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[fiche espèce]: Le rossignol du japon
noelle11 a posté un sujet dans Fiches espèces et expériences d'élevage
La biologie du Rossignol du Japon . Classification scientifique ; Ordre : Passériformes Sous-ordre : Passereaux Famille : Timaliidés Genre et espèce : Liothrix luteus Nom commun : Rossignol du Japon, Habitat et distributions. Introuvable au Japon, il provient de Chine ! Il vit à l’état sauvage dans les régions montagneuses de l’Asie sud-orientale, du sud de l’Himalaya jusqu’au nord de l’Indochine et dans le sud. Réintroduit à Hawaï, mais aussi en France dans le Béarn sur les bords du gave de Pau, il est presque introuvable en commerce. Il a une préférence pour les zones boisées. Description. Le rossignol du japon mesure entre 13 et 15 cm. Son corps est légèrement trapu, le dessus est vert-gris. Sa tête assez ronde a la même couleur. Ses yeux sont noirs et ronds. La gorge est de couleur jaune vif et devient orange à la poitrine. Les pattes courtes et fortes sont de couleur brun-jaune, le bec orangé est fin et résistant. Les ailes sont courtes et fortes, arrondies aux extrémités ; les petites rémiges sont gris-vert, les grandes rouges, barrées de jaune et de noir, la queue de couleur bleu nuit. Dimorphisme. Le dimorphisme sexuel n’est pas évident, la certitude est acquise par le chant, bien que la couleur de la poitrine de la femelle est généralement moins intense. Autre petite différence que l’on m’a signalée, le mâle a 1,5 cm de noir au bout de la queue sur toute la largeur, la femelle 0,5 cm. La femelle ne chante pas, elle pousse de petits bruits aigus. Particularités. C’est un oiseau robuste, qui supporte les climats très rudes. Il a une bonne longévité s’il vit dans de bonnes conditions. Doté d’une vue perçante, il repère les insectes avec rapidité et efficacité. Il possède beaucoup de qualités ; il a un chant mélodieux et agréable, sans oublié un plumage très coloré. C’est un acrobate qui ne tient pas une seconde en place, il est vif et a un vol rapide. Il se déplace au sol par petits bonds, il parcourt en général de petites distances. Ils vivent en groupes, sauf pendant la saison des amours où il a besoin d’espace et se montre assez territorial. En volière il cohabite sans problème avec d’autres espèces ; chez moi il cohabite sans problème avec canaris, petits exotiques, pinsons et bouvreuils. Je n’ai jamais observé d’agressivité entre eux. L’alimentation. Le rossignol a un régime assez varié. C’est d’abord un insectivore ; il a une préférence pour les insectes, mollusques et petits escargots. Il aime les pousses tendres et les œufs de fourmi. Il est aussi friand de fruits (sucrés) ; agrumes coupés en deux , pommes, poires, baies…. Il mange aussi des graines ; alpiste, avoine, niger, sans oublier de la pâtée pour insectivores et des vers de farine. Nidification. Il conquit sa femelle grâce au chant et aux parades. Ils construisent le nid à 2, à la bifurcation d’une branche, en forme de coupe. Comme matériaux, il utilise des bambous, du lichens, des écorces, des brins d’herbes, de la mousse, des brindilles et des radicelles. La ponte est de 3 ou 4 œufs blanchâtres, tachetés de brun jaunâtre. La couvaison commence au 3ème œuf ; elle est assurée par la femelle, aidée quelque peu par le mâle. L’incubation dure de 13 à 14 jours. Les petits quittent le nid vers l’âge de 18 jours ; les parents continuent à les nourrir jusqu’à l’âge de 6 semaines environ. Ils auront leur livrée adulte à partir de la 12ème semaine de vie. La reproduction en captivité. L’élevage du rossignol de japon en captivité n’est pas facile. Il faut tenir un couple par volière si on veut avoir des chances de reproduction, et ainsi, éviter à cette période des bagarres. Si on élève en cage, les dimensions minimales devront être de 75x45x65 cm. On utilise principalement des nids tressés de canaris dans des nichoirs semi-ouverts entourés de végétation. Il faut proposer plusieurs sortes de nids dans des endroits cachés, mais qui devront rester accessible à l’éleveur pour l’observation et la surveillance du nid pendant la couvaison et après. Pour facilité l’accouplement, il faut aménager la batterie ou la volière avec des branches ou des plantes pour se rapprocher au plus de l’habitat naturel. Il faudra veiller à apporter une alimentation riche en protéines animales et des vitamines pour inciter la reproduction. Pendant l’élevage, il faut fournir une pâtée pour insectivore mélangées avec une pâtée aux œufs, et veiller à un apport en protéines animales ; œufs de fourmis, pinkies, buffalos et vers de farines. Sources : * « Le rossignol du japon » G. Ravazzi Editions de Vecchi. * « Le rossignol du japon, maintenant aussi en mutations » Danny Roels, revue A.O.B. n°5 - mai 2001. * « Le rossignol du japon un pensionnaire de valeur de nos volières » André Bruggeman, revue A.O.B. n°6 – juin 2003. * « Les oiseaux de cage et de volière » Matthew M. Vriends éditions Solar. * « Oiseaux de cage et de volière » Grund S. Chvapil * « Le grand livre des oiseaux de cage et de volière » E.Gismondi Editions de Vecchi. * http://www.oisellerieleniddamour.com/rossignol_du_japon.htm. * http://www.aquadesign.be/news/article-4749.php -
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NOUVEAU Concours Photo ST VALENTIN
noelle11 a répondu à un(e) sujet de Romain-ruficauda dans Concours photos
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Le Colin de Californie (Lophortyx Californica). Nom scientifique : Callipepla Californica Ordre ; galliformes Famille ; Phasianidés. Généralités sur les Colins. Les colins ressemblent à des perdrix et vivent aux Etats-Unis. Les colins ont un corps trapu, souvent une huppe sur la tête, un bec court, n’ont pas d’ergots aux pattes, des ailes et une queue courte. Il existe 10 genres de Colins répartis en 34 espèces, dont les plus courantes sont ; les Colins de Virginie, les Colins de Californie et de Gambell, le Colin Ecaillé, le Colin de Colombie, le Colin huppé de montagne. Habitat et distribution. Les Colins de Californie sont originaires d’Amérique du Nord, de la Californie à l’Orégon. Il a été introduit dans d’autres états des USA. Comme Washington, Utah, Arizona, Névada, Nouveau Mexique, mais aussi, à Hawaii, en Nouvelle-Zélande et au Chili. C’est en 1837 que les premiers Colins ont été introduits en Europe (France, Allemagne, Espagne et Danemark), avec un succès plus marqué en Corse ! Il marque une préférence pour les régions arides mais boisées (bois de feuillus ou mixte), les versants des collines, les vallées. Description. Il n’est guère très difficile de différencier les mâles des femelles ; en effet, la huppe du mâle est plus développée et est composée de 4 plumes, qui penchent vers l’avant. Lui seul a la gorge noir, entourée d’un collier blanc et d’une bande blanche sur le front. La poitrine est gris bleuté, l’abdomen couvert d’écailles blanches liserées de noir. Son doc est de couleur gris sombre, le dessous de la queue est rosé. Comportement. Le colin a un comportement farouche et vigilant avec l’homme. A l’état sauvage, il se montre très social et vit en bandes composées de 25 à 40 individus. En période de reproduction, les couples se forment et le groupe se disperse, il peut se montrer agressif avec ses congénères et se montre territorial. Il est sédentaire, ne parcourt pas plus de 30 kilomètres.. Vie en captivité. Il est préférable de détenir les Colins en volière plutôt qu’en cage d’élevage (en cage le mâle peut se montrer agressif et aller jusqu’à tuer la femelle !). Il peut vivre avec d’autres sujets de la même espèce. La nuit, il se perche sur une branche, en hauteur. Par ce comportement, il se montre assez dérangeant, c’est pour cela qu’il ne convient pas pour les volières communes peuplées d’oiseaux de petites tailles où il dérangerait leur nidification Une volière riche en végétation est idéale et favorise la reproduction. Ils peuvent vivre tout l’année en volière extérieure dans les régions où les hivers ne sont pas très rigoureux. Attention, le colin craint l’humidité, il faut l’en protéger, et lui fournir un bon abri dans la volière. ..). Il aime se vautrer dans le sable tout comme la caille. L’alimentation. Le Colin de Californie passe la journée au sol à la recherche de nourriture (petits insectes ou vers….). Il se nourrit principalement de graines, un bon mélange pour exotiques fait l’affaire. On peut aussi lui proposer des vers de farines, des œufs de fourmis, mais ce n’est pas obligatoire. Un apport en verdure n’est pas négligeable ; mouron, pissenlit, ortie en graines, séneçon, mille-feuille,… Reproduction -Nidification. La saison de reproduction s’étend de mars à juillet. Le mâle fait sa parade ; il se courbe, penche la tête et offre un présent à la femelle (il tient un insecte ou un ver dans son bec). Une fois le couple formé, il cherche un endroit dissimulé ; la femelle va creuser une cavité peu profonde, garnie d’herbes. Elle pond entre 12 et 14 œufs. Les œufs ont une couleur crémeuse, de forme ovale, tachetés de brun foncé. La femelle couvera 23 jours. Pendant ce temps, le mâle reste à proximité, et veille sur la femelle. Si la femelle venait à disparaître (prédateur), le mâle prendrait en charge la couvaison et l’élevage des poussins. En temps normal, tout deux s’occupent des poussins. En captivité, l’élevage est difficile, et il est préférable de récolter les œufs au fur et à mesure et de les placer dans une couveuse artificielle, où la durée d’incubation est d’environ 23 jours. La couveuse devra être bien réglée ; 37,5°c, un bon taux d’humidité 70%, retourner les œufs 2 fois par jour. Un petit truc, pour assurer une bonne éclosion ; 2 jours avant le jour de l’éclosion, ajouter une cuillère de vinaigre dans le bac à haut, cela diminue la résistance de la coquille, ne plus ouvrir la couveuse jusqu’à l’éclosion. Ne pas pulvériser les œufs directement sur la coquille, car cela a un effet contraire, en durcissant la coquille. Les petits, une heure après l’éclosion, commencent à se déplacer. Ils sont nidifuges, il faut leur fournir de la farine pour poussins ou encore de la pâtée aux œufs pour oiseaux. Dans les premiers jours, ils sont très fragiles, et les pertes ne sont pas rares. A 9 jours, ils peuvent déjà voler, à 4 semaines ils sont complètement autonomes, mais il faut au préalable, veiller à diminuer très progressivement, la température de l’éleveuse. A l’âge de 8 semaines on peut déjà différencier les mâles des femelles. La maturité sexuelle n’est acquise qu’à l’âge d’un an.
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Voici les infos demandées; La bourse a lieu de 6h30 à 13 h le 13 octobre à Hannut Adresse; rue du Combattant , 1 à 4280 Hannut L'itinéraire est fléché à partir de l'autoroute E40, sortie 28 Il y a 3.000 entrées environ à chaque fois, 1 euro le prix d'entrée, 2.000 m² d'expo, surtout des canaris, il y a aussi des indigènes, pas mal de perruches mais peu d'exotiques je trouve.. Tout ce ci sur 2.000 m² d'expositions. Voilà pour les infos
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