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enzototi-paradis-bec-crochu

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Tout ce qui a été posté par enzototi-paradis-bec-crochu

  1. Voici un lien qui vous dis pas mal de chose sur cette maladie qui senble peu connu donc en voila des infos http://perso.wanadoo.fr/passion.perroquet/perso-28917.htm
  2. La «Convention internationale sur le commerce des espèces de faune et de flore menacées», mieux connue sous le nom de CITES, est le principal outil législatif au niveau mondial destiné à réglementer le commerce international des animaux et des plantes sauvages. La convention a été signée en 1973 à Washington (c’est pourquoi elle est parfois connue sous le nom de «Convention de Washington»). A l’heure actuelle, plusieurs dizaines de milliers d’espèces sauvages sont reprises dans les «Annexes» de la convention. La CITES compte trois Annexes : Annexe I : le commerce des espèces reprises sur l’Annexe I est totalement interdit Annexe II : le commerce des espèces reprises sur l’Annexe II n’est pas totalement interdit, mais il est réglementé : des documents d’importation et d’exportation sont requis pour chaque transaction commerciale Annexe III : le commerce des espèces reprises à l’Annexe III n’est pas interdit, mais il est contrôlé dans certains Etats membres de la CITES qui en ont fait la demande. Tous les deux ans, les Etats membres de la CITES (appelées «parties») se réunissent pour revoir le statut de certaines espèces et inscrire celles-ci dans les Annexes correspondantes. A l’heure actuelle, plus de 160 Etats du monde sont membres de la CITES (dont l’Union européenne, c’est-à-dire tous les pays membres de l’Union). Le secrétariat international de la CITES est situé en Suisse : il dispose notamment d’un réseau d’experts qui analysent la situation du commerce des espèces inscrites sur les Annexes de la convention. Un réseau indépendant, le Réseau TRAFFIC, financé par le WWF et l’Union mondiale pour la nature (UICN), assure le suivi de l’application de la CITES et formule des recommandations à l’égard de celle-ci. A l’heure actuelle, plus de 40 espèces de psittacidés sont reprises sur l’Annexe I de la CITES : le commerce en est donc totalement interdit. La quasi-totalité des autres espèces de psittacidés du monde est inscrite sur l’Annexe II. Seules deux espèces, la calopsitte élégante et la perruche ondulée (deux espèces de l’avifaune australienne), ne sont reprises sur aucune Annexe de la CITES. Elles sont abondantes dans le milieu naturel et ne font pas l’objet de captures importantes pour le commerce international. oiseaux parleur org
  3. enzototi-paradis-bec-crochu

    petit jeu

    j ai supprime la photo en double merci pour ces superbe photos tu a vraiment des superbe amazones que du bonheur de voir de si jolie photos
  4. enzototi-paradis-bec-crochu

    la douche

    voila vini j ai mis tes photos a la bonne taille merci beaucoup super tes deux amazones
  5. j adore tte ces photos merci a tous encore l
  6. Magnifique les photos j adore celle avec l amazone
  7. Superbe j adore les gris! que du bonheur merci de nous faire partager tes photos
  8. Magnifique quel chance d avoir d aussi beau oiseaux merci beaucoup pour la photo gros bisous a tes amazones
  9. Je craque la il est trop mimi ont a envi de le prendre et le recouvrir des bisous
  10. Des quelque 350 espèces de psittaciformes existant dans le monde, près de 100 sont plus ou moins gravement menacées à l’heure actuelle : une proportion énorme, qui constitue presque un –triste- record parmi les différents groupes d’oiseaux existant sur la Terre ! Près d’un quart de tous les psittaciformes actuels risquent de disparaître dans un avenir plus ou moins proche si les menaces qui hypothèquent leur avenir devaient persister. 27 espèces ont déjà disparu pour de bon au cours des 400 dernières années et plusieurs espèces actuelles sont éteintes dans la nature, ne subsistant plus qu’en captivité ou semi-captivité en nombres infimes. L’Amérique latine et les Caraïbes comptent près d’une soixantaine d’espèces de psittaciformes menacés, la Colombie, le Pérou et le Mexique regroupant le plus d’espèces. Près d’une quarantaine d’autres psittaciformes sont menacés dans la région Asie-Pacifique, principalement en Indonésie, en Australie et en Nouvelle-Zélande. 14 des 18 espèces de cacatoès connues dans le monde vivent en Australie, la majorité d’entre elles y est menacée : le cacatoès funèbre, localisé dans la péninsule d’Eyre, au sud du pays, ne comptait plus que 26 individus en liberté en l’an 2000, le cacatoès de Latham moins de 200, tandis que le cacatoès noir et le cacatoès à rectrices blanches ne se portent guère mieux… La situation est relativement moins préoccupante dans l’ensemble en ce qui concerne les psittaciformes vivant sur le continent africain. La plupart des espèces ne sont pas directement menacées, et les populations du perroquet gris du Gabon, un des grands favoris des amateurs d’oiseaux parleurs, sont estimées entre 600 et 800.000 oiseaux. Mais quelques espèces ou sous-espèces plus localisées, comme le perroquet du Cap (ou perroquet robuste) qui ne vit que dans la région du Cap en Afrique du Sud, sont plus vulnérables. oiseaux parleurs org
  11. Superbe tes gris que du bonheur qui t attend la j ai moi meme un gris et perso j adore
  12. Bonsoir il sera bientot de retour d ici quelque jours .
  13. La seule façon de mettre fin aux captures de psittacidés sauvages est d’interdire totalement leur importation. C’est ce que réclament de nombreuses organisations pour la conservation de la nature qui ont lancé un appel à l’Union européenne. Le saviez-vous? - l’Union européenne est le principal importateur de psittacidés au niveau mondial à l’heure actuelle, - l’importation de ces oiseaux n’a plus aucune justification, - l’importation de psittacidés est cruelle et gaspille les ressources naturelles, - l’importation de psittacidés fait courir de graves risques sanitaires aux élevages d’oiseaux domestiques et peut menacer la santé humaine
  14. Le désir de posséder un perroquet éprouvé par des millions de particuliers dans le monde ne doit pas nécessairement s’accompagner du pillage des espèces sauvages ! Depuis des dizaines d’années, de nombreux éleveurs ont développé et affiné leurs techniques et obtiennent des succès manifestes dans la reproduction en captivité de la plupart des espèces de psittacidés. On peut donc affirmer que la production des élevages suffit amplement à alimenter la demande des particuliers. Pourtant, des centaines de milliers de ces oiseaux sont encore prélevés dans la nature chaque année aux quatre coins du monde. Un paradoxe… oiseaux parleur org
  15. Les perroquets font office de figure exotique dans le monde de l’Europe antique : de nombreux témoignages des civilisations grecques et romaines reflètent la fascination que ceux-ci témoignaient à l’égard des psittacidés. On trouve de nombreuses mentions de perroquets dans les écrits des philosophes ayant un intérêt pour l’histoire naturelle, dans les œuvres des artistes littéraires et dans de nombreuses représentations de l’art visuel de l’époque. Les historiens grecs et romains semblent pourtant manifester deux types de sentiments assez contradictoires par rapport aux perroquets, les associant d’une part aux dieux et aux rois, pour les assimiler aux serviteurs et aux enfants d’autre part… Alexandrie devint à une époque la plaque tournante du commerce des perroquets dans le monde méditerranéen antique, les perroquets étant prisés par les rois et les empereurs comme objets de privilège. Un écrivain classique alla même jusqu’à rapporter que «les perroquets faisaient l’objet d’un culte très vivant dans la Rome antique». Pourtant, de nombreux témoignages écrits nous ont appris que les Romains appréciaient également les perroquets d’une autre façon : comme délicatesse culinaire ! Des recettes de l’époque sont même parvenues jusqu’à nos jours… Si aux quatre coins de la Terre, les hommes ont depuis toujours consommé des psittacidés (et c’est encore le cas aujourd’hui, notamment en Amérique centrale et en Amérique du Sud), ils le faisaient par nécessité. Les peuples précolombiens d’Amérique faisaient une ample consommation de ces oiseaux, tout comme le font encore certaines ethnies africaines ; les psittacidés représentaient une part importante du menu quotidien des premiers colons blancs s’aventurant dans les immensités du bush australien. Mais les Romains semblent être les seuls à avoir fait de ces oiseaux de véritables mets de choix… Comme si quelque chose avait obligé impérieusement les Romains à consommer les choses qu’ils trouvaient par ailleurs miraculeuses… oiseaux parleur.org
  16. Le plus ancien perroquet connu vivait dans le sud de l’actuelle Angleterre, au Moyen Eocène (il y a environ 40 millions d’années) : il est connu des scientifiques sous le nom de Palaeopsittacus georgei. Il avait la taille de l’actuel perroquet gris du Gabon. D’autres fossiles d’espèces disparues de perroquets ont été trouvés ailleurs en Europe, en Allemagne et en France. L’actuelle Europe semble donc bel et bien être le berceau des psittacidés. Les plus anciens fossiles connus dans d’autres régions du monde sont ceux d’espèces disparues, trouvés en Afrique et en Amérique du Sud : mais ils sont bien plus récents (1,5 à 1,7 millions d’années). Aux temps historiques par contre, des psittacidés ont vécu sur tous les continents… à l’exception de l’Europe ! Il y a moins de 200 ans encore, plusieurs espèces de psittacidés fréquentaient certaines régions d’Amérique du Nord, mais elles ont été exterminées par les colons européens. oiseaux parleur.org
  17. ARA HYACINTHE (Anodorhynchus hyacinthinus) classé comme «vulnérable» sur la Liste rouge vit au Brésil et au Paraguay, dans les savanes à palmiers menacé par la perte des habitats naturels et le commerce la population totale est estimée à environ 3000 individus ARA DE LEAR (Anodorhynchus leari) classé comme «en danger imminent d’extinction» sur la Liste rouge niche sur des falaises, se nourrit dans les palmiers du genre liceni aire de répartition limitée, au Brésil menacé par la disparition des palmiers, la chasse et le commerce population totale : environ 200 individus ARA DE SPIX (Cyanopsitta spixii) classé comme “éteint dans la nature” sur la Liste rouge fréquentait des zones de savane buissonnante dans le nord-est du Brésil le dernier exemplaire sauvage de cette espèce d’Amérique du Sud s’est éteint il y a quelques années ; une soixantaine d’individus sont détenus par des collectionneurs privés ou des jardins zoologiques ARA GLAUQUE (Anodorhynchus glaucus) probablement éteint dans la nature ; n’a plus été aperçu depuis les années 1950 aucun individu connu en captivité ARA CANINDE (Ara glaucogularis) classé comme «menacé» sur la Liste rouge aire de répartition limitée, en Bolivie menacé surtout par le commerce population totale : environ 150 individus ARA MILITAIRE (Ara militaris) classé comme «vulnérable» sur la Liste rouge fréquente différents types de forêts tropicales répandu depuis le Mexique jusqu’au Pérou, en Bolivie et en Argentine menacé par la disparition des habitats naturels et le commerce population totale inconnue, encore relativement nombreux ARA de BUFFON (Ara ambigua) classé comme «vulnérable» sur la Liste rouge vit surtout dans les forêts pluviales de plaine répandu en Amérique Centrale et dans le nord de l’Amérique du Sud (Colombie, Equateur) menacé par la perte des habitats naturels, le commerce et la chasse population totale inconnue ARA de LAFRESNAYE (Ara rubrogenys) classé comme «menacé» sur la Liste rouge fréquente les vallées couvertes de végétation arbustive et les plaines alluviales entre 1200 et 2500 m d’altitude en Bolivie menacé par la perte des habitats naturels et le commerce ; aussi pourchassé pour les dégâts qu’il peut occasionner aux cultures population totale inconnue ARA d’ILLIGER (Ara maracana) classé comme «vulnérable» sur la Liste rouge fréquente les lisières et les galeries forestières répandu au Brésil, au Paraguay et en Argentine en déclin rapide suite à la perte des habitats population totale inconnue oiseaux parleur .org
  18. La majorité des oiseaux parleurs les plus célèbres, donc les plus appréciés et les plus recherchés, est en mauvaise –voire très mauvaise- posture dans la nature. Les mainates constituent l’exception : largement répandus sur une bonne partie de l’Asie tropicale, ces oiseaux ont pu s’adapter à des habitats relativement altérés par les activités humaines et continuent à prospérer sur une bonne partie de leur aire de distribution. Mais certaines sous-espèces plus locales, seulement présentes sur certaines îles indonésiennes, se sont raréfiées suite à la destruction plus ou moins totale de la forêt primaire. A Sri Lanka et dans certaines régions de l’Inde, les mainates, que l’on trouvait à l’origine dans la forêt pluviale à des altitudes de 300 à 2000 m, se trouvent aujourd’hui jusqu’au niveau de la mer, les forêts de moyenne altitude ayant été largement détruites par l’homme. Mais il n’en va malheureusement pas de même en ce qui concerne les psittaciformes, qui comptent dans leurs rangs quelques-uns des oiseaux parleurs par excellence. Si quelques rares espèces demeurent abondantes, comme la perruche ondulée d’Australie qui est parfois considérée comme un fléau pour les cultures, la majorité des espèces de psittaciformes a vu ses populations diminuer, parfois dangereusement, au cours des dernières décennies. oiseaux parleur .org
  19. Bonsoir,ont croise les doigts que tout ce passe bien
  20. Magnifique ta petite famille j ai moi meme un gris du gabon bavard comme pas deux j adore merci beaucoup pour tes photos
  21. voici pour te donner une idee mais il y en a plein de couleur differente .
  22. Bonjour, vu la taille je te conseil plus des fisher ou personata voir kakariki mais si ton choix ce porte sur ces dernier pense a beaucoup les faire sortir que leur cage reste juste pour dormir ou en cas d absence.
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