Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

fleur de jasmin

Membres
  • Compteur de contenus

    748
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par fleur de jasmin

  1. Non,finalement vu que je l'ai biberonner du début,je m'y suis attachée donc elle reste à la maison,pat en aura d'une autre portée ... url=https://servimg.com/image_preview.php?i=2720&u=11252973][/url]
  2. Guershwin Gynn black tonic Gynna bianca Guershwin avec rapesucre (aline) en visite à la maison... prête à craquer.... Aline....
  3. juge mme Larive j-y vais mais sans grande convictioncar tres fatiguée qui y va ??
  4. c'est un peu normal,je trouve, et mm on est encore trop laxiste par raport aux TI,à mon humlme avis.. :
  5. je ne comprends pas trop ta question... il est certain qu'il faut avoir connu des chiens ,qui ont eux mm reproduit des sujets corrects,pour faire de la sélection,ce n'est pas facile,car c'est quite ou double... il faut savoir retirer de la reproduction un géniteur qui avec différents" concubins" ressortent des defauts,que ce soit mâle ou femelles,et celà seul un éleveur qui produit beaucoup peu arriver à le faire,car à petite échelle,comme moi, ce n'est que au bout de quelques années que l'on fioni par s'en rendre compte.... il faut sélectionner des lignées de reproducteurs qui ont une bonne construction générale,et qui ont transmis sur plusieurs portées ses qualités
  6. mais la belle cané corso à une autre copine. ........suspens...... attention aux abatis!!!!
  7. Le choix des reproducteurs et consanguinité... L'apparition de la vie, puis les milliards d'années d'évolution ont abouti non seulement à l'homo sapiens, mais aussi à toutes les formes de vie sur notre planète. S'il est certain que les protozoaires et les amibes sont nos lointains ancêtres, les années, les climats, les hasards des mutations génétiques ont joué leur rôle pour faire de nous ce que nous sommes. Si demain vous décidez de recréer l'homme à partir d'amibes, il vous suffira de quelques milliards d'années, de retrouver les conditions climatiques géologiques et l'activité solaire identiques aux milliards d'années déjà écoulées et d'avoir une incroyablement improbable chance d'obtenir les mêmes mutations génétiques pour y arriver. Pour votre élevage, il en est un peu de même en ce qui concerne le choix des reproducteurs. Plus vous partirez de reproducteurs d'un haut niveau, plus il y a de probabilités (il s'agit bien de probabilités et non de certitudes !) que vous réussirez à avoir de beaux chiots. Si vous ne profitez pas du travail de sélection de la nature et des éleveurs qui vous ont précédé, avec du temps et de la chance vous y arriverez peut-être aussi. Ce n'est qu'une question de probabilité. Vous n'aurez par contre AUCUNE chance d'y parvenir si le capital génétique de tous les reproducteurs successifs que vous allez utiliser ne comporte pas les gènes des caractères recherchés. Il vous faudra attendre une mutation génétique favorable, et alors là : patience et bonne chance ! Partons du postulat que vous possédez une petite femelle et que vous voulez avoir de beaux chiots. Votre chienne étant d'un certain niveau, elle transmettra la moitié de ses gênes à ses bébés, l'autre moitié proviendra de l'étalon. Le niveau de l'étalon peut être jaugé au travers des instruments de sélection (voir grille de sélection) qui, s'ils ne sont pas absolus car principalement basés sur le phénotype, méritent tout de même d'exister. Plus l'étalon en question sera consanguin, plus il aura de chances d'être homozygote pour les caractères recherchés et plus vous aurez de chances de les récupérer pour vos futurs bébés. Voila pourquoi il est plus que souhaitable que non seulement le niveau de l'étalon soit élevé et supérieur à celui de votre chienne, mais encore qu'il soit issu d'une lignée fortement consanguine. Si vous souhaitez de beaux chiots, mettez un maximum de chances de votre côté. La situation idéale est que les 2 géniteurs soient de vrais cracks, ce qui relève du loto lorsqu'on démarre son élevage en achetant la femelle à 2-3 mois. L'étalon "crack" lui, même s'il n'est pas chez vous, reste souvent accessible. Dès que vous vous serez lancé dans le choix des reproducteurs, vous vous trouverez donc face à un point incontournable, la consanguinité. Elle peut être la meilleure et la pire des choses car elle a pour particularité de fixer les caractéristiques génétiques d'une souche. Ces caractéristiques peuvent être très recherchées ou pas du tout et on parle alors de tares. Chez les animaux sauvages qui vivent en société, généralement seul le mâle dominant s'accouple avec les femelles qui sont souvent ses sœurs, ses filles, ses cousines etc… Soit il a de grandes qualités génétiques qui seront fixées dans sa souche du fait de la consanguinité et cette souche perdurera. Soit il véhicule certaines tares génétiques préjudiciables et à nouveau du fait de la consanguinité elles seront fixées aussi mais, soumise la rigueur de la sélection naturelle qui ne tolère aucune faiblesse, sa souche ainsi diminuée finira par disparaître. Tous les dangers de l'élevage consanguin décidé par l'homme résident là. L'homme qui sélectionne par consanguinité ses animaux reproducteurs n'est pas, loin s'en faut, aussi rigoureux que la nature par rapport aux animaux qu'il aura produit. Il s'acharnera à essayer de faire vivre et reproduire les sujets porteurs de tares génétiques importantes allant ainsi droit vers l'impasse et la catastrophe. Voila pourquoi beaucoup de spécialistes (vétérinaires) mettent la consanguinité à l'index : ils n'ont (souvent à juste titre) qu'une confiance limitée dans les capacités et la rigueur de la sélection de l'éleveur et préfèrent conseiller une voie à moindre risque. N'oublions pas toutefois que de nombreuses grandes races de chiens sont issues d'un nombre très restreint de géniteurs. La consanguinité existe dans la nature et est partout autour de nous. D'ailleurs ne peuvent s'accoupler que les espèces avec un certain degré de consanguinité (un chien avec un chien mais pas un chien avec un chat). Il ne faudrait donc parler que de degré de consanguinité et non pas de consanguinité tout court. Si aucune n'apparaît dans le pedigree de votre chien, vous la retrouverez si vous pouvez "remonter" de quelques générations de plus. Ce n'est donc qu'une question d'information. Si dans le pedigree de vos chiots apparaît à plusieurs reprises le nom d'un géniteur, cela prouve une consanguinité plus ou moins forte. Ce qui importe c'est de connaître la valeur génétique de ce géniteur. Est-il reproducteur Elite, a-t-il reproduit de très beaux sujets, a-t-il un excellent caractère ? Si la réponse est oui c'est une consanguinité intéressante. Si au contraire c'est un chien quelconque, à la limite du type et qui a déjà notoirement transmis des tares c'est une consanguinité catastrophique. La consanguinité permet l'établissement de souches avec des caractéristiques fixées. Il est intéressant ensuite, si l'on veut introduire dans cette souche d'autres caractéristiques qui lui manquent de procéder à une retrempe, à savoir de trouver un reproducteur d'une autre souche bien distincte (mais avec une consanguinité forte à l'intérieur de cette souche) et chez laquelle ces caractéristiques qui manquent à la première sont bien fixées. Pour simplifier, si votre chienne a de très belles oreilles et que c'est le cas de presque tous ses frères, sœurs et cousins et que ces belles oreilles sont dues au reproducteur X très présent dans leur ascendance, il est souhaitable de la marier avec un chien issu d'une souche consanguine sur le reproducteur Y où la situation est la même concernant les yeux. Ainsi vous aurez des chances d'avoir une partie des chiots avec de belles oreilles et de beaux yeux et qui retransmettront ces deux facteurs à leur propre descendance. Notons au passage que, du fait de l'homozygotie qu'elle induit, seule la consanguinité permet l'éradication de certaines tares dues à un gène récessif. Si c'est une méthode de choix pour un bon élevage de sélection, la consanguinité ne pardonne pas la médiocrité des géniteurs ou du sélectionneur vis-à-vis des gènes majeurs. Ceux qui auront eu la chance de partir avec un bon stock de gènes et de peu se tromper en route auront d'excellents résultats. Inversement si un éleveur clame qu'il est contre la consanguinité, il proclame du même coup son ignorance et son incompétence. Pourquoi alors cette odeur de souffre autour de la consanguinité ? Tout d'abord parce que chez les humains elle est entourée de considérations morales, religieuses ou patrimoniales qui n'ont rien à voir avec la génétique. La génétique humaine elle-même est "suspecte" dès que l'on s'y intéresse. Certains exemples du passé récent ont d'ailleurs de quoi nous faire frémir et méritent de rester longtemps dans la mémoire collective. Notre éthique nous interdit toute sélection génétique sur l'homme. L'homme se permet de braver les lois de la nature et de la génétique grâce aux progrès d'une médecine de plus en plus performante. Il a même pratiqué la génétique à rebours en envoyant d'une part se faire tuer à la guerre des classes entières de "jeunes mâles sains" et laissant à la maison et, oserais-je dire "à la reproduction", les autres. Heureusement les survivants, le "système D" et les "planqués" ont quelque peu atténué ces aberrations. Il n'en reste pas moins que comme en éducation, l'anthropomorphisme n'est pas de mise en sélection canine et nous ne devons en aucun cas transposer en génétique animale les interdits et les tabous que nous impose la morale en génétique humaine. * Beaucoup d'entre vous l'auront constaté, cet article est fortement inspiré par les travaux du Professeur Guy Queinnec. Source : CCCEà) utiliser intelligament
  8. lorque l'on importe un chien ou qu'on fait confirmer un chien à TI,il faut impérativement faire passer certains examens,dont ceslles des tarres oculaires par des vétérinaires agréés
  9. mé heu quoué ??? pas touche à mon bb ... vilains on va manger du rémy et de larose-marie: lol1 : je plaisante bien sur..............quoi que
  10. Attention vous deux, j'vous ai à l'oeil,j'ai filé à anne ma cané corso... na
  11. j'ai hélas appris celà par mon medecin,suite à la maldie congénitale d'un de mes enfants,qui s'est révelée suite à un tres gros stress...
  12. à present,ils jouent bien... ils sont trop choux...
  13. merci c'est gentil un mois ds quatre jours.
  14. Aussi appelé caractère héréditaire Expression visible d’un ou de plusieurs gènes Quel rapport entre génétique et maladie ? Rapport direct : un ou plusieurs gènes suffisent seuls à induire une anomalie ou une affection (exemple : hémophilie), Ou si un ensemble de gènes induit une prédisposition pour une affection (exemple : dysplasie coxo-fémorale) Ce sont les tares génétiques au sens strict Cependant de façon indirecte, la sélection de l’hypertype entraîne l’apparition d’affections particulières (exemple : brachycéphale et problèmes respiratoires) pour en savoir oplus lisez le livre du PR GRANDJEAN, qui enseigne à Maison Alfort xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx HEREDITAIRE ET CONGENITAL Par: Yvan Amar et Evelyne Lattanzio Voici deux mots souvent associés, de sens proches mais différents, et que, pour cette raison, on confond facilement. Voyons d’abord les ressemblances : tous deux s’appliquent à quelque chose qui existe chez un être vivant (humain le plus souvent…) depuis sa naissance : maladie, malformation, il s’agit bien souvent d’un trait négatif, de quelque chose dont on se passerait bien… Mais alors, quelle est la différence entre les deux mots ? C’est simple : ce qui est héréditaire est transmis par les parents, et apparaît dès la naissance. Ce qui est congénital se forme pendant la grossesse de la mère, mais n’est pas transmis par les parents. Hérédité est de la même famille que héritage. Autrefois, les deux mots étaient presque synonymes ; hérédité signifiait ensemble des biens qu’on laisse en mourant à une autre. Et plus généralement, encore maintenant, est héréditaire ce qui se transmet par voie de succession, et que l’on reçoit en héritage de ses parents. Le mot a pu avoir une acception juridique : on parlait de fonction héréditaire, de charge héréditaire. Jusqu’à la couronne de France qui l’était, en vertu de la loi salique : le fils aîné du roi devenait roi à la mort de son père… L’autre sens, plus vivant aujourd’hui, est un sens biologique : est héréditaire tout ce qui se transmet par voie de reproduction des parents aux descendants. On parle ainsi de patrimoine héréditaire, en reprenant dans un contexte génétique, une image presque notariale… Et à propos de patrimoine génétique, on parle aussi parfois de génotype. Le mot se construit sur le radical gène, qui vient du grec, et renvoie à une idée de naissance. C’est ce même radical qu’on retrouve, bien sûr, dans congénital, qui signifie au sens propre « qui vient avec la naissance ». _________________ Quelle différence entre héréditaire et congénital ? Le terme congénital, qui signifie "qui naît avec", désigne toutes les anomalies, maladies ou malformations du nouveau-né à sa naissance. Elles peuvent être héréditaires, c'est-à-dire transmises par l'intermédiaire des cellules reproductrices (spermatozoïde et ovule). Les descendants des parents porteurs d'un problème génétique sont susceptibles de le développer à leur tour. Mais une malformation, cardiaque par exemple, résultant d'un accident pendant le développement de l'embryon, est seulement congénitale et ne sera pas transmise à la génération suivante. xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx - Héréditaire désigne le caractère transmissible par les parents d'un certain caractère. Médicalement parlant, cela passe essentiellement par la transmission d'anomalies génétiques. Congénital signifie simplement que le problème est présent à la naissance. L'un n'implique pas l'autre, ni dans un sens, ni dans l'autre. Par exemple, la consommation d'alcool pendant la grossesse entraine fréquemment des malformations congénitales, donc présentes à la naissance, mais qui ne sont pas un caractère transmis par la mère, ni transmissibles plus tard par l'enfant. De même, la mutation de certains gènes entraine un risque de plus de 80% d'avoir un cancer du sein ou de l'ovaire au cours de sa vie. Cette prédisposition est héréditaire, mais l'affection n'est pas présente à la naissance. Cela vaut également pour certains diabètes de type 1. Certaines anomalies congénitales, comme par exemple une anomalie morphologique du coeur, congénitale, associée à une trisomie, peuvent avoir une origine génétique sans être pour autant héréditaires. La trisomie est en l'occurence un problème de matériel génétique qui n'est en principe pas hérité ou transmissible (excepté dans des cas de translocations, mais ça complique tout). Dans le cas de la mucoviscidose, il s'agit d'un gène récessif, présent à une fréquence d'environ 1/25 personnes dans la population (porteurs sains, avec un allèle muté et un gène sain). Pour qu'une personne soit atteinte, il faut que deux personnes porteuses aient un enfant (probabilité de 1/625) et transmettent chacun le gène muté à l'enfant (probabilité 1/4). C'est donc un problème génétique héréditaire présent à une fréquence d'environ 1/2500. Elle est également congénitale, car l'anomalie, l'inefficacité des canaux CFTR, est présente dans les cellules dès la naissance. Cela peut déjà affecter le développement de l'embryon. On peut dépister cette anomalie à tout âge avec le test à la sueur. Cela ne veut pas dire qu'elle se présente d'emblée sous sa forme la plus grave dès le début. C'est par un mécanisme répétitif d'engorgement, d'infection et de cicatrisation que différents organes, à commencer par les poumons, deviennent insuffisants. xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx J'ai souvent vu que l'on confondait les deux,donc,je trouve interessant de mettre cette petite précision,
  15. [b]je ne suis pas fan,mais la femelle que j'ai eû en saillie à la maison,était recommandée et le méritait,elle etait tres typée et un merle clair[/b],seul hic,ses yeux bleus et là je ne suis pas fan du tout ...
  16. peut-etre as-tu raison, tu verras bien les bb qu'il te fera... de toute façon,tu peux toujours le placer plus tard rien ne presse ...
  17. tres jolie petite miss... on va bientôt avoir plus de chocolats que de "classiques" mais quand ils sont beaux.....
  18. tres beaux,mais je reste sur un coup de coeur,peut etre pas tout a fait anodin.. Knaughty Knight
  19. non mais tu n'as pas honte,de t'ataquer à un homme sans défensse
  20. c'est sure on n'est hélas pas à l'abri ... par contre quand on a connaissance de certains risques reconnus par de nombreux éleveurs,il vaut mieux prendre les devants.. apres je ne suis pas fan de merle,mais il y en a des tres beaux,j'en ai eû une à la maison,en saillie ,avec mon CHIPPENDALE,qui était tres belle dailleurs elle etait Recommandée .. je n'aime pas non plus les dogues arlequins,mais bringés oui,donc une affaire de gôut... mais j'aime pourtant les appaloosas et les pi.. rien à voir je sais..
  21. • Seule certitude sur les origines du chihuahua : son nom qui vient d’une région du nord du Mexique. On sait aussi que les premières représentations des chihuahuas sont des pétroglyphes découverts sur des pierres dans des ruines Toltèques, civilisation méso-américaine entre 900 et 1200 de notre ère. La civilisation Aztèque, qui suivit, adopta ce chien appelé à l’époque le Téchichi. Ce chien devint rapidement un chien de compagnie très vénéré et qui joua même un rôle dans la vie religieuse sous l’époque Aztèque. Certains pensent que le chihuahua serait le produit du croisement du Téchichi et du Tapeitzcuintle, plus connu sous le nom du chien nu du Mexique. D’autres qu’il aurait des ancêtres xoloitzcuintles et pelon. Cependant, une évidence, la race chihuahua comme les autres n’échappe pas aux divers essais de croisements. Le chihuahua et la couleur Merle La couleur Merle, appelée aussi Arlequin, se retrouve sur les robes bigarrées des chihuahuas. Les tâches déchiquetées d’une couleur sur un fond de la même couleur diluée, comme le noir sur bleu, marron sur beige ou plus rarement fauve sur sable, sont la particularité de la couleur merle. Cette couleur est apparue récemment, depuis les années 70, chez le chihuahua. Elle est probablement issue du croisement avec d’autres races comme le Dashund ou le Sheltie. Le chihuahua merle n’est donc pas une race dite pure. La couleur merle et la santé des chihuahuas Il a été remarqué que les chihuahuas couleur merle pouvaient avoir de graves problèmes de santé. Effectivement, il n’est pas rare que les chiots, et particulièrement ceux issus d’un mariage entre deux chihuahuas merle, à la naissance présentent des cas de perte de l’ouïe, voire de surdité, de cécité. Selon des études, les chihuahuas de cette couleur ont 37% de chance à avoir des pertes de l’ouïe. La couleur merle interdite dans le standard du chihuahua Depuis le 29 octobre 2008, la France par la voix du CCCE (Club du Chihuahua, du Coton de Tulear et des Exotiques) faisant suite à une décision du Mexique, pays détenteur du standard du chihuahua, de ne plus reconnaitre la couleur merle comme un des standards, s’est rallié à cette interdiction, comme l’on fait les américains et les canadiens. Il est évident que cette nouvelle, en France, n’a pas été acceptée par tous. Surtout par les éleveurs qui s’étaient lancés ,suite à la mode,dans la production de chihuahuas couleur merle. Tous les maîtres de ces chihuahuas merle refusent naturellement cette nouvelle directive. Certains pensent que c’est la disparition à long terme des chihuahuas couleur merle. Une mobilisation en France s’est créée pour « sauver » les chihuahuas couleur merle sous la forme de pétitions, d’une chanson, peut-être un peu excessive, intitulée « non au massacre des chihuahuas merle », chacun appréciera ! Cependant, il est clair qu’un qu’un chien chihuahua, merle ou pas restera toujours le plus beau chien pour son maître !
  22. une préference pour ma tâi : i aussi,mais les 3 sont belles....
×
×
  • Créer...