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amelie111

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Tout ce qui a été posté par amelie111

  1. Allez Vince en exclu pour small comics on veux savoir !
  2. pas plus que deux rouges ensembles ou deux bringés ensemble . ou rouge x bringé ...
  3. c'est pas au standard de changer, il est très bien .. ce sont juste les juges qui n'y connaissent que dalle pour la plupart !
  4. Oui il était chez Diane un moment car elle l'a sorti en angleterre pour son titre de CH.UK. C'est le père de sa portée avec Pumpkin (Niatona to Sir with Love) , elle a d'ailleurs gardé 2 chiots de cette portée . je suis pas fan , mais c'est un joli chien ! c'est incontestable .
  5. il a quel age ton chien ? t'as des résultats ?
  6. L'apprentissage de la propreté Où tout l'art d'apprendre à l'autre, réside dans l'art de se faire comprendre... Vous comptez peut-être acquérir un chiot (ou bien vous l’avez depuis peu) et s’impose pour vous de lui apprendre la propreté. Ce premier grand apprentissage n’est pas toujours facile à faire faire au jeune animal qui vient d’être propulsé chez vous, alors qu’il a été arraché brutalement à sa mère et sa fratrie en perdant tous ses premiers repères de vie. Désorienté, il a avant tout besoin de tranquillité émotionnelle pour aborder ce difficile apprentissage. C’est dans l’accueil spontané, tendre et indulgent de ses nouveaux maîtres (mais pas leur toute permissivité pour autant !) que le chiot trouve cette tranquillité et peut ainsi reporter sur eux l’attachement qu’il avait pour sa mère et sa fratrie. C’est sur cet attachement qu’il vous revient de bâtir la confiance en vous de votre chiot, parce qu’un apprentissage ne se réalise jamais mieux que dans la confiance. Mais au fait qu’entendons-nous par « propreté du chiot » ? Pour lui, propreté signifie ne pas faire sur les lieux de couchage et de nourriture. C’est ce qu’il a déjà appris avec sa mère chez ses éleveurs (dans le cas des meilleures conditions d’élevage). En effet, dès la naissance et tant qu'ils tètent, les chiots sont incapables d’éliminer seuls spontanément. C’est leur mère qui provoque l’élimination et en absorbe les produits, tenant ainsi le couchage propre. Dès que ses chiots commencent à manger une nourriture solide, elle n'ingère plus leurs déjections et les pousse alors à aller faire leurs besoins en dehors du nid Si vous l'accueillez à 8 semaines (âge minimum légal de vente) le petit animal est donc déjà "propre", car il ne faisait plus ses besoins dans le nid. Le chiot doit donc s’ajuster sur notre point de vue de la propreté quand il arrive dans nos maisons : c'est-à-dire faire ses besoins en dehors de l’habitation. Il s’agit pour lui d’élargir jusqu’en extérieur l’espace entre le nid où il n’élimine plus et l'endroit où il pourra se soulager. Pour lui faire comprendre ce que vous attendez donc de lui, et toute manière forte ne favorisant jamais les apprentissages, c’est dans le calme que vous devrez procéder pour son bon équilibre. Préalable pour faciliter l’apprentissage : Distribuer la nourriture selon un protocole précis et à heure fixe afin de mieux gérer l’élimination. Pour une bonne régulation du comportement alimentaire du jeune animal, après les repas de la famille (où l’on ne donne rien au chiot), on le laisse manger seul au calme et on lui retire sa gamelle ¼ d’h plus tard, qu’elle soit vide ou pas, et même chose aux repas suivants (toujours en laissant l’eau disponible). Sachant que le chiot se soulage habituellement après ingestion de nourriture, on facilite donc son apprentissage de la propreté en le sortant à ces moments là. Limiter l’espace que le chiot peut occuper (surtout en votre absence) et décider d’un lieu de couchage. Vous réduisez ainsi les zones que le jeune animal peut souiller bien sûr, mais aussi vous imposez votre contrôle sur l’espace de vie en continuant ce que sa mère faisait en rappelant ses chiots à l’ordre quand ils s’éloignaient trop des zones permises. Que ce soit pendant vos absences, pour le repos en journée ou pour la nuit, la cuisine est souvent la pièce retenue comme lieu de couchage parce que facile d’entretien. Un chiot dort beaucoup, il va donc s’y reposer de nombreuses heures et souhaite se soulager presque automatiquement à chacun de ses réveils. Le sortir juste à ces moments là, garantit une fois encore d’obtenir facilement des éliminations. Prévoir un « carré d’aisance » Un chiot de 8 semaines ne peut pas se retenir plus d’1h ou 2 dans la journée, 3 ou 4h la nuit, et il ne faudra pas attendre de lui une réelle capacité à se retenir plusieurs heures avant l’âge de 6 mois. Si l’on peut le sortir après les siestes, les repas ainsi qu’après les séances de jeux (où le chiot éprouve aussi facilement le besoin d’éliminer) il est aisé d’obtenir en quelques semaines un jeune animal qui se soulage facilement dehors. Être aussi disponible n’étant pas toujours possible il faut donc prévoir qu’il va naturellement se soulager dans la maison, sans qu’évidemment cela soit à punir. Si l’on doit s’absenter plusieurs heures (ou si l’on habite au 6è sans ascenseur !) on peut délimiter un « carré d’aisance » (dans la cuisine, sur la terrasse, etc.…) matérialisé par du papier journal ou une serpillière par exemple, suffisamment espacé de sa gamelle d’eau. Stimulé par l’odeur des ses précédentes éliminations à cet endroit là, il y reviendra plus volontiers. Cette méthode arrange de nombreux maîtres, mais il est évident qu’elle retarde le chiot dans son apprentissage à éliminer en extérieur. On lui « apprend » en quelque sorte que c'est permis de faire son pipi ou sa crotte dans la maison ! Or on cherche précisément à lui faire comprendre le contraire...! Il faudra donc beaucoup d’indulgence quand il s’éternisera un peu à « devenir propre » ! C’est le cas des chiots venant d’animaleries, souvent plus longs à être propres à la maison car ils ont été tenus captifs dans de petits boxes, où ils étaient contraints de faire leurs besoins sur le lieu de couchage. Ils y ont fait littéralement « l'apprentissage forcé » de : «Je fais là où je suis». Il faut donc défaire ce qui a été « appris » et réapprendre « la bonne manière » en accord avec les critères humains de la propreté : patiente et indulgence donc. Sortir le chiot souvent et dès son plus jeune âge (mais pas dans n’importe quelles conditions) Puisque le chiot élimine spontanément après ses repas, siestes et parties de jeux, s’il se met à tourner en flairant le sol après l’un de ces moments, mieux vaut réagir promptement et le sortir de suite ! Au début de l’apprentissage choisissez de l’emmener en laisse toujours aux mêmes endroits un peu tranquilles et propres si possible, pour qu’il s’y familiarise et puisse trouver confiance pour s’y poser. Pour apprendre à éliminer dans n’importe quel environnement extérieur, un chiot a besoin d’être assez assuré en lui, et sa confiance en vous au bout de la laisse l’y aidera. Les endroits bruyants, très fréquentés de gens et de congénères perturbent et distraient le chiot qui attendra de rentrer pour se soulager à la maison ! On est tellement plus tranquille chez soi ! N’attendez pas les deniers vaccins pour le promener ! Il y a plus à craindre à ne pas poursuivre une bonne socialisation au milieu extérieur en ne le sortant pas, qu’à le maintenir à l’intérieur par peur des infections possibles. Evitez juste les endroits un peu sales, déjections , mouchoirs ect ... Il est pour cela conseillé de le sortir avant ses 3 mois. Le risque infectieux est minime par rapport à celui de vous retrouver avec un chiot qui ne saura pas aborder sans crainte les sorties en milieu urbain surtout, parce qu’il n’y aura pas été familiarisé assez tôt. Risque encore majoré s’il vient d’un élevage isolé en campagne où il n’a pas été en contact du tout avec les bruits de rue. Sans pour autant l’emmener tout de suite faire ses besoins sur les trottoirs les plus fréquentés ! (parce que justement souvent les plus sales) il y a urgence à le confronter progressivement à toute situation qu’il sera amené à vivre plus tard. Il deviendra ainsi un chien équilibré en toute occasion et environnement, capable de faire ses besoins en laisse où que vous alliez. Et même si le chiot dispose d’un jardin, cela ne dispense surtout pas de le sortir dans la rue pour les raisons précédemment exposées. Comment procéder : Une fois repéré « le bon endroit » propre et tranquille, promenez-y le chiot en le laissant flairer, sans marquer votre impatience qu’il percevrait finement et qui ne ferait que le stresser et certainement pas se soulager rapidement. Pour éliminer, il peut préférer un sol absorbant, sableux ou avec petits cailloux ou bien de l’herbe (pas toujours facile dans les grandes villes !) habitude qu’il a peut-être déjà pris chez ses éleveurs. Ramenez-le toujours à cet endroit là, et vous y obtiendrez plus facilement ses éliminations. Dès que le chiot s’est exécuté, félicitez le et montrez votre approbation avec un OUIIIIII sonore et joyeux et de nombreuses caresses, pour qu'il comprenne que c'est exactement ce que vous attendez de lui. Attention cependant à bien attendre qu'il ait juste terminé pour le féliciter, car il pourrait s'arrêter pris par l’émotion ! A proximité de lieu d’habitation, en ville, à l’intérieur de résidences, etc. prévoyez toujours vos petits sacs pour ramasser ses déjections. Vous participez ainsi à plus de propreté et à faire aimer les chiens de ceux qui ne les voient que comme une nuisance ! Vous pouvez alors poursuivre un peu la promenade toujours en laisse et petit à petit agrandir le périmètre d’exploration, lui proposer un de ses jouets (mais anticiper et interdire toute prise en gueule de papiers, cailloux, etc.) Progressivement, vous rendez l’extérieur familier et positif et surtout sans rentrer tout de suite dès les besoins faits, au risque que votre chiot n’associe rapidement « pipi/caca » = fin de la balade ! Si le chiot se soulage à la maison A supposer que l’on soit assez disponible, il est bien sûr laborieux de sortir le très jeune chiot de 6 à 8 fois dans la journée (et 1 ou 2 fois la nuit !) si l’on n’a pas une maison avec jardin. Il y aura donc bien quelques « accidents » de parcours devant lesquels il est capital de réagir avec justesse, pour optimiser l’apprentissage Si vous ne prenez pas votre chiot juste le fait en train de se soulager, ne le grondez surtout pas. N’allez pas le frapper ou lui infliger la trop fâcheuse et trop pratiquée punition de lui mettre la truffe dedans ! Cela ne lui apprend rien sinon à vous craindre sans comprendre. Le chien est dans son présent et n'associera pas votre soudaine colère avec le fait de s’être soulagé il y a quelques instants La mine penaude qu'il adoptera à chacun de vos accès de fureur quand vous surprendrez un pipi dans la maison, ne sera (en langage chien) que l’attitude de soumission d’un chiot qui craint votre colère et réclame votre apaisement. L'idée sotte et tenace qu'il "se sait coupable" et demande pardon ne doit pas vous effleurer, cette interprétation n’est qu’anthropomorphisme !! Par contre si vous le voyez flairer, tourner et vouloir se poser n’importe où, faites immédiatement savoir votre désaccord avec un NON ! Sonore. Saisissez-le et sans plus, emmenez-le dehors ou à l’endroit de l’appartement que vous avez prévu pour cela. Félicitez le bien chaleureusement si vous avez la chance qu’il s’exécute et termine là où vous le mettez. Le but est qu’il finisse par associer que vous souhaitez qu’il se soulage à cet endroit là et pas ailleurs. Mais aussi et surtout qu’il ne craigne pas votre présence quand il a une envie qu’il ne peut retenir. Car alors il pourrait ne plus faire facilement en laisse dehors (craignant votre proximité), ou bien aussi chercher à dissimuler ses déjections de la nuit par exemple en les absorbant ! (Une des causes de coprophagie chez le chiot) Quand vous ne l’avez pas surpris, contentez-vous de ramasser ou éponger hors de sa présence pour qu’il ne prenne pas votre position accroupie pour un appel au jeu ! Un nettoyage ensuite à l'eau vinaigrée est préférable à l'eau de javel dont l'odeur serait plutôt incitatrice à recommencer à cet endroit là ! Si l’on a pu offrir des conditions d’apprentissage optimales, le chiot est propre entre l’âge de 4 à 6 mois, mais parfois un peu plus tard quand justement on le laisse seul de nombreuses heures. Alors soyez indulgent avec votre chiot, ne punissez jamais pour cet apprentissage comme pour aucun autre, ceci n’est en rien éducatif ! On obtient bien davantage et plus vite, en récompensant un comportement souhaité, plutôt qu’en punissant le comportement non désiré. Danièle Mirat
  7. Quitter le lieu où il est né, sa mère, sa fratrie et ses habitudes pour intégrer une famille nouvelle, est un grand chambardement dans la vie d'un chiot. Cette perte des anciens repères peut être traumatisante et source de désordres du comportement plus tard, si l'on ne prend pas quelques précautions. Prévoir d’accorder du temps à son chiot tout au début de votre relation est un respect qui sera rapidement récompensé par une vie de tous les jours bien facilitée. Revoyez les conseils: Prévoir l'arrivée du chiot à la maison, puis les premiers pas. Tous ces premiers instants passés ensemble sont très importants, c’est là que les premiers liens commencent à se tisser entre le chiot et ses nouveaux maîtres. Pour faciliter ses prochains et nombreux apprentissages le chiot doit pouvoir déplacer l’attachement à son ancien groupe sur le nouveau. Les gens qui l’ont élevé ont sans doute donné leurs conseils nourriture: n’y changez rien brusquement dans les premiers jours. La (les) première(s) nuit(s) va (vont) être la (les) plus difficile(s) et prévoyez qu’il vous dérange par des pleurs, révélateurs de sa détresse. Si le chiot est très jeune (2 mois: l'âge idéal pour l'accueillir), choisir de le faire dormir près de vous dans la chambre, atténuera son désarroi, mais en veillant à ce qu'il reste dans son panier et pas dans votre lit. Le fait de n'être pas isolé le rassure, il peut dormir (vous aussi! de plus quand un chiot dors la nuit, il est propre) au lieu de gémir, hurler, et déambuler et faire ses besoins un peu partout. Cette situation doit être provisoire, car pour lui assurer un bon équilibre futur, il sera souhaitable 2 ou 3 semaines plus tard d'amorcer le détachement, en choisissant de le faire dormir toujours dans son panier, mais dans une autre pièce. Si le chiot est plus âgé (3 mois ou plus) ne le garder dans la chambre que quelques jours, le temps qu'il ait un peu évacué le stress de son "déménagement", et pris confiance en vous. Ces quelques précautions, je le répète, pour instaurer un bon climat de confiance entre le jeune animal et sa nouvelle famille, climat qui favorisera et facilitera les premiers apprentissages d'un chiot gai et équilibré. Co-rédaction de Danièle Mirat et Kjersti Fanals, comportementalistes
  8. Prévoir l'arrivée du chiot à la maison, puis les premiers pas. Vous avez acheté un chiot et vous allez le ramener dans sa nouvelle maison. Il convient parfois d’aménager un peu les lieux pour le recevoir, voici quelques précautions à prendre : Prévoir une place pour lui, avec un panier pas trop cher (il va grandir) et pas trop fragile (il va sûrement faire ses petites dents dessus (notez cependant, que les chiots préfèrent être « serrés » plutôt « qu’à l’aise »; gamelles, jouets, os à ronger etc. Disposer les plantes hors de sa portée, (certains chiots affectionnent « le jardinage », néfaste pour eux à cause de la toxicité de certains végétaux d’intérieur) Protéger les bibelots précieux, ranger livres et CD qui peuvent être objets de sa curiosité dévorante ! Remiser les produits d’entretiens (toxiques une fois encore) y compris dans le garage (raticides), les produits utilisés pour le jardinage (désherbants, engrais, etc..) Penser à isoler les fils électriques, il y a danger d’électrocution ! Hormis quelques aménagements pratiques prévisibles, il est sage et responsable de se mettre d’accord en famille, sur ce qui sera autorisé et interdit au chiot/chien plus tard. Si tout le monde s’en tient aux même règles avec le chiot, la vie en famille a toutes les chances d’être harmonieuse (par exemple : ne rien lui donner à manger à table ; l’empêcher de sauter sur vous, car il est petit mais va devenir plutôt grand et il sera difficile de lui faire perdre cette mauvaise habitude ; ne pas l’autoriser à monter sur les fauteuils et les canapés, etc..) Prévoir du temps à lui accorder Le chiot aura besoin de votre présence les premiers temps, il vient de quitter sa mère, sa fratrie, les personnes connues ; c’est inévitablement déstabilisant pour lui, surtout s’il n’a que 8 semaines (âge légal minimum d’achat d’un chiot) Il lui faudra des règles de conduite à suivre, mais également des câlins et un entourage chaleureux pour l’aider à s’habituer à la vie dans son nouveau groupe familial. Pourquoi ne pas profiter des vacances pour faire connaissance avec ce petit être ? Au départ, la solitude durant des journées entières pendant que vous êtes au travail, serait une situation difficile à vivre pour lui. La journée du jeune chien est rythmée par de fréquentes périodes de sommeil entrecoupées de moments d’éveil. Ces repos, nécessaires à la poursuite de sa croissance, doivent être respectés par tous. Quand il sort de son panier on pourra l’inviter à sortir, à jouer, à être caressé… Le plus important n’est pas forcément de lui consacrer des heures entières d’affilée, mais plutôt plusieurs moments de quelques minutes, dans la journée Le trajet en voiture de l'élevage à la maison Si vous avez la possibilité de vous rendre à l’élevage avec un membre de votre famille ou avec un ami, le transport du chiot jusqu’à la maison sera plus aisé. Votre petit compagnon se sentira mieux, tenu sur les genoux de son nouveau propriétaire, plutôt que laissé seul et ballottant sur la banquette arrière. Les chiots voyageant en voiture pour la première fois (surtout si l’élevage d’où il sort ne les y a pas familiarisé auparavant) sont généralement mal à l’aise ; vomissement, diarrhées sont fréquents et révèlent leur stress. A ce propos, prévoyez avec l’éleveur que le chiot ne mange pas dans les heures qui précèderont votre voyage de retour en voiture. Votre jeune animal risquant d’associer longtemps par la suite, voiture avec malaises et vomissement, et redouter ce moyen de transport. S’il venait à être malade durant le trajet, ne le dorlotez pas, banalisez les choses, de même s’il a peur, détournez le sur un « pouic » ou un jouet quelconque, vous éviterez ainsi de renforcer son malaise. Comprenez que caresser un chien qui a peur, n’a d’effet pour lui, que lui confirmer qu’il y a bien lieu d’avoir peur. Une couverture pourra servir de refuge à votre petit compagnon, et protégera vos vêtements pendant le trajet. Les chiots s’attachent souvent à un objet (couverture, peluche…) qui les aide à surmonter l’épreuve de la séparation. Certains éleveurs donnent un bout de linge ou un jouet à ramener chez le nouveau maître; à l’inverse, vous pouvez proposer à l’éleveur d’apporter, quelques jours avant de prendre le chiot, un objet vous appartenant et portant vos odeurs. Celui-ci sera posé parmi les affaires de la petite meute et en sera de ce fait imprégné. Prévoyez un collier et une laisse si la durée du trajet nécessite des arrêts pipi (toutes les heures). Un accident est si vite arrivé. Essayez de choisir un endroit un peu calme, pas à ras d’une intense circulation automobile ! vous ne réussiriez qu’à l’effrayer. Prenez votre temps, ce sont des moments uniques du commencement d’une longue relation. Ne le laissez déjà pas tirer sur sa laisse, c’est à dire contentez-vous d’opposer une simple résistance s’il veut aller là où vous ne voulez pas. En retour ne tirez jamais non plus sur sa laisse quand vous voulez qu’il vous suive, stimulez le avec la voix et des gestes d’appel (en tapant d’une main sur votre cuisse par exemple), soyez attirant, amusant. Vous mettez en place la base de la marche en laisse pour plus tard ! N’oubliez jamais que si le chiot tire c’est parce que votre laisse n’est pas tenue souplement et qu’il ne fait qu’opposer une traction à la vôtre. C’est de ce principe dont les hommes se sont toujours servi pour faire tirer toutes sortes de choses à différentes espèces animales. Il suffit de les attacher, tirer et l’animal s’oppose en tirant à son tour !!…et il vous tracte charrettes, traîneaux, et autres outils pour travailler la terre, etc.. Pensez aussi à une gamelle pour l’eau, l’éleveur vous aura peut-être proposé ce matériel. Nourriture de transition Avant de quitter l’élevage, informez-vous de ce que mange le chiot, et à quel rythme (beaucoup d’éleveurs prennent le soin de vous conseiller sur ce point). Attention au changement brusque de régime alimentaire qui pourrait provoquer des problèmes de digestion, voire de diarrhée et ajouter à son désarroi. La transition avec une autre nourriture ne devra se faire que plus tard et progressivement. L'arrivée dans la maison Toute votre famille sait probablement que vous avez fait l’acquisition d’un chiot. Laissez ce dernier arriver dans le calme et la sérénité ; accordez lui le temps de faire connaissance avec son nouveau lieu de vie sans qu’il y ait foule autour de lui. N’invitez pas les grands-parents, les voisins et les amis le premier jour ! « Petite boule de poils » va rester avec vous pendant plusieurs années, et tout le monde aura la possibilité de le voir et le câliner plus tard. Dès son entrée dans l’habitat, montrez à votre chiot la place que vous lui avez réservée : un endroit au calme, éloigné des lieux de passage. Ce coin lui servira de refuge ; il s’y reposera sans que personne ne vienne le déranger (soyez ferme avec les enfants sur ce point). Une fois que le chiot a trouvé sa place dans la maison, il commencera à explorer les lieux que vous comptez lui laisser occuper. · Cette étape se fera à sa vitesse, il ne faut surtout pas brusquer les choses. S’il a peur, laissez-lui du temps, il doit se sentir en sécurité pour visiter. Une invitation douce et calme l’incitera peut-être à venir plus loin, mais respectez son rythme. Si vous voyez qu’il se met à trembler et pleurer, ramenez-le dans un endroit plus familier pour lui, par ex. le point du départ. Modérez les enfants, si vous en avez, faites leur comprendre que leur petit compagnon n’est pas une peluche, qu’il est, pour le moment, un bébé un peu apeuré et qu’il doit être respecté. Le fait d’uriner par terre pendant l’exploration peut avoir un effet rassurant sur le chiot. De cette manière il se soulage d’une émotion, d’une tension éprouvée, pour ensuite continuer plus tranquillement sa balade. Donc s’il fait pipi mettez-le dehors sans le gronder. Le tout petit n’est pas encore en mesure de contrôler ses sphincters. Il ne comprendrait pas si vous le disputiez. Lui apprendre la propreté, vous demandera du temps, de la patience et de ne pas commettre de maladresse. Pour ses repas, là aussi régularité, calme et tranquillité. Un chiot (et plus tard le chien) qui mange, ne doit pas être dérangé, sa gamelle ne doit pas lui être reprise quand on l’a lui a donnée. Et de suite après chaque repas, petite sortie besoins naturels. Notez que l’élimination est presque automatique chez le chiot après les repas, les séances de jeux, les pauses sommeil. C’est bon à se rappeler pour faciliter l’apprentissage de la propreté. Surveillez-le étroitement tout au long de sa découverte de son nouvel environnement, et s’il venait à « faire une bêtise », pas de punition, pas de brutalité, mais une voix ferme avec un NON sonore, associé à son nom suffiront. Patience avec lui, indulgence aussi, et vous faciliterez ainsi tous les futurs apprentissages en instaurant sa confiance en vous. Co-rédaction de Danièle Mirat et Kjersti Fanals, comportementalistes
  9. No 1 Nz Ch Warfare Harem Scarem (Vannessa Joyce) No 2 Ch Rojeme Tarbuck (Adrian Baars) No 3 Nz Ch Rojeme Lady's Man (Warren Maher) No 4 NZ Ch Warfare Last Of The Mohician (Shannon & Paul Aldous) No 5 Nz Ch Blackcountry Pirate King (S. Abelen) No 6 Nz Ch Highbourne Triple Crown (Imp Aust) (M & C Anderson) No 7Warfare Little Mustateer (S Potier) No 8 Stoneheart Walkawyteline (Imp Aust) (M & C Anderson) No 9 Dimon Been Behavin (Adrian Baars) No 10 Challenger Hang Em High (P & S Clarke) No 11 Hellfyre Foreign Affair (Imp Aust) (Karen Looker)
  10. 05/01/08 juge : Mr A Trimble - (Stoneheart) Baby Puppy Dog - 2 entered 1. Powerpark Iron Mike - J Griffin (S- Powerpaws LgndOfThPark - D- Staffvshire Miss Ballarina) 2. Powerpark Divil In The Sky - D&B Power (S- Cherabah Divils Advocate - D- Stafflyte Fair Sky) Minor Puppy Dog - 3 entered 1. Powerpark Sparks In The Park - D&B Power (S- Magicpower's LgndAtPowerpaws (Imp FLD) - D- Powerpark Divils Shadow) 2. Powerpaws Two Sox - Ronjuade Kennels (S- Magicpower's LgndAtPowerpaws (Imp FLD) - D- Ch Powerpaws Invisibl Touch) 3. MaxnJay Days Of Thunder - J Griffiths (S- Ch Linwest Thunderstruck - D- Ch Mishmax Sweet Satine) Puppy Dog - 2 entered 1. Jagarra Cool McCool - Long & Corns (S- Gr Ch Koendidda Um Rum - D- Ch Chablakmor Vodka On Ice) 2. Brohez Touch Of Foolery - R Oshae (S- Stoneheart Tom Foolery - D - Joelena Black Dahlia) Int Dog - 4 entered - 1 absent 1. Harved Surprise Party - M Booth (S- Jumadabey Imalona - D- Jamadabey Justaminnie) 2. Ryteaky Son Ov Assassin - M Connor (S- Niatona The Silent Assassin (Imp UK) - D - Truhart Dark Delight) 3. Jamelkur Show Machine - Neal & Birkland (S- Rayonaire The Nomad - D - Ch Jamelkur Shoin Shine) Aus Bred Dog - 2 entered 1. Powerpaws Lgnd OfThPark - D&B Power (S- Magicpower's LgndAtPowerpaws (Imp FLD) - D - Ch Powerpaws Ice Carving) 2. Boldhart Paint Thtown Red - P Yeates (S- Ourgang Tmorrow Belongs Tme - D - Ch Boldhart Coco Chanel) Open Dog - 5 entered - 1 absent 1. Ch Borstaff Ned Nottlysocks - F McBride (S- Gr Ch Jenrana Black Mail - D- Ch Borstaff Burls Girl) 2. Niatona All Revved Up (Imp UK) - J Morse (S- Niatona On A Mission - D - ut And About With Niatona) 3. NZ Ch Neworder Mr Ripley - B&K Marsh (S- Ch Truhart Black Night - D - Bonnystaff Atomic Baby) Challenge Dog - BOB Ch Borstaff Ned Nottlysocks Res Challenge Dog Powerpaws Lgnd OfThPark Baby Puppy Bitch - 2 entered - 1 absent 1. Ishiross Tuscan Legacy - J Griffin ( S- Magicpower's LgndAtPowerpaws (Imp FLD) - D- Ishiross Ice Maiden) Puppy Bitch - 4 entered - 1 absent 1. Brohez Shesa A Pearla - F McBride (S- Stoneheart Tom Foolery - D - Jeolena Black Dahlia) 2. Bodeway Flamin Whitehot - Birchall & Draper (S- Toplace Hakanbodaway - D - Standfast Precious Fewel) 3. Likalot Eve Of Destruction - D&B Power (S- Sparstaff Special Brew (Imp UK) - D - Ch Likalot Blazing Amazon) Junior Bitch - 5 entered 1. Ronjuade Bella De Ball - Ronjuade Kennels (S- Magicpower's LgndAtPowerpaws (Imp FLD) - D - Rawedge Painted Black) 2. Harved Truly Wicked - Draper & Birchall (S- Jumadabey Imalona - D - Ch Jumadabey Justaminnie) 3. Triffstaff Little Louee - A Stone (S- Ch Solidrock In Like Flinn - D - Triffstaff Genevieve) Int Bitch - 3 entered - 1 absent 1. Likaolot Dark Lady - Powerpaws Kennels (S - Likalot Leada Of The Pack - D - Simplystaff Pursingglory) 2. Jumadabey Liya - D Huon (S - FinCh Machiavellians Bullseye (Imp FLD) - D - Jumadabey Hareth) Aus Bred Bitch - 5 entered 3 absent 1. Skybreaker Miss Galaxy - Drisscol & Harrison (S- Niatona All Revved Up (Imp UK) - D - Stoneheart Snow Gypsy) 2. Truhart Witchy Woman - Long & Korns (S- Cherabah Divils Advocate - D - Truhart Night Shadow) Open Bitch - 2 entered 1. Ch Maxnjay Out Of The Ashes - J Griffiths (S- Niatona All Revved Up (Imp UK) - D - Ch Mishmax Sweet Satine) 2. Ch Chablakmor Vodka On Ice - Long & Korns (S- Chablakmor Devils Brew - D- Jeneld Ice Maiden) Challenge Bitch - RUBOB Ronjuade Bella De Ball Reserve Challenge Bitch Skybreaker Miss Galaxy Minor Puppy In Group Powerpark Sparks In The Park Intermediate In Group Harved Surprise Party
  11. bienvenue , désolée pour ton Cane ...
  12. oui et c'est souvent sous estimé dans les élevages ! alors méfiance !
  13. On est d'accord .... je ne prends personne pour un "teubé de seconde zone " sur ce forum du moins ! en fait ce qui me fait un "peur" c'est que tu as tourner ça d'une manière , les gens peuvent penser :"super simple le truc" (c'est d'ailleurs comme ça que le site qui vend les kits tourne la chose) .. juste un peu de méfiance et de pratique avant de recourrir soit même a ce genre de chose . C'est bien de le redire j'ai vu des vétos rater des inséminations .. 'ex : oublie de la mise a température , prélever et inséminer en frais avec les 3 phases ect ... car normalement pour récolter en réfrigéré , il faut faire appel a un véto agréer.. on est donc d'accord pas de soucis ... merci de le préciser c'est aussi ce sur quoi je voulais insister
  14. BRUCELLA CANIS Autre dénomination : Brucella melitensis biovar Canis. La brucellose canine (Brucella canis) est aussi une zoonose (maladie transmissible à l'homme) Il existe d'autres type de brucelloses, bovine, ovine, porcine...qui peuvent être transmises aux chiens Caractéristiques peu d'altération de l'état général avortements infertilité du mâle et/ou de la femelle chez le mâle quelque fois, orchite (inflammation testiculaire) altération en quelques semaines de la qualité de la semence puis laisse les femelles vides (semence très contagieuse) Chez la femelle : infertilité (avortement précoce) avortement tardif très fréquent (entre le 45ème et le terme) résorptions des ampoules et mise bas peu prolifique succession de plusieurs gestations avortées puis reprise d'un cycle normal Facteurs de dissémination Transmission par la bouche, le nez, les muqueuses génitales accouplements avec des animaux contaminés non isolement des femelles qui avortent ou qui mettent bas, et « flairages » des sécrétions vaginales par d’autres chiens confinement mauvaises conditions d’élevage Dépistage ne pas oublier que le chien est positif plusieurs semaines après avoir été contaminé test sérologique recherche de bactéries sur les chiens suspectés d'être porteurs recherche de brucelles dans le vagin spermoculture à partir du lait, à partir des fœtus et des avortons Prophylaxie Il n'existe pas de vaccin accouplements avec des reproducteurs testés régulièrement généralisation de l’insémination artificielle possibilité d’isoler les chiennes qui avortent (infirmerie) existence d’un local de maternité séparé, voire plusieurs (grands élevages) locaux espacés, bien ventilés, non humides retirer de l'élevage les chiens atteints traitement antibiotique spécifique quarantaine pour les nouveaux venus LA BRUCELLOSE CANINE Dr Samuel Buff La brucellose est une maladie causée par Brucella canis, une bactérie isolée la première fois sur un fœtus de chiot mort, dans le milieu des années 1960 aux Etats Unis. Elle touche aussi bien la mère que les fœtus. Au centre de nombreuses publications, cette maladie atteint un pourcentage mal connu de la population canine, évalué à plus ou moins 8 ou 10% outre atlantique. Cela revient à dire que presque un chien sur dix est porteur de Brucella canis. Brucella canis pose un problème de santé publique, puisqu’elle est transmissible à l’homme, qui développe alors une grave pathologie hépatique et une polyarthrite. Les fœtus contiennent l’agent virulent et doivent donc être manipulés avec toutes précautions. Les progrès en matière de produits pharmaceutiques ne suffisent pas, c’est une maladie délicate à traiter et dans la plupart des cas il n’y a pas de guérison. De nombreux propriétaires pensent que si leur chiens présentent cette maladie, ils le traiteront. Mais c’est une erreur grossière car si ils y parviennent, l’animal restera probablement stérile et plus ou moins rachitique. Comment se transmet Brucella canis ? Brucella canis se transmet sexuellement lors des accouplements entre mâles et femelles. Chez la chienne, la bactérie vit dans les tissus vaginaux et utérins, dans les sécrétions, et ce pendant de nombreuses années. Aussi, hormis de rarissimes cas, cela concerne toute la vie de l’animal. La chienne malade semble en excellente santé et aucun signe ne laisse supposer qu’elle est porteuse et excrète des brucelles. Elle peut ainsi contaminer d’autre animaux, même en dehors des accouplements, par le biais des urines, des secrétions vaginales, ou encore des avortons. Lorsqu’il y a gestation, la bactérie peut atteindre les fœtus et provoquer leur mort. Chez le mâle, Brucella vit dans les testicules, dans le fluide séminal. Le mâle atteint, tout comme la femelle, peut transmettre la bactérie par son urine ou son sperme. Généralement aucun signe extérieur n’attire l’attention, hormis lors de cas avancés où l’orchite est visible. Les portées avortent généralement dans les deux dernières semaines de gestation ; si les chiots atteignent le terme, ils peuvent mourir rapidement après leur naissance. Il semble toutefois qu’en Europe, la proportion d’avortements soit, pour l’instant encore, plus faible que chez nos voisins, ne dépassant guère 30 % des cas (le petit nombre de cas concernés aujourd’hui est vraisemblablement en rapport avec cette surprenante proportion). Lors d’avortement après 45 jours de gestation, la suspicion de brucellose canine est forte : toutes les précautions seront prises pour éviter une contamination (élimination des fœtus, port des gants, désinfection systématique). Attention, les fœtus sont émis avec un liquide gris-vert, extrêmement riche en brucelles !… Quels sont les risques? Ils sont extrêmement sérieux : Brucella canis est un micro-organisme contagieux pour l’homme ; il faut donc limiter les risques et prendre toutes précautions lors des contacts avec les avortons et les liquides émis. Si la mère atteinte ne s’avère pas incapable de procréer dans le futur, elle peut néanmoins disséminer son affection aux mâles et entraîner chez eux une infertilité. Le diagnostic de laboratoire Pour réaliser un test de laboratoire, un échantillon de sang sera prélevé par votre vétérinaire. Une sérologie positive devra toujours être confirmée par un second examen sérologique et une hémoculture. Une précaution utile consiste à tester chaque animal avant la mise à la reproduction, puisque la voie vénérienne constitue la voie de contamination principale entre individus asymptomatiques. La période de validité d’un tel test est fonction des interactions du chien ou de la chienne considérée, avec ses congénères. Une chienne testée un an plus tôt, ayant eu une portée normalement, devrait être re-testée avant un nouvel accouplement. Pour un mâle très sollicité, il devient difficile d’assurer une prévention efficace : dans l’idéal il devrait être testé entre chaque accouplement. Dans les cas d’avortement suspect, il conviendra d’effectuer systématiquement une recherche sur les fœtus, afin d’isoler la bactérie ; un prélèvement du sang maternel et un examen sérologique seront également réalisés afin d’écarter tout diagnostic de brucellose. La prévention Autant que possible, une quarantaine de 15 jours sera imposée à tout nouveau reproducteur introduit dans l’élevage, en particulier s’il s’agit d’une importation en provenance de pays réputés contaminés. A l’issue de cette période une sérologie sera demandée, même si l’animal dispose d’un certificat faisant état de l’examen avant la vente. Ce n’est qu’après obtention d’un résultat négatif que l’animal pourra quitter la quarantaine et rentrer en service. Toutes ces mesures peuvent sembler lourdes, mais les pertes occasionnées par un épisode brucellique en élevage sont incalculables : les reproducteurs atteints doivent être éliminés, la production de chiots est interrompue, et le potentiel génétique obtenu à force de sélection est systématiquement perdu. Le recours à l’insémination artificielle limitera au mieux les contacts entre les chiens, et donc suffisamment les risques de contamination, même si la possibilité de contamination d’une femelle saine en utilisant du sperme infesté par Brucella canis a été décrite. A l’inverse, même si la femelle est porteuse, le recours à l’insémination permettra de protéger intégralement l’étalon. Tout individu atteint devra être exclu de la reproduction : la castration chirurgicale de ces animaux est plus que conseillée. Les sérologies de routine permettent une bonne limitation du risque avant accouplement. Le traitement Il n’existe pas de vrai traitement : le chien sera asymptomatique, blanchi, mais il ne sera jamais guéri. Brucella canis vit au sein même des cellules du chien et reste peu accessible aux antibiotiques. Le traitement associe généralement plusieurs antibiotiques, comme la doxycycline, la minocycline et la dihydrostreptomycine. Ils ne sont que partiellement actifs, et provoquent une réduction temporaire du nombre de bactéries, même après plusieurs semaines de traitement. De tels animaux sont souvent excréteurs des mois, voire des années après. Il faudrait donc les stériliser chirurgicalement et surtout ne plus les utiliser comme reproducteurs. Même si le chien (ou la chienne) est le seul représentant d’une fabuleuse lignée, le faire reste discutable. Le problème de santé publique La contamination de l’homme par Brucella canis est possible, par l’intermédiaire des avortons ou des produits de l’avortement. Elle serait également possible par l’intermédiaire du sperme d’un chien atteint (en particulier lors de la récolte de semence). Votre vétérinaire utilisera volontiers un gant pour l’examen gynécologique de vos chiens. Ne pas tenir compte des précédentes informations constitue une prise de risque importante : vous jouez avec le feu tant pour votre élevage, que pour votre propre santé.
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