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cyno

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À propos de cyno

  • Date de naissance 18/04/1976
  1. J'ajoute à la réponse de nono que chez moi les fruits d'aulne abaissent le pH... en général utilisés combinés à la feuille de chêne pour les petits bettas ayant besoin d'une eau à pH extreme (<5). Je vais essayer la catappa sur des rivulus (agilae) qu'on va me passer qui semblent l'exiger pour une bonne repro...
  2. Une telle réponse bien plus haut dans le post (genre moitié de deuxième page) permettait l'éclaircissement de tous... K-nine et toi nono1340 et sans doute d'autres êtes au fait de ces études en cours... le pekin moyen que je suis en matiere de crevettes pas forcement... Les réponses apportée au long du post n'ont a aucun moment été argumentées. Ce que j'apprécie pas, c'est que devant le manque d'arguments, quand je propose des hypothèses on me renvoi à mes études sans autre argument si ce n'est de me rappeler qu'on parle de caridina... Qu'on me contre dise ne me déplait pas quand il y a des arguments... une réponse ne pourra me satisfaire, si elle n'est pas expliquée. Les réponses aux hypothèses que j'ai proposées se sont contenté de me rappeler que je ne parlais pas de caridinia sans plus d'explication... ce n'est pas m'agresser, mais en tout cas n'enlève rien à mon incompréhension quant au rejet de mes hypothèses. Pour moi aussi "l'affaire "est close puisqu'on m'a expliqué les raisons de l'impossibilité... Non moins cordialement Yannick
  3. Mille pardon, Pardon d'avoir osé prendre la défense de rahe et de ses crevettes à la reproduction insolite... Ce que j'ai lu sur ces pages précédentes, c'est une remise en cause systématique ses dires... D'abord hybridation "impossible" ensuite tout le monde lui dit "impossible ca donnera rien, grossesse nerveuse" etc... Quand les petits sortent "t'as forcement un mâle"... Je pense que rahe est suffisamment grand pour avoir vérifié s'il a un mâle dans le bac. Plutôt que d'attendre de voir l'évolution des petits et des nouveaux grainages, tout le monde campe sur "c'est impossible"... Pardon d'avoir voulu ouvrir le débat, soumis d'autres piste en soulignant que dans le règne animal il existe outre la parthénogenèse, ou l'hermaphrodisme (pas toujours avec auto fécondation, j'en conviens), un moyen pour certaines espèces de conserver des gamètes et donc continuer à perpétuer l'espèce en l'absence ultérieure de mâles... et que ce dernier mode est présent tant chez les vertébrés que les invertébrés. Pardon de penser que le doute systématique, s'il s'inscrit dans une démarche ouverte d'esprit, de "saine"curiosité peut être profitable. Pardon de penser que le doute systématique juste pour remettre en question les propos et/ou les faits avancés, se contenter de camper sur ses positions sans chercher à comprendre s'assimile à du dogmatisme ou de l'obscurantisme. Je n'ai pas votre savoir ni votre expérience en matière d'invertébrés, mais je suis curieux et j'aime comprendre. Question : Si par le plus grand des hasard une telle chose s'était produite dans l'un des bacs de ceux qui disent "impossible", comment aurait il réagit devant ce mur de "impossible"?... Question : y'a-t-il à ce jour des travaux scientifiques sur ce genre d'expérience? si dans quelque jours, mois années un article scientifique venait à paraitre relatant soit une parthénogenèse soit une "préservation de gamètes", vous érigerez vous en disant "impossible"?... Le résultat demeure le même, rahe ne parlera sans doute plus de son expérience ici... je peux le comprendre Pardon d'avoir essayé de faire en sorte qu'une experience insolite puisse etre partagée au moins jusqu'à voir ce que donnent les petits et grainages ultérieurs... Petits HS : je ne viens pas pour râler ou faire ma grande gueule, mais PARTAGER tant mon expérience sur certains point que recevoir celle des autres, et ceci dans le respect des autres. Là ou j'ai beaucoup de mal c'est quand lorsque j'essaye d'élargir ou ouvrir le débat on me laisse comprendre "t'es gentil, retourne jouer avec ta pelle et ton seau..." juste parce que l'ouverture du débat pourrait bousculer ce qui a de longue date été considéré comme établi.
  4. J'en rajoute une couche : les spermathèques chez certains insectes?...
  5. Bonsoir, Visiblement nenes et moi ne sommes pas sur la même longueur d'onde... Le compte bulle permet de SAVOIR quel débit de CO2 on injecte dans le bac, pas quelle est la concentration de CO2 dissout. Je parle pour ma part des dangers liés à une surdose de CO2 dans un bac dont l'injection de CO2 n'est pas correctement GEREE. Pour mémoire, les plantes absorbent le CO2 dissout dans l'eau en journée (photosynthèse) et en produisent la nuit (respiration). De même, il n'y a pas une teneur idéale de CO2 dissout, mais une multitude de valeurs idéales possibles en fonction du ph et du KH de l'eau. Si le CO2 sous forme gazeuse est disponible en quantité suffisante, l'eau tendra naturellement a dissoudre le gaz pour tendre vers la teneur optimale pour ses caractéristiques. Ceci étant posé, deux approches différentes s'opposent dans la manière de diffuser le CO2 dans le bac : la diffusion libre (simple diffuseur, cloche) et la diffusion forcée (réacteurs, spirales, flipper, etc). Le principe de la diffusion libre est de "mettre à disposition" du bac du CO2 (en l'occurrence une grosse bulle qui se "dissoudra à la demande". On apporte simplement des bulles de CO2 dans le bac. Ces bulles sont "récupérées" sous une cloche immergée (de préférence de large surface). Le CO2 se dissoudra naturellement par l'interface eau/bulle de gaz. Si l'on apporte trop de CO2, l'excédant sera évacué par un dégazage sur les cotés de la cloche. La dissolution du CO2 se fait naturellement en fonction des besoins du bac. Il faut naturellement si le bac est très planté proposer une cloche de surface adaptée à la consommation... Pas besoin d'une coupure de nuit, ni de surveillance autre que le fait d'avoir du CO2 qui arrive... Le principe de la diffusion forcée est de dissoudre TOUT le CO2 injecté dans l'eau et le rendre ainsi disponible pour le métabolisme des plantes. Pour ce faire on casse les bulles en micro bulles (réacteur) ou on provoque un long cheminement (libre ou à contre courant c'est le flipper, et certaines spirales) pour forcer la dissolution du gaz dans l'eau. Trois cas de figure : 1) L'apport en CO2 est inférieur à la consommation : Les plantes poussent mieux que sans CO2 mais on a pas forcement une pousse extrême.(idem si dans le cas d'une diffusion libre la cloche est trop petite) 2) L'apport en CO2 est égal à la consommation : Les plantes poussent au taquets bullent dans tous les coins etc... (idem diffusion libre si cloche assez ou trop grande) 3) L'apport est supérieur à la consommation :le CO2 excédentaire aura une influence dans un premier temps sur la teneur en CO2. Arrivé à des valeurs critiques (en fonction du KH notamment) le pH va commencer à baisser. Cet effet est plus ou moins violent. Le risque est de provoquer une brutale chute de pH et donc un acidose. (peu probable en diffusion libre à moins d'injecter façon bain bouillonnant) La gestion de l'injection se fait de différentes manières pour le cas de l'injection forcée : (Je ne parle pas du réglage du débit en lui même, mais de la gestion de l'apport. On considere que le pointeau ou que la bouteille produit x bulles/minute) -> on peu régler son système selon ce que j'appelle une "cote mal taillée" (pifomètre) c'est à dire qu'il diffuse 24h/24 mais en étant suffisamment faible pour ne pas faire chuter trop le pH durant la nuit ( ne pas atteindre le seuil critique durant la nuit...). Grosse prudence obligatoire et débit a faire évoluer par petites touches -> électrovanne couplée au programmateur de l'éclairage (coupure nocturne) -> pH-mètre dédié qui pilote l'électrovanne pour ne pas passer sous une valeur de pH prédéfinie. Les deux dernières solutions sont à ce que je saches relativement onéreuses. Certes j'ai quitté le monde de l'animalerie, mais sur l'ensemble des kit CO2 que j'ai pu vendre, je dirais que moins de 50 % des acquéreurs investissaient dans l'électrovanne et moins de 5% dans le pH-mètre, sans parler des "petits kits" ou l'emploi de ces appareils est in-envisageable. Je ne pense pas que les proportions aient beaucoup évolué depuis 2007... Note : si l'objectif de l'emploi du CO2 est d'amener le ph a une certaine valeur, pH-mètre obligatoire ... Vous me direz pourquoi tout ce blabla? Parce que mon propos je le répète était d'alerter sur les dangers d'une diffusion forcée mal gérée... Les bêtes qui nous intéressent ici sont à ce que je sais très sensibles au variation brutales de paramètres. Une diffusion CO2 mal gérée peu engendrer de forte variation de pH pouvant aller jusqu'à la perte de nombreuses bêtes. Je le répète, le schéma de nenes me parait une bonne méthode pour une injection forcée système D qui n'abime pas le matos, les bricolages que j'ai vu sont ingénieux et doivent sans doute bien fonctionner, mais j'invite à la prudence dans les débits de CO2 utilisés. Ensuite chacun voit midi à sa porte, je ne prétends pas détenir LA vérité, j'ai simplement ouvert le débat et invité à la réflexion sur plusieurs points (impact des bulles sur les bactéries dans le filtre, sécurité du système/acidoses, préservation du matos...). C'est tout, pas plus pas moins...
  6. Ca serait dommage de cloturer ce post... 1) je voudrai bien voir l'evolution des petits 2) pour les sceptiques chez les gambusia et poecilia il a été observé jusqu'à 5 portées de petits issu d'une meme fecondation...
  7. D'accord avec toi pour ce qui concerne le dernier schema par rapport à l'usure du matos : c'est un circuit distinct de la filtration et la pompe a eau n'est pas sensée brasser des gaz En ce qui concerne une diffusion forcée du CO2 par rapport à une diffusion naturelle je reste très sceptique sur son bien fondé et sur les risques encourus, surtout en l'absence d'appareil de contrôle (quelque le CO2 soit issu d'une fermentation ou d'une bouteille en pression)
  8. Bonjour, L'idée d'injecter du co2 avant le filtre présente pas mal d'attraits, je vais jouer une fois de plus le rabat joie... - plusieurs étude tendent à prouver qu'une diffusion "forcée" du CO2 est assez casse gueule et expose à des acidose si l'injection n'est pas bien contrôlée (surtout dans des milieu à faible KH ce que j'ai chez moi). - les pompes que l'on utilise en aquario sont conçues pour fonctionner sous eau et sans cavitation... je m'explique : les pompes sont théoriquement sensée fonctionner pleine d'eau. Le fait d'introduire des bulles d'un gaz quel qu'il soit provoque certes la fraction de ses bulles en plus petites voir micro bulle, mais engendre aussi des vibrations (bruit plus ou moins fort selon le cas = cavitation) ces vibrations sont préjudiciable au rotor et à son axe provocant une usure prématurée. De plus les pales du rotor ne sont pas étudiée pour effectuer ce travail d'où une importante perte de débit. - Toujours parce qu'elles sont conçue pour fonctionner sous eau, il faut savoir que l'eau ne fait pas que passer dans le filtre, un partie de l'eau sert au refroidissement de la pompe et sa lubrification (il suffit de regarder la forme du puits de rotor pour s'en convaincre). De part la position "tete en bas" du système, les bulles vont entrer dans le puits sans pouvoir aisément en sortir. Cela là aussi est néfaste au bon fonctionnement de l'appareil : perte de débit dans le meilleur des cas pour aller jusqu'à la surchauffe en passant par la détérioration du rotor et/ou son axe. Le cas évoque de l'Éden 501 me parait simple : le couple stator rotor est de faible puissance, la moindre bulle vient créer des problèmes de bruit ou baisse de régime... problème qu'on ne rencontre pas sur des modèles plus costauds... voilà pour l'aspect technique ensuite là où je m'interroge, c'est sur l'effet dans le filtre et les masses filtrantes... En effet le CO2 a pour effet d'acidifier l'eau. Lors je m'interroge quant à l'effet sur la faune et flore bactérienne dans les masses filtrante en elle même car elle seront traversées par ces bulles injectée qui acidifieront le milieu par contact direct... L'emploi d'un venturi en sortie de filtre me parait plus approprié pour bricoler une diffusion CO2 économique et peu encombrante. Enfin pour finir, utilisant perso du CO2 artisanal sans outil de contrôle, je me contente d'utiliser le phénomène de diffusion passive en libérant mon CO2 sous une simple cloche (en favorisant la surface d'échange bulle de gaz sous cloche/eau) cela suffit à beaucoup de mes plantes, et c'est sans risques ni de sur-dose de CO2 dans le bac (dégazage) ni pour le matos... Yannick
  9. C'est pour ca que je me suis permis de rajouter le lien...
  10. Experience de 11 ans en animaleire : la plupart des gens ont beaucoup de mal a ré amorcer leur filtre et décrètent qu'il ne fonctionne pas correctement... ma recette pour ré amorcer correctement un filtre exterieur du type 2232 EHEIM :tout simplement vider le tuyau de refoulement avant de rebrancher. quand les deux tuyaux (aspiration et refoulement) sont en eau, tres souvent les deux pressions s'equilibrent et le filtre ne réamorce pas car aucune des deux colonnes d'eau n'arrive à chasser l'air et l'autre colone d'eau... CQFD pour bien remettre en place un filtre exterieur en place : mettre le retour d'eau dans le bac à l'air libre, ouvrir le robinet du tuyau en question au dessus d'un seau. re connecter le filtre, ouvrir les robinets d'abord coté refoulement puis cotée arrivée... une fois le circuit réamorcé, on rebranche et on secoue gentiment le filtre pour chasser les dernières bulles d'air...
  11. Bonjour, félicitation pour cette article de vulgarisation des "bonnes moeurs" en ce qui concerne la systématique... je le complete en mettant un lien vers un article bien fait qui explique en amont certains autres détails ... Cet article vient d'un forum qui est fermé mais toujours consultable en ligne Article de Ninos sur la nomenclature Prenez la peine de lire tout le post (deux articles différents en fait)... Enjoy
  12. Petit pinaillage... l'abreviation du potentiel hydrogene est pH et non pas Ph...
  13. cyno

    Caridina Dennerli

    Bonsoir, question un peu con mais quand même... Y'a-t-il une étude sur la tolérance aux paramètres en fonction de la génération en aquarium?...
  14. Bonsoir, je suis assez habitué à "manipuler" la flotte pour obtenir et tenir des paramètres disons extrêmes (ph<5 conductivité < 50µS) mais je me demande comment vous faites pour obtenir les paramètres ad hoc pour les crevettes de Sulawesi... Merci pour vos éclaircissements
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