français en lien avec une uniformisation européenne.

Dernier communiqué des autorités sanitaires vétérinaires françaises du 23.05.2017 à propos de la grippe aviaire Prenant en compte l’évolution favorable de la situation sanitaire dans la faune sauvage, par arrêté du 4 mai 2017, le Ministère chargé de l’agriculture a ramené le niveau de risque lié à l’influenza aviaire, qualifié de « modéré» depuis le 14 avril 2016, à « négligeable » sur l’ensemble du territoire métropolitain. A partir du 6 mai, date d’entrée en vigueur de l’arrêté, les mesures de claustration des volailles ne sont plus obligatoires et les rassemblements d’oiseaux sont de nouveau permis sur l’ensemble des communes du département, y compris celles situées en « zone à risque particulier ». Les mesures de biosécurité restent cependant obligatoires dans les élevages professionnels. Ces mesures concernent l’aménagement des bâtiments et des parcours, mais aussi les pratiques d’élevage et le transport des volailles. Ces mesures contribuent également à prévenir d’autres maladies infectieuses. Bien que le risque soit moindre, la vigilance reste de rigueur. Ainsi, tout signe évoquant une maladie ou toute mortalité anormale dans les élevages doivent être signalés sans délai à la DDPP."

Dernières nouvelles au 05.05.2017 : Un arrêté a été publié aujourd'hui : Le niveau de risque épizootique tel que défini à l'article 3 de l'arrêté du 16 mars 2016 susvisé est qualifié de « négligeable » sur l'ensemble du territoire de la France métropolitaine. Donc plus de contraintes (confinement et expositions)

Commission française des standards volailles, réunion du 21 janvier 2017 à Paris Pékin chocolat caillouté blanc : après examen du rapport établi suite à la présentation de Bort les Orgues le 11 novembre 2016, la commission émet à l'unanimité un avis favorable quant à la poursuite du processus d'homologation en 2ème année.

Commission française des standards volailles, réunion du 21 janvier 2017 à Paris Pékin bleu à camail argenté et poitrine liserée : après examen du rapport établi suite à la présentation de Bort les Orgues le 11 novembre 2016, la Commission émet à l'unanimité un avis favorable quant à la poursuite du processus d'homologation en 2ème année.