kti

Aussi, j'suis fascinée par l'amour de mon Piou ! Car quand le matin, je le délaisse, dans l'intérêt général, il se met à sangloter.... C'est pas des larmes rouges comme j'ai pu lire sur le forum, mais de longs sanglots lourds comme j'ai pu entendre de Verlaine. Ca fait : hooouoouuuuuuuouuuuhouoooooooooooooooooo ! Calypso se résigne et j'ai du mal pour lui.

Merci Repti pour ta réponse... Même si je ne partage pas ton avis. Calypso se fiche du miroir, il ne change pas du tout d'attitude devant. Cf + haut. Il s'en fiche, mais il s'en fiche.... Je dirais même qu'il s'en balance ! Sur mon épaule, il se voit dedans, d'un p'tit oeil dédaigneux et retourne vite à sa besogne, se laver ou me bouffer les cheveux de la nuque. Il n'est pas narcissique pour deux tunes et se fiche bien de son image. Il ne cherche visiblement pas de copain... Mais peut-être, aux amours... On verra lorsqu'il vivra sa puberté ! Lol!

Moi, deux témoignages m'ont réellement bluffée sur ce forum : Le Fidjy de Fidj, quand il joue au boulier ou à l'anneau, ou au basket le perroquet qui répond au micro, dans le post vidéo fortissimo (que je me suis repassée une dizaine de fois) Je ne doute pas une seule seconde de leur intelligence !

PARDON Pardon Simon, pardon Mathieu De vous infliger la galère Car même s’il fallait le refaire Sans hésiter je recommence L’amour n’est pas une romance L’amour échoue et assassine Pourtant dans sa bonté divine L’amour ponctue de rejetons Ses aléas, pardon Simon. Pardon Mathieu, pardon Simon Si ta maman lâche ton père Si ta maman a trop souffert Sans hésiter je recommence Encor, j’entrerai dans la danse Même si quelque part au fond Me suffisent mes rejetons Ton papa n’est plus amoureux Pardon Simon, pardon Mathieu. Pardon Mathieu, pardon Simon Je ne suis pas à la hauteur De la beauté de vos deux cœurs J’ai fait mon max, je vous le jure Aussi ne soyez pas trop durs Maman n’aurait pas pu prévoir La si triste fin de l’histoire Maman croyait l’Amour profond Pardon Mathieu, pardon Simon Catherine (poème écrit la veille du drame, le 30 décembre 1991)

La paille fait éternuer, en principe !!!!!!! Mais s'il ne b....de pas.... enfin, s'il ne pense pas à Fernande, il est mieux comme ça, j'trouve, le loulou de Christelle. Merci Christelle En plus, j'adore son p'tit côté relax !

A propos d'ordi, je me demande si l'écran auquel ils se collent n'est pas dangereux pour leurs yeux....

Lol ! Le mien est tout fou sur mon bureau... Il chante à donf et sautille devant l'écran pour attraper la flèche qui bouge, ou les petits logos. Tiens, il vient de faire cot cot cot !!!!!! Aurais-je une poule et pas un Calypso ?????

Hi hi Fidj j'imagine bien la scène ! Là je suis en train d'essayer de tenter Calypso avec une petite baignoire pour oiseau. Si ça marche, je vous enverrai la photo. Elle est étudiée anti-éclaboussures, c'est à dire qu'elle est fermée autour de la porte par un «mur» et un toît en plastique transparent. Et ben le coquin essaye d'attraper les gouttelettes d'eau, mais de l'autre côté de la paroi... Il n'a pas encore plongé sa tête dedans, mais j'attends (sauf que l'eau refroidit). Sinon, il chante à donf !!!!!! ... Il est très en forme ! Ah ça y est, il a repéré la porte Chut !!!!!! Il trempe son bec !..... C'est tout .... Ah il y retourne, toujours en chantant !... Patientons.

Je ne saurais te dire Anne... Il faut attendre notre cher Nerval.

Oui, ma Val, mais Enzo a son Théo depuis plus longtemps que tu as ton Picasso Chucky... Patience, patience, sa réflexion est encourageante pour toi ! Je ne me doutais pas qu'un tel phénomène puisse se produire.

Biloutte, d'avoir ouvert ce topic J'ai donc Enzo et Nerval dans le plus simple appareil ????? Quel bon Noël !

Salut Fidj ! J'ai pas mangé depuis 48 heures Je me sens faible Mais bon, j'ai acheté un super plat de dinde aux marrons et ... et J'ai le tournis... Et aux figues . J'arrive plus à m'occuper de moi

LE DIMANCHE DES DIVORCÉS Le dimanche des divorcés N’en finit pas de solitude Les enfants leur mère ont laissée Pour le père et les servitudes D’un contrat sans conciliation Formel et dicté par la loi Les enfants des séparations N’ont pas le choix. Maman non plus, pleure maman. Les amis s’amusent ailleurs Dans leur famille évidemment Selon le contrat en vigueur Le contrat de la parenté Formel et dicté par la foi Les amis n’ont pas discuté N’ont pas le choix Les amants se sont endormis N’appellent pas les jours d’astreinte. Embrigadée de compromis, L’envie de baiser s’est éteinte Contrat d’une famille heureuse Formel et dicté par la joie Les amants mettent en veilleuse N’ont pas le choix. Catherine

L’EX MARI Le mari s’est permis Encor une fois D’appeler dans la nuit Encor une fois Le mari me torture Encor une fois Je voudrais qu’il me jure La croix de bois Qu’il ne tentera plus Encor une fois L’excuse superflue Encor une fois Qui lui donne le droit Encor une fois De me gêner chez moi. Catherine

IL SUFFIRAIT D’UN RIEN Il suffirait d’un rien, peut-être qu’il me dise : «Dès demain, si tu veux, je t’emmène à Venise.» Bisous, palais, pigeons, baldaquin et gondoles… Alors s’arrêterait la chanson de la folle. Il suffirait d’un rien, peut-être que reviennent L’ambition qui depuis la nuit des temps m’entraîne La soif et l’intérêt d’étudier et d’apprendre Alors me passerait le désir de me pendre. Il suffirait d’un rien, peut-être qu’Il s’installe Dans mon appartement, daigne tomber la malle, Afficher ses lithos, repeindre les plafonds Alors détaleraient de mes nuits les démons. Il suffirait d’un rien, peut-être que grandisse Mon petit galopin, mon cadeau, mon délice, Le bébé de mon Homme, honnête, bon et fort Alors me lâcherait le refrain de la mort : «Toxico et Accro Malheureuse Morbide Folle Accro et Toxico Malheureuse Malade Folle» Catherine

Je décide de rien, Nerval... C'est plus compliqué que ça. Enfin, j'veux dire que je ne suis pas maître de ce que j'écris.

BARCELONE Barcelone jolie, Barcelone complice A mis, merci, un point final à mon supplice. Je respire, et revis, et retrouve le goût De manger, de dormir, et de rire de tout. Je t’aimais, mon Amour, mais c’est une autre histoire J’abandonne, après toi, il me reste l’espoir Si les rues sont fleuries, ensoleillées et calmes J’ai revu nos endroits sans verser une larme. Au kiosque où tu m’avais tout d’abord embrassée A mes deux grands garçons j’ai acheté des jouets. Devant la fontaine magique des photos Je me suis arrêtée, sereine, boire un pot. J’ai reconnu le distributeur de coca Où tu t’étais fendu d’un sou pour un soda. Je t’aimais, mon Amour, mais je vaux mieux que ça J’abandonne, après toi, viendra le Nirvana. Barcelone Jolie, Barcelone complice M’a sans compter poussée au bord du précipice Et m’en tire à présent, et l’incident est clos Je n’ai plus ni remords, ni regrets, ni sanglot. Catherine

JE VEUX QUE TU M'AIMES MOI

T'as trop bu ! Ca rime même pas !

On peut pas être plus gentil que Calypso ! IMPOSSIBLE !

Et bien moi, ma Christelle, la Ferrari, c'est mon Calypso. Il est en train de chanter comme un fou sur mon épaule. Très nouveau, puisqu'il chantait sur le toît de sa cage avant, devant la télé avec Marie. Là c'est sur mon épaule, depuis un bon quart d'heure, et il m'a déjà fait le coup tout-à-l'heure, une heure durant. Là il s'éclate et je le connaissais pas comme ça. En plus, son chant devient mélodieux ! (mais je te dis pas les décibels que je prends directement dans le conduit auditif !)

Officiellement.... Mais pas de rigolade ! Mon nom d'auteur est :...... Pas de rigolade ! «Aurore Dupinceau».... PAS DE RIGOLADE, J'AI DIT !

Oui

Hier, je suis allée acheter deux jouets Playmobil à Marikette... L'un avec les sous de mon papa (pour son anniv du 26 octobre) : les vélos des postiers. Et l'autre, beaucoup plus gros : la poste. Cette fois, j'ai fait bien attention à ne rien oublier sous l'abri-bus. Donc, hier, elle a ouvert la boîte des vélos de la post... Et ce soir, j'ai craqué... Elle attendait sagement Noël mais j'ai craqué... Je viens de lui donner la perm d'ouvrir la poste !!!! (Simon m'engueule ! hi hi hi). M'en fiche, avec mes deux fils, Noël commençait Tjs le 25 novembre ! (Et leur père m'engueulait ! hi hi hi !)