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Fidjy

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Tout ce qui a été posté par Fidjy

  1. Oui je peux faire un peu d'humour quand même...
  2. C'est une souche très serieuse des sciencitifiques qui se reunissent pour faire des recherches internationales...Ben mon Fidjy me fait l'amour sur ma main que dans sa cage, entre 12h00 et 14h00, qqun qui m'aime quoi
  3. Il s'appelle fantomas...L'année dernière je suis allé au pélerinage de Lourdes en militaire (aviation), je suis rentré dans un dancing, on m'a appellé TOM CRUZE, j'ai éclaté de rire...
  4. D'ou proviennent les coucous? en tant cas notre mot Coucou vient du dialogue de l'oiseau, ainsi que l'appélation de nos pendules, coucou! coucou! La zone de répartition s'étend sur le Sud de l'Europe et l'Afrique; depuis l'Afrique de l'Est (Ethiopie, Soudan, Somalie) jusqu'au Sénégal, l'Afrique du Nord , un peu du Moyen-Orient (Egypte notamment, mais en recul dans ce pays) et de l'Asie Mineure & une partie des pays européens en bordure de Méditerranée, Espagne essentiellement. L'habitat naturel de l'espèce est la savane (en Afrique) versus des paysages ouverts avec des arbres en Europe. L'espèce s'accomode relativement bien de zones semi-arides comme elle peut en rencontrer notamment au Moyen-Orient. Pour la description des caractéristiques physiques, je vous renvoie à vos guides favoris. La littérature ornitho fait état de différences de tailles entre individus selon la localisation géographique mais la moyenne s'établit autour de 37-40 cm. Comme vous le montre les planches (par exemple celle de Mullarney dans le guide Ornitho), le juvénile est un peu plus volumineux (et plus coloré) que l'adulte. Les habitudes alimentaires sont presqu'exclusivement insectivores (principalement chenilles mais aussi termites, sauterelles) mais occasionellement lézards (Payne, Handbook of the Birds of the World 1997). Ce coucou se nourrit habituellement au sol. Il peut cependant sautiller dans les branchages pour débusquer des victimes, ou poursuivre des proies plus mobiles. Au niveau reproduction, mâle et femelle sont souvent vu volant & chassant ensemble début de l'été, en échangeant quelques cris. La saison de reproduction sur la plupart de la zone de répartition (surtout l'Afrique donc) est d'Octobre à Janvier. Ils forment le plus souvent une paire monogame. Occasionellement, plusieurs mâles peuvent porter leur intérêt sur la même femelle. Comme le coucou classique, le coucou-geai est parasite et dépose ses oeufs dans le nid d'une autre espèce ; en zone européenne, c'est souvent Pica Pica qui en fait les frais. En Afrique, on a parfois constaté du parasitisme vers des nids d'étourneaux. ------------ L'hypothèse la plus communément admise en ce qui concerne le parasitisme avien est l'économie d'énergie pour les parents. Certaines études ont démontrés qu' en Afrique, les coucous parasitant produisait en moyenne un oeuf de plus que les oiseaux non-parasitant. De quoi assurer une meilleure pérénité de l'espèce, à fortiori si s'applique la théorie de ne pas mettre tous ses oeufs dans le même panier. On connait également la célèbre capacité de l'espèce coucou à réaliser des oeufs mimétiques de l'espèce parasitée. ------------ C'est la femelle qui prend l'initiative de trouver le nid hôte, mais le mâle est éventuellement réquisitionné pour distraire le propriétaire légitime pendant que la femelle place son ou ses oeufs à côté ou à la place de ceux de l'espèce parasitée. "Le nouvel atlas des oiseaux nicheurs de France 1985-1989" précise quelques différences avec le parasitisme du coucou gris. Plusieurs femelles de Clamator g. peuvent pondre dans le même nid. Les jeunes n'éjectent pas les oeufs ou oisillons de l'espèce hôte. Mais la femelle supprimerait quelques oeufs. Cramp (Handbook of the birds of Europe, Middle East & North Africa, 1985) cite jusqu'à une ponte de 13 oeufs dans un seul nid et de 15 à 25 oeufs par saison. La durée d'incubation courte (14 jours, soit jusqu'à cinq jours plus court que l'espèce hôte) confère cependant un avantage de développement aux jeunes sur les jeunes pies. Au niveau migratoire, les coucous-geais européens migrent vers l'Afrique, quoique certains ne dépassent pas le Sud de l'Espagne (Cramp, Handbook of the birds of Europe, Middle East & North Africa, 1985). Les adultes sont les premiers partis, dès mi-juin alors que les juvéniles quittent en Juillet ou Août (Payne, Handbook of the Birds of the World 1997). Une anecdote scientifique intéressante, le Dr Manuel Soler (Granada, Espagne) a essayé de démontrer l'évidence d'une forme de mafia avienne se traduisant par la destruction des nids de pie (ou de sévères blessures aux poussins de pie) par le coucou quand ce dernier réalisait que ses oeufs avaient été éliminé par l'hôte...Une sorte de racket et d'expéditions punitives visant à protéger ses propres jeunes. La communauté scientifique est cependant partagée quant à la réalité de ces phénomènes sur l'ensemble de la zone de répartition de l'espèce.
  5. Domi a bien dit Ceux qui sont habitués aux miroirs reconnaissent leur propre reflet dans la glace. il faut l'habitude!; ce matin je suis allé a la salle de bain entouré de bas en haut que de miroir, et suis donc reflété en plusieurs fois de bas en haut ,de droite à gauche...Et le matin je ne lui parle pas, il a toujours su venir vers moi sans accident et pourtant mon image se relflète de tout coté...Mieux quand ma mère sort le miroir grossissant, il fonce dessus et si tu refuses, il pince fort et fait sa crise de nerf, je dois par conséquent cacher ce miroir...Mais j'ai déja vu ma peruche taper sur le mur en volant, ou ma calo sur mon visage, ce dernier s'amuse à me raser la tête et quelquefois se rate...Je me méfie plus des fenêtres transparentes que des glaces...Mais j'affirme que l'oiseau voit sa propre image
  6. Mais que pouvons-nous faire ? Un exemple: Nous avons le couvert, offrons à nos auxiliaires un gîte par la pose de nichoirs. Ces derniers doivent cependant répondre à certains critères. Ils doivent être robustes, résistants à la pluie, au vent, aux attaques des pics et des rongeurs, qui agrandissent le trou d’envol pour attaquer la couvée. Ils doivent être faciles à nettoyer pour évacuer la litière laissée par les couvées et souvent infestée de parasites. De même, chaque nichoir doit correspondre au type d’oiseaux que l’on veut accueillir. On veillera alors à la forme du nid, au diamètre du trou d’envol, à son volume intérieur. Lors de la pose dans les jardins et les vergers, le trou d’envol sera orienté au sud-est, dans les bois à l’abri du vent, le trou d’envol sera toujours tourné vers la lumière. On évitera cependant de suspendre le gîte au-dessus de l’eau (rivière, bassin) ou d’une surface dure (terrasse) afin que les premiers vols de nos oisillons ne se terminent pas en noyade ou par un crash. De même ne pas mettre de perchoir devant le trou d’envol, il facilite l’accès aux prédateurs.La surconsommation Les additifs contiennent souvent des substances chimiques qui, à forte dose, provoqueraient ballonnements, nausées puis vomissements. Afin d'éviter de tels problèmes, une dose journalière admissible (DJA), en dessous de laquelle aucun effet n'est constaté sur l'organisme, a été définie pour certains additifs, sans pour autant lever le problème de l'information des consommateurs.L’hiver venu, on posera des postes de nourriture, pour les aider à passer la mauvaise saison et les retrouver ainsi en bonne santé au printemps suivant. Alors entre nous, n’est-il pas plus agréable et utile de se faire réveiller par un merle que par les klaxons urbains. Pour protéger une volière de ces pirates : La nasse C'est ce que nous utilisons. Des nasses sont installées à demeure, dans lesquelles un bout d'Emmenthal sert d'appât. Une fois la souris ou le mulot capturé, il est relâché loin de la volière. Il faut contrôler quotidiennement la capture, pour ne pas laisser l'animal dépérir. Le poison Cela est barbare, mais en cas de grosse infestation par les souris certains n'ont pas trouvé d'autre solution. Le danger, bien sûr, est de deux ordres : empoisonnement direct des Oiseaux, et l'empoisonnement d'autres animaux par les souris mortes. Pour éviter d'intoxiquer les oiseaux, il ne faut JAMAIS utiliser de grain empoisonné. Il existe des produits à base de graisses, sous forme de blocs colorés en bleu, que l'on place dans un récipient fermé ou l'on pratique un trou de 2 cm au maximum, posé au sol. Limaces, escargots et fourmis sont susceptibles de déplacer des fragments : donc veiller à détecter tout petit morceau coloré qui pourrait se retrouver sur le passage des oiseaux. C'est une solution dangereuse, à éviter. Protection du sol Le sol de la volière doit être tapissé de grillage, mailles de 1,2 maximum. Cela laisse encore le passage de jeunes Souris et Mulots. La nasse pour cela est utile. Si des plantations sont faites en pleine terre, cela crée des points de faiblesse dans le sol de la volière, il faut prendre quelques précautions, à prévoir à la construction de la volière. Protection des murs et du toit Lors de la construction d'une volière extérieure, il est préférable de prévoir pour les parois et le toit un grillage à petites mailles (env. 1,2 cm). Là aussi, il arrive que de jeunes Mulots ou Souris parviennent à se faufiler. Si la volière est peuplée de gros oiseaux agressifs, de la taille d'un toucan, capables de se défendre contre un rongeur, la taille des mailles peut avoir moins d'importance. Un mainate ou autre oiseau de taille équivalente ne sont pas aptes à éloigner un rongeur ni à le détruire. Il faut veiller et vérifier régulièrement l'état des parois et des jonctions des panneaux de construction AUTRE: http://acheter.conrad.fr/chasse_oiseaux_electronique.asp Quels genres d'oiseaux devrais-je essayer d'attirer pour contrôler les moustiques et les guêpes ? Pour réduire les populations de moustiques, attirez des oiseaux qui mangent des insectes en plein vol. Les principaux oiseaux sont l'hirondelle bicolore, l'hirondelle à face blanche et l'hirondelle rustique. Le tyran tritri attrape aussi des insectes en plein vol. De nombreux autres oiseaux insectivores peuvent aider à contrôler les guêpes et, possiblement, les moustiques, notamment la mésange, le troglodyte familier, le moqueur chat, le merle bleu, le viréo, la paruline, l'oriole, le tangara et même certains bruants comme le bruant familier. Même les oiseaux granivores aident à réduire les populations de moustiques, puisqu'ils en nourrissent leurs petits au printemps. En rendant votre cour invitante pour vos amis ailés, les oiseaux que vous attirez vous aideront à réduire les problèmes d'insectes, mais ils ne les élimineront pas complètement. Pour attirer les oiseaux, vous devez répondre à leurs besoins essentiels : nourriture, eau, abri et espace. Plus il y a de variétés d'arbres, de fleurs et d'arbustes dans votre jardin, plus les espèces d'oiseaux que vous attirerez seront variées. Les insectes seront attirés par les fleurs indigènes ainsi que par les arbres et les arbustes fruitiers (cerisiers, ciriers et groseilliers), qui attireront à leur tour de nombreux oiseaux chanteurs qui se nourrissent d'insectes et de petits fruits. Les postes d'alimentation d'hiver qui offrent des graines de tournesol et du suif aideront aussi à attirer des oiseaux insectivores. Certains oiseaux comme l'hirondelle bicolore, le merle bleu et la mésange se serviront de maisons et de nichoirs. De nombreux autres ont besoin de sites de nidification naturels dans des conifères, des arbres feuillus ou des arbustes. Connaissez vous d'autres exemples pour aider nos oiseaux?
  7. Le jeune coucou éjecte de leur nid les autres oisillons dès qu'ils sortent de l'œuf et se fait nourrir par leurs parents. Des biologistes américains et britanniques ont expliqué comment le coucou est accepté par ces derniers. En fait, les parents n'ont pas idée du nombre d'oisillons présents dans le nid. Ils nourrissent leur progéniture instinctivement en fonction de deux critères : la taille d'ouverture des becs affamés et le nombre de pépiements entendus. Comme le bec du jeune coucou est deux fois plus grand que celui d'un passereau et que le nombre de ses pépiements est deux fois plus rapide, les parents croient tout simplement avoir quatre de leurs petits à nourrir et lui apporte la quantité de nourriture correspondante.S'agissant du coucou, la femelle pond 8 à 12oeufs par saison, jusqu'à 25 - tous en principe dans des nids différents. Cela doit occuper la femelle un moment, étant donné qu'elle doit repérer les nids à parasiter d'après le va-et-vient des parents, et attendre que ceux-ci soient absents - le tout sans se faire repérer, sous peine de se faire généralement chasser. pour ce qui est du mâle... il doit faire comme chez toutes les espèces où le mâle ne participe pas à la nidification. Il se nourrit notamment de chenilles processionnaires - et il repart en Afrique dès le mois de juillet. Pour ce qui est du territoire, je n'ai rien trouvé dans la littérature, mais deux faits me font douter que l'espèce le soit nettement: -une forte proportion des oiseaux est polygame -ou polyandre- ce qui indique qu'un des sexes au moins est assez vagabond. -la densité moyenne des mâles en milieu favorable est estimée à 1 ou 2 /km2, mais on a observé des individus se nourrissant de 2ou 3 km (femelles) jusqu'à 4 (mâles) du site de ponte le plus proche: si territoire il y a, il ne doit pas être très bien gardé.. http://www.aves.be/eduquer/coucou.htm
  8. les prédateurs des oiseaux: Les Rongeurs (rats, souris), les Serpents, la Fouine et la Belette, le Chat, le Renard, le Blaireau, le rapaces diurnes, le rapaces nocturnes, les pesticides, les chauves-souris, les écureuils (eh oui, ils mangent les oeufs), les moustiques... Les principaux oiseaux de proie observés dans nos jardins sont: les hibous et chouettes, l'Autour, l'Épervier brun, la Crécerelle d'Amérique, la Buse à queue rousse, le Faucon pélerin et l'Émérillon Les Corneilles, Pie-grièches, Mainates (quiscales) et Étourneaux sont aussi des sérieux prédateurs. Le faucon crécerelle, est aussi appelé émouchet. Parmi les oiseaux prédateurs, une pie-grièche écorcheur s'intéressait de près aux petits oiseaux exotiques. Elle a du se décourager, après quelques jours elle n'est plus revenue. Voici l'adresse d'un site où l'on trouve des tas d'informations sur oiseaux prédateurs du jour : Les Rapaces Diurnes (http://perso.wanadoo.fr/marie-christine.dehayes/Index.htm) Les rapaces peuvent blesser des oiseaux imprudents qui se tiennent trop près du grillage. Ils les effraient aussi considérablement. Les oiseaux de volière retrouvent des réflexes naturels de méfiance, et savent reconnaître un prédateur. Un merle qui se pose au-dessus de leur tête ne les effraie pas, contrairement à un rapace. Des chauves-souris consommatrices d'oiseaux en plein vol La plus grande chauve-souris d'Europe, Nyctalus lasiopterus, principalement présente en Italie et en Espagne, capture des oiseaux en migration et donc en plein vol afin de se nourrir, selon des scientifiques espagnols. Il s'agit de la seule espèce connue à prendre régulièrement comme proie des oiseaux, a déclaré Carlos Ibanez de la Estacion Biologica de Donana, Sevilla (Espagne). Ces conclusions découlent non seulement de l'analyse de la fiente de ces chauves-souris mais aussi de leurs performances de vol et de la fréquence des ondes sonores qu'elles utilisent pour capturer leurs proies. Ce sont les oiseaux traversant la Méditerranée durant le printemps et l'hiver qui constituent, semble-t-il, leurs mets de choix. La plupart des chauves-souris se nourrissent d'insectes. Quelques-unes seulement, parmi lesquelles les grandes chauves-souris tropicales, sont consommatrices de viande. "Ces recherches sont très intéressantes et surprenantes" a déclaré Andreas Seit, secrétaire exécutif de l'Unep(United Nations Environment Programme) - Eurobats. La revue Proceedings of the National Academy of Sciences en fait état. Les moustiques: Les oiseaux de la famille des corvidés sont très vulnérables au virus du Nil occidental, et de nombreux sujets meurent rapidement après avoir été infectés. L’étude d’oiseaux morts appartenant à la famille des corneilles (corvidés) est l’un des premiers indices indiquant la présence de moustiques infectés dans une région. Sachez que certains oiseaux mangent les moustiques: La raison déterminante vient du régime alimentaire spécialisé de l'hirondelle. Elle ne mange que des insectes volants qui disparaissent totalement l'hiver alors que dans le même temps, l'Afrique en regorge. Sachez que nos oiseaux sont piqués par nos moustiques et transmettent des maladies à nos pious, ils peuvent en mourir. Pour les éviter ne mettez pas n'importe quel produits dans l'air nocif pour l'oiseau et pour l'homme... Fouine et belette La Fouine est un bel animal. Animal à l'activité nocturne, elle se nourrit de divers oiseaux, oeufs, souris, rats, lombrics, fruits, etc. Les déjections sont rassemblées près de son gîte. Les crottes sont de la taille d'un doigt. Son corps mesure env. 45 cm, et sa queue 25 cm. Elle ira plutôt s'installer dans votre grenier plutôt que dans votre volière. Il en va autrement pour la Belette. Ce petit Mustélidé roux au ventre blanc est assez frondeur. La belette croquera les oiseaux de préférence à leurs oeufs. Une jeune belette, par un jour ensoleillé, escaladait la volière où elle avait aperçu les oiseaux. Ceux-ci étaient étonnés, pas vraiment effrayés. Elle a couru en tous sens, sur les parois et le toit, malgré ma présence à moins de 3 mètres d'elle. Très longue, bien étirée et agile, elle semblait capable de se faufiler par n'importe quelle ouverture aussi petite qu'elle soit. Cela se passait pendant une courte période où nous n'avions plus de chien. Maintenant, bien que notre chien ne soit pas agressif avec les animaux sauvages, les belettes gardent leurs distances. Pour se protéger d'elles, le meilleur remède est d'avoir installé un grillage à maille fines. C'est un bon grimpeur et un animal très souple. Le Blaireau Le blaireau européen (Meles meles)est un important risque pour une volière, même si une fois introduit il a peu de chances de capturer un oiseau. D'un poids allant environ de 9 à 13 kg, il est facile à reconnaître : sa face blanche est traversée par une large bande noire, de chaque côté de la tête, allant du museau aux oreilles. Il a une démarche de petit ours. On peut le rencontrer la nuit, à la campagne. Il est armé de redoutables griffes et d'une solide dentition. Il peut être dangereux pour les chiens. Nous avons eu la visite d'un blaireau, dans la volière, une des rares nuits où le chien était absent car nous partions en vacances. Le Chat Bien qu'il soit un animal de compagnie fort agréable, le chat reste un prédateur pour un oiseau. J'estime qu'un chat n'a rien à faire chez un éleveur d'oiseaux. Surtout si celui-ci souhaite aussi la présence d'oiseaux sauvages. Au cours de la première année d'existence de notre volière, elle était équipée d'un filet en guise de toit. Le poids d'un chat marchant sur ce filet lui a permis d'atteindre le nid d'un petit cordon-bleu, situé tout en haut d'un arbre. L'oiseau a été tué, d'un coup de griffes. C'est à la suite de cela que nous avons remplacé le filet par du grillage. Le chat n'a plus jamais réussi à toucher l'un des oiseaux, et n'est pas revenu. Il s'agissait du chat d'une ferme voisine. Le Renard Nous partageons notre territoire avec un blaireau, mais aussi avec un renard. Jamais le renard n'a posé de problèmes. La présence du chien, pour lui aussi, est dissuasive. Sur un sol de volière non protégé, on peut aussi recevoir la visite d'une taupe, et, pourquoi pas, d'un lapin de garenne ! Mais le risque est trop grand de laisser entrer un prédateur : pas de sol sans protection efficace. Parmi les Rongeurs, il n'y a pas que les Rats et les Souris. On trouve aussi les Campagnols, les Mulots, les Lérots, les Loirs. La Musaraigne est le plus petit mammifère que nous ayons en France (ce n'est pas un Rongeur, et elle consomme des insectes). On rencontre diverses Souris, Rats ainsi que le Surmulot. Dans les soins de la volière, nous avons rencontré des Souris, Mulots, Musaraignes, jamais de Rats ou autres Rongeur plus important. Connaître l'ennemi : il est important de savoir distinguer quel est l'intrus, quand on se rend compte qu'un rongeur s'est glissé dans la volière. C'est pour cela que je tente de décrire les différents rongeurs que l'on peut rencontrer. Ces animaux sont vecteurs de maladies graves pour les Oiseaux. En particulier elles sont des porteurs de la pseudo-tuberculose. Les rongeurs peuvent aussi apporter la salmonellose, parmi d'autres maladies plus rares chez les oiseaux. Les souris consomment la nourriture des oiseaux et, parfois, peuvent détruire une couvée ou, la nuit, blesser un oiseau. Le Surmulot (appelé rat d'égout), gros rongeur d'à peu près 500g pour 25cm env. avec une queue plus courte que le corps, est omnivore et peut manger des canetons et des poussins. Le Rat noir, plus petit (env. 20 cm, avec la queue plus longue que le corps), est omnivore lui aussi mais préfère les céréales. Heureusement pour nos petits oiseaux, ils ne sont pas très présents dans notre campagne. Ou bien peut-être sont-ils très discrets, au point que nous ignorons leur existence. Leurs habitudes de vie sont différentes : le premier vit dans l'humidité et les caves, le deuxième plutôt dans les greniers, au sec. La crotte du Rat noir présente la forme d'un grain de riz; elle est plus courte et d'un diamètre plus important chez le Surmulot. La souris adulte, env. 8cm sans la queue (~8cm aussi), ainsi que le Mulot, peuvent se glisser par des trous d'un diamètre de 2 cm. Beaucoup de Français(es?) craignent les Souris. Ce que je reproche à ces indésirables, pour la vie de la Volière, c'est leur acharnement à vouloir rentrer. La minuscule Musaraigne (env. 10 cm avec la queue) ne semble pas faire de fréquentes visites, et c'est un petit animal plutôt sympathique. Les serpents Nous avons chaque année de nombreuses couleuvres. Pas de vipères. Les adultes sont de taille imposante, mais ne présentent aucun danger pour les oiseaux en volière. Elles ne peuvent pas entrer. Par contre, une jeune couleuvre peut se glisser entre les mailles du grillage. Régulièrement, dispersons un répulsif sur le socle de béton de la volière, à l'extérieur. Par son activité dévorante d’espace, l’homme modifie, appauvrit les habitats naturels, pourtant les oiseaux sont de précieux auxiliaires pour limiter les insectes et rongeurs, alors donnons-leur un petit coup de pouce, ils nous le rendront au centuple à la belle saison, et nous ferons des "économies" de pesticide ! Heureusement il reste encore les haies bocagères. Parlons en de ces haies, avant dans nos campagnes, les champs étaient bordés de haies bocagères, on dénombrait alors jusqu’à 80 espèces pour 100 km2 (source CTIFL). Aujourd’hui par l’agriculture intensive, par l’urbanisation, on arrache, on rase. En 40 ans, on a arraché, en France 2 millions de Km de haies réduisant le taux d’occupation à 15 espèces d’oiseaux pour 100 km2 ! Sans parler de ces haies strictes de type Thuyas, que l’on plante à tour de bras pour se cacher du voisinage, mais sans aucun intérêt écologique. Bien au contraire, elles augmentent le risque de prolifération de parasites et de maladies. En effet, dans une haie mixte si une plante est malade, on la soigne, au pire on la change, mais on ne touche pas à toute la haie.Mais alors ? Et oui, adieu chouette, hirondelles, mésanges… Si utiles pour la protection de nos jardins. Prenons, par exemple, notre cher Carpocapse des pommes ou des poires dont la larve rend le fruit impropre à la consommation. Après avoir accompli sa croissance dans le fruit, la larve tisse, à l’automne, un cocon dans l’écorce de l’arbre ou dans le sol, duquel sortira un papillon. Or beaucoup d’oiseaux, comme les mésanges, prospectent ces lieux à la recherche des cocons. Des études ont démontré que sur 1 arbre, le taux de capture pouvait dépasser les 90 % ! Que de parasites en moins pour l’année suivante. De même, pour élever ses petits, la mésange effectue jusqu’à 900 parties de chasse par jour, sans oublier que pour passer l’hiver, elle stockera environ 14 kg d’insectes. Quand à la chouette, un couple consomme 4 000 proies par an, comprenant mulots, souris, insectes… Malheureusement ces dernières sont aujourd’hui victimes du trafic routier : 20 000 effraies tuées par an, allant parfois sur certaines portions autoroutières à 1 effraie par Km et par an (source CTIFL). Les chiens et les chats. Un chien peut être dompté à ne pas déranger les oiseaux au jardin et dans les mangeoires mais pas un chat. Contre les chats il n'y a que des clochettes attachées à leur cou qui soit efficace, cela rend leur approche moins silentieuse et avertit les oiseaux Les écureuils. Le plus grand problème auquel vous aurez à faire face à vos mangeoires sera les écureuils. Ils s'approprient des mangeoires pour eux seuls, en chassent les oiseaux et parfois même les tuent. Il existe un tas de petits trucs pour les en éloigner temporairement, ils sont tous totalement inefficaces. L'écureuil est très habile et très rusé, il réussira presque toujours à vous déjouer. La meilleure solution est de leur aménager un plateau de tournesol et d'arachides, mieux vaut vivre avec eux que contre eux. à suivre...
  9. Les cormorans, jusqu'à récemment espèce en voie d'extinction, connaissent actuellement une forte augmentation de leur population : + 29% par an en Amérique du Nord. Cela n'arrange pas les affaires des éleveurs de poissons-chats. En effet, cette population grandissante prélève de plus en plus de poissons sur leurs élevages. Les éleveurs des Etats allant du Mississipi au Maine doivent, d'une manière générale, faire face à l'augmentation de la population des oiseaux consommateurs de poissons : cormorans, aigrettes, pélicans et hérons blancs. Ceux-ci, après avoir été décimés par les produits chimiques utilisés dans l'agriculture, prélèvent désormais une part non-négligeable sur les stocks de poissons, aussi bien ceux des centres d'élevage que ceux évoluant dans la nature. Pour Scott Werner, biologiste à l'USDA National Wildlife Research Center, le problème principal dans le sud des Etats-Unis est celui des cormorans et de leur impact sur la population de poissons-chats. Tommy King et ses collègues de l'USDA surveillent donc les déplacements des oiseaux, notamment grâce aux satellites, afin de préparer leur retour l'hiver prochain. Un million de cormorans naissent chaque année et occasionnent à certains endroits de gros dégâts à l'environnement. Ainsi, dans le Nord des Etats-Unis, sur les lieux des colonies de cormorans, l'accumulation des excréments a des conséquences néfastes sur la croissance des arbres et la qualité de l'eau. L'étude de l'USDA National Wildlife Research Center intéresse donc vivement éleveurs et chercheurs, qui espèrent pouvoir, grâce aux nouvelles connaissances, maîtriser les problèmes causés. Une véritable course contre la montre est engagée. Les voicis en photos dans Toulouse, endroit ou je passe souvent en ballade http://photos.linternaute.com/photo/634817/2291986347/4/concentration_de_cormorans/
  10. La migration est un déplacement d'oiseau sur de longues distances, au-dessus des terres et des mers. Il y a migration lorsque le lieu de reproduction est différent du lieu où l’oiseau passe l’hiver. À chaque changement de saison, l’oiseau migrateur va d’un lieu à l’autre. Environ la moitié des espèces d’oiseaux sont migratrices. Le phénomène de migration a probablement pour origine, tout au moins pour les oiseaux européens, les dernières glaciations, il y a 15 000 ans. Une grande partie de l’Europe était alors recouverte par une calotte glaciaire qui a eu pour effet de repousser les êtres vivants vers l’Afrique. Lorsque le climat s’est réchauffé et que la calotte glaciaire a reculé, les oiseaux ont acquis l’habitude de faire le voyage de l’Afrique vers l’Europe, avec retour vers l’Afrique. Depuis, de nombreux oiseaux sont devenus sédentaires, mais d’autres retournent encore en Afrique car, en hiver, ils ne trouvent pas assez de nourriture en Europe. C’est le cas notamment des oiseaux qui consomment des insectes. Le record de distance parcourue est détenu par certains traquets motteux qui se reproduisent en Alaska et vont passer l’hiver en Afrique du Sud, en traversant toute l’Asie, ce qui correspond à un voyage de plus de 34 000 km aller-retour. Les oiseaux migrateurs européens ne vont pas forcément tous jusqu’en Afrique. Les canards et les oies des pays nordiques passent l’hiver sur les côtes de l’Europe occidentale. La migration des oiseaux affectée par le réchauffement climatique Le réchauffement climatique affecte la vie sur Terre. La dernière étude en la matière suggère que des hivers plus chauds signifieraient moins d'oiseaux migrateurs. Elle indique plus particulièrement que l'augmentation des températures d'hiver en Europe centrale s'accompagne d'une baisse du nombre d'oiseaux migrateurs. La température à la surface de la Terre a augmenté d'environ un degré Farenheit depuis 1860 et il est prévu qu'elle augmente de 10 degrés Farenheit de plus au cours du 21ème siècle. Le changement climatique affecte d'ores et déjà les plantes et les animaux en de nombreux endroits de la Terre. Ainsi, par exemple, une marmotte d'Amérique du Nord a une plus courte période d'hibernation et certains oiseaux migrateurs d'Europe commencent à se reproduire plus tôt. Afin de déterminer si le climat affecte l'abondance et la diversité des oiseaux migrateurs, Nicole Lemoine et Katrin Boehning-Gaese, de la Johannes Gutenberg University (Mainz, Allemagne), ont analysé les données du recensement des oiseaux existants et celles concernant le climat pour la région du Lac de Constance (Europe centrale), laquelle se répartit sur trois pays : l'Allemagne, l'Autriche et la Suisse. Elles ont pris en considération 300 espèces qu'elles ont divisées en trois catégories : résidente, courte distance et longue distance. Il y avait respectivement 122, 80 et 108 espèces dans chaque catégorie. Deux périodes récentes de recensement étaient considérées : 1980-81 et 1990-92. L'évolution du climat d'une période à l'autre n'a pas affecté les deux premières catégories d'oiseaux migrateurs, ce qui n'était pas le cas de la troisième, celle des longues distances : les hivers sont devenus plus chauds et l'abondance des oiseaux migrant sur de longues distances a décru. Des hivers plus chauds feront aussi probablement décroître le nombre d'espèces d'oiseaux migrateurs de longue distance en Europe centrale, estiment les chercheurs. Le comportement migratoire des oiseaux se modifiera probablement aussi en quelques générations. Déjà, plusieurs populations d'oiseaux de courte distance ont cessé de migrer durant les 20 dernières années.
  11. Fidjy

    Les dauphins

    Une étude, menée par Whitlow Au et Kelly Benoit-Bird, de l’Université de Hawaï (Kailua), vient de montrer que les dauphins ajustent le volume de leur sonar pour se diriger vers leurs proies. Les claquements des dauphins faiblissent à mesure qu’ils s’approchent de leur cible. Cela semble être dû à la façon dont le système nasal des dauphins produit les sons : ils émettent une série de claquements en expulsant de l’air pressurisé de leurs évents. Le mammifère attend qu’un claquement revienne avant d’en émettre un autre. Au fur et à mesure qu’il s’approche de sa proie, les échos arrivent de plus en plus vite, d’où un rythme d’émission de claquements de plus en plus rapide. Or une quantité fixe d’air est disponible pour chaque série de claquements, ce qui signifie que les claquements faiblissent à mesure que leur fréquence augmente. Le rythme auquel les claquements faiblissent se fait de telle sorte que l’écho, à partir d’un réflecteur diffus comme un essaim de poissons, demeure à volume constant.
  12. Voila: Centre International de Recherche Scientifique
  13. Très intéressant, là on avance , je suis d'accord totalement, à long terme oui l'oiseau sait qu'il reflète son image, mes deux oiseaux me le prouvent, il se font des bisous avec le miroir, pour la peruche bec contre bec miroir, la calo se siffle et dit bisou! à son image, mais les deux ne cherchent pas à s'enlever les plumes en passant par le miroir et ne volent pas en se percutant dans le miroir, ni ne cherche à me retrouver sur l'image qui me reflète et n'ont jamais peur du miroir...
  14. La disposition des individus est parfois interprétée comme une stratégie adaptative: chez les couples de canards par exemple, c'est très souvent la femelle qui ouvre la marche... ce qui expose le mâle (au demeurant plus voyant) aux attaques des rapaces, qui arrivent généralement par-derrière. La survie de la femelle est biologiquement plus importante. Je pense plutôt que la raison pour laquelle une espèce sociable pratique ou non le vol en V est à chercher du côté des lois de l'aérodynamique et de l'énergétique: les quelques espèces que je connaisse qui pratiquent les deux types de vol (goélands et certains limicoles) sont les plus petites. Celà me fait poser une question subsidiaire : n'y aurait-il pas en plus une question de taille de l'espèce ? En effet si la formation en V facilite effectivement le vol, pourquoi les pigeons qui migrent en groupes (allant de qqs 10aines à qqes 1000ers d'individus) n'adoptent jamais de telles formations ? Serait-ce parce qu'en dessous d'une certaine taille cette formation perd de son efficacité ? N'empêche, un grand Z dans le ciel, ça risquerait de rendre parano le bon sergent Garcia. Le V c'est plus anonyme non ? Jamais on ne prendra assez de temps pour observer, analyser et comprendre les oiseaux...Les oiseaux savent bien des choses que nous ne savons pas!
  15. Le vol en V: Pourquoi les oiseaux migrateurs volent-ils en V ? Le vol en V des pélicans et sur l'expérimentation réalisée pour savoir si ce vol permet réellement à l'oiseau d'économiser de l'énergie. Les chercheurs ont posé le problème dans les termes suivants : pour bénéficier des courants porteurs créés par l'oiseau devant lui, l'oiseau doit en permanence ajuster sa position par rapport au premier. D'où la question, l'énergie dépensée dans cet ajustement est-elle inférieure à l'énergie économisée grâce aux courants porteurs ? Le gain mesuré est d'environ 14 pour cent. Les résultats ont été obtenus en mesurant la fréquence cardiaque des pélicans à l'aide de capteurs miniatures et en filmant les fréquences de battement d'ailes avec une caméra synchronisée sur les battements cardiaques. La position du V a 2 intérêts : 1) Elle permet très rapidement de changer d'individu "pare-vent" : en cyclisme par équipe, le premier coureur qui termine sont relais "décroche" en s'écartant un peu et laisse passer ses camarades jusqu'au dernier pour se placer en queue de peloton. C'est une manoeuvre un peu complexe. Les oiseaux font plus simple : si vous observez un vol en V, vous verrez que la pointe du V se déplace d'un individu à l'autre (jusqu'à avoir un V complètement assymétrique). C'est ainsi qu'ils se passent le relais. 2) Les oiseaux ayant une vue plus latérale que frontale, il est plus aisé de se positionner par rapport à son prédécesseur en l'ayant légèrement de biais. Si vous voulez retrouver les pélicans utilisés pour ces expériences, allez voir "Le peuple migrateur" de Jacques Perrin ! Qu'on ne me dise pas que les osieaux n'ont pas de bon sens
  16. Suis amoureux de christou et ses oiseaux, une lutino blanche femelle pour mon fidjy, quel bonheur , mais bon pourquoi toujours habiter trop loin de moi
  17. Merçi de revenir sur ce sujet qui me passionne. Effectivement Miki, certains le disent, ça doit être vrai...Mais je prends le risque quand j'aurais la compagne à mon Fidjy; j'observe l'oiseau, et chez moi il y a de grands miroirs dans toutes les pièces du sol au plafond, et d'ailleurs je ne les vois plus, car j'y suis habitué. Mes oiseaux se regardent tous les jours dedans, donc je verrai bien avec ma femelle et les futures petits de mon surdoué. pour ta bonne remarque
  18. Pour l'intelligence, ce n'est qu'un classement scientifique des animaux par rapport à d'autres, l'oiseau est en 3 eme position...Ça veut simplement dire , qu'un singe refléchit et peut par exemple inventer un objet pour atteindre un objectif...Le dauphin se fabrique un rond dans l'eau avec son bec pour nager à l'intérieur et jouer, un singe peut prendre une clef pour essayer d'ouvrir la porte, un oiseau est capable pour certaines espèces de tordre un fil de fer pour se faire un appat....le chien et le chat son en 4 ème et 5ème position. Ce classement est fait par des scientifiques, non par moi... je suis désolé Christou, ma calo dans le miroir se voit lui même (je pense avoir aussi un animal surdoué), mais, j'en suis persuadé il voit son image; j'en suis de plus en plus certain; et même en groupe, il serait faire la différence, la perruche fait la même chose et joue toute la journée avec dans sa cage... En fait le mirroir me permet de laisser l'oiseau qui me laisse tranquille; il n'est pas en permanence sur mon épaule, ce n'est pas je pense une question d'ennui, mais il joue avec son reflet, il se voit, il se plait. Oui cathy l'oiseau à un oeil directeur, et pour la patte, les oiseaux sont en général gaucher...La remarque de Cathy est vraiment pertinente l'oiseau ne fonce pas dans une glace pour venir me voir...
  19. Oiseaux migrateurs : identification d’une aire cérébrale spécialisée dans la vision nocturne Les neurobiologistes ont découvert, chez les oiseaux chanteurs qui migrent la nuit, une aire du cerveau spécialisée dans la vision et le vol de nuit. Elle leur permettrait de se diriger en fonction des étoiles et de détecter visuellement le champ magnétique de la Terre grâce à des molécules photoréceptrices dont la sensibilité à la lumière est modulée par le champ. Pour migrer de nuit sans se tromper sur des milliers de kilomètres, les oiseaux ont besoin de visualiser leur environnement de vol et de naviguer selon les étoiles et le champ magnétique de la Terre. De récentes recherches avaient suggéré que les oiseaux étaient dotés de molécules spécialisées à l’intérieur de leur système visuel qui transcrivent les informations magnétiques en indications visuelles. Les chercheurs, dirigés par Erich Jarvis, de la Duke University Medical Center (Etats-Unis) et Henrik Mouritsen, de l’Université d’Oldenberg (Allemagne), ont alors émis l’hypothèse selon laquelle les oiseaux qui migrent la nuit devaient disposer d’une ère spécialisée dans la vision de nuit. En comparant deux espèces d’oiseaux chanteurs migrateurs nocturnes, la fauvette des jardins et le rouge-gorge familier, avec deux espèces d’oiseaux chanteurs non migrateurs, le diamant mandarin et le canari, les chercheurs ont mis en évidence l’existence d’une haute activité, chez les premiers, à la différence des seconds, au niveau d’un groupe particulier de cellules situées en position adjacente à une ère visuelle connue. Ce groupe de cellules, qui serait spécialisé dans la vision nocturne, dénommé Groupe N, s’avère inactif durant la jour
  20. Selon des biologistes britanniques de l'Université de Scheffield, le mâle bubalornis niger, un pique-boeuf de Namibie, serait le seul oiseau à connaître l'orgasme. Et cette jouissance serait nécessaire à sa reproduction. http://luis.casiano.oiseaux.net/alecto.a.bec.rouge.1.html
  21. Les perroquets utilisent leur pouvoir d'imitation pour se faire des amis : ils copient le cri de ceux avec qui ils veulent établir des relations, ont mis en évidence des chercheurs. L'imitation est très importante pour ces oiseaux en termes d'affiliation sociale, a déclaré Jack Bradbury, ornithologue à la Cornell University (Ithaca, New York), lors du Congrès international sur l'écologie comportementale qui s'est tenu à Montréal (Canada). Cela pourrait expliquer selon lui pourquoi les perroquets sont si bons dans l'imitation de la parole humaine. Bradbury a étudié des perroquets vivant au Costa Rica, dénommés Aratinga canicularis. Les oiseaux étaient rassemblés chaque jour de manière temporaire afin de pouvoir manger et se percher. Lors des rassemblements, certains oiseaux émettaient un son spécial, légèrement différent d'un perroquet à l'autre. Le fait pour un perroquet de copier celui d'un autre semble signifier une invitation à se rencontrer. L'imitation paraît être un bon moyen d'établir un contact à travers un arbrisseau abritant une foule de perroquets. C'est comme établir un contact téléphonique à une intersection très fréquentée et mouvementée, précise Bradbury. Selon le zoologiste Tim Wright, du Smithsonian Museum of Natural History (Washington), l'imitation est probablement une aptitude générale des perroquets. Mais leurs vocalises peuvent être utilisées pour des choses très différentes d'une espèce à l'autre, ajoute-t-il. Les recherches sur le sujet sont relatées dans la revue Nature
  22. L'intelligence des oiseaux n'est plus à démontrer. Selon les scientifiques spécialistes du comportement animal, si nous devions classer les animaux en fonction de leur intelligence, ils arriveraient après les singes et les dauphins. Je laisse la parole aux étudiants d'oiseaux...Il faut l'expérimenter avec précision, pour ma part l'oiseau se reconnait, je persiste et signe, à la science de nous le dire
  23. Une nouvelle étude récente vient de mettre en évidence la capacité des dauphins à se reconnaître dans un miroir. Il s'agit d'une aptitude intellectuelle observée jusque-là uniquement chez les humains et les grands singes. Des chercheurs du New-York Aquarium ont installé des miroirs dans un bassin contenant deux dauphins, Tab et Presley. Puis ils les ont marqués avec de l'encre non toxique sur leur face et leurs côtés. Diana Reiss, de la Columbia University, et Lori Marino, de l'Emory University, ont rapporté, dans les Comptes-rendus de l'Académie des Sciences, que les deux animaux ont répondu en regardant avec insistance les marques à l'encre. Les chercheurs ont remarqué qu'ils passaient beaucoup plus de temps à se regarder lorsqu'il y avait les marques d'encre que lorsqu'elles étaient absentes. Ces recherches montrent pour la première fois de manière concluante la capacité d'espèces non-primates à se reconnaître dans un miroir déclarent les chercheurs. En général, les animaux réagissent à leur image de manière agressive comme s'il s'agissait d'une autre créature. Cette aptitude à se reconnaître dans un miroir serait significative. Des chercheurs pensent en effet qu'elle suggère la conscience de soi, du fait pour l'animal d'être distinct des autres.Les dauphins comme d'autres animaux se reconnaissent dans les miroirs. Pourquoi pas les oiseaux?
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