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luciole1

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Tout ce qui a été posté par luciole1

  1. La peur de tomber Dans un exemple moins dramatique, il est évident pour moi qu'aucun de mes oiseaux de vol libre n'a la plus légère crainte de tomber. Ils savent qu'ils n’ont qu’à ouvrir leurs ailes et voler vers un endroit plus sûr. Mes oiseaux aux ailes coupés sont des grimpeurs très méticuleux et soigneux. Ils usent souvent énormément d’énergie pour aller là où d'autres perroquets sauteraient simplement, suggérant ainsi qu’en fait ils ont développé un forte crainte de tomber. Combien de fois avons-nous vu un perroquet aux ailes taillées, sursauter, lâchant par là même le perchoir, pour tomber lourdement sur le sol ? Les blessures qui s’en suivent peuvent être très douloureuses. Pourtant les réponses instinctives à la peur sont le sursaut et la fuite et donc le déplacement de l’oiseau. Quel genre de conflits psychologiques ceci peut-il leur créer ? Mais la plupart des personnes ne pensent pas à ces conséquences. Habituellement, quand ils débattent sur laisser ou non leur oiseau voler, les gens parlent des dangers des rapaces, des voitures, des voisins, des toilettes, des fenêtres, des portes ouvertes, des poêles chaudes et des collisions avec les murs. Les rapaces sont probablement les seuls éléments de la liste qui ont vraiment une signification Par exemple, je n'ai même jamais vu mes perroquets s’approcher d’une voiture - mais je les ai observés avec succès manoeuvrer entre les rayons d’une grande roue en mouvement. Il est certainement possible à un perroquet de vol libre de tomber dans une cuvette de toilette ouverte, de rentrer dans le mur ou la fenêtre fermée, mais il y a peu de risques avec un oiseau doué pour le vol. Normalement ce n’est un problème que pour les débutants, mais ils volent tellement lentement qu’ils ne se blessent pas sérieusement. Si un perroquet entraîné au vol libre s'échappe hors d'une porte ou d'une fenêtre ouverte, il sera bien plus facile de le récupérer que n'importe quel perroquet aux ailes partiellement coupées. En fait, il est le plus difficile de récupérer ce dernier. Il n'est pas aussi bon pour contrôler sa direction et sa vitesse surtout dans sa condition physique moins bonne que celle d’un oiseau pratiquant régulièrement le vol libre. Il ne sait pas ce que « vient ici Polly » veut dire, alors que les oiseaux entraînés au vol libre comprennent la signification d’un signal de rappel, du moins à un certain degré. Je me demande combien d'accidents se sont produits spécifiquement parce qu'un oiseau ne pouvait pas voler. Le seul autre oiseau que j'ai perdu au cours d’un de mes spectacles était aussi un youyou du Sénégal appelé Bandit. Bandit a été tué devant un publique quand un chien divaguant a foncé jusqu'à son perchoir. Bandit a essayé de s’envoler pour un endroit plus sûr, mais il avait les ailes taillées. Au lieu de cela j'ai dû arracher le pauvre Bandit hors de la bouche de ce bulldog. Il est mort dans mes mains quelques moments plus tard. Si Bandit avait eu la capacité de voler il aurait survécu à cette expérience. La réalité est que couper les ailes d'un oiseau a son propre ensemble de risques. Tous les propriétaires de perroquet doivent évaluer leurs conditions et niveaux de compétence et décider ce qui est le meilleur pour leurs oiseaux. Entraîner ou couper les ailes ? Alors est-ce facile de dresser un perroquet au vol libre ? Cela varie en fonction de l’oiseau et de son propriétaire. Je sais une chose: la formation n'est pas une option, elle est nécessaire. Se contenter de laisser les plumes de l’oiseau se développer n’est pas suffisant. En fait, un oiseau avec les ailes entières mais aucune formation deviendra probablement par la suite un oiseau perdu. Je crois que chaque propriétaire d'oiseau devrait s'exercer ou couper. Même des perroquets de vol libre en intérieur, à mon avis, devraient être formés comme s’ils étaient destinés à pratiquer en extérieur, car vous ne savez jamais quand ils risquent de s’échapper. Je crois également que, même si je pense que le vol libre est l’apothéose dans l'expérience d’un perroquet de compagnie, tous les perroquet de compagnie et tous les propriétaires ne sont pas de bons candidats pour le dressage. Premièrement, je décourage généralement les personnes d'essayer de former des oiseaux d'adultes pour le vol libre extérieur. Je forme seulement des bébés, juste avant qu'ils soient sevrés, et je choisis mes étudiants soigneusement. Beaucoup d'oiseaux adultes peuvent apprendre à voler, mais ils apprennent beaucoup plus lentement, ce qui les expose à plus de risques. Il peut falloir des mois à un oiseau d'adulte pour apprendre ce qu'un oisillon apprend en quelques minutes. Pour la plupart des perroquets de compagnie, je préférerais vraiment voir leurs propriétaires construire de larges volières ou encourager leurs oiseaux à voler à l'intérieur, particulièrement les oiseaux plus petits, qui peuvent réellement gagner un certain avantage. Il est dur pour de plus grands oiseaux tels que des aras de voler à l'intérieur. En se retrouvant de nouveau avec leurs ailes entières, ils pourrait réellement perdre plus de leur liberté qu’en gagner. Peut-être que le plus grand avantage du vol libre est la manière dont ça vous force à devenir un meilleur entraîneur. On ne peut pas vivre avec les mêmes règles pour un perroquet de vol libre qu’avec un perroquet aux ailes coupées. Il est tout simplement trop facile de forcer un perroquet aux ailes rognées à supporter toutes les injustices pour lesquelles un oiseau « entier » volerait simplement plus loin pour les éviter. Soudainement, le propriétaire doit être plus conscient de la façon dont les interactions affecteront l'attitude du perroquet. Les besoins et les intérêts des humains ne sont plus nécessairement primordiaux. Au lieu de cela, la cohabitation devient un jeu joué à égalité. En vérité, un perroquet aux ailes taillées bénéficierait aussi considérablement de telles relations améliorées. Je vois un meilleur entraînement comme le plus grand cadeau que les partisans de vol libre, comme un groupe, doivent offrir au monde aviaire d’aujourd’hui. Quand vous pratiquez le vol libre, vous n'avez simplement pas d’autre choix que d’apprendre à mieux manipuler les méthodes, telles que le dressage au « clicker » (un tout autre sujet) - ou vous perdez votre oiseau. C’est comme pour le monde cynophile (les chiens), nous devons seulement apprendre à appliquer ce que la science a déjà découvert au sujet du renfort positif (note de la traductrice ‘ndlt’ : un site sur le cliker-training en français : http://membres.lycos.fr/clickertraining/ ) . Pas de retour en arrière La plupart des personnes qui ont avec succès formé un perroquet de vol libre disent qu'il n'y a pas de retour en arrière. L'expérience de vol libre est vraiment une de celles qui « doit être expérimentée pour être comprise ». Pour finir, je crois que les propriétaires de perroquets de vol libre auront plus à offrir qu'une vie améliorée pour leurs oiseaux ou eux-mêmes. Je crois que les entraîneurs de vol libre peuvent par la suite soulever les normes de la façon dont tous les perroquets sont formés et gardés." Au sujet de l’auteur: Chis Biro vit à Amboy, Wash, où il élève et entraîne actuellement élevant et formant les « Conures à gros bec»
  2. Pourquoi je pense que les oiseaux doivent voler librement » de Chis Biro. Traduit par Wen http://www.parrotchronicles.com/mayjune2003/procon.htm Version originale « Je pratique le vol libre en extérieur pour mes perroquets. Pourquoi ? Parce que je pense que c’est mieux pour eux, pour leur santé autant physique que mentale, et parce que j’adore les voir se développer et vivre leur meilleur potentiel. Je crois également que je peux leur offrir cet important aspect de leurs vies avec des risques minimaux. Je crois vraiment que je peux entraîner mes oiseaux à voler d'une manière qui est sûre ou même plus sûre que la vie qu’ils pourraient avoir avec les ailes coupées. Janis en vol libre Le premier perroquet que j’ai dressé au vol libre de manière totale, était une femelle ara chloroptère du nom de Janis. Mes techniques d’entraînement étaient alors primaires : je l’envoyais essentiellement vers un perchoir et la rappelais à moi et ainsi de suite. Mais elles ont malgré tout fonctionné car Janis était très jeune. Elle n’avait que 12 semaines quand je l’ai prise chez un ami éleveur. Même si je vivais de mon travail de dresseur pour spectacles de perroquets, je n’avais pas beaucoup de contact avec le monde aviaire à ce moment. Je ne savais pas où trouver des informations pour entraîner un oiseau au vol libre en extérieur (et il s’est avéré qu’il n’en existait pas beaucoup). Alors je me suis débrouillé le mieux que je pouvais en apprenant de mes erreurs et de mes expériences. De chaque erreur, je ne retirais pas seulement une importante leçon sur le dressage, mais je devais aussi faire face au sort d’avoir à récupérer les oiseaux lâchés. Quand j'ai commencé me renseigner sur Internet sur la manière de garder des oiseaux pratiquant le vol libre, il est rapidement apparu que quiconque prétendant savoir quoique ce soit sur les soins pour perroquets étaient opposés de manière inflexibles à cette pratique. Beaucoup m'ont dis « J’aime trop mon perroquet pour risquer de le perdre » en sous-entendant que je n’aimais pas les miens vu que je prenais ce risque. Après tant de confrontations sur internet qui résultèrent à mon bannissement d’un important groupe de discussion par e-mail, quelqu'un a suggéré de commencer mon propre groupe. En 1999, j’ai lancé la liste du « vol libre » sur Yahoogroups.com. C'est devenu une précieuse source d'information et de soutien pour les personnes souhaitant vivre avec et entraîner des oiseaux au vol libre. Aujourd'hui j'ai neuf perroquets que je laisse régulièrement voler à l’extérieur de la maison ou sur des champs de foire à travers le pays. Après la notation de milliers d'heures de vol libre réussis, l'été passé j'ai perdu mon premier oiseau. En présentation dans le nord de la Californie, mon très précieux youyou du Sénégal, Beamer, est mort suite à une collision avec la fenêtre d’un building en dehors du terrain. Ce dont les perroquets ont besoin Alors pourquoi quelqu’un prend tant de risques avec ses oiseaux ? Pour avoir la réponse, nous devons d’abord répondre à quelques questions sur les besoins de perroquets. Imaginez pendant un moment deux sortes d’animaux, une limace et un colibri par exemple. La limace avance si lentement qu’elle passe toute sa vie dans une zone de 15 mètres carré. Le colibri voyage si loin et si vite qu’au cours de sa vie il voit plusieurs continents Maintenant réfléchissez comment la nature a fourni à ces deux animaux un ensemble différent de capacités et de conditions mentales. Même s’ils pouvaient commuter leurs styles de vie, seraient-ils bien mentalement ? La limace pourrait-elle s’adapter à faire des manoeuvres rapides ou traverser des océans? Le colibri pourrait-il s’adapter à voyager à un pas de tortue ou à vivre dans un espace à deux dimensions au niveau du sol ? La nature a dotés les perroquets d'une intelligence incroyable à égalité avec les singes, les dauphins et les baleines. Ce niveau élevé d'intelligence n'exigerait-il pas de stimulus environnemental adaptés pour la garder fonctionnelle ou l’empêcher de développer de sévères troubles mentaux tel que le piquage ? Commençons par le sens de la mobilité que le vol donne à un oiseau. Pouvons-nous simplement arrêter cet élément sans causer des effets secondaires sérieux? La moitié des propriétaires de perroquet n'a jamais vu comme un oiseau volant en liberté peut-être actif et mobile. Mes oiseaux sont dehors toute la journée ! Ils volent de cet arbre à celui-là et se chassent en cercles autour de la maison et du verger. Mes oiseaux en vol libre sont comme des athlètes olympiques finement préparés qui semblent prendre plaisir à l'acte physique du vol. Pendant qu'ils esquivent et se frayent un chemin entre les branches et les barrières, autour des arbres et des bâtiments, c’est comme s’ils s’échauffaient pour un entraînement de routine. Plus ils sont restés dans leurs cages, plus ils volent avec vigueur quand ils sont relâchés. La recherche scientifique a prouvé que le système respiratoire d'un oiseau est tellement spécifiquement conçu pour le vol qu'il ne fonctionne à pleine capacité que lorsque celui-ci est en vol. Si leurs corps sont si harmonisés avec le vol, n'est-il pas possible que leurs esprits le soient également ? Nous savons qu'un niveau élevé de forme physique et mentale est important pour la survie des perroquets sauvages. Je pense qu’être en forme physiquement permet à l’oiseau de compagnie de l’être aussi mentalement. A quel point le jeu est-il important pour eux ? Il apparaît immédiatement à quiconque observant des oiseaux de vol libre en action qu'ils sont des créatures extrêmement espiègles. Mes oiseaux semblent montrer tellement de joie en jouant en vol, que les premiers commentaires des visiteurs se rapportent habituellement au fait qu’ils ont vraiment l’air de s’amuser. Cela prend généralement quelques minutes aux gens pour regagner le contrôle de leurs bouches grandes ouvertes pendant qu'ils observent les oiseaux esquiver et voler comme des flèches, faire des zigzags et plonger, faire la course et planer au dessus de la propriété. Comme les oiseaux ayant les ailes taillées semblent sérieux et serein en comparaison. Comment est-ce qu'un changement si dramatique affecte-t-il leur bien être et leur santé mentale ? Quand mes oiseaux de vol libre ne sont pas en démonstration, ils se laissent aller, jouant « le roi de la brindille » ou avec moi. Plusieurs de mes conures et aras aiment l’élastique qui retient mes longs cheveux dans une queue de cheval. Mes oiseaux ayant les ailes taillées par contre doivent attendre jusqu'à ce que je les laisse sortir de leurs cages. Qui joue le plus avec moi est évident. Nous savons comment les enfants réagissent quand d’autres obtiennent plus d'attention qu’eux. Mes oiseaux aux ailes rognées se sentent-ils comme étant moins importants, ou passant après? Je me sens souvent triste pour ceux auquel je n'ai pas encore pu accorder la liberté de vol. De meilleurs communicateurs Voler donne aussi aux oiseaux la chance de vocaliser convenablement. Pour les perroquets de vol libre, rester en contact avec les autres membres du groupe est crucial pour leur survie. Les cris de contact servent de balises pour garder le groupe orienté et ensemble, moins susceptibles d’être attaqués par un prédateur. Je ne peux pas m’empêcher de me demander si cela fait aussi partie de la manière dont les perroquets sauvages trouvent leur compagnon dans la nature. Hurlez suffisamment fort et quelqu'un de bon intérêt pourraient venir vous étudier comme une option potentielle de compagnonnage, qui sait? Comme cela doit être frustrant de passer votre vie seul dans une cage, criant dans l’espoir d’attirer un compagnon sans jamais recevoir de réponse ? En comparaison, mes perroquets de vol libre semblent avoir des dons de communication plus avancés que ceux qui sont cloués au sol. Mes « vol libre » utilisent leurs cris d’une manière totalement différente, réservant les sons les plus forts pour des buts spécifiques comme le signalement d’un danger immédiat. Cette différence pourrait-elle aussi avoir un effet sur la forme mentale d'un perroquet aux ailes taillées ? Contrôler la menace des faucons En fait, je me demande si la capacité de voler correctement pourrait soulager un autre problème psychique qu’ont les perroquets de compagnie aux ailes taillées : la peur d’être physiquement blessé. Les perroquets ont une crainte instinctive des objets qui volent lentement en cercles ou traversent le ciel. J'ai observé la manière dont les oiseaux domestiques et ayant les ailes coupées réagissaient à la vue d’un faucon volant en cercle ou d’un avion visibles de loin quand ils les apercevaient à travers une fenêtre. Quel effet cela a-t-il sur le perroquet de compagnie, d’avoir cette peur instinctive, mais de ne pas pouvoir y répondre convenablement? Est-il possible qu’à chaque fois qu’ils voient une telle menace ils sentent de la crainte et de l’impuissance ? A l’opposé, le perroquet de vol libre, sait qu'il peut efficacement affronter de telles menaces tant qu’il reste au meilleur de sa forme, pratique des manœuvres d’esquive et reste mentalement alerte. J'ai observé mes oiseaux en vol libre esquiver des attaques de faucon avec succès plus d’une douzaine de fois. Aujourd'hui, quand ils voient un rapace, souvent ils s’envolent en criant sauvagement vers le faucon et forment des cercles, conduisant généralement à la fuite du rapace. Ces craintes peuvent-elles être éliminées de la vie d’un oiseau de compagnie ? Je ne pense pas. Au minimum, il pourrait être difficile de vivre en ayant perdu la capacité de surpasser ces peurs pour reprendre confiance, et au pire, cela pourrait finir par créer de sérieux troubles mentaux
  3. Super pour Calypso :bravo: :bravo: Quand chante cela fait toujours chaud au
  4. Wouah, il est beau ton Piyou. Tu vas voir, le jardine parle pas mal en plus ce n'est pas si commun que ça!!! Puisqu'il est EAM, cela va aider Zazou à être plus proche de toi. Quand les deux vont se mettre à parler, tu ne pourras plus en placer une !
  5. L'EAM est récent et l'on découvre avec bonheur leurs comportements sociaux . Ils nous donnent toute leur affection et c'est vraiment incroyable.
  6. Oki ! Heureusement que tu étais là, alors
  7. Cela arrive parfois dans la première couvée, le piquage des parents avec les Mais, il ne faut pas que cela devienne une habitude. Car c'est un trouble du comportement et cela peut être causé par différentes raisons ! En connais tu la raison ? C'est super les EAM, des petits miracles de comportement.
  8. Ah j'adore, ils sont tous mignons quand ils sont rikiki comme cela Ça doit déjà piailler un peu
  9. :bravo: :bravo: pour vos . Tu commences l'EAM à quel âge ?
  10. Ne m’en veux pas Biloutte , je mets cette vidéo ici car elle me fait rire, comme ton Pantoufle ! chien.wmv
  11. Hi ! tu devrais peut-être essayer de mettre des gans et de le prendre au jeu
  12. Biloutte, ton Tito me fait plaisir. Son oeil va mieux et tu verras cela ira en s'améliorant. Je lui fais un énorme bécot
  13. Il y a de l'ambiance chez toi Il faut apprendre à Calypso a ne pas crier, couvre le dans sa cage pendant 5 à 10 minutes, puis ressort le. Normalement, il devrait comprendre que crier ne sert à rien. Surtout l'ignorer quand il crie sinon il continuera à le faire, voyant que cette technique fonctionne :pens: Qu'est ce qu'il a comme jouets ton p'tit Calypso ?
  14. Essaye de lui donner un maximum de lumière. Je trouve que tu es formidable avec Calypso et il doit bien le ressentir. C'est important pour lui et cela contribue à son bien être quotidien.
  15. luciole1

    Les hybrides

    Dans la mesure où Joseph Forshaw s'est prononcé, pour moi c'est ok... et connaissant le sérieux du personnage, je pense qu'il s'est assuré de la véracité de la source avant de passer pour un rigolo aux yeux du monde aviaire, victime d'un grossier canular !!
  16. Comme Enzototi, j’ai aussi un youyou eam et c’est vrai qu’ils sont caractériels et jaloux !! S’ils n’aiment pas « craque » un bon coup de bec ! à part cela, ils sont de vrais petits et ne s’arrêtent jamais !
  17. luciole1

    Les hybrides

    Ben oui, mais ce p'tit hybride existe bien et il est assez mignon, je trouve Quant à son avenir, on ne sait pas trop ?
  18. Tu es vraiment bien équipée On voit que tu es passionnée et c'est tant mieux. Tu vas avoir du travail avec tous ces mais c'est tellement joli avec leur huppette, hein En tous les cas tu as de très belles calopsittes Est-ce que Toufou est vraiment " tout fou "
  19. Arnaques sur la vente de Perroquets en provenance du Bénin : http://www.missive.info/petitions/view.php?code=perroquets
  20. Importance d’une bonne socialisation chez le jeune perroquet La plupart des éleveurs en connaissent long sur la façon de produire un perroquet physiquement sain (incubation, nourrissage, hygiène, maladies). Mais certains éleveurs oublient ou ignorent que le développement psychologique du jeune oiseau est aussi important que son développement physique. Le bien-être futur de l’oiseau en sera tributaire. Trop souvent on entend certains éleveurs affirmer qu’ils ne s’occupent pas beaucoup du bébé de peur qu’il ne s’attache trop à eux. Cette affirmation est fausse. Le perroquet peut créer des liens avec des personnes différentes tout au cours de sa vie. Si à la base, il a pu bien développer son identité et sa personnalité, ces différents attachements se feront sans problèmes. . Les éleveurs qui ne sont concentrés que sur la production physique de perroquets ne se rendent pas compte des conséquences que cela entraînera sur le développement de la personnalité de l’oiseau. Conséquences qui peuvent causer des problèmes de comportement assez sérieux pour diminuer le potentiel d’animal de compagnie du jeune perroquet. . Le jeune perroquet isolé très tôt de ses pairs, nourri par gavage, manipulé seulement lors du nourrissage, sevré de force trop jeune, surprotégé contre tout changement, ne développera pas sa personnalité et n’aura aucune idée comment se débrouiller dans la vie avec les humains. . Dans la nature, ce sont les parents, puis les autres membres de son groupe social qui auront la charge d’enseigner les règles de survie au jeune oiseau : cris de reconnaissance, où trouver la nourriture et comment la manger, repérer les prédateurs, l’endroit où dormir, les règles à respecter à l’intérieur du groupe. C’est ce que nous appelons la socialisation, c’est-à-dire, la méthode par laquelle l’oiseau acquiert son identité, son expérience sociale et sa capacité à survivre. S’il n’apprend pas, il ne survivra pas! . Au cours de cet apprentissage, le jeune augmentera graduellement la distance qui le sépare de ses parents. Alors que sa confiance grandira, les parents continueront à le superviser et à communiquer avec lui. Le jeune reviendra encore très longtemps auprès de ses parents pour se faire nourrir même s’il n’en a plus besoin. Cela renforcera son sentiment de sécurité. Dans la nature, les parents perroquets continuent de nourrir le jeune longtemps après que ce dernier a commencé à manger seul. Ils ne régurgitent plus la nourriture comme quand il était tout bébé, mais ils continuent à enseigner et encourager le jeune à essayer de nouvelles pitances en prenant cette nourriture dans leur bec et en la broyant en petits morceaux et en l’offrant au jeune perroquet.C’est de cette façon que les jeunes apprennent à manger par eux-mêmes, en observant leurs parents manipuler la nourriture. C’est un long processus d’apprentissage s’étale souvent sur plusieurs mois. Avec l’aide de ses parents, le jeune grandira en sécurité, accumulera de nouvelles expériences jusqu’au moment où il atteindra son indépendance totale. . Il en va de même pour le bébé élevé en captivité. Très tôt, il est essentiel pour le jeune perroquet d’avoir une bonne socialisation et à la base, c’est l’éleveur qui a le devoir de pourvoir à son éducation. Le bébé nourri à la main doit apprendre à devenir un bon oiseau de compagnie et s’adapter à l’environnement humain, sinon il passera sa vie dans la confusion et développera des comportements qui ne sembleront fonctionner que pour lui.Ces comportements peuvent devenir chroniques quand le perroquet atteindra sa période d’indépendance et ils créeront des stress et dans bien des cas des problèmes de santé physiologiques et/ou psychologiques.. . Le jeune doit développer son identité et pour ce faire, il a besoin d’un environnement stimulant. S’il n’est pas habitué aux changements dès son jeune âge, il peut développer des peurs ou des comportements phobiques lorsque l’inhabituel se présente.Une socialisation positive, commencée à un très jeune âge, une éducation attentive et beaucoup d’aventures sécuritaires font une énorme différence sur le développement émotionnel et psychologique du jeune perroquet. . La socialisation est la transition graduelle d’un état de totale dépendance à celui de totale indépendance. . C’est de répondre à ses besoins de nourriture en lui apprenant à manger par lui-même, plutôt que d’être gavé et forcé au sevrage selon le calendrier (telle espèce doit être sevrée à tel âge...). Il n’est pas rare de voir un cacatoès prendre jusqu’à un an pour être totalement sevré et indépendant de ses parents, Imaginez le dégât si on le force à le faire à trois mois! . C’est de prendre du temps pour éduquer, caresser, jouer et stimuler l’oiseau en dehors des heures de nourrissage. . C’est d’encourager la curiosité de l’oiseau en lui faisant vivre des aventures, en lui proposant des changements sécuritaires : . Le nourrir à des endroits différents . Lui présenter une grande variété de nourriture. Lui faire explorer son territoire . Lui montrer à jouer en lui présentant des jouets et en jouant avec lui. . Le faire manipuler par différentes personnes . Lui parler beaucoup pour le stimuler au langage humain . Prendre le temps de commencer son éducation de base (embarque, viens, ne mords pas, doucement, reconnaître son nom, goûte, etc.), lentement et surtout patiemment. . Les perroquets sont des animaux très intelligents et qui ont besoin de direction. Il ne faut pas prendre pour acquis qu’un oiseau nourri à la main par les humains sera garant d’un bon perroquet de compagnie. .Voilà pourquoi vous ne devez pas encourager la vente de jeunes perroquets non-sevrés. Le sevrage ainsi que le début de la socialisation doivent être fait par des professionnels. C’est un passage très critique dans la vie du jeune oiseau qui ne doit absolument pas être pris à la légère. Article rédigé par Johanne Vaillancourt
  21. S'il te bécotte l'oreille, c'est qu'il est heureux et te fait des câlins à sa manière pour que tu le remarques. Est-ce que tu lui donne un peu de vitamines ? Est-ce qu'il mange des fruits et légumes ?
  22. luciole1

    Les hybrides

    C'est vraiment très intéressant
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