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tuxedo

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  1. Les pipettes rendent-elles malades ? Témoignage du Dr Vétérinaire Michel Klein « Marie-Christine avait décidé d'emmener dimanche dernier son mari – moi-même - et notre adorable beauceron - Clap - en forêt de Rambouillet., Marie-Christine est allée chercher une pipette de FrontLine, et, le samedi en fin de journée, elle en a appliqué le contenu sur la peau de notre bas-rouge, au niveau du garrot. Il avait déjà récupéré des tiques dans ces parages. Le lendemain, en pleine forme et en pleine nature, le sportif Clap courut comme d’habitude, ventre à terre et oreilles battantes. Il mange souvent de l’herbe, la plupart du temps du chiendent, en quantité variable. Ces dernières semaines, il n’en consommait presque pas. Cette fois, nous finîmes par découvrir qu’il en broutait des quantités phénoménales à notre insu. Le dimanche soir, en rentrant à la maison, il se mit à tousser d’une façon incoercible, comme s’il avait des envies de vomir, sans y parvenir. Il bavait de plus en plus. Je l’ai emmené se promener, pensant que cela le soulagerait. Il n’en fut rien. Clap se portait de plus en plus mal. Je lui fis une injection d’antispasmodique, ce qui le calma environ deux heures, puis tout repartit. Je me posai évidemment plein de questions : avait-il avalé un corps étranger qui restait immobilisé dans la zone oesophagienne ? Rien n’était évident. Je pensai également à une intoxication, mais laquelle ? Toute la nuit, notre Clap souffrit beaucoup. Vers 2 heures du matin, je lui fis à nouveau une injection d’antispasmodique, pour le soulager, avec un antibiotique de couverture, car il avait presque 40° de température. Et j’attendis le matin avec impatience pour aller chez le véto, un de mes anciens collaborateurs. En cours de route, vers 9 heures, Clap vomit partiellement ce qu’il avait mangé la veille, avec un peu d’herbe, dans un mélange bizarre, pâteux, de couleur jaunâtre, qui ne ressemblait à rien que l’on puisse caractériser. Le praticien et moi fîmes le tour du problème, mais apparemment, le chien semblait mieux qu’au cours de la nuit. Un bilan sanguin s’imposait, avec une diète hydrique pendant 24 heures, et une prolongation du traitement antibiotique pendant plusieurs jours. Mais Clap continua de baver d’une façon anormalement copieuse pendant plus de 2 jours et deux nuits. Difficile à expliquer sur le moment. Les jours suivants tout redevint progressivement normal. Pendant toute la semaine, il évacua de plus en plus d’herbe, à tel point que le jeudi et le vendredi j’ai dû en arracher à la main des paquets volumineux qu’il ne parvenait pas seul à évacuer. Clap ne fait pas une virgule de travers, c’est un chien parfait, civilisé, aimé. Nous le surveillons étroitement et le gâtons- il nous le rend au centuple - et il n’a rien pu avaler d’autre avant cette crise que de l’herbe, et son régime habituel. Je lance donc un appel : « avez-vous connaissance de phénomènes semblables, ou autres, après l’application d’un produit antiparasitaire sur un chien ? » Il y a quelques semaines, en rentrant à la maison, nous remarquons qu'un de nos chats bave excessivement. Partout où il s'arrête, il laisse une petite flaque. Nous vérifions ses dents, et si rien n'est coincé dans sa gorge : R.A.S. Le lendemain matin, le coussin sur lequel il avait dormi est trempé. La bave l'a traversé et trempé également le parquet. J'emmène donc mon chat chez mon vétérinaire, qui l'hospitalise pour la journée. Je le récupère le soir. Le véto me dit qu'il lui a fait une injection pour stopper la bave, lui a donné un médicament, et fait des radios, mais il ne comprend pas pourquoi il bave, et me présente la facture : 240 euros. Or, deux jours avant son hospitalisation, j’avais mis sur mon chat le contenu d’une pipette anti parasitaire, achetée chez le même vétérinaire ! Dans l'histoire, je me demande si je n’aurais pas pu économiser la pipette, le traitement médicamenteux pour soigner la salivation, la piqûre, les radios, l'hospitalisation, et surtout, si mon chat aurait pu éviter de se sentir malade et de passer une journée entière prostré au fond d'une cage... » Docteur Michel Klein, vétérinaire. Témoignage publié le 30 juin 2011 dans RSC MAG n°6. http://dogmasters.com/shop/wp-content/uploads/2011/07/rscmag-6bkshdfklsaf.pdf
  2. Les pipettes rendent-elles malades ? Je viens de recevoir ce témoignage du Dr vétérinaire Michel Klein. « Marie-Christine avait décidé d'emmener dimanche dernier son mari – moi-même - et notre adorable beauceron - Clap - en forêt de Rambouillet., Marie-Christine est allée chercher une pipette de FrontLine, et, le samedi en fin de journée, elle en a appliqué le contenu sur la peau de notre bas-rouge, au niveau du garrot. Il avait déjà récupéré des tiques dans ces parages. Le lendemain, en pleine forme et en pleine nature, le sportif Clap courut comme d’habitude, ventre à terre et oreilles battantes. Il mange souvent de l’herbe, la plupart du temps du chiendent, en quantité variable. Ces dernières semaines, il n’en consommait presque pas. Cette fois, nous finîmes par découvrir qu’il en broutait des quantités phénoménales à notre insu. Le dimanche soir, en rentrant à la maison, il se mit à tousser d’une façon incoercible, comme s’il avait des envies de vomir, sans y parvenir. Il bavait de plus en plus. Je l’ai emmené se promener, pensant que cela le soulagerait. Il n’en fut rien. Clap se portait de plus en plus mal. Je lui fis une injection d’antispasmodique, ce qui le calma environ deux heures, puis tout repartit. Je me posai évidemment plein de questions : avait-il avalé un corps étranger qui restait immobilisé dans la zone oesophagienne ? Rien n’était évident. Je pensai également à une intoxication, mais laquelle ? Toute la nuit, notre Clap souffrit beaucoup. Vers 2 heures du matin, je lui fis à nouveau une injection d’antispasmodique, pour le soulager, avec un antibiotique de couverture, car il avait presque 40° de température. Et j’attendis le matin avec impatience pour aller chez le véto, un de mes anciens collaborateurs. En cours de route, vers 9 heures, Clap vomit partiellement ce qu’il avait mangé la veille, avec un peu d’herbe, dans un mélange bizarre, pâteux, de couleur jaunâtre, qui ne ressemblait à rien que l’on puisse caractériser. Le praticien et moi fîmes le tour du problème, mais apparemment, le chien semblait mieux qu’au cours de la nuit. Un bilan sanguin s’imposait, avec une diète hydrique pendant 24 heures, et une prolongation du traitement antibiotique pendant plusieurs jours. Mais Clap continua de baver d’une façon anormalement copieuse pendant plus de 2 jours et deux nuits. Difficile à expliquer sur le moment. Les jours suivants tout redevint progressivement normal. Pendant toute la semaine, il évacua de plus en plus d’herbe, à tel point que le jeudi et le vendredi j’ai dû en arracher à la main des paquets volumineux qu’il ne parvenait pas seul à évacuer. Clap ne fait pas une virgule de travers, c’est un chien parfait, civilisé, aimé. Nous le surveillons étroitement et le gâtons- il nous le rend au centuple - et il n’a rien pu avaler d’autre avant cette crise que de l’herbe, et son régime habituel. Je lance donc un appel : « avez-vous connaissance de phénomènes semblables, ou autres, après l’application d’un produit antiparasitaire sur un chien ? » Il y a quelques semaines, en rentrant à la maison, nous remarquons qu'un de nos chats bave excessivement. Partout où il s'arrête, il laisse une petite flaque. Nous vérifions ses dents, et si rien n'est coincé dans sa gorge : R.A.S. Le lendemain matin, le coussin sur lequel il avait dormi est trempé. La bave l'a traversé et trempé également le parquet. J'emmène donc mon chat chez mon vétérinaire, qui l'hospitalise pour la journée. Je le récupère le soir. Le véto me dit qu'il lui a fait une injection pour stopper la bave, lui a donné un médicament, et fait des radios, mais il ne comprend pas pourquoi il bave, et me présente la facture : 240 euros. Or, deux jours avant son hospitalisation, j’avais mis sur mon chat le contenu d’une pipette anti parasitaire, achetée chez le même vétérinaire ! Dans l'histoire, je me demande si je n’aurais pas pu économiser la pipette, le traitement médicamenteux pour soigner la salivation, la piqûre, les radios, l'hospitalisation, et surtout, si mon chat aurait pu éviter de se sentir malade et de passer une journée entière prostré au fond d'une cage... » Docteur Michel Klein, vétérinaire. Témoignage publié le 30 juin 2011 dans RSC MAG n°6. http://dogmasters.com/shop/wp-content/uploads/2011/07/rscmag-6bkshdfklsaf.pdf
  3. Les précautions d’emploi lorsqu’on utilise des huiles essentielles lors des soins pratiqués à votre chien : 1) N’injectez jamais d’huiles essentielles (pures ou diluées) par voie intraveineuse ou intramusculaire. 2) N’appliquez jamais d’huiles essentielles pures ou diluées dans les narines et dans les yeux. Si c’est le cas, rincer abondamment à l’eau tiède ou mieux, appliquer en badigeon une huile végétale pour tamponner l’agressivité des huiles essentielles. 3) N’appliquez jamais de HE (huiles essentielles) pures dans les oreilles ou les zones ano-génitales. 4) Ne jamais utiliser du lait pour diluer des HE avant de les administrer à un chiot. 5) Ne faites jamais faire ingérer des HE cétoniques à une chienne gestante ; il en va de même avec les huiles essentielles riches en estragole, en sclaréol ou d’autres molécules hormon-like 6) Tout comme les humains, certains animaux peuvent être allergiques à certaines HE, auquel cas il faut être particulièrement prudent et sélectif dans le choix des HE et du mode d’application. Personnellement je n’ai jamais été confronté à ce phénomène. Mais il suffit de négliger cette possibilité…pour qu’elle ne survienne. 7) Lorsqu’on réalise une friction à base de HE pures, il est préférable de la réaliser sur une zone vers laquelle votre chien ne sait pas se diriger pour la lécher (encolure, entre les oreilles, cou,…). 8) Les HE pures riches en phénols et en aldéhydes aromatiques sont dermocaustiques. Il faut donc impérativement les diluer jusqu’à 2 à 5% pour les appliquer sur la peau de votre chien. Il en va de même pour vous bien entendu. Alors attention aux manipulations. 9) Ne laissez jamais un flacon de HE à portée de main d’un enfant…ou à portée de pattes… 10) Maintenez vos flacons de HE hermétiquement fermés dans un endroit frais, à l’abri du soleil. 11) Ne transposez jamais un protocole proposé pour un chien à un bébé, un jeune enfant ou un adolescent. Consultez pour cela des ouvrages spécialisés ou des thérapeutes expérimentés. 12) N’oubliez pas que le vétérinaire est le seul à pouvoir faire un diagnostic sur lequel s’appuyer pour ensuite avoir recours à l’aromathérapie. 13) Sélectionnez des HE de qualité irréprochable, qui sont 100% pures, naturelles et intégrales, et qui sont pourvues d’une définition de leur chémotype ! 14) A l'application des HE pures, préférez la dilution préalable dans des huiles végétales, le miel, des crèmes neutres, des shampoing neutres et autres supports.
  4. Merci Emy...ca y est je m'y suis retrouvé. Je voulais te féliciter pour l'organisation. C'est impeccable!
  5. Je suis un peu perdu dans la réorganisation pourtant nécessaire du sujet. Quelqu'un peut-il me donner l'adresse des liens de mes 3 articles sur les dangers des pipettes? En fait:2 articles + le témoignage d'un internaute. Le tout publié sous mon pseudo. Tuxedo. Je ne les trouve plus!
  6. Sujet très délicat...je connais très mal le VKH. Je vais essayer de m'améliorer dans ce sens. C'est aussi tout l'intérêt (pour moi) de ma présence sur ce forum: apprendre. Mais je crois savoir que Baboon travaille sur le sujet. Elle a peut être aussi des éléments de réponse. Mais pour en revenir à ma Lapalissade initiale: aucune alternative thérapeutique intégrant des molécules exogènes ne peut prétendre à l'innocuité absolue, lorsqu'elle est appliquée à un sujet présentant une pathologie grave, autre que celle que l'on cherche à soigner... Mais je vais travailler le sujet de mon côté...c'est très intéressant. Car très logiquement, on ne peut promouvoir l'aromathérapie canine sans se poser ce genre de questions. En attendant que je me mette un peu à niveau sur le VKH, je te suggère de voir avec Baboon. Bonsoir.
  7. Pour la thyroïde...je ne me suis jamais posé la question de savoir si certaines molécules pouvaient présenter un risque pour le chiens en cas d'hyper ou d'hypothyroïdie. Mais c'est un sujet intéressant qui mérite d'être fouillé...merci pour la suggestion...je vais voir si dans la semaine je peux apporter des premiers éléments de réponse. Peut -être que Baboon ou un autre membre du forum a des éléments sur le sujet...
  8. Effectivement, l'état de santé général du chien est très important à l'heure de choisir telle ou telle alternative anti-parasitaire. Tu l'as très justement souligné: les chiens épileptiques supportent très mal les pipettes chimiques. Pour la simple raison que la plupart de leurs molécules (voir post sur les dangers des pipettes) sont neurotoxiques. Donc il est absolument déconseillé d'utiliser les anti parasitaires chimiques dans ces cas là. Pour les huiles essentielles qui présentent, pour certaines, un risque même faible de neurotoxicité, il en va de même avec les chiens épileptiques. Par ex: on enlèvera la menta pulegium du protocole anti-parasitaire et on le remplacera par du cymbopogon citratus. Les autres HE mentionnées dans les protocoles que j'ai fourni, ne présentent pas de risque majeur pour les sujets épileptiques....si on respecte bien entendu les posologies. Excuse moi emmanuelle, je sais que les coûts sont importants, à fortiori pour une asso...mais je m'interdis de parler prix sur le forum pour des produits que je suis susceptible de fournir. De toute façon il y aura de plus en plus de concurrence, il sera donc de plus en plus facile de comparer les prix...après...pour la qualité et le conseil....c'est autre chose....Il faut donc que tu fasses la démarche par toi même pour ce qui est des études de coût....je sais...c'est décevant comme réponse...mais c'est la condition sine qua non pour ma crédibilité sur le forum.
  9. Effectivement, l'état de santé général du chien est très important à l'heure de choisir telle ou telle alternative anti-parasitaire. Tu l'as très justement souligné: les chiens épileptiques supportent très mal les pipettes chimiques. Pour la simple raison que la plupart de leurs molécules (voir post sur les dangers des pipettes) sont neurotoxiques. Donc il est absolument déconseillé d'utiliser les anti parasitaires chimiques dans ces cas là. Pour les huiles essentielles qui présentent, pour certaines, un risque même faible de neurotoxicité, il en va de même avec les chiens épileptiques. Par ex: on enlèvera la menta pulegium du protocole anti-parasitaire et on le remplacera par du cymbopogon citratus. Les autres HE mentionnées dans les protocoles que j'ai fourni, ne présentent pas de risque majeur pour les sujets épileptiques....si on respecte bien entendu les posologies.
  10. Je suppose que de part son nom, un kyste graisseux doit être gras.... Par contre, ce que j'affirme, c'est que le chien qui en développe n'est pas systématiquement gros ou même grassouillet ! Moi, j'en ai un depuis des années au niveau de la taille, ARD, mais au moins, je ne me suis jamais posée la question "pourquoi j'ai ça !!" J'ai la réponse dans mon miroir...... Alors que ma chienne, NON !! Bon..ben voilà...nous sommes d'accord! Pas dormi mais de meilleure humeur...ça roule!
  11. J'oubliais: Quels Eucalyptus, Lavande, Romarin et Géranium....?
  12. Nan, faudra chercher ailleurs un semblant de solution.... Et un lipôme/kyste graisseux ne veut absolument pas dire chien grassouillet, ni alimentation grasse ou déséquilibrée.... En l'occurence pour le cas de ma chienne, elle va sur 12 ans, et la plupart des chiens développent ce genre de "problème" en vieillissant.. Chris...j'essaie de faire de mon mieux...pour te satisfaire....mais je te rappelle que je ne suis pas véto! Je suis aromatologue...et les kystes graisseux: l'aromathérapie n'y peut rien. Maintenant, si tu estimes que presque tous les chiens développent ce genre de kystes...donne lui une cure de rajeunissement. Et là encore l'aromathérapie ne peut rien y faire. Cordialement. Et si un kyste graisseux n'est pas gras, alors c'est que ne comprends plus rien et que je suis fatigué. Je vais donc aller me reposer pour revenir de meilleure humeur tout à l'heure. Bonne AM.
  13. Nan, faudra chercher ailleurs un semblant de solution.... Et un lipôme/kyste graisseux ne veut absolument pas dire chien grassouillet, ni alimentation grasse ou déséquilibrée.... En l'occurence pour le cas de ma chienne, elle va sur 12 ans, et la plupart des chiens développent ce genre de "problème" en vieillissant.. Chris...j'essaie de faire de mon mieux...pour te satisfaire....mais je te rappelle que je ne suis pas véto! Je suis aromatologue...et les kystes graisseux: l'aromathérapie n'y peut rien. Maintenant, si tu estimes que presque tous les chiens développent ce genre de kystes...donne lui une cure de rajeunissement. Et là encore l'aromathérapie ne peut rien y faire. Cordialement. Je te renvoie aussi à la définition du terme "nutrithérapie" que j'ai employé....et qui n'a rien à voir avec la "diététique".
  14. Nan, faudra chercher ailleurs un semblant de solution.... Et un lipôme/kyste graisseux ne veut absolument pas dire chien grassouillet, ni alimentation grasse ou déséquilibrée.... En l'occurence pour le cas de ma chienne, elle va sur 12 ans, et la plupart des chiens développent ce genre de "problème" en vieillissant.. Chris...j'essaie de faire de mon mieux...pour te satisfaire....mais je te rappelle que je ne suis pas véto! Je suis aromatologue...et les kystes graisseux: l'aromathérapie n'y peut rien. Maintenant, si tu estimes que presque tous les chiens développent ce genre de kystes...donne lui une cure de rajeunissement. Et là encore l'aromathérapie ne peut rien y faire. Cordialement.
  15. Nan, faudra chercher ailleurs un semblant de solution.... Et un lipôme/kyste graisseux ne veut absolument pas dire chien grassouillet, ni alimentation grasse ou déséquilibrée.... En l'occurence pour le cas de ma chienne, elle va sur 12 ans, et la plupart des chiens développent ce genre de "problème" en vieillissant.. Chris...j'essaie de faire de mon mieux...pour te satisfaire....mais je te rappelle que je ne suis pas véto! Je suis aromatologue...et les kystes graisseux: l'aromathérapie n'y peut rien.
  16. Pour les tiques et acariens. Beaucoup d’entre vous, comme Monique, se demandent comment éloigner les tiques et les acariens de nos amis Akitas, sans utiliser les insecticides chimiques nuisibles non seulement pour notre environnement, et notamment pour les insectes (hécatombe en apiculture), mais peut être aussi pour votre santé et celle de vos enfants : en réfléchissant un peu, le chien qui a reçu sa pipette ou son spray va rediffuser du produit emmagasiné dans ses glandes sébacées pendant un mois et peut le déposer dans les endroits où il couche ou se frotte sympatiquement (sur vos joues ou la joue de vos bambins). Sans parler des effets secondaires sur la santé du chien…(voir posts sur les dangers des pipettes). La notice des nouveaux produits industriels à base de pyridole (de la même famille que le fipronil) le souligne bien : interdiction de dormir avec le chien ou de le toucher le jour du traitement. Pour citer le Docteur Gérard Lippert : « il ne faut jamais utiliser les molécules chimiques de synthèse, dangereuses à la fois pour l’animal et son environnement….surtout pour les enfants côtoyant l’animal traité, qui constitue alors une réelle bombe à retardement*. Il est indéniable que les tiques sont porteuses de nombreux parasites dont elles s’accommodent fort bien, mais les transmettent à l’animal domestique lors du retrait de leur rostre lorsqu’elles envoient leur « salive » pour se détacher, occasionnant alors piroplasmose, ehrlichiose ou borréliose. La protection vaccinale n’étant qu’un leurre de plus en plus de vétérinaires préconisent l’entretien d’un système immunitaire vaillant, secondé par des préparations à base de plantes. Ainsi des produits naturels tels que l’aloe vera, l’huile végétale de neem, l’huile de coco ou certaines huiles essentielles sont elles appelées à jouer un rôle de plus en plus important en matière de lutte contre les parasites qui infestent les chiens. Je vous délivre donc une « recette » qui a fait ses preuves en la matière : Pour faire une lotion répulsive pour votre akita: Huile Végétale BIO de azadirachta indica 20 ml Huile Vierge BIO de cocos nucifera 20 ml HE Bio ou HECT de melaleuca alternifolia 4 ml HE Bio ou HECT de mentha pulegium 10 ml HE Bio ou HECT de menthe piperita 4 ml HE Bio ou HECT de eugenia caryophyllus 2 ml HE Bio ou HECT de lavandula angustifolia 4 ml Solubilisant végétal labrafil 24 ml Eau distillée pharmaceutique 200 ml Introduisez cette solution dans un vaporisateur. BIEN SECOUER AVANT USAGE. Puis vaporisez sur le pelage de l’animal une fois par semaine en période sensible. Attention : ne pas pulvériser vers les yeux ni les muqueuses. Ne pas appliquer directement sur les chats. Ne pas vaporiser sur les chiots de moins de 12 semaines selon la race ni sur les chiennes gestantes. Comme les huiles essentielles utilisées sont très aromatiques, je vous conseille de pulvériser votre akita à l’extérieur de la maison ou de l’appartement, de préférence en fin d’après-midi ou bien tôt le matin avant une balade en forêt par exemple. Personnellement je préfère en fin d’après midi lorsque l’astre soleil décline. Comme ça on limite le risque de toute photosensibilité Bien sûr c’est contraignant…mais c’est sain pour votre chien, pour vous, votre famille et pour l’environnement. Mais ça, vous le savez déjà…donc je ne vais pas rabâcher… Si vous n’avez pas le temps de composer ces recettes, ou si vous voulez faire un premier essai pour voir si ça marche sur votre protégé, recherchez sur le net des produits naturels tout prêts dont la composition est proche. Car on trouve de tout….même dans le naturel….ça aussi vous le savez. Allez courage….la santé vaut bien ça. * Dr Gérard Lippert, La Médecine douce des animaux, Ed. Marco Pietteur, col. Résurgence, 1998.
  17. En ce qui concerne les protocoles (recettes) aromatiques pour lutter contre les différents parasites en question. Pour Monique et les autres amis du forum. La lutte anti-puce sur et autour des chiens… Vous n’êtes pas sans savoir que la majorité des puces ne vit pas sur votre 4pattes. Ce denier n’est qu’un hôte transitoire qui sert de garde manger. Une fois rassasiée, la puce retourne tranquillement dans l’environnement rejoindre ses congénères. Il est donc fondamental de mettre en place une stratégie de lutte pour le chien mais aussi et surtout pour l’environnement. Pour faire une lotion pour le traitement de l’environnement : HE Bio ou HECT de melaleuca alternifolia 15% HE Bio ou HECT de Lavandula angustifolia 5% HE Bio ou HECT de Cinnamomum verum (feuilles) 10% HE Bio ou HECT de Lisea citrata 10% Alcool pharmaceutique excipient 100% Introduisez cette solution dans un vaporisateur. BIEN SECOUER AVANT EMPLOI. Bien pulvériser les surfaces où les puces peuvent se trouver : coussins, moquettes, panier du chien, litière, moquette, tapis, etc…. Attention : le chat ne va pas aimer ! (voir post sur les chats) Pour faire une lotion répulsive pour votre akita : HE Bio ou HECT de melaleuca alternifolia 10 ml HE Bio ou HECT de pelargonium asperum 2 ml HE Bio ou HECT de cymbopogon nardus 3 ml HE Bio ou HECT de cisea citrata 5 ml HE Bio ou HECT de cinnamomum verum (feuilles) 1 ml HE Bio ou HECT de cedrus atlantica 1ml Hydrolat bio de lavande 10 ml Alcool pharmaceutique dénaturé excipient 200ml Vaporisez sur le pelage de l’animal une fois par jour en période sensible. Attention : ne pas pulvériser vers les yeux ni les muqueuses. Ne pas appliquer directement sur les chats. Ne pas vaporiser sur les chiots de moins de 8 à 12 semaines selon la race et l'état de santé, ni sur les chiennes gestantes. D’autres variantes existent mais ces deux protocoles (« recettes ») bien appliqué(e)s sont efficaces. N’oubliez pas bien évidemment l’aspirateur….et de pulvériser la poche d’aspirateur puis de la vider directement dans une poche hermétique et de préférence à l’extérieur. Comme les huiles essentielles utilisées sont très aromatiques, je vous conseille de pulvériser votre seigneur à l’extérieur de la maison ou de l’appartement, de préférence en fin d’après-midi, et de le maintenir 1 à 2 heures à l’extérieur…si possible. De cette façon vous éviterez la transhumance des puces dans votre intérieur. Bien sûr c’est contraignant…mais c’est sain pour votre chien, pour vous, votre famille et pour l’environnement. Si vous n’avez pas le temps de composer ces recettes recherchez sur le net des produits naturels tout prêts dont la composition est proche. Car on trouve de tout….même dans le « naturel »….
  18. Désolé...quand je ne sais pas...je le dis. En aromathérapie je ne vois pas de solution. Peut être en nutrithérapie... Bien entendu, il serait utile d'analyser la diète alimentaire du grassouillet en question....
  19. On va donc commencer par la fin. Mon avis (et celui de beaucoup de professionnels canins) je préfère ne pas le donner sur le forum afin de ne pas heurter les susceptibilités des uns et des autres. Car chacun fait comme il veut et comme il peut...aussi. Et le but de ma participation sur le forum n'est pas de stigmatiser qui que ce soit, ni d'éveiller des sentiments de culpabilité, ni de déclencher une polémique entre le "Tout Naturel" et le "Tout Chimique". Pour une raison simple: les deux sont complémentaires.... Je préfère donc, sur ce sujet de l'alimentation industrielle, soumettre à ton appréciation quelques liens (j'espère que tu ne m'en voudras pas): http://www.biottyphoods.com/metabolisme-digestif-du-chien.php http://www.biottyphoods.com/content/10-dangers-aliments-industriels-chiens http://www.biottyphoods.com/content/11-veterinaire-chiens http://www.biottyphoods.com/content/12-multinationales http://www.biottyphoods.com/content/8-croquettes-absence-d-enzymes http://www.biottyphoods.com/alimentation-sante-buccale.php En ce qui concerne les protocoles (recettes) aromatiques pour lutter contre les différents parasites en question, je te propose de te les faire parvenir au fil de la journée, sur le forum, afin que tous nos amis puissent en profiter.. A tout à l'heure....et bon dimanche à tous et à toutes
  20. Est-ce que c'est vraiment un kyste graisseux? C'est diagnostiqué? Si oui...je suis au regret de te dire que hormis la chirurgie (que je trouve injustifiée) je ne vois pas de solution avec les HE, ni avec les HV. Sorry.
  21. Pour suivre le conseil de Boboon: je donnerai de l'Huile végétale BIO de nigelle (Nigella sativa) à raison de 1 grs par kilo de poids du chats. Soit dans le cas présent: 9 grs quotidiens mélangés à la ration ou à la petite cuillère si le chat accroche (donc: 2 petites cuillères). Interrompre 1 semaine sur 4. Attention: l'huile de nigelle présente l'inconvénient de ne se conserver que moyennement. Conseille donc ton voisin de la garder dans un endroit frais. Pourquoi l'huile de nigelle en cas de FIV félin: parce que c'est un modulateur de l'immunité et des processus inflammatoires internes. Et puis elle possède des propriétés anti-tumorales éprouvées sur plusieurs cancers humains grâce à la mélanine végétale et à la thymoquinone qu'elle contient. C'est aussi un excellent anti-oxydant.
  22. Sitôt ordonné...sitôt fait..! Pour tous les amis Chakitas: Pourquoi on déconseille de pratiquer des soins aromatiques par voie orale chez les chats ? Deux raisons fondamentales : d’une part leur métabolisme de détoxification des arômes, et d’autre part leur hypersensibilité aux odeurs. a) La métabolisation des huiles essentielles. Suite à leur ingestion, les huiles essentielles subissent une série de réactions chimiques destinées à les rendre plus solubles et assimilables par l’organisme. Puis les dérivés aromatiques sont métabolisés au niveau du foie : des enzymes vont greffer des molécules de glucose sur les dérivés aromatiques les plus caustiques (phénols, cétones, etc..) afin d’en augmenter encore la solubilité dans les fluides organiques (urine par exemple) et d’en diminuer la virulence. Le temps d’excrétion des molécules aromatiques selon ce processus varie entre 48 et 72 heures, ce qui permet d’envisager des protocoles anti-infectieux assez lourds sur un court terme (de 2 à 10 jours) sans grands danger d’accumulation de phénols ou de cétones dans l’organisme. Au contraire des humains, du chien ou d’autres mammifères, le chat ne dispose pas des enzymes permettant cette métabolisation des HE et ne peut donc éliminer les charges de terpènes aromatiques aussi vite que le chien ou l’homme. Il est donc sage de ne pas envisager une ingestion orale de molécules anti-infectieuses à forte dose chez le chat, sous peine de déclencher des effets secondaires toxiques au niveau du foie et du sustème nerveux. b) L’hypersensibilité du chat aux odeurs. Si la muqueuse nasale humaine est parsemée de quelques 5 millions de cellules olfactives, celle d’un chat, pourtant bien moins étendue, en dispose de 200 millions ! En outre, le chat dispose d’un organe particulier –l’organe de Jacobson- qui lui permet une très fine détection de molécules volatiles du type des phéromones. Or la structure biochimique des molécules aromatiques est très proche de celle des phéromones. Ces deux éléments démontrent clairement qu’un chat peut être extrêmement perturbé par l’administration de telle ou telle huile essentielle. Le chat peut ainsi déclencher une véritable crise d’hypersensibilité (crise d’asthme, hyper-salivation ou régurgitation spontanée de nourriture) mais aussi adopter des comportements incohérents. Ces problèmes comportementaux s’expliquent si nous partons du principe que la puissance olfactive des HE peut masquer complètement le bouquet d’autres odeurs grâce auxquelles le chat se repère facilement dans son environnement immédiat. Conclusions quant à l'usage d'huiles essentielles chez le chat. Lorsqu’on désire soigner un chat avec des huiles essentielles, il est conseillé de le mettre en présence de telles odeurs dès son plus jeune âge. On peut ainsi diffuser des mélanges aromatiques, ou caresser régulièrement le pelage en ayant déposé au préalable quelques gouttes d’huiles essentielles dans la paume de la main. Le chat s’habitue alors très vite à ces odeurs –même fortes pour lui- et supportera sans problème la plupart des soins aromatique prodigués par la suite. Dès qu’un problème de santé se pose chez le chat, il faut toujours privilégier un soin aromatique appliqué par voie topique, c'est-à-dire PAR LA PEAU. En fonction des besoins, divers supports pourront être utilisés (voir futur post sur les galéniques), allant des huiles essentielles pures à utiliser très localement et très ponctuellement, jusqu’aux shampoings ou lotions aromatiques à frictionner ou à pulvériser sur tout le pelage. Pour des problèmes respiratoires ou immunitaires (coryza, grippe, viroses, leucose féline, etc..) il vous faudra privilégier la combinaison des frictions cutanées AVEC la diffusion atmosphérique des mêmes huiles essentielles, dans un environnement le plus confiné possible (par exemple, placer le chat dans une cage de transport et diffuser la préparation aromatique dans l’espace fermé d’un débarras ou d’une petite buanderie). Quant à la gestion aromatique des problèmes infectieux bactériens ou parasitaires, elle est excessivement difficile à mettre en œuvre chez le chat, et présuppose deux éléments fondamentaux : le très court terme (3 à 4 jours maximum), et l’assentiment de l’animal lui-même par rapport à l’ingestion forcée ou à la pulvérisation d’huiles essentielles diluées telle que l’origan, le clou de girofle ou la cannelle. Avec l'aide du Pr Debauche....qui ne sait pas encore qu'il m'inspire. J'avoue que je suis plus canis....que félix....bien que j'ai eu des chats..
  23. Donc je me colle au recap sur les HE pour les chats...et tu nous mets un peu d'ordre dans ce fatras! Non! ça fait trop macho...et pas très marketing...donc je reprends. Version démagogue: Ok je me tape avec plaisir le recap sur les HE et les chats...et toi tu fais ce qui bon te semble. Voilà c'est mieux...non? Allez je m'y colle...a tout de suite!
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