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seb94460

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Tout ce qui a été posté par seb94460

  1. quel bol de l avoir retrouvé quel endroit insolite pour se cacher
  2. terrible le terra , ca donne super bien le poster en pierre derrier, bravo
  3. Pied sided is the newest gene to be discovered, and shows random patches of white along the sides of the snake. It is thought to be somehow linked to the diffused gene. traduction : Pied sided est le gène le plus nouveau à être découvert et montre les pièces aléatoires de blanc le long des côtés du serpent. Il est pensé pour être d'une façon ou d'une autre lié avec le gène répandu.
  4. bravo pour ces naissances vivement les photos des petits
  5. extra tiens nous au courant de l evolution
  6. pour cette video blunt ca nous plait toujours autant
  7. Distribution C’est une espèce de l’ouest méditerranéen présente en Afrique du Nord, dans le sud de la France, le nord-ouest de l’Italie et en péninsule Ibérique. En Rhône-Alpes, il est en limite nord de répartition, pénétrant dans la région à la faveur du couloir rhodanien et de quelques affluents. Il ne semble pas remonter au-delà d’une ligne Haut Vivarais / Vercors où il peut s’observer jusqu’à 780 mètres d’altitude. Présent en Basse Ardèche et dans la région du Tricastin (Drôme), il y manifeste un déclin très marqué lié à celui de ses habitats. Description C’est le plus grand de nos lézards avec une taille d’environ 60 centimètres. La queue longue et effilée représente les deux tiers de la longueur de l’animal. Le corps est trapu et la tête massive et triangulaire. Le dos est vert à brunâtre avec des taches noires et jaunes. Le reste du corps est jaune-vert avec des ocelles bleu vif sur les flancs. Ecologie Le Lézard ocellé recherche les milieux secs, ensoleillés et assez ouverts : broussailles, garrigues, cultures, vieux murs, etc. Il est actif le jour avec une phase de repos en début d’après-midi. Il chasse à l’affût divers animaux allant des invertébrés aux oisillons, et se nourrit aussi de fruits sucrés. Il est visible de mars-avril à octobre. Particularités de l'espèce Le Lézard ocellé vit en couple même en dehors de la période de reproduction. Il est très agile et s’enfuit rapidement en se dressant sur ses pattes, queue arquée vers le haut, disparaissant dans les broussailles. L’espèce passe l’hiver profondément enterrée. Menaces et sauvegarde Apparemment moins menacé plus au sud, le Lézard ocellé subit une forte régression dans la région. Ses habitats disparaissent, victimes des changements importants se produisant dans les vallées, c’est-à-dire urbanisation importante et modifications des pratiques agricoles : remembrement (disparition de haies) et abandon du pâturage (fermeture des milieux). De plus, il doit faire face à la régression de ses proies, intoxiquées par les traitements chimiques. Il a lui-même de nombreux ennemis naturels : Aigle de Bonelli, Couleuvre de Montpellier, Renard… Bibliographie concernant l'espèce Fiers V., Gauvrit B., Gavazzi E., Haffner P., Maurin H., 1997 - Statut de la faune de France métropolitaine. Muséum national d’histoire naturelle, Paris. 225 p. CORA, 2002 – Reptiles et Amphibiens de Rhône-Alpes. Atlas préliminaire. Le Bièvre, hors-série n°1. Revue du Centre ornithologique de Rhône-Alpes. 146 p. Maurin, H., Haffner, P. (sous la direction de), 1992 – Inventaire de la faune de France. MNHN, Nathan. 415 p. MNHN, 1994 – Le Livre rouge. Inventaire de la faune menacée en France. Nathan, Paris, 175p.
  8. Distribution Le Lézard hispanique est une espèce de l’Ouest méditerranéen présent dans le sud de la France, la péninsule Ibérique et en Afrique du Nord. En Rhône-Alpes, il se cantonne à l’ouest du Rhône qu’il ne franchit pas et le massif du Pilat constitue sa limite nord de répartition. En Ardèche, il peut être vu jusqu’à 1 200 mètres d’altitude mais pas au-dessus de 200 mètres plus au nord. Dans la région, c’est la sous-espèce baptisée « Lézard des Cévennes » (Podarcis liolepis subsp. cebennensis) qui est présente. Description Le Lézard hispanique ressemble beaucoup au Lézard des murailles, dont il se distingue par sa taille plus petite (20 centimètres maximum). Le corps et les pattes sont fins, la tête étroite et aplatie et le museau pointu. Le dos est beige à gris marqué de noir, les flancs sont plus sombres et le ventre blanchâtre à orangé. La gorge est parfois ponctuée de noir. Ecologie Le Lézard hispanique affectionne les vieux murs et les rochers ensoleillés, les troncs d’arbres creux, mais aussi les friches et les abords des habitations. Actif le jour, il est à la recherche des petits invertébrés dont il se nourrit. Il n’hiverne pas lorsque les conditions climatiques sont clémentes. Particularités de l'espèce Le Lézard hispanique, excellent grimpeur, est capable de se tenir sur des parois verticales. Il peut être grégaire et il n’est pas rare d’observer plusieurs individus se chauffant ensemble AU SOLEIL. Les mâles défendent vigoureusement leur territoire lors de la reproduction. Menaces et sauvegarde Le Lézard hispanique ne semble pas menacé actuellement, même en région Rhône-Alpes où il se situe pourtant en limite de répartition. Il faut néanmoins veiller à ne pas dégrader les habitats dans lesquels il est présent. Bibliographie concernant l'espèce Fiers V., Gauvrit B., Gavazzi E., Haffner P., Maurin H., 1997 - Statut de la faune de France métropolitaine. Muséum national d’histoire naturelle, Paris. 225 p. CORA, 2002 – Reptiles et Amphibiens de Rhône-Alpes. Atlas préliminaire. Le Bièvre, hors-série n°1. Revue du Centre ornithologique de Rhône-Alpes. 146 p. Maurin, H., Haffner, P. (sous la direction de), 1992 – Inventaire de la faune de France. MNHN, Nathan. 415 p. MNHN, 1994 – Le Livre rouge. Inventaire de la faune menacée en France. Nathan, Paris, 175p.
  9. Distribution C’est une espèce médio-européenne dont l’aire de distribution s’étend de la France à l’Asie centrale, au sud du 60e parallèle. Elle est globalement absente des domaines atlantique et méditerranéen. En Rhône-Alpes, le Lézard des souches est essentiellement présent dans l’ouest de la région, des monts du Beaujolais à la Haute Ardèche en passant par les monts du Forez. Il l’est aussi dans les Préalpes du Nord où il peut atteindre 2 000 mètres d’altitude. Si l’espèce semble en déclin, sa répartition exacte est difficile à mettre en évidence du fait de sa discrétion et de confusions avec le Lézard vert. Description Le Lézard des souches avoisine les 20 centimètres. Il est d’aspect massif : pattes courtes et robustes, queue longue et épaisse. La tête est large et courte. Le dos est brun à verdâtre avec des ocelles sombres à centre clair. Le mâle a les flancs et le ventre vert ; la femelle est brune avec le ventre blanc et des taches brunes sur les flancs. Ecologie Le Lézard des souches vit dans les milieux broussailleux, les lisières de bois ou de haies, les landes, les murs ou au bord de l’eau. De moeurs diurnes, il est surtout actif en début et fin de journée, à la recherche de petits invertébrés qu’il consomme. Il est visible de mars-avril à fin septembre. Particularités de l'espèce Egalement appelé « Lézard agile », ce lézard est pourtant assez lent et maladroit. Il est souvent confondu avec de jeunes Lézards verts. L’espèce est territoriale, ce qui conduit les mâles à s’affronter lors de la période de reproduction. Avec le Lézard vivipare, il est le lézard le plus tolérant aux hivers rigoureux. Menaces et sauvegarde Les principales menaces pesant sur le Lézard des souches demeurent l’enfrichement de ses lieux de vie, la prédation par les chats domestiques et l’entretien des talus qui fait disparaître bon nombre d’habitats possibles. Bibliographie concernant l'espèce Fiers V., Gauvrit B., Gavazzi E., Haffner P., Maurin H., 1997 - Statut de la faune de France métropolitaine. Muséum national d’histoire naturelle, Paris. 225 p. CORA, 2002 – Reptiles et Amphibiens de Rhône-Alpes. Atlas préliminaire. Le Bièvre, hors-série n°1. Revue du Centre ornithologique de Rhône-Alpes. 146 p. Maurin, H., Haffner, P. (sous la direction de), 1992 – Inventaire de la faune de France. MNHN, Nathan. 415 p. MNHN, 1994 – Le Livre rouge. Inventaire de la faune menacée en France. Nathan, Paris, 175p.
  10. Distribution La Couleuvre de Montpellier est présente sur l’ensemble du pourtour méditerranéen, à l’exception de la péninsule italienne, de la Sicile, de la Corse et de la Sardaigne. En Rhône-Alpes, l’espèce se trouve en limite nord de son aire de répartition, pénétrant dans la région grâce au couloir rhodanien. Elle se cantonne à la Basse Ardèche et dans la région du Tricastin (Drôme). Description La Couleuvre de Montpellier est le plus grand serpent d’Europe avec une longueur pouvant dépasser 2 mètres (voire 2,5 m) et un diamètre corporel imposant. Le dos est brunâtre, grisâtre ou verdâtre, les flancs sont parsemés de taches noires et blanches et le ventre est jaune ou blanchâtre. L’oeil surmonté d’une arcade proéminente lui confère une expression sévère. Ecologie La Couleuvre de Montpellier fréquente les milieux secs et chauds comme les garrigues, les rocailles broussailleuses, les vignes ou les murs, parfois aussi le bord des cours d’eau. En montagne, elle peut monter jusqu’à 800 ou 1 000 mètres d’altitude. Active le jour, elle chasse à vue divers petits animaux. Elle est observable de mai à octobre. Particularités de l'espèce La Couleuvre de Montpellier est la seule couleuvre de France qui possède des crochets à venin. Situés très en arrière, ils sont néanmoins sans danger pour l’Homme. Lorsqu’elle est inquiétée, elle aplatit son corps, étale son cou et se dresse à la façon d’un Cobra en soufflant bruyamment. Menaces et sauvegarde La Couleuvre de Montpellier est en régression en France et notamment en Rhône-Alpes, essentiellement victime de la circulation routière. Cependant, les incendies de forêts lui sont plutôt bénéfiques car ils ouvrent le milieu, créant ainsi de nouveaux biotopes pour l’espèce. Bibliographie concernant l'espèce Fiers V., Gauvrit B., Gavazzi E., Haffner P., Maurin H., 1997 - Statut de la faune de France métropolitaine. Muséum national d’histoire naturelle, Paris. 225 p. CORA, 2002 – Reptiles et Amphibiens de Rhône-Alpes. Atlas préliminaire. Le Bièvre, hors-série n°1. Revue du Centre ornithologique de Rhône-Alpes. 146 p. Maurin, H., Haffner, P. (sous la direction de), 1992 – Inventaire de la faune de France. MNHN, Nathan. 415 p. MNHN, 1994 – Le Livre rouge. Inventaire de la faune menacée en France. Nathan, Paris, 175p.
  11. Distribution La Couleuvre d’Esculape est présente dans le Sud de l’Europe, de l’Atlantique à la mer Noire, au sud du 50e parallèle. Elle est absente de Corse et de la péninsule Ibérique (à l’exception de la Catalogne). En Rhône-Alpes, elle est présente dans toute la région, essentiellement aux basses altitudes, se raréfiant au-dessus de 800 mètres et ne dépassant par 1 600 mètres d’altitude. Cette espèce passe souvent inaperçue et sa connaissance sur l’ensemble du territoire de la région n’est pas encore complète. Description La Couleuvre d’Esculape est un long serpent pouvant atteindre 2 mètres. La queue est effilée, la tête bien distincte du corps. La couleur est brune, luisante, plus claire vers l’avant avec de petits points blancs sur le bord des écailles. Le ventre est jaune. Une tache jaune en forme de croissant est présente de chaque côté du cou. Ecologie La Couleuvre d’Esculape fréquente les lieux secs et chauds constitués de broussailles, de rocailles et les lisières de bois. Active le jour et au crépuscule, elle n’hésite pas à se hisser dans les arbres pour s’exposer au soleil. Elle se nourrit de petits mammifères, d’oiseaux et d’oeufs, de lézards. Elle s’observe de mars à novembre. Particularités de l'espèce Le nom de la Couleuvre d’Esculape remonte à l’Antiquité, où l’espèce faisait l’objet d’un culte associé au dieu de la médecine, Asklepios chez les Grecs, devenu Esculape chez les Romains. C’est elle qui est enroulée sur le caducée (baguette surmontée d’un miroir symbolisant la prudence) des médecins et des pharmaciens. Menaces et sauvegarde Peu de menaces semblent peser localement sur la Couleuvre d’Esculape, même si elle régresse parfois suite à la destruction de ses habitats. Les écrasements sur les routes font de nombreuses victimes chez cette espèce, et les destructions directes persistent. Bibliographie concernant l'espèce Fiers V., Gauvrit B., Gavazzi E., Haffner P., Maurin H., 1997 - Statut de la faune de France métropolitaine. Muséum national d’histoire naturelle, Paris. 225 p. CORA, 2002 – Reptiles et Amphibiens de Rhône-Alpes. Atlas préliminaire. Le Bièvre, hors-série n°1. Revue du Centre ornithologique de Rhône-Alpes. 146 p. Maurin, H., Haffner, P. (sous la direction de), 1992 – Inventaire de la faune de France. MNHN, Nathan. 415 p. MNHN, 1994 – Le Livre rouge. Inventaire de la faune menacée en France. Nathan, Paris, 175p.
  12. Distribution La Coronelle lisse possède une large répartition en Eurasie, qui s’étend jusqu’à l’Oural et l’Asie Mineure. Elle manque cependant dans le sud de la péninsule Ibérique, dans une grande partie des îles Britanniques et le nord de la Scandinavie. En France, elle est absente de l’Aquitaine, du Sud et de la Corse. Cette espèce de tendance plutôt nordique se retrouve principalement en montagne dans la région Rhône-Alpes ; dans les secteurs sous influence méditerranéenne ou à basse altitude, elle est remplacée par la Coronelle girondine. Sa répartition est intimement liée à celle des lézards qui constituent l’essentiel de ses proies. Description La Coronelle lisse (ou Couleuvre lisse) est un serpent assez court (70 centimètres), au corps fin et dont les écailles sont lisses. Sa tête est pointue et fine et porte de chaque côté un trait noir allant du museau au cou. Ses couleurs vont du gris au brun en passant par le verdâtre avec des taches noires alignées en 2 bandes parallèles Ecologie Cette espèce vit dans les milieux broussailleux secs mais pas trop chauds, les lisières boisées, les friches, les zones rocheuses et parfois les prés humides. Elle s’observe de mars-avril jusqu’à novembre. Active le jour, elle se nourrit de petits vertébrés, essentiellement des lézards qu’elle tue par constriction. Particularités de l'espèce Lorsqu’elle est inquiétée, la Coronelle lisse utilise un liquide nauséabond issu de ses glandes anales comme moyen de défense. Elle est assez agressive et mord facilement mais ses morsures sont peu douloureuses. L’espèce est ovovivipare (oeufs conservés dans les voies génitales jusqu’à l’éclosion des jeunes). Menaces et sauvegarde La Coronelle lisse est en régression en France et cela semble être également le cas à l’échelle de la région. Elle souffre de la disparition de ses habitats qui subissent divers traitements : débroussaillage, FEUX, désherbage chimique et urbanisation importante. Elle est aussi confrontée à la baisse de ses proies qui sont victimes des traitements agricoles. Enfin, elle pâtit de sa ressemblance avec les vipères et se trouve ainsi souvent détruite par l’Homme. Bibliographie concernant l'espèce Fiers V., Gauvrit B., Gavazzi E., Haffner P., Maurin H., 1997 - Statut de la faune de France métropolitaine. Muséum national d’histoire naturelle, Paris. 225 p. CORA, 2002 – Reptiles et Amphibiens de Rhône-Alpes. Atlas préliminaire. Le Bièvre, hors-série n°1. Revue du Centre ornithologique de Rhône-Alpes. 146 p. Maurin, H., Haffner, P. (sous la direction de), 1992 – Inventaire de la faune de France. MNHN, Nathan. 415 p. MNHN, 1994 – Le Livre rouge. Inventaire de la faune menacée en France. Nathan, Paris, 175p.
  13. coronelle girondine Distribution Espèce de l’Ouest méditerranéen, la Coronelle girondine se répartit entre le Nord de l’Afrique et le Sud de l’Europe (péninsule Ibérique, Sud de la France, Italie), plus ou moins cantonnée au sud du 45e parallèle. En Rhône-Alpes, l’espèce s’observe principalement dans le sud de la région, de la vallée de l’Ardèche à la région de Die (Drôme). Elle remonte plus au nord à la faveur des vallons rhodaniens bien ensoleillés. Elle se limite aux basses altitudes, relayée par la Coronelle lisse aux étages supérieurs. Description La Coronelle girondine a un aspect très proche de la Coronelle lisse, dont elle se distingue par un corps plus élancé. La coloration du ventre va du jaune au rouge avec des taches noires disposées en lignes. Le bandeau masquant l’oeil est, ici, plus court. Elle possède par contre derrière la tête une marque brune en forme de diadème assez caractéristique. Ecologie Cette Coronelle fréquente les milieux rocheux, secs et bien exposés jusqu’à 1 800 mètres d’altitude. De moeurs essentiellement crépusculaire et nocturne, elle reste cachée le jour sous une pierre ou une écorce d’où elle chasse des lézards et des petits serpents. Elle est observable de mars à octobre. Particularités de l'espèce La Coronelle girondine est calme et craintive. Elle mord très rarement même lorsqu’on la saisit. Contrairement à sa cousine la Coronelle lisse, elle est ovipare (6 à 9 oeufs pondus en juillet avant éclosion), mais l’ovoviviparité n’est pas exclue. Distribution Espèce de l’Ouest méditerranéen, la Coronelle girondine se répartit entre le Nord de l’Afrique et le Sud de l’Europe (péninsule Ibérique, Sud de la France, Italie), plus ou moins cantonnée au sud du 45e parallèle. En Rhône-Alpes, l’espèce s’observe principalement dans le sud de la région, de la vallée de l’Ardèche à la région de Die (Drôme). Elle remonte plus au nord à la faveur des vallons rhodaniens bien ensoleillés. Elle se limite aux basses altitudes, relayée par la Coronelle lisse aux étages supérieurs. Menaces et sauvegarde La Coronelle girondine semble a priori peu menacée, car elle fréquente des milieux peu utilisés par l’Homme. Cependant, les activités humaines étant plus présentes dans les vallées, les menaces pesant sur l’espèce y sont plus fortes et sont les mêmes que pour la Coronelle lisse : débroussaillage, FEUX, utilisation de produits chimiques, urbanisation. Bibliographie concernant l'espèce Fiers V., Gauvrit B., Gavazzi E., Haffner P., Maurin H., 1997 - Statut de la faune de France métropolitaine. Muséum national d’histoire naturelle, Paris. 225 p. CORA, 2002 – Reptiles et Amphibiens de Rhône-Alpes. Atlas préliminaire. Le Bièvre, hors-série n°1. Revue du Centre ornithologique de Rhône-Alpes. 146 p. Maurin, H., Haffner, P. (sous la direction de), 1992 – Inventaire de la faune de France. MNHN, Nathan. 415 p. MNHN, 1994 – Le Livre rouge. Inventaire de la faune menacée en France. Nathan, Paris, 175p.
  14. cistude d'europe(emys orbicularis) Distribution En France : La Tortue Cistude est disséminée à travers une grande moitié Sud de la France. En Rhône-Alpes : Les témoignages de la présence ancienne de la Cistude en Rhône-Alpes remontent au néolithique avec la découverte, dans de nombreux sites préhistoriques, de carapaces de cette tortue. RONDELET (1558) la signale à Lyon. GUILLOT (1841) et CHARVET (1846) la mentionnent comme abondante dans le Bas-Dauphiné dans la région de Bourgoin-Jallieu. La seule véritable population qui se maintienne aujourd’hui en Rhône-Alpes est celle présente à cheval sur le Bas Dauphiné et l’Isle Crémieu (Nord-Isère), les autres observations concernent des individus isolés dont la reproduction n’est pas prouvée. Présence dans les ZNIEFF de Rhône-Alpe Description Textes extraits de la fiche-espèce, Orientations Régionales de Gestion de la Faune sauvage et d'amélioration de la qualité de ses Habitats Rhône-Alpes (ORGFH) Alimentation : Insectes et mollusques aquatiques, vers, alevins, grenouilles…mais aussi charognes au fond de l’eau. Ecologie Habitat : Eaux stagnantes ou rivières à cours lent, riches en végétation aquatique. Canaux d’irrigation, étangs, marais, mares. La Cistude utilise des solariums (touradons, troncs d’arbres morts…) pour prendre des bains de soleil dont elle a besoin pour se mettre en activité. Particularités de l'espèce Reproduction : Ovipare. La ponte a lieu de mi-mai à début-juillet, avec un maximum d’observations début juin. La femelle creuse un trou dans un sol sec où elle dépose de 4 à 16 oeufs. Elle les recouvre ensuite de sable et de terre. Les éclosions se produisent fin septembre. Les jeunes se rendent immédiatement à l’eau ou restent dans le sol jusqu’au printemps suivant.Hivernage : Hiverne de septembre-octobre à mars-avril dans la vase d’un étang au pied des racines des roselières (ou juste « posée » au fond de l’eau). Distribution En France : La Tortue Cistude est disséminée à travers une grande moitié Sud de la France. En Rhône-Alpes : Les témoignages de la présence ancienne de la Cistude en Rhône-Alpes remontent au néolithique avec la découverte, dans de nombreux sites préhistoriques, de carapaces de cette tortue. RONDELET (1558) la signale à Lyon. GUILLOT (1841) et CHARVET (1846) la mentionnent comme abondante dans le Bas-Dauphiné dans la région de Bourgoin-Jallieu. La seule véritable population qui se maintienne aujourd’hui en Rhône-Alpes est celle présente à cheval sur le Bas Dauphiné et l’Isle Crémieu (Nord-Isère), les autres observations concernent des individus isolés dont la reproduction n’est pas prouvée. Menaces et sauvegarde - Compétition avec la Tortue à tempes rouges (Tortue de Floride), voire d’autres tortues introduites - Ramassage insouciant de particuliers - Mortalité accidentelle par écrasement sur la route, par piégeage dans les fils de pêche, … - Braconnage par des terrariophiles - Pollution et disparition des milieux favorables (étangs, marais, cours d’eau calmes, annexes fluviales à végétation aquatique abondante…) - Destruction des sites de ponte par l’agriculture intensive et le boisement des prairies sèches, en bordure d’étangs (lieux de reproduction) - Disparition de sites favorables lors de création de bases de loisirs ou autres aménagements artificiels. Statut et régime de protection Statut ZNIEFF : déterminante pour les domaines alpien, continental et subméditerranéen Livre rouge national : Livre rouge régional : Directive Habitats annexe 2 : x Directive Habitats annexe 2* (Prioritaire) : Directive Habitats annexe 4 : x Directive Habitats annexe 5 : Directive Oiseaux annexe 1 : Convention de Berne : annexe 2 Convention de Washington : Protection nationale : x Protection régionale : Protection départementale (01, 38, 42, 74) : Bibliographie concernant l'espèce - MNHN, Inventaire de la Faune de France, Vertébrés et principaux Invertébrés – Nathan 1995, 415 p.- QUESADA R. & CADI A., in Reptiles et Amphibiens de Rhône-Alpes, atlas préliminaire – LE BIEVRE hors série n°1, CORA 2002 – pp 79-82.
  15. voila malawi titeuf et la la feconditée de malawi voila
  16. oui au usa peut etre mais a quel prix!!!
  17. tres beau petits , felicitation
  18. ca c est du bon deterrage de post,ca date de janvier 2006
  19. superbes les photos les tortues sont chouettes et les piafs sont beaux
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