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kinaï291111

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Tout ce qui a été posté par kinaï291111

  1. Merkiiii les keupins ! Bon en réalité, c'est une F1,5 à cause du papa, mais sa reste du pur hein
  2. Félicitation ! :coeur: Voila une sublime espèce qui gagne à être connue, et reproduite ! Te dit m*rde pour la suite, sa à l'air quand même bien partit.
  3. J'ai retrouvé mon mot de passe !!! Youpii !! Bref après vous avoir présenté mon mâle, je vous présente sa fiancée J'ai fini par trouvée
  4. Beh pour le sabogae, ce une ligné de Bonny, les char mar island chez stockl, Amarali & Surinam, surement une ligné de Vin Russo. Qu'ils soient "pur" avant d'être beau sera déjà une bonne chose, mais je vois tout à fait ce que tu veux dire. Et oui, vraiment c*n pour la pastel, c'est une bête gentille en plus...
  5. J'en ai eu d'autre boa, une mutation et divers cross volontaire de ma main de l'homme (hogg ilsand/bci type colombien, Bci Sonora/nicaragua....) Par choix, je m'en suis séparée. J'ai eu une femelle colombien deutch pastel de chez mike (provenance de freek nuyt y me semble) qui mélange frequement du bcc avec ses pastel pour les "améliorer", qui as développée une tare. Avec un seul symptôme digne d'une encéphalite, ou Ibd. Mais elle est toujours en vie, mange, grandie, et vie plutôt bien. Mais j'ai eu l'exemple de ce que peu engendrer la sur-selection, ce qui m'a clairement dégouté. J'ai pour prochain achat : bc Sabogae ou char mar island (intergrade naturel), bc amarali, et femelle Bcc suriname. Les contacte sont pris, reste juste à trouver LA bête qui me plait
  6. Je te met une photo de la demoiselle. C'est pas un secrêt, c'est Mike de Reptipark qui as racheter un lot à mortimer. Il as du 2010,2011,2012 en dispo. Moi j'ai pris une femelle de 2011. 145€+50€ frais d'envois. Il te dira sûrement que c'est du F2, mais bon, apparemment cela fait tellement longtemps que Geirent qu'il reproduis cette souche que lui même ne suit plus les générations, ceci dit, c'est bien du pur crawl de chez notre bon eleveur Anglais, donc ce qu'un vendeur peu dire ''en petit plus'' juste pour vendre est superflus, à partir du moment ou l'acheteur sait ce qu'il achète Je suis d'accord avec toi, cette souche est vraiment superbe, ils arrivent en haut de mon "podium" bci =P Ceci dit, j'aime tout les boa, et les apprécies vraiment dans leur forme naturelle, et par leur différente provenance (c'est à dire non sur-sélectionner afin de définir tel ou tel couleur, forme de patern..)
  7. Ils sont tous superbe ! avec une légère préférence pour le regius ghost, pis avec des belles photos, ça leur rend bien honneur :coeur:
  8. Le crawl cay fais partis de mes boa préférer, les insulaires ont ce petit quelque chose... J'ai une femelle qui arrivera chez moi de la souche Mortimer également
  9. Tu as raison Fab, j'ai toujours mon crochet à porté de main, surtout pour sortir les bête des terra =) Merci pour lui Pis j'ai retrouvé mon identifiant
  10. Mdr pas du tout, c'est mon copain qui le tenait et il est toujours plus ou moins en pression avec mes serpinous , du coup il gère la "bête" au crochet, pis j'en ai profité pour shooté
  11. Une localité de plus, mon microscopique Bci Honduras
  12. TU fais partis de Peliade sebos ? Ou je trouve sa super dommage aussi, c'est bien pourris niveaux reptiles dans la region Bretagne. De temps en temps à Animotopia, et encore, pas depuis un bon moment. La dernière fois c'était avec Yann Bidier, et c'était y'a 1 ans et demis.
  13. Disons que le miens est un peu atypique, chez les spécimens farming/Wc, c'est généralement plus "épais" à ce niveau On le retrouve plus habituellement chez la sous espèce BC Amarali par exemple, et la encore, c'est pas forcement une généralité
  14. Oubliez donc les infâmes photos présenté hier , voila quelque chose de valable
  15. 1m20 pour 11 mois ? Ouai, c'est une poussée de compèt le peruvien
  16. Magnifique spécimen !!! put***, sa pousse vite les bcc perou, mon suri pousse beaucoup moins vite
  17. Une photo de mon p'ti bonhomme qui viens de mué. La lampe fausse les couleurs , j'en ferait de meilleurs des que possible, promis
  18. Me permet de posté un "petit" sujet sur les maladies des Boa Constrictor en captivité. /!\ Je rappel que seul un vétérinaire peut en toute rigueur examiner un boa malade, prescrire les traitements nécessaires et mettre en oeuvre les traitements médicaux qui vont au-delà des compétences d'un éleveur de serpents. /!\ Le syndrome de régurgitation Cette expression désigne la régurgitation chronique des proies partiellement digérées sans qu'une maladie infectieuse en soit visiblement la cause. Il concerne principalement les jeunes boas (en particulier chez Boa c. constrictor, très facilement sujet) et les animaux capturés sauvages récemment importés. Cela ce traduit par une perte significative de fluides et de solutions électrolytiques chez l'animal. La plupart du temps, la régurgitation survient entre le troisième jour et le cinquième jour après que le boa ai mangé. Le syndrome de régurgitation est l'une des causes de décès les plus communes chez les jeunes boïdés ; il résulte dans la majorité des cas d'un régime alimentaire inapproprié. A titre personnel, je rappel qu'il est nettement préférable de donner des proies légèrement plus petite, que trop grosse. *Causes possibles : · Digestion insuffisante chez les jeunes boas · Repas trop fréquents ou constitués de trop grosses proies (c'est la raison principale !) · Conditions de maintien inadéquates (température/humidité) · Nervosité et stress dus à des manipulations ou à la présence de spécimens dominants dans le même terrarium · Déshydratation, en particulier chez les spécimens capturés sauvages récemment importés ou chez les animaux n'ayant pas été correctement soignés *Mesures à prendre : · Vérifier les conditions de maintien (température, humidité) · Ne pas nourrir le serpent pendant au moins 14 jours à partir du jour de la régurgitation (cette mesure est cruciale !) · À l'issue de cette période de diète, proposer une très petite (!) proie (un souriceau rosé pour un nouveau-né) et attendre au moins 10 jours avant d'en proposer une autre · Limiter les manipulations au strict nécessaire et éventuellement masquer les vitres du terrarium · Séparer les animaux Remarque : si plusieurs régurgitations ont déjà eu lieu, l'animal peut être déshydraté. Dans ce cas, des injections sous-cutanées de solution salée stérile (quotidiennement, à hauteur de 4% de la masse corporelle) sont nécessaires jusqu'à ce que le niveau d'hydratation soit redevenu normal. Impaction Quand un boa souffre d'impaction, cela peut être dû à un grand nombre de problèmes. Des parasites, des proies trop grosses ou de mauvaises conditions peuvent être à l'origine du problème. Une humidité et/ou une température insuffisantes dans le terrarium sont le plus souvent les facteurs qui causent l'impaction. Ce problème affecte principalement les jeunes spécimens. Reconnaissable du fait que le boa n'a ni déféqué ni expulsé d'acide urique pendant une longue période, et que sa partie ventrale est dure autour du cloaque. Il peut s'agir aussi bien de fèces accumulées que de calculs urinaires. La première mesure qui s'impose dans une telle situation est d'ajuster et de corriger les conditions de maintien (augmentation de l'humidité et des températures dans les différentes parties du terrarium), et de faire prendre au serpent un long bain d'eau tiède ou d'infusion de camomille. Dans de nombreux cas, le bain provoque l'effet souhaité, et l'animal vide son intestin. Si ce n'est pas le cas, il faut masser délicatement vers l'avant et vers l'arrière la partie durcie pendant environ cinq minutes. Cela stimule l'intestin et décoince les fèces durcies. Il faut alors faire prendre au serpent un nouveau bain, qui devrait donner lieu cette fois-ci à une défécation. Si ce n'est toujours pas le cas, il convient d'essayer d'expulser les morceaux durs par un massage (!) délicat (!) en les poussant petit à petit en direction du cloaque. Avec un peu de dextérité, on peut grâce à ce massage parvenir à expulser les fèces durcies. Cependant, il ne faut essayer de procéder ainsi que si on sent avec certitude qu'on est en mesure de le faire correctement, car cela comporte des risques importants de blessures pour le serpent ! Si toutes ces mesures n'ont donné aucun résultat, une visite chez le vétérinaire s'impose. Infections bactériennes de l'intestin et des voies respiratoires La circulation d'air réduite et le climat chaud et humide généralement rencontrés dans un terrarium créent les conditions idéales pour le développement de bactéries. Les boas en captivité sont ainsi exposés à des bactéries pathogènes qui seraient, à défaut d'être absentes, présentes en quantité significativement moindre dans la nature. Lorsqu'à cela s'ajoute une faiblesse de son système immunitaire, les bactéries présentes dans l'organisme du boa peuvent se développer à un degré tel que le serpent tombe malade. Cela affecte principalement le système digestif et les voies respiratoires. Les agents pathogènes les plus communs sont les germes des genres Pseudomonas et Proteus. Les infections de l'intestin peuvent donner lieu au refus de se nourrir, à la régurgitation des proies ou à des diarrhées, pour ne parler que les symptômes les plus courants. Ces affections s'accompagnent toujours d'une perte importante de fluides qui doit être compensée. Les infections bactériennes des voies respiratoires donnent lieu à la présence de bave autour de la gueule, à des écoulements de liquide au niveau des narines (on observe aussi des bulles produites par la respiration) et à une respiration sifflante. *A un stade plus avancé de la maladie, les animaux dressent le premier tiers de leur corps et/ou ouvrent largement leur gueule à la recherche d'air. Ce stade s'accompagne aussi d'une perte de fluides. *Mesures à prendre : Il faut faire analyser les fèces ou un prélèvement en demandant un antibiogramme avec un test de résistance, en vue d'un traitement avec l'antibiotique adéquat. Des injections sous-cutanées de solution salée sont en outre recommandées. Stomatite (« chancre buccal ») Cette maladie est le cauchemar du terrariophile car elle implique énormément de soins pour obtenir une guérison. La stomatite est une maladie infectieuse et purulente qui détruit les gencives de l'animal atteint. Aux premiers stades, au cours desquels la maladie peut être soignée le plus efficacement, on ne peut déceler la stomatite que lorsque la gueule de l'animal est ouverte. A un stade plus avancé, la maladie s'accompagne d'un désalignement des mâchoires supérieure et inférieure, causé par l'enflure des muqueuses et par la présence de pus. Dans cette situation, les mâchoires et l'oesophage de l'animal peuvent être aussi atteints, le système immunitaire du serpent est alors très affaibli lorsque la maladie se déclare. Dans ce cas, la stomatite n'est probablement pas la seule infection dont souffre l'animal. Mesure à prendre : En premier lieu, il faut déterminer quelle bactérie est responsable de la maladie et quel antibiotique est efficace pour la combattre. Autrement dit : il faut faire analyser un prélèvement sur lequel sera effectué un antibiogramme avec test de résistance. L'antibiotique adéquat sera alors administré par injection sous-cutanée pendant une période indiquée par le vétérinaire (entre 7 et 10 jours en général). Cela ne sera cependant probablement pas suffisant pour que la guérison soit complète. Le film de pus et les dents déchaussées doivent être retirés de la gueule, après quoi il faut nettoyer la zone concernée avec une solution d'eau oxygénée à 3%, et appliquer localement l'antibiotique en plus des injections. Il est crucial de poursuivre les injections jusqu'à ce que la guérison soit complète. Des suppléments de vitamine A (attention aux surdoses !) et de vitamine C peuvent y contribuer. /!\* Dans la situation qui suit, il est conseiller de faire appel à un vétérinaire compétent pour pratiquer de tels soins qui s'apparentent à une intervention chirurgicale: Cas particulièrement graves* une solution d'eau oxygénée à 30% peut aussi être utilisée. Il faut en imbiber un morceau de coton et le frotter doucement sur la zone concernée. Cet acide léger ne doit pas rester plus que quelques secondes en contact avec la gencive malade et doit être rincé abondamment à l'eau claire. Un antibiotique sera aussi administré. Les tissus atteints sont complètement dissous lors de cette opération. nous conseillons fortement de faire appel à un vétérinaire compétent pour pratiquer de tels soins qui s'apparentent à une intervention chirurgicale. L'effet est en fait causé par la décomposition de l'eau oxygénée (H2O2) en eau (H2O) et en oxygène (O) (communication personnelle de FRANK MARKER). L'avantage de cette méthode réside dans le fait que les tissus atteints sont enlevés en même temps que les bactéries pathogènes de manière plus complète que ne le permettent les autres méthodes. Un supplément de Echinacea compositum ad. us. vet. peut ici aussi être utile. Maladies de peau Les mycoses cutanées et les bactéries peuvent causer des anomalies au niveau des écailles. Afin de déterminer le traitement approprié, un prélèvement doit être effectué sur la zone affectée. Il suffit de frotter un morceau de coton sur les tissus atteints et de le faire analyser. Même des anomalies pathologiques qui se trouvent sur des écailles déjà décrochées peuvent être prélevées et envoyées à un laboratoire. Par une histopathologie et/ou une mise en culture, il est possible de déterminer en quelques jours si une mycose ou des bactéries constituent la cause du problème. Dans le cas d'une mycose, le traitement de choix est l'antimycosique à large spectre Canesten, qui est disponible sous forme de poudre, de crème ou de liquide. En fonction de l'état de la zone atteinte (selon qu'elle est sèche ou humide), on utilisera de la crème ou de la poudre. Une application une à deux fois par jour est indiquée, jusqu'à ce que la guérison soit complète. Il en est de même dans le cas d'une infection bactérienne de la peau. Le bon vieux violet de gentiane est un remède qui ne fait pas de différence entre les divers agents pathogènes. Cette solution à 1%, disponible en pharmacie et qui s'applique deux fois par semaine, est efficace contre les mycoses et contre les bactéries. Attention toutefois : la jolie couleur pourpre de cette substance ne sera plus un plaisir pour les yeux le jour où vous en aurez sur les mains ou sur les vêtements. Jamais de votre vie vous ne trouverez une substance colorée qui attache à la peau autant que le violet de gentiane. Il n'y a plus qu'à jeter les vêtements qui en sont tachés car aucun détachant ne peut en venir à bout. Il convient donc de faire très attention à ne pas en renverser (gare aux tapis !!!) et de porter des gants jetables. Ceci n'est cependant pas un problème pour le serpent car la couleur disparaît lors de la mue suivante. L'administration de vitamine A peut ici encore contribuer à provoquer des mues plus fréquentes, lesquelles accélèrent la guérison des maladies de peau. La plus grande prudence est ici de mise car la vitamine A est soluble dans la graisse et est par conséquent retenue au sein des tissus de l'animal. Une surdose peut conduire à des cycles de mue de seulement 4 semaines pendant plus d'un an. Le dosage adéquat doit donc être déterminé par un vétérinaire compétent. Nodules sous la peau Si vous découvrez soudainement une grosseur plus ou moins importante sous la peau de son animal, disons-le tout de suite : une visite chez un vétérinaire compétent s'impose. En s'appuyant sur son expérience et sur un examen de la zone concernée, le vétérinaire décidera si une intervention chirurgicale est nécessaire ou si l'on peut attendre de voir comment la situation va évoluer. Il s'agit parfois de quelque chose de tout à fait bénin. Il peut parfois s'agir simplement d'une cicatrisation consécutive à la morsure d'une proie. Des nématodes ou des ténias – qui ne sont pas rares dans le cas de spécimens capturés sauvages – peuvent aussi être la cause de telles grosseurs sous-cutanées. Il ne faut dans ce cas pas non plus s'en inquiéter car le serpent peut très bien vivre avec cela. Si toutefois vous souhaitez débarrasser le boa de telles grosseurs, un petite opération effectuée sous anesthésie suffit à les retirer. Les abcès, en revanche, sont plus nocifs. Ils sont relativement fréquents et sont causés par des bactéries présentes sous la peau à la suite d'une blessure (en général à la suite d'une morsure). Les fameux « abcès d'injection », qui peuvent résulter d'injections administrées dans de mauvaises conditions d'hygiène, ne sont pas rares non plus. Dans le cas d'un abcès, une intervention chirurgicale est fortement recommandée, car les agents pathogènes peuvent être transmis par le sang au reste de l'organisme. Lorsque cela survient, il y a de fortes chances que votre terrarium se trouve prochainement vide... Exactement comme les autres êtres vivants, les boas peuvent être atteints de cancers. Si le vétérinaire a pratiqué une intervention pour retirer une tumeur, un prélèvement de tissu doit être envoyé à un laboratoire pour une analyse histopathologique. Cela permet de déterminer s'il s'agissait d'une grosseur bénigne ou d'une tumeur maligne. La plupart du temps, de telles tumeurs se développent à nouveau après avoir été retirées. Si tel est le cas, il ne convient pas de faire opérer à nouveau le serpent malade, mais de l'euthanasier. Nématodes *endoparasites. Les nématodes infestent l'estomac et l'intestin et se nourrissent du sang et des tissus de leur hôte. Des germes pathogènes s'attaquent aux zones touchées, causant des infections et affectant à terme l'état de santé du serpent. Un animal qui se nourrit régulièrement mais qui perd du poids au lieu d'en prendre doit alerter son propriétaire : cela démontre encore une fois qu'il est important de peser régulièrement un boa et de noter son poids. La simple observation quotidienne du serpent ne permet pas de s'apercevoir à temps de tels problèmes, dans la mesure ou seule une pesée régulière fournit ce type d'information. Les oeufs des nématodes peuvent être détectés dans les excréments de l'animal. Il convient donc de faire analyser un prélèvement de fèces par un laboratoire afin de diagnostiquer ou d'éliminer la présence de ces parasites. Dans la plupart des cas, la seule administration de Fenbendazol (fabriqué et commercialisé sous le nom de Panacur par Hoechst) selon un dosage de 30-50mg par kg de masse corporelle est suffisante pour éliminer ces parasites. Les pilules sont dissoutes dans de l'eau tiède, dont on remplit une seringue et que l'on administre au moyen d'un cathéter. Au besoin en utilisant une lame de rasoir, de couper les pilules en deux, en quatre ou en huit morceaux. Pour terminer, le Panacur est en général très bien toléré. Cestodes Les cestodes peuvent être à l'origine d'entérites (infections de l'intestin). Comme avec les nématodes, les animaux ne prennent quasiment plus de poids même s'ils sont nourris régulièrement (à supposer qu'ils se nourrissent encore). La perte de poids n'est toutefois pas aussi significative qu'avec les nématodes. C'est aussi au moyen d'une analyse des fèces que la présence de nématodes peut être diagnostiquée. Ces parasites peuvent être éliminés par une seule administration de Praziquantel (fabriqué et commercialisé sous le nom de Droncit par Bayer AG). Le dosage recommandé est de 25 à 40mg par kg de masse corporelle. Le Droncit est disponible sous forme de pilules. On l'administre aussi au moyen d'un cathéter. Contrairement au Panacur qui est peu nocif, on rapporte des cas de décès dus à un traitement par Praziquantel (Schnaller, 1984). Les animaux décédés étaient probablement des animaux capturés sauvages dont l'état de santé était déjà mauvais. Amibes Heureusement, les infections par Entamoeba invadens ne sont pas très fréquentes. Nous souhaitons néanmoins les évoquer en raison de leur caractère potentiellement fatal. Les amibes sont des protozoaires qui élisent domicile dans les gros et petit intestins et causent des entérites (inflammation de l'intestin grêle) accompagnées de saignements. Des bactéries pathogènes se développent alors aussi dans ce milieu, ce qui conduit le plus souvent à une issue fatale. Les serpents atteints présentent différents symptômes : régurgitation des proies, présence de sang et de mucus dans les fèces, faible tolérance à la douleur dans le dernier tiers du corps. On observe aussi un besoin accru de fluides qui est causé par le fait que l'intestin ne peut plus en absorber suffisamment : il en résulte que l'animal a constamment soif. Les animaux atteints sont ternes et se tiennent souvent avec la partie avant de leur corps enroulée tandis que la partie arrière reste en position allongée. Au stade terminal de la maladie, ils refusent toute nourriture et ne s'enroulent plus sur eux-mêmes. A ce stade, l'animal ne peut en général plus être sauvé. Un moyen sûr de diagnostiquer la présence de ces protozoaires consiste à pratiquer une culture d'amibes à partir d'un échantillon de fèces. Il s'agit d'une maladie hautement infectieuse, qui est transmise par des proies qui ont été proposées à plusieurs reprises, par l'eau que boit le serpent, par les excréments et par les instruments utilisés. Le soigneur lui-même peut transmettre la maladie s'il ne se lave pas correctement les mains après avoir manipulé un serpent malade. Entamoeba invadens a causé la destruction de collections entières d'animaux dans des institutions zoologiques. Les amibes ne doivent donc pas être pris à la légère. Le traitement de choix contre cette maladie consiste à administrer du Metronidazol (fabriqué et commercialisé sous le nom de Clont par Bayer) à raison de 100mg par kg de masse corporelle pendant 6 jours. Cette substance est elle aussi disponible sous forme de pilules qui peuvent être dissoutes et ensuite administrées au moyen d'un cathéter. Après 14 jours, le traitement doit être répété afin d'être sûr que toutes les amibes ont été éliminées (ISENBÜGEL and FRANK, 1985). Dans la mesure où la présence d'amibes s'accompagne habituellement d'infections bactériennes, l'administration d'un antibiotique est nécessaire. Il est fortement recommandé de traiter aussi tous les serpents qui sont logés avec l'individu malade ou à proximité de celui-ci. Cela vaut même si les autres animaux ne présentent aucun symptôme. Une fois le traitement terminé, il convient de faire analyser des échantillons de fèces après quelques semaines. On ne peut être certain de la réussite du traitement que si tout les résultats des analyses sont négatifs. (!) Avec l'aide & l'autorisation personnelle de "Herman Stockl" (!) Si vous souhaitez prendre ce document sans autorisation, vous risquez de gros problème.
  19. Bonjour, Je souhaiterai (sur le long terme) me lancé dans les Opistoglyphe (Boiga uniquement). Et souhaiterai avoir les avis de ceux qui en maintiennent, ou en ont maintenus. Caractère, nourrissage, taille d'installation et le type d'instal le plus adapté , difficulté à obtenir le cdc pour ce genre d'animaux etc etc. J'ai déjà manip un Dendrophila dendrophila (sous bonne escorte) une vrai gutt en journée, mais je me doute que sa doit pas être le cas de tous.. Merci d'avance pour ceux et celle qui prendront la peine de répondre à une néophyte comme moi
  20. N'ayant pas le permis de conduire, et ayant "quelque" folies de prévus, je souhaiterait savoir si, à tout hasard, un Bretons (ou une Bretonne) ce rendrait pas à Hamm en Septembre ou Décembre ? Participation aux frais, bien évidemment
  21. Moi veux pas pourrir ton fofo, j'ai juste jugé utile de pas me laissé faire...
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