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romain04

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  1. romain04

    L'hybridation

    Ce qu'il ne faut pas faire, mais très présent aux Etats Unis http://www.voliere-exterieure.com/index_fichiers/page39.htm
  2. Ara de Buffon Ara ambigua QUELQUES MESURES : L : 85 à 90 cm Poids : 1260 à 1400 gr LONGEVITE : Jusqu’à 60 ans DESCRIPTION DE L’OISEAU : L’ara de Buffon est une espèce menacée et classée comme étant en Danger d’Extinction. Mais aujourd’hui, la plupart des habitats restants sont protégés par des Réserves Naturelles et des programmes de conservation. L’adulte est très semblable à l’Ara militaire (Ara military), avec un plumage similaire, mais l’ara de Buffon est plus grand. Il a le plumage vert, mais plus clair que celui de l’ara militaire. Les parties supérieures sont vert jaunâtre, y compris la calotte et les couvertures sus-alaires. Le croupion et les couvertures sus-caudales sont bleues, ainsi que les rémiges qui sont un peu plus foncées. La longue queue graduée est rouge orangé avec les extrémités bleues. Sur les parties inférieures, le corps est vert jaunâtre, mais le bas-ventre et les couvertures sous-caudales sont bleus. Les sous-caudales sont vert-olive. Le dessus des ailes présente des couvertures vertes, alors que les rémiges sont vert-olive. La tête est vert jaunâtre avec le front rouge. La peau nue de la face est blanc rosâtre, parcourue de fines lignes de plumes noirâtres et rougeâtres. Le grand bec robuste est noir, plus clair vers l’extrémité. Les yeux sont jaune pâle, avec un cercle oculaire blanc rosâtre. Les pattes et les doigts sont gris foncé. Les deux sexes sont semblables. Le juvénile ressemble aux adultes avec le plumage davantage teinté de vert-olive. On trouve deux sous-espèces : Ara ambigua ambigua, qui vit à l’est du Honduras et du Nicaragua, jusqu’au Costa Rica et au Panama, et au nord-est de la Colombie. Ara ambigua guayaquilensis, vit à l’ouest de l’Equateur où se trouvent deux populations isolées. CRIS ET CHANTS : L’ara de Buffon émet des cris rauques sonores, et des grognements «aowrk ». Il est bruyant en vol. HABITAT : L’ara de Buffon vit dans les humides forêts pluviales, dans la canopée. Quand il se nourrit, il peut être vu dans des zones plus découvertes, mais il fréquente aussi les contreforts boisés des collines. Il est visible jusqu’à 1000 mètres d’altitude. DISTRIBUTION GEOGRAPHIQUE : L’ara de Buffon vit depuis l’est du Honduras, jusqu’au nord-ouest de la Colombie et l’ouest de l’Equateur. COMPORTEMENTS DANS LA VIE SAUVAGE : L’ara de Buffon se nourrit de graines et de fruits, et aussi de noix à coquille très dure. On le trouve en couples ou en petits groupes de dix à quinze oiseaux se nourrissant ensemble. Il adore les fruits de l’amandier Dipteryx panamensis. Grâce à son grand bec puissant, il est capable de casser la coquille dure afin de récupérer la partie tendre à l’intérieur. Cette nourriture est importante pour l’espèce au moment de la saison de reproduction. L’ara de Buffon est une espèce arboricole, souvent en train de bouger dans la canopée des grands arbres. Il se déplace dans la forêt suivant la disponibilité des arbres fruitiers. REPRODUCTION DE L’ESPECE : La saison de reproduction a lieu de décembre à avril, mais elle peut varier suivant le lieu géographique. L’ara de Buffon nidifie dans des cavités, habituellement un trou dans un arbre, souvent dans un amandier. La femelle dépose 2 à 3 œufs blancs. L’incubation dure environ un mois, effectuée par la femelle. Les jeunes sont nourris par les deux adultes, et quittent le nid au bout de 11 semaines après la naissance. ALIMENTATION : L’ara de Buffon se nourrit principalement de graines et de fruits, particulièrement ceux de l’amandier Dipteryx panamensis. Il peut consommer des fruits à coque très dure grâce à son bec robuste. PROTECTION / MENACES / STATUTS : L’ara de Buffon est une espèce en Danger d’Extinction. Son déclin est dû à la perte de l’habitat à cause des excès de déforestation à l’intérieur de son habitat, mais aussi à cause des dérangements. Cette espèce dépend d’un habitat forestier intact et il est nécessaire de maintenir un minimum d’oiseaux reproducteurs en bonne santé. Texte issus de http://www.oiseaux-birds.com/fiche-ara-buffon.html Photos du web
  3. romain04

    Ara macao - Ara macao

    Ara macao L'Ara rouge ou Ara macao (Ara macao) est un grand perroquet coloré vivant dans les forêts tropicales américaines. Il s'agit de l'oiseau national du Honduras. // Description L'ara rouge mesure de 81 à 96 centimètres de long, dont plus de la moitié est constitué de les longues rectrices pointues typiques de tous les aras. Il pèse un kilogramme en moyenne. Il peut vivre jusqu'à 75 ans, mais sa durée de vie moyenne va de 30 à 50 ans. Le plumage est essentiellement écarlate, mais les plumes de la croupe et du dessus de la queue sont bleues claires, le dessus des ailes est de couleur jaune, les extrémités des plumes de la queue et la partie supérieure de part et d'autre des pennes des ailes sont bleu foncé et le dessous des ailes et les pennes de la queue sont rouges foncés avec des reflets métalliques dorés. Certains individus peuvent avoir du vert sur les ailes près de la bande jaune. Le dimorphisme sexuel est faible. La seule différence extérieur identifiable entre les oiseaux se fait avec l'âges : les jeunes ont des yeux sombres, tandis que les adultes ont des yeux jaunes clairs. Il ressemble beaucoup à l'Ara chloroptère, leur principale différence de plumage est le jaune sur ses ailes en lieu et place du vert. Habitat et répartition L'ara rouge habite dans les forêts humides tropicales américaines, de l'est du Mexique à l'Amazonie péruvienne et brésilienne, dans les terres basses jusqu'à 500 m d'altitude. Alors qu'elles sont peut fréquentes sur le continent, de grandes colonies d'aras rouges peuvent être observées sur l'Île Coiba sur la côte pacifique du Panama. Les populations d'aras rouges ont fortement diminué en raison de la destruction de son habitat, des captures pour le commerce et par l'épandage de pesticides pour les cultures. Au Costa Rica par exemple, l'ara rouge n'occupe plus que 9100 km² contre 42'500 km² auparavant. L'aire de distribution de l'ara rouge reste toutefois la plus grande de tous les oiseaux du genre ara avec une superficie estimée à 6'700'000 km², même si leur habitat est fragmenté et qu'ils ne forment souvent que de petites colonies locales. Régime alimentaire L'Ara rouge mange principalement des fruits et des graines, y compris des graines grandes et dures. Ils aiment notamment les pommes, les noix, les bananes et d'autres fruits, ainsi que le nectar et les bourgeons. Son bec lui permet de casser très facilement les coquilles des noix et des autres fruits de ce genre. Reproduction Le couple n'effectue qu'un cycle de reproduction par an. La femelle pond deux ou trois oeufs dans une cavité d'arbre. Elle les couve pendant 27 jours. Les jeunes s'envolent à l'âge de trois mois mais ne deviennent indépendants qu'entre quatre et cinq mois. Comportement Les aras rouges sont des oiseaux extrêmement sociaux qu'on ne trouve presque qu'en groupe, souvent d'une vingtaine d'individus. Les aras ne s'éloignent de leur groupe, en couple, que pendant la période de reproduction. Ils recherchent ensemble leur nourriture, puis retournent le soir dans un endroit commun pour dormir. A des moments précis en effet, les aras s'envolent ensemble pour chercher un endroit où dormir, ce deux fois par jour (à midi et la nuit). Les membres d'une même famille volent très près les uns des autres et recherchent un contact corporel lorsqu'ils dorment. Les aras ne possèdent pas de territoires propres, mais parcourent régulièrement une zone étendue dont ils n'essayent pas d'interdire l'accès aux autres aras. Il arrive ainsi que plusieurs groupes d'aras se rassemblent sur un même arbre. L'abondance de nourriture rend une défense du territoire complètement inutile. Toutefois, lorsque plusieurs groupes se retrouvent sur un même arbre, ils font très attention à ne pas se mélanger. Les cris ont une fonction importante pour la cohésion des couples et des groupes dans ces forêts tropicales très denses. Les aras rouges étant des animaux sociaux, ils font plus que de simples cris: ils émettent des sons différenciés qui ont des significations différentes pour leurs congénères. Texte issus de http://fr.wikipedia.org/wiki/Ara_macao Photos du web
  4. Amazone à front rouge (Amazona autumnalis autumnalis) Description physique Son plumage est entièrement vert vif à l’exception du front rouge, du sommet de la tête légèrement bleuâtre et d’une zone sous les yeux qui tend vers le jaune. Les yeux sont cerclés de blanc bleuté et l’iris est noir bordé d’orange . Le bec est carné à côté de l’attache supérieure et est sombre au niveau inférieur et à l’extrémité. Taille 35 cm Durée de vie 40 ans Sexage Le dimorphisme sexuel est léger : cependant la zone jaune sur les joues est plus petite chez la femelle que chez le mâle. De même la tête et le bec sont généralement plus réduits. Reproduction Elle réussit sans poser trop de problème en captivité dans de bonnes conditions. Incubation : 25 jours Envol des jeunes : 8-9 semaines après la naissance. Origine Nord du Nicaragua et au Mexique Comportement Sociable et très curieuse, elle joue volontiers avec son maître auquel elle s’attache facilement. Elle parle peu mais a de véritables dons d’acrobate. Elle aime se baigner. Traité de Washington Appendice II Alimentation Mélange de la graine de carthame, blé, avoines, nourriture du pigeon, chanvre, baies séchées, sarrasin et fèves, tournesol, quelques pins et noix, plusieurs fruits et légumes ; particulièrement orange, banane, pêche et pomme ; maïs à moitié mûr, mais aussi pissenlit, etc. ajouter un supplément en minéraux régulièrement. ; Elle repousse souvent la nourriture peu familière. Jeune Amazone a front rouge avec Amazone oratrix Texte issus de http://www.perroquet.biz/perroquets/amazones/57-amazone-a-front-rouge-amazona-autumnalis-autumnalis.html Photos du web
  5. Amazone aourou L'Amazone aourou ou Amazone à ailes orange (Amazona amazonica) est une espèce de perroquet néotropical. // Description L'Amazone aourou mesure environ 33 cm de long, son plumage est à dominante verte. Elle ne présente aucun dimorphisme sexuel. Elle a le front et les lores bleus, du jaune sur la couronne et les joues et le spéculum de l'aile orange. Elle présente une forme plus allongée que les autres espèces du genre. Comportement Les amazones aourous sont des oiseaux bruyant. Elles mangent des fruits et des graines. Elles nichent dans les cavités des arbres et peuvent se réunir en groupe important sur leur site de nidification. Les couvées se composent de 2 à 5 œufs blancs de forme ovale. L'incubation est assurée par la femelle pendant que le mâle se tient près du nid et la nourrit. L'éclosion a lieu après 3 semaines et les jeunes quittent le nid 2 mois plus tard. Bien que l'espèce soit commune, elle est persécutée pour plusieurs raisons : c'est un ravageur des cultures, on la capture pour être revendue comme animal de compagnie[1]. et c'est également un gibier apprécié. Distribution Cet oiseau se rencontre en Amérique du Sud dans le bassin de l'Amazone soit du Pérou aux plateaux de Guyane en passant par là Colombie. Il est également présent dans les îles de Trinidad et de Tobago, où vit la sous-espèce A. a. tobagensis qui est un peu plus grosse avec les ailes orangées. Espèce commune en captivité, elle a été introduite dans de nombreux endroits où elle a fait souche. Introduite en 1989 en Martinique, sa population est en expansion sur les hauteurs de Fort-de-France, elle a également été introduite en 1990 en Guadeloupe et est également commune en Floride dans la région de Miami. Tetxe issus de http://fr.wikipedia.org/wiki/Amazone_aourou Photos du web
  6. il ya un jeune elveur près de metz. Par chez moi je sais pas.
  7. Perruche a collier La Perruche à collier (Psittacula krameri) est une grande perruche afro-asiatique. L'espèce porte le nom du naturaliste autrichien Wilhelm Heinrich Kramer. Elle a été introduite hors de son territoire et des populations existent en Angleterre, en Espagne (notamment en Andalousie et en Catalogne) et dans certaines villes d'Europe. À Bruxelles, à titre d'exemple, la population des Perruches à collier est évalué à plusieurs milliers d'individus et est en pleine expansion. Les spécialistes s'inquiètent de la concurrence avec les espèces aviaires locales telles que le moineau domestique, la sittelle et l'étourneau sansonnet dont les habitudes de nidification sont similaires. Elle est également présente en Île-de-France depuis plusieurs années, notamment dans les parcs et jardins au sud de Paris, et dans le midi de la France dans la région de Fréjus notamment. Liste des sous-espèces La Perruche à collier est subdivisée en quatre sous-espèces très proches : Psittacula krameri borealis, communément appelée Perruche à collier-boréale alias de Neumann (Neumann, 1915) ; Psittacula krameri krameri, communément appelée Perruche à collier-africaine nominale (Scopoli, 1769) ; Psittacula krameri manillensis, communément appelée Perruche à collier-indienne (Bechstein, 1800) ; Psittacula krameri parvirostris, communément appelée Perruche à collier-abyssinienne (Souance, 1856). Description Cette espèce a un plumage vert vif et un chant distinctif ; on dit qu'elle siffle ou jacasse. Le mâle se distingue par un collier noir de geai accompagné d'une mince bande nuquale rose. La femelle et les immatures des deux sexes présentent pour leur part aucun sinon qu'un ombrage de collier (gris) et bandes nuquales claires (toujours de même couleur mais de teintes plus pâles que le plumage environnant). Le mâle est un très bon parleur et siffleur, ses mots sont clairs. La femelle siffle surtout et peut dire quelques « mots ». La nidification est dite cavernicole, ce qui signifie que les pontes se font dans des anfractuosités, souvent dans des arbres creux. Espérance de vie : trente ans environ Régime alimentaire La perruche à collier se nourrit essentiellement de fruits et de graines. En Afrique, son alimentation est basée sur les fruits (comme ceux des Ficus et des baobabs, les figues, les mangues et les goyaves) et les graines. En captivité, la nourriture préférée de cet oiseau est constituée par des végétaux variés et de tout types (amandes, arachides, baies, céréales, fleurs comestibles, fruits, germes de graines et/ou de légumineuses, légumes, légumineuses très cuites, noix, pâtes alimentaires al dente, quinoa, riz, verdure...) Texte issus de http://fr.wikipedia.org/wiki/Psittacula_krameri Photos du web
  8. Perroquet à ventre rouge Le Perroquet à ventre rouge (Poicephalus rufiventris) est une espèce de perroquet coloré de la famille des psittacidés possédant un dimorphisme sexuel. Il vit dans les régions boisées sèches et dans la savane ouverte. // Description Il mesure 22 cm Le Perroquet à ventre rouge présente une coloration gris-brun sur le dessus du corps (tête, dos, haut de la poitrine et ailes). Le male a le haut du ventre, le cou rouge orangé alors que pour la femelle cela reste gris. L’iris peut changer de couleur selon l’humeur de l’oiseaux. Sous-espèces Il y a deux sous-espèces de cet oiseau : Poicephalus rufiventris rufiventris du sud de l´Éthiopie au nord-est de la Tanzanie ; Poicephalus rufiventris pallidus de Somalie et de l'est de l'Éthiopie. Distribution Il est originaire des savanes de l’Afrique de l’est. Il vit dans le bush et mange les fruits de l’acacia Texte issus de http://fr.wikipedia.org/wiki/Perroquet_%C3%A0_ventre_rouge Photos du web
  9. pour kiwi c'est normal il est le seul de son espèce donc il apprend ce que tu lui dit. Pour les colier cela sera beaucoup plus dure (mais pas impossible) car ils sont en couple et communique de facon naturelle
  10. en fait la jardine vert 800 € la calotte rouge Male 800 femelle 1200 € idem pour la jaune. c'est leprix d'un oiseau sauvage, qui ne parle pas
  11. cela reste un oiseau excessivement elever en france il faut compter a partir de 800 EPP donc un peut plus pour les EAM Et en belgique même si c'est moins cher cela reste elevé (ne pas elever en exterieur oiseau assez sensible)
  12. Perroquet de Rüppell Le Perroquet de Rüppell (Poicephalus rueppellii) est un oiseau de la famille des Psittacidae endémique des savanes du sud-est de l'Afrique, de la Namibie centrale au sud-ouest de l'Angola. Il est plus abondant autour des cours d'eau. Son nom vernaculaire français a été donné en l'honneur de l'explorateur et zoologiste allemand Wilhelm Peter Eduard Simon Rüppell (1794-1884). Nourriture Il mange de nombreuse chose tels que des graines, fruits et racine, mais aussi des larves de papillons et des araignées Reproduction Il se reproduit dans des les cavitées des arbres faites par les pics. La saison va de janvier à juin. La femelle couve seule 3-5 oeufs blanc pendant 24 à 30 jours. Les jeunes quittent le nid au bout de 50 à 51 jours Captivité Environs 600 à 1000 oiseaux sont exporté chaque année, en grande majorité pour l'afrique du sud et l'europe. 60 à 70 % meurt pendant le transit. Texte issus de http://fr.wikipedia.org/wiki/Perroquet_de_R%C3%BCppell Photos du web
  13. PERROQUET ROBUSTE DU CAP NOM SCIENTIFIQUE: POICEPHALUS ROBUSTUS ROBUTUS Protection:2/B Pays d'origine : Afrique du sud Taille : 33 cm Poids: 250 a 350g Description : La tête est brun verdâtre, moucheté de brun foncé et de vert sombre. Chez certains sujets, les joues peuvent être teintées de rose sombre. La poitrine et le ventre sont vert foncé teinté de bleu. Les plumes du dos et des couvertures alaires sont noires bordées largement de vert. Le bord de l'aile et les cuisses sont orange-rouge. La queue est brun noirâtre. Le cercle oculaire est gris, l'iris brun foncé. Le bec est couleur corne. Les pattes sont grises. La femelle se reconnaît aisément car elle possède une étroite bande frontale orange. Entre ces deux descriptions du mâle et de la femelle, existent des formes intermédiaires. Le mâle peut ne pas avoir d'orange-rouge à l'aile, ou à l'opposé avoir une légère bande frontale rougeâtre. Chez la femelle, la bande frontale orange peut être absente. Les jeunes ont la tête et le cou olive brunâtre et la bande frontale orange. Mais les cuisses et le bord de l'aile sont verts et non orange-rouge. Texte issus de http://www.elevage-perroquets-gris-du-gabon.com/francais/niv2p-YouyouetPoicephalus-9-23-23-792.html Photos du web
  14. Perroquet de Meyer Le Perroquet de Meyer ou Poicephalus Meyeri en latin, fait partie du genre Poicephalus et de la famille des Psittacidae comme les Perruches à Colliers. Origines et alimentation : Originaire d'Afrique du centre et de l'Est, il habite dans des forêts humides et boisées près des cours d'eau. Etant granivore, des graines pour perroquet convient bien. Pendant la période de reproduction on peut également lui donner de la pâtée aux œufs. Les mélanges de graines et les pâtées se trouvent dans n’importe quelle animalerie et même en grande surface pour les graines uniquement. En ce qui concerne l’eau, il faut bien la changer tous les jours pour éviter tout problème intestinaux.. Description générale : Cet oiseau mesure environ entre 20 et 25 cm. Il est majoritairement vert avec la tête, le cou, la queue et les ailes noires. Le haut des ailes et le front sont jaunes. La distinction entre le male et la femelle est loin d'être évident et un sexage adn s'avère être souvent nécessaire On peut tout de même les différencier par la tête du mâle. Celle de la femelle est moins plate et moins volumineuse que celle du mâle. Logement : Pour le logement, une volière est le plus adapté, mais une cage peut faire l’affaire, surtout pour la reproduction (au vue de mon expérience). Les Perroquets de Meyer sont réputés agressifs en périodes de reproduction, donc vous pouvez les mettre dans une volière mais de préférence seul. Prévoyez une volière de 2m de long, 1m de large et 2m de hauteur, et beaucoup plus si vous les élevez en colonie. Un nid de 25 (P) x 25 (L) x 40 (H) en bois dur avec une entrée de 5 à 6 cm devra être mis à disposition de chaque couple,de préférence dans un coin abrité et ombragé de la volière ou il ne pourra pas être dérangé par des animaux extérieurs. Reproduction : La reproduction n’est pas très facile mais ce n’est pas non plus impossible. La plupart des éleveurs disent qu’il faut isoler un couple dans une volière plantée afin qu’ils puissent nicher. Pour ma part j’ai isolé un couple dans un cage de 60cm x 30cm x 30cm avec 2 perchoirs et 1 nid boite plastique demi-ouvert, à l’extérieur de la cage. La femelle pond 2 à 4 œufs en général qui seront couvés par les 2 parents mais majoritairement par la femelle. Les petits naissent au bout de 27 jours. Les petits seront nourri par les 2 parents jusqu’au sevrage. Mieux vaut laisser les jeunes un bon mois après la sortie du nid pour être sur qu’ils soient sevrés. Un bon couple peut faire plusieurs couvées par an mais évitez de leur en faire faire plus de 3 pour ne pas épuiser la femelle. Texte issus de http://www.birdsmania.com/fiche-perroquet-de-meyer-1303.html Photos du web
  15. Perroquet à tête brune Le Perroquet (Poicephalus cryptoxanthus) est un oiseau appartenant à la famille des Psittacidae. Description Cet oiseau mesure environ 22 cm de long. Il possède un plumage à dominante verte, plus foncé sur le dos et plus clair sur le ventre. La tête et le haut de la poitrine sont gris. Les plumes axillaires sont jaunes (coloration bien visible lorsque l'oiseau est en vol). La mandibule supérieure est grisâtre et l'inférieure blanchâtre. Les iris sont jaunes et les pattes grises. Texte issus de http://fr.wikipedia.org/wiki/Perroquet_%C3%A0_t%C3%AAte_brune Photos du web
  16. Perroquet de Jardine Poicephalus guliemi Famille des poicephalus Origine : Afrique Taille : 30 cm Statut juridique : Annexe 2 Cites Personnalité Dans le livre « My Parrot my Friend », le Jardine est considéré comme se rapprochant le plus du perroquet idéal. C'est probablement une vue de l'esprit car toutes les espèces sont différentes et spécifiques, mais cela donne quand même une idée de l'étonnante personnalité du Jardine. Ces oiseaux ont généralement un tempérament stable, extrêmement joueur dotés d'une personnalité très affectueuse, douce, et gentille. Et le plus souvent, ils se révèlent être remarquablement intelligents. Son comportement Le Jardine est connu pour jouer constamment. Ces pitres, avec leur look sorti tout droit d'un dessin animé (ils sont assez trapus avec un gros bec) consacrent une grande partie de leur journée aux acrobaties en tout genre. Par exemple ils adorent s'allonger sur le dos et sur leur perchoir s'il le faut ! Ce comportement joueur leur permet d'être relativement indépendants. Ils sont capables de s'occuper durant des heures, ce qui peut être commode lorsqu'on a peu de temps à consacrer à son perroquet. Ils adorent être caressés, gratouillés, mis à l'envers sur le dos. Leur grande intelligence facilite les apprentissages, tant ils comprennent vite ce qu'on leur demande. Attention toutefois, ils sauront parfaitement vous manipuler pour arriver à leur fin. D'autre part, ils savent utiliser leur bec, et durant leur période d'adolescence, ils peuvent avoir tendance à être un peu pinceur. Il est donc important d'anticiper ce point avec quelques bonnes séances de dressage. Le Jardine à une des plus agréables voix de la famille des perroquets. Elle est douce et musicale, et son cri d'alarme est vraiment supportable. Il peut en revanche grogner, un peu comme un gris du Gabon, mais cela reste très rare. De façon générale, et s'ils ont été bien élevés, ce sont des oiseaux peu bruyants, rendant la vie possible en appartement. Aptitude à parler Ce sont clairement des oiseaux parleurs, et même sans entraînement particulier, leur vocabulaire peut devenir important. Ils apprennent rapidement à imiter des sons de toutes sortes, téléphone, sifflement, aboiement et autres sons spécifiques à votre environnement. Certains utiliseront même leur vocabulaire à bon escient. Leur voix, en revanche, est assez nasillarde. Ses exigences Ce sont des oiseaux relativement indépendants, robustes, de taille moyenne, faciles à loger et à nourrir. Les échanges et les interactions sont évidemment absolument nécessaires, cela va sans dire, les jouets (en bois) aussi, pour occuper leur gros bec rigolo. En revanche, un point nous semble important : les Jardines sont malins comme des singes et nécessitent un encadrement solide, fait de séances de dressage si vous ne voulez pas les voir prendre possession de la maison. Alimentation Pas de problème d'alimentation particulier. Mélange de graines pour perroquet, granulés, fruits, légumes. Ne distribuez pas de graines de tournesol, et gardez-les pour les séances de dressage. Jardine vert (Poicephalus gulielmi massaaicus) Jardine jaune (Poicephalus gulielmi fantiensis) Jardine a calotte rouge (Poicephalus gulielmi gulielmi) Texte issus de http://www.colony-perroquet.fr/nos-bebes-perroquets/perroquet-de-jardine-15-pdf.html Photos du web
  17. romain04

    Détention

    merci a tous
  18. Perroquet noir Le Perroquet noir ou Coracopsis noir (Coracopsis nigra (Linnaeus, 1758)) est avec le Perroquet vasa Coracopsis vasa une des deux espèces du genre Coracopsis. Longueur 35-40 cm Longévité 25-30 ans Poids 280g-315g // Sous-espèces Trois sous-espèces sont reconnues : Coracopsis nigra nigra (Shaw, 1812) de l'est de Madagascar ; Coracopsis nigra sibilans Milne-Edwards & Oustalet, 1885 des Comores ; Coracopsis nigra libs Bangs, 1927 de l'ouest et du sud de Madagascar. Répartition Ce perroquet peuple Madagascar et les Comores. Il a peut-être été introduit aux Seychelles (sous-espèce C. n. sibilans) à partir desquelles il a conquis naturellement l'île Curieuse. Il a été également introduit à Maurice (sous-espèce C. n. nigra). Description L'oiseau a un corps svelte, compararble en taille et en forme a un Cacatoes de Goffin, sauf avec un plus long cou et une plus longue queue. La tete est petite, ce qui donne un ce perroquet un allure de pigeon. Cet espece primitive partage le genre Coracopsis avec le Perroquet Vasa (ou Grand Vasa). Ce sont les deux seul especes de perroquet connu a ce jour a retenir les organs de sexe similaires a leurs ancentre les reptiles: le hemi-penis. Chez la femelle le cloaque peut egalement enfler. Et ce n'est pas juste leur organes qui differe du norme comparer a d'autres Psittacidees. Le Perroquet Noir ne fait aucun lien de pair et la femelle peut avoir plusieurs males par saison. Ceci est appeler la polyandrie (l'inverse de la polygamie, ou un male a plusieurs femelles). C'est a dire que les bebes dans une couvee on la potentiel d'avoir une differente parente. Habitat Le Perroquet noir peuple les forêts humides denses, y compris les mangroves, mais également les savanes, les forêts secondaires sèches. Alimentation Il consomme des fruits, des baies, des fleurs et des graines. Il est plus frugivore que son proche parent, le Perroquet vasa. Nidification La femelle est souvent plus grand que le male, et c'est elle qui est dominant. Elle va chanter sans cesse pour l'inciter a le nourrire et pour qu'il l'accouple. C'est une veritable Sirene. Elle va souvent participer en fausse accouplement, just pour soliciter de la nourriture d'un male. Les oeufs ecloent apres 14-18 jours, l'incubation la plus courte chez toutes les Psittacidees. Comme un lezard, les oeufs sont souvent enterrer dans la matiere de nidification. Les bebes grandissent a une rapidite phenominal. Ils quittent le nid entre 35-42* jours Moeurs Cet oiseau est sédentaire mais des mouvements diurnes, liés à la recherche de nourriture, existent. C'est un vraie goinfre, le seul oiseaux qui mange reellement tout dans son plat et ne laisse pas de morceaux au fond de la cage ou sur les murs. Texte issus de http://fr.wikipedia.org/wiki/Perroquet_noir Photos du web
  19. [b]La perruche de Pennant[/b] Platycercus elegans Taille Environ 37 cm à l'âge adulte Durée de vie 25 ans Sexage Mâle et femelle ont un plumage identique. Cependant, la femelle a la tête plus petite et plus ronde; la base de son bec est plus petite et plus étroite que celle du mâle; et elle possède (tout comme les autres femelles platycerques) une bande sous-ailaire blanche. Un sexage ADN peut s'avérer nécessaire. Reproduction La reproduction de cette perruche ne présente pas de difficultés majeures. Le mâle parade pour courtiser la femelle. Il faut alors surveiller pour voir si la femelle répond aux avances du mâle. Si elle n'est pas prête, il est conseillé de séparer les partenaires un moment. Sinon, le mâle se montrera très agressif envers sa femelle, ce qui pourrait avoir des conséquences graves. La femelle pond 4 à 8 oeufs qu'elle incube pendant trois semaines. Une fois nés, les jeunes sont nourris par leurs parents à tour de rôle et s'emplument au bout de 5 semaines. Les parents continuent de les élever jusqu'à l'âge de 8 semaines (taille de la bague : 6mm). Les juvéniles n'ont pas encore un plumage identique à celui des adultes et sont essentiellement verts. Ils n'acquièrent leurs couleurs définitives que vers 18 semaines. Origine Australie Comportement Cet oiseau est très actif et résiste bien aux intempéries. Il ne supporte pas les oiseaux des environs ; il est très sélectif dans le choix de sa compagne et très agressif envers elle en période de reproduction ; il est d’ailleurs conseillé de bien surveiller le couple pendant la période de fécondation. Leur chant est d’une mélodie somme toute agréable. Ils aiment beaucoup se baigner et sont souvent en bas de la volière pour picorer le sol. Traité de Washington Appendice II. Alimentation Elle a bon appétit et apprécie une nourriture très variée, ainsi que les compléments en vitamines et sels minéraux indispensables à sa santé. On doit lui donner du tournesol en quantité, de l'avoine, du blé, des semences d'herbe et du millet. A cela, il faut ajouter une grande quantité de pommes, de carottes, de baies de sorbier, des feuilles, du plantain en épis, du mouron des oiseaux. Ne pas oublier de lui apporter nombre de branches fraîches et tendres, car la perruche de Pennant se plaît à décortiquer et à grignoter toutes sortes de branchages. Type sauvage Mutation bleue (recessive) Panaché bleue et panaché orange
  20. romain04

    Détention

    Du fait de leur type d'alimentation, les loris et loriquets ne sont pas des oiseaux dit propres. C'est pourquoi il est necessaire de carreler la cage ou de faire une cage suspendue, afin de facilité le nettoyage pour eviter la propagation des maladies. Ceux sont des oiseaux assez fragiles qu'il sera obligatoire de détenir dans un endroit fermé une grande partie de l'année (le batiment étant le meilleur compromis). Voici quelques exemples de constructions Malgré que ce soit des animaux a la beauté et au comportement rarement inégalés. Cela reste des oiseaux très contraignant, d'un point de vue entretien, financier et alimentaire. Beaucoup des espèces présentées dans cette partie ne sont détenues qu'en très faible quantité et par des professionels
  21. Lori fringillaire Le Lori fringillaire (Vini australis) est un Psittacidae du groupe des Loriinae qui vit sur les îles tropicales du Pacifique. // Description Le Lori fringillaire mesure environ 19 cm. Son plumage, plus clair au niveau du dos et du croupion, présente une dominante verte. Sa calotte est bleu azur fluorescent et sa gorge rouge. Son ventre arbore un plastron rouge et violet. Cette dernière coloration se retrouve au niveau des cuisses. Répartition Cette espèce peuple les forêts littorales des îles de la Polynésie centrale, de Samoa, des Tonga, des archipels des Fidji et de Lau. Comportement Le Lori fringillaire vit en groupes se déplaçant en vol rapide et direct d'une île à une autre à la recherche d'arbres en fleurs. Alimentation Cet oiseau consomme principalement les fleurs des cocotiers, des Erythrina et des Hibiscus. Il se nourrit également en période de reproduction de fruits, d'insectes adultes et larvaires. Reproduction Le Lori fringillaire construit son nid dans les anfractuosités des arbres. Statut de conservation Bien qu'il ne soit pas menacé d'extinction, le Lori fringillaire est actuellement très rare alors qu'il était commun en 1952 à Samoa. Captivité Les cas de reproduction de cette espèce en captivité sont très rares. Aussi, les possibilités de renforcement des populations naturelles à partir de souches d'élevage ne sont pas envisageables actuellement. Texte issus de http://fr.wikipedia.org/wiki/Lori_fringillaire Photos du web
  22. Le loriquet de Meyer Le loriquet de MEYER Trichoglossus flavoviridis meyerii Origine : Célèbes Poids : 55-60g, taille 18cm Bague : 5mm Traduit d'un article de M. Fokke BESWERDA, avec son aimable autorisation. Description : Le dos et les ailes sont vert foncé, avec çà et là des tâches jaunes, la tête est brun noir avec des joues jaunes, le ventre et la poitrine sont verts écaillés de jaune, le bec est orange, les pattes grises. [b]Experience d'elevage[/b] Ce petit lori se voit essentiellement dans la nature en groupes d'une cinquantaine d'exemplaires, en compagnie de loriquets ornés. Ils vivent essentiellement sur les pentes boisées des montagnes, jusqu'à une altitude de 2000m. Cet oiseau est insignifiant de prime abord par son coloris, mais un examen approfondi inverse ce jugement. Les oiseaux adultes, lorsqu’ils sont en bonne condition, montrent un superbe contraste entre les écailles jaunes et la tache des joues, et le reste du corps, vert foncé. Cette variété de loris a été peu importée au début, mais ceci a beaucoup changé depuis. En fait, ces oiseaux ont beaucoup d’atouts pour eux, car ils sont agréables, font peu de bruit, et ont peu d’exigences quant à la place. Ils peuvent se contenter d’une cage de 1m de haut, 1m de large et 0,60m de profondeur ; la reproduction y est aisée. J’ai vu pour la première fois ce petit lori en novembre 1979. J’ai été appelé par un importateur chez qui j’avais déjà acheté régulièrement des loris. Il avait reçu un lot de petits loris qu’il n’avait jamais vu, et il me demanda si j’étais intéressé. Ceci, bien sûr, ne tomba pas dans l’oreille d’un sourd ! De la dizaine qu’il avait eue, quatre étaient morts durant la quarantaine, ce qui laissait peu d’espoir. J’ai pris le risque d’acheter les oiseaux restants, qui étaient en mauvaise santé, et très amaigris. Un oiseau est mort chez moi le premier jour de leur arrivée, un second le lendemain… Le jour suivant, il y avait de nouveau un mort, et un quatrième était prostré dans un coin de la cage. A ce moment là, il me restait peu d’espoir de maintenir les survivants en vie, d’autant plus qu’ils n’ont pratiquement voulu manger. De toute la nourriture proposée, seule l’eau additionnée de miel et contenant un produit poly-vitaminé et un antibiotique (vibramycine) avait été absorbée. J’ai séparé l’oiseau prostré dans la cage et je l’ai installé dans une petite cage d’exposition. Celle-ci contenait encore quelques graines de tournesol, que le loriquet a immédiatement mangées. A partir de ce jour, ils se sont alimentés, reprenant du poids à vue d’œil, et acceptant également d’autres sortes de nourriture, tel que fruits et bouillie pour loris. Ces loris ont donc reçu tous les jours, en plus de la « soupe », un peu de tournesol, de chènevis, ainsi que du millet en grappes. Avec cette base de nourriture, j’ai continué à les élever durant de longues années. Après la 1ère mue, on voyait distinctement que j’avais deux mâles et une femelle, la tête des mâles étant plus colorée, de même que la tache de la joue, plus claire que chez la femelle. Texte issus de http://loribreeder.over-blog.fr/article-26556536.html Photos du web
  23. romain04

    Qui ets bilingue .?

    moi et l'angalsi
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