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romain04

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Tout ce qui a été posté par romain04

  1. Hypoxantha (apellé aussi opaline [la vraie dénomination]) Transmition : Lié au sexe (lmes femelles et les males sont hypo, mais seul les males peuvent etre porteur Valeur du CDE 2009 Male 150€ Femelle 120€ soit 230 et 185 $ canadien
  2. Cinnamon Transmition : Lié au sexe (Les femelles et les males sont cinnamon, seul les males peuvent etre porteur de cette mutation) Valeur du CDE 2009 Male 150 € Femelle 130 € soit 230 et 200 $ canadien
  3. mutation bleu. transmition recessive (male et femelle sont bleu ou peuvent l'etre porteur valeur sur le CDE 2009 120 € soit 185 $ canadien
  4. romain04

    mutation à deviner

    fallow pale headed ?
  5. Inséparable Masqué Agapornis Personatus Description L'Agapornis Personatus est originaire du nord-est de la Tanzanie et du sud-est du Kenya. Il mesure 15 cm, sa tête est très noire, le cou et la poitrine sont jaunes. Le reste de son corps est vert, le croupion bleu-violet. Il possède un cercle occulaire blanc, un bec rouge et des pattes grises. Les jeunes ont des couleurs plus ternes que les adultes. Logement Une cage de 80 cm x 40 cm x 40 cm suffira pour faire reproduire un couple. Il peut vivre en volière extérieure toute l'année, étant un Oiseau très robuste. Il pourra cohabiter avec d'autres Personatus en volière commune, mais on veillera à mettre plus de nids que de couples en période de reproduction pour limiter les conflits. Alimentation L'idéal est un mélange tout prêt pour Agapornis avec essentiellement de l'alpiste, du millet (blanc, roux, jaune), du cardy, du chénevis, du sarrasin, du niger et du riz paddy. Pour les Oiseaux en extérieur, on ajoutera du tournesol, surtout en période de gel. En plus des graines, on leur apportera quotidiennement des fruits (pommes, dattes, oranges…) et des légumes (salades, endives…) frais, bien lavés et accompagnés d'une pâtée aux œufs. En période de reproduction on complètera par des graines germées. Reproduction La période de reproduction a lieu toute l'année. Il faudra leur fournir un nid (boite-nichoir) de 25 cm x 18 cm x 18 cm avec un trou d'entrée de 4 cm de diamètre, et des branches de saules ou d'arbres fruitiers (attention aux arbres toxiques !). La femelle pond entre 4 et 6 œufs. Un œuf tous les deux jours en général. La période d'incubation est de 23 jours à partir de la ponte du deuxième œuf. Après la seconde nichée, il est préférable de mettre le couple au repos. Texte issus de http://fr.wikipedia.org/wiki/Ins%C3%A9parable_masqu%C3%A9 Photos du web
  6. après tout dépend de la mutation. pour un type sauvage et un simple opaline cela fait cher.
  7. oui mais la quaker il parle d'oiseau
  8. Inséparable de Fisher Agapornis fischeri Taille 15cm environ Description et habitat naturel:Originaire d'Afrique du Sud, ces mini-perroquets aux couleurs vives et très élégantes ont un plumage de base qui est vert clair. La tête jusqu'au milieu de la poitrine est recouverte d'un dégradé allant du rouge-orangé (parfois même quelques tâches brun-orangé) au jaune-orangé. La cire de son bec rouge vif est de même couleur que le cercle oculaire blanc entourant son œil. Ses ailes sont bordées de jaune et ses plumes sus-caudales sont d'un bleu clair très intense. Vivant au nord du lac Victoria et en Tanzanie du Nord cet inséparable vit dans les zones allant de 1000 mètres jusqu'à 1700 mètres d'altitude et se nourrit de graines de diverses herbes ou arbustes. Ils peuvent faire des ravages dans les champs de maïs et se déplacent en groupes très nombreux. Elevage en captivité et informations diverses:Il est très sociable avec les inséparables en général, néanmoins il est déconseillé de le laisser avec d'autres genres d'oiseaux exotiques. Assez bruyant, il est très actif, très habile et aime bien voler. Très commun, disponible dans toutes les oiselleries et animalerie. Comme tous les inséparables, il est très agile, dynamique et doué à l'escalade ainsi qu'aux autres acrobaties. Il ne peut pas tenir en place au même endroit sans bouger plus de dix minutes. C'est le plus apprivoisable des mini-perroquets de ce genre, il fera un excellent compagnon. Impossible de maintenir cet oiseau à une température de moins de 10°c. Alimentation et soins à apporter:On nourrit cet inséparable avec un mélange de graine type "Agapornis" et a défaut un mélange spécial perruches ondulées auquel on ajoutera des graines de tournesol de différents types... vous complèterez ces mélanges avec de la verdure: surtout des graines germées. Branches fraîches à distribuer pour qu'ils puissent jouer avec et entretenir leur bec. Figues, dattes, pommes et notamment épis de panic peuvent être donnés de temps en temps. Pâtée d'élevage à distribuer pendant la saison de reproduction. Reproduction en captivité:Très facile à faire reproduire, taux d'humidité de 70% (conseil: humidifiez les nids chaque jour). Deux couvées par an conseillées pour ne pas épuiser les parents. Notons également que les deux parents couvent la nuit. Le jour le mâle nourrit la femelle dans le nid. Une cage de 80cm sur 40cm et 40cm conviendra pour cet inséparable, la reproduction dans les batteries est donc possible, ce qui est plus appréciable afin de pouvoir prévoir les mutations à venir. Un nichoir horizontal de 25cm de hauteur, 18cm de largeur et 18cm de hauteur conviendra avec un trou d'entrée de 5 à 6cm. Quatre à sept œufs, en général cinq seront pondus à intervalle régulier: un chaque jour dans la plupart des cas. La durée d'incubation de ces œufs est de 23 jours environ et les oisillons sortent du nichoir au bout de 5 à 6 semaines après éclosion. Ils sont généralement sevrés au bout de deux semaines après sortie du nid. Les jeunes reconnaissables par la couleur marron que le bec porte pendant quelques mois (jusqu'à 4 mois), peuvent se reproduire à partir de 14 mois mais il est conseillé de ne pas le faire se reproduire avant 20 mois. Baguage de 4.5mm de diamètre. Texte issus de http://fr.wikipedia.org/wiki/Ins%C3%A9parable_de_Fischer Photos du web
  9. le sac est blanc avec des inscription en vert. Il est bien. Par contre il est cher car 30 litres ne font pas les 25 kg (on en vend).
  10. Si c'est du type sauvage (gris avec la tête jaune) . Le male aura la tête totalement jaune,la femelle aura une tête grise avec parfois des taches jaunes dessus. Le dessous de la queue de la femelle aura des stries (le male sera une couleur unie). et le dessous des ailes des femelles sera composé d'une bande de point blanc. En ce qui concerne, la parole, il est vrai que les males on une aptitude plus elevé. Mais ils peuvent parler tous les deux. Par contre pour l'entendre parlé, il ne faut pas qu'elle soit en contact avec une autre calo
  11. dépeche toi, après ce sera plus dur a plumer. non il est beau
  12. Inséparable d'Abyssinie Agapornis Taranta Taranta Ce magnifique agapornis maintenant appelé inséparable d’Abyssinie, est le plus grand du type agapornis. Découvert en 1814, ils ne furent cependant présents qu’en 1906 en Europe. Aire de répartition : Ethiopie et contrées montagneuses d’Abyssinie. Sous-espèce : On distingue une sous-espèce appelée agapornis taranta nana, localisée dans les hauts plateaux d’Ethiopie. En ce qui nous concerne, celui que l’on peut observer généralement en captivité est l’agapornis taranta taranta. Description : Il mesure 16,5 centimètres. Mâle : Front rouge vif, le corps est vert lumineux, il devient plus jaunâtre sur la poitrine, l’abdomen, les flancs et la région anale. Les rémiges sont noires, la queue présente une tache noire à l’extrémité, le bec est rouge, les yeux sont brun foncé, les pattes sont grises avec les ongles gris foncé. Femelle : Comme le mâle ,mais elle ne présente pas de rouge sur le front. La sous-espèce se différencie par des ailes plus courtes et un bec lus petit et plus étroit. Mœurs à l’état sauvage : Les tarantas vivent dans les forêts éclaircies des régions montagneuses, entre 1300 et 3000 m. En dehors de la période de reproduction, ils vivent en petits groupes souvent de quelques dizaines d’individus. Ils se nourrissent essentiellement de graines, de baies et fruits. Ils peuvent se retrouver en colonies sur un figuier pour déguster les figues mi-mûres. Pendant la période de reproduction, les couples s’isolent. Ils nichent dans des trous d’arbres, la femelle dépose au fond du nid une couche de brindilles et herbes séchées qu’elle transporte entre ses plumes comme beaucoup d’autres agapornis. Peu de temps après, la femelle pondra 3 à 6 œufs dont 1 tous les 2 jours, qu’elle couvera environ 25 jours. Logement en Captivité : Les tarantas sont des oiseaux calmes, ils apprécient d’être placés dans un endroit calme et peu bruyant. Il faut éviter les volières collectives, des bagarres de territoire pourraient être fatales. La petite volière individuelle (par couple) ou la batterie de 1mx40x40 leur convient très bien. Ils peuvent rester l’hiver dehors à condition de leur procurer un abri ou d’y laisser le nid toute l’année. Reproduction : Généralement les tarantas reproduisent à partir de 2 ans. Les femelles font une ou deux pontes à l’automne ou deux au printemps. Ce ne sont malheureusement pas des oiseaux prolifiques, ils restent difficiles à reproduire, car malgré les pontes et éclosions, peu de femelles élèvent leurs jeunes. Un nid en forme de L renversé leur sera fourni. Au fond de la chambre de couvaison, on disposera de la tourbe blonde humidifiée, la femelle confectionnera le nid avec quelques brindilles, des feuilles et des plumes pour finir de le tapisser. Le premier œuf pondu sera suivi de 3 ou 4 autres. La femelle couve toute seule, le mâle ne rentre pas souvent au nid, juste pour nourrir sa femelle. La couvaison dure environ 25 jours, les jeunes naissent avec un duvet blanc, le baguage s’effectue avec une bague de 4,5 mm de diamètre, les jeunes resteront 50 jours au nid. Leur plumage ressemble à celui de la femelle, quelques jeunes mâles présentent un peu de rouge sur le front. Après l’envol, les jeunes sont encore nourris pendant une quinzaine de jours. texte de Gille Dominique sur http://club-agapornis.nuxit.net/index.php?page=pages/03_agapornis/03_taranta/03_taranta.php Photos du web
  13. si il vienne de sortir il faudra attendre la mue
  14. Inséparable à Joues Noires ou Agapornis Nigrigenis Agapornis personata nigrigénis Description Les origines de cet Oiseau africain, se situent en Rhodésie, en Zambie et au Zambèze. Son habitat naturel très restreint ; il préfère vivre dans les vallées et au bord des cours d'eau, jusqu'à 1 000 m d'altitude. En saison de reproduction il peut rechercher sa nourriture au delà des 1 000 m. Le Nigrigenis est un Oiseau trapu qui mesure environ 13 cm. Sa queue est courte. Il est le plus petit de la famille des inséparables à anneau oculaire nu. Le plumage du mâle est d'un vert intense. Sa tête est de couleur rouge-brun et ses joues noir-brun. Le haut de la poitrine est rose orangé. La gorge, les lores et les joues sont noires. Les sus caudales et le croupion sont de coloration bleue, alors que la queue est verte comme les ailes, avec un léger voile jaune sur les plumes latérales. Son bec est rouge orangé. Le cri du Nigrigenis est très aigu. Il ressemble à celui de tous les inséparables. Logement Il est préférable de faire l'élevage du Nigrigenis en cage. Mais les jeunes, voire les parents hors période de reproduction, peuvent être placés en volière où ils auront plus de place pour s'ébattrent. La cage sera d'environ 80 x 40 sur 40 cm de haut. Leur nid (type inséparable) devra être de position horizontale de 25 x 18 x 18 cm, pour ne pas que la femelle casse les œufs en rentrant dans le nid (c'est quand même un Oiseau très actif). Alimentation L'alimentation du Nigrigenis est identique à celle des autres Agapornis. Elle est constituée d'un mélange riche et varié de graines sèches, parmi celles-ci il y a le millet, le panic, l'alpiste, des graines de tournesol,... On trouve dans le commerce un "mélange agapornis", mais la plupart des éleveurs préfèrent le "mélange grandes perruches". On peut ajouter de temps à autre, surtout en période de reproduction, de la pâtée aux œufs. Les fruits et les légumes frais font aussi partie de son alimentation. Il est indispensable de mettre à sa disposition de l'os de sèche et du sable ou du "grit" pour la digestion. Reproduction On a vu que le nichoir doit être installé à l'horizontale. En effet de cette manière il ressemblerait au nid naturel utilisé à l'état sauvage, c'est-à-dire une souche allongée avec antichambre. Comme pour les Oiseaux de cette famille, on fournira en fond de cage, des morceaux de bois tendre (noisetier, saule, fruitier,..). Ces matériaux charriés par la femelle, serviront à garnir le fond du nid. Vers les 4 à 10 jours avant la ponte, commencent les prémices de l'accouplement : parades du mâle qui incitent la femelle à garnir le nid. Au bout de quelques jours, la femelle commence à pondre ses 4 à 7 œufs blancs de forme légèrement allongée. Normalement la femelle pond un œuf tous les deux jours. Les accouplements prennent fin avant la ponte du dernier œuf. C'est à ce moment que la femelle commence à couver. Les petits naissent au bout de 23 jours environ et sortent du nid 6 semaines après. Le plumage des jeunes est un peu terne ; le bec est orange avec des striures noires sur la base de la mandibule supérieure. personata a gauche nigrigenis a droite Texte issus de http://fr.wikipedia.org/wiki/Ins%C3%A9parable_%C3%A0_joues_noires Photos du web
  15. Inséparable à tête rouge Agapornis Pullaria Pullaria De toutes les espèces d’Agapornis détenues en captivité, l’inséparable à tête rouge est vraiment un cas particulier. Aire de répartition : Toute l’Afrique centrale depuis la sierra Léone, à l’ouest jusqu’à l’Ethiopie à l’est du continent, soit au total plus de 10 fois la France. Mœurs à l’état sauvage : On en distingue 2 sous espèces que nous décriront plus loin. Loin d’être rare à l’état sauvage, cette espèce est rarissime en cage, et sa reproduction reste exceptionnelle. C’est pourtant le plus proche parent du roseicollis: témoin son croupion bleu pâle et ses plumes de queue vertes barrées de rouge et de noir, et aussi leur habitude commune à transporter des brindilles dans leurs plumes pour la confection du nid. On les rencontre principalement à l’orée des forêts ou dans les zones légèrement boisées des savanes jusqu’à 1300 mètres d’altitude, où par groupes de 15 à 30 et parfois plus ils passent leurs journées au sol et dans les hautes herbes en quête de nourriture, n’hésitant pas à s’accrocher la tête en bas pour attraper les précieux grains, mais ne dédaignent pas les fruits, bourgeons et autres baies. On a signalé quelques cas de migrations et des bandes de plusieurs centaines d’oiseaux s’abattent parfois sur un champ de blé ou de millet qu’ils ravagent au passage. L’Agapornis pullaria est la plus ancienne espèce du genre a avoir été décrite puis importée en Europe. C’est en effet en 1758 que le célèbre naturaliste Suédois Carl von Linné lui donna son nom actuel en référence au latin “pullus” (jeune animal) et “arius” (semblable) que l’on peut traduire par “semblable à un jeune oiseau”...comprenne qui pourra. Dès sa découverte l’oiseau reçut de nombreux noms: Psittacule moineau, Perruche poussine et même Perruche moineau de guinée avant de devenir inséparable à tête rouge. Cependant d’après une peinture du 16ème siècle représentant “la dame à l’oiseau”, il semblerait bien que notre pullaria était déjà détenu en captivité il y a plus de 450 ans ! En 1829 le Roi de Westphalie en possédait dans sa collection et la première reproduction semble avoir eu lieu en Allemagne en 1868 chez le docteur Karl Russ. Description : La forme nominale agapornis pullaria pullaria décrite par Linné en 1758 semble la plus répandue puisqu’on la rencontre depuis la Guinée à l’extrême ouest de l’Afrique jusqu’au sud est du Soudan à l’opposé du continent. Mesurant environ 15 cm, mâles et femelles sont nettement différenciables. Chez le mâle, la face les joues et le front sont rouge orangé. Le corps est vert, jaunâtre sur la face ventrale et beaucoup plus vert sur le dos. La bordure de l’aile est bleu foncé au niveau de l’épaule avec ça et là quelques plumes bleu ciel. Le dessous de l’aile est noir, le croupion bleu ciel, le bec rouge vif, les yeux brun foncé avec un cercle oculaire formé par une bande étroite de petites plumes bleues et blanches. Enfin les pattes sont de couleur grise avec des ongles gris foncé. La femelle quoique de taille semblable, diffère du mâle par une face rouge orange plus pâle, l’absence de bleu sur les bordures des ailes et surtout un dessous des ailes vert et non noir. La sous espèce Agapornis pullaria ugandae ne fut découverte qu’en 1908 par Neumann en Ouganda. On la rencontre seulement à l’est de l’Afrique. Cette variété est légèrement plus grande que la précédente et diffère surtout par un croupion bleu très pâle et très discret. Elevage en captivité : Jusqu’à la fin des années 60, l’espèce était importée en très grand nombre et relativement connue auprès des amateurs. Les deux sous espèces se rencontrent mais il n’est pas toujours aisé de former des couples de race pure vu le peu d’oiseaux disponibles. Aujourd’hui les importations ne sont qu’exceptionnelles mais restent le seul moyen de se procurer ces oiseaux paisibles et pour une fois à la voix très douce. Le pullaria est une espèce extrêmement délicate, surtout pour les oiseaux récemment importés qui doivent être entourés des plus grands soins. Dans bien des cas, environ 3 mois après leur importation, on observe un très fort taux de mortalité sans raison apparente: les oiseaux se mettent à haleter, tombent de leur perchoir sur les flancs ou le dos et meurent. Une maladie virale encore inconnue et propre à l’espèce pourrait en être la cause. Ces oiseaux demeurent toute leur vie extrêmement sensible au stress, même si une fois acclimatés ils peuvent passer toute l’année en extérieur à condition de pouvoir s’abriter. Dans de grandes volières on pourra sans problème loger plusieurs couples ensemble. Une cause fréquente de mortalité chez ces oiseaux est l’hémorragie cérébrale suite à une frayeur. Ces oiseaux ne dorment qu’exceptionnellement dans un nichoir mais il est très courant de les voir dormir la tête en bas un peu comme les loricules. Disposer des branches dans le haut de la volière sera donc une excellente idée. Pour ce qui est de la nourriture, ces oiseaux sont assez hétéroclites puisqu’il n’est pas rare de les voir consommer des insectes comme de petits asticots et autres vers de farine. Pour le rest, la nourriture est semblabel à celle des autres agapornis. Reproduction : Le principal problème avec les pullaria est que leur reproduction relève du miracle ou plutôt demande énormément de temps et d’observations. Dans la nature ces oiseaux nichent dans des termitières parfois à plus de 15 mètres de hauteur. Dans ces termitières, confectionnées par les insectes avec terres, excréments et salive, très compactes et très dures, la femelle seule creuse un long tunnel( 40 cm à 1m) au bout duquel se trouve la chambre de ponte, souvent tapissée de feuilles transportées dans les plumes du croupion. Il est curieux de voir que les termites pourtant généralement très agressifs, lorsque l’on perturbe leurs nids, semblent tolérer la présence des pullaria. La ponte a lieu de mai à juillet pour A.p.ugandae et de septembre à octobre pour A.p.pullaria. En cage, il est impératif de fournir aux oiseaux un nid remplis de matériaux très durs où la femelle pourra creuser son tunnel, sinon tout espoir restera vain. Autre souci, la chaleur qui règne dans les termitières n’encourage pas les femelles à couver leurs oeufs avec assiduité, mauvaise habitude que certaines semblent conserver dans nos volières. La solution la plus simple consiste à chauffer les nids avec des résistances chauffantes ou des ampoules infra-rouge ou céramiques. Aussi compliqué que cela puisse paraître, l’inséparable à face rouge n’en demeure pas moins une espèce très intéressante, peu bruyante et joliment colorée qui visiblement semble en bonne voie de stabilisation depuis quelques années. Ils peuvent vivre en petite cage de 80x40x40xcm, ce qui ne les empêche pas de s’intéresser au nid, mais doivent être tenus à l’écart des regards permanents et surtout loin des autres espèces bruyantes comme les roséïcollis. On peut leur faire passer tout l’été dans une grande volière en compagnie de dizaines de perruches ondulées sans jamais constater le moindre signe d’agressivité. Texte de Gille Dominique sur http://club-agapornis.nuxit.net/index.php?page=pages/03_agapornis/02_pullaria/02_pullaria.php Photos du web
  16. si il sont plumés ce n'est pas qu'ils sont tombés du nid, ils sont juste sorti. encore deux semaines et ils seront sevrés. les elever main maintenant ne sert a rien. Ce que tu peux faire c'est leur mettre des branches de millet (la graine la plus facile pour sevrer un jeune). En leur parlant doucement pour ne jamais les brusquer ils seront abitués a toi sans etre dépendant de toi (c'est tout aussi bien).
  17. Inseparable a tête grise Agapornis Cana Cana L' Agapornis Cana, aussi appelé Inséparable à Tête Grise ou de Madagascar, a été décrit pour la première fois en 1788. La sous-espèce, quand à elle, a seulement été découverte et décrite en 1918. Aire de répartition : Madagascar et quelques îles avoisinantes : Les Comores, Les Seychelles, l'île Maurice. Description : Il fait partie du groupe avec dimorphisme sexuel, mâles et femelles montrent une différence de couleur. Il mesure approximativement 13 centimètres et paraît beaucoup plus petit que les autres espèces d'agapornis. Il est moins costaud avec une tête plus fine. L' Agapornis Cana: Chez le mâle, la tête, le cou et la poitrine sont gris et le reste du corps vert.La femelle est totalement verte. Le bas de la poitrine, l'abdomen et les flancs sont verts tirant sur le jaune, les ailes sont vert foncé, la queue est verte avec l'extrémité noire, le croupion est vert foncé, le bec est grisâtre, les pattes sont grises et les yeux brun foncé. Il se différencie des autres espèces Agapornis ; il est moins trapu, la tête est fine et le bec plus fin. Sa structure diffère légèrement de celle des autres espèces ; les bavures des plumes de la tête et de la poitrine ont une zone nuageuse. La sous-espèce agapornis cana ablectanea possède un plumage vert plus foncé avec une suffusion violette. Biotope : L' Agapornis Cana peuple les zones boisées et les clairières qui bordent la côte. On le trouve aussi sur les versants montagneux, mais on en signale très rarement au dessus de 1000 m d'altitude. Ils vivent en petits groupes pouvant aller jusqu'à cinquante ou même cent individus. Ils se nourrissent de différentes semences d'herbes. Ils peuvent causer de gros dommages dans les cultures de riz paddy. Lors de la saison des pluies (de novembre à avril) ils nichent dans des arbres creux. La femelle fabrique son nid avec des lamelles de feuilles et écorces qu'elle transporte dans ses plumes. La ponte varie de trois à huit œufs couvés uniquement par la femelle. L'incubation dure environ 23 jours et les jeunes quittent le nid après une quarantaine de jours. Mœurs en captivité : La littérature le décrit souvent comme un oiseau d'apparence calme et tranquille. Mais il ne faut pas se fier à ces apparences trompeuses, il faut absolument séparer chaque couple. Les essais, de plusieurs couples ensembles se sont souvent soldés par la mort d'un individu, en général le mâle. Par contre, l'élevage commun avec des petites espèces exotiques ou même avec des euphèmes dans de grandes volières plantées ont connu une certaine réussite. En captivité, le Cana est un oiseau très stressé, et peureux. Outre la grande volière, il pourra être détenu soit en petite volière individuelle ou en cage batterie de 80x40x40. L'endroit devra être au calme, les cris des autres Agapornis bruyants peuvent les déranger et diminuer les chances de reproduction. Le nid proposé au Cana sera un nid-boîte en forme de L renversé qui leur procurera une chambre de couvaison inférieure au couloir d'entrée : elle sera remplie de tourbe blonde et de copeaux de bois. La période de reproduction du Cana en captivité est de fin août à février. Ce qui rend la reproduction encore plus difficile pour les éleveurs qui les détiennent en extérieur. Il faudra leur fournir des branches fraîches et plus particulièrement du laurier sauce. La femelle découpera des lamelles qu'elle transportera à la façon des roseicollis, dans le nid, pour en tapisser la chambre de couvaison. La ponte est de 4 à 6 œufs, les œufs sont tous blancs. La couvaison commence à partir du premier ou deuxième œuf et dure environ 23 jours. Les Canas étant très farouches : il faudra veiller à ne pas les déranger et éviter de contrôler le nid trop souvent. Le mâle visite régulièrement le nid pour nourrir la femelle. Les jeunes naissent avec un duvet blanc-jaunâtre, ils resteront au nid pendant 6 semaines et seront nourris encore une quinzaine de jours ensuite. Lorsqu'ils quittent le nid, ils ressemblent à la femelle, le gris de la tête chez les jeunes mâles apparaît très rapidement. Les jeunes devront être séparés des parents au bout de deux mois, car les parents pourraient devenir agressifs et hypothéquer les chances d'une éventuelle seconde nichée. Chez les canas, la réussite en élevage reste très aléatoire : une année peut être excellente et la suivante désastreuse. Alimentation : Il faut essayer de varier le plus possible leur alimentation. Ce qui sera difficile puisqu'ils n'acceptent que peu de chose. Leur régime de base se constituera d'un mélange agapornis enrichi de paddis, du millet en grappe. Texte issus de http://fr.wikipedia.org/wiki/Ins%C3%A9parable_%C3%A0_t%C3%AAte_grise Photos du web
  18. romain04

    mes amazones....

    félicitation on attend les
  19. Inséparable Liliane Espèce : personata lilianae Origine et Biotope Contrairement aux autres personata, ces oiseaux aiment vivre à proximité de l’eau, ce qui explique leur abondance sur les rivages du lac Nyasa. Leur régime alimentaire est constitué de semences de graminées (surtout pendant la période d'élevage) et c'est pour cela qu'ils sont aussi bien vus au sol que dans les acacias dont les fleurs passent pour constituer une partie de leur nourriture à laquelle s'ajoute graines, fruits et bourgeons. Ils ne dédaignent pas de faire des incursions dans les champs de céréales, notamment de millet. Hors de la période de nidification, ils sont très sociables et se déplacent en bandes de 20 à 100 individus. Ces bandes éclateront en groupes plus restreints quand arrive la saison des amours. Ils aiment à pondre dans les nids laissés vides par les Tisserins, dans des cavités d'arbres et ils leur arrivent même de nicher sous les toits des huttes et des habitations. La femelle construit un nid en dôme très complexe à l'aide de brindilles, d'écorces mâchées qu'elle transporte dans son bec. Entretien et élevage En colonie dans une grande volière on obtiendra de très bon résultats .Mais pour une plus grande maîtrise de son élevage (consanguinité, mutations ...) A la période de reproduction, on logera les Liliane par couple en grande cage métallique d’au moins (0.60mx0.35mx0.35m) . L’ alimentation doit tenir compte bien évidemment de l’époque et de la condition des oiseaux , sachant que se sont des oiseaux qui mangent de tous .Mais généralement on fournira un mélange pour grandes perruches le plus pauvre possible en tournesol ( très grasse , huileuse ) .On fournira une pâtée à l’œuf sèche ou humidifiée avec du couscous bouillie ou mélangée avec des graines germées .Ces dernières sont un excellent apport naturel de vitamines et seront données à volonté lors de la reproduction . La nourriture verte est aussi grandement appréciée par les inséparables, on leurs donnera à volonté selon l’époque (mouron, bourse à pasteur, séneçon, pissenlit etc.) .Mais surtout très régulièrement des branches de saule fraîches et humidifiées, c’est un apport nutritionnel important pour les agapornis et une bonne lime pour leur bec et c’est aussi un fond de nid très apprécié. Mais aussi des légumes et céréales ( carotte ,blettes ,mais doux, petits pois, haricot… ) des fruits ( pomme, orange,.. ) .L' apport de petits fruits sauvages ( sorbier , aubépine, piracantha ) est aussi apprécié. Un apport de minéraux est indispensable sous la forme d’os de sèche, grit, bloc pigeon. Ils boivent peu mais il faut veiller à la qualité de l’eau et à son renouvellement quotidien. Il vaut mieux accoupler des oiseaux d’au moins 1 an .On fournira un nid horizontal (20x30x20) et beaucoup de matériaux de garniture (paille, herbes, foin, branches tendres).La femelle véritable architecte construira un nid dôme très impressionnant avec un tunnel d’entrée. Le Liliane ne pose pas de problème c’est oiseau très calme et prolifique. La seule difficulté hormis le sexage des oiseaux, c’est sa rareté alors que dans les années trente il était abondant dans les élevages. La femelle pondra un œuf tous les deux jours .La ponte comportera de 4 à 6 œufs, la couvaison débute généralement dès le deuxième œuf, elle est effectuée par la femelle, elle dure 22/24 jours .Les jeunes seront bagués en 4.5mm, ils quittent le nid à 6 semaines et seront sevrés 2 semaines plu tard. Les Mutations et hybridation L’hybridation avec des oiseaux aussi proche que le genre personata ne pose aucune difficulté. D’autant que les hybrides sont fécond .L' hybridation dans ce cas précis n’apporte rien et dénature les espèces originelles. On a bien souvent croisé la forme nominale du Liliane avec le roseicolis ou le Fischer, les issues sont souvent assimilées à l’une ou l’autre espèce. Pour être sur d’avoir un Liliane pur, il faut vérifier ces trois points: le croupion est vert l’iris est brun-rouge et non brun-foncé Il y a absence de jaune (collier et poitrine) Texte issus de http://fr.wikipedia.org/wiki/Ins%C3%A9parable_de_Lilian Photos du web
  20. j'aime bien les pennants, les tiens sont très beaux. Qu'y a t'il comme système au bout de la bouteille
  21. super jolie. J'ai le même pastelino et le meme perso vert
  22. Perruche à Croupion Rouge Genre: Psephotus Nom latin Psephotus haematonotus Dimorphisme sexuel : Le male est plus colorée par rapport a la femelle. Il présente une tache rouge sus-caudale que la femelle ne possède pas ou très peu. Taille 27 cm Poids 50 à 70g Description et habitat naturel:Originaire du Sud-Est de l'Australie, cette perruche principalement verte doit son nom à ses plumes sus-caudales (croupion) qui sont d'un rouge éclatant. Son bec est noir, l'iris de ses yeux est jaune-orangé, ses flancs et son ventre sont jaunes. Ses régimes sont noires bordées d'un trait blanc et sa queue est vert teinté par endroits de bleu. Elle vit vers les jardins et terrains cultivés à proximité de l'homme. La perruche à croupion rouge se déplace en couple pendant la saison de reproduction mais rejoint des bandes atteignant la centaine d'individus en hiver. Elevage en captivité et informations diverses:C'est une perruche assez calme généralement, son chant est également agréable. Devant être logée dans une volière de 3m de longueur sur 2m de largeur et de hauteur, cette perruche n'est pas sociable. Un autre défaut est à noter chez cette perruche: elle a tendance à rester au sol et elle est donc plus vulnérable aux vers intestinaux. Il faut la vermifuger régulièrement. Acquise jeune elle peut se révéler un excellent compagnon avec l'homme car elle n'est pas peureuse. Les perruches à croupion rouge sont utilisée également en tant que parents adoptifs, par exemple elle nourrit parfaitement les omnicolores jusqu'à leur sevrage. Pas sociable avec d'autres espèces. Alimentation et soins à apporter:Son alimentation se compose de graines de millet, tournesol, de maïs concassé, d'avoine et du blé (régime de type moyennes perruches). On pourra compléter son alimentation comme pour toutes les espèces par des pommes, carottes, graines germées et mouron. Donner des compléments alimentaires (vitamines et minéraux). Ses repas devront être variés. Donnez-lui fréquemment des branches fraîches qu'elle décortiquera avec plaisir. Fournissez-lui de l'eau en quantité pour qu'elle puisse s'y baigner durant la saison chaude. Reproduction en captivité:La reproduction de cet oiseau est très facile. Ne pas excéder trois nichées par an. Un nichoir de type "bûche" 20cm de diamètre et 40cm de hauteur et une entrée de 8 cm de diamètre conviendra à cette grande perruche. Généralement la femelle pond 5 œufs, au maximum 7. La durée d'incubation de ces œufs est de 20 jours environ et les oisillons sortent au bout de 4 semaines après éclosion. Ils sont généralement sevrés au bout de deux semaines et demi. Les enlever après cette période pour éviter toute catastrophe si le mâle a décidé de refaire une nichée et de faire partir ses petits indépendants. Les jeunes sont plutôt ternes. Plumage adulte à partir de 11 mois environ. type sauvage lutino et bleu australien pallid opaline x pallid opaline bleu opaline x bleu opaline bleu/panaché x panaché bleu nouvelles mutations apparues opaline orange x opaline orange rubino orange x rubino orange Texte issus de http://fr.wikipedia.org/wiki/Perruche_%C3%A0_croupion_rouge Photos du web et Eco2
  23. oui ca fait des hybrides. Mais le croisement entre les différentes sous espèce ne date pas d'hier, donc on ne peut plus parler aujourd'hui d'hybrides.
  24. Cacatoes de baudin Le Cacatoès de Baudin (Calyptorhynchus baudinii Lear, 1832) est une espèce d'oiseaux appartenant à la famille des Psittacidae. Son nom commémore Nicolas Baudin (1754-1803). // Description Cet oiseau mesure 60 à 65 cm pour une masse de 650 à 800 g. Le plumage présente une dominante noire. Le dimorphisme sexuel est très net : le mâle a le bec noir, les cercles oculaires rosés et les taches auriculaires grisâtres tandis que la femelle a le bec corne clair, les cercles oculaires grisâtres et les taches auriculaires blanc pur. L'immature ressemble à la femelle. Répartition Cet oiseau peuple le sud-ouest de l'Australie. Reproduction La femelle pond un ou deux oeufs. L'incubation dure 29 jours. Les jeunes demeurent au nid 11 à 12 semaines. Texte issus de http://fr.wikipedia.org/wiki/Cacato%C3%A8s_de_Baudin Photos du web
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