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fleur de jasmin a répondu à un(e) sujet de Eden Angel dans Leur Présentation
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Etude sur les réactions vaccinales DES petites races
fleur de jasmin a répondu à un(e) sujet de fleur de jasmin dans Santé
en cas d'épidémies les vaccins sont utiles,comme la rage,c'était indispensable ds les zones à risques mais quand on vois ce qu'à donnéla vaccination sur les humains,pour l'hépatite B et plus proche de nous la grippe H1N1 ça fiche la trouille...perso,je n'ai jamais accepté la vaccination contre l'hépatite B pourtant obligatoire ds mon métier -
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Etude sur les réactions vaccinales DES petites races
fleur de jasmin a répondu à un(e) sujet de fleur de jasmin dans Santé
un vaccin,est le virus inoculé à doses assez concentréeS.. donc c'est assez dangereux,surtout qu'on administre la mm dose aux petis comme aux gros chiens !! les vetos,ne tiennent pas à faire ceux-ci tous les 2 ans,car c'est pour eux un des principales sources de visites... perso,je le fais tous les ans,mais mes plus ages ne l'ont plus que tous les 2 ans.. -
Les chenilles processionnaires
fleur de jasmin a répondu à un(e) sujet de Céline-minidogs-chihuahua dans Santé
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Cimetiere virtuel pour vos petits et gros amours....
fleur de jasmin a répondu à un(e) sujet de fleur de jasmin dans Nos disparus
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Les insectes, abeilles, guêpes ou autres, peuvent également chez nos animaux domestiques provoquer après piqûre des réactions variant de la simple inflammation locale au choc anaphylactique grave. Difficiles à éviter, il est néanmoins important de savoir réagir correctement en cas de piqûre. Ces réactions sont à classer dans le domaine des réactions allergiques, et obéissent au mêmes règles que les réactions chez les humains. Si la première piqûre est inoffensive, la deuxième (et les suivantes) peut se révéler beaucoup plus grave si le « terrain allergique » de l’animal est propice. Son système immunitaire garde en effet en mémoire la première agression et s’active plus ou moins fortement en cas de récidives. Heureusement, il s’agit de la minorité des animaux qui réagissent de cette manière! Les signes se traduisent par des rougeurs, enflures locales et parfois un état général diminué. Une apathie soudaine, des oedèmes (des gonflements) de la face principalement, une gêne respiratoire, une pâleur, voir jusqu’à un coma peuvent parfois survenir. Cet état de choc anaphylactique peut être grave et nécessite des soins immédiats. Donc si une réaction purement locale ne cause aucun souci, une diminution de l’état général doit se traiter rapidement. En cas de piqûre locale, on peut y apposer un gel ou spray pour apaiser l’inflammation après avoir retiré le dard s’il est présent. Si d’autres signes se manifestent ailleurs, il faut rapidement voir un vétérinaire qui luttera contre l’état de choc par des perfusions, de la cortisone, des anti-histaminiques et/ou de l’oxygène. Dans la mesure du possible, on évitera les endroits de promenade regorgeant d’insectes piqueurs.
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Les chenilles processionnaires
fleur de jasmin a répondu à un(e) sujet de Céline-minidogs-chihuahua dans Santé
Si votre chien lèche une de ces bestioles, allez immédiatement chez votre vétérinaire: la langue enffle, les poumons tout enffle à une grande rapidité votre chien est en grand danger chenille processionnaire du pin : méthode de lutte Cet insecte est très répandu dans les régions mediteranéennes . Ces caractéristiques sont les suivantes : Il n'a qu'une génération par an. Les oeufs groupés sont déposés vers le milieu de l'été sous forme de manchons qui entourent deux ou plusieurs aiguilles de pin : leur éclosion se produit 30 à 50 jours plus tard. Les chenilles, groupées en colonies, s'alimentent et poursuivent leur développement pendant l'automne et l'hiver. Au cours de l'automne, elles tissent en commun un nid soyeux blanc. A la fin de l'hiver ou au début du printemps, au terme de leur développement, elles quittent les nids en procession et descendent s'enfouir dans le sol à une profondeur de 5 à 20 cm. Chaque chenille tisse alors un cocon dans lequel elle se transforme en chrysalide. Les papillons émergent au crépuscule pendant les mois de juillet et août : leur activité est nocturne et leur vie très brève. Les dégâts : La période de dégâts est celle en rouge. Les défoliations automnales et surtout printanières des pins entraînent une perte de production ligneuse et plusieurs défoliations successives peuvent causer des mortalités dans les jeunes sujets. Les urtications que provoquent les chenilles sont gênantes pour les adultes voir dangereuses pour les jeunes enfants. Méthodes de lutte : La lutte mécanique : la récolte des nids peut être valablement envisagée (numéro 1). Ce travaille ce fait avec le matériel d'élagage pour pouvoir accéder aux nids de chenilles plus facilement. Les nids de flèche seront arrachés et les colonies collectées seront détruites par le feu. La chenille processionnaire du pin est décrite classiquement comme infestant la forêt méditerranéenne, et on la trouve en Europe méridionale et centrale, ainsi qu'en Afrique du Nord. En France, toutes les régions au sud d'une ligne Lorient - Orléans - Dijon sont atteintes, sauf en montagne. Certains pensent que les chenilles sont de plus en plus fréquentes. Je n'ai pas trouvé de références confirmant ou infirmant ce fait, mais les chenilles bénéficient de conditions favorables : - on a planté beaucoup de bois et forêts de Mon jardin abritant quelques pins, j'ai été confronté, comme beaucoup de personnes, à la prolifération des chenilles processionnaires qui occasionnent des dégats sur ces arbres. Voici une compilation des renseignements que j'ai trouvés sur Internet concernant ces chenilles et les méthodes de lutte qu'on peut utiliser pour s'en défendre, dans le cadre d'un jardin privé. J'ai trouvé peu de documents en français sur le sujet, et très peu en anglais (pine processionary caterpillar ou pine procession moth ; cette chenille n'infeste pas les États-Unis, ni l'Angleterre...). Cette page doit beaucoup aux lecteurs des premières versions qui m'ont écrit pour compléter mes informations ou demander des renseignements. Merci à eux. Ces chenilles consomment les aiguilles des pins (et parfois de cèdres). Des branches sont défoliées, d'autres portent des aiguilles jaunies et flétries, comme brûlées. La défoliation ne provoque pas la mortalité des arbres mais en ralentit la croissance. Les chenilles forment des nids très visibles en hiver et les arbres prennent un aspect peu esthétique. En fin d'hiver, les chenilles et les nids sont un danger pour les personnes et les animaux domestiques (voir ci-dessous). Ces chenilles sont donc une plaie, et dans certaines régions des règlements imposent aux propriétaires de pins infestés de les traiter. Elles ont malheureusement peu de prédateurs, les oiseaux en général ne les mangent pas à cause de leurs poils urticants et de leur mauvais goût. Seul le coucou s'attaque aux chenilles, parfois même dans leur nid, et la mésange huppée chasse la première forme larvaire. On m'a rapporté que des mésanges les chassent lorsqu'elles sont en procession. Leur principal prédateur est le grand calosome, un carabe, insecte coléoptère vivant ordinairement sur le sol, remarquable avec ses élytres aux reflets verts métalliques (voir le document [4]). C'est la larve de calosome, ressemblant quelque peu à une chenille, qui en fait la plus grosse consommation. Elle monte parfois aux arbres pour attraper ses proies. Plusieurs espèces de guêpes ainsi qu'un champignon, le cordiceps, peuvent les parasiter. pins, - les hivers sont de moins en moins rigoureux, donc la chenille a pu s'étendre au nord de sa zone d'origine, - les populations de calosomes et de guêpes parasites ont peut-être été affaiblies par les insecticides. On trouve parfois des nids de chenilles sur d'autres arbres que les pins, sur des feuillus. Il s'agit d'autres espèces de chenilles, sur lesquelles je n'ai aucune information. En particulier, la chenille processionnaire du chêne semble redoutée des forestiers. Le traitement préconisé contre la chenille du pin est efficace contre toutes les chenilles, mais la période de traitement est peut-être différente. Danger des chenilles En fin d'hiver et au printemps, les chenilles se déplacent au sol en procession. On peut aussi en voir occasionnellement lors de belles journées d'hiver ou même en fin d'automne. Les chenilles sont recouvertes de poils urticants et peuvent occasionner des désagréments ou même des ennuis graves aux personnes et aux animaux. Chaque poil est relié à une glande à venin. Ce venin, provoquant une nécrose tissulaire, est libéré lorsque le poil très fragile se casse. En cas de vent, des poils urticants infestant les nids peuvent être dispersés et tomber sur les promeneurs ou être inhalés. Les ennuis provoqués sont des démangeaisons, des oedèmes, des troubles oculaires, des accidents respiratoires et d'autres symptômes plus ou moins graves suivant les individus, en particulier s'ils sont allergiques ou asthmatiques. Les petits enfants sont particulièrement exposés à ces risques (en cas de symptôme, consulter immédiatement). Les nids de chenilles dans les lieux publics, parcs et jardins, sont donc une grave menace de santé publique, qui devrait être sérieusement prise en compte. Les chiens sont tentés de flairer les chenilles de près et d'en avaler, ce qui provoque une nécrose de la langue, et peut être mortel (consulter immédiatement un vétérinaire). On m'a rapporté le cas d'un poney mort des suites de l'ingestion d'une branche infestée. Les chats, plus prudents, sont rarement atteints. La vie des chenilles La chenille processionnaire du pin (Thaumetopoea pityocampa SCHIFF.) est la forme larvaire d'un insecte appartenant à l'ordre des lépidoptères (un papillon nocturne, gris avec des motifs noirs et des taches blanches, voir des photos en [5] et [6]). L'activité des chenilles, l'alimentation et la confection du nid sont nocturnes. Le cycle biologique de cet insecte est annuel. Les adultes, papillons nocturnes à vie brève (un jour), s'envolent au cours de l'été, de fin juin à mi-août. Ils recherchent un hôte pour pondre, pin ou cèdre (les autres conifères ne sont pas attaqués). Les arbres jeunes sont préférés et parmi les différentes espèces de pin, le pin d'Alep semble leur favori. Ils peuvent parcourir ainsi quelques kilomètres. Les femelles pondent des oeufs par centaines autour de la base de quelques aiguilles. Ces oeufs forment un manchon gris argenté recouvert d'écailles, et long de deux à cinq centimètres. Le développement larvaire complet s'effectue en cinq stades, pendant la fin d'été, l'automne et l'hiver. Dans les premiers stades larvaires, les chenilles ne sont, paraît-il, pas urticantes. Dès leur éclosion en été, trente à quarante jours après la ponte, les larves commencent à manger des aiguilles de pin et tisser des abris en soie. Ces premiers abris sont légers et peuvent passer inaperçus. Une touffe d'aiguilles qui jaunit en est la principale manifestation. Dès que la zone autour de leur abri n'offre plus de nourriture suffisante, les chenilles émigrent plus haut dans l'arbre et forment un nouveau nid. On peut parfois les voir migrer en procession sur le tronc ou les branches de leur pin, lors de journées ensoleillées. Pour finir, les chenilles construisent un nid solide pour passer l'hiver, qui les protège du froid et de la pluie. Ce dernier nid, construit fin octobre ou début novembre dans les branches les plus hautes, est beaucoup plus gros et solide que les précédents, et de ce fait, très visible. Les aiguilles autour desquelles est bâti le nid sont conservées intactes. À la fin de leur développement, en mars ou avril, les chenilles quittent l'arbre et cherchent un endroit au sol suffisamment chaud et meuble pour s'enfouir et se transformer en chrysalide, d'où émergera le papillon. Les chenilles se déplacent en processions de plusieurs dizaines d'individus, chaque chenille étant reliée par un fin fil de soie à la précédente. Je ne sais pas quelle distance elles peuvent parcourir, mais j'en ai vues assez loin de tout pin (une centaine de mètres). Les chenilles sont parfois visibles dès le mois de janvier si le temps est doux. Les papillons peuvent s'envoler quelques mois plus tard, mais les larves peuvent aussi dans certains cas rester quelques années dans le sol avant de prendre leur envol. La lutte contre des chenilles La lutte contre les chenilles peut prendre différentes formes selon les saisons, en fonction des stades d'évolution de l'insecte. Les actions décrites dans les paragraphes ci-dessous ne dépendent évidemment pas des dates administratives des saisons, mais sont liées au cycle de l'insecte, variable suivant les régions et le temps. Il n'existe aucun moyen de se débarasser définitivement des chenilles. Le traitement est à refaire chaque année. En effet, même si on détruit toutes les chenilles existant sur un terrain donné, les arbres seront réinfestés l'année suivante par des papillons pouvant provenir de plusieurs kilomètres. Ce traitement annuel doit donc être maintenu tant que des nids, et donc des papillons, existent dans la région. Il n'y a pas de méthode de lutte contre le papillon lui-même. Il paraît que des recherches sont en cours. La méthode consisterait à piéger les papillons en les attirant avec des phéromones, comme on le fait avec d'autres insectes. J. H. Fabre, qui écrivait à une époque où les insecticides étaient rares ou inexistants, recommandait de détruire les oeufs en août, après la ponte et avant leur éclosion. Les oeufs sont pondus selon lui dans les branches basses des pins, à portée de main. Ils sont groupés autour de la base de aiguilles situées à l'extrémité des rameaux, et forment comme un chaton gris et soyeux, assez visible dans le vert foncé du feuillage. Il suffit d'arracher l'aiguille qui le porte et de l'écraser par terre. J. H. Fabre recommande également de couper préventivement les branches basses des pins. Cependant j'ai vu des nids sur des pins dont les branches les plus basses sont à plus de cinq mètres. En été et automne La meilleure méthode consiste à traiter les arbres pendant la saison où les chenilles mangent les aiguilles, avec un insecticide spécifique. En effet, les nids dans lesquels les chenilles passent la journée, leur assurent une protection efficace contre un insecticide ordinaire. Utiliser un insecticide à base de Bacillus Thuringiensis (BT). Il se présente sous la forme d'une poudre qu'on dilue dans l'eau et pulvérise sur l'ensemble du feuillage. Un traitement annuel peut suffire, à faire pendant la période où les chenilles mangent des aiguilles. La meilleure époque est l'été, après la ponte et l'éclosion des oeufs, mais avant la formation des nids d'hiver. On peut traiter dès qu'on aperçoit le travail des chenilles (des touffes d'aiguilles jaunies), en août. Les exploitants forestiers font faire des pulvérisations par hélicoptère ou depuis des engins tout-terrain (un pulvérisateur motorisé très puissant est monté sur le plateau de l'engin, et peut souffler le produit jusqu'en haut des arbres, voir des photos dans le document [9]). Ces procédés sont difficilement accessibles au particulier hébergeant quelques arbres attaqués. Certaines communes organisent la lutte contre les chenilles processionnaires et proposent aux particuliers le passage d'un hélicoptère ou d'engins motorisés à coût partagé. Voir ci-dessous le paragraphe à qui s'adresser ?. Pour des arbres jeunes, pas encore trop hauts, on peut agir avec un pulvérisateur de jardin et une échelle. En hiver Si le traitement n'a pas été fait ou s'il a échoué, et que les nids d'hiver sont apparus, que faire ? Le traitement au BT est toujours possible, mais on peut aussi détruire les chenilles en profitant du fait qu'en principe, dans la journée, les chenilles sont dans le nid ou à sa partie supérieure (elles prennent le soleil). On peut couper les rameaux atteints avec un sécateur ou un échenilloir (un sécateur au bout d'une longue perche et commandé par une corde). Il n'y a aucun risque que les chenilles sortent du nid coupé, se dispersent et remontent dans l'arbre (même après plusieurs jours, les chenilles restent fidèles à leur branche et leur nid). Brûler ou enterrer les nids. Cependant ne pas couper le rameau sommital d'un pin, car cela provoquerait une déformation de la future flèche, et éventuellement la formation d'une fourche. Les chenilles sont urticantes et ne doivent pas être touchées. Les nids eux-mêmes peuvent être urticants, car infestés de poils. Il faut donc porter des gants, un masque et des habits protecteurs (en tissu ou matériau lisse, sans quoi des poils urticants peuvent s'y incruster). Je ne connais pas de méthodes de lutte sur de grands arbres, dès que le haut du feuillage est inaccessible aux pulvérisateurs, et les nids trop hauts pour l'échenilloir. Certains recommandent de tirer au fusil de chasse sur les nids pour les endommager, par un jour froid et humide. Je vous laisse juger de cette proposition. L'idée n'est pas de détruire directement les chenilles, mais de détériorer le nid de façon à ce qu'elles ne résistent pas au froid de l'hiver. Si des nids sont restés dans les arbres en hiver, certains recommandent d'empêcher les chenilles de descendre au sol, en posant dès janvier un anneau de glu sur le tronc des arbres (mais si votre terrain héberge des calosomes, ce n'est peut-être pas une bonne idée). Attention, si elles sont nombreuses, les chenilles arrivent à passer en marchant sur le corps de celles qui sont engluées. Au printemps Il n'est pas inutile de détruire les chenilles en procession, si on vient à croiser leur chemin, pour éviter leur dissémination future, mais aussi et surtout à cause du danger qu'elles présentent. À ce stade, les chenilles ne s'alimentent pas et le BT n'est vraisemblablement pas efficace. Les chenilles peuvent alors être détruites avec des insecticides courants, et jetées ou enterrées (car même mortes, elles restent urticantes). Les gens pas trop sensibles peuvent se contenter de les écraser. Les nids restants après la descente des chenilles sont vides, et ne sont pas un foyer d'infestation pour l'année suivante (c'est les papillons sortant des cocons souterrains qui réinfesteront l'arbre). Les nids seront petit à petit détruits naturellement. Il n'y a pas obligation de les enlever sauf pour la gêne esthétique. Il n'y a aucun traitement à faire (sauf noter sur son agenda le traitement à faire fin août). _________________ size=12]Les insecticides à base de Bacillus Thuringiensis (BT). [/size] Comme déjà dit, ces insecticides se présentent sous la forme d'une poudre qu'on dilue dans l'eau et pulvérise sur l'ensemble du feuillage. Le principe actif (BT) est bactériologique et non chimique : c'est un bacille provoquant une maladie mortelle des chenilles ; le bacille est ingéré par les chenilles lorsqu'elles mangent des aiguilles qui ont reçu le produit. Pour cette raison, le BT n'agit que sur les larves de lépidoptères, et est considéré comme non toxique pour les autres espèces animales, même les autres insectes (d'ailleurs il est accepté en agriculture biologique). On peut consulter les données scientifiques concernant le BT dans le document [8]. Comme pour toute pulvérisation, agir un jour sans vent, et sans risque de pluie. Les chenilles mangeant la nuit, il est sans doute préférable de traiter en fin de journée. On trouve facilement dans le commerce et à bon marché (moins de 10 euros) différents produits à base de BT (chercher au rayon jardinerie les insecticides contre les chenilles et regarder la composition du produit). Ces produits ne sont pas spécifiques des chenilles du pin, mais servent aussi à lutter contre d'autres lépidoptères, parasites des cultures, comme la piéride du chou, les noctuelles, pyrales, etc. Le bacille est parfois mélangé à des insecticides chimiques, pour avoir un spectre d'utilisation plus large. Je préfère utiliser un produit ne comportant que du BT comme principe actif, préservant ainsi le caractère peu nocif de celui-ci. Pourquoi pulvériser un produit mélangé, qui tuera les abeilles et les calosomes, et sera toxique pour les poissons si le produit vient à atteindre un ruisseau ou une mare, alors que le BT seul est parfaitement efficace et peu (ou moins) toxique ? J'ai expérimenté le BT sur des chenilles qui infestaient mes pins en traitant début septembre 2000 : il s'est révélé très efficace (un seul nid d'hiver sur un pin que je n'ai pas pu pulvériser entièrement, les autres pins, plus petits et au nombre d'une dizaine, en étaient indemnes). Travailler en hauteur En 2001, mes pins sont devenus un peu hauts pour mon pulvérisateur. Les rallonges vendues dans le commerce ne sont pas bien longues, et du sol, on ne peut guère pulvériser plus haut que trois mètres. Une échelle ne fait gagner que deux mètres. J'ai imaginé de bricoler une rallonge vraiment plus longue, et c'est finalement facile. Les rallonges vendues sont en deux parties, on peut les séparer et les relier par un tube de plastique transparent (vendu dans les magasins de bricolage), maintenu par deux colliers. Le tout est placé sur une perche la plus longue et légère possible (j'ai utilisé une tige de bambou, un manche de balai de piscine conviendrait aussi). Il faut naturellement un pulvérisateur à dos pour laisser les mains libres. Ce système est rapide à monter et fonctionne très bien. Cependant un pin adulte reste complètement hors de portée. Une solution pour traiter les grands arbres, que ce soit pour pulvériser de l'insecticide ou couper les branches infestées, consiste à louer une nacelle. Un lecteur m'a signalé cette possibilité qui lui avait coûté dans les 160 euros. Il faut chercher dans les pages jaunes à la rubrique Plates-formes et nacelles élévatrices. À qui s'adresser pour un traitement ?Comme mentionné plus haut, certaines communes organisent des traitements à coût partagé, généralement en fin d'été. Se renseigner à la mairie ou au service départemental (ou régional) de protection des végétaux (chercher dans l'annuaire à la rubrique Administration de l'agriculture). Je ne peux pas donner de références d'entreprises assurant ces traitements -
herpes virus canin,moratalité du chiot
fleur de jasmin a posté un sujet dans Rubrique reservée aux Eleveurs
Provoque une maladie mortelle chez le chiot , et est actuellement la premiere cause d'infertilité en élevage. Par le dr philippe Michon , vétérinaire, source chiens de France. ATTENTION, assez rébarbatif : Etiologie Le virus: Isolé en 1965, le virus de l'herpès virose appartient à la sous-famille des Alphaherpèsvirince et n'est apparenté à aucun autre herpès virus Ces virus se tyransmettent généralement par contact de muqueuses et ont la particularité de pouvoir subsister à l'état latent L'individu qui en est atteint peut rester porteur toute sa vie Ces virus sont parcontre fragiles ds le milieu extérieur et facilement détruits chez le chien ll présente la particularité d'etre inhibé par la chaleur De ce fait, il se multipplie ds les muqueuses exposées à l'air;: chez l'adulte:génitale, oculaire,et respiratoire! Chez le nouveau né, par contre,incapable de réguler sa température, l'atteinte est généraliséeLe taux de chiens séropositifs en élevages serait de 25 à 70 % Aucun pays n'est indemne Les sources de contamination peuvent passer inaperçues: - chiots malades - chiots issus de mère malades (liniques ou porteuses ) - adultes malades même si aucun signe clinique Les matières virulentes le sont essentiellemnt par contact: - sécrétions nasales ert génitales -enveloppes foetales et foetus Trois modes de transmission sont possibles: - - lors de l'accouplement, y compris par le sperme - In utéro - oro-nasale Soigner les chiots avant de toucher tout autre chiens Se laver et se changer entre chaque klot en cas de doute Détruire immédiatement les placentas et les foetus morts , véritables bombes à virus Pathogénie Le virus entre par la voie oro-nasale Le Pr Thiry mentionne qu'une chienne déjà infectée par l'herpès virus canin donne une immunité colostrale qui protege le chiot contre une atteinte ultérieure grâve: elle protege de la maladie(symptômes) mais non de l'infection(le virus se multiplie néanmoins) Il en est de même pour une chienne vaccinée contre l'herpès virose On n'a pas de preuve d'infection du chioit lors du passage dans le bassin La contaminationplacentaire est possible et peut entrainer des avortements qui ne sont pas forcéments tardifs l'infection est mortelle et se propage tres rapidement chez les nouveaux-nés , alors que sur des chiots de 2 à 3 semaines , elle peut etre inapparente ou donner uen rhino-pharyngite aisément confondue, avec la toux de chenil. Symptômes Forme aigue du nouveau-né L'incubation dure de 4 à 5 jours Le chiot cesse de s'alimenter, à des selles molles, évoluant vers la diarrhée Une douleur abdominale est souvent observée ainsi qu'une hypothermie La mortalité survient en 1 à 2 jours et peut concerner toute la portée Des séquelles neurologiques sont fréquentes sur les survivants Forme du chiot plus âgé Chez les chiots plus âgés, l'atteinte est essentiellement respiratoire Forme récidivante dans un chenil Dans les chenils contaminés, l'infection se contrôle d'elle même, la plupart des chiens acquérants une certaine immunité, et les chiennes transmettent cette immunité à leurs chiots Les chenils les plus à risques sont ceux n'ayant jamais eû d'herpès virose On observe donc de temps en temps une récurence de symptômes de toux de chenil Forme vaginale et pénienne Des papulo-vésicules peuvent apparaître sur la muqueuse, elles disparaissent en deux semaines et peuvent réapparaitre en début de chaleurs Forme transplacentaire Des résorbtions foetales,des momifications,des avortements,de la mortinatalité néonatale, et la naissance de chiots normaux porteurs latents du virus: tous ces signes peuvent etre observés lors d'atteinte de la femelle gestante Forme inapparente La plupart des infections sont inapparentes, le virus s'établit à l'état latent toute la vie du chien Diagnostic: Toute sérologie positive indique une contamination Les animaux les plus à risques sont les animaux négatifs. L'analyse histo-pathologique donne, chez le chiot, des lésions typiques Le virus peut etre isolé des organes deu chiot Traitement L'acyclovir ( antiviral ) semblant inéfficace sur l'hèrpès virus canin, le TT est uniquement symptomatique! Chez le chiot , on veillera au maintien de la température entre 38° 5 et 39)5 PREVENTION La prévention est de deux types: sanitaire et vaccinale La prévention sanitaire consiste à: -s'assurer que toutes les conditions sont requises pour maintenir les chiots à leur températuire - Désinfecter frequemment avec des produits non irritants , éliminer les cadavres le plus rapidement possibleéviter le contact des portées La prévention vaccinale est possible grâce à L'Heuricanherpès205 qui possede une AMM Européenne La mère est vaccinée gestante afin d'obtenir un taux maximal d'anticorps à la mise bas Cette vaccination supprime completement la mortalité néonatale due à l'herpès virus canin Les chiffres obtenus sont interessants:la vaccination augmente le taux de féconduité, réduit la mortalité, toutes causes confondues de moitié, et de ce fait augmente le nombre de chiots sevrés L'innocuité du vaccin est totaleet il peut s'utiliser quel que soit le statut sérologique de la mère, même si son intéret est discutable, sur une chienne séropositive 2 injections doivent etre éffectuées à chaque gestation, entre le 1 er jour des chaleurs et le 10 ème jour apres la saillie La seconde, 1 à 2 semaines avant la mise bas Le vaccin est vendu en France à un prix public d'une quarantaine d'€, hors consultations Les 2 injections associées sont loin d'atteindre la valeur d'un seul chiot, et ds l'état actuel des contaminations, son utilisation devrait etre systématique.. -
Sujet: Etude sur les réactions vaccinales DES petites races Dim 22 Mar 2009 - 18:37 -------------------------------------------------------------------------------- R&D : LES DERNIERS RAPPORTS AMÉRICAINS Nouveautés dans le groupe des races naines Les races naines présentent un risque supérieur de réactions vaccinales Les races naines sont parmi celles qui présentent les risques les plus élevés de réactions indésirables aux vaccins canins. Dans la mesure où le poids, l’âge et la fréquence des vaccinations jouent un rôle sur le fait qu’un chien présente une réaction indésirable à une vaccination, il est normal que les chiens de taille plus réduite soient exposés à un risque supérieur. Le compte rendu est basé sur des recherches menées à l’Université de Purdue, où des épidémiologistes ont examiné les dossiers vaccinaux de 1,25 million de chiens vaccinés dans les cliniques vétérinaires Banfield à travers le pays du 1er janvier 2002 au 31 décembre 2003. L’objectif de cette étude était d’évaluer la sécurité d’emploi des vaccins canins en utilisant la base de données électronique d’un important réseau de cliniques vétérinaires généralistes. “Contrairement à la médecine humaine, la médecine vétérinaire n’a pas l’obligation légale de notifier et d’évaluer les facteurs de risque d’événements indésirables liés aux vaccins”, indique le docteur George Moore, maître de conférences d’épidémiologie clinique à l’Université de Purdue. “Avec les vaccins humains, les médecins doivent notifier les événements indésirables à la Food and Drug Administration ou aux centres épidémiologiques. Les vétérinaires auront davantage tendance à notifier les événements indésirables au fabricant des vaccins plutôt qu’aux autorités réglementaires, aussi est-il difficile pour celles-ci d’avoir un accès complet aux risques globaux ou aux risques spécifiques pour certaines races”. Les préoccupations concernant la sécurité d’emploi des vaccins et les questions relatives à la nécessité des vaccinations annuelles ont incité l’American Veterinary Medical Association (AVMA) et l’American Animal Hospital Association (AAHA) à réévaluer leurs protocoles de vaccination en 2002 et en 2003. L’AVMA et l’AAHA ont toutes les deux encouragé les vétérinaires à adopter des calendriers de vaccination personnalisés afin de répondre au mieux aux besoins individuels des chiens. Selon l’AVMA, les recommandations relatives aux rappels vaccinaux doivent être délivrées dans le but d’obtenir et de maintenir une immunité cliniquement significative tout en minimisant le risque d’événements indésirables. Parallèlement, les éleveurs et les propriétaires de chiens aspirent à protéger leurs animaux de manière adéquate contre les maladies, mais ils souhaitent également éviter les vaccinations superflues. Les éleveurs doivent travailler en collaboration avec un vétérinaire qui a l’expérience de la prise en charge de groupes d’animaux. Pour développer un calendrier de vaccinations approprié aux besoins individuels des chiens, le vétérinaire prendra en compte l’âge, le style de vie, l’état de santé ainsi que l’environnement domestique et les voyages effectués. De même, l’état de santé général du chien, la fréquentation d’autres animaux et le climat constituent également des considérations importantes. La prévalence de la maladie, et par conséquent le risque d’exposition, varie non seulement d’une région à l’autre dans le pays, mais également entre les différentes zones d’une région. Facteurs affectant les événements indésirables Quarante-deux races représentant plus de 5 000 vaccinations ont été incluses dans l’étude. Les races présentant des risques particuliers de réactions indésirables étaient les suivantes : teckel, carlin, Boston terrier, chihuahua et pinscher nain. “Il apparaît clairement que le poids du chien joue un rôle significatif dans le risque d’événements indésirables liés aux vaccins”, assure le Dr Moore. “Nous avons observé que les réactions diminuaient au fur et à mesure que le poids augmentait. Des chiens pesant entre 10 kg et 45 kg avaient deux fois moins de risques de réactions que les chiens pesants moins de 10 kg”. Les chercheurs ont recherché les événements indésirables liés aux vaccins survenus dans les trois jours suivant la vaccination, ainsi que ceux répondant à l’une des définitions suivantes : réaction vaccinale non spécifique, réaction allergique, urticaire ou anaphylaxie, une réaction allergique systémique rapide et sévère. Les vaccins étudiés ont été les suivants : toux de chenil (bordetella), borrelia, coronavirus, giardia, rage, parvovirus et/ou un vaccin multivalent comprenant maladie de Carré, adénovirus (hépatite contagieuse), parainfluenza, parvovirus et leptospirose. Les autres résultats ont été les suivants : Les réactions ont été plus importantes chez les chiens âgés de deux ans, et les taux ont augmenté de manière significative chez les chiens âgés d’un an par rapport aux chiens âgés de deux à neuf mois. Les événements indésirables liés aux vaccins ont augmenté de manière significative chez les chiens stérilisés par rapport aux chiens non stérilisés, même lorsque des facteurs comme l’âge et le poids étaient pris en considération. Le taux de réactions a augmenté de près de 25 % à chaque vaccination supplémentaire administrée lors de la même consultation. R.C.S. Nanterre B 302 079 462 • Trademarks owned by Société des Produits Nestlé S.A, Vevey, Switzerland Nestlé Purina PetCare France S.A.S. - Immeuble Le Concorde - 4, rue Jacques Daguerre - 92568 Rueil Malmaison Cedex Tél. : 01 47 10 29 42 - Fax : 01 47 32 28 43 Les signes cliniques prédominants d’un événement indésirable ont été les suivants : oedème ou gonflement de la face ou des yeux ; urticaire, ou gonflement aigu de la peau ; prurit (démangeaisons) généralisé ; et vomissements. Les signes cliniques observés dans un échantillon de 400 chiens ayant présenté des événements indésirables liés aux vaccinations ont été les suivants : oedème facial ou périorbitaire - 30,8 % ; urticaire - 5,8 % ; prurit généralisé - 15,3 % ; vomissements - 10,3 % ; et gêne localisée (gonflement, douleur) - 8,0 %. Cette étude de deux ans, qui a porté sur 3,5 millions de doses de vaccins et 1,25 million de chiens, a dénombré 4 678 événements indésirables. Trois chiens de l’étude sont décédés - tous étaient de petites races, âgés de six ans et plus, et avaient reçu au moins quatre vaccins en même temps. Il est intéressant de noter que de nombreux chiens ayant présenté des réactions vaccinales n’ont pas présenté à nouveau ces réactions lors de vaccinations ultérieures. Le risque d’événements indésirables liés aux vaccins aurait pu être supérieur pour ces vaccinations ultérieures s’il n’y avait pas eu de réaction antérieure ; cependant, les taux réels de réactions ultérieures ne sont pas connus. Les préoccupations concernant la sécurité d’emploi des vaccins et les questions relatives à la nécessité des vaccinations annuelles ont incité l’american veterinary medical association (AVMA) et l’american animal hospital association (AAHA) à réévaluer leurs protocoles de vaccination en 2002 et en 2003. Le suivi se poursuit “Nous effectuons désormais des études de suivi et nous espérons recueillir encore davantage d’informations”, déclare le Dr Moore. “Déterminer la sécurité d’emploi des vaccins nécessite l’évaluation d’une large population de chiens et un suivi sur une période prolongée. Nous espérons que les recherches futures conduiront à l’identification du composant vaccinal responsable des événements indésirables, et qu’elles permettront d’examiner les événements indésirables à long terme. Les questions essentielles à poser sur les événements indésirables liés aux vaccins concernent leur taux de survenue et la fréquence de la durée pour les différents types de vaccins”. Les études de sécurité d’emploi effectuées avant l’autorisation de mise sur le marché nécessitent l’administration de deux doses d’un vaccin à un nombre de 500 à 1 500 animaux avec un suivi de moins de 30 jours. Par conséquent, le compte rendu de sécurité d’emploi ne permet pas d’évaluer les effets de vaccinations répétées et la période relativement courte du suivi limite la capacité des études sur les vaccins d’identifier les événements indésirables. Un certain nombre de races, et généralement quelques individus pour chacune, sont généralement vaccinées. Par conséquent, “nous avons soudain un faux sentiment de sécurité sur ce qui pourrait constituer le dossier de sécurité de ce vaccin”, affirme le Dr Moore. “En réalité, il existe aujourd’hui beaucoup plus de vaccins animaux qu’il y a 20 ou 30 ans. Il est également beaucoup plus de conséquences”. Malheureusement, au fur et à mesure que le nombre de réactions indésirables augmente ou que l’incidence de la maladie décroît, les gens interrompent la vaccination et le risque de récurrence de la maladie s’aggrave. “Un récent foyer de maladie de Carré s’est déclaré à Chicago, car les chiens n’étaient plus vaccinés contre cette maladie”, rappelle le Dr Moore. En conclusion, des recherches supplémentaires sont nécessaires pour évaluer les réactions indésirables aux vaccins. Le Dr Moore admet que l’étude de Banfield comportait certaines limitations. Par exemple, tous les vaccins provenaient d’un seul fabricant ; les événements indésirables n’ont pas été enregistrés au-delà d’un délai de trois jours après la vaccination ; et l’étude n’a pas pris en considération les dossiers des vaccinations antérieures.
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L'EPILEPSIE Il s'agit d'une affection que l'on rencontre souvent chez certaines races (Caniches, Labrador, Golden,...) et qu'il ne faut pas confondre avec d'autres causes de crises convulsives. Les crises d'Epilepsie chez le chien se manifestent par des tremblements, des vomissements. Le chien tombe et semble"pédaler" dans le vide. Parfois il défèque sous lui. Malgré le côté impressionnant de ces crises, on considère qu'une seule crise par mois ne demande pas forcément un traitement. Par contre, la maladie évolue avec le temps et peut se montrer dangereuse pour l'animal. La répétition des crises met le cerveau en "surcharge" et pourrait provoquer certains dégâts. Le chien pourrait aussi se blesser s'il est seul au moment de ces manifestations. Il faut donc évaluer la fréquence des crises, en noter les symptômes et les durées, car le vétérinaire aura besoin de ces informations pour prescrire éventuellement un traitement. En principe, ce traitement n'est administré que si les crises ont lieu plusieurs fois par mois. Il consiste en la prise à vie de barbituriques. Cette thérapie assez contraignante s'accompagne d'un suivi régulier du vétérinaire qui adapte la posologie au fur et à mesure de l'évolution de la maladie. Attention cependant, car d'autres affections présentent des symptômes similaires ou approchants: - L'insuffisance hépatique, rencontrée surtout chez les jeunes chiens atteints de malformation congénitale. - L'Hypoglicémie (Carence en sucre). - L'Hypocalcémie (Carence en calcium). Ainsi que des causes dues à la toxicité de produits ingérés, ou d'ordre neurologique (Malformations, tumeurs, etc...) Il est donc conseillé dès l'apparition de ces symptômes de consulter son vétérinaire qui déterminera la cause et le traitement adéquat. Conclusion Malgré ses symptômes alarmants, l'Epilepsie légère ou plus prononcée avec suivi d'un traitement permet néanmoins au chien de vivre normalement. Source : CC
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Je m'excuse par avance de la longueur de cette page qui n'est pourtant qu'une introduction au problème qu'est l'épilepsie. J'ai cependant découvert plusieurs informations que je ne connaissais pas en le traduisant, et j'ai pensé qu'il était important que ces informations soient disponibles sur un site français. Je l'ai mis sur plusieurs pages afin de ne pas vous faire peur :-) En voici le sommaire : Première page : (vous y êtes) Consultez le vétérinaire les points clés qu'est-ce que l'épilepsie primaire ? l'épilepsie secondaire ? est-ce que l'épilepsie est répandue chez les chiens ? qu'est-ce qui permet de savoir si mon chien va avoir une crise ? comment est-ce qu'on diagnostique l'épilepsie primaire ? Passons à la page 2 Epilepsie et fonction thyroïde Shunt du foie Autres examens qu'est-ce qu'une crise d'épilepsie ? Page 3 Les types d'attaques les attaques généralisées le comportement post-ictal variations sur le thème groupes d'attaques et statut épileptique les effets d'une attaque les crises d'absence l'attaque focale l'attaque focale simple exemple Page 4 Qu'est-ce qui ressemble aussi à des attaques ? l'épilepsie héréditaire Traitement Vivre avec un chien épileptique Je suis propriétaire d'un spitz loup et mon chien est épileptique. Je suis propriétaire d'un spitz loup et je souhaite le faire reproduire. Traduction et résumé de l'article "Comprendre l'épilepsie de votre chien" écrit par Dennis O'Brien, DVM, PhD, Diplômé, ACVIM, Spécialité de Neurologie Université du Missouri, Collège de Médecine Vétérinaire (sauf pour les 2 dernières sections) Intégralité du texte (en anglais) disponible sur http://www.canine-epilepsy.net/ "Toutes les maladies les plus aiguës, les plus puissantes et les plus mortelles et celles le plus difficile à comprendre ... tombent sur le cerveau."-Hippocrate L'épilepsie a été reconnue dans le passé et était sans aucun doute une des maladies "difficiles" qu'Hippocrate a mentionné. Comprendre ce qui cause les crises, comment l'épilepsie est traitée et comment la recherche actuelle peut aider à diminuer l'incidence de la maladie, vous aidera à traiter la maladie de votre animal. Voyez votre vétérinaire Votre vétérinaire sera votre meilleure source de conseils sur la santé de votre animal. Il connaît votre animal, quels traitements ont été essayés dans le passé, ce qui a été trouvé à l'examen et les autres problèmes médicaux de votre animal. Soyez un consommateur intelligent. Instruisez vous de la maladie de votre animal et n'ayez pas peur de poser des questions. Si vous ne comprenez pas pourquoi un test est exécuté ou un traitement recommandé, votre vétérinaire sera capable d'expliquer en quoi cela aidera votre animal. Souvenez-vous quelqu'un peut poster n'importe quoi sur Internet sans qu'il n'y ait aucune garantie que l'information soit valable à moins qu'elle ne vienne d'une source honorable. Partagez ce que vous apprenez avec votre vétérinaire. Il peut vous aider à distinguer l'information qui peut être utile d'idées qui peuvent être inutiles ou même dangereuses pour les besoins individuels de votre animal. Points clés Si vous avez un animal atteint d'épilepsie, voici les points clefs dont vous devez vous souvenir. Ils sont discutés plus en détail ailleurs : Ne changez pas et ne cessez pas la médication sans consulter votre vétérinaire. Voyez votre vétérinaire au moins une fois par an pour une visite de contrôle. Si votre animal a une attaque plus longue que 5-10 minutes ou 3 attaques dans un jour, amenez-le immédiatement chez le vétérinaire. Restez sceptique sur les revendications exorbitantes de traitements. Souvenez-vous, vivez avec l'épilepsie et pas pour l'épilepsie. Avec le traitement approprié, la plupart des chiens ont beaucoup plus de bons jours que de mauvais. Aimez tous ces bons jours! Aimez votre vie et votre animal. Ils ont une maladie grave, mais ça ne doit pas vous empêcher d'aimer le temps que vous avez avec eux. Qu'est-ce que l'épilepsie On appelle "épilepsie" le fait qu'un chien fasse des attaques cérébrales à répétition. Ces attaques peuvent arriver de façon isolée dans la vie de votre animal et elles peuvent avoir des causes diverses. Elles sont un signe de maladie cérébrale de même qu'une toux est synonyme d'affection pulmonaire. Dire qu'un chien est atteint d'épilepsie ressemble au fait de dire qu'il a une toux chronique; c'est le signe qu'il existe un problème quelque part. Tour ce qui peut endommager le cerveau dans un secteur donné peut causer l'épilepsie. Si nous pouvons identifier la cause des attaques, dire qu'elle sont dues à une tumeur cérébrale ou à un coup, nous disons que l'animal a une épilepsie symptomatique (ou secondaire). C'est-à-dire les attaques sont un symptôme d'un processus de maladie que nous avons été capables d'identifier. Si nous avons regardé et ne pouvons pas trouver la cause, nous l'appelons épilepsie idiopathique (ou primaire). Le terme idiopathique signifie simplement que nous ne connaissons pas la cause. La cause peut avoir échappé à notre attention; Par exemple, un coup qui est trop petit pour être détecter avec des scanographies du cerveau ordinaires ou les dégâts qui sont arrivés pendant une précédente crise. Beaucoup d'épileptiques idiopathiques ont hérité l'épilepsie : l'épilepsie est causée par une mutation dans un gène spécifique qu'ils ont hérité de leurs parents. Les chiens atteints d'épilepsie idiopathique commencent fréquemment à avoir des crises entre un et trois ans et certaines races sont prédisposées au développement de l'épilepsie. On a prouver une épilepsie héréditaire dans quelques races, pour d'autres, il s'agit d'un soupçon fort. Un des buts du Projet d'Épilepsie Canine est d'identifier des gènes responsables de l'épilepsie chez des chiens. Cela nous permettra de positivement diagnostiquer la forme héréditaire et prendra des mesures pour diminuer l'incidence d'épilepsie chez des chiens. Est-ce que l'épilepsie est commune ? L'épilepsie est une des maladies neurologiques les plus communes chez des chiens, mais personne ne sait à coup sûr combien elle est répandue. Certaines études estiment une augmentation de 4% du nombre de chiens atteints. Dans quelques races, l'incidence peut être plus haute et quelques familles peuvent avoir jusqu'à 14% d'épileptiques. L'épilepsie arrive moins fréquemment chez des chats et d'autres animaux de compagnie, vraisemblablement parce qu'ils n'ont pas de forme héréditaire de la maladie. Qu'est-ce qui détermine si mon animal aura des crises ? Personne ne sait ce qui détermine quand un épileptique aura une crise. La seule chose que nous pouvons prévoir de l'épilepsie est que c'est imprévisible. Quelques animaux de compagnie semblent avoir des attaques très régulièrement, tandis que chez d'autres, les crises semblent être précipitées par des événements spécifiques comme le stress, ou des changements du temps. Cependant, quand nous essayons d'utiliser ce qui est arrivé dans le passé pour prévoir quand la crise suivante peut arriver, nous n'avons pas d'habitude beaucoup de succès. Pour beaucoup d'épileptiques, il n'y a aucun modèle à leurs crises. Comment peut-on diagnostiquer une épilepsie primaire ? L'épilepsie idiopathique est un diagnostic par élimination. C'est-à-dire nous cherchons d'autres causes de crises et si nous ne pouvons en trouver aucune, nous faisons le diagnostic d'épilepsie idiopathique. Comment nous cherchons une cause sous-jacente est une question de jugement clinique. Nous recommandons toujours une étude minimale pour un chien ayant des crises. Cela nous fournira des indices d' une maladie sous-jacente possible et fournira la ligne des bases pour surveiller les effets secondaires potentiels de médicaments antiépileptiques. Puisque votre vétérinaire ne peut pas être témoin d'une des crises de votre animal, il doit se fier à votre description de l'épisode. Cela l'aidera à décider si ces événements sont en effet des crises. D'autres problèmes comme la défaillance ou des périodes vertigineuses peuvent aussi aller et venir comme des crises et peuvent paraître semblables à l'oeil non formé. Ainsi, votre vétérinaire aura besoin une description claire de ce que vous observez pendant l'épisode pour l'aider à faire cette distinction. Il déterminera aussi quel type de crise votre animal éprouve. Notez une description de ce que vous avez vu aussitôt que possible après l'épisode. Si vous pouvez, faites une bande vidéo de l'épisode pour la montrer à votre vétérinaire ou au neurologue. Pour exclure certaines maladies, nous aurions besoin de nouveaux tests. Si l'animal est à l'extérieur de la gamme de 1-3 ans quand l'épilepsie idiopathique commence typiquement, ou a des anomalies à l'examen que allusion d'une cause, nous recommandons fortement à un tel test. Votre vétérinaire peut vous diriger un neurologue pour certains de ces tests. Même si un animal est dans le diapason d'âge de l'épilepsie idiopathique, nous ne pouvons pas être sûrs que c'est bien l'affection qui le touche à moins que nous n'exécutions le plein complément de tests. Une étude (Podell 1995) a montré que 1/3 des chiens entre 1 et 5 ans avait une cause identifiable pour les attaques. L'électroencéphalogramme (l'EEG) est un outil utile dans le diagnostic de l'épilepsie, mais a des inconvénients sérieux chez les animaux. Quand nous voyons des anomalies dans l'EEG, qui nous dit que c'est en effet une crise et peut nous aider à définir exactement la source. L'ennui est que ces anomalies d'EEG, comme les crises, peuvent aller et venir. Si elles n'arrivent pas tandis que nous enregistrons l'EEG, nous ne les verrons pas. L'enregistrement d'un EEG chez un animal éveillé est difficile, donc nous avons souvent à le calmer ou l'anesthésier pour obtenir un enregistrement adéquat. Les médicaments utilisées pour la sédation/anesthésie affectent aussi l'EEG. Ainsi, nous faisons souvent les diagnostics d'épilepsie basée sur les signes cliniques et n'exigeons pas la confirmation d'EEG de la maladie. page - 2 Fonction thyroïde et épilepsie Il y a beaucoup de controverse (en grande partie inutile) du rôle de la thyroïde dans l'épilepsie canine. Les hormones de thyroïde règlent le métabolisme. Trop d'activité de thyroïde et le métabolisme fonctionnent trop vite. Le résultat est la perte de poids, la nervosité, l'hypertension, etc. Trop peu d'activité de thyroïde et le métabolisme fonctionnent trop lentement. Cela aboutit au gain de poids, la léthargie, des hauts niveaux de cholestérol, etc. Normalement, les chiens ne développent pas d'atherosclerose : le durcissement des artères qui prédispose les gens aux crises cardiaques et attaques cérébrales. Le haut cholestérol qui accompagne l'hypothyroidie (trop peu d'hormone de thyroïde) peut, cependant, mener à l'atherosclerose et des attaques chez les chiens. De même l'hypertension qui accompagne l'hyperthyroidie (trop d'hormone thyroïde) peut aussi prédisposer le chien aux attaques cérébrales. Donc le chien a besoin de "Goldilocks levels" d'hormones de thyroïde : ni trop, ni trop peu, mais juste ce qu'il faut. Si les niveaux sont à l'extérieur de cette gamme, donc nous pourrions avoir les problèmes qui pourraient causer l'épilepsie. Les tests de fonction de thyroïde sont affectés par beaucoup de choses, y compris le stress et des médications. Plusieurs études récentes ont démontré que la thérapie phenobarbitale cause des valeurs faussement basses sur quelques tests de thyroïde. Des attaques récentes causeront aussi la baisse fausse des valeurs, vraisemblablement en raison du stress qu'ils causent. Donc des résultats de test doivent être interprétés avec ces avertissements en mémoire. Si un animal testé vraiment bas sur la fonction de thyroïde, un supplément de thyroïde est donc indiqué. Si un animal a la thyroïde testée normale ou va avec ce que nous nous attendons des effets de la médication ou des attaques, alors il n'y a aucune raison de compléter avec hormones de thyroïde. A propos le shunt du foie Un des rôles du foie est d'assurer que seulement la bonne substance de l'alimentation que nous mangeons entre dans le corps. Les chiens sont d'une triste notoriété pour manger des choses répugnantes, comme le fromage moisi hors des déchets et leur foie est responsable d'empêcher des toxines d'affecter le corps. De plus, l'action de bactéries dans les intestins sur l'alimentation peut produire les sous-produits toxiques avec lesquels le foie traite. Tout le sang venant des intestins passe le foie d'abord, où on le nettoie de toxines avant d'aller autour du reste du corps. Quand un embryon est sûr dans l'utérus de la mère, le foie de la mère s'occupe de ce travail et l'embryon ne doit pas s'en inquiéter. En conséquence, le sang des intestins contourne le foie dans l'embryon par un chemin séparé appelé le shunt. Quand le chiot est né, cependant, le foie doit commuter des mécanismes et commencer à le faire est le travail de nettoyer le sang des intestins. Ainsi le shunt se ferme et le sang est traité par le foie pour être nettoyé avant qu'il n'arrive au cerveau. Si le shunt ne se ferme pas comme cela devrait, le sang continuera à contourner le foie. Un shunt qui est présent à la naissance est appelé un shunt congénital. Le foie n'a pas alors d'occasion de supprimer la mauvaise substance avant que le sang ne circule dans le corps. Beaucoup de toxines que le foie nettoierait normalement peuvent affecter le cerveau et les attaques peuvent être un des effets. Le shunt peut aussi être acquis plus tard dans la vie. Si le foie est malade, le sang peut avoir des moments difficiles coulant par le foie malade, menant à une contre-pression dans les voies venant des intestins. Si cette contre-pression devient assez haute, le sang peut trouver une alternative, moins résistante de chemin d'accès. Le résultat est le même que dans le cas d'un shunt congénital; le sang contourne le foie et les toxines affectent le cerveau. Sur cette radio, le sang (en blanc) s'écoule par le shunt (flèche) et évite le foie (étoile) Tant parce que les problèmes de foie peuvent causer des attaques que parce que beaucoup de médications ont eu l'habitude de traiter l'épilepsie peuvent blesserle foie, nous recommandons des tests de la fonction du foie comme test initial et contrôles réguliers. Les tests d'enzyme de foie qui font partie d'un profil de chimie ordinaire ne peuvent pas être adéquats pour détecter le shunt du foie et des tests de fonction de foie, comme des acides biliaires ou l'ammoniac, sont nécessaires. D'autres tests peuvent être nécessaires Selon l'âge de votre animal, le type de crise et des découvertes sur les examens initiaux minimaux peuvent conduire votre vétérinaire à recommander de nouveaux tests. L'imagerie avancée, comme l'IRM ou CT , est nécessaire pour être capable d'en réalité voir le cerveau. Des radiographies régulières peuvent nous parler des os du crâne, mais pas du cerveau lui-même. Une telle image devient plus aisément disponible pour des animaux aux centres de référence. En imageant le cerveau, nous pouvons diagnostiquer des maladies comme des tumeurs cérébrales ou l'hydrocéphalie (l'eau sur le cerveau) qui peut causer des attaques. L'infection du cerveau (l'encéphalite) peut causer des attaques. Le spleen canin est la cause la plus commune d'encéphalite chez les chiens et une des raisons de tenir vos animaux de compagnie à jour de leurs vaccinations. Un robinet spinal et des titres d'anticorps de sérum permettront à votre vétérinaire de dire si le spleen ou une des autres causes d'encéphalite sont la raison des attaques de votre animal. Des analyses de sang complémentaires incluant des écrans de toxine peuvent aussi être indiquées. Qu'est-ce qu'une attaque ? La balance des entrées d'une cellule nerveuse détermine combien elle peut être excitable Les attaques sont causées par un courant électrique entrant comme un ouragan dans le cerveau. Des cellules normales du cerveau (des neurones) utilisent des signaux électriques et chimiques de communiquer de l'un vers l'autre. Cette communication peut ou être excitatrice, ayant tendance à activer le neurone suivant, ou inhibitrice, ayant tendance à couper le neurone suivant. Un équilibre délicat d'entre ces deux influences sur n'importe quel neurone donné déterminent s'il va devenir activé et transmettre l'information à d'autres neurones. Si l'équilibre dans le cerveau change trop loin vers l'excitation, trop de cellules peuvent devenir trop excitées et une attaque peut résulter. Gardez à l'esprit, nous parlons de l'excitation ou l'inhibition de neurones individuels dans le cerveau, pas de l'excitation de votre animal de vous voir quand vous rentrez à la maison. En fait, les attaques chez les chiens arrivent le plus généralement quand l'animal est détendu ou endormi, bien qu'ils puissent de temps en temps être associés à l'exercice ou l'éveil émotionnel. un déséquilibre peut causer un véritable ouragan dans le cerveau qu'on peut observer par EEG. Nous pouvons voir cette excitation excessive si nous enregistrons l'activité électrique du cerveau par un électroencéphalogramme (l'EEG). Sur l'EEG, l'attaque apparaîtra comme une série de pointes pointues comme les ondes d'excitation rattrapent le cerveau. Cette tempête électrique cause alors des changements du comportement et du mouvement de l'animal que nous reconnaissons comme une attaque. Il y a plusieurs types différents d'attaque selon la nature et l'emplacement de la tempête électrique. source association du spitz loup
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Cimetiere virtuel pour vos petits et gros amours....
fleur de jasmin a répondu à un(e) sujet de fleur de jasmin dans Nos disparus
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le loulou de poméranie
fleur de jasmin a répondu à un(e) sujet de tchoupytchou dans Questions aux Eleveurs
merci pour mon tit "pépère" c'était son surnom... un amour de chien de toute façon,tous mes chiens gros et petits sont des amours,c'est le maitre qui fait le chien !! j'ai eû des BA et un gendarme m'avait prédit que je me ferais "bouffer" par mes chiens!!! ils sont tous morts hélas,mes enfants élevés avec mes BA et jamais un seul n'a été agrssif j'ai eû un Boxer,une beauceronne,une DOB et encore j'ai une cané corsode 2 ans ,et une dogue de bordeaux de 15 mois stérilisées,ce sont des amours........................ -
mes petits derniersnouvelles photos...
fleur de jasmin a répondu à un(e) sujet de fleur de jasmin dans Vos naissances
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le loulou de poméranie
fleur de jasmin a répondu à un(e) sujet de tchoupytchou dans Questions aux Eleveurs
ce sont de petits grifons belges,dont le brabançon,et le bruxellois quand j'ai acheté le mien,il n'y avait que 2 élevages en France,à présent,il y en a un peu plus..mais c'est également une race dont l'élevage,n'estr pas facile le mien s'appelait DARLING D'EMPERRON Tu pourrais nous mettre une photo, s'il te plait ? avec mon fils Jonathan,qui aujourdh'ui à 28 ans.......... mon "pépère" à dû être endormi à cause d'une tumeur......... on le regrette tous.. Darling m'avait été vendu,pour infertilité,puis un jour l'éleveuse le re voulait pour de nouveau tenter sur sa femelle Bérénice,comme je ne voulais pas m'en separer,Bérénice est venue à la maison,elle etait adorable,mais moins belle que mon Darling.. Darling est à gauche sur la photo finalement ,je crois que Bérénice avait eû des bébés,Darling était Ch international -
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Ma troupe........mes Mâles.........
fleur de jasmin a répondu à un(e) sujet de Cara mia dans Leur Présentation
Je craque pour D'Jason aussi, quelle expression hihihihiiiiiiiii,merci pour le petit cantalou....................... c'est vrai qu'il est beau....... dailleurs je crois que je m'en vas le reprendre........................ calins à tes trois amours pat,Mister Ed est magnifique aussi.............. mais qui a dit que j'etais chauvine??? je suis lyonnaise -
le loulou de poméranie
fleur de jasmin a répondu à un(e) sujet de tchoupytchou dans Questions aux Eleveurs
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le loulou de poméranie
fleur de jasmin a répondu à un(e) sujet de tchoupytchou dans Questions aux Eleveurs
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" Par contre je n'ai jamais parler des boxer ou effectivement il n'y en a pas. et pour ton information voici ce qu'est une teckel merle: teckel merle chocolat teckel bleu merle vous pouvez admire ces beau specimen sur ce site: http://corsaires-de-feux.chiens-de-france.com/site_eleveur/index.php?rub=presentation&page=rubrique_histoire&ID_ELEVEUR=10453&ID_SITE=11759&ID_HISTOIRE=22845&I_ORDRE=3&PK_RUBRIQUE=1425 merci pour ces informations,c'est tres interessant,et je ne suis pas de celle qui refuse ""catégoriquement tout !! on en apprend tous les jours,la preuve en effet ce post est interessant,il y a les pour et les contre,mais chacun à le droit de donner son avis, toujours est-il que cette couleur chez le chihuahua est un effet de "mode" ,comme le chocolat,le blanc,et qu'on ne trouve plus de beaux roux orangé ce que perso,je déplore,apres c'est mon avis... pour le boxer,j'avais vu bober entre colley et beauceron...j e dois avoir des troubles visuels... bref
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Chromosomes. Dans chaque cellule de chien (sauf les gamètes) il y a 78 chromosomes, ou plus précisément 39 paires de 2 chromosomes (l'un venant du père et l'autre de la mère). Ces 78 chromosomes se répartissent en : - 76 autosomes (c'est-à-dire communs aux 2 sexes) - 2 hétérosomes d'où résulte le sexe (XX=femelle ; XY=mâle) Gamètes. C'est-à-dire les cellules reproductrices (spermatozoïdes et ovules) n'ont que 39 chromosomes, car au moment de leur formation se produit la méiose qui aboutit à séparer en deux chacune des 39 paires de chromosomes. Quand le spermatozoïde féconde l'ovule, la fusion de ces deux gamètes à 39 chromosomes aboutit à constituer un être complet et chaque cellule portera à nouveau 78 chromosomes (39 paires) Gènes. Les chromosomes sont formés d'une série de particules placées comme des perles sur un fil : ces particules sont appelées gènes. Un chromosome possède plusieurs centaines de gènes qui déterminent les caractères des animaux. Locus. C'est le site où sont situés un gène ou une série de gènes sur un chromosome. Allèles. Ce sont des gènes correspondant à un même locus. Homozygote. Quand, pour un locus donné, les 2 chromosomes présentent le même gène : le chien est homozygote - soit dominant, soit récessif - pour le caractère donné. Hétérozygote. Quand pour un locus donné les 2 chromosomes présentent deux allèles différents : le chien est hétérozygote. Ainsi, dans l'homozygotie le chien a reçu pour le caractère considéré le même allèle de son père et de sa mère et pour l'hétérozygotie, l'allèle qu'il a reçu du père est différent de l'allèle reçu de la mère. Dominant. Lorsque l'un des 2 gènes allèles étouffe l'effet de l'autre, il est dit dominant. Récessif. Le gène allèle dominé ne se manifeste pas dans l'apparence (phénotype) de l'hétérozygote et ne permet pas de le distinguer de l'homozygote dominant. Génotype C'est l'ensemble des gènes d'un individu dont il est doté depuis sa conception (fécondation). C'est son POTENTIEL HÉRÉDITAIRE appelé aussi PATRIMOINE GÉNÉTIQUE. Phénotype. C'est l'ensemble des caractéristiques que l'on peut mesurer ou qualifier chez un individu et qui tient compte pour chacun de l'adaptation du génotype aux conditions extérieures rencontrées. C'est l'APPARENCE ou l'ASPECT VISIBLE de l'individu. Génétique Qualtitative ou Mendelienne. En génétique mendélienne le phénotype n'est que le reflet plus ou moins apparent du génotype. Elle s'intéresse aux caractères non mesurables. Ces caractères dépendent d'un ou d'un nombre de gènes réduit et ne sont pas soumis à l'influence du milieu. Elle met en évidence : - Les caractères qualitatifs liés au sexe - Les homozygotes : qui ont un patrimoine héréditaire constant (sauf mutation) ; qui portent un choix d'allèles restreint (puisque dans chacune des paires traduisant l'homozygotie, les allèles sont identiques) ; leur phénotype ne peut être que la traduction d'un seul génotype possible. - Les hétérozygotes : ils sont issus du croisement d'individus possèdent un patrimoine héréditaire différent pour un ou plusieurs caractères ; l'hétérozygote qui en résultera possédera davantage d'allèles que chacun des homozygotes parentaux ; leur phénotype peut recéler des génotypes différents car il cache souvent des allèles récessifs que leurs homologues dominants empêchent de se manifester. Génétique Quantitative. Dans laquelle le phénotype est la résultante de 2 composantes : le génotype et le MILIEU. Elle étudie les caractères mesurables. Ceux-ci sont déterminés par un grand nombre de gènes, les polygènes, ni dominants, ni récessifs, mais à caractère quantitatif et qui, de plus dépendent du milieu. Il conviendra d'en préciser l'héritabilité, c'est-à-dire la part qui revient à l'hérédité par rapport à celle qui revient au milieu. Voyons un exemple simplifié. Supposons qu'une race puisse n'avoir que deux longueurs de poil : Court et Long (c'est le cas du Chihuahua). Supposons encore que le gêne Court soit dominant et le gène long récessif. Nous pouvons donc avoir seulement deux apparences différentes, poil court ou poil long, mais leur "signature" génétique est plus variable. (C= gène Court dominant, l = gène long récessif) apparence (phénotype) capital génétique (génotype) POIL LONG l l (homozygote = 2 fois le même allèle) POIL COURT C C (homozygote = 2 fois le même allèle) POIL COURT C l (hétérozygote = 2 allèles différents) POIL COURT l C (hétérozygote = 2 allèles différents) - Dans ce cas précis, le croisement de deux géniteurs à poil long (l l) ne pourra jamais engendrer de chiot à poil court. - Deux géniteurs poil court, s'ils sont hétérozygotes (C l ou l C) pourront engendrer des chiots poil court homozygotes (25%), des chiots poil court hétérozygotes (50%) mais aussi des chiots poil long (25%). - Un géniteur à poil court homozygote (C C) donnera toujours des chiens à poil court, quel que soit le génotype de l'autre géniteur. Source : CCCE bon courage,car ce n'est pas évident...
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dossier que vous pouvez imprimer !! Identification génétique chien Je possède un chien de race J'établis sa carte d'identité génétique et je certifie son pedigree L'identification génétique, un système fiable 2 laboratoires en France GENINDEXE situé à La rochelle,et ANTAGENE à Limonest à côté de LYON l'identification génétique est une empreinte génétique de votre chien reposant sur l'utilisation d'un panel de 22 marqueurs génétiques définis par l'ISAG (International Society for Animal Genetics) et validés en août 2006. L'empreinte génétique est codée sous forme de lettres pour vérifier facilement la compatibilité des empreintes entre les reproducteurs et les chiots. Pourquoi réaliser une identification génétique ? Qu'est ce qu'un pedigree certifié ADN ? Vous avez choisi d'acquérir un chiot de race, vous voulez des garanties. Le pedigree atteste des qualités du chiot. L'éleveur sélectionne les reproducteurs sur plusieurs générations pour garantir : • une apparence conforme au standard de la race • un tempérament spécifique de la race Grâce au Certificat ADN de parenté, la filiation du chiot est attestée génétiquement. L'identification génétique des parents et la parenté certifiée ADN du chiot sont mentionnées sur le pedigree grâce aux sigles DNA et DNA COMP.