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Guillaume141

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Tout ce qui a été posté par Guillaume141

  1. Je comprends ce que tu veux dire Sylvie... On dit que le MF doit se travailler sur souche perdrix, j'ai une souche froment et deux poules sur souche perdrix et l'association des deux n'est pas top. Soit on est sur perdrix, soit sur froment...Perso je vais garder mes sujets de Fabrice sur froment.
  2. LOOOOL à voir pousser mais on dirait du furnace!
  3. C'est seulement dix ans plus tard, en 1938, que deux autres scientifiques, Howard Florey, qui dirigent le laboratoire de pathologie de l'Université d'Oxford, et Ernst Chain, un jeune biochimiste d'origine juive, qui a fui l'Allemagne nazie, décident de s'attaquer de nouveau au problème. Après trois ans d'efforts, ils isolent assez de pénicilline relativement pure pour les premiers essais humains. Albert Alexander, un policier de 43 ans d'Oxford aux portes de la mort à cause d'une septicémie bactérienne, est le premier à en bénéficier. Après avoir été injecté avec la petite quantité de pénicilline disponible, son état s'améliore de manière radicale. Mais cela a nécessité l'utilisation de toute la pénicilline disponible. Quand l'état du policier s'aggrave à nouveau, les chercheurs extraient de l’urine du policier la pénicilline non métabolisée, la purifient et la réinjectent au patient. Encore une fois, son état s’améliore mais, éventuellement, cela ne suffit pas et Albert Alexander meurt. Florey et son équipe se rendent compte que c’est seulement aux États-Unis qu’ils auront les moyens de mettre en œuvre la production de la pénicilline à grande échelle. En juin 1941, Florey, accompagné d'un autre biochimiste de talent, Norman Heatley, s’envole pour les États-Unis avec des échantillons de penicillium notatum. Ils établissent leur recherche à Peoria, dans l'Illinois, dans un laboratoire du ministère de l'Agriculture spécialisé dans les processus de fermentation. En quelques semaines, le laboratoire, sous la direction d'Andrew Moyer, introduit un nombre de techniques qui améliorent de manière considérable les rendements de la pénicilline. Moyer décide notamment d'utiliser, pour la fermentation, de «l'eau de maïs», un sous-produit de la préparation de l'amidon. Il remplace aussi la culture en surface de l'équipe d'Oxford par la culture en milieu submergé, beaucoup plus efficace. Mais Moyer se rend compte que ce dont il a vraiment besoin, c'est d'une souche de pénicilline plus performante. Il fait venir des échantillons du monde entier, mais, ironiquement, c'est Peoria qui lui fournit la souche recherchée. Une secrétaire du laboratoire à son heure de lunch remarque un melon moisi au marché aux fruits de Peoria. Sachant l'intérêt des chercheurs pour les moisissures, elle le ramène au laboratoire. La moisissure est identifiée comme étant du penicillium chrysogenum. Et les chercheurs découvrent qu'elle a la faculté de produire 200 fois plus de pénicilline que le penicillium notatum. À la suite de sa découverte, les chercheurs baptisent la secrétaire, Mary Hunt, «Moldy Mary» (Mary la moisissure). Il devient dès alors possible de produire la pénicilline à l'échelle industrielle. Merck, Pfizer, Abbott et Squibb font partie d'un groupe de 21 laboratoires pharmaceutiques qui se partagent la tâche. En l'espace de quelques années, la production de pénicilline passe de bouteilles individuelles d'un litre et à des rendements de 0,0001% à des cuves de 50 000 litres et à des rendements de 90%. D'abord réservée à l'effort militaire, la pénicilline devient disponible à grande échelle à la fin des années 1940. Depuis, la pénicilline –et ses dérivés– a sauvé la vie de millions de personnes. C’est grâce, bien sûr, à Alexandre Fleming, mais aussi à Howard Florey, Ernst Chain, Norman Heatley, Andrews Moyer, Mary Hunt et d'innombrables chercheurs en Grande-Bretagne et aux États-Unis.
  4. L’histoire de la découverte de la pénicilline a des aspects mythiques. L’image de moisissures flottant à travers la fenêtre ouverte d’Alexandre Fleming et qui contaminent accidentellement une culture de microbes est certainement accrocheuse, mais pas conforme à la réalité. En fait, on doit la pénicilline non seulement à Alexandre Fleming qui, contrairement à ce que l’on pense, ne l’a pas «découverte» mais à la suite d’heureux concours de circonstances, accompagné de beaucoup d'efforts et d’années de recherche effectuée par de nombreux scientifiques, des deux côtés de l'Atlantique. L’histoire commence en novembre 1921 dans le laboratoire d’Alexandre Fleming, à l’hôpital St. Mary’s de Londres. Fleming, qui a alors un rhume, contamine accidentellement, avec une goutte de son nez, les colonies de bactéries qu’il étudiait. À sa surprise, il constate qu’au contact de son mucus, les bactéries ont perdu leur paroi cellulaire et se sont dissoutes. Il répète l’expérience avec des larmes et obtient le même résultat. Il en conclut que les sécrétions nasales et les larmes contiennent un composé antibactérien qu’il appelle lysozyme. Malheureusement, il découvre que le lysozyme, un enzyme, est d’une efficacité limitée comme agent antibactérien. Fleming décide alors de centrer ses recherches sur les moyens que le corps utilise pour organiser son propre système de défense contre les bactéries. Il se tourne vers la mise au point de vaccins. Nous sommes maintenant à l’été de 1928. Fleming travaille sur des cultures de staphylocoques, une bactérie particulièrement virulente. Avec le retour des beaux jours, il décide de prendre des vacances. La chance voulut qu’avant son départ, il oublie de nettoyer les boîtes de Petri contenant les bactéries. À son retour, il remarque que l’une des boîtes de culture de staphylocoques qui s’y trouvait avait été contaminée par une moisissure. Il s’agissait d’une occurrence fréquente. Mais ce qui était inattendu, c'est qu'au contact de la moisissure, les bactéries de staphylococcus avaient été détruites. Il s’agit du même effet observé avec que le lysozyme, cette fois, sur des bactéries pathogènes. Contrairement à la légende, la moisissure, identifiée comme faisant partie de la variété penicillium notatum, ne venait pas de l’extérieur. À l’étage d’en dessous se trouvait un laboratoire de mycologie poursuivant des études sur les effets allergènes de cette moisissure. La chance voulut que des spores de penicillium notatum s’en soient échappées pour s'infiltrer dans le laboratoire de Fleming en passant par la cage d’escalier. Fleming remarque que des extraits de penicillium notatum agissent in vitro pour contrer une variété de bactéries. Ces extraits détruisent non seulement les staphylocoques, mais aussi les pathogènes responsables de la scarlatine, de la pneumonie, de la méningite et de la diphtérie. Malheureusement, Fleming n’a pas alors les moyens et les connaissances pour extraire l’ingrédient actif, la molécule, responsable de l’activité de la moisissure. Fleming laisse tomber ses recherches sur le penicillium notatum et retourne à ses travaux sur les vaccins.
  5. [quote="Larsouille"] [b]Je sais pas si c'est l'impression, mais la poule "noir-bleu caill a le camail d'une drole de couleur!. mdr Cela doit être l'impression, car chez moi la poule est bien noire caill
  6. LOL nous n'avions pas de logo... Donc il faudrait plutôt dire, personne ne réagit à notre Logo???
  7. Guillaume141

    Mes premiers pious

    Je pense que ton premier est un MF bleu sur base perdrix. Pour tes "GP", je pense à du GP issu de sujets bleus, ce que prouverait tes naissances comme tu étais sensé avoir du bleu/splash, qui seraient plutôt du bleu-Perle.
  8. Ca dépend de la frisure... si frisé sur frisé, généralement tu as peu ou pas de duvet donc oui, attention courants d'air, pluie etc... j'ai eu le cas sur Chabo. Perso, j'ai qq sujets pékins frisés issus de lisse sur frisé, ils sont logés à la même enseigne que les lisses.
  9. Merci Patricia... perso je ne vois pas de blanc fleuri sur les poules de poule35. Par contre, le coloris du coq page 10.... oulaaaaa superbe!
  10. Mes coqs font aussi la cour à des jeunes qu'ils soient coqs ou poules quand ils ont moins de 6 mois...
  11. Ensuite, les fermes de Beaumont and co, appellent Porcelaine ce que maintenant nous appelons Gris Perle. Le seul coloris où il est fait mention de porcelaine chez la pékin c'est pour le millefleurs désormais quand justement tu as expression du GP et du Millefleurs sur un même sujet.
  12. On dirait du bleu-perle caillouté. Coloris pas bon quoi qu'il en soit mais en effet ce sont deux poules pékins. Mais bon, ce n'est pas parce que tu as les photos de deux animaux qu'ils sont forcément les parents.... Et pour avoir été Normand, oui acheter à la Ferme de Beaumont, ce n'est certainement pas une référence... Voila le coloris Gris Perle : c'est un sujet qualité jardin lool : bec doit être plus jaune et les plumes de queue non découpée. Le GP a des petites striures noires à la tête caractéristiques de ce coloris.
  13. Pour le rouge de la crête je dis coq, mais pour la taille de crête cela pourrait être poule....
  14. LOL je n'ai tjs pas dit le contraire... j'ai juste rappelé les habitudes. Et que pour les personnes qui travaillent et qui viennent de loin, être la le samedi c'est chaud... mais bon tu me diras, si c'était le dimanche, être au taf le lundi c'est pareil loool
  15. Heu oui merci.... mais les JT il me semble ont tjs eu lieu un dimanche...
  16. J'étais resté sur le wend du 31/08 mais je pensai que c'était le dimanche...
  17. C'est Samedi? pas le dimanche?
  18. Pour le bleu , je trouve aussi que c'est dommage car il aurait surement intéressé qqun pour de la repro....
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