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marc92811

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Tout ce qui a été posté par marc92811

  1. super poste mais je m'embrouille un peut l'esprit sur cette partis si tu pouvais me la refaire en plus claire ce serai cool Merci pour vos compliments, si ça sert c'est que j'ai bien fait d'y passer du temps. Je suis d'accord qu'il faut bien suivre ce passage, ce sera mieux avec des photos ou un petit dessin que je rajouterai dans pas longtemps.
  2. C'est fait. Placé dans "Matériels et installations". J'espère que cela servira car c'est pas mal de boulot.
  3. Les incubateurs du commerce sont souvent fort petits, accompagnés d’un thermostat bilame de mauvaise qualité. Et tout cela pour un mauvais rapport qualité-prix. Le résultat peut-être fort variable et souvent décevant s’il s’agit d’espèces fragiles (comme le sont les Morelia viridis par exemple). Il est donc plus économique et efficace de concevoir directement son propre incubateur. Quel que soit l’incubateur utilisé, il sera mis en fonction au moins quelques jours avant la ponte pour que tous les paramètres soient réglés. Rien de plus horrible que de devoir s’y mettre dans l’urgence. Garder l’incubateur dans une pièce à température stable, un peu plus basse que la température d’incubation et utiliser un bon thermomètre à impulsion, sont deux choses indispensables. La sonde du thermostat peut être placée soit contre les œufs, soit dans l’incubateur, au même étage que les œufs mais à l’extérieur des boîtes à œufs (voir plus loin). Le principe : Il existe de nombreuses techniques différentes. Je n’ai pas la prétention d’en avoir la connaissance universelle et des méthodes autres que la mienne peuvent donner d’excellents résultats. Les appareils peuvent être conçu pour être chauffé par l’air ou par l’eau, avec ou sans substrat, dans un volume vertical (comme un vieux frigidaire) ou plutôt horizontal. Ma méthode se base sur un chauffage par l’air, sans substrat et dans un volume horizontal. Pourquoi par l’air : car si l’on chauffe de l’eau (se trouvant dans le fond de l’incubateur), l’évaporation est tellement importante qu’il est impossible de ne pas avoir de condensation sur les parois et le plafond (couvercle) de l’appareil. Cette condensation peut empêcher une bonne visibilité des œufs à travers les éléments transparents de l’incubateur. Elle peut aussi s’écouler directement sur les œufs. Conséquence: une diminution des échanges gazeux à travers la coquille et un éventuel éclatement par augmentation de la pression interne. Cela oblige des montages compliqués de protection (plaque de verre disposée suffisamment non horizontalement par exemple). Le chauffage de l’eau implique aussi une évaporation tellement importante qu’il est difficile d’avoir une humidité relative de l’air optimale au niveau des oeufs, c’est-à-dire très importante mais pas complètement saturée. En chauffant l’air, on peut n’avoir aucuns de ces défauts. Pourquoi sans substrat : En premier lieu parce que la vermiculite est totalement inutile et peut même nuire. Elle diminue légèrement les échanges gazeux à travers la coquille et empêche d’avoir une bonne visibilité de l’œuf partiellement enfoui. Elle doit être réhumidifiée régulièrement (mais pas trop, ce qui n’est pas tellement facile !) en cours d’incubation, ce qui est une contrainte supplémentaire. À l’éclosion, elle peut tant coller à l’animal que cela peut devenir au moins une gêne, sinon un danger pour les tout petits animaux. Pourquoi le choix d’une cuve plutôt horizontale que verticale : Avec un incubateur ayant un important volume vertical on peut imaginer de mettre de nombreuses pontes sur des étages différents. Tout cela en utilisant qu’un minimum de place au sol. C’est effectivement possible en théorie mais uniquement si la différence de température en fonction de la hauteur dans l’incubateur est minimale (la chaleur monte). Pour cela, on est obligé de brasser l’air en installant un mini-ventilateur (qui peut tomber en panne) dans la cuve : c’est trop compliqué à mon goût. Avec un seul étage utilisé pour le placement des œufs : la température y reste parfaitement stable tant que le couvercle reste fermé (et une variation très faible après une ouverture). En résumé, il faut donc: - garder un taux d’humidité important en évitant les gouttes de condensation (tombant éventuellement sur les œufs). - une température la plus stable possible, c’est-à-dire ne variant pas ou presque pas (moins de 0,5 degrés), cela implique une bonne isolation et une inertie suffisante. Il est à noter que la précision ne doit pas être la même pour des élaphes (considérées comme assez facile) que pour des pythons (plus difficile ou même très difficile). Avoir une fenêtre permettant de voir l’intérieur sans ouvrir le couvercle me paraît être une aide indispensable pour les curieux. La fabrication : La cuve de l’incubateur : Trouver un vieil aquarium (gratuit) pas trop petit (entre 80cm et 100cm de long). Le couvercle est inutile. Il est bon de retirer le (ou les 2) renfort(s) central évitant l’écartement par la pression de l’eau des 2 faces lors d’une utilisation en aquariophilie, ainsi que les lamelles de verre placées sur le périmètre intérieur de la cuve (on y plaçait les plaques de couverture de l’aquarium). Cela se fait assez facilement en passant une lame de rasoir dans le joint en silicone. Pour que la température soit stable, il faut l’isoler convenablement. Pour cela, j’achète des panneaux d’isolation (de 4 cm d’épaisseur) de polystyrène extrudé (styrodur) que je colle au fix-all sur l’extérieur des 4 côtés et du fond de la cuve. Pour garder une vue horizontale sur l’intérieur, je garde un grand rectangle découpé et amovible (non collé) +- au milieu d’une des 2 faces. On ne se sert pas souvent de cette fenêtre mais il est trop facile de la réaliser pour s’en passer. En déboîtant ce morceau d’isolant, on a une vue en coupe de l’installation sans ouvrir l’incubateur. L’isolation permet de limiter au minimum la condensation sur les parois de la cuve et de son couvercle, ainsi que de garder la chaleur en cas de panne de courant. Il est à noter que le polystyrène extrudé (frigolite) dégage continuellement des gaz théoriquement nocifs pour la vie animale. C’est la raison pour laquelle, dans le doute que cela ne soit mauvais pour les embryons, je ne mets pas l’air de la cuve directement en contact avec les œufs. Pour renforcer les arêtes extérieures, un peu fragile (de styrodur), de la cuve isolée, j’y colle des profilés plastique en L. Ce n’est évidemment pas indispensable. Le couvercle de l’incubateur : Je me procure un grand morceau de plexiglas découpé aux dimensions du futur couvercle. J’y colle une couche de Styrodur sur sa face supérieure (extérieure) en laissant aussi un grand rectangle amovible en son centre. Cela permettra, en le soulevant, de surveiller quotidiennement (et même plus) l’évolution des œufs sans devoir ouvrir le couvercle de l’incubateur. Je renforce les arêtes de Styrodur du couvercle de la même manière que pour la cuve. Je place aussi un profilé en L sur la face intérieure du couvercle : ce profilé est collé directement sur le plexiglas comme montré sur la photo. Il permet au couvercle de rester centré sur la cuve, sans mouvements latéraux excessifs. On peut laisser un demi-centimètre de jeu en longueur et en largeur pour un placement aisé. Le couvercle ne restera probablement pas parfaitement plat et se soulèvera légèrement aux extrémités. Des petits passages d’air se formeront pendant l’utilisation. Cela rend l’ensemble non étanche : tant mieux car un renouvellement léger et régulier de l’air dans la cuve est idéal pour une bonne oxygénation des embryons. Comme il s’agit d’un système avec un chauffage par le haut, je fixe le câble chauffant sur la face intérieure du couvercle, tout le long du périmètre, à environ 5cm des bords de la cuve (et du même coup de la partie verticale des profilés en L centrant le couvercle). Pour cela, je fixe des supports plastiques (pour tubes électriques) sur le périmètre intérieur du couvercle en les vissant directement sur le plexi. Ceci à l’avantage d’écarter le câble chauffant de +- 2 cm du plexi. Il faut essayer de trouver un câble de longueur +- identique à ce périmètre. Creuser une petite encoche en légère diagonale dans le couvercle (plexi et isolant) pour faire passer le fil électrique du câble chauffant (voir photo) de sorte que le couvercle est posé sans être gêné par le fil électrique. Un câble de puissance raisonnable est largement suffisant si la cuve est isolée. Je crois que le mien fait 20 ou 25w pour 2,5m de long. L’intérieur de ma cuve doit faire à environ 100cm x 45cm x 60cm (de mémoire). Et la cela suffit très largement à garder 30,5° avec une température de la pièce de +-22°. L’avantage de ne pas avoir un chauffage trop puissant s’appréciera pleinement en cas de panne du thermostat. Cela évitera les embryons cuits! Une autre encoche sera aménagée dans le couvercle pour faire passer le fil de la sonde du thermostat. C’est uniquement pour une question de facilité de construction et d’aménagement que j’ai fait le choix d’un chauffage par le haut, en réalité ce n’est pas important. Comme la chaleur monte, la température dans l’incubateur variera en fonction de la hauteur dans la cuve (en bas, il fait plus froid) : c’est tout. L’aménagement intérieur : En fonction des dimensions intérieures de la cuve, je choisis des récipients en plastique (transparents) que je dispose au fond de la cuve. Je les remplis d’eau et ne mets pas de couvercle pour augmenter l’humidité dans la cuve. On peut même en mettre plus d’une couche (2 chez moi), séparés par de quelconques lattes pour atteindre une hauteur d’une demi-moitié de la hauteur de la cuve. Cette quantité d’eau donne l’inertie thermique indispensable à un retour rapide de la température idéale de l’air de la cuve après une ouverture. On pourrait aussi remplir l’aquarium à moitié et déposer les boîtes à oeufs sur des supports posés sur le fond, mais je trouve cela moins pratique. C’est sur des lattes placées sur les récipients en plastiques que l’on disposera les boîtes à œufs. La boîte à œufs : c’est dans celle-ci que les œufs se développeront et que les jeunes apparaîtront. Cette boite doit posséder des trous d’aérations (qui resteront toujours libres) sur les grands côtés latéraux. Un couvercle convenable sera foré de nombreux trous d’aérations qui seront obturés par du papier collant pendant les 2 ou 3 premières semaines d’incubation. Cela sera la seule chose à faire pendant l’incubation ! Les œufs seront posés directement sur une grille. Qui elle-même sera placée, légèrement surélevée, dans une coupelle transparente. Cette coupelle sera placée dans la boîte à œufs préparée comme suit : mettre 4 supports de 2 ou 3cm dans le fond de la boîte et placer une grille sur les supports. Mettre un fond d’eau ne noyant pas la grille. Placer un morceau de papier ménage sur la grille, ce papier débordant pour tremper dans l’eau pour augmenter l’évaporation. À nouveau, 4 petits supports (quelques mm) seront placés sur la grille recouverte du papier ménage pour que la coupelle, placée sur l’ensemble, ne soit pas en contact direct avec le papier. Le couvercle est clipsé fermement sur la boîte à œufs (sinon les bébés fraîchement éclos le poussent et se promènent librement dans la cuve). Il est important que les œufs soient déposés sur une grille, et non directement dans le fond de la coupelle, car les œufs évacuent de l’eau en cours d’incubation. Ils finiraient par tremper dans une flaque qui pourrait leur être fatale. Les œufs, retirés de la femelle sont immédiatement mirés pour s’assurer qu’ils soient fécondés. Ne pas les retourner, surtout s’ils ont plus de 24 à 48h sous peine de faire mourir l’embryon. Noter l’emplacement de l’embryon avec un crayon très gras peut être utile si l’on sépare les œufs les uns des autres ou si certains œufs ne font pas partie de la grappe. Les placer directement sur la grille de la boîte à œufs. Pour la plupart des espèces, il n’est pas indispensable de les séparer car même un œuf mort ne contamine pas les autres. L’exception bien connue est le Morelia Viridités pour lequel il est plus prudent de le faire. Ce n’est pas bien compliqué si on s’y prend dans les premières heures mais si maman ne la fait pas… J’espère que vous avez tout compris, c’est plus difficile (et presque aussi long) à rédiger qu’à fabriquer !
  4. J'ai commencé le tuto, il sera fini ce soir car ici (Andalousie) il pleut. Cela donnera une bonne idée des principes à suivre pour avoir un truc fiable.
  5. On peut fabriquer des lianes avec des morceaux de tronc de lierres. Il suffit de les couper, de les écorser ou non, de les mettre au surgé pendant 48h.
  6. Je vous explique ma méthode (très simple) dès que j'ai une minute PS: j'ai bien crû que cela n'intéressait personne à part Michèle, et elle a raison
  7. Si vous voulez, je peux vous faire un tutoriel avec ma méthode d'incubation. Incubateur perso, pas cher, efficace à 100% et sans aucun entretien durant toute l'incubation (excepté augmenter l'aération 1X après 2 ou 3 semaines). Comme je suis à l'étranger pour l'instant, je ne vous mettrai les photos que la semaine prochaine mais je peux vous faire le texte maintenant. Les oeufs de ma première femelle Cheynei y sont depuis 4 jours.
  8. J'irai peut-être si je suis en Belgique (pas sûr du tout).
  9. Salut Tim, Finalement, je n'exclus pas totalement d'y aller. Tu irais comment?
  10. Salut, Je peux te mettre en contact avec mon fournisseur (éleveur) en rongeurs. Il n'est pas trop cher et fait 25% de réduc si on prend des quantités (non précisée). Il est de l'ouest de Bxl. Je peux te donner ses coord par mp si ça t'intéresse. Ou Roger et Tim? Souris alimentaires (blanchons 9 jours) Prix : 0,60 euro Souris alimentaires (sauteuses 3 semaines) Prix : 0,75 euro Souris alimentaires(moyennes à grosses) Prix : 0,90 euro Rats albinos alimentaire (3 à 4 semaines) Congelés : 1,5 euro Rats albinos alimentaire (5 à 8 semaines) Congelés : 1,65 euro Rats alimentaires gros (plus de 2 mois) Congelés : 1,65 euro
  11. Steve, Nous sommes plusieurs à posséder du Cheynei (bb, juvénile ou adultes), et je crois pouvoir affirmer au nom de tous que s'ils aiment beaucoup grimper et se reposer sur une branche, ils se servent aussi très souvent de leur cachette au sol.
  12. Je crois que Roger à raison et que la meilleure chose à faire est d'aller consulter Brasseur, il est très expérimenté. Contrairement à Roger, j'ai déjà entendu (de personnes qui me sont proches) ou vu 2 cas similaires. Si l'animal ne mue pas, c'est très grave. Et plus on réagit tard, moins les chances de réussite sont importantes. C'est vrai qu'il ne pourra peut-être pas t'aider mais au moins tu auras fait le maximum.
  13. En général, cela arrive avec de jeunes animaux. Je ne connais aucune méthode qui ai donné des résultats.Je peux juste te dire ce qui, à ma connaissance, a été essayé sans succès: le bain classique de plusieurs jours (comme pour une simple mue ratée) avec tentative inutile pour enlever la mue manuellement.
  14. Salut Octo, Je ne suis pas du tout aussi optimiste que les auteurs des posts précédents. Quand le temps de la mue est dépassé de plusieurs jours, ou de plusieurs semaines, il n'y a plus moyen de la détacher de l'animal. Et cela peut se terminer de manière fatale. Je suis vraiment étonné que cela t'arrive car je suppose que tu pulvérises tous les jours.
  15. Mélangée à autre chose ou non, la tourbe ne doit jamais rester humide continuellement dans le terra. Il faut d'ailleurs l'étaler et la faire sécher avant la première utilisation. En pulvérisant une fois par jour en plus ou moins grande quantité et en laissant sécher entre les cycles, il n'y a jamais aucun problème.
  16. C'est la plus belle des récompenses pour tes efforts.
  17. Roger à raison. Si tu avais tout traité tout convenablement, il serait impossible qu'il y ai encore des acariens vivant qui se manifestent aussi peu de temps après. En un mot, tu n'a pas traité à fond! Tu n'a pas le choix et tu dois recommencer en n'oubliant pas de pulvériser l'extérieur des terras (en dessous aussi), le sol, éventuellement les murs (les coins). Il faut penser aux fissures (les acariens aiment se cacher à l'abri de la lumière pendant la journée), aux soquets de lampes, interstices divers.... Le front line c'est fort toxique, Commande de l'Ivomec chez ton pharmacien et essaye ce produit repris dans mon post précédent. Il est efficace à 100% et tu ne risques pas de catastrophe. PS: les acariens sont noir ou rouge (pleins de sang), pas blancs. Mettre de la camomille ne sera, à mon avis, jamais suffisant pour les faire disparaitre en cas d'infestation massive comme c'est le cas chez toi. C'est plutôt après le traitement que l'on en met pour éviter (espérer?) qu'ils ne reviennent pas.
  18. Salut, Bienvenue Patrick. Que de belges sur ce forum! Tu es de quel coin? Quelle espèce détiens-tu?
  19. Ce que tu dis n'est pas idiot et ton post est amusant à lire. J'adore tes Smileys. PS: oserais-je formuler qu'un petit effort en orthographe serait le bienvenu.
  20. Tu as de la chance qu'ils soient sympas parce que les Seba sont en général des bêtes fort agressives. C'est l'un des grands boidés les plus difficiles à manipuler et je m'en méfie beaucoup. Dans la nature, ils deviennent fort rare. Pour être allé souvent en Afrique de l'Est (dans des zones sauvages), je n'en ai jamais vu. Bien moins que les cobras ou autres mambas qui sont pourtant théoriquement assez discret. J'espère que tu auras pleins de jeunes (il n'y a pas de raison que cela soit autrement).
  21. De plus, je ne comprend pas trop ton point de vue, tu hésite à entendre mon conseil mais tu ose imaginer de mettre une plante vivante. J'avoue que j'ai du mal à te suivre. D'autres part, il ne faut pas non plus devenir obligatoirement un adepte des terras totalement stériles (certains ici le sont et s'en trouve parfaitement heureux ). Si jamais un petit insecte (je parle pas d'acariens!) rencontre ton serpent, il n'y aura pas de catastrophe! Ce sont les infestations massives qui sont ennuyantes.
  22. Je suis tout à fait certain. Je vais pas aller te raconter des conneries et après passer pour un rigolo. Si les branches vivantes sont coupées sur un arbre vivant, qu'elles sont lavées et brossées à l'eau chaude de préférence, mais sans AUCUN produit, les risques sont infimes. Les branches de ficus coupées donnent beaucoup de sève. Est-ce une bonne idée? De plus, en Belgique, il n'y a pas de ficus dans les forêts Avec des plantes vivantes tu courres évidemment un risque maximal d'introduire dans ton terra des parasites et des champignons. Sans compter que les plantes exotiques sont parfois aspergées d'insecticides et autres produits chimiques. Et puis les conditions de vie d'une plante en terra, c'est pas évident. Si elle meurt et devient jaune, c'est pas trop beau. La terre peut aussi contenir des engrais. Et quand le serpent défèque sur la terre: comment nettoyer? Impossible! Et si tu as une infestation d'acariens... Et les pythons écrases souvent tout. Conclusion: malgré que j'ai aussi placé des plantes vivantes dans des terras à mes débuts, je ne le referais plus. Trop de problèmes potentiels. Sans compter qu'aujourd'hui on trouve des plantes artificielles presque aussi belles que des vraies. Sans aucun soucis.
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