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Toufou

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Tout ce qui a été posté par Toufou

  1. La charmille, longue de 573 mètres constitue l'une des plus longues promenades d'Europe. Plantée pour sa majeure partie en 1885, elle se compose de 4.700 plants de charmes dont près de 70% sont centenaires. " /> Quand: Dimanche 12 avril 2015 à 12:45 Où: Le rendez-vous se fera à Hautregard à la route de Remouchamps X rue Belva (croisement de la N697 et N606). Pour y arriver: Autoroute E42, sortie n°7 : Theux, direction La Reid puis Remouchamps Ou Autoroute E25, sortie 46 Remouchamps, direction La Reid ,Spa.
  2. Bonjour, Je voulais savoir si la demande est toujours d'actualité?
  3. Pour des vacances réussies avec ou sans son animal, la Fondation 30 Millions d’Amis propose une nouvelle application smartphone dédiée. Avec de nombreux services géolocalisés et des conseils pratiques. Voir le lien ci-dessous: Lieux de vacances où les animaux sont acceptés Configuration Apple requise : compatible avec l'iPhone 3GS, l'iPhone 4, l'iPhone 4S, l'iPhone 5, l'iPod touch (3e génération), l'iPod touch (4e génération), l'iPod touch (5e génération) et l'iPad. Nécessite iOS 6.0 ou une version ultérieure. Cette application est optimisée pour l'iPhone 5. Configuration Android requise : 2.2 et plus récente.
  4. On dirait que la vidéo a été retirée ..... :-(
  5. Dimanche 02 décembre 2012 Kortenberg Finale Cani-cross Heures : INSCRIPTION: De 9h à 10h40 HEURES DES DÉPARTS: Cani longue:11h - Minimes:12h - Cadets:12h30 - Cani court:13h - Poussins:14h Prix : Adultes : 5 euros, Enfants : 3 euros, Poussins: gratuit, non-affiliés FCB-BCF, ECF + 1,5 euro Adresse : La Salle “Colomba” Wijngaardstraat 1 CP : 3070 Kortenberg Pays : Belgique Contact : Droeshout Martin: 0477/517639 E-mail : martin.droeshout@skynet.be Site web : www.cani-cross.be Infos sur le site... PARCOURS: 100% Bois Vallonné. BAR: OUI - PETITE RESTAURATION: à partir de 13 heures frites et saucisses grillées! EXTRA INFO: Le stationnement est autorisé uniquement sur le grand parking!
  6. Samedi 01 décembre 2012 LESSINES Expertises pour chiens de toutes races Heures : 10h à 17h Prix : 35 euros par chien pédigree compris Adresse : Chemin du Tordoir (La Raslo) CP : 7860 LESSINES Pays : Belgique Contact : BLANLIN Colette GSM : 0473 29 25 68 / 068 54 39 70 E-mail : colette.blanlin@gmail.com Site web : http://nvbk.org/ Expertises pour chiens de toutes races sans pédigree pour l'obtention éventuelle d'un pédigree si chien conforme - Juges officiels NVBK - FNCB - Inscriptions chez Colette BLANLIN - colette.blanlin@gmail.com - Toute la journée buvette et petite restauration, lieu: local Club Canin Lessines
  7. Samedi 01 décembre 2012 Mons Promenade canine nocturne Heures : 19h00 Prix : 1 Euros par chien Adresse : rue L. Save "Vieux Puits" CP : 7000 Mons Pays : Belgique Contact : Sieuw Pascal GSM : 0472/514.500 E-mail : pascalsieuw17@gmail.com Site web : http://www.chiencomportementpascalsieuw.com/ Promenade nocturne dans les champs, chemins, et dans le Bois de Mons, au calme, sans oublier votre lampe de poche. 1 Euro par chien, bienvenue à tous !!!
  8. Mercredi 28 novembre 2012 Wavre Quelles médecines douces pour nos animaux Heures : 19h30 Prix : 25€ Adresse : Rue Barriere Moye 18 CP : 1300 Wavre Pays : Belgique Contact :Roelandts Christiane GSM : 0475 68 90 62 E-mail : atelier.naturo@gmail.com Site web : Les médecines complémentaires sont également très efficaces pour aider nos compagnons à 4 pattes. De plus en plus recherchées par les propriétaires nous verrons quelles thérapies sont les plus adaptées en fonction des besoins.
  9. Toufou

    Longe de 15m

    En Belgique livraison en 24hrs --> 2kg € 6.20 2-->10kg €8.40 A partir de la Belgique vers l'etranger Envois internationaux de moins de 2 kg Voir sur le site suivant: http://www.bpost.be/site/fr/residential/parcels/international/kilopoststand.html Envois internationaux non urgents jusqu’à 30 kg Voir sur le site suivant: http://www.bpost.be/site/fr/residential/parcels/international/kilopostint.html
  10. Notre avis sur les méthodes de certains professionnels du dressage Les méthodes utilisées par de nombreux professionnels en France, aux Etats-Unis, et ailleurs, que l'on peut voir sur des chaînes de télévision, sur youtube et partout sur le net, montrent des résultats si rapides que le public en est subjugué. Je vous propose mon décryptage sur les méthodes employées. Je précise qu’aucun acteur n’est visé sur sa personnalité, ce ne sont que les moyens que je commente ainsi que leurs répercussions sur les animaux. C’est la violence, souvent physique, toujours émotionnelle, que les chiens subissent, qui rend les démonstrations aussi aisées. Après quelques minutes de traitement intensif, le chien est dans une sidération que l’on peut voir à l’œil nu, même pour les novices. A force de contrer les comportements, contraindre, interdire, empêcher, forcer le chien à tolérer ce qu’il n’accepte pas au départ ou ne sait pas gérer émotionnellement et physiquement comme ses humains le voudraient, on le rend totalement amorphe, apathique, en état presque végétatif (sans réaction de vie, de joie ou d’excitation). Par des séances de contention interminables, de maintien, de blocage du chien jusqu’à complète reddition, on arrive à un émoussement émotionnel, une disparition de la peur (qui est pourtant une émotion vitale), une suppression des réactions, une absence d’enthousiasme, une inhibition des initiatives, des troubles de la mémoire, de l’humeur, du comportement, une permanente détresse qui génère donc un calme constant, un électroencéphalogramme réduit à son minimum, bref, l’équivalent d’une « lobotomie » de l’animal. Si vous vous intéressez à la question, je vous suggère de vous renseigner sur le syndrome de Klüver-Bucy, qui recense ces faits que l’on constate sur les chiens passés entre les mains de soi-disant utilisateurs de méthodes non violentes et énumère les répercussions possibles. Méthodes non violentes ? Elles le sont. Il ne s’agit pas de coup porté au corps (du moins devant la caméra), mais au mental. Il y a aussi les écrits de Jean Claude Barrey au sujet des pratiques utilisées avec les chevaux (du genre « équitation éthologique ») : je vous recommande le texte « soyons clairs » écrit en co rédaction en 2003 avec Nadège Miklas. Il traite surtout des méthodes employées avec les chevaux, mais il y a des ressemblances évidentes au sujet des pratiques commises sur les chiens. Allez voir sur Youtube ce qu’un dresseur français (maquillé en éducateur comportementaliste) fait subir aux « chiens difficiles » en les retournant au sol et les maintenant jusqu’à relâchement musculaire, en leur crachant à l’oreille un chchchchchchch durant toute la séquence. Vous comprendrez pourquoi il porte des gants ! Renseignez-vous sur le « submissive roll over » ou « alpha roll over »…c’est la méthode employée par ce Monsieur, et cautionnée par trop de « professionnels ». Il y a aussi cette émission passée en 2004 sur TF1 présentant un "éducateur" mandaté par l’école vétérinaire de Maison Alfort pour régler les "problèmes de comportements des chiens"... à la force des bras. Vous constaterez que les résultats sont sans appel : sur les 3 chiens montrés, il y a 1 euthanasie, 1 abandon, 1 traumatisme. En visionnant ces vidéos accessibles gratuitement sur le net, vous comprendrez pourquoi ces messieurs ressemblent à des armoires à glace, sont bardés de cicatrices, portent des gants, utilisent des colliers étrangleurs et des colliers électriques, parlent de hiérarchie, de dominance, de soumission, de loup alpha... et pourquoi leurs chiens ont la queue basse, les yeux éteints et les oreilles plaquées sur le crâne...Appréciez dans l’émission de TF1 « reportages » comment le chien est jeté violemment dans le coffre de la voiture après en être sorti sans autorisation (le chien ne recommencera sans doute pas …en présence du dresseur en tout cas). Je pense, pour ma part, que la fin ne justifie pas les moyens, que certaines attitudes sont des maltraitances, des violences intolérables, inacceptables, que je ne veux pas cautionner. Si l’on admet que l’Homme est l’espèce la plus intelligente, comment peut-on accepter de retourner à l’âge de pierres en ce qui concerne nos relations avec les animaux ? La violence est le dernier refuge de l’incompétence, disait Gandhi. Alors pourquoi croit-on encore en 2010 qu’il n’y a que par la force que l’on obtient la coopération d’un chien ? Nous sommes pourtant en mesure, si nous le voulons, de signifier aux chiens par nos comportements qu’ils n’ont pas le pouvoir de nous mettre en colère, que nous ne cèderons pas à leurs agitations, que nous restons calmes, que nous sommes inflexibles et ne nous laissons pas modifier par eux. Veillons d’abord à nos propres attitudes, avant de vouloir imposer aux chiens de bien se comporter. C’est cela qui nous grandit, pas la soumission de l’autre par la manière forte. Je l’ai souvent écrit, c'est tellement plus facile de mettre l'autre à terre, selon la loi du plus fort, plutôt que d'essayer de le comprendre. Mais comprendre demande des efforts... Notre chien, notre meilleur ami (le sommes-nous pour lui ?) ressent des émotions, la douleur, la peur. Et communique. Je pense que la force physique ne doit pas primer sur l'intelligence. Vous savez dans quel camp je me trouve : celui de "l'effort", pas "les forts". Laurence Bruder Sergent http://www.vox-animae.com
  11. Cà marche pour moi et Toufou
  12. La période néonatale : Elle a été définie comme allant de la naissance à l’âge de 14 jours (ouverture des yeux). Les chiots naissent sourds et aveugles. L’essentiel de l’activité des chiots nouveau nés est constitué par le sommeil. Ils dorment près de 90% du temps, dont 95% représentent du sommeil paradoxal. Pendant le sommeil paradoxal, les chiots présentent des mouvements incessants de la face, des oreilles, des paupières, des lèvres mais aussi des membres, du tronc et des muscles. Ils sont entassés les uns sur les autres et il est probable que leur sens tactile se perfectionne notamment au cours des siestes rapprochées. Quelques périodes de sommeil profond surviennent parfois (5% des cycles) et sont caractérisés par un état de repos total apparent. Le temps de veille est presque totalement occupé par la tétée. Les prises de nourriture apparaissent régulièrement, toutes les 3-4 heures. Les chiots possèdent le reflexe de fouissement, qui leur permet de trouver la mamelle et de s’y accrocher. Le réflexe labial ou de succion qui leur permet de déclencher l’émission du lait. À cet âge on ne note pas d’attachement d’un chiot à une mamelle précise comme cela a été décrit chez le chaton. Les compétences motrice du chiot sont encore très limitée et c’est la reptation ((contraction des muscles du tronc) qui constitue le seul mode de locomotion possible. Les membres antérieurs acquièrent les premiers un tonus suffisant, vers le 10 è jour, tandis que les postérieurs doivent attendre la fin de la 2è semaine. La chienne, durant les deux premières semaines, passe l’essentiel de son temps avec les chiots couchés contre elle. Ce contact semble mutuellement apaisant. Les chiots sont incapables d’excréter seuls. La mère les retourne et les toilette. Durant ses soins, elle stimule la région périnéale de ses petits, déclenchant ainsi l’émission des selles et des urines qu’elle ingère. Ce réflexe primaire indispensable en l’absence d’autonomie neurovégétative est le réflexe périnéal. La sensibilité tactile du chiot est bien développée. Il est cependant totalement incapable de maintenir sa température, les centres bulbaires sont encore immatures. Le sens gustatif est déjà bien développé à la naissance, notamment aux gouts de sucré et d’amer. Cette période de la vie du chiot semble dominée par l’acquisition progressive de nouvelles possibilités sensorielles et motrices. Cette maturation de la vie de relation est l’expression du développement neurologique. La période néonatale est, pour la maman, le moment durant lequel se développe pleinement l’attachement aux chiots. Cet attachement est immédiat de la part de la maman. Il se réalise par l’intermédiaire de facteurs neuroendocriniens, mécaniques et olfactifs. Cela implique que tout ce qui limite le contact entre la maman et les chiots déclenche un état de détresse profonde. A ce moment, l’attachement n’est pas encore réciproque. Les chiots cherchent simplement un objet chaud, mou, contenant du lait. Les relations entre les chiots et leur mère vont pouvoir se développer totalement à partir du moment où ils auront complété leur équipement sensoriel. La période de transition (entre 14 et 21 jours environ) : Cette période débute plus ou moins avec l’ouverture des paupières et se termine au moment des premières perceptions auditives. Bien que les chiots commencent à voir et que les premiers sursauts aux bruits se manifestent, leur orientation visuelle et auditive reste très aléatoire. Au cours de ce stade, les coordinations motrices s’améliorent. Même si leur démarche n’est pas encore complètement assurée, ils se déplacent de mieux en mieux et de plus en plus vite. Ils deviennent capables de ramper en marche avant et en marche arrière et tentent de faire leurs premiers « vrais » pas. Ils restent éveillés plus longtemps qu’au cours du stade précédent ; les phases de sommeil paradoxal diminuent pour faire place à des phases de sommeil calme. Ils ont dorénavant la capacité de régulariser leur température corporelle et n’ont plus besoin des léchages maternels pour pouvoir éliminer ; ils commencent même à quitter leur couche pour faire leurs besoins à l’extérieur (mais ce n’est pas une règle absolue). Les premières dents de lait font leur apparition, les chiens commencent à laper et à manger un peu de nourriture solide. Chez les canidés sauvages, c’est l’époque où les adultes, au retour de la chasse, régurgitent de la nourriture pour les jeunes (cela est rarement observé chez nos canidés domestiques, puisque, les humains fournissant la nourriture, ce comportement n’a plus été soumis à la sélection naturelle). Nous assistons aux premières relations actives dans la fratrie : premiers léchages réciproques, premiers rudiments de jeux ; il s’agit plus souvent de mordillements d’oreilles et de pattes accompagnés de petits grognements et de quelques battements timides de la queue. Grâce à tous ces progrès, la découverte du vaste monde peut commencer. Grâce aux progrès des stades précédents, le chiot est maintenant prêt pour établir des relations de plus en plus complexes avec ses pairs et d’autres espèces animales et pour découvrir activement son environnement. La période de socialisation (entre la 3e et 12e semaine) : Grâce au développement de la myéline (la myélinisation se termine entre la 6e et 7e semaine), les chiots deviennent de plus en plus agiles. Ils se montrent déjà capables d’une bonne orientation auditive et visuelle (bien que leur vision reste encore floue jusque vers 4 mois). L’allongement du museau et le contrôle plus précis des muscles leur permettent d’exprimer de multiples mimiques. Des observations montrent que, chez certains sujets tout au moins, 80% des comportements adultes sont acquis à 6 semaines. Au début de cette période, le chiot préfère encore rester auprès de ses frères et sœurs ; l’exploration des environs se fait timidement, souvent en groupe, et le moindre bruit insolite le ramène vite au bercail. Certaines expériences sont cruciales pour qu’il devienne un adulte bien dans ses poils. Attention cependant : autour de la 8e semaine, il semble y avoir une période sensible au cours de laquelle les mauvaises expériences peuvent avoir des effets négatifs à long terme. Au cours de ce stade, quatre processus se mettent en place. a) La socialisation intraspécifique : A sa naissance, le chiot ne sait pas qu’il appartient à l’espèce canine ; il doit donc l’apprendre. Diverses recherches éthologiques ont mis en évidence le rôle prépondérant des jeux pour faire cette acquisition, d’où l’importance de la fratrie puisque c’est surtout avec ses frères et sœurs que les jeux sont les plus intenses. Au cours des jeux, les diverses postures et mimiques peuvent s’exercer : on poursuit ses frères et soeurs, on les attaque, on se soumet à eux, on essaie de leur « voler » leurs jouets, on aboie contre eux, on défend sa « proie », on mime les postures sexuelles… Bref, le chiot apprend à se comporter en chien et à acquérir les bonnes manières canines indispensables si l’on veut mener une vie sociale. C’est grâce à ces jeux que le chiot va prendre conscience de la force de ses mâchoires ; la réaction de ses vis-à-vis va petit à petit l’amener à acquérir l’inhibition de la morsure, inhibition qui devra, bien entendu, être renforcée par les humains. L’une des caractéristiques de la socialisation intraspécifique est de ne retenir des congénères que les traits communs : le chiot va reconnaître un chien quelle que soit sa race, avec néanmoins quelques ajustements nécessaires (un berger allemand doit, par exemple, apprendre que les plis sur le museau d’un boxer ne signifient pas forcément que ce dernier est de mauvaise humeur). Vu les modifications physiques apportées par les humains, la fréquentation des représentants de diverses races est fortement recommandée, d’où l’importance des classes de jeux. Elevé sans contact canin, un chiot a de fortes chances de devenir asocial ; en fonction de son tempérament, il va ignorer les autres chiens, se montrer extrêmement soumis ou, au contraire, agressif envers eux. Il pourra donc difficilement établir de vraies relations avec ses conspécifiques, d’autant plus qu’il peut susciter lui-même des réactions extrêmes de la part des autres canidés : rejet, agression, voire chasse, comme si, ayant des comportements mal ajustés, le sujet n’était plus reconnu comme un congénère. b) La socialisation interspécifique : C’est également au cours de ce stade que le chiot va se familiariser avec d’autres espèces animales et apprendre à décoder leurs mimiques et comportements. Si ces expériences sont positives, il établira des liens amicaux avec les représentants de ces diverses espèces. Contrairement à ce qui se passe pour la socialisation à sa propre espèce, la socialisation interspécifique, du moins celle qui concerne les humains, semble être beaucoup plus individualisée. Dans le cas où le chiot n’a de contacts qu’avec un certain type de personnes, il risque d’éprouver plus tard une certaine crainte à l’égard d’individus présentant des caractéristiques physiques ou comportementales différentes. Il est donc extrêmement important de s’assurer que cette socialisation a été bien faite à l’élevage. Il est, par exemple, indispensable que le chiot soit mis dès son plus jeune âge en contact avec des adolescents, des hommes et des femmes adultes, des personnes âgées, des enfants de différents âges. Les contacts avec ces derniers sont primordiaux ; en effet, c’est bien souvent le comportement même des enfants -notamment leurs cris, leurs gestes, leur brusquerie, voire leur manifestation de tendresse intempestive- qui provoque des morsures. La période s’étendant de la 3e à la 7e semaine semble être celle au cours de laquelle les chiots se montrent les plus réceptifs à de tels contacts. Passé la 7e semaine, des réactions de peur face à la nouveauté deviennent de plus en plus fréquentes, réactions pouvant déboucher sur des comportements agressifs. Il vaut donc mieux « prévenir que guérir ». Sachez que des chiots complètement isolés jusqu’à la 14e semaine sont difficilement socialisables. c) L’imprégnation à l’environnement : Petit à petit, en explorant son environnement, notre petit canidé va apprendre à identifier tout ce qui l’entoure, et ceci pour chacun de ses sens (audition, olfaction, vision, toucher, goût). Il va ainsi se construire un cadre de référence lui servant de modèle pour comparer les situations nouvelles qu’il devra affronter tout au long de sa vie. Si le niveau de stimulation est très bas, ce qui est le cas pour des chiots élevés en isolement ou dans des enclos au fond du jardin, le degré de stimulation pour maintenir son équilibre sensoriel est bas et l’animal ne se sent à l’aise que dans un milieu peu stimulant. Une augmentation des stimuli, en nombre ou en intensité, va provoquer une attention accrue, suivie, selon les cas, de réactions de peur pouvant se transformer en panique. Parfois, lorsque la fuite n’est pas possible, on peut observer des comportements dirigés sur le corps (mordillements, léchages et parfois même automutilations) qui permettent de faire diminuer la tension. Dans les cas extrêmes, il est souvent préférable, afin de retrouver un comportement normal, de replacer l’animal dans un milieu semblable à son milieu d’origine. L’inverse, c’est-à-dire le déplacement d’un milieu riche dans un milieu peu stimulant, peut également provoquer diverses perturbations comportementales, par exemple, des stéréotypies ou de l’agitation. Il est donc indispensable que le futur propriétaire visite différents élevages avant de faire son choix. Même en pleine campagne, il y a différents moyens d’augmenter les stimulations : nombreux jouets, bruits du trafic diffusés par haut-parleur, promenades en voiture, etc… L’imprégnation à l’environnement peut expliquer également certaines difficultés que l’on rencontre avec le chiot comme la recherche d’un certain substrat pour éliminer ou le refus de certains aliments. d) L’acquisition de la notion de hiérarchie : Vers la 4e semaine, un grand nombre de chiennes commencent à se montrer moins tolérantes lors des tétées (durées de plus en plus réduites, position debout…). Elles quittent de plus en plus souvent les chiots, pour des périodes de plus en plus longues, et les repoussent activement quand elles désirent avoir la paix. Certaines mères sont très sévères, d’autres beaucoup plus laxistes. Quand ils en ont la possibilité, certains pères –voire d’autres adultes de la meute- participent activement à l’éducation de leurs rejetons alors que d’autres s’en désintéressent complètement. Les chiots vont ainsi apprendre petit à petit à respecter leurs aînés et s’ils ne le font pas spontanément, ils sont vite rappelés à l’ordre. On observe également des chamailleries au sein de la fratrie avec l’instauration d’une hiérarchie rudimentaire et souvent labile. Grâce à ces apprentissages, les chiots commencent à comprendre les règles hiérarchiques qui leur permettront bientôt de s’intégrer dans la meute des adultes, ce qu’ils vont faire peu à peu au cours des stades suivants. La pré-puberté (de 3 mois jusqu’à la maturité sexuelle) : Au cours de cette période, également appelée période juvénile, les chiots deviennent de plus en plus adroits dans leurs mouvements et réagissent de manière de plus en plus nuancée en adoptant les comportements adéquats à chaque situation. S’ils continuent à vivre avec leur fratrie, on observe une stabilisation du rang social ; chacun ayant trouvé une place dans la hiérarchie et l’acceptant, les bagarres se font rares. Les remises en question se terminent le plus souvent par l’adoption de mouvements ritualisés exprimant domination ou soumission. Ceux qui occupent un rang élevé ne se distinguent pas par leur force physique, mais surtout par la confiance qu’ils ont en eux et leur intelligence. Les parents, reconnus comme chefs de meute incontestés, continuent à exercer leur autorité. Le groupe parental se transforme peu à peu en meute dans laquelle les jeunes ont un rôle à jouer. Ils prennent notamment part à la défense territoriale et, sous la conduite de leurs aînés, ils chassent les intrus. Dans les conditions naturelles, le père organise beaucoup de jeux permettant ainsi à ses rejetons de parfaire leurs coordinations motrices (de nombreux jeux miment, par exemple, la chasse). Suite à la sélection artificielle, certains de nos chiens mâles ont perdu leur savoir faire avec les jeunes et s’en désintéressent ; d’autres continuent à remplir leur tâche. Contrairement aux louveteaux qui ne quittent la meute que vers 17-20 mois (certains y restent toute leur vie), les chiens retournés à l’état sauvage peuvent devenir indépendants déjà vers l’âge de 4 mois, mais peu d’entre eux parviennent à l’âge adulte. Selon certains auteurs, entre 4 et 6 mois, le chien traverserait une nouvelle période sensible au cours de laquelle il serait fortement influencé par des événements traumatisants. Il en serait de même, selon Fox, pour les louveteaux qui, au même âge deviennent tout à coup très peureux face à de nouveaux stimuli et des personnes étrangères ; cette crainte a pour corollaire le renforcement de l’attachement envers les membres de la meute. L’intensité et la durée de ces réactions semblent dépendre du lieu : elles sont, par exemple, plus importantes dans un milieu familier que dans un environnement non familier. Dans la famille humaine, le chiot commence donc à s’attacher à des personnes particulières et à montrer ses premières réactions de peur à l’égard de certains étrangers. Bien que les capacités d’apprentissage des chiots soient rapides, il est totalement déconseillé de leur faire exécuter des tâches difficiles car ils ont encore tendance à s’exciter pour un rien et ont de la peine à maintenir une attention soutenue pendant de longues périodes. La puberté : Il est encore plus difficile de fixer les dates limites de ce stade, car l’âge de la puberté diffère grandement en fonction des races et des individus ; en général, plus les races sont de grande taille, plus la puberté apparaît tardivement. Elle coïncide avec les premières chaleurs des femelles et se décèle chez les mâles au moment où ils commencent à lever la patte. Chez ces derniers, elle est associée à la sécrétion de la testostérone qui atteint son pic maximum vers l’âge de 10 mois, avant de se stabiliser à un niveau inférieur. Au cours de cette période (quelquefois déjà au cours du stade précédent), divers changements comportementaux dus aux modifications hormonales deviennent évidents. Tout comme chez nos adolescents, certains sujets y sont plus sensibles que d’autres. C’est une période difficile pour les propriétaires : certains chiens ont tendance à désobéir, à devenir sourds aux ordres et capricieux ; d’autres sont très agités et prennent la poudre d’escampette à la moindre occasion. Quelques mâles semblent perdre toute notion de propreté et se mettent à lever la patte dans la maison. Les fortes têtes essayent même parfois de se rebiffer en grognant ou montrant les dents envers leurs maîtres bien aimés. Notre chien qui se montrait si amical envers ses congénères de même sexe se met soudain à les grogner et se trouve lui-même parfois confronté à l’agressivité de ces derniers qui le considèrent désormais comme un rival potentiel. Diverses observations montrent qu’il en est de même dans la meute : les adultes se montrent de plus en plus sévères envers les jeunes et cherchent souvent à les repousser en marge du groupe. Les leaders réaffirment leur autorité en soumettant sans cesse les adolescents, et plus particulièrement les « petits chefs ». En cas de conflit, ils attendent que ces derniers utilisent les rituels d’apaisement et de soumission. C’est leur manière de leur inculquer les lois hiérarchiques et de leur montrer qu’ils ne sont pas encore prêts à les supplanter. C’est également un processus qui permet aux chiots d’acquérir une certaine indépendance, de se détacher de leurs parents et de devenir des adultes à part entière. Ces modifications comportementales -qui pourraient faire penser que notre chien a perdu toutes les bonnes manières que nous lui avons inculquées- disparaissent généralement aussi vite qu’elles sont apparues, pour autant que les humains sachent y répondre correctement, c’est-à-dire se montrent de réels chefs de meute, seule manière de stabiliser l’animal. Dans des conditions naturelles, les jeunes peuvent évacuer leur trop plein d’énergie en participant pleinement à la vie de la meute : chasses, déplacements, défense territoriale... Essayons d’imiter cette manière de faire en faisant participer nos ados canins à diverses activités, de grandes promenades, des jeux… Cela ne peut que les aider à traverser cette difficile période. L’âge adulte : L’atteinte de l’âge adulte ne signifie aucunement que tout est joué ; de nombreuses observations montrent que le tempérament de notre compagnon à quatre pattes peut encore se modifier, principalement chez les grandes races dont le développement est lent. En prenant de l’âge, nos chiens acquièrent de plus en plus de maturité et deviennent de moins en moins excitables. Tous continuent à apprendre plein de choses -ils le feront tout au long de leur vie- et à s’adapter aux changements environnementaux. Il n’est, par exemple, pas rare que le transfert dans un milieu différent puisse modifier totalement le comportement de l’animal et fasse disparaître comme par magie les problèmes de comportement qui semblaient impossibles à résoudre. C’est au cours de ce stade, généralement entre 18 et 36 mois, que le chien atteint sa maturité sociale (correspondant à 25-30 ans chez les humains), âge auquel il pourrait éventuellement « songer » à prendre la tête de la meute dans des conditions naturelles. Si le chien a acquis un haut rang dans le hiérarchie familiale, il est possible et même normal en fonction des codes canins, différents des codes humains, qu’il se montre agressif lorsqu’il revendique l’un de ses droits qui n’a pas été respecté. Rappelez-vous qu’un chef ne reçoit d’ordres de personne et qu’il considère ces derniers comme des remises en question de son autorité. Dans la nature, un chien ayant du tempérament, mais n’arrivant pas à détrôner le chef va quitter la meute pour en fonder ne nouvelle, ce qu’il lui est impossible de faire dans un environnement humain. Cependant, il est rassurant de savoir que dans la meute, le chef peut perdre le pouvoir à tout moment : il suffit qu’il se trouve confronté à un animal plus déterminé que lui ; aussi, votre chien peut-il dégringoler les échelons dès que vous lui aurez montré que vous êtes pleinement capable d’assumer le premier rôle. Et heureusement pour nous, mais il est utile de le rappeler pour certains, être chef ne signifie pas s’imposer par la force, « casser le caractère du chien », mais plutôt se montrer sûr de soi, prendre toutes les décisions, en un mot : diriger. Le vieil âge : Malheureusement, le chien vieillit plus vite que nous; les chiens de grande race plus vite que ceux de petite race. Déjà vers l'âge de 8 ans, certains sujets peuvent présenter des signes de vieillesse. Bien que certains perdent peu à peu le vue, l'ouïe ou l'odorat, ils peuvent cependant continuer à mener une vie agréable pour autant que l'on prenne certaines précautions. Pour un chien aveugle, il faudrait éviter de faire trop de modifications dans l'environnement; comme déplacer les meubles. En cas de surdité, apprenez à votre chien à obéir à vos gestes et éviter de vous approcher brusquement de lui quand il est endormi, surpris, il pourrait vous mordre sans savoir à qui il a à faire. En vieillissant, certains animaux souffrent de troubles ressemblant à la maladie d'Alzheimer: ils modifient leur rythme de sommeil, semblent perdu dans l'espace, n'arrivent plus à enregistrer de nouvelles données... Parlez-en à votre vétérinaire, il existe des médicaments ainsi que des compléments alimentaires qui peuvent les aider.
  13. Une introduction au langage corporel de chiens, comment lire les messages qu'ils tentent de nous transmettre, les incompréhensions habituelles et leurs explications, aide pour comprendre et observer comment les chiens 'parlent' entre eux. Nous parlons à nos chiens beaucoup, et souvent, on dirait qu'ils comprennent. Certaines familles se voient obligées d'épeler des mots comme " biscuit ", " promenade ", " balle " car leur compagnon en connaît trop bien la signification! D'autres fois, on aimerait tellement expliquer à notre chien d'arrêter de nous sauter dessus, mais il ne veut rien comprendre. Pourquoi ces différences? Si nous parlons à nos chiens notre langue humaine qui est surtout vocale, le chien, lui, nous parle constamment dans sa langue, mais est-il compris ? Bien qu'il utilise aussi des sons comme le jappement, le hurlement, le grognement ou le gémissement pour 'parler', la plupart de ses 'mots' sont des gestes. Humains, nous utilisons aussi beaucoup de signaux visuels mais nous sommes tellement habitués à la vocalisation, que nous ne nous rendons pas toujours compte de nos paroles gestuelles. Le chien, lui, perçoit nos signes et est souvent capable de deviner notre humeur et nos intentions par nos postures et mouvements. Il peut cependant facilement mal les interpréter. Quand on travaille avec un chien, il devient important d'être conscient de nos mouvements et bien lire les siens. Si on arrive à se maîtriser et apprendre un peu à utiliser les bons gestes, notre compagnon se sentira mieux avec nous, un peu comme avec un interprète à l'étranger! Pour celui qui sait observer et veut apprendre, toute une langue reste à découvrir… Les chiens sont des animaux sociables et ont développé un langage bien à eux que l'on commence seulement a décoder par petits morceaux Ils utilisent toute une collection de gestes et signaux servant a éviter une bagarre, dire qu'on est amis et faire la paix. Ceci leur sert bien quand des combats inutiles pourraient éclater et nuire à la survie et au bon fonctionnement d'une meute. Ces gestes sont utilisés entre 2 chiens qui se rencontrent et entre votre chien et humain, chat, vache... Malheureusement, l'humain ne les comprend pas souvent et le chien le trouve impoli ou même dangereux. Encore pire, il arrive que ces signaux sont mal interprétés et punis! Que pense alors le pauvre chien de notre espèce? Heureusement pour nous, les chiens pardonnent comme aucune autre créature, donc il nous est souvent possible d'apprendre de nos erreurs et de redonner confiance en nous à notre ami. Voyons comment les chiens parlent entre eux. Ils sont de très bons observateurs de chiens comme d'humains : ils commencent par reconnaître la posture en général- droite et assurée, détendue ou tendue, démarche aisée ou dos courbé et posture incertaine? Ensuite, on s'occupe des gestes individuels et expressions faciales : gestes saccadés ou fluides, agressant ou peureux? Visage tendu et rigide ou souriant ? Nous n'y pensons pas toujours, mais pour beaucoup de ces signaux la signification est pareille pour notre chien que pour nous : Un étranger qui avance rigidement droit vers nous avec un visage et corps tendu est épeurant ou au moins alarmant. Même histoire pour le chien. Sauf que le chien est beaucoup plus conscient et respectueux de ces gestes. Turid Rugaas de Norvège, une observatrice exceptionnelle de chiens a écrit un petit livret accompagné d'un vidéo traduit en Anglais : " On Talking Terms with Dogs : Calming Signals ". C'est l'ouvrage le plus intelligent sur les chiens que j'ai eu la chance de lire. Je le recommande à chacun qui aime les chiens et peut se débrouiller en Anglais. Il parle de ce langage d'amitié qu'utilisent les chiens et que l'on peut tenter d'utiliser aussi : - Un chien amical n'ira pas en ligne droite approcher un étranger. Il est poli d'avancer en courbant un peu notre chemin. Si vous ne voulez pas apeurer un chien timide, faites comme un chien bien élevé, approchez-le en légère courbe (les chiens sont des bons observateurs, un subtile demi-cercle que tout humain normal ne percevra pas est suffisant) un peu de côté, jamais en ligne droite. Encouragez votre chien d'approcher de cette manière les autres chiens. Si vous vous promenez et rencontrez un autre toutou, donnez un peu de mou à vos laisses! Laissez les chiens s'approcher de côté et se renifler les derrières : c'est la façon polie de dire bonjour pour eux (et d'emmêler le laisses autant que possible!). Si vous tenez la laisse courte et laissez seulement leurs bouts des nez se rencontrer, vous obligez les chiens d'assumer une position qui peut être vue comme provocatrice ou agressante entre eux. Il en va de même quand on apprend au chien le " viens ". Il faut aller doucement et ne pas intimider le chien si on veut lui apprendre de trotter vers nous sans hésitation en ligne droite- si le chien est un peu incertain, il fera des courbes et nous évitera un peu, non pour désobéir mais parce que c'est la chose respectueuse à faire. - Le regard fixé sur nous, les yeux grands ouverts qui ne clignent pas peuvent nous donner des frissons. La même chose pour notre chien! Si un chien vous regarde de cette façon c'est que soit il veut vous manger pour souper, soit il veut vous attaquer. Un chien pacifique clignera des yeux, ou gardera ses paupières mi-closes détendues, ou détournera son regard et même toute sa tête de vous. Tout ça pour dire qu'il ne vous veut aucun mal. Donc, la prochaine fois que vous entraînez votre chien et celui-ci refuse de vous regarder, pensez à relaxer. Peut-être est-il seulement un peu intimidé car vous êtes tendu et ne veut pas de conflits? Si vous travaillez avec votre chien et vous le regardez droit dans les yeux, clignez et vous pourriez être agréablement surpris qu'il vous réponde! Vous pouvez utiliser ces signaux en cas de pépins: si un chien vous aboie après détournez le regard, tournez la tête de côté. Ne regardez jamais un chien dans les yeux dans ces cas-là! Il pourrait penser que vous le provoquez. Si vous rencontrez un chien qui a l'air méchant, détournez le regard, avancez lentement de côté et faites une courbe en passant. Vous pouvez bâiller et vous passer la langue sur les lèvres aussi! - Quand un chien se sent un peu impressionné par un autre chien qui joue trop fort ou lui court après, ou par un humain qui se fâche ou le serre dans ses bras, il peut utiliser plusieurs signaux pour faire la paix et détendre l'atmosphère. Le signal le plus fort est le bâillement. Bien sûr, votre chien baille quand il se réveille, mais il peut aussi le faire en pleine leçon d'obéissance: Il ne le fait pas pour dire que vous l'ennuyez ! Il essaye seulement de détendre l'atmosphère donc : respirez, détendez-vous et demandez-lui un commandement plus facile que votre chien réussit bien puis félicitez-le. Arrêtez de stresser votre compagnon et surtout ne le punissez pas pour se moquer de vous ! - Un autre signal que votre ami utilise pour vous détendre (ou un autre chien) est renifler parterre. Bien sûr, les chiens adorent suivre des pistes de leur nez, mais selon le contexte, ils peuvent aussi le faire pour dissiper les tensions sociales. Mon chien marche au pied près de moi quand un gros camion a déneigement passe. Avec tout le bruit que ça fait, mon chien met son nez parterre et sniffe tout en marchant pour signaler à ce gros monstre que ça va, lui, il ne fait rien de mal, pas obligé de se fâcher! Il le fera aussi si un autre chien paraît un peu trop énervé. Donc, si vous pratiquez la marche au pied, soyez gentils et tentez de discerner quand votre chien devra être corrigé car il perd son attention et commence à suivre une piste, et quand il renifle le sol en passant car vous ou un passant l'inquiètent un peu. - Les chiens peuvent aussi se gratter ou se secouer pour les mêmes raisons. A vous de juger selon le contexte, est-ce que votre chien à un picotement ou s'il fait une pause car il sent son environnement (vous, d'autres gens ou chiens) tendus. On peut parfois observer comment un chien fonce vers un autre, celui-ci renifle par terre pour le calmer, et le premier se secoue comme pour s'enlever la tension, puis ils continuent en paix. - Un chien se lèche les babines pour se lécher les babines, mais de temps à autre aussi pour dire qu'il a des intentions d'amitié. Des petits chiots qui lèchent la gueule de leur mère, les chiens qui nous lèchent les mains, ce sont des signaux que l'on comprend bien. Nos compagnons peuvent parfois être plus subtils et seulement passer la langue sur leur lèvres ou nez. On peut faire pareil pour dire à un chien que nous sommes en paix et ne voulons pas le provoquer. - Vous pouvez observer dans un parc à chien qu'un chien court après un autre, puis soudainement, le poursuivi se couche et la chasse freine. S'asseoir ou se coucher comme ça est encore une fois un signal que l'on aimerait ralentir un peu et détendre tout le monde, une sorte de 'timeout'. Si l'autre chien comprend et est poli, il ralentit. - Le signe d'amitié le plus joli et le plus facile à reconnaître est sans doute l'invitation au jeu. C'est la posture que prend le chien quand il étire ses pattes devant par en avant, penche toute sa moitié avant par terre, tandis que ses fesses et sa queue reste dans l'air. Si vous voyez deux chiens se chamailler au parc, puis un prend cette position et ils recommencent, tout va bien! C'est un geste qui veut dire " ne me prend pas au sérieux, on joue! ". Tous ces signaux peuvent être plus subtils ou plus exagérés. Avec l'expérience, vous distinguerez chez votre chien de plus en plus ces messages. Essayez de les observer et de les utiliser quand vous aimerez lui dire que vous êtes copains. Votre chien peut s'étonner au début qu'après toutes ces années vous vous décidez finalement de parler d'une manière plus compréhensible, mais il sera bien content ! En observant plus soigneusement, vous serez en mesure de mieux comprendre quand votre chien fait juste à sa tête, et quand il est nerveux et aurait besoin d'un petit réconfort de votre part. Le travail est loin d'être terminé. Que veut dire un chien quand il fait exprès d'éternuer? J'ai observé ce signe chez plusieurs chiens dont beaucoup semblent l'utiliser dans un contexte similaire à mon chien : je lui demande de faire quelque chose qu'il n'a pas envie, quand finalement, il voit que je suis entêtée et décide de coopérer, il éternue puis s'active. Que veut-il dire exactement??? En tout cas, quand je le vois éternuer je suis soulagée: je sais qu'il sera parfait ! Observer attentivement peut vous être utile partout: à la maison, dans la rue, en visite, ou au parc à chien. Vous pouvez ainsi mieux juger quand séparer des chiens qui n'arrivent pas à se calmer. Si vous voyez un chien donner des messages à un autre qu'il aimerait ralentir et se détendre mais que ses signaux ne fonctionnent pas, il serait suggéré de séparer ces chiens pour éviter bagarres et angoisses inutiles. Il faudra apprendre au deuxième chien de rester plus poli et respecter ces avertissements. Certains chiens ont été séparés trop tôt de leur mère ou n'ont pas eu assez de contact avec différents chiens en grandissant et n'ont pas appris ce langage canin. Vous pouvez y remédier en l'exposant à des chiens bien élevés et le guidant. Vous lui permettrez ainsi d'apprendre tranquillement sa propre langue. Elle lui servira pour toutes situations sociales et il commencera à l'utiliser avec les chiens, chats, chevaux, camions et humains. A vous de tenter de le comprendre ! Article écrit par Zuzanna Kubica
  14. Profession : masseur pour chiens Le massage a les mêmes effets que pour les hommes : il détend et relaxe BRUXELLES La vie au quotidien engendre régulièrement pour le chien certains stress et provoque de la tension physique. Vous ne vous en rendez peut-être pas compte mais le chien aussi subit son lot de crispations ! Sans verser dans l’anthropomorphisme car le chien est loin de percevoir le finesse des situations comme son maître, il perçoit néanmoins parfaitement les tensions et le malaise de ce dernier dans certaines situations difficiles et prend pour lui son compte de tensions ! Une solution peut être adoptée : le massage pour le chien ! De manière générale, le massage a les mêmes effets que pour les hommes : il détend et relaxe. Le massage canin ressemble en fait en tout point au massage humain, il sert à activer la circulation du sang et de la lymphe dans un premier temps. Le massage peut également être un bon vecteur de soulagement de douleurs musculaires et articulaires. Il permet de rééquilibrer les différents organes du corps. Après une intervention chirurgicale ou une blessure encourue par le chien, le massage réalisé, stimulant la circulation sanguine, peut accélérer le processus de la guérison ! Enfin, l’une des vertus non négligeables de cette technique est également de minimiser les effets du stress... et ils peuvent être nombreux pour le chien ! Le massage est une technique utilisée pour tous les chiens qui travaillent. On citera notamment parmi les cibles privilégiées de cette technique spécifique, les chiens guides d’aveugles – en apprenant à leurs maîtres comment prodiguer de tels massages, une nouvelle relation de complicité s’établit entre l’homme et l’animal – chiens sauveteurs, chiens de traîneaux, chiens de chasse, chiens de bergers. Outre ces cibles spécifiques, le massage, de par ses vertus, peut également bénéficier aux chiens souffrant d’arthrose ou à ceux ayant subi une intervention chirurgicale. Les chiennes qui ont eu de lourdes portées peuvent également bénéficier du massage afin de recouvrer plus rapidement un statut physiologique correct. Les chiens qui sortent peu, les vieux chiens qui ne font pas d’exercice ou qui sortent peu seront également des cibles privilégiées du masseur ! Le massage pour le chien est une technique qui ne s’improvise pas. Elle ne remplace en aucun cas non plus les soins du vétérinaire : le masseur ne pose pas de diagnostic, il n’applique aucun traitement thérapeutique en tant que tel mais apporte simplement par les manipulations qu’il pratique un soulagement au chien dans des cas d’inconfort ! Le masseur aura donc à cœur de suivre un minimum de formation pour maîtriser d’une part les techniques de massage mais également pour s’assurer de maîtriser un minimum l’anatomie du chien, sa physiologie…. La connaissance de base de l’anatomie canine permet au futur masseur de bien maîtriser les divers points de pression sur le corps du chien. Des exercices pratiques et des mises en situation permettent les touchers sur des chiens de différentes races. L’étape ultime sera d’apprendre à travailler les étirements notamment dans les cas de travail sur les articulations. Le masseur doit à ce stade maîtriser ces gestes et leur dosage correct afin de ne pas entrer en conflit avec de potentiels traitements ou avec une gêne physique qu’il ne ferait qu’aggraver. C’est pourquoi il est toujours préférable d’avoir recours à l’avis du vétérinaire avant d’entamer la démarche auprès du masseur et même d’assurer un lien entre les deux professionnels de manière à œuvrer en bonne synergie dans l’intérêt du bien-être du chien concerné ! Depuis quelques années, la pratique du massage canin s’élargit et devient de plus en plus fréquente chez nous. Son application sur le chien apportera bénéfices et avantages aux conditions que le masseur sélectionné soit un minimum formé. Le lien avec le vétérinaire reste incontournable pour assurer l’avantage de la pratique de cette discipline douce : seul le vétérinaire reste apte à poser le diagnostic et à évaluer l’état du chien. Le Dr Bénédicte Flament Royal Canin Belux Source : http://www.dhnet.be/infos/societe/article/405903/profession-masseur-pour-chiens.html LE MASSAGE CANIN : détails et explications ICI : http://www.chien-education-elevage.com/massage-canin-normandie.php
  15. Prendre la décision de faire dormir son animal dans son panier, dans la chambre ou sur le lit avec soi n'est jamais un choix facile. Si beaucoup de maitre décident avant d'adopter un chien que celui-ci dormira nécessairement dans sa niche, ils sont également beaucoup à changer d'avis une fois l'animal arrivé. Alors, faut-il résister au regard triste de son compagnon poilu au moment d'aller dormir ? Au contraire, un chien peut-il dormir sur le lit sans aucun souci ? Oui, il est possible de dormir avec son animal ... La plupart des comportementalistes canins s’accordent à dire qu’il n’y a pas de contre-indications strictes pour dormir avec son chien. Parfois, le chien apporte une réelle présence à son maitre. Le chien permet de tenir compagnie à des personnes seules. L'animal peut apporter ainsi, dans certains cas, un réconfort et une présence. Il faut en revanche ne pas oublier de mettre en place dès le départ certaines conditions claires. La première est que la décision doit venir du maitre et non du chien. L’animal ne doit pas s’imposer et s’approprier le lit. ... mais il faut faire attention et respecter certaines règles d'hygiène ! Bien sûr, dormir avec son chien demandera de laver bien plus souvent les draps et de faire attention à l’hygiène. C’est d’ailleurs la première raison évoquée par les personnes qui ne souhaitent pas dormir avec leur animal de compagnie. Sachez qu’il est également possible que l’animal transmette des maladies (par léchages, par les puces, etc.). Ce sont des risques à prendre en compte lorsqu’on désire que le chien dorme dans le lit. C’est d’ailleurs pour ces raisons-là qu’il est fortement déconseillé qu’un chien dorme avec des enfants. Il faudra également faire attention à ce que le chien n’essaie pas de dominer. Il est d’ailleurs déconseillé de faire dormir sur le lit un chien avec un caractère dominant. Celui-ci prendra alors le lit comme son territoire et pourrait vouloir bientôt dominer, par exemple en prenant plus en plus de place sur le lit. Dans tous les cas, si vous avez bien mis en place des règles avec votre chien, vous pouvez le prendre sur votre lit et profitez des moments de complicités avec votre compagnon poilu. Enfin, veillez régulièrement à ce que votre chien respecte toujours vos décisions sans grogner, si vous désirez un jour que celui-ci dorme par terre (maladie, empêchement, voyage, etc.).
  16. Toufou

    Parler chien.

    C'est des extraits que j'ai trouvé dans un magazine "rustica pratique" hors serie 2012,il ne font pas mentions de l'auteur et du livre
  17. Prédateur : Le chien possède une vue qui perçoit principalement les mouvements et signaux visuels. Il les apprécie et les analyse pour adapter son comportement. Si ses pupilles ont un diamètre normal, votre chien et attentif. Si ses pupilles sont dilatées sont attention est vigilante. Si ses pupilles sont très dilatées l'animal perd le contrôle de ses émotions et il peut se montrer agressif. La position des oreilles : Est très révélatrice de son état. En position normale, il est calme, attentif à ce qui se passe. Si les pavillons auriculaires sont dresses en cornet, l'animal est en alerte, vigilant. Ses oreilles basses indiquent la soumission, l'acceptation d'un ordre. Lorsqu'elles sont plaquées en arrière : il se sent agressé, il à peur. Observez le faciès de votre animal : Si vous constatez que les muscles faciaux sont relâchés et qu'aucune expression n'est perceptible, votre chien attend, calme et impassible et il n'a aucune intention particulière. Bien que ne paraissant pas attentif, il analyse sereinement tout ce qui se passe autour de lui. Le bord externe des yeux : Et l’extrémité des babines de l'animal sont relevés, donnant l’impression qu'il sourit. Et si en plus il agite la queue, c'est qu'il manifeste son contentement. Si il adopte souvent cette posture, vous pouvez en déduire qu'il est de bonne humeur et satisfait des conditions de vie que vous lui procurez. En cas de tristesse : Comme après avoie été réprimandé, le bord externe des yeux et le bord des babines tombent. Inutile de s’inquiéter si ce type de comportement répond à une contrariété passagère. En revanche, si une attitude de tristesse persiste, que le chien est souvent prostré, il convient d'agir car elle révèle peut-être une maladie ou un état dépressif. Sourcils froncés : Babines relevées montrant ses crocs, avec des rides sur le chanfrein (dessus du museau), votre chien se montre menaçant, contrarié et en colère. Il signale par cette attitude qu'il va aboyer, devenir agressif ou même mordre. Quand un chien montre de tels signes de menace, on l'entend gronder. La queue du chien : Indique ses états émotionnels. S'il ne ressent pas d'émotion particulière, elle est souple et relâchée. Sur de lui, il adopte une posture haute avec la queue dressée. Heureux ou joyeux, il remue la queue. Mais la peur et la crainte entrainent une réaction de repli et le chien rentre la queue sous le ventre. Assez rarement il arrive que le chien ne remue pas la queue, comme s'il ne ressentait aucune joie. Cette situation est révélatrice d'un problème de santé. Un état dépressif ou d'une hyperthyroïdie (maladie hormonale) qui peuvent avoir des répercussions très importantes sur son humeur. Soigné, le chien recouvre ses facultés de communications. Une posture dominatrice : Se caractérise par un port de tête haut, des membres tendus, une queue dressée, des oreilles pointées vers l'avant. Cette posture prévient un congénère d'une attaque éventuelle. Si ce dernier refuse le conflit, il adoptera une posture de soumission : position basse et repliée, membres fléchis, tête rentrée, la queue sous le ventre et si besoin il ira jusqu'à ramper. Lorsqu'un chien se déplace avec une démarche sinueuse : Chaloupée et les membres fléchis, il indique qu'il est prêt à se soumettre. Souvent,l'animal prend cette posture d’allégeance lorsqu'il se sent dominé par son maître qui vient de le réprimander ou lorsque celui-ci le rappelle d'un ton trop autoritaire. Quand un chien invite un congénère : Ou son maître à jouer, il relève le train arrière, abaisse le train avant, remue la queue, aboie et arbore des mimiques joyeuses. Pour faire jouer votre chien, imitez sa posture : penchez un peu le buste vers l'avant en pliant les jambes et en tapant vos cuisses avec les mains, votre comportement sera reconnu par l'animal. Dans le langage canin : Courir au devant d'un congénère est interprété comme une agression. Quand un chien fait la fête, tout en se dirigeant joyeusement vers un individu, il adopte une posture basse pour signifier qu'il ne s agit pas d'une agression. Les oreilles plaquées en arrière, les membres fléchis, il remue la queue et tape ses pattes sur le sol comme s'il dansait. En s'allongeant sur le dos : Et en s'immobilisant, l'animal indique qu'il accepte la dominance et qu'il refuse la confrontation avec l'individu qui lui fait face. Cette posture également empruntée lorsqu'il a peur, inhibe l'agresseur, qui doit alors arrêter son attaque. Un animal désocialisé est celui qui est incapable d'adopter une telle posture. La désocialisation primaire : Est un trouble grave du comportement qui se manifeste par des agressions fréquentes et l’incapacité à prendre la posture de soumission face à un congénère ou à son maître. Ce trouble est du au fait que le chiot a été sevré trop prématurément, qu'il n'a pas été socialisé par sa mère et n'a pas appris à se soumettre. Pris en charge très tôt, il se soigne parfaitement. Un chien avançant lentement : Sur une trajectoire rectiligne sans hésitation, de façon régulière, avec un port de tête haut et le regard droit, induit le respect chez ses congénères. Par cette posture de dominant, il permet à un autre chien de se situer sur le plan hiérarchique par rapport à lui. Ce chien dominant adopte la même attitude lorsqu'il assure la garde. Un chien qui se recroqueville : Comme pour disparaitre sous terre en prenant l'attitude de ramper, la queue sous le ventre, marque un état de peur importante. Il peut alors réagir de diverses façon : s'inhiber, fuir, voire passer à l'agression. Le marquage urinaire : Allie chez le chien le marquage visuel (lever la patte) et le marquage olfactif (en déposant des phéromones). Il donne des informations au chien qui vient les renifler (mâle, femelle en chaleur ou non, et status hiérarchique). Plus l'animal lève la patte haut, plus il signale sa dominance aux congénères qui l'observent. Parfois, un autre marquage visuel mais également olfactif est effectué par le chien en grattant le sol, avec les pattes arrières, après avoir abandonné sont urine ou ses selles. Pour indiquer leur dominance, certains chiens déposent leurs selles en hauteur (le long d'un mur), en guise de marquage hiérarchique. Pendants les périodes de chaleur : Les chiennes peuvent également lever la patte pour effectuer un marquage urinaire. Ce marquage de la part de la femelle indique aux congénères qu 'elle est en période de reproduction active. Si un chien émet des plaintes : Et des gémissements associés à un regard triste et abattu, il peut signaler qu'il est malade. Mais il utilise parfois cette communication, ressemblant à un chantage affectif, pour apitoyer son maître et obtenir une caresse, une gourmandise,... La dermatite de léchage : Notamment des pattes, est d'origine comportementale. Des lésions ulcéreuses et une perte de poils sont possibles. Certains chiens sont sujets à ce comportement anxieux, sans doute dû à un enfermement dans un espace trop exigu ou au fait que l'animal est souvent seul.
  18. LE COMPTE DE PAULINE TIXHON A ETE PIRATE ( TILKA) SURTOUT NE PAS REPONDRE A SES PUBLICATIONS
  19. Toufou

    Bjrs a tous

    Merci de ton inscription et bienvenue à toi et à ton loup et à tout le monde. Comme tu as vu sur le forum( voir toutes les rubriques) nous sommes à la recherche de Familles d’Accueils et/ou définitive, de l'aide pour des covoiturages et tas d'autres choses. Sinon n’hésites pas à commenter, donner des idées et/ou des projets pour organiser des évènements, enfin tout ce qui te passes par la tête. Voila Merci encore pour ton inscription. Toufou (Jean)
  20. Un site rien que sur le B.A.R.F http://www.b-a-r-f.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1&Itemid=100096
  21. Bienvenue, Voila qui va completer notre brochette de "fan" et c'est une bonne chose d'avoir des membres dans le domaine médicale, on ne sait jamais Il faudra mettre des photos des loups. Toufou
  22. Je fait le suivi des annonces de FB sur g+ dès qu'elles sont publiées, pour l'instant je n'ais pas beaucoup de demande de renseignements ou de commentaires, je laisse allé et je verrais bien. Je vous tiens au courant. Etant sur twitter aussi, je met des messages aussi 3-4x/jours
  23. Ma promenade du soir avec Toufou est "généralement" calme,Si je rencontre plusieurs personnes il n'y a pas de problème, si je rencontre 1 seul personne, il a tendance a être un peu plus sur la défensive et est pret à grogner, je lui parle, je le calme, le caresse et voila il est tranquille. J'attribue çà au fait qu'une personne seul tard le soir est plus nerveuse, inquiete et çà le chien le sens et le mien est trés sensible à l'humeur des gens. Il aboie quand les gens font des gestes brusques quand ils sont nerveux, aussi quand les gens crient, se disputent. Quand on sonnent à la porte il fait wouf wouf, me montre la porte et se couche devant et se mettra toujours entre moi et la personne, si la personne est trop proche il grogne et attend que la personne recule de quelques pas et se couche. Son grognement est normal en tant que signal d'alarme et de protection du territoire et surtout du maître, (il est croisé Groenendael, c'est pas pour rien niveau chien de garde) Avec la présence d'autres chiens il leurs apprend ce qu'il fait quand il est à la maison, SA maison. Les chiens se transmette beaucoup d'infos quand ils sont ensemble. Je vois çà le jeudi quand je fait la promenade avec Nathalie, Kaloo et Jill dans les bois.Mon Toufou qui est un fan des écureuils, les chasse constamment, eh bien il montre a Jill comment faire et tout les deux vont à la poursuite des bestioles. Nathalie m'a dit que Jill n'avait jamais fait çà auparavant. Un peu de patience et de "reeducation" et le problème passera. Je ne m’inquiéterais pas trop. Je parlais avec d'autres personnes et elles m'ont toutes dit la même chose,les chiens sont très nerveux pour l'instant, ils ne tiennent pas en place.C'est sans doute le printemps qui les chatouilles
  24. J'ai crée le site Borderlinecollie sur Google+ ou g+ Si vous connaissez des gens qui l'utilisent n'hesitez pas à les contacter. Je l'ai fait ce soir et je commence à transferer les données avec photos de nos petits loups Avec une idée de notre Présidente Bien Aimée, j'ai fait une laisse pour chien que je la lui donnerais la prochaine fois que je la vois. Si elle a du succès, je ne demanderais que le prix coûtant du matériel, tout les bénéfices seront pour la trésorerie de l'assoc. La laisse pourras être faite en différentes couleurs si nécessaire. C'est cooooooooooool, non?
  25. Toufou

    DE STEPHANE, ESTIVE DE VENUS

    Je n'ai fait que tranmettre le message que j'ai recu de Stephane et que j'ai placé dans le "presentez-vous.." Vous devriez le contacter pour pouvoir le rencontrer. Toufou (Jean)
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