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Tout ce qui a été posté par Silbury
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Chez nous, nous n'avons pas ce soucis avec Revenge qui mange un aliment élevage à 17% de protéine en période de monte afin de rester bien en état. Cela ne change pas son comportement et il ne chauffe pas, mais c'est une chance j'en conviens! Pour mon étalon arabe, cela n'était pas aussi simple car comme le tien il perdait beaucoup ses rondeurs et chauffait trop si je lui donnais un aliment très riche après avoir à peu près tout essayé nous avons finis par lui élaborer une ration "ménagère" avec de 3/4 orge aplatie 1/4 maïs concassé (en augmentant le maïs au besoin), on y ajoutait un verre de son, un verre de luzerne déshydratée sous forme de granulés et environ 50ml d'huile style isio4 + une petite poignée de sel de l'himalaya. Nous l'avons ainsi tenu en superbe état toute sa vie sans qu'il ne devienne trop chaud ou ne s'amaigrisse.
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Comme je te comprends!! nous on a mis 4 ans avant de se décider à sauter le pas, au début on voulait rester dans notre région mais le temps passant je ne supportais plus du tout la mentalité de chez nous. Aujourd'hui je me sens vraiment bretonne de coeur dans cette région qui nous a accueillit à bras ouvert avec tant de gentillesse et simplicité. C'est sur que ça change de salaire avec genève (concrêtement trois fois moins pour Nic!!) mais la vie est largement plus que trois fois moins chère ici donc on vit avec beaucoup moins mais beaucoup mieux! De toute façon en région genevoise, à moins de ne s'endetter sur 80 ans ou d'être née avec la cuillière en argent dans la bouche : impossible d'avoir des terres à soit... Et puis quand j'entends mon Papa me raconter qu'il y a eût des attaques à main armée sur Douvaine, ben franchement ça donne les frissons...notre belle région semble pourrir de plus en plus à cause de l'argent...quel dommage Je te souhaite bonne chance dans tes projets et espère que tu trouveras la même douceur de vivre que nous avons ici à Silbury
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il me semblait bien que c'était chez eux!!! on les connaît depuis une petite dizaine d'année à l'époque où le grand et beau manège n'existait pas!! ce sont des gens adorables et serviables tu leur fera un gros bisou de la part de Stéph & Nic! Nous on vivait à Loisin. Nicolas est genevois et moi je suis chablaisienne "pure souche" née à Annemasse mais toute ma famille vit entre Sciez et Excenevex. On louait des terres sur Douvaine mais on souffrait beaucoup de ne pas avoir nos doudous à la maison, ce pourquoi nous sommes partis! Et franchement on regrette pas, la vie est bien plus douce et facile en bretagne
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Après une semaine de réflexion intense (c'est que j'ai tourné et retourné ça dans ma tête un bon million de fois ), nous avons décidés que Samouraï resterait à la maison comme futur étalon aux côtés de Revenge! Il est homozygote gène tobiano, je sais pas encore pour le gène black car les crins partiront que lundi donc à suivre mais une chance sur deux qu'il soit homozygote aussi sur ce gène. Sont sympas chez Silbury mais ils vendent jamais leurs poulains! [img][/img] [img][/img] [img][/img] [img][/img] j'ADORE ses p'tites z'oreilles!!! une blanche/une noire, ça m'éclate!! [img][/img] [img][/img] Un mental de chamallow....
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Hello! Petite parenthèse pour ne pas être déçue sur un mariage : être homozygote sur le gène noir ne veut rien dire si l'on ne connaît pas le gène Agouti du dit cheval Un cheval HOMOZYGOTE BLACK peut très bien NE JAMAIS produire de noir selon son gène Agouti, c'est vraiment important d'associer toujours les deux car cela peut tout changer! Afin d'être certain à 100% d'obtenir une robe Black, il faut outre un cheval homozygote sur le gène black EE que les deux parents soient en plus non agouti soit aa.
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Je vous fais un copier-coller de cet article sur les sarcoïdes que j'ai trouvé très intéressant. "Sarcoïdes équins Les sarcoïdes sont des tumeurs cutanées non métastatiques. Elles sont généralement petites, circulaires mais envahissantes et récidivantes. Elles constituent les néoplasies les plus fréquentes chez le Cheval, l'Ane et le Mulet. A l'autopsie, 20% de l'ensemble des tumeurs équines sont des sarcoïdes. Dans une enquête des universités de Berne et de Zurich, 90% des tumeurs cutanées équines sont des sarcoïdes (de 2,0 à 1,5% des cas cliniques équins). Le taux de morbidité estimé aux Etats-Unis est de 6p.1000 (0,7% des cas cliniques équins à Cornell et dans l'Ohio). Ces tumeurs sont sans conséquences pour la vie de l'animal. Elles ont des répercussions principalement économiques (dévaluation esthétique de l'animal) et matérielles (impossibilité d'employer le cheval normalement, du fait de leur localisation fréquente au passage de la sangle ou de la bride). Actuellement, aucun traitement n'est satisfaisant, aucun ne garanti réellement l'absence de récidive après thérapie. Les tumeurs sarcoïdes apparaissent en un point quelconque du corps, isolées ou en groupe. La tête, l'encolure, la face ventrale de l'abdomen et les parties distales des membres sont les plus souvent affectés. La localisation des tumeurs semble dépendre du climat : sous les climats nordiques les tumeurs sont préférentiellement situées sur la tête et l'abdomen alors que sous les climats chauds se sont les membres qui sont le plus fréquemment atteints. L'apparence morphologique du sarcoïde est très variée. Ainsi d'après cette apparence ces tumeurs peuvent être divisée en quatre catégories : verruqueuses, fibroblastiques, mixtes verruqueuse et fibroblastique et planes. Les tumeurs sarcoïdes se présentent classiquement comme un épaississement dermique linéaire ou focal, de couleur claire et de consistance ferme due à la prolifération fibroblastique et à sa relative pauvreté en capillaires sanguins. Ces tumeurs sont recouvertes d'un épiderme d'aspect et de consistance variés. Il est plus ou moins épais, rugueux, hyperkératosé et ulcéré. Dans un petit nombre de cas, les sarcoïdes apparaissent comme des masses dermiques sous cutanées mobiles recouvertes d'un épiderme normal et intact. Bien que l'apparence morphologique du sarcoïde soit relativement caractéristique et permette de le différencier des autres néoplasmes dermiques équins, une confirmation histologique est souvent nécessaire pour le distinguer d'un tissu de granulation exubérant, lui-même pouvant fréquemment masquer un sarcoïde en cas d'ulcération, ou bien encore d'autres rares tumeurs mésenchymateuses, l'habronématose ou des granulomes infectieux ou non infectieux. Le diagnostic histologique est fondé sur l'observation d'une prolifération fibroblastique pauvrement vascularisée, de densité cellulaire variant de modérée à forte. En général les tumeurs sarcoïdes s'observent pour la première fois chez des animaux âgés 3 et 6 ans, rarement chez des yearlings. Chez le Cheval ni la couleur de la robe, ni le sexe ne semblent intervenir dans la prédisposition. En revanche, chez l'Ane, l'âge et le sexe semblent être des facteurs prédisposants, les jeunes mâles présentent plus fréquemment ces tumeurs que les ânesses. Association entre papillomavirus et tumeur sarcoïdes équine L'inoculation intradermique à un cheval d'extrait acellulaire de tumeur cutanée bovine contenant du papillomavirus bovin (BPV) provoque des lésions qui ressemblent, macroscopiquement et histologiquement, à une tumeur sarcoïde. Ceci fait penser à une origine infectieuse de la tumeur, cependant il est souvent difficile de transmettre la tumeur par inoculation d'extraits de sarcoïde naturel d'un cheval, à un autre. La tumeur provoquée par le BPV chez le Cheval régresse spontanément progressivement en induisant des anticorps sériques spécifiques du virus chez l'équidé. Lors de tumeur "naturelle", qui régresse aussi parfois, mais rarement, on ne retrouve jamais d'anticorps vis à vis du BPV chez les chevaux. De même les tentatives de retrouver des particules virales dans les sarcoïdes naturels équins, en microscopie électronique comme en recherche immunologique, ont toujours été vaines. L'origine infectieuse soulève de nombreuses questions qui restent encore sans réponse. Si un virus est indispensable au développement du sarcoïde, comment ce virus est-il transmis naturellement dans l'environnement ? Comment expliquer la faible incidence d'une tumeur qui serait d'origine infectieuse ? Est-ce le BPV ou un virus voisin qui entre dans l'étiologie de cette tumeur ? Cependant, les techniques de biologie moléculaires semblent confirmer cette origine infectieuse. Elles ont démontré que l'ADN du BPV, ou d'un virus très proche, était présent dans le sarcoïde. La PCR identifie la présence du BVP uniquement dans les lésions sarcoïde et non dans les tissus sains de l'animal. Pour certains auteurs la PCR pourrait même être la technique de référence pour le diagnostic du sarcoïde. De plus le BVP peut transformer, in vitro, des fibroblastes équins. Ainsi, l'étiologie du sarcoïde est la résultante d'une interaction complexe entre le virus, le cheval et son environnement. Prédisposition génétique aux tumeurs sarcoïdes équines Si le sarcoïde existe chez toutes les races équines, il y est présent avec des fréquences différentes entre races. Ainsi les Quarter Horses ont deux fois plus de probabilité de développer la tumeur que les Pur-sang. Les Trotteurs ont moins de risques de présenter la tumeur que l'ensemble des autres chevaux. De nombreux cas familiaux de sarcoïdes ont été rapportés. Ainsi, on a mis en évidence une association entre la prédisposition au sarcoïde et l'allèle ELA W13 du complexe majeur d'histocompatibilité de classe II (MHC), dans des populations équines de plusieurs races. Le MHC est un ensemble de gènes retrouvé chez tous les animaux qui code pour les protéines intervenant dans la réponse immunitaire ainsi que pour les protéines de la synthèse du complément. Les protéines de la réponse immunitaire sont présentes à la surface des cellules nucléées, elles sont responsables de la présentation des antigènes étrangers au système immunitaire. Ces protéines sont elles-mêmes antigéniques, ce sont elles qui provoquent les fortes réactions de rejet lors de transplantation d'un organe d'un individu chez un autre individu. Les gènes de classe II du MHC qui sont impliqués dans la prédisposition au sarcoïde, codent pour des protéines trouvées à la surface des lymphocytes et des macrophages qui sont des récepteurs pour les antigènes étrangers. Ces récepteurs sont responsables de la présentation des antigènes liés aux cellules immunitaires. Cependant tous les chevaux possédant l'allèle W13 ne développeront pas un sarcoïde mais la fréquence de l'allèle W13 chez les chevaux atteints de sarcoïde est élevée ce qui semble indiquer que cette présence est un facteur de risque. D'autres études réalisées dans des familles informatives et dans des groupes important de demi-frères, ont montré que les halotypes ELA ségrégent comme la prédisposition au sarcoïde. Une association similaire entre les gènes MHC de classe II et le développement d'une tumeur induite par le papillomavirus de Shope a été décrite chez le Lapin. De même, il a été démontré, chez la Femme, que les risques de carcinome des cellules squameuses du col de l'utérus induit par un papillomavirus étaient plus importants lorsqu'elle était porteuse de l'allèle HLA-DQw3 du MHC de classe II. Pour ces trois cas il semble que des interactions similaires entre virus et cellules hôtes provoquent leur transformation oncogénique, dans les trois cas il y a une association d'un papillomavirus et du complexe majeur d'histocompatibilité de classe II. Les gènes précis du MHC intervenant dans cette prédisposition n'ont pas été identifiés. De plus la pénétrance incomplète de cet effet génétique suggère que d'autres gènes non encore identifiés interviennent dans l'étiologie du sarcoïde."
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Je ne vois aucune raison d'être jalouse de personne risquant 1/4 de mortalité sur leurs poulains!! mais au moins maintenant on connaît VOTRE avis sur la question... Et ne vous en faîtes donc pas pour mon élevage, on m'apprécie justement parce que je ne fais pas n'importe quoi avec mes chevaux! De plus, il me semble important de souligner que sur ce forum et à ma connaissance AUCUN membre ne pratique des mariages à risque puisque ce fût le sujet de nombreux posts et pour autant que je me souvienne tous les éleveurs de ce forum se rejoignent dans le fait de ne pas tenter ces mariages impossible! Donc je ne vois personne ici qui soit la cible de quoi que ce soit, à part vous peut-être??? vu votre réaction Je ne vois pas le rapport entre humilité et risquer de faire crever des poulains...
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Géraldine, je vais essayer de te retrouver la thèse qui parle de cela (elle est en anglais par contre), je l'avais lue l'été dernier en faisant des recherches sur le LWO. Phybie, oui n'importe quel cheval quelque soit sa robe peut être potentiellement porteur du gène mais il faut admettre que c'est RARISSIME chez les autres chevaux que les ovéros. Je ne connais pour ma part aucun tobiano ou quarter qui le soit...mais bon comme c'est possible, il vaut mieux être prudent avec cela...à mes yeux, ils existent déjà suffisamment de risque de perdre un poulain sans que l'on ne puisse rien y faire alors sachant que pour cela en tout cas, nous avons un test fiable à 100% (et qui ne coûte que 25$!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!), c'est tout simplement criminel de passer outre une chose aussi simple... Par contre, la bonne nouvelle, c'est que le LWO est un gène et non une maladie hors pour avoir un poulain lethal, il faut que les DEUX parents transmettent le gène! Or donc : si on est sur au moins d'un des deux parents = RISQUE ZERO LWO Si déjà seulement les étalons étaient systématiquement dépistés (genre obligatoire pour obtenir le "listed stallion" à l'APHA) ça limiterait drôlement la casse! Et pour ceux qui le font sciemment et en toute connaissance de cause...ben, je les plains en fait car ils n'ont pas d'âme ni le moindre amour ni même aucune considération pour leurs juments... [i]je sais que mes propos sont toujours très engagés et que je ne sais pas me taire sur ce qui me révolte! mais j'ASSUME mes propos!! Je dis toujours ce que je pense et pense toujours ce que je dis! Cela fait partie de mon caractère, je suis entière en toute chose et ne connais ni les simagrées ni l'hypocrisie...au moins on sait à quoi s'en tenir avec moi, je ne suis pas du genre à caresser dans le sens du poil et à baver derrière![i] ps désolée pour le flood, peut-être l'admin dépassera une partie de la conversation dans le sujet LWO...
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j'avais très bien compris, Mercy, que le LWO n'était pas QUE lié aux robes ovéros (je pense tu as mal compris ou lus mon message) Preuve en est que chez moi je n'ai quasiment que des tobianos et que mes chevaux sont pourtant TOUS testés (tobianos, quarter et ovéro ) et j'expliquais même plus haut que ce gène existe aussi dans les autres races telle selle français, pur-sang et autres...
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Je suis d'accord avec toi Fanny, d'ailleurs tous mes chevaux sont testés (entre autre pour le LWO)... Après comment expliquer ceux qui font encore aujourd'hui des mariages conscients et choisis ovéro/ovéro??? ben je sais pas parce que vraiment je comprend pas comment on peut mener à la mort de façon consciente un poulain sur un pourcentage de 25% (ce qui est ENORME à mon sens, tu imagines une chance sur quatre de l'envoyer au ciel dans les 24h de sa naissance!!! c'est délirant quand tu y penses!!!) Pour ma part, je ne cherche plus à comprendre les gens qui font encore ça, avec la tonne d'info que nous possédons sur le sujet de nos jours, je me contente de les éviter et de ne rien avoir à faire avec eux car ce débat est bien plus grave qu'un choix de robe ou de type de morpho...
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et non malheureusement c'est moins fréquent mais parfaitement possible! Il existe aussi des cas d'un syndrome en tout point identique au LWO (qui pour être clair est une malformation des intestins, cad il en manque un morceau, le transit ne peut donc exister chez ces malheureux sujets) dans les autres races et même sur des poulains qui naissent colorés!! J'ai lu une thèse véto à ce sujet... C'est terrifiant quand on y pense!!
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