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elaphe361

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Tout ce qui a été posté par elaphe361

  1. elaphe361

    tout nos guttata

    jolie petite famille !!!
  2. superbe specimen . il promet de bien belle couleurs
  3. simpa la petite histoire . pour son comportement, rien d'alarmant si se n'ai le faite que chaque reptile a son propre caractere , le lampro a mon frere est aussi calme qu'une gutt et j'ai 2 gutts qui sont de vraies agrafeuse .
  4. je confirme ma presence pour le dimanche !!!!!!!
  5. superbe specimen !!!!!!!! vivement le prochain concours !!!!!!!!
  6. ou sinon les cables peuvent etre juste maintenu par des petits cavaliers . mais c'est moins bien fini
  7. je confirme que je serais present sans marcel rose mais avec des betes plein les bras !!!!!!! un mon bon reflex pour prendre les tofs . et booffy prends ton boxer rose fluo !!!! on te verras de loin
  8. que veut tu acheter comme gutt ??
  9. il te resteras plus qu'as tout regrouper tes photos pour les mettre a la suite comme un bon gros tuto pour creer sa propre piece !!!!!!!! felicitations en tout cas .
  10. peut etre pas top mais au moins cela peut concretiser quelques ventes
  11. je voulais savoir qui seras present a cette bourse de l'AFT ??? j'y serais peut etre si jamais j'ai quelques betes a emmener en vu d'une vente .
  12. elaphe361

    mes pantherophis

    tres jolis specimens !!!!!!!!!!!
  13. elaphe361

    scaleless

    mince , j'avais oublier que le sujet avait deja ete ouvert presque de la meme maniere . il me semblais qu'on en avait juste parler comme ça
  14. elaphe361

    scaleless

    je ne comptais pas rouvrir le debat si pour ou contre , mais seulement raconté l'histoire de cette phase par le biais de l'elevage colubia .
  15. elaphe361

    scaleless

    voici un petit article fort sympathique a propos de cette phase . l'eleveur est super sympa et vraiment passionné . Le phénomène "scaleless" Le terme "scaleless" signifie "sans écailles." Un Serpent sans écailles, est ce possible ? Comment peut-on immaginer tel handicap pour un Animal dont de fait de posséder des écailles sur tout le corps a permis qu'il partage notre planète depuis environ 140 millions d'années ? Pendant tout ce temps, ses écailles lui ont permis de se déplacer efficacement dans tout type de milieu et même dans l'eau (ce qui, sans membre ou nageoire n'était pas une évidence.) Elles sont aussi un précieux bouclier contre les blessures, morsures et autres attaques de parasites. Enfin, que dire du rôle des écailles dans l'organisation de la livrée garantissant le camouflage chez beaucoup d'espèces ? Finalement, sans ses précieuses écailles, notre Serpent n'aurait peut être pas su trouver sa place et la garder au sein de l'évolution des espècs ! Et pourtant, et pourtant... Un évènement bouleversant. Passionné par les Animaux et en particulier les Serpents depuis l'enfance, j'ai découvert la Terrariophilie à la fin des années quatre vingts. Je n'avais alors aucune intention de reproduire mes pensionnaires qui étaient des "coups de coeur" achetés en animalerie. Il faut dire aussi que, à cette époque, pour un simple amateur, le simple fait de parvenir à garder en captivité des Reptiles en bonne santé sur un long terme constituait déjà un beau défi. Mes premières naissances ne vinrent que bien plus tard, en 1998, avec une reproduction de Pythons royaux obtenue par hasard. A ce moment là je maintenais entre autres Pantherophis guttatus et Pantherophis emoryi qui étaient encore classées en sous-espèces du Serpent des blés. (On les nommait à l'époque "Elaphe guttata guttata" et "Elaphe guttata emoryi".) De l'union de deux de ces Couleuvres, une "guttata" et une "emoryi" vint une ponte dont beaucoup d'oeufs ne se développèrent pas. Rappelons que, à cette époque, mes Animaux n'étaient pas du tout préparés à la reproduction, tant sur le plan du nourrissage que de celui de l'hibernation, ce qui pouvait expliquer le résultat médiocre. Sur les trois seuls oeufs vivants en fin d'incubation, de bébés de type "emoryi" sortirent. Il restait donc un oeuf à eclore. Quatre jours passèrent. Puis, le soir du quatrième jour, jetant un rapide coup d'oeil à ma couveuse, je vis mon oeuf percé et une étrange tête qui en dépassait. Sur le moment, je n'y prétais que peu d'attention ; c'est le lendemain que j'allais avoir la surprise de ma vie... Lorsque, le lendemain matin, ce fameux 4 octobre 2002, je revins à ma couveuse, le Serpent n'était pas toujours sorti de son oeuf. Je l'observai de plus près et il me semblait étrange, avec son drôle de museau pâle. Je préssentais quelque chose de vraiment anormal mais il m'était impossible de savoir de quoi il s'agissait. Ce n'est qu'en fin d'après midi que, tenaillé par l'impatience, je craquai et décidai de le sortir de son oeuf. Je savais qu'il était déconseillé de le faire mais c'était plus fort que moi, je ne pouvais plus attendre. A l'aide d'une paire de ciseaux à ongles, j'agrandis la fissure faite par le Serpent, puis je fendis la coquille parcheminée sur presque toute sa longueur. Je me rendis compte que quelquechose clochait : le Serpent avait un aspect bizzare, comme s'il n'avait pas achevé son développement. Pourtant, il était bel et bien vivant et prêt à sortir ! Avec une infinie précaution, je le sortis de l'oeuf et j'eus un premier choc : ses couleurs et ses motifs étaient inhabituels. C'était difficile à décrire. Il y avait du jaune, du violet, du gris plus ou moins clair et tout cela avait tendance à se mélanger. Les tâches aussi étaient surprenantes : elles se rejoignaient entre elles, zigzaguaient et formaient parfois des lignes sur les flancs. Mais ce fut surtout ce museau bleu-ciel vif qui éveilla mon attention. La tête, elle, avait une teinte vert-bleuté avec des nuances violettes. J'étais fou de joie : comment pouvait-on espérer de telles couleurs sur une simple "Gutt" ? J'installai mon trésor dans une petite boîte plastique de type "Fauna box", valeureux ancètre de me actuelles boîtes d'élevage, avec du papier essuie tout et un petit ramequin d'eau. Un heure plus tard, je revins voir mon Serpent qui semblait s'être parfaitement remis de cette intervention. Il faisait très beau ce jour là et la luminosité de ma pièce était optimale. Je décidai de le manipuler une seconde fois. Je le pris délicatement dans mes mains et je me rendis près de la fenêtre afin de lieux en profiter. J'eus à ce moment précis le choc de ma vie : ce Serpent avait la peau nue. Erreur d'incubation ou mutation génétique ? Une fois mon calme retrouvé, je me mis en quête d'informations sur les Serpents nus. Beaucoup de questions me venaient à l'esprit. Ce Serpenteau était-il viable ? Y avait-il d'autres cas de Serpents nus dans le monde ? Etait-ce dû à une erreur d'incubation ou bien s'agissait-il d'une particuliarité d'origine génétique ? Et pourquoi pas les deux raisons combinées ? Curieusement, j'obtins assez rapidement certaines réponses. N'étant pas encore connecté à Internet à ce moment, je me tournais vers les quelques ouvrages que je possédais alors. Seul l'un d'entre eux, "Serpents" des Editions Artemis parlait de ce phénomène dans un chapitre nommé "Tératologie", écrit par Gilbert Matz. J'y appris que le phénomène "scaleless" était une mutation génétique récessive et qu'il avait déjà été rencontré chez différentes espèces comme Lampropeltis calligaster, Thamnophis SSP, Pantherophis obsoletus lindheimeri et ...Pantherophis guttatus. Par la suite, au cours de mes recherches sur Internet, je trouvai quelques rares photos montrant des Serpents nus appartenant à certaines des espèces précitées, ainsi que d'autres espèces, mais aucun Serpent des blés. Mes recherches s'orientèrent aussi sur des rapports scientifiques américains relativement complexes sur cette mutation. J'y appris que les premières "scaleless" avaient été trouvées dans le milieu naturel. Il s'agissait d'individus en nombre très limité des espèces Pituophis melanoleucus catenifer et Nerodia sipedon. Ces Animaux firent l'objet d'études scientifiques sur leur métabolisme. Selon ce qui m'avait été donné de comprendre, l'absence partielle d'écailles n'influait que très légèrement sur celui-ci, notamment en matière d'évaproration d'eau et d'échanges thermiques. Ainsi, l'absence d'écailles n'était aucunement incompatible à leur survie, même si cela devait les rendre plus fragiles et surtout plus repérables par les prédateurs. Il est d'ailleurs plus approprié de parler de "manque d'écailles" plutôt que d'absence proprement dite. En effet, à ce jour, toute "scaleless" possède un minimum d'écailles : - les écailles ventrales, - les écailles labiales et oculaires. De plus, des écailles sont souvent présentes (en nombre limité, parfois à l'état de traces) au milieu du dos et au niveau de la queue. Ces dernières sont d'ailleurs fort utiles pour l'heureux possésseur d'un Serpent nu car elles sont le plus souvent le seul lien visuel fiable avec l'espèce correspondante. *Remarque : les "scaleless" changent de peau comme n'importe quel autre Serpent. C'est tout logiquement une exuvie sans écailles que l'on retrouve à côté de l'Animal fraîchement mué. De même, les individus "scaleless" ont une peau "normale" constituée de couches externes et internes. En ce sens, certaines affirmations fantaisistes selon lesquelles ces Animaux souffrent d'avoir la peau "à vif" n'ont pas de sens. En un mot, la peau des "scaleless" est comparable à celle du Gecko Léopard dont le biotope originel et la facilité de maintenance tendent à montrer qu'un Reptile peut avoir la peau lisse sans que ce soit pour lui un handicap. Un avenir génétique ? Une fois mes premières craintes évaporées, notament en ce qui concerne la mue, je réalisai peu à peu la chance que j'avais eue, ainsi que le potentiel d'un tel Serpent (un petit mâle de surcroît.) Comblé par cette découverte, et assez fier il faut bien l'avouer, il m'était impensable de ne pas vouloir aller plus loin. L'année suivante, en reproduisant les mêmes parents, j'eus la joie de récolter deux autres "bébés scaleless" dans des conditions de reproduction mieux maîtrisées. Ils étaient de couleur différente. La femelle avait des tons gris-foncé et blancs (un peu à la manière d'une "anerythristic") avec le nez bleuté, tandis que le mâle possédait des teintes noires et jaune-orangé. Avec l'âge, la femelle devint brun-orangé avec des motif gris-foncé, toujours avec le museau bleuté. Le mâle, lui, devint totalement orange-vif et noir. Quant à mon premier spécimen, après être passé par différentes nuances, il finit par arborer une robe rose-orangé avec des tâches d'un noir soutenu. L'année 2004 fut un échec, probablement dû à un déménagement en début de saison de reproduction ou bien d'une mauvaise incubation. En 2005, je fus bien plus chanceux avec sept nouveaux bébés sans écailles dont la plupart possédait une robe rouge-clair avec des tâches plus ou moins cerclées de noir. En 2006, quatre autres virent le jour. En 2007, une quinzaine de bébés aux couleurs allant de l'ocre-jaune au rouge presque foncé en passant par diverses nuances de orange, et toujours avec des motifs variés. Et ainsi de suite les années suivantes... Ces naissances successives au sein d'une même lignée, puis, sur des lignées différentes attestent du caractère résolument génétique de ce phénomène. Il s'agirait bien là aussi d'un gène récessif puisqu'il y a des individus "scaleless" et "hétérozygotes scaleless." Même si le taux de fécondité de mes Serpents nus semble amoindri comparativement à d'autres phases (observations personnelles restant à confirmer), il n'en demeure que les indivdus "scaleless" produits au sein de mon élevage sont bien l'oeuvre de la génétique, vivent en parfaite santé apparente et sont tout à fait capables de donner descendance ! Si le nombre d'oeufs pondus semble inférieur à celui d'un classique Serpent des blés, c'est peut être tout naturellement la conséquence du croisement de ce dernier avec son proche cousin Pantherophis emoryi, bien moins prolifique. Il m'est à ce jour difficile d'établir des règles précises et durables quant aux modalités de fonctionnement du gène "scaleless" car, même après sept ans de vécu, j'estime ne pas avoir le recul nécessaire. A cet égard, je ne peux qu'émettre des hypothèses et des conclusions basées sur l'expérience sur cette espèce: - l'absence (ou plutôt le manque) d'écailles est le résultat d'un gène récessif ; il y a donc des "scaleless" et des "hétérozygotes scaleless" ; - les bébés "scaleless" n'ont apparament pas plus de problèmes de santé que les autres Serpents ; - cette mutation se rencontre chez les deux sexes ; - les deux sexes sont fertiles ; - cette mutation se transmet sur différentes lignées ; - ce gène peut se combiner avec d'autres gènes (l'avenir nous dira si tous les gènes connus à ce jour peuvent se conjuguer avec lui) ; - tous mes Serpents nus sont issus d'accouplment "scaleless X hétéro scaleless" ou bien "hétéro scaleless X hétéro scaleless". Les premières pontes "scaleless X scaleless" ont eu lieu cette année. Placées en couveuse elles devraient éclore dans quelques semaines... - le nom officiel des Serpents nus issus de mon élevage est "Pantherophis guttatus SP scaleless" car la souche première est le fruit du croisement entre Pantherophis guttatus et Pantherophis emoryi. Ce ne sont donc pas de "purs" Serpents des bés mais on ne peut pas tout à fat les considérer comme des hybrides "purs et durs" à l'image des "Jungle corn" (Pantherophis guttatus X Lampropeltis SSP.) Il serait vrissemblablement plus appropriés des les considérer comme des "ex-intergrades", à l'instar des phases "creamsicle", "rootbeer" et autres "cinamon". Néanmoins, si certains "puristes" tiennent à classer ces Serpents et leur descendance "guttisée" au rang des hybrides, cela se respecte au vu de l'actuelle taxonomie qui définit Pantherophis guttatus et Pantherophis emoryi en deux espèces distinctes. Laissons leur ainsi cette liberté. Conclusion Non seulement les Serpents nus existent, mais certains d'entre eux sont parfaitement capables de vivre et de se reproduire en captivité. Avec l'arrivée de tels Animaux dans les bacs des passionnés, l'élevage du Serpent des blés pourrait bien pendre une nouvelle dimension car ce gène révolutionnaire est encore bien loin de nous avoir livré tous ses secrets. "Parions que dans l'immense casino de la génétique, cette mutation aussi surprenante que fabuleuse constitue une nouvelle donne, où chaque carte tirée mènera assurément son joueur au coup de poker." source : http://colubia.over-blog.com/
  16. l'hypo plasma est terrible !!!!!!!!!
  17. t'as eu raison, c'est sympa les pogo !!!!!!!!!!
  18. elaphe361

    ma gut ====> RIZAL

    si la gutt remue la gutt c'est un signe de stress . etant donné qu'elle a la gueule occupé par la bouffe, elle ne peut pas taper . donc dissuade en fretillant sa queue sur les feuilles mortes ( en milieu naturel) afin d'imité le son du crotal et faire fuir son agresseur potentiel .
  19. si elle te plais tant, elle est a vendre !!!!!!!!!!
  20. Pour quel age? elle as 6 ans et mange entre 2 a 3 souris adulte par repas toutes les 2 semaines
  21. Merci pour l'info Et pour taper dans les plus grand, y en a t'ils qui se démarque? mon emory a un tres beau gabarit, elle doit bien avoisiné les 1m50 sans soucis .
  22. voici les photos des participants : davshot : pierre et justine : LoDjO : elaphe36 : voila reste plus qu'a voter !!!!
  23. je pense les faire debuter ce week end . pour que tout le monde vote a partir de lundi .
  24. elaphe361

    Repas...

    jolis clichés !!!! tu les nourris toujours comme ça ??
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