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chris42210111

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Tout ce qui a été posté par chris42210111

  1. Ouais sauf qu'il faut que je change les branchages ils sont devenus trop fin... Mais c'est dur de trouver la taille et la forme adéquat...j'ai trouver à avignon un olivier.... premièrement c'est vraiment dommageable de couper des branches d'un tel arbre et deuxièmement c'est à 300 bornes de chez moi
  2. Une petite photo le jour où elle a avaler son premier lapin: Et la deuxième prise ce jour en pleine digestion:
  3. le père noel peut etre...la prochaine morelia spilota spilota...tout un programme
  4. D’après: Morelia oenpelliensis (Gow,1977) Python d’Oenpelli texte original: Peter Krauss Le python d’oenpelli est l’un des plus récemment découvert parmis les pythons australiens, ayant été décrit par l’herpétologiste Graham Gow en 1977. Ce gros python atteint une longueure de 4m50 et les aborigènes familier de l’espèce suggère qu’ils peuvent devenir encore plus gros. Une espèce mince et élancée avec une tête longue et fine bien distincte du coup. Le cou, le corps et la queue sont légérement compressé latéralement. La coloration est brun pale à brun-rougeatre et brun-olive avec une série de taches marrons sombres ou grises et tendent à être plus pâles sur ces cotés. Il y a une tache brun sombre qui part de l’oeil jusqu’au coin de la machoire. Le ventre est crème à jaune pâle. C’est l’une des seules espèces de python capable de changer de coloration. Les deux sexes possèdent de petits éperons cloacaux, les males deviennent plus gros et la queue est préhensile. Le python d’oenpelli habite les environnements rocheux des escarpement d’Arnhem Land dans le territoire du nord ainsi que ces abords. Se dissimulant dans les crevasses rocheuses et les cavernes. Les jeunes spécimens ont été observés en dessous de crevasses constituer de fines lamelles rocheuses. Ils ont été également trouvés dans les forêts tropicales sèches et les forêts de moussons adjacentes aux escarpements, où ils ont été vus dissimulés dans des creux d’arbres. Considéré comme étant nocturne plus généralement terrestre mais grimpant également aux arbres. L’on sait qu’ils se nourrissent d’opossum et de wallaby des rochers mais aussi de chauve-souris frugivores et d’oiseaux. Les accouplements ont probablement lieu entre juin et aout avec de 6 à 9 gros oeufs pondu en octobre-novembre. Les naissances ont probablement lieu en janvier-février. Le python d’oenpelli est surveillé car étant vulnérable dans le territoire du nord. Management captif: J’ai trouvé cela stimulant et gratifiant d’être en mesure de maintenir un couple de ces rares pythons pendant une période de 16 ans. Ils ont un tempérament et un caractère docile. Mes succès au sujet de l’élevage en captivité de cette espèce ont été documenté avec attention, que ce soit en enregistrants des données ou avec des photographies appropriées. Il semble probable que ce sont les premières observations détaillées enregistrées au sujet du maintien et de l’élevage de cette espèce. Les spécimens concernées par cette étude sont un couple et sont des juvéniles obtenus auprès d’une association au début de l’année 1974. En 1990 le mâle mesurait approximativement 3 m et pesait 6 Kg. Les photos prisent en 1976 indiquent la taille approximative des serpents à ce moment là. En comparant leur taille sur ces photos avec celle des juvéniles né ici en février 1989, j’ai pu estimer que le couple d’adulte avait environ 18 ans en 1990. La corpulence de ce python, en particulier le périmètre par rapport à la longueur ressemble plus à celle du serpent des arbres qu’à d’autre pythons. Ceci est spécialement vrai concernant les spécimens juvéniles, qui sont à la fois mince et extremement agile pour escalader et se déplacer. L’un des constations les plus inhabituelles observée en captivité est leur habilité à changer de couleur. Ceci étant plus évident durant la journée lorsqu’ils s’exposent à la lumière et que la température dépasse les 25° La coloration du python d’oenpelli est brun chocolat avec un patron tacheté à peine visible. La nuit spécialement lorsque les températures chutent aux alentours de 20° où moins, les pythons restent dans leur cachette. Durant ce temps les sujets change de coloration et deviennent gris clair tout en ayant un patron distinctivement tacheté. Aucune expérimentation ne fut effectué pour savoir si ce phénomène pouvait être due à d’autres facteurs de causalités. Le python d’oenpelli est principalement terrestre mais à également des tendances arboricoles et leur terrarium devra être grand et conçu pour permettre que ceux-ci de maintenir leur habitude d’escalade. Dans mon cas les pythons avait des terrariums de approximativement 2m50*1m20*0m5. J’avais trois sections, chacune avec une porte en verre s’ouvrant en plusieurs compartiments. Horizontalement la structure du fond présentait 3 niveaux. En bas de chaque section, il y avait une petite aire de cachette, d’environ 25 cm de haut, avec une ouverture juste assez grandes pour que le pensionnaire puisse y pénétrer. Le sol de chacune de ces cachettes était recouvert d’une couche de copeaux d’écorces. Immédiatement au dessus de cet aire il y avait la plus grande partie des trois niveaux. Le sol était construit en panneau d’hardiflex ( fibre de ciment) et recouvert de pelouse synthétique en plastique. Ce sol formait également le toit de la cachette et pouvait facilement être enlevé pour être nettoyé ou pour accéder au niveau en dessous. De petites ouvertures sur le toit de chaque sections du niveau du milieu, permettait aux pythons de se déplacer jusqu’au dernier niveau qui était également très fin faisant seulement 25 cm de haut. Une couche de copeaux d’écorces comme substrat recouvrant le sol de cette aire. Deux sections de ce niveau contenait un duo de lampe vita-lite de 20W montées contre le mur du terrarium. Les serpents se reposaient effectivements sous ces lampes ou juste à leur droite. Cela fournissait un maximum d’UV bénéfiques. Les autres fournitures présentes dans ces constructions était des panneau perforé pour l’ensemble du panneau arrière et le dessus pour favorisé les echanges gazeux. L’utilisation de ce type de materiaux fournissait la ventilation adéquat. Toutes les sections démontables étaient en verre ou en panneau perforé. L’une des sections comportait le bol d’eau; qui était juste assez grand pour que chaque serpent puisse s’y baigner mais cela était très rare.Le bol d’eau était positionné sur un tapis chauffant de 14W, permettant d’obtenir une température de l’eau de 25°. Ce qui permettait également de bénéficier d’un élevement de l’humidité dans le terrarium. Les autres tapis chauffant étaient placés en dessouys de l’herbe synthétique juste sur le panneau perforé au dessus de la cachette évitant ainsi tout contact direct avec les serpents. Les terrariums était loger dans un petit batiments avec un toit en métal. Approximativement 15% de ce toit était en panneau translucide. Durant les mois chaud d’été, le toit était recouvert d’une toile ombragé et un système d’arrosage mis en route si il était nécessaire de rafraichir la pièce. Des parpaings spéciaux formait une partie de la structure et fournissait une ventilation transversale à travers le batiment. Les température à l’intérieur du batiment oscillait entre un minimum de 14° jusqu’à maximum 30° durant l’hiver et de 24° à 43° durant lété. Ces conditions étaient indicatives des conditions climatiques de l’endroit où je vivais bien au nord d’Atherton Tablebands, approximativement à 65 Km à l’intérieur du Cairns dans le nord du Queensland en Australie. Tous les chauffages et éclairages étaient controllés par des minuteurs. Aucun n’était équipé de thermostat. Durant les mois d’avril à aout, une lampe chauffante à UV de type osram sun lamp de 300W était ajoutée. Cette lampe était fixée à un trépier et pouvait être dirigé directement sur les terrariums à travers la porte ouverte des terrariums. Le temps d’exposition était au maximum de 15 minutes à une distance de 700mm. Si les serpents commençait à montrer des signes comme quoi il voulait se soustraire à la chaleur de cette lampe elle était éteinte immédiatement. L’un des bénéfices de cette procédure était l’opportunité d’inspecter minutieusement les serpents ainsi illuminés. Un jour sur deux l’enceinte ecevais une pulvérisation d’eau en utilisant un pulvérisateur à pression de jardin, la buse était réglée pour emettre une fine brume. Les copeaux d’écorces était toujours légèrement humide mais jamais détrempé. Les serpents étaient souvent observés buvant les gouttelettes d’eau qui s’accumulait sur la peau de leur corps durant la pulvérisation. Les pythons étaient nourris toutes les 2-3 semaines à moins que leur yeux opaques n’indiqua une mue imminente. Il est d’usage de séparer les serpents à l’heure des repas pour éviter tout accident. Avec la nourriture vivante la femelle se montrait très excitée, et à quelques occasions, manqua sa proie et attrapa le male par erreur. Lorsque j'ai été en mesure de décrocher les mâchoires de la femelle et démêler leur corps, il était trop tard et le male souffrait de vilaines déchirures sur la peau. Il a bien guéri mais cela laissa des cicatrices inesthétiques. Cela a aussi eu pour conséquence que le male refusa la nourriture pour quelques semaines à chaque fois. Seul les oiseaux, en particulier les pigeons et les petites volailles était toujours accepté par le male. Il était inconstant dans ses prises de repas au cours des années et cela nécessita des compétences particulière de la part de l’éleveur pour faire face à cela. Souvent une tourterelle tigrine ( streptopelia chinensis ) devait être utilisé pour l’inciter à accepté ensuite un canard mort de 2 Kg. La femelle était moins tatillone, acceptant les lapins et à peu près toutes sortes de volailles. Etrangement les habituels rats de laboratoire ou les cochons d’inde n’étais jamais consommés. streptopelia chinensis: - Elevage: La determination des sexes s’effectue par sondage cloacal la sonde s’enfonçant jusque 7-10 écailles subcaudales pour les femelles et 15 écailles subcaudales chez les males. ( Barker&Barker 1994) Les premiers signes de maturité sexuelle, au moins en ce qui concerne les femelle, ont été au début de l’année 1983 quand les pythons avaient environ 10 ans. Il y avait un épaississement distinct au milieu du corps de la femelle. Un examen minutieux suggéra que la femelle était gravide, cependant à aucun moment un accouplement ne fut observé. En fait, le male était toujours enroulé aussi loin de la femelle que ne le permettait l’espace disponible du terrarium. Au fil des mois il devint évident que la ponte n’aurait jamais lieu. Si le serpent faisait une rétention pour une quelconque raison et qu’elle ne parvenait pas à les expulser, les futures chances de reproduction était nulles et même la vie de la femelle était en danger. Par chance j’avais entendu parler d’un vétérinaire à Brisbane, le Dr Peter Wilson, un homme qui avait par le passé effectués plusieurs opérations sur de nombreux serpents. Après l’avoir consulté il fut décidé d’effectuer une chirurgie exploratrice. Le Dr Wilsons’envola pour le nord du queensland et un vétérinaire locale lui mis a disposition son cabinet vétérinaire. Lors de cette procédure, qui fut probablement plus stressante pour l’éleveur que pour le serpent, nous avons vite constaté qu’il n’y avait aucune raison de s’inquiéter. Après que le python ait été anesthésier, la chirurgie exploratrice révéla un nombre d’oeufs non fertile, qui étaient déjà en cours de ré-absorption. Il y avait aussi une grosse grappe de folicules présents. Après cette procédure de routine la cavité fut refermé. La patiente fut traité avec 1 ml chloromycetin, et injecté deux fois par jour pendant cinq jours. Les points de suture internes furent auto-dissous et ceux externes furent ôtés après quelques jours. Après 6 semaines le serpent retrouva son mode d’alimentation normale. Ce n’est que lors de la première semaine de juillet 1986 que fut observé avec certitude le premier accouplement . Accouplement: Curieusement, le male et la femelle sont toujours rester dans différentes parties du terrarium.- En juillet les deux sujets furent observés restant tout le temps dans le bol d’eau. Ce qui en l’occurence était inhabituel. Après deux jours dans l’eau le couple fut observé restant encore ensemble avec leur corps fermement emmêlés. Cet accouplement a culminé lorsque j’ai visuellement vu l’insertion d’un hémipénis, qui était aisément reconnaissable. La copulation a durée plusieurs heures après quoi les protagonistes ont été séparés et déplacés loin l’un de l’autre. Après une période de repos de deux ou trois jours les accouplements purent reprendre. Durant cette période la vaporisation du terrarium et des serpents avec de l’eau était effectué régulièrement tous les après-midi. Je pense que les conditions humides ainsi que les pulvérisations ont agis comme stimulus. La femelle arrêta de se nourrir en aout, et durant septembre un épaississement progressif du milieu du corps devenait notable. Le dévellopement des oeufs était déjà bien amorcé. Les oeufs à l’intérieur du corps restait groupés pendant encore trois semaines. Lors de la première semaine d’octobre les oeufs ce sont répartis uniformément les uns derrière les autres , dans la direction du cloaque. La femelle avait maintenant moins l’apparence gravide. A ce moment là elle prenait la position habituelle d’une femelle gravide, c’est à dire le dernier tiers du corps complétement inversé ou se lovant sur le coté. Pendant de longues période le matin elle passait son temps se chauffant près des vita-lite en haut du terrarium. Je pense qu’il est intéressant de noter que la ponte et la mue juste avant celle-ci est survenue à quelques jours près à la même période chaque année. Par deux fois, les oeufs furent pondus le 6 novembre et une fois le 4 novembre. La mue s’effectua 24 jours avant la ponte. Environ 6-8 jours avant cette mue, le serpent sectionna un site pour ses oeufs. Ce fut à chaque fois au même endroit dans le terrarium en haut à gauche du niveau supérieur. De manière à lui fournir plus d’intimité j’avais placer une cachette sous une base, je l’avais placé sur le substrat d’écorces. En bougeant de façon circulaire, tous les copeaux étaient bientôt mis de coté et celle-ci restait sur le sol en panneau de bibre de ciment. Ponte: Le premier oeuf fut déposé le 4 novembre 1986. Les bons oeufs pesaient en moyenne 165 g et mesurait 116mm*50mm. Tous les oeufs mourrurent au bout de dix jours. Mon expérience me fait suggérer que morelia oenpelliensis ne se reproduit parfois que tous les deux ans. Une année j’ai noté des comportements amoureux suivies d’accouplements. Aucun oeuf ne ce dévelloppa cette année-là. L’année suivante aucun accouplement ne fut observé mais la femelle montra des signes de gravidité lors de la saison appropriée. Les oeufs furent pondus après la préparation habituelle le 6 novembre. Une rétention de sperme semble en avoir été la cause. Je n’étais pas présent lorsque les oeufs ont été pondus et la femelle était déjà enroulée autour de sa ponte avec une partie du corps en dessous de la ponte lorsque je suis rentré. La ponte était constituée de 9 oeufs en bonne santé et fertile et d’un «slug» ou infertile. Tous les oeufs étaient collés les uns aux autres et furent ôtés à la femelle puis placé en incubateur. Les oeus sains dégageait une forte odeur de moisi, cependant cela n’était pas désagréable. Incubation: L’incubateur etait un incubateur pour signe modifié. Un petit ventilateur électrique pour la distribution d’air plus un de secours couplé à un thermostat ont été ajoutés. La plupart des oeufs de reptile ont été incuber selon la technique du «no-substrat». J’ai trouver cela très satisfaisant depuis des années. Mon opinion intime est qu’un oeuf sain incuber avec cette méthode se dévellope toujours bien jusqu’à l’éclosion. Aucun soucis ne peut-être causé par un substrat trop sec ou trop humide. Si un oeuf meurt cela ne pourrait pas être due aux conditions environnementales. Avec la méthode du «no-substrat», les oeufs sont placés sur du sopalin au dessus d’un grillage à mailles en plastique ou acier inoxydable, qui sont suspendus 20-30mm au dessus d’un container d’eau en plasique. Cette boite en plastique est muni d’un couvercle hermétique en plastique transparent. Alors que j’ai trouvé inutile d’ouvrir les boites en cours d’incubation, à quelques occasions j’ai ouvert le couvercle brièvement et même changé le papier une ou deux fois sans effet négatif. Cette méthode permet d’obtenir une humidité de 100% à chaque instant. Les expérimentation ont montrées que les oeufs sains avec des embryons sains survivaient jusqu’à l’éclosion, même si les mauvais oeufs où se dépérissant n’étaient pas enlevés. Cela semble particulièrement vrai si le contenair reste fermé durant la totalité du temps d’incubation. Si tout se passe bien et que le ventilateur fonctionne correctement, il y a très peu voir pas du tout de condensation sur les parois ou le couvercle de la boite. Si à un moment un oeuf montre les signes typiques qu’il est mort, il est conseillé de le retiré. Il n’y a pas de problème si les oeufs sont récoltés séparément et ainsi placer dans la boite d’incubation. Si cela n’est pas possible et qu’ils sont en grappe, il est plus sage de laissé un oeuf mort, plutot que de risquer d’endommager les autres en essayant de les séparer. Ma température d’incubation est réglé sur 31°, cependant, au cours de l’année et malgré des perspectives d’élevages prometteuses les températures diurnes ont souvent dépassées 40°. Il n’y eu pas d’air conditionné dans la pièce à ce moment là. Différentes méthode de fortune pour rafraichir furent employées durant les journées critiques. Les températures atteignait 36°, m^me si cela ne durait que quelques heures, c’était inévitable. Il est supposé que ces températures furent léthales pour les deux-tiers des oeufs et qu’un autre produisit un jeune malformé. Le temps d’incubation fut de 100 jours. Naissances: Le poids à la naissances des deux nouveaux-nés sains fut de 80 g et 117 g respectivement, avec des longueur de 830 mm et 900 mm . La première mue intervint après 66 jours pour le plus petits spécimen et 75 jours pour le plus gros. Chacun avait gagné environ 200mm pendant ce temps., ce qui est interessant en considérant qu’aucune nourriture n’avait été acceptée préalablement avant cette première mue. Cinq jours après la mue les pinsons furent immédiatement acceptés. Les souris ou les petits rats ne furent pas consommé à moins qu’ils ne soient frottés sur des pates de moineaux ou de pinsons. Plus tard, les repas était constitués de jeunes pigeons. Les nouveaux-nés sont des serpents fragiles à la sortie de l’oeuf. Leur peau est de couleur brunâtre, presque translucide et extrèmement fin, de texture apparemment membraneuse. Aucun patron n’est visible avant la première mue. Conclusion: Morelia oenpelliensis est un python extrèmement interessant et peu connue. Maintenir ce serpent rare implique de nombreuses exigences spécifiques. Je me sens privilégié d’avoir eu l’opportunité d’étudier cette espèce. En raison de circonstances malheures ces serpents ne sont pas rester longtemps en ma possession. Depuis, le python d’oenpelli, comme tous les autres serpents du territoire du nord en australie, est devenue une espèce protégée ( annexe 8 de la conservation de controle et de la faune du territoire du nord d’australie, ordonnance de 1962-1975). Devenant une espèce protégé spécialement ( territory parks and wildlife conservation act, reglementation 1988, annexe 7, regelementtation 14) et sa conservation dans le futur semble assuré. Remerciement: Je voudrais remercié Malcolm Thompson pour avoir convertit mes notes manuscrites en anglais lisible ( note de moi: c’est vrai anglais facile à traduire). Egalement Brian Barnett et Simon Kortlang pour la relecture du manuscrit et les suggestions intéressantes. Mes anciens associés et partenaires Margit et Karin Cianelli rendant possible les etudes de cette espèce et la fourniture d’une aide précieuse pendant de nombreuse années. Cam Whiteing qui a commencé l’esquisse et Amy Andersson qui à tapé les diverses versions. `je voudrais aussi remercié le DR Peter Wilson pour son travail excellent et très professionnel dans son aide pour le traitement de mes pensionnaires.
  5. Ce fut un plaisir , la prochaine arrive tout à l'heure me reste 3 pages à traduire...
  6. D’après: Morelia kinghorni (stull,1933) Pyhon des buissons australien texte original: Brian Barnett Cette espèce est la plus grosse de serpent australien et est également connu sous les noms de python amethyste et python des rochers. J.R Kinghorn, un des premier herpetologiste australien, a mentionné ce serpent comme le python du nord du Queensland, liasis amethystinus kinghorni. Depuis ce jour il a été placé dans le genre morelia et est considéré comme séparé des espèces de Nouvelle-Guinée, morelia amethystina, les spécimens australien deviennent plus gros que ceux de Nouvelle-Guinée. Le python des buisson australien a un corps relativement mince avec la tête distincte et de gros yeux. Ils sont irisés avec de doux éclats ( en référence à l’améthyste) de coloration or à jaune-olive et jaune-marron avec des séries de latérale sombre, de bandes et de taches irrégulières. Le patron dorsal est plus distinct sur la partie antérieur et le dessous est crème ou blanc. Les plus jeunes animaux sont compréssés latéralement mais s’élargissent au fur et à mesure qu’il deviennent mature. Il a été reporté que cette espèce peut atteindre 7 M de long mais il est douteux qu’il existe des spécimens de plus de 6 mètres. Les serpents de 5 M ne sont pas rare. Le python des buissons se rencontre de townsville dans le nord-est du Queensland jusqu’aux îles de Torres Strait. On les aperçoit particulièrement dans les forêts tropicales humides, les forêts de moussons et les fourrés de vignes mais ils ont aussi été observés dans des forêts de sclerophyll sèche et les régions boisées. Ils s’abritent dans des troncs creux, des crevasses rocailleuses, des batiments abandonnés et en dessous des masses épaisses de végétations. Le python des buissons sont généralement nocturne mais sont parfois observés durant la journée, enroulé et digérant un gros repas. Les proies naturelles qui ont été répertoriées incluent des rats locaux, des bandicoot au long nez (Perameles nasuta ), de milan siffleur (Haliastur sphenurus) de chauve-souris frugivore, de porc des buissons,de marsupiaux ( Petaurus breviceps ), de guêpier arc-en-ciel (Merops ornatus), de wallaby et de trois espèces de kangourous. Ils apprécient aussi les poulets et sont capables d’entrer des les poulaillers. Les juvéniles mangent de petits mammifères et des oiseaux, ils sont plus arboricole et deviennent de plus en plus terrestre au fur et à mesure de leur croissance. peramales nasuta: haliastur sphenurus merops ornatus: Petaurus breviceps Durant la saison sèche, des accumulations principalement de vieux males ont été observées, pendant lesquelles des combats ainsi que des copulations ont été enregistrées. Les combats de males durant la saison des amours, incluent des combats qui engendrent des morsures qui souvent sont assez profondent pour exposer les muscles sous-jacent, les tendons ou les cotes. Les accouplements ont lieu entre juillet et septembre, environ 12 oeufs sont déposés en décembre ( Torr,2000). Les pythons des buissons se déplacent plus durant la saison humide. Une étude dans leur milieu naturel a montré des températures du corps diurnes des pythons actifs d’une moyenne de 25,2°, et était largement corrélées avec la température de l’air et du substrat. Les gros serpent était plus chaud que les petits, peut-être car ils reflétaient une variation des températures plus lentes. Le python des buissons est probablement en sécurité dans la nature, seul la destruction de son habitat semble pouvoir le menacer. Management captif: L’historique de ces serpents en captivité a quelque chose d’ assez contradictoire; lorsque celui-ci est comparé aux autres pythons australiens, principalement en raison de leur caractère. La plupart des pythons des buissons et cela indépendamment de leur taille mordent aisément leur propriétaire. Les serpents habitués dès leur plus jeune age peuvent être conditionnés pour être manipulés réguilèrement et il y a toujours un spécimen au comportement agréable. En raison de la taille « géante» qu’atteind cette espèce, sur le long terme son maintien nécessite des considérations spécifiques. Les plus petits spécimens ont une préférence pour des terrariums avec de grandes hauteurs, et des branchages pour une activité arboricole. Bien que considéré comme une espèce pas difficile à maintenir ils sont susceptibles de présenter des pathologies respiratoires si les température chute en dessous d’un niveau optimum. Les males de morelia kinghorni deviennent légèrement plus long et plus gros que les femelles. Elevage: La determination des sexes est effectué par sonfage cloacal celle-ci s’enfonçant jusqu’à 12-17 écailles subcaudales chez les males et 5 à 10 écailles subcaudales pour les femelles ( Barker & Barker 1994) Bien que j’ai élevé à de nombreuses occasions des pythons des buissons ce compte-rendu ce concentre sur un seul élevage en raison du grand nombre de données collectées et mené à terme avec la naissances des jeunes. Le male provenait d’une naissance et fut alimenté de manière négligé, il mesurait approximativement 2m45 de long. Il avait 7 ans. Il fut logé seul dans un terrarium conventionnel controlé à l’aide d’un thermostat selon les variation saisonnière. La méthode de chauffage était une simple ampoule infra-rouge. Les cycles d’eclairages journaliers étaient mis en route manuellement. La femelle étaient captive depuis longtemps mais ne provenait pas d’une éclosion. Elle mesurait 2m33 de long. Elle était loger comme le male avec une ampoule infra-rouge controlé avec un thermostat pour source de chaleur. Les deux thermostats étaient réglé sur 30°, mais les températures directement en dessous de l’ampoule était sensiblement plus élevé quand celle-ci était allumée. Préalablement à la réunion du couple, aucun changement de température ne fut effectué, ni même un abaissement de celle-ci. Le terrarium de la femelle fut choisis pour y introduire le male. Il mesurait 1m22 de long * 61cm de large et 76 cm de hauteur. Les seules fourniture à l’intérieur en plus du substrat de gravier était un gros rondin creux et un bol d’eau. Accouplement: Le male fut introduit chez la femelle le 5 juin et le thermostat fut abaissé de 30° à 22°. Ce qui eu pour résultat d’obtenir une température minimum de 22° mais pouvais montée durant les heures d’éclairage journalier car la température ambiante de la pièce fluctuait. Il y avait toujours un peu de doute quant à savoir si la femelle serait capable de porter ses oeufs en raison de sa taille assez mince, mais il fallait de toute façon tenter le coup. Ceux qui ont maintenu des pythons des buissons australien savent qu’un spécimen de 2m44 restera un serpent très mince. Ayant déja vu des oeufs «rabougris», je ne pouvais pas les imaginer portés par cette femelle en particulier. Tout en préparant cet article, je discutait avec quelques herpétologistes, Simon Kortland, porta à mon attention que le livre du professeur Rick Shine: «Australian Snakes- A Natural History 1991, dans lequel une liste de diagramme indiquant la taille minimum pour accoupler de nombreuses espèces incluant Morelia Kinghorni. Shine mentionnait une taille de 2m33 ce qui était exactement les mêmes mensurations que la mienne. Aucune activité sexuelle ne fut observé car les deux spécimens passaient la plupart de leur temps dans le rondin creux. Le 9 juillet, cinq semaines après l’abaissement des températures, celles-ci furent augmenté de 22° à 30° à l’aide du thermostat. Aucun rafraichissement nocturne ne fut appliqué. La femelle passait de longues périodes sur le haut du rondin qui devait être le point le plus chaud quand l’infra-rouge fonctionnait. Durant le mois de septembre il apparu que la femelle était gravide, mais en raison de sa taille et de sa relative minceur, les oeufs ne paraissaient pas normaux par rapport à ceux des autres pythons. Le serpent était «frippé» et les oeufs disposé de manière à faire penser à un chapelet de saucisses par rapport à la forme normal des pontes. Le male fut replacé dans son terra avant que la femelle n’effectue sa mue et replacé dans son terra. La femelle mua le 26 septembre, se qui s’avérera être 34 jour avant la ponte. Aucun des serpents n’a mangé pendant la période où ils étaient ensemble, le male fut nourri dès qu’il retourna dans son terra et la femelle peut de temps après la ponte. Ponte: Avant que la femelle ne dépose sa ponte, elle pouvait se positionné enroulé, le ventre en l’air dans la position habituelle lorsqu’un python est gravide. A ce moment là, le rondin creux fut oté et remplacé pour une courte durée par un carton de pack de bière ( pour facilité les observations). Il fut finallement remplacé par un grand tambour en plastique remplit de tourbe humide, il fut coucher sur le coté avec la moitié du couvercle coupé comme entrée. Pendant quelques semaines le serpent passait quelques moments dans la boite de ponte, mais se réchauffait générallement sous l’ampoule infra-rouge. Durant la dernière partie de la gestation, j’étais attentif car son corps était extrémement tendu. Le 30 octobre elle déposa 5 oeufs fertiles. Ils ne furent pas pondu dans la boite de ponte mais dans une cavité entre la boite et les murs du terrarium. Elle l'avait créé dans ce but une dépression peu profonde dans le substrat. Observant la femelle après la ponte, ( les oeufs avaient une apparence normal dès qu’ils avais été déposés), fut vraiment incroyable, car elle n’apparaissait pas différente. La femelle après la ponte fut pesé à 1Kg382. Dès que la ponte fut terminé, les 5 oeufs ( adhérant en grappe) furent retirés des anneaux de la femelle. Incubation: Comme ils furent pondus quelques heures plus tôt, la séparation des oeufs de la grappe ne fut pas compliqué Bien que les éleveurs inexpérimentés frissone probablement en voyant la texture ressemblant au parchemin des oeufs, ceux-ci étant progressivement séparés les uns des autres, de petits fragments reliant les oeufs se détache de la surface lisse de la coquille. La raison pour laquelle je les ait séparés et que je n’ai pas incuber la grappe, et qu’ainsi je pouvais les pesé. L’incubateur est le même que j’utilisais, avec de légère modifications, depuis plus de 20 ans. D’une grande simplicité, quoique de grands esprits en ont améliorer la conception sans obtenir de meilleurs resultats. L’incubateur est une boite en bois qui peut contenir 12 boites à pain. Six ampoules de 15W sont fixer sur le plafond, il y a une distance de 25 cm entre l’ampoule et le haut des boites. Cela fournit une chaleur plus uniforme qu’un système de chauffage plus rapide. La pièce d’élevage à des conditions de type tropicale la plupart du temps, ce qui signifie que dans l’incubateur il n’y a pas trop d’effort à faire pour atteindre la température désirée. Les ampoules sont controllé par un thermostat RAD.5 et à une tolérance de 2°. Le thermostat est réglé par rapport aux températures dans les boites, et non celle à l’intérieur de l’incubateur, car les boites à pains retiennent la chaleur plus longtemps que dans l’incubateurs lui même. Une sonde est placée dans l’une des boites et relié à un thermomètre visible de l’extérieur pour facilité les controles. Dans les boites, 150 g de vermiculite préparer et mélangé avec 150 ml d’eau sont disposés. Les 5 oeufs sont placés dans la boite et ceux-ci sont à moitié enterré. Le bas de chaque oeuf touchait presque le fond de la boite. La partie supérieur de la boite fut fermé et placé dans l’incubateur. La température dans l’incubateur ( où plutot les boites) varia de 29° à 31,5°. Les boites ont été choisis pour ne pas être totalement hermétiques, celle-ci perdait approximativement 8% d’humidité chaque semaine. Le couvercle fut ouvert quelques secondes une fois par semaines. La boite a été tourner et la condention enlevée sur la face avant la plus fraiche. L’oeuf le plus proche de celle-ci était devenu plus gros tandis que celui à l’extrémité avait légèrement diminué. Je n’étais pas certain des temps habituels d’incubation et les avis divergeaint beaucoup, mes préoccupations ont augmenté quand les oeufs commencèrent à ressembler à des ballons de rurby à moitiés dégonflés. Un petit ajout d’eau de 10-15 ml fut mis en dessous de l’oeuf n°5, ceci devait augmenter le poids des oeufs avant l’éclosion. Lorsque la première tête dépassa de la coquille, les oeufs furent mesurés et pesés. Les oeufs avait eu de minimes pertes, 4,7g (n°1) et 2,61g (n°2). Les trois autres oeufs avait pris du poids, deux eurent un gain minime de 1,2g (n°3) et 1,38g (n°4) tandis que le n°5, celui-ci ou l’eau fut ajouté pris 6,82g. En résumé pas de pertes ou de gains de poids d’une façon significative. La taille des oeufs fut seulement déterminé par l’eau perdu où ajouté. Naissances: Chaque serpent émergea de l’oeuf dans les 24 heures après qu’il l’ai fendu, où qu’il ait été fendu. Le premier quitta sa coquille le 23 janvier et le dernier le 25 après 85-87 jours d’incubation. Les oeufs 1 à 4 furent fendu par leur hote et mon impatience causa l’incision du numéro 5. Les nouveaux-nés sont généralement tout à fait placide avant leur premier repas et ne sont pas distinctivement marqués comme les adultes. Ils ont une couleur cuivrée uniforme. Chacun des jeunes serpents fut placés dans un terrarium de 30 cm. Le substrat était du gravier d’aquarium de granulométrie 8 nettoyé. Un petit bol d’eau et une petite boite servant de cachette était les seuls accessoires. Un couvercle en bois avec une aération en plastique de 8cm*4cm était inclus sur ces terrariums. Chaque coté fut peint, hormis la face avant, pour fournir plus de calme et de sécurité au bébés. Le chauffage était assuré par la chaleur de la pièce, la proximité des autres terrariums faisant varier celle-ci. La gamme de température était de 27° à 32°. Les juvéniles se virent proposés leur premier repas immédiatement après le première mue ( 12-13 jours). N°1 Refusa la nourriture proposée le premier jour, le deuxième, quatrième et huitième après sa mue. Les types de proies étaient de petites souris de plus de 7 g et des rosés de rat. Le 13ème jour après sa mue ( 26 jour après la ponte) ce serpent mangea deux souris de 5-7 g. Il se nourrissait régulièrement à partir de là. N°2 Refusa de se nourrir les jours 1,2 et 4 après la mue, mais accepta 3 souris le huitième jour ( 21 jours après sa naissance). Il était réticent devant la nourriture le mois suivant, acceptant quelques repas mais en refusant la plupart. Après cette période il s’est apaisé et acceptait aisément les souris. N°3 Refusa la nourriture les jours 1,2,4,8,13,18 et 21 après la mue. Les repas proposé était toujours des petites souris. Le 22ème jour il fut nourri de force avec une petite souris. Encore une fois il refusa de manger les jours 25,28,29,35 après la mue et le 36ème jour il fut à nouveau gavé avec trois petites souris, représentant un total d’un peu moins de 10 g. A partir de cette période il mangea volontairement, mais fut un peu récalcitrant pendant quelques mois. N°4 Refusa toutes nourritures, que ce soit des petites souris ou des rosés de rats. Pendant un temps considérable il fut nourris de force à de nombreuse reprise avant d’accepter volontairement de manger un rosé de rat, 80 jours après la mue et donc 93 jours après sa naissance. A partir de là il se calma et devint un bon mangeur acceptant les rats tout comme les souris N°5 Mangea seul dès le lendemain de sa mue. Ces premiers repas contribuaient finalement et manifestement à la différence entre leur tailles pour les années suivantes. Celui qui était bon mangeur eu une croissance plus rapide que les autres, d’autant que le programme de nourrissage était basé sur le « tout ce que tu peut manger», ce qui fit qu’il fut presque impossible pour les retardaires de le rattraper. Comme les serpents grossissaient il furent transfférré dans des terrarium plus grand. Il furent alors placés dans des terrariums thermostatés et chauffer avec des ampoules bleues de 40 W. Conclusion: Il n’y eu pas de problème majeur pour l’élevage des jeunes, à part de nombreuses morsures évitées de justesse en raison de leur enthousiasmes. Seulement un, le plus gros, était calme et non-agressif et pouvait être manipuler librement et sans retenue, ce qui ne doit pas être tenté avec un serpent de plus de 4m. Plus d’expérience fut acquises pour les portées suivantes et les problèmes rencontré avec les recalcitrants aux rats et souris fut éliminer en leur offrant de petits pinsons. Les jeunes serpents pouvait être sevrés des oiseaux pour passer à la souris ou au rat après quelques repas. Le projet fut écourté pour cause de problème de santé, cependant la plupart des informations a été obtenue. La croissance est extremement rapide et naturellement la plus rapide fut celle de ceux qui consommait le plus de nourriture. A l’age de 12 mois, un spécimen atteignait juste 2m10 de long. Le plus gros sujet à l’age de deux ans mesurait plus de 3m70, à la fin de l’enregistrement des taux de croissances au bout de 27 mois, le plus gros dépassait les 3m88. Les mesures occasionnelles qui furent prises après cette période, vers l’age de 3 ans, montra que le plus gros morelia kinghorni mesurait plus de 4m40.
  7. Merci, j'essaierais de mettre une vidéo de ma pièce d'élevage un de ces quatres en attendant: Voici le parc à tortue:
  8. En ce qui concerne les autres que j'ai pu observer plus de nouvelles, mais vu la température actuel, elles ne doivent pas sortir des masses.. Pendant que j'y suis, voici d'autre photo d'une autre espèce cette fois: Dans la semaine un ami a qui je vais devoir payer l'apéro...bref, il me dit que pas très loin de chez moi des riverains se plaigne de la présence de serpent :ange: J'appel donc cette dame et elle me dit qu'effectivement elle est embéter car elle en a peur, en attendant de pouvoir visiter son terrain je décide d'en inspecter ses abords, même pas 5 minutes de recherche que je tombe la dessus: En voila un bon début!! Je continue d'explorer les alentours, il y a un gros tas de gravas mais je ne vois rien, une maison abandonné, enfin à vendre, cela semble très prometteur mais je ne me permet pas de sauter le portail. Au passage je croise un voisin surpris de me voir coucher dans un fossé pour verifier à l'aide de ma lampe torche les canalisations, il me dit que lui aussi en voit souvent, qu'il les voit disparaitres comme par enchantement! Je me souvient alors que j'ai vu un trou qui semblait être un terrier de rongeurs et là, hoooo surprise: La tête à la taille de celle de ma gutt! La belle etant rentré dans son trou je passe de l'autre coté de la route et voit fuir une autre d'environ 70cm de la même especes Je décide de continuer la prospection, mais il est 16h et je pense qu'il fait trop chaud à ce moment là, avant de partir je retourne voir si je vois la grosse dans son trou, mais après 30 minutes allongé dans le fossé au bord de la route rien ( sauf les automobilistes qui me prennent pour un fou lol), un dernier petit coup d'oeil à proximité et que vois-je: J'ai tenter delicatement de l'attraper au crochet histoire d'avoir de plus jolis clichés, mais rater, elle s'est dissimuler , je me baisse jette un oeil et voit une tête sortir, pas de doute, c'en est une quatrième!!!! Tout cela en maxi deux heures!!! J'en connais un qui va planter sa toile de tente dans le coin!!!!! Ps: je suis dans la loire
  9. Et enfin après des mois d'attente et avec l'aide de mon beau-frère la voila de retour dans son terra, on voit mal sur cette photo mais la vitre est "coincée" entre des planches de 5cm d'épaisseur du coup à moins qu'elle soit plus douée qu'oudini je suis tranquil, j'avoue que c'est quand même vachement plus agréable à observer et voir evoluer dans les branchages... La preuve que c'est plus beau: L'inconvénient??? Arf un terra de libre....et je connais du monde...qui a de belles bêtes....
  10. Allez quelques photos encore avec mon filleul futur eleveur... Et puis avec ma vieille tronche...: En plus d'être doué niveau reptile connaissance genetique ect... à 11 ans super photographe, j'adore cette photo:
  11. Voila ou voir l'intégralité des photos......: http://web.me.com/chris42210/iguanechris/herping_et_expo/Entrées/2011/8/8_Ma_soeur_m’appelle_au_secours.html
  12. Effectivement, vipère... Vu la situation même pas la peine d'appeler les pompiers comme ma soeur le pensait, vu la longueur de la haie, faut déjà qu'il les trouvent... ensuite qu'ils les attrapent....ect... Bon bref, expliquons un peu après une journée bien pourris au boulot, je passe les détails mais j'ai eu envie de fracasser le chauffeur de taxi qui m'a fait perdre que 2 heures pour rien...ma soeur me laisse un sms, j'ai un essaim, étant allergique aux abeilles et guêpes je m'interroge, non non me dit elle serpent! A ce moment là je partait du boulot, paf v'la ti pas que j'appuie sur le champignon, ouf quand j'arrive toujours là... J'en vois une, pas de doute ou presque, j'ai pas vu la tête mais bon... pouarf assez enorme, mon filleul ( quantin avait prevu une pince qui sert normalement pour enlever les feuilles de plantes des aquariums, j'essaie de l'attraper mais la pince n'as pas assez de forces elle s'enfuit... J'y retourne 30 minutes plus tard, chouette elle est reviendu, cette fois je me suis fabriquer , enfin quentin a fabriquer avec mes conseils un crochet avec un ceintre en fer, bref cette fois elle ne m'echappe pas, ma soeur a pas d'apn, mais un camescope, manque de chance tout excité que j'etais j'ai pas penser de filmer la capture mais voici deja quelques photos en attendant celle prise avec les iphones: Un orage plus tard, je suis partie la relacher non loin de là mais néanmoins dans un coin ou il n'y a pas d'habitation et un ptit point d'eau, histoire de..., cette fois j'ai filmer tant bien que mal la scène, sauf que j'arrive pas à importer la vidéo sur mon mac, ma soeur me le fera si nécessaire...bref vivement que j'y retourne enlever leurs copines....car à l'instant mon filleul est retourné voir il y a encore du monde voila la vidéo [youtube] [/youtube] Je viens de raté la deuxième pouarf quel abruti va falloir attendre une plombe our qu'elle ressorte, enfin il je pense... Bon, petite explication: Après avoir capturer la première, je me rend ce matin à 8 h chez ma soeur, malheuresement je ne vois rien jusqu'a 11h,là j'en repère une je vois juste sa tête dépasser des herbes, impossible de l'attraper je me couche devant à environ 90cm, on se regarde dans le blanc des yeux pendant 45 minutes mais elle ne sort pasà midi heure à laquelle je suis censé partir au boulot je refait un dernier essai, et là bingo, en voila une, malheuresement étant seul, impossible de tout faire en même temps donc pas de vidéo de la capture, mais il a quand même fallu que je m'y reprenne à plusieurs fois avec mon crochet pour éviter que la vipère méchappe, après une petite minute de lutte...je parviens à la sortir du fossé et à la mettre dans l'exo-terra que j'avais spécialement prévu, car ceux-ci présente l'avantage d'avoir une ouverture par le dessus ce qui permet une fois l'animal sur le crochet de le déposé délicatement... Mais place au photos: Tout d'abord la haie dans laquelle elles se trouvent, comme pour les couleuvres que j'ai pu observer cet été elles semblent squatter des terriers de rongeurs ( de petit trou apparament très profond et qui communiquent entre eux de 3 à 5 cm de diamètre) Immédiatement après la capture: On ne voit pas souvent la coloration ventrale alors la voilà: Gros plan sur la tête: Voyez ce que cela donne par rapport à mes doigts sachant que la première était deux fois plus grosse: Une autre ou elle joue au cobra: Voila j'en ai d'autre si vous en voulez plus... A part ça avant de partir il était environ 18h30 j'en ai reperer une troisième, ce qui m'inquiete c'est sa taille...en effet je n'ai aucune idée de leur mensuration à la naissance mais celle-ci semblait extremement jeune, beaucoup plus clair, presque blanche, j'espère que ce n'est pas le fait d'une ponte ou mise bas ( j'avoue que je ne sais pas si elles sont ovipares ou pas ), mais si tel est le cas j'ai pas finis .... car comme je l'ai dit plus haut ma soeur à 4 gosses plus les animaux domestiques et sans compter les voisins... Bon le temps de monter les vidéos maintenant, j'essaie de poster celle ou on la relache avec quentin dans la soirée En espérant vous avoir fait plaisir...
  13. D’après: Morelia carinata ( smith, 1981) Python caréné Texte original: John Weigel Le python caréné est un serpent svelte avec la tête bien distincte du corps et la seule espèce de python connue avec possédant des écailles carénées. Ils atteignent une longueur d’environ 2m. Et seul un petit nombre de spécimens ont été répertoriés dans les forêts tropicales humides et les gorges de grès de la région de Kimberley au nord-ouest de l’Australie. Le corps est brun pâle avec des panachures grossières blanchâtres. Les lèvres et la surface ventrale sont crème et la queue est fortement préhensile. La nourriture naturelle de cet espèce est actuellement inconnue, mais contient probablement des mammifères, oiseaux ou reptiles. Considéré comme nocturne et majoritairement arboricole. La fonction inhabituelle des écailles carénées est inconnue. Ma première réaction, avant 1982, lorsque j’ai appris la découverte et la description scientifique de Morelia carinata a été un choc. En tant que jeune soigneur de reptile de l’Australia Reptile Park, je trouvais incroyablement excitant que ce genre de découverte puissent encore se produire. Six ans auparavant, Graëme Gow avait surpris le monde de l’herpétologie en décrivant le python d’oenpelli, Morelia oenpelliensis, et pour moi , l’impact cette fois était encore plus fort. Dès que j’ai pu, j’ai mis la main sur une photocopie de la publication descriptive du python caréné faites par Laurie Smith du muséum d’Australie occidentale. La description était basé sur un seul spécimen qui avait été collecté par le Dr Ron Johnston, chercheur au muséum, pendant une étude, en 1976, de la faune des chutes de Mitchell dans la région de Kimberley au nord ouest de l’Australie. chute Mitchell: J’étais intrigué que cinq années ce soit écoulées entre cette remarquable découverte et sa description. De nombreuses questions furent posées par cette brève mais alléchantes publication: Quel est le role de ces écailles carénées? Servent-elles à résister aux prédateurs tentant d’extraire un spécimen d’une étroite crevasse, comme c’est le cas de certaines espèces de scinques? Ou bien ont-elle un autre role? Est-ce que le spécimen type, de 2m de long, est un individu relativement petit ou grand? Nonobstant la problématique des écailles carénées, j’étais intrigué par les frappantes similitudes entre cette nouvelle espèce, représenté sur deux photos incluent dans la description, et le python vert ( Morelia viridis) une espèce brillament colorée confinée au forêt tropicale les plus au nord du queensland, des îles de nouvelle-guinée et celle adjacente à l’Indonésie. Il s’est passé deux décénnies avant que des chercheurs australiens et étranger puissent confirmer indépendamment l’étroite parenté entre ces deux espèces. S’appuyant sur des analyses techniques d’ADN, sur la peau de Morelia carinata fournit par l’Australian Reptil Park. Dans les années qui ont suivies, ma fascination pour le python caréné, mais aussi et plus largement la faune herpétologique endémique du Kimberley a grandit ...et grandit. Chaque année j’ai économiser mon maigre salaire de gardien de zoo pour explorer ces merveilleux lieux herpétologiques au moins une fois. Durant mes 18 périple ( à ce jour) pour le lointain nord-ouest, j’ai amassé des trésors d’expériences et de souvenirs très agréables. Ces voyages ont pris diverses tournures, certaines pouvant être décrit comme des explorations d’autre carrément comme des calamités. en se rémémorrant les nombreux défis et mésaventures, je peut-être heureux de ne pas m’être sérieusement blessé, voir pire. Lors de l’un de mes premiers voyages, 4 autres membres de la société australienne d’herpétologie m’ont accompagné. Une assez longue liste de reptiles et d’amphibiens fut rencontrés ( Shea, Weigel, et. al.1987) et un nombre important de sujet fut rapporté au muséum australien. Ceal incluait un spécimen nouveau de grenouille fouisseuse de la famille nostaden et un élapidé inconnu du genre pseudechis. Ces deux espèces ont finalement été décrites scientifiquement et le nom «peu flatteur» de weigeli a été donné à ces espèces. Sans aucune incitation ou piston de ma part... notaden weigeli pseudechis weigeli Ce site était à 60 km à l’ouest de la « localité type» près des chute Mitchell. Nos explorations ultérieures de forêts tropicales et des canyons proche du port requirent des planifier des solutions innovantes. Une combinaison de planeur ( ou hélicoptère), de canots pneumatiques, ainsi que beaucoup de randonnées pédestres ont été nécessaire pour explorer à fond les fourrés des forêts tropicales ainsi qu’une dizaine de criques et de rivières. Les premiers résultats furent obtenus dans une profonde gorge de la forêt en 1993, lorsqu’un collègue soigneur du Reptil Park, Trent Russel fit mieux que moi grace à son punch et trouva un jeune python caréné juvénile, qui devint immédiatement le premier spécimen à être photographier. Un an plus tard, quand Trent et moi refaisions notre parcours, ce fut à mon tour, un jeune sujet adulte, rencontré la nuit, était suspendu, apparemment à l’affût, à un petit arbuste. Après ses excitants résultats obtenus en 1993 et 1994, je fut encouragé par l’université herpétologique de Sidney et le professeur biologiste évolutionniste Richard Shine pour obtenir un permis de la Western Australian and Land Management Service ( CALM), pour collecter le groupe fondateur de python caréné de manière à étudier son maintien et sa reproduction en captivité. Après nombre de faux départs, le projet fut approuvé en 1998, et une nouvelle, et plus sérieuse approche pour trouver des pythons caréné commença immédiatement. Cela pris 3 ans, et 3 expéditions prolongées pour atteindre l’objectif de 5 spécimens fondateur requis pour pouvoir démarrer le programme; 3 males et 2 femelles. Comme d’habitude, nous avons effectué beaucoup de tentatives et de tribulations essuyant le pleine effet de la loi de Murphy ( adage qui dit que si quelque chose peut mal tourner cela arrivera infailliblement). Durant la première de ces 4 expéditions, 3 d’entre nous se retrouvèrent à passé les 2 premières semaines affamés et abandonnés sur une petite île au large du port, en attendant un ramassage préétabli par un bateau ( devant nous fournir nourriture, matériel de pêche et autre équipement indispensable), qui n’est jamais arrivé. Nous apprendrons bien plus tard que le navire, un bâtiment de mesure australien, avait été retardé dans le port de Darwin dans l’exercice de ses fonctions. C’est pourquoi nous sommes finalement rentré sur le continent en pagayant sur notre bateau pneumatique de secours de 2m de long, nous n’avons pas trouvé de serpent cette année là. Tout en rentrant chez nous avec notre apparence maigrelette et nos airs de barbus expérimenté sur notre bateau en caoutchouc parmi de gros et curieux crocodiles marin, nous avons planifié le voyage pour l’année suivante. En mai 1999, une équipe de 8, dont 6 du Reptil Park, arrivèrent par hélicoptère sur l’un des affluents de la rivière Hunter avec une motivation renouvellée. Mais après 9 longues journées et nuits à chercher, les chances de succès s’amenuisaient rapidement. Le manager du Reptil Australian Park, Rob Porter pris une pause déjeuner pour se remettre de ses efforts. Et pendant qu’il observait machinalement un petit oiseaux frétillant dans les feuillages au dessus de lui, il réussit à distinguer la queue d’un serpent perché immobile sur une branche couverte de lichen, confirmant les plus fous espoirs de Rob, tandis qu’il escaladait l’arbre, il fut confronté à la vue du spectaculaire python caréné. Il s’avéra être un mâle tout juste mature. Ainsi qu’un surplus de motivation pour que l’équipe reprenne les recherches. Avec des sensations positive retrouvées, nous sommes, tôt dans la soirée, tous partis dans différentes direction avec un but commun: trouvé une femelle morelia carinata. Heuresement, Alf Britten, un garde forestier de Nouvelle-Galle du Sud et ami de longue date ignorait mon opinion selon laquelle la mangrove et l’influence de l’eau salée serait un lieu non-propice pour n’importe quel python caréné. Son idée non-préconçu paya ce soir là. Au bout d’une heure il fut près de trébucher sur une femelle sub-adulte enroulé fermement sur le sol de boue sablonneuse humide à moins de deux mètres des plus proches arbres de la mangrove. La ténacité d’Alf signifait le démarrage du programme d’élevage. Un an plus tard 4 d’entre nous, repartirent au travail pour un autre mois d’efforts dédié à trouvé les 3 dernièrs pythons carénés requis. En plus des «suspect habituel», j’étais heureux de compter parmis nous le ranger du CALM Ben Tannock, et le Pr David Pearson un scientifique et chercheur au CALM basé à Perth. David est reconnu pour ses nombreuses études sur les pythons australien et bénéficie d’une réputaion de travailleur inlassable et éfficace. Pour maximiser les résultats scientifiques du voyage, Dave apporta une série de pièges d’Elliott, avec lesquels il pourra obtenir un échantillon de la faune nocturne dans les secteurs on nous travaillerons. De plus l’herpétologue et l’aventurier, documentariste-réalisateur Mark O’Shea nous accompagna durant la première moitié de l’expedition, ainsi que les 6 membres de son équipe de la BBC. L’équipe d’O’Shea emmena aussi un cuisinier et un docteur. Ce qui rendit l’expédition beaucoup plus «civilisé» que toutes celles que j’avais connues auparavant. Ces gens sont allé jusqu’à apporter des moyens de communication afin de garder le contact avec la civilisation, si quelque chose tournait mal. Piege d'Elliott: Comme toujours, trouver des serpents s’avéra être un véritable challenge. Après près de deux semaines d’efforts intensifs de la part de tous, membres de l’équipe de tournage inclus ( i.e plus de 1000h/ homme), le découragement se faisait sentir. Pendant la dernière soirée de la participation de l’équipe d’O’Shea, tandis que je marchais, face contre la paroi, tel un crabe, le long d’une falaise étroite, juste au dessus de la couronne d’un arbre typiquement chargé de vigne, j’ai rencontré une femelle python caréné de 1m60 de long absorbant la chaleur conservé par la face nord de la falaise. J’attrapais le serpent juste avant qu’elle ne se réfugie dans une crevasse. Lorsque je suis retourné au camp; une heure plus tard, Mark et son équipe étaient sagement assis autour du feu de camp avec de tristes têtes. Ils venait juste de tourner la scène finale de leur film, acceptant à contre-coeur le fait qu’aucun python caréné n’avait été trouvé lors de cette expédition, cela en dépit des efforts de tous le monde. Je plaçait le sac remuant sur ses genoux sans aucun commentaire, et au moment où il ouvrit le sac, un fameux échos retentit: Hourra. L’équipe de tournage ressortit rapidement son équipement pour retourner une fin plus joyeuse à la fin de l’histoire. Le matin suivant, Alf, avant la levé du jour, est allé relever les pièges au cas où un mammifère ait été capturé durant la nuit. Bien qu’il vit qu’aucun piège n’ait été activé. Ce que Alf rencontra durant sa ronde fut bien plus excitant, alors qu’il marchait dans un étroit couloir rocheux, il interrompit un python olive de 2m enserrant sa proie, un python caréné d’1m. Le pauvre une fois libéré, était un peu groggy, mais pouvait éventuellement récupéré l’intégralité de ses moyens. Ce mâle représentait un 4ème spécimen très appréciable pour notre programme d’élevage. Cinq jour plus tard, je découvrais un jeune mâle fougueux, le téméraire descendait au sol à partir d’un enchevêtrement de racines et de vignes en forme de vrille qui descendaient tel une cascade depuis le haut de la falaise 10m en surplomb. Avec la collection de 5 spécimens le programme de collecte pris fin comme un retentissant succès. Le prochain challenge était clair, l’élevage de morelia carinata. En 2004, après 17 expéditions sur le terrain du nord de la région de Kimberley en Australie Occidentale. Les membres de l’Australian Reptil Park ont réussi à localiser seulement 10 spécimens de l’insaisissable python caréné; Morelia carinata. Ces quelques intéractions ont fournis des aperçus aguichants du comportement naturel de cette intriguante espèce. Cependant, les observations en captivité vont révélées bien d’autre facettes du comportement du seul python au monde ayant des écailles carénées. Gestion captive: Les 5 spécimens capturés sauvage ( 3 mâles, 2 femelles), ont initialement été maintenus à mon domicile privé, en accord avec les autorités compétentes. Ces mesures furent prises pour des raisons de sécurité, et pour me permettre de dévouer suffisamment de temps au projet. Chaque serpent fut logé individuellement dans un terrarium intérieur de taille généreuse: 1m50*1m*1m20 de haut. Des branches positionnées horizontalement ( diamètre 50-80mm), pour servir de perchoir ou pour la grimpette. Une combinaison d’ampoule à incandescence, de lampe chauffante et de tapis chauffant fournissent lumière et chaleur. Dans la mesure du possible, un gradient thermique le long des branches ainsi que sur le sol fut établit d’un minimum de 24-26° à un maximum, au point chaud, de 34-36° duarant la période d’éclairage. Des boites en plastiques servant de cachettes positionnées au sol, et situées à un endroit relativement chaud (30-32°) ainsi qu’à un endroit plus frais (26-28°) dans chaque enclos. La photopériode est approximativement la même que localement ( Nouvelles Galles du Sud, Australie) est maintenue comme durée d’éclairage. Pendant la nuit, les températures varie selon les conditions climatiques extérieures. Durant les mois frais, la température à l’intérieur des terrariums plongent jusqu’à un minimum de 16°, tandis que les températures nocturnes durant les mois chaud atteignent souvent 26°. Chaque serpent récemment capturé semble accepter le confinement de son terrarium après une courte période d’exploration. La grande majorité des heures d’éclairage journalier, les serpents sont perchés sur les branches horizontales. Intéressant de noter que les sujets sont positionnés sur les branches de manière à maintenir une température corporelle entre d’étroite valeur (30-31°). La température du corps est déterminée en dirigeant un pistolet-thermomètre laser à infrarouge sur une portion de la peau du serpent qui n’est pas directement exposé à la lumière ou à une lampe chauffante. Curieusement les boites-cachettes sont rarement utilisées par les serpents, sauf durant la période de mue. La propention à rester percher presque continuellement sur des branches élevées suggère que morelia carinata est un proche parent de morelia viridis, le python vert. La période d’activité principale des pythons carénés dont je prend soins à lieu en début de soirée, commençant peu de temps après que les lumières des terrariums et de la pièce ne s’éteignent et continue pendant quelques heures. «L’activité» comprend les déplacements à l’interieur du terrarium, l’hydratation, la défécation, et plus générallement, l’adoption d’une position à l’affût où la tête et une petite proportion du corps est positionné vers le bas avec le corps placé d’une manière ondulatoire pour permettre d’anticiper une attaque en élançant celui-ci vers le bas, dans le cas ou une proie passerait par là. La coloration des pythons carénés peut changer de façon spectaculaire en une courte période de temps. Lorsqu’ils sont actifs, ils sont souvent d’une teinte très ombragée de couleur gris clair, quand d’autre fois leur peau est susceptible d’être globalement plus grise foncée ou brun-rougeâtre. Cette faculté à changer de couleur est connu chez quelques espèces de pythons, incluant le python d’oenpelli, morelia oenpelliensis. Même si je suppose que ce spectaculaire changement de coloration est une adaptation permettant aux pythons carénés de se confondre avec leur environnement proche ( par exemple: une branche d’arbre ou une corniche de grès), ce qui n’as pas encore été prouvé de manière formelle. Le patron panaché de tache sombre et de couleurs plus claires, les variations irrégulières de la coloration de la peau est commune chez les pythons, ce qui contribue à camoufler le sepent par rapport à diverses surfaces ou substrats. Cependant, aucun autre python ne montre l’habilité de morelia carinata pour se soustraire à la vue sur des branches d’arbres tropicaux à la fine texture, ou bien sur les corniches et les falaises de grès. D’ou l’avantage indéniable que procurent les écailles carénées. Selon moi, c’est l’explication la plus plausible de l’évolution de morelia carinata. L’un des challenges qui fut anticipé lors de ce projet fut de déterminer quelle nourriture serait acceptée par ces spécimens captif depuis peu. Considérant l’incroyable longueur des dents possédées par cette espèce. J’ai trop tôt émis l’hypothèse personnelle, selon laquelle les oiseaux était leur nourriture principale, si ce n’est la préférrée. Ces dents sont proportionnellement parmis les plus longues possédées par tous les autres serpents non-venimeux, et en tant que tel, pourrait offrir une meilleure pénétration à travers le plumage épais et ainsi empêcher la fuite d’une proie. J’avais plus tard émis l’hypothèse que l’abondance saisonnière de certaines espèces d’oiseaux, peut-être comme le carpophage argenté (ducula spilorrhoa) pourrait-être la meilleur explication pour savoir comment une population génétiquement durable de python caréné pouvait subsister dans une poche d’habitat si petite. Ducula spilorrhoa: Cependant, l’apathique réponse alimentaire de mes pensionnaires fondateurs à une variété d’espèces d’oiseaux qui leur furent présenté, fut le début de mes doutes à propos de la théorie des oiseaux. Les deux sujet initiaux, un couple de sub-adulte capturé en mai 1999, était frustrant car réticent à accepter le type de nourriture présenté: une gamme vaste de proies potentielles incluant: pigeon, poulet, souris, rat, colombe et caille leur furent présentées. Le voisinage avec l’association de sauvegarde de la faune fut d’une grande aide pour fournir des proies mortes ou congelées d’une variété d’animaux locaux, des souris-marsupial ( antechinus spp), divers oiseaux mais aussi des renards-volant ( pteropus spp) Antechinus spp: Pteropus spp: Mais ce fut avant qu’une souris sauteuse des spinifex ( notomys alexis) fussent présenté au premier mâle capturé, après plus de 3 mois de jeûne, une forte réponse alimentaire fut observée. Ce fut comme si un bouton « bouffe» avait été trouvé, et le même «bouton» marcha également bien avec la femelle, lorsque je lui présentait, 1 jour plus tard, une souris sauteuse des spnifex décongelée. Après une courte période ce couple acceptait les rats décongelés préalablement frotté sur la peau d’une souris des spinifex. Curieusement, un autre rongeur local, le rats des plaines ( pseudomys australis), n’engendra pas une réponse aussi forte de la part des serpents. Pseudomys australis: Notomys alexis: Après deux mois, même les rats de laboratoire « normaux» devenaient acceptables pour l’un et l’autre. Cette technique de sevrage sera très utile pour circonscrire le comportement alimentaire des sujets qui arrivèrent l’année suivante. Deux d’entre eux acceptèrent une souris des spinifex après 3 semaines suivant leur arrivée, refusant malgré tout d’accepter les rongeurs de laboratoire et différents oiseaux, et furent bientôt sevrés avec des rats de laboratoire. Le seul spécimen qui montra une résistance à l’astuce des souris de spinifex était le sub-adulte sauvé aux frontières de la mort provoqué par un python olive affamé. Ce python refusa de se nourrir pendant 4 mois et aujourd’hui reste très tatillon, n’acceptant que les petits rats noirs de laboratoire ( 50gr) fraîchement tués, ( non-décongelés)/ Sur les 5 serpents fondateurs, 3 déféquèrent entre 1 jour et 1 semaine après leur capture. Celles-ci comportaient une grande quantité de poils sombre de plusieurs centimètres, mais aucun signe de plumes. Chose intéressante, les contenu fécales contenaient aussi un nombre surprenant des propres dents du serpent ( + de 14). Qui furent probablement perdues car insérées dans la proie durant le processus de constriction. Même si tous les pythons ont un renouvellement régulier de leurs dents, cela semble très excessif. Un 4ème sujet, une femelle adulte, a régurgité un rat des rocher ( zyzomis woodwardi), un jour après sa capture. Les poils des rats des rochers semblent être identiques à ceux des déjection sus-mentionnées. Si la très longue taille des dents chez morelia carinata n’est pas une spécialisation pour permettre de sécuriser la prise d’une proie, quel role particulier leur donne un avantage? La valeur dissuasif qu’elles representent dans le comportement défensif de cettte espèce est indéniable, pour toute personne qui ignorant un avertissement à déjà été mordu peut en attester. Cependant le chercheur du CALM ,David Pearson, à suggéré une autre possibilité. Lorsqu’il accompagna l’équipe du Reptil Park lors de nos recherchent du python caréné en mai/juin 2000, David fit une extraordinaire obervation. Alors qu’il relachait un rats des rocher ( zyzomys woodwardi), d’un piège d’Elliott dont il s’occupait durant ce voyage, le chanceux rats se débrouilla pour se libérer de la pression des gants en cuir, en laissant derrière lui deux morceaux de fourrure, avec la peau comprise. Cette «mue» pris David au dépourvu, mais avait été observé chez d’autres espèces de zyzomys, connus pour être capable de regénérer les morceaux de fourrure perdus. David à suggéré la possibilité d’un processus de co-évolution consistant à l’allongement des dents des serpents pour contrer la capacité des rats à se séparer volontairement d’un morceau de leur fourrure. Quand un serpent aux dents plus courtes ne pourrait au final, qu’avoir la bouche pleine de poil du rats des rocher, alors qu’un python caréné, avec ses longues dents en forme de poignard sera plus facilement enclin à maitriser le repas convoité. Elevage: La détermination des sexes se fait par sondage cloacal, la sonde s’enfonçant jusqu’ à 3-4 écailles subcaudale chez la femelle contre 15 à 17 chez le mâle. Les sujets sondés mesuraient 1m50 de long ( M.G. Swan 2006). Le couple initial, un male et une femelle sub-adulte , ont été tous les deux capturé en mai 1995 et ont grandit rapidement dès qu’ils ont commencé à se nourrir. En juin 2000 les deux mesuraient plus d‘1m50, et avec l’espoir de fonder l’élevage, ils furent ensuite maintenus ensemble pendant des périodes étendues. Il fut anticipé que la saison des amours devait vraisemblablement durée du milieu à la fin de l’hiver, comme c’est le cas de nombreux serpents tropicaux en Australie. Accouplement: La plupart du mois de juillet, les deux serpent était souvent vu perchés à proximité immédiate l’un de l’autre. Mais aucun comportement de séduction ne fut observé. Néanmoins, début octoble, la femelle commença à montrer des signes de gravidité. Elle descendait régulièrement au sol du terrarium pour s’enrouler lâchement , souvent avec les 2/3 postérieur du corps à moitié ou entièrement retourné. Si elle était dérangée, elle se redressait sur le ventre rapidement. Une boite de ponte fut ajoutée, une simple boite avec un gros trou sur le coté, de la vermiculite fine et humide fut ajoutée sur une profondeur d’environ 5cm, ( la sphaigne aurait peut-être été une meilleur solution). Ponte: Le 31/10/2000, 24 jours après la mue, elle produisit 12 jolis oeufs et un « slug». Ses oeufs étaient assez petit, approximativement 30g chacun. Incubation: Ils ont été enlevé des anneaux de la mère et incuber artificiellement, dans l’installation voisine de l’éleveur très connu, John Montgomery. La pièce d’incubation de John était déjà en service. Déjà réglé pour maintenir une température assez constante de 31°(+/-0,2°). John comme un nombre croissant d’éleveur de reptile australien, utilise la technique d’incubation du «no medium», qui consiste à placer les oeufs dans un pot en plastique, suspendue sur une plate-forme en plastique perforée au dessus d’un petit bassin d’eau. Ce système produit des conditions d’humidité constamment proche de 100%; et a semblé fonctionner pour toutes les espèces avec laquelle il a été testé. Peter Krauss originaire du nord du Queensland depuis un certain nombre d’année maintenant, et il a pu annoncé un ratio de 100% de naissance sur les nombreuses pontes d’espèce de serpent et de lézard qu’il a régulièrement élevé. Naissances: Les 12 oeaufs de pythons carénés ont éclos 61-62 jours plus tard, durant la première semaine de janvier 2001. Les nouveaux-nés mesure approximativement 430mm de long ( longueur totale) et pèsent approximativement 17g. Les photographies de cet évenement, le tout premier pour cette espèce, apparue dans les journaux du monde entier. Conclusions: La femelle génitrice à produit une ponte similaire l’année suivante, tôt en novembre 2001, suivant les accouplements observés au début de la mi-aout. La seconde femelle issue du milieu sauvage, la seule qui apparut comme pleinement mature lors de sa capture ( en juin 2000), fut plus délicate à se reproduire que ne le fut la première. Même si les mâles lui ont été périodiquement présenté entre juillet et septembre 2000 et 2001, ce n’est pas avant fin juillet début aout 2002que les premières activité de reproduction ont été observées. Après ce modèle établit, elle produisit une ponte de 12 oeufs fin octobre de cet année là. Les accouplement de cette espèce ne présente guère de surprise, la chose la plus intéressente à noter pourrait bien être les aspects comportementaux qui ne semblent pas arriver. Bien que les femelles aient été introduit avec les 3 males en même temps, aucune indication de combat entre mal n’a été observé. Il n’y a pas eu de cas où l’introduction de plusieurs males, a donné lieu à une augmentation des pulsions sexuelles. De plus il n’y a pas eu de «chatouillement» de la femelle avec ses éperons pelviens sur aucun mâle, et il est intéressant de mentionner que ces appendices sont très petit chez les mâles de cette espèce, une particularité qui pourrait être unique parmis les pythons. Après avoir produit 5 pontes, le processus de logement et de suivis des juvéniles a évoulé de la manière suivante. Dès la naissance, chaque nouveaux-né était pesé, mesuré et sondé pour déterminé le sexe. Il était alors placé dans sa propre boite en plastique. J’ai utiliser plusieurs type de boite dans ce but, de différentes formes et tailles, j’en ai conlus que les dimensions ne sont pas très importante, aussi longtemps qu’ils s’accomode d’une petite cachette et d’un bol d’eau. Une fine branche servant de perchoir est profitable, et les individus affamés ont tendance à se percher à l’affût dessus la tête en direction du sol. Je n’ai pas essayer d’obtenir un gradient thermique pour les juvéniles, mais au lieu de cela, j’ai cherché à maintenir la température chaude et uniforme de la pièce. Cette pièce est sombre au coucher du soleil, et les lumières artificielles sont éteintent après le coucher du soleil. La première mue pour cette espèce intervient 7-10 jours après la naissance, et on observe une augmentation de l’activité nocturne des juvéniles qui commence 2-3 semaines après la naissance, l’alimentation devient alors le centre d’intéret. C’était devenu mon habitude que d’attendre l’augmentation de l’activité avant d’offrir le premier repas au juvéniles. Au moment du pic d’activité, quelques heures après le coucher du soleil ( approximativement 23h). J’utilisait une longue pince pour placer un rosé de rat lavé et décongelé dans chaque terrarium, après l’avoir secouer une fois devant le résident pour déclencher une mosure défensive. A l’aube, j’enlevais les tatons non consommés. Générallement, entre les deux tiers et la moitié des jeunes acceptait leur repas dès la première fois. La nuit suivante, je proposais une nourriture alternative au serpent qui avaient préalablement refusé, soit une caille d’un jour soit un rosé de rat décongelé frotter contre un caneton, ou sur la peau d’une grenouille des marais rayée (limnodynastes peronii). Générallement une moitié des serpents qui se voyait porposer ce second choix l’acceptaient. limnodynastes peronii: Après ces deux premieres vagues de nourrissage, il semble qu’il soit préférable si aucune nourriture n’est offerte aux petits, y compris ce qui n’ont pas mangé, pendant une quinzaine de jour. Après cela, tous se voit proposer un rosé de rat, et pour ceux qui ont refusé précédemment le même type de proie accepté deux semaines plus tôt, où si ils faisaient partis de ceux n’ayant pas encore manger un choix différent. Par exemple, s’ils ont refuser la caille d’un jour, il pouvait se voir proposer un rosé de rat frotté sur un canard ou alors une souris vieille de 3 à 4 jours. Dans tous les cas, tous les jeunes cèdent à leur faim et commencent à s’alimenter avant de perdre spectaculairement du poids. Ceux ayant des préférences alimentaires acceptent généralement les rongeur décongelé non-frotté après une demi-douzaine de repas qu’ils préféraient. Une fois que les serpenteaux ont commencé à se nourrir, je leur ai donné à manger chaque semaine jusqu’à la maturité, après quoi le nourrissage est devenu bi-mensuel. La propention des jeunes pythons caréné à accepter les cailles d’un jour et la nourriture frotté sur un canard ( et peut-être quelques autres oiseaux) est intéressant, considérant les difficultés que j’ai eu à provoquer une réponse alimentaire avec des oiseaux chez les adultes. Notons également, l’empressement apparent des bébés à accepter les grenouilles, ces proies engendrent la question de l’impact éventuel de l’arrivée du très venimeux crapaud géant (bufo marinus) peut avoir sur la population sauvage de morelia carinata. bufo marinus: La pièce intérieur d’exposition de l’Australian Reptil Park à été reconstruite fin 2000, à la suite d’un incendie dévastateur. Les nouvelles installations inclues la première exhibition de morelia carinata. Ce spacieux terrarium, est l’un des préféré du staff et du public, et reproduit une falaise de grès avec des feuillage tropicaux, de l’habitat des gorges du nord de Kimberley. Cela a été une priorité que de fournir aux autres zoo intéressé par le python caréné, et fin janvier 2006, un total de 24 spécimens à été largement dispersé dans 9 installations zoologiques australiennes, beaucoup d’entre eux expose maintenant l’espèce. Sept sujets furent offert au CALM d’australie occidentale de l’office régional de West Kimberley pour les inclurent dans leur nécessaire programme d’éducation. un nouveau groupe de 6 spécimens à été offert ( gratuitement également) à des zoos étrangés, qui attirent une foule importante. Un nombre limité de spécimen d’élevage ont été fournis à des éleveurs amateurs australiens. La plupart d’entre eux en échange d’autres pythons, contribuant à fonder un stock d’élevage plus important dans les centre d’élevage, ces installations consacrées à lélevage de ce python, possédé par Gavin Bedford et moi-même en association avec l’Australian Reptil Park. Le groupe fondateur original continu d’être maintenu au Reptil Park, alors que 7 serpent né en captivité ont été retenus pour continuer le programme d’élevage au centre d’élevage. Il a donc été prévu que d’autre morelia carinata seront fournis aux amateurs australiens dans un futur proche. Remerciement: Le Western Australian Departement of Conservation and Land Management ( CALM) qui à aidé l’Australian Reptil Park lors des travaux sur le python caréné ainsi que d’autres espèces pendant de grandes périodes. L’autorisation accordée pour collecter le groupe fondateur de python caréné à été grandement apprécié et reconnue. John Montgomery, Peter Krauss et Dave Barker qui a pris le temps lors de son voyage en australie en 1999, pour aider à construire les terrarium hébergeant le groupe fondateur ainsi qu’une aide pratique. Sans les encouragement de Rick Shine, Malcolm Douglas et Dave Pearson le projet ne serais jamais sortie de terre. Ce fut un grand frisson d’etudier ces incroyables serpents, et c’est maintenant très gratifiant de savoir que cette espèce «oubliée» est destinée à être mieux représentée ches les amateurs. En réflechissant au futur, un argument raisonnable peut être mis en avant pour la future capture d’animaux sauvages pour permettre un meilleur brassage génétique des populations captives, particulièrement quand l’impact du crapaud géant sera connue dans le nord de Kimberley
  14. D’après: liasis olivaceus barroni (smith 1981) Python olive de pilbara texte original: Dr. David Pearson Le serpent olive de pilbara est un grand serpent quoique mince qui se rencontre dans le pilbara et le nord de la région d’Ashburton au nord-ouest de l’australie occidentale. Il est également connu sous le nom commun de python des roches et python olive occidental. Le python olive de pilbara est séparé des populations tropicale du nord de liasis olivaceus par de vaste étendue de désert sableux ( Pearson 1993) Ce python est actuellement listé par la législation sur la faune de l’australie occidentale comme «faune rare ou proche de l’extinction» et comme vulnérable par le « commonwealth environment protection and biodiversity conservation act», 1999. Il n’as pas été inscrit comme un python qui peut-être gardé en captivité conformément listings des reptiles de compagnies de l’australie occidentale. Par conséquent, il n’est pas possible de le maintenir captif pour le grand public. D’après les connaissances de l’auteur, seulement un petit nombre sont, ou ont été élevé grace à une licence en australie occidentale. Un certain nombre sont élevé illégallement à travers les états et de récentes correspondances par mail provenant des USA, proclament qu’ils ont été reproduit captif là-bas. Le python olive de pilbara est bien connu des aborigènes du pilbara ( sous le nom de «bargumyji chez la tribu des Yindjibarndi et « palkunyji» ou «parkunarra» chez les Kurruma) et fut autrefois une source importante de nourriture. Dans leur esprit il est une figure importante expliquant la formation des rivières et des trous d’eau. Une légende Yindjibarndi dit comment bargumyji, tel un serpent venimeux, tenta de tendre une embuscade à un homme à l’esprit de mante religieuse. Une poursuite s’engagea le python s’élança et mordit dans une bulle fantome, après quoi l’homme à l’esprit de mante a maudit bargumyji de manière à ce qu’il ne voit plus la lumière du jour, il fut alors destiné à se dissimuler dans les plans d’eau pour attraper ses proies ( Cheedy 2001). La toute première observation d’un européen à propos de ce python, est selon les connaissances de l’auteur, l’observation d’Ernest Giles en mai 1876. Aux abords très proche de la rivière Ashburton, il nota à l’intention de l’un de ses compagnons: « tué très gros serpent; il faisait près de 9 pied de long, presque un pied de circonférence et pesait près de 50 kilos. C’est un parfait monstre d’Australie. Si n’ous n’avions pas eu de quoi manger il aurait été une aubaine.» Les rencontres entre les prospecteurs et les mineurs devait être commune durant les années suivant la révolution industriel, car les deux était inexorablement attiré par les cours d’eau et les étangs dispersés du pilbara.Cependant peu d’observation furent faites. L’ornithologiste, F. Lawson Whitlock, campa dans les environs d’Hamersley en 1922 pendant une période de 5 mois. Il décrivit comment un printemps il observa ce qui semblait être une roue de véhicule submergé. Une inspection plus minutieuse révéla que c’était un gros python olive enroulé au fond de lonc avec sa tête dépassant dans les joncs.Whitlock tua le python et: «trainé par la queue, il mesurait 11 pied. Des spécimens de plus de 18 pieds ont été vu, c’était donc un petit» Les spécimens de liasis olivaceux barroni sont arrivés au muséum d’Australie occidentale par petit nombre.Quatre furent noté sur les registres avant 1960; six de plus furent collectés dans les années 60; trois pendant les années 70 et 80; mais seulement un pendant les années 1990. Le peu d’acquisition du muséum n’est probablement pas un indice de leur abondance car l’éloignement de pilbara par rapport à Perth ainsi que la grande taille de ces serpents rendent leur collecte, leur préservation et leur transport difficile. La plupart des premiers sujets du muséum venaient de propriété pastoral ou des équipes d’explorations minières. Olive Cusack de la désormais abandonnée Tambrey Station collecta deux spécimens dans sa ferme. Elle se souvint de la rencontre d’un énorme python olive de pilbara à l’intérieur de son domicile attirré par la récente acquisition d’un nouveau chiot. Le python fut tué à coup de pelle et de hache et elle rapporta: « J’ai envoyé le cadavre ( plus de 16 pieds) dans du formol au muséum qui me remercia chaleuresement et serait enchanté si je leur envoyé un camarade!» En 1981, Laurie Smith du muséum d’Australie occidentale décrivit le python olive de pilbara en se basant sur 8 spécimens disponibles dans la collection du muséum. Il les distingua des populations nordique e liasis olivaceus olivaceus en se basant sur le plus petit nombre d’écaille sur le milieu du corps ( 58-63 contre 61-72) et par le plus grand nombre d’écailles ventrales (374-411 contre 355-377). L’holotype était un juvénile collecté à Tambrey en 1964 par Harry Butler. Le noms de la sous-espèce « barroni» fut donné en l’honneur de Greg Barron et en reconnaissance pour ses services à l’herpetologie d’Australie occidentale (Smith 1981). Plusieurs auteurs ont spéculé à propos de la longueur maximal que le python olive de pilbara pouvait atteindre. Mis à part les records historiques de Whitlock et Cusack mentionné ci-après, Serventry ( 1952) registration de deux pythons olive de pilbara ayant une longueur totale de 12 pieds et 12 pieds 1 pouce et pesant 19 et 20,5 livres respectivement. Shine (1991) rapporte qu’ils atteignent une taille de 6m50. Ce chiffre est basée sur l’estimation d’une photographie présentée une fois dans la cours du muséum d’Australie occidentale. Barker & Barker (1995) spéculèrent: « Ce python est potentiellement gigantesque...Une estimation raisonnable serait qu’un spécimen pourrait atteindre à sa taille maximale un poids supérieur à 40Kg, peut-être plus comme 50-60Kg.Alors que le python des buissons Morelia kinghorni, ist le plus lon serpent d’Australie, le python olive de pilbara est le plus gros» Peut-être que de plus gros liasis olivaceus barroni furent prélevés dans le passé, mais en se basant sur environ 140 capture que l’auteur et des collègues volontaires on effectué sur divers site dans le pilbara ( Pearson, non-publié), le plus gros mesurait 3m97 de longueur totale et pesait 13Kg. La majorité des adultes capturés mesuraient entre 3 et 4 mètres de longueur totale. Le python olive de pilbara est un serpent plutôt mince, reflétant ses apparentes préférences pour se retirer dans de fine crevasse ou caverne, et occasionellement une stratégie de chasse arboricole. Certaines proies ( comme les chauve-souris frugivores) sont attrapées dans la canopé des arbres ou des palmiers. Il n’est pas aussi lourd qu’un python tapis de taille similaire, il est apparait donc peu probable qu’il atteigne le poids suggéré par Barker & Barker (1995). La coloration du python olive de pilbara est variable. Les juveniles sont habituellement de couleur olive sur la surface dorsale avec le ventre d’un blanc ivoire pale. Cependant les adultes ont des couleurs très variable de l’olive au marron foncé et au brun-rouge bien marqué avec un ventre blanc ivoire pale à une couleur ressemblant à celle des buffles ( Barker & Barker1995; observations personelles).Les écailles ne sont pas particulièrement irisé excepté après une récente mue. La plupart des données écologiques énumérées ci-dessous ont été collectées pendant une étude radio-télémètrique qui n’a pas encore été publiée sur 25 pythons olives de pilbara provenant de 4 sites dans le pilbara ( Pearson, Sutherland,Burns,Burns,Kregor,Tutt,Mitchell,Fekete, et le club naturaliste de Nickol Bay, non-publié) entre 1996 et 2005. Sur chaque site, les serpents ont été implantés chirurgicalement avec des transmetteurs et des radio-émetteurs pendant des périodes de 4 mois à 4 ans. La majorité des travaux sur le terrain ont été effectué par des volontaires de la ville minière de Pannawonica, Tom Price, Karratha et Dampiers et les rangers du parc national de Millstream-chichester. Les données n’ont pas encore été totalement analysée; les observation préléminaires sont présentées ici. Durant la période ces recherches les serpents étaient capturés, pesés et mesurés et un nombre d’entre eux écraser sur les routes collectés pour une dissection ultérieur. De nouvelles données morphométriques, la disposition des écailles, leur diète et leur reproduction basé sur ces spécimen seront publiées prochainement ( Pearson et autresn en préparation) Le python olive de pilbara se rencontre aux alentours de la station de Yinnietharra dans le nord de la région d’Ashburton jusque près du port d’Hedland dans le pilbara. ils s’étendent aussi loin à l’est que Ragged Hills et des drainages de la rivière Oakover, et une population isolée occupe l’île Dolphin et l’ancienne île de Burrup, maintenant relié au continent par une route pour former la péninsule de Burrup. Ils semblent préférer les habitats rocheux, les gorges les environs des mines de fer ou les complexes de piles rocheuse en granophyre ou en gabbro. Ils se rencontrent également le long des rivière majeure tel que la rivière Fortescue où ils s’abritent sous les racines de paperback dans la végétation épaisse ou les débris flottant, et utilise les habitats rocheux à certaine période de l’année. paperbarks: Les récentes études de radio-télémétrie dans les gorges le long de la rivière Robe près de Pannawonica ( Pearson et Sutherland, non-publiés) indique que liasis olivaceus barroni préfére passer les mois les plus frais caché dans des cavernes ou des crevasses loin des rivières et devenant ainsi sédentaire, ils émergent occasionellement seulement le matin pour se réchauffer. Durant les mois les plus chaud ils sont beaucoup plus actif et s’abritent dans des sites tel que des cavernes, en dessous des débris d’inondation dans le lit des rivières dans les creux des arbres ( parfois à des hauteurs de 5 mètres) , dans les tas de pierre d’excavation minière ainsi que dans les enrochement des voies de chemin de fer. Durant les inondations occasionels causées par les cyclones, ils se retirent dans les cavernes hors de portée de la montée des eaux. L’activité et les lieux d’habitats utilisés étaient similaires à ceux d’autres études. Une période ou une inactivité relative pendant les mois d’hiver étaient cohérente à travers les différents sites, cependant peut de données sont disponibles concernant les juvéniles en raison des contraintes liés à l’implantation des transmetteurs sur ceux-ci. Dans la ville de Tom Price, ils utilisent les vastes étangs former par les systèmes d’égouts de la périphérie de la ville, se cachant dans l’eau pour capturer le gibier d’eau. A certaine période ils errent loin de la protection des points d’eau s’abritant dans les nombreuses cavernes. ( Pearson, Burns & Burns, non-publiés). A Millstream, les marécages alimentés le printemps s’écoule dans la rivière Fortescue, la radio-télémetrie montre que les pythons olive de pilbara passent les mois les plus chaud à chasser le long des cours d’eau se cachant dans de petits affleurement rocheux, dans les débris charrier par l’eau et en dessous des dattiers introduit par l’homme. Les chauves-souris frugivores se nourissant dans les dattiers sont capturer lorsqu’elles grimpe sur les palmiers de jour ou de nuit. Des pythons ont été vue tombant de plusieurs mètres sur le sol lors de la constriction des chauves-souris. D’autre fois ils sont submergés ou cachés dans de denses roseaux pour capturer de juvéniles macropus robustus où des oiseaux venus boire ( Pearson et Kregor, non-publié). Rivière Fortescue: macropus robustus: Sur la péninsule de Burrup, les pythons vive dans de profondes crevasses ou les éboulis de gabbro où de granophyre. Cherchant leur nourriture le lon de petits ruisseaux saisonnier courant sur les affleurements rocheux. Sur cette aire, ils sembles se nourrir principalement de petit kangourous et de pigeons ( Pearson, Tutt, Mitchell, Fekete et le club naturaliste de Nickol Bay, non-publié). Le régime alimentaire des juvéniles n’est pas bien connu bien que les nouveaux-nés à Tom Price sont souvent trouver dans des volières après en avoir consommé les occupants générallement des pinsons ou des perruches. Les adultes ont été observés se nourrissant de grands variété d’espèces incluant des chauve-souris frugivores, de petits kangourou, de cacatohès de canards de colombes plumifères et de petrogale de rothschild. Ils se nourrissent probablement aussi d’autres mammifères présent dans leur environnement tel que le chat marsupial du nord ou de rats à grosse queue. Mais aussi d’autres reptiles. Les juvéniles mange probablement des grenouilles petrogale de rothschild: colombe plumifère chat marsupial du nord rat à grosse queue L’eau attire les proies dans la région chaude et sec du pilbara, ce qui explique purquoi ces pythons sont souvent observés chassant à l’affut à proximité ou dans l’eau. Lorsqu’ils sont à l’affut hors de l’eau, ils sont fermement enroulés, parfois avec la queue enveloppé autour d’un arbuste à la manière d’une ancre la tête et le coup en position de S. La tête légérement surélevé pour que les yeux et les fosses thermosensibles puissent détecter des proies à travers les herbes et les rochers. La saison des amours, dont les accouplements ont lieu durant les mois les plus frais de juin à aout. Les males quittent leur lieu de vie habituels et se déplace sur de considérable distance ( plus de 3 km) pour localiser les femelles, probablement guidés par les traces de phéromones. Les couples pour s’accoupler se retirent dans de petites cavernes et peuvent y rester plusieurs semaines. Ils sortent se réchauffer chaque jour et s’accouplent probablement plus d’une fois. Il n’y a que peu d’observations de couples s’accouplant, on ne sait donc pas si les femelles s’accouplent avec plus d’un male. Les males retourne ensuite dans leur lieu habituel, laissant les femelles pondre aux alentours d’octobre. Seulement trois site de pontes ont été localisés durant les travaux de radio-télémétrie que les femelles pondent de façon irrégulière, peut-être seulement tous les 4 à 5 ans selon leur conditions de santé. Un site de ponte près de Pannawonica fut localisé à 200m de la rivière, sur un éperon rocheux sec. La femelle ne put être localisée durant plusieurs semaines, ayant voyager hors de son lieu habituel. Elle fut relocalisé juste avant la ponte et à ce moment là elle maintenait une température constante haute ( 31°-33°). lorsqu’elle fut de nouveau aperçu elle était très amaigrie, ce qui suggéra qu’elle avait incuber ses oeufs. Le site de ponte ne put être examiné car il fut pondu sous un bloc de roche énorme pesant plusieurs tonnes. L’orientation sud-ouest de ce bloc et qui ne surplombait pas la végétation suggère que ce site restait assez chaud pour que la femelle ne soit pas obliger de réchauffer la température de leurs oeufs. De plus ce rocher était si énorme qu’il évitait que la température ne varie trop ce qui pourrait mettre en danger ses oeufs. Un autre site de nidification fut localisé dans le park national de Millstream-Chichester. Encore une fois la femelle avait quitter ses lieux habituels et s’était éloigner de l’eau. Le nid était situé en dessous d’un énorme bloc de mudstone qui ne put être déplacé pour inspection. Malheuresement à cet époque des caméras télécommabdés n’était pas disponibles pour inspecter le nid. Les oeufs furent probablement pondu fin décembre début janvier en se basant sur la taille des nouveaux nés de Tom Price à cet époque. Ils mesuraient environ 840mm de longueurs et pesaient à peu près 55 gr. Les techniques de chasses et les sites où les juvéniles s’abritent de ses petits serpents sont inconnus. Une jeune suivie à la radio-télémétrie a passé la plupart de son temps dissimulé dans de grandes herbes ou des roseaux à coté d’un ruisseau saisonnier essayant peut-être de se nourrir de grenouille. La détermination des sexes chez liasis olivaceus parroni peut être aisément déterminé à l’aide d’une sonde droite et bien lubrifié qui pénètre jusque 2 à 5 écailles subcaudales chez les femelles contre 10 à 18 chez les males. Les individus capturés pour les soigner à la suite de blessure furent nourris en laboratoire avec des rats et des oiseaux victimes de la circulation routière ( cacatoès, engoulevent) ou de bandicoots. Les soins en captivité sont probablement proches de ceux de la sous-espèce du nord (liasis olivaceus olivaceus). Le python olive de pilbara apparait comme étant relativement commum sur son aire de répartition. Les menaces pour sa conservation incluent la raréfaction de ces proies ( wallaby des rocher et chat marsupial ) sur les cotes du pilbara ( péninsule de Burrup) ou les renards sont présent. La destruction de son habitat est lié aux mines de fer et aux infracstructures tel que les lignes de chemin de fer et les installations portuaires et ont un impact significatif. L’augmentation de la circulation automobile associé a l’agrandissement des villes et au tourisme mène à l’augmentation des pythons tuer sur les routes mais cela semble localisé et ne semble pas une menace sérieuse.
  15. D’après: Liasis olivaceus olivaceus ( Gray 1842) Python olive Texte original: Neil Sonnemann Le python olive est un serpent très grand, avec un corps relativement fin et la tête légèrement distincte du corps. Il peut atteindre 4m50. Deux sous-espèces sont couramment reconnues. Liasis olivaceus olivaceus se rencontre au nord de l’australie dans la region de Kimberley, tout au nord du territoire du nord et à l’ouest de la peninsule de cap york et dans le sud du queensland. Le python olive de pilbara liasis olivaceux barronii est restreint au gorges et aux escarpements des regions de pilbara et de gascoyne en australie occidentale.Il se distingue de liasis olivaceus olivaceuscar il a moins de rangées d’écailles au milieu du corps ( 58 à 63 contre 61 à 72) plus d’écaille ventrales ( 374 à 411 contre 355 à 377), Smith (1981) Le python olive à une coloration dorsale brillante sans patron particulier et de couleur olive ou marron-jaunâtre. Les lèvres et la gorge sont blanche ou crème avec une couleur ventrale similaire, cependant les sub-caudales sont légèrement plus foncées. Male et feelles possèdent de petits éperons cloacaux, ceux de la femelle sont particulièrement petits. Le python olive est terrestre et généralement rencontré dans les environnements rocheux secs, où il se cache dans les crevasses profondes, les cavernes, les terriers abandonnés et dans le creux des arbres. Il est parfois observé se chauffant la journée près des cours d’eau mais est majoritairement nocturne, il traverse régulièrement les routes lors des soirées chaudes. Leur proies sont des wallaby, des oiseaux et d’autre reptiles. Les juvéniles quant à eux se nourrisse majoritairement de lézard. Les males se battent pendant la saison de reproduction en juin, juille et aout. Environ 16 gros oeufs sont pondu en septembre-novembre. Les naissances ont lieu en janvier-fevrier. Management captif: Ce compte rendu présente les données de 12 pontes de liasis olivaceus olivaceus maintenus captifs dans le nord de victoria, australie entre 1989 et 1997. Les pythons de cet élevage était originaire de la région de Kimberley en australie occidentale ou sont leur descendants. La femelle originaire de la region de kimberley ne c’est pas reproduit. Etant de grande taille et terrestre ces pythons ont besoin de grandes installations. Les adultes sont logés au niveau du sol dans des structures en bois mesurant 2 m de long, 1 m de large et 1 m de haut. Les sub-adultes peuvent être élevés dans des enclos de 1 m de long, 80 cm de large et 60 cm de haut. Les juvéniles survivent dans de petits terrariums de 60 cm de long, 40 cm de large et 30 cm de haut pendant plusieurs mois, avant d’être trop à l’étroit. Le substrat est constitué de roche écrasé blanche de 7 mm utilisé pour la construction de route. Celui-ci est nettoyé dans une bétonnière pour éliminer particules et poussières puis séché. Une profondeur de 75 mm est placé dans chaque enclos. Plusieurs systèmes de chauffages ont été utilisés suivant les années, de spot chauffant avec un cable dans le substrat à des chauffages sous le sol. Tous les spécimens sont logés dans une pièce chauffer construite spécialement. Pendant la majeur partie de l’année les température de l’air dans la pièce sont aux alentours de 30°, avec des températures nocturnes descendant vers 20°, en hiver. Des chauffages supplémentaires pendant la journée sont utilisé par l’intermédiaire de spot et de cable chauffant. Pendant la journée les température du point chaud sont maintenue au dessus de 30°, avec une gamme de 30° à 40°. La température la plus basse enregistré durant l’hiver fut de 17°. La température du substrat fut plus basse à cette occasion, la température de la roche écrasée étant de 12°-15°. Le chauffage pendant la journée à toujours été en route, mais les femelles opte parfois pour hiverner durant l’hiver se réchauffant uniquement après les accouplements, quand les oeufs se dévelloppe. Quelques uns des meilleurs résultats furent obtenus dans les terrariums les plus frais. Cependant il y à un risque inhérent à ces températures pour la santé des serpents, notamment des pneumonies. La durée du temps de chauffage varie en fonction des saisons. D’un minimum de 8-9 heures en hiver jusqu’à 14 heures en été. Aucun chauffage n’est utilisé la nuit, la température des terrariums rejoignant la température ambiante de la pièce. Les pythons olive se réchauffe la journée et se lovent dans leur cachette la nuit pendant l’hiver pour conserver leur chaleur. Les températures sont cyclées pendant l’année pour provoquer les acccouplements des pythons. Au printemps et en été elles sont maintenues dans une gamme relativement étroite. Quand la saison des amours débute à l’automne, elles sont changées graduellement avec les plus basses en hiver, durant les mois de juin et juillet. Les hautes températures journalière sont accrues pour compenser la diminution des températures nocturnes et la diminution du temps d’éclairement. Les fenêtres de la pièce fournissent une photopériode naturelle pour le nord de victoria, australie. Les fournitures des enclos sont composées de gravier pour le substrat, d’un bol d’eau et d’une cachette construite en contreplaqué de taille adapté pour que le serpent se sente en sécurité. Des branchages ont été inclues dans chaque enclos pendant un moment mais n’était pas utilisé souvent par les pythons et ont été finalement enlevées. DEs troncs creux ont été utilisés mais ce sont avérés non satisfaisant lorsqu’il fallait pour une raison où une autre examiner un spécimen, il devenait très difficile de l’en déloger sans occasionner des blessures aux écailles. Les spécimens sont logés individuellement hormis pour la courte période des accouplement en hiver. Les loger individuellement facilite la distribution des repas et la maintenance. C’est une espèce assez placide, la plupart des sujets étant facile à saisir et à manipuler. Il y a aussi quelques serpents irritables et les plus gros peuvent être difficile à saisir et à maintenir. Le python olive tend à avoir un temperamment docile, ne mordant que s’il est particulièrement agité. Le comportement défensif consistant à s’élever passivement devant l’intrus, cependant il peuvent mordre pour se defendre, mais l’évite autant que faire ce peut. Les morsures dut à une réponse alimentaire excessive sont un problème différent et généralement douloureuses. Certains individus peuvent devenir comme fou lors des repas ils effectue une constriction sur tout ce qui les touche. La cause de ce comportement est inconnue. Nourrir ces serpents à intervalle régulier en opposition à des repas pris à horaire intermittent n’as pas corrigé le problème. L’éleveur doit être attentif aux spécimens ayant ce comportement et les manipuler en conséquence. J’ai un python olive dépassant les 3 mètres qui m’as mordu, il s’est enroulé autour de mon bras puis de l’autre. Cela peut-être très difficile de l’enlever. Faire couler de l’eau froide sur son corps ou dans sa gueule peut lui faire relacher son emprise. Aucune blessure sérieuse n’en resultat, mais les morsures des gros spécimens peuvent vous rendre plus prudent pour le futur. Les juvéniles ont habituellement un comportement défensif et sont mordeur, mais cela se calme une fois qu’ils se nourrissent régulièrement durant la première année. Les adultes sont nourris de rats de laboratoire et de lapin sauvage. Les proies sont fraichement tuées ou décongelées. La nourriture est généralement présenté à la pince, ce qui permet l’attaque puis la constriction de la proie. Certains spécimens prennent la nourriture directement sur le sol du terrarium. Certains pythons olive peuvent être méticuleux dévellopant une préférence pour un type unique de proie et dédaignant les autres. Dans la nature les proies sont constituées de 48% de mammifère, 26% de reptiles et 26% d’oiseaux ( Shine 1991). Quelques jeunes ont commencés à se nourrir d’oiseaux comme des étourneaux où des moineaux et refusait les rongeurs. L’astuce consistant à frotter les rongeurs sur des plumes à fonctionné un moment jusqu’à ce qu’ils refusent tous les rongeurs. Ces individus ont été élevés avec des oiseaux exclusivement, mais il est difficile d’obtenir suffisamment d’oiseaux et ceux-ci ne grandissaient pas aussi vite que ceux se nourrissant de mammifères. Il y a aussi à prendre en considération que les oiseaux peuvent transmettre des maladies. Une autre astuce pour nourrir les gros spécimens qui avaient une préférence pour les souris, les rats où les oiseaux. Cela consiste à frotter la proie morte sur le front d’un gros lapin mort. A l’aide de ficelle de cuisine la patte arrière de la proie préféré du serpent est fixer à l’aide d’une aiguille sur la tête d’un lapin mort. Présenté tel quel, le serpent voulant manger la patte de sa proie préférré finit par avaler aussi le lapin. Les spécimens difficiles peuvent aussi se voir présenter des rats attachés entre eux de manière à donner l’impression d’un repas plus consistant. La fréquence des repas varie pendant l’année. Les serpents cessant de se nourrir pendant le mois d’avril et recommençant au printemps. Les femelles gravides refuse la nourriture jusqu’à la ponte. Les juvéniles se nourrissent tout l’année si ils sont maintenus au chaud. Les adultes sont nourris à volonté le printemps, l’été et l’automne jusqu’à ce qu’ils cessent de manger en hiver. Les gros adultes consomment 6 à 8 rats adultes où un gros lapin par repas. Deux à trois repas sont suivies d’une mue. Les males adultes peuvent être nourris de 8 à 10 lapin pendant l’année. Les femelles reproductrices demandent des repas plus nombreux, environ 15 lapins par an. Les femelles non-reproductrices ont tendance à devenir très grosses et obèses, grossissant jusqu’à plus de 4 m pour 21 kg. La quantité de nourriture peut être réduit pour ce genre de cas. Les femelles reproductrices sont souvent de tailles intermédiaires utilisant leurs ressources pour la production des oeufs plutot que pour la croissance. A la fin de l’été les femelles reproductrices ont refaient les réserves perdues durant la conception des oeufs. De l’huile de mutton-bird à été utilisé comme supplément sans ajouts d’autres vitamines où mineraux. Sexage: La détermination des sexes se fait par sondage la sonde s’enfonçant jusqu’à la 11-16 écailles sub-caudales chez les males contre 3 à 6 chez les femelles. Les juvéniles sont difficles à sexer, à plusieurs occasions le sondage donna des résultats douteux, cela devient plus facile à mesure qu’ils grandissent après quelques mois. Le sexe des adultes peut aussi être déterminer visuellement par la forme de la queue et la présence d’éperons plus gros chez les males. Accouplements: La saison des accouplements commence en mai et s’étend jusqu’à mi-juillet où l’activité diminue. Il à une fenêtre pendant laquelle il y a une opportunité ou les deux sexes sont assez vif pour s’accoupler. Les dates clefs que j’ai utlisés pour l’introduction sont le 30 mai, le 6 juin et les 21 et 22 ( solsctice d’hiver). La plupart des accouplements ayant engendrer des pontes ont eu lieu durant cette période. Le male est toujours introduit dans le terrarium de la femelle, il la localise et la courtise sans délai. Si le couple est compatible les accouplements ont lieu durant les deux premiers jours suivant l’introduction du male. Souvent le male ne montre aucun intérêt ceci étant surement du au fait que la femelle n’est pas réceptive. Le male peut être trop jeune, ou d’autres facteurs hors du controle de l’éleveur peuvent être en cause. Parfois les accouplements réussi ne sont pas suivis par la ponte de la femelle. Ce serpent est assez frustrant à cause de cela. Les combats entre males ont été utilisés pour provoquer les accouplements dans le cas où le male serait désinteréssé, mais cela n’est pas essentiel. Les males les plus vieux peuvent s’accoupler sans avoir recours à un rival. Dans le cas ou ces combats sont nécessaire il faut surveiller avec attention car l’un où les deux males peut être bléssé voir tué. Dès leur mise en commen les males se pousse l’un l’autre dans le terrarium et le male le plus gros où dominant commence à faire une constriction sur l’autre. Si ils ne sont pas séparés à ce stade il peut en résulter la mort d’un des individus. Cela peut être une opération délicate du faite de la taille et de l’agressivité de ceux-ci. Les combats entre males ne sont pas forcément nécessaire mais peuvent être une solution avec de grandes précautions si aucune autre solution n’a fonctionné. Un male mesurant autour de 3 m et pesant 12 kg mourru d’un abscès dentaire après s’^tre battu avec un male de plus petit gabarit. Ce male a été maintenu en captivité pendant 15 ans ( Bob Whitey, pers. comm.) Les deux sexes ont une mue de pré-saison après avoir jeûné un certain temps en automne. Ils sont présentés après cette mue. Les males sont laissés avec les femelles pour environ une semaine, retiré une semaine ils sont à nouveau mis ensemble pour la même durée. Si les males sont présentés à plusieurs femelles cela peut devenir problématique du fait qu’il détectent la présence d’un concurrent. Ce qui peut engendrer un combat avec la femelle plutot que des accouplements. Des blessures ont été faites à quelques femelles à cause de cela. Ce qui à engendrer des ecchymoses, des morsures et des griffures par les éperons des males. Un male qui fut retiré après s’être battue avec une femelle était tellement énervé qu’il se morda lui même la queue. Si un couple est compatible il est préférable de les unir chaque année. Les résultats étant meilleurs que si l’on effectuait une rotation entre les différents males. Parfois une saison n’engendre pas de reproduction alors que d’autres années ont prodduits deux ou trois pontes. Ceci est peut-être due à des facteurs climatiques comme une année plus fraiche que les autres, cependant la raison à cela ne soit pas connue. La majorité des accouplement ont eu lieu en juin et fin juillet la plupart des activités sexuelles ont stoppées. Les males sont retirés définitivement fin juillet. L’accouplement est généralement nécessaire pour qu’une ponte soit effectuée Aucune ponte n’a été produite si la femelle n’as pas été mis en présence d’un male. Il semble que ce sont les accouplements qui déclenchent l’ovulation. Le temps moyen entre le premier accouplement observé et la ponte est de 85 jours et le temps moyen depuis le dernier accouplement est de 81 jours. La ponte elle même à lieu à peu près trois mois après les accouplements observés. La période de gestation est le temps entre l’ovulation et la ponte. L’ovulation a été observé à de nombreuses occasions caractérisée par un gonflement massif de la moitié du corps. Cela apparait comme si la femelle avait consommé un gros repas mais en fait elle n’a rien n’ avalé. Une grosse bosse apparait sur la femelle pendant une période de un où deux jours puis se tasse , en même temps que les oeufs se répartisse plus uniformément le long de son corps. Lorsque cela est observé c’est un bon signe que la femelle va pondre. Parfois la femelle se love en position inverse dans la cachette ou sous le point chaud pendant que les oeufs se développent. Généralement elle refuse ses repas durant la gestation. Les dates d’ovulations ont été enregistrées à seulement deux occasions. Le 15 juillet 1991 la femelle n°12 et le 12 et 18 juillet 1994 pour la femelle n°6. Ce qui donne des périodes de gestations de 52 jours et 51 jours respectivement. Ponte: La majorité des pontes ont eu lieu en septembre, cependant l’une d’entre elle fut déposé le 26 aout, une femelle à pondu en octobre et une en novembre. Le mois le plus représentatif est septembre avec 9 ponte sur 12 enregistrées ce mois là. Parfois les femelles dévellope des follicules palpables mais ne pondent pas. Les femelles effectuent une mue de pré-ponte environ 29 jours avant la déposition des oeufs, avec une gamme de 25 à 34 jours. Quelques jour avant de pondre les femelles sont souvent très actives dans leur terrarium cherchant le meilleur endroit pour construire leur nid. Elles frottent souvent leur museau contre les parois pour s’échapper du confinement de leur enclos. Le dernier jour où juste avant la ponte elle deviennent très recluses, s’aventurant rarement hors de leur cachette. La plupart des pontes ont été déposées durant la journée, en milieu de matinée ou d’après-midi. La raison à cela n’est pas connue, mais peu reflété une période plus chaude de la journée avec une activité plus vigoureuse, comme la ponte. Aucune précaution n’est prise pour la femelle et il semble qu’elle se contente de pondre dans une cachette sèche sans ajout de mousse de sphaigne ou de support similaire. Les pontes de pythons olive est de la taille d’un ballon de football et les oeufs adhèrent entre eux et forment une grappe. Après que la femelle ait déposé ses oeufs, la ponte lui est soustrait et les oeufs séparés avant d’être incuber artificiellement. L’incubation maternelle n’as pas été tentée en raison des conditions trop sèches dans le terrarium et du fait que le femelle doit être nourris à nouveau le plus rapidement possible. La femelle est laissé pendant une semaine puis le substrat est nettoyé pour éliminer toutes les traces odorantes de la ponte, le résultat est que la femelle accepte de nouveau de manger. Elles perdent beaucoup de poids durant les années où elles produisent des pontes. Si l’on souhaite les reproduire l’année suivante il faut les nourrir à volonté pendant le printemps, l’été et l’automne. Les femelles sont reproduites pendant deux où trois années consécutives, puis elles manquent une saison. Ce qui peut être leur rythme biologique naturel de reproduction. Incubation: L’incubation artificielle a été utilisé pour toutes les pontes en utilisant les techniques standard pour l’incubation des oeufs de pythons. Les températures d’incubation sont de 30°, +/-2°. Le ratio d’eau et de vermiculite est un mélange au point de 1/1. Des boites en plastiques ont été utilisé pour l’incubation, chacune d’elle contenant trois ou quatre oeufs, à moitié entérrés dans la vermiculite. Les oeufs sont séparés immédiatement après la ponte et avant qu’ils n’adhèrent entre eux. Les oeufs de liasis olivaceus olivaceus d’une bonne épaisseur et les séparés peut être facilement réalisé quelques heures après la ponte. La plupart des oeufs sont d’un blanc purs et sont mirés avec une petite lampe de poche pour voir s’ils contiennent de petits vaisseaux sanguins; indication qu’ils sont fertiles. Tous les oeufs qui semblent bons sont bien évidemment incubés à part de ceux qui ont une apparence petite et jaune, en forme de limace, «slugs» en anglais et donc infertiles. Il y a une tendance à ce que certaines pontes qui semblait fertiles montrent une calcification insuffisante. Parfois des taches claires de la taille d’une pièce de 50 centimes environ sont apparentes sur les oeufs. Celles-ci ressemblent à la textures du papier filigrané mais ne semblent pas affecter la viabilité des oeufs. Durant l’incubation ces taches ont parfois disparues et se sont re-calcifiées. Les autres oeufs pondus avaient une large palette de coloration jaune , ressemblant à la coquille d’un oeuf non fécond. La taille de ces colorations varient sur un tiers de l’oeuf ( la plupart de ceux-ci étaient viables et ont éclos), jusque la moitié de la coquille ( une paire de ceux-là ont eclos), les oeufs dont la coloration jaune se situait sur la moitié de la coquille n’ont pas éclos. Cette partie jaune des coquilles pouvait devenir dure pendant l’incubation il était alors difficile de les ouvrir avec un couteau ou un ciseaux, ils avaient l’aspect de cuir ancien. L’endroit ou se situait les taches jaune pouvait devenir claire et translucide avant de durcir. En réalité, c’est une partie de l’oeuf morte et qui n’engendrait pas d’échange gazeux. Quelques nouveaux-nés provenant de ces oeufs imparfaits ont vu le jour, ceux-ci était plus petit que les autres. Quelques oeufs avaient la forme de poire après la ponte, ils eclorent normalement. Ils est toujours judicieux d’incuber les oeufs même si ils n’ont pas l’air fécond. Parfois cela vous reservera de bonnes surprises au pire vous pourrez toujours les enlever si ils meurrent prématurément. Quelques oeufs non fertile sont à moitié calcifié dont sont « slugs». Ceux-la se décompose rapidement durant l’incubation. Certain meurent durant l’incubation sans raisons apparentes, d’autre nouveaux-nés sont mort après s’être empêtrés avec leur cordon ombilical. Le processus d’éclosion peut prendre plus d’une semaine entre le moment où le premier oeuf est fendu jusqu’à ce que le dernier serpenteau sorte de son oeuf. Les jeunes serpents attendent souvent un jour ou deux dans leur oeuf, entre le moment ou ils ont sortit la tête de la coquille et le moment ou ils en émergent. Quand le premier oeuf a été fendu, tous les autres sont ouvert en incisant à l’aide de sciseaux à ongles incurvés. Ce qui permet de s’assurer que le serpent peut respirer et n’est pas coincer pour une raison ou une autre. Avec cette méthode un bon ratio de naissances a été obtenu des oeufs fertiles. La plupart des jeunes émergent de leur coquille sans assistances, cependant ceux trop faible ou ceux ayant une malformation doivent être assisté manuellement. Parfois le serpent doit être aidé pour se séparer du jaune de son oeuf si celui-ci n’a pas été absorbé après deux ou trois jour en le «pippant». Ces jeunes peuvent être plus petit et plus faible que ceux du reste de la ponte. Cependant avec une nourriture adéquat il rattraperons bientôt leur retard. Il arrive que des serpenteaux soit victimes de malformations. NOUVEAU-NES: Dès la naissance, tous les bébés sont retirés de la boite d’incubation et placés dans des boites d’élevages individuelles en plastiques. Du gravier pour aquarium d’une granulométrie de 3mm est utilisé comme substrat et changé dès que nécessaire. Une petite soucoupe en émail remplie d’eau et une écorce d’eucalyptus retourné servant de cachette sont ajoutés dans chaque boîtes. Ces enclos conviennent aux pythons olives pour une courte période, car ils grandissent rapidement. A ce moment là ils requièrent des terrariums de tailles adaptées. Les jeunes mue environ deux semaines après la naissance et certain sont difficiles à démarrer. Tous les petits ont mangé volontairement et le recours au force ou à l’assist-feeding n’a pas été nécessaire. Des cannetons ont été utilisés pendant plusieurs années, car il y avait un élevage ou s’approvisionner à proximité. Ceux-ci était aisément acceptés et les jeunes pythons étaient convertit au rats en frottant ceux-ci sur des canetons vivant. Lorsqu’il ne fut plus possible de s’approvisionner en canetons , les serpents qui refusaient les rats se voyaient proposer dans un premier temps des moineaux des étourneaux ou des pinsons pour qu’ils se nourrissent d’eux-mêmes. Ils sont alors convertit au rats en frottant ceux-ci sur des plumes d’oiseaux ou en plaçant préalablement le rongeur dans un nid d’oiseaux conserver au congélateur à cet effet. Les spécimens qui refusent les proies mortes acceptent générallement les pinsons vivants déposés dans leur terrarium ( Brian Barnett, pers, comm,). Ainsi la majorité acceptent les rongeurs morts à 6 ou 8 mois. Il existe quelques variations entre les jeunes au niveau comportemental. Certain sont calmes voir placide tandis que d’autre se défendent et sont nerveux par nature. Certains ont changés en grandissant se calmant avec l’age ou au contraire en devenant plus nerveux. La plupart se calme durant la manipulation, attention cependant à ne pas laisser une certaine routine s’installer. Les donnés de croissance n’ont pas été notées régulièrement. Les bébés mesurent environ 660mm de longueur à la naissance et grossissent rapidement en les nourrissant de canetons ou de rats sevrés. Les males adultes mesure 176cm et les femelles 190cm ( Shine 1991) En captivité, liasis olivaceus olivaceus atteint la maturité sexuelle en 3-4 ans, cependant la majorité des reproductions ont été obtenues avec des spécimens agés de 8-12 ans ( Bob Withey, pers. comm.) La femelle ayant été reproduite le plus tôt avait environ 5 ans. Cependant un jeune couple né en novembre 1991 c’est reproduit pour la première fois en septembre 1994 à l’age de trois et dix mois. Ce fut le cas le plus précoce observé. Les femelles sont relativement grosse et mesurent de 2m à 2m50. Les males sont reproduit dès l’age de 4 ans, cependant les meilleurs résultats sont obtenue avec des sujets bien plus agés. Conclusion: Un grand nombre de problèmes de santé ont été répertorié chez cette espèce. Pendant le temps où j’élevais plus de 50 spécimens de tout en age en captivité, l’élevage était constitué d’environ 12 adultes, de sub-adultes et de juvéniles en attendant leur vente. Un bref résumé des maladies ayant causé des pertes au sein de l’élevage est le suivant: OP14: Congestion respiratoire. Abondantes bacteries (proteus rettgerie) présente dans l’abcès buccale. Résistant à 15 antibiotique et sensible à la Gentamycine. La peau est d’apparence tacheté avec des marques blanches avant la mue, également un oeil infecté. La mue est incomplète les dents sont tombés; décès OP13: Régurgitation, fèces teintés de sang. Infection par des protozaires flagellés traité aux Flagyl, mort plus tard d’un cancer. A l’autopsie multiple métastase aux péritoneum et sur les boyaux OP3: constipation, opération du vétérinaire, extraction des fèces et administration d’antibiotiques. Prélèvement cloacal positif pour la salmonelle, décès OPU: Régurgitation 1 jour ou plus après le repas, déjection verte et teinté de sang. Infection intestinale. Salmonelle négative. conduit sale et diarrhée. Terramycin par voie orale, décès OP19: Anorexie tablette de Flagyl et injection d’antibiotique Baytril. Infection intestinal, positif aux salmonelles, déshydratation, décès OP16: Infection respiratoire et de la peau. Peau à l’apparence tacheté avec des points blanc. Mue incomplète. Culture fongique d’aspergillosis positive sur les poumons à l’autopsie. Peut-être une connaissances ou une complication dû aux traitement antibiotique. OP18: Anorexie, fèces verte. Admission de Flagyl et de Baytril en injections. Infection intestinale. Positif pour les salmonelles. Pas d’affection fongique ou de cryptosporidia trouvé. OP20: Infection respiratoire, décès. Oedème des poumons, boyaux normaux négatif pour cryptosporidia et coccidia, non testé pour les salmonelles. OP4: Lésions de la peau de couleurs sombres, injection de Baytril ( puis éclaircissement). Problème de mue 1 an après. Problèmes respiratoires, respiration encombré et audible développe des lésions répandues de la peau sur la tête et le corps, décès OP12: Infection bactérienne et gangrene du conduit respiratoire, décès OP7: régurgitation plusieurs jours après les repas se laisse déperrir. Quarantaine et Flagyl injecté avec un tube dans l’estomac, sauvé Une variété de maladie ont causé la mort des serpents de l’élevage, le plus souvent des infections aux salmonelles. Il est suspecté que l’origine provient de la colonie de rongeur, même si les tests sur les dejections des rongeurs ce sont avérés négatifs. Ces bactéries sont fréquentes dans l’environnement et cause des problèmes lorsqu’elle sont présentent en grand nombre. Elles sont souvent associées à la volaille, pourtant la plupart des pythons ayant succombé à ces affections n’étaient pas nourris avec des oiseaux. Les parasites internes étaient aussi fréquent les premières années, notamment les nématodes ( vers rond) et les cestodes ( vers plats). Ces infections étaient traitées avec du Panacur ( Fenbendazole) pour les nématodes et des tablettes pour chien de Drontal pour les verts plats. Les verts plats furent rapidement sous controle, cependant les nématodes étaient récurrent et plusieurs doses de Panacur durant l’année voir plus étaient requise pour un controle complet. Ces médicaments étaient injecté dans la nourriture et distribués aux adultes. Les dosages étant administrés en suivant les recommandations du livre: « Understanding reptiles parasites»,1993. Les juvéniles n’étaient pas traités pour les parasites car considéré comme en étant dépourvus. Un cas inquiétant d’aberration génétique apparu sur trois pontes. Un couple vendu à Gavin et Jayne Royle en 1991 ont produient une ponte de 13 oeufs en septembre 1995; neuf furent tout à fait sain et 4 avaient des hernies ombilicales. Cela affectait la région du nombril et engendrait une difformité de la colonne vertébrale. Trois furent euthanasié, le dernier fut emmené chez le vétérinaire pour tenter de réparer la hernie, ce fut infructueux et il mourru peu après. Ce même couple produisit une autre ponte de 16 oeufs l’année suivante, 5 naquirent sain et sauf, les 11 autres sont mort à terme et dans l’oeuf ou sont nés avec la même malformation que l’année précédente. Il fut présumé que les malformations étaient le résultat de facteur environnemental comme la taille des terrariums ou la température d’incubation. Il devient clair que ces aberrations étaient d’origine génétique et était dû au male. En effet il fut présenté puis reproduit avec la femelle n°12 qui n’avait jamais engnedré de jeunes malformés. La ponte produite ainsi comportait 15 oeufs fertiles dont 10 normaux et 4 nés avec une hernie ombilicale, plus un mort à terme avec une importante malformation de colonne vertébrale. Le male décéda en 1997, (juste après la période d’accouplement), d’une cause indertéminée. Franck et Kate Slavens sur leur site internet indique un record de 11 ans et 3 mois de longévité chez un male python olive rapporté par Chris Banks du zoo de Melbourne. Moran (1988) indique une longévité de 12 ans pour python olivaceus olivaceus. La femelle n°12 était la plus vieille au sein de l’élevage acquise adulte en décembre 1988 et morte en juillet 2000, ayant vécu en captivité 11 ans et 8 mois. La femelle n°7 provenait d’une naissance de l’élevage en 1987, fut vendu en 1998 à l’age de 11 ans. Le male n°3 à vécu 11 ans en captivité étant né en 1986 dans l’élevage et mort en 1997. La femelle n°4 est né en 1986 et à vécu 12 ans jusqu’en 1998. Les résultats de l’élevage entre 1989 et 1997 sont présenté dans les tableau 1 à 9. Dans le tableau 1: Une moyenne de 16 oeufs avec une variablité de 11 à 22 oeufs. Shine (1991) note un nombre d’oeufs moyen par ponte de 16. Barker & Barker (1994) rapporte une moyenne de 19,8 oeufs par ponte avec 6 pontes de 14 à 31 oeufs. Moran (1988) note une moyenne de 17,2 oeufs pour 5 pontes. Christian ( 1978) répertorie une ponte de 11 oeufs provenant d’une femelle sauvage. Roy Pails ( pers, comm,) répertorie une ponte de 25 oeufs dont 23 ont éclos. Le nombre moyen d’oeufs fertiles ayant éclos sur la totalité des pontes est de 87,5% Toutes les pontes avaient un pourcentage d’oeufs fertiles, cependant Roy Pails répertorie une femelle ayant effectuée une ponte non fécondée. Le pourcentage d’oeufs fécondés ayant éclos fut en moyenne de 86% avec gamme de 58 à 100%. Dans le tableau 2: Le temps moyen d’incubation fut de 80 jours, la plus courte période étant de 74 jours et la plus longue de 88 jours. Ceci à une température de 30° +/-2°. Ce qui est considéré comme étant plus long que pour la plupart des autres espèces de python. Ross et Marzec (1990) liste cette espèce parmis celle ayant une incubation longue, ce qui est significatif puisque une moyenne de 56 à 65 jours pour les autres pythons est habituel. Un temps d’incubation moyen de 79,2 jours est noté par Greer (1997). La période entre le premier accouplement observer et la ponte est en moyenne de 85 jours et celle entre le dernier accouplement et la ponte de 81 jours. Les femelles muent environ 1 mois avant la ponte. La période entre la mue de pré-ponte et la ponte fut en moyenne de 29 jours ( 25 à 33 jours). La plupart des accouplement ont été enregistré en juin (57%), 37% en juillet et seulement 6% en mai. 75% des pontes ont eu lieu en septembre. Les naissances ont eu lieu majoritairement en novembre et en décembre, avec une répertorié à la fin janvier 1991. Dans le tableau 5: Le poids moyen des oeufs féconds est de 106 g sur un total de 167 oeufs. Ce qui est plus léger que ce que donne Barker & Barker ( 1994): 122,5 g pour 81 oeufs. Le plus lourd pesait 140 g. La longueur moyenne est de 75,1mm et la longueur de 50,8mm. L’effort de reproduction est calculé en pesant la ponte et la femelle après celle-ci. ce qui donne le poids relatif de la ponte exprimé en pourcentage du poids de la femelle. L’effort moyen de reproduction fut de 40% et déterminé dans le tableau 6. Ce qui signifie que le poids de la ponte représente 40% de celui de la femelle. Le maximum de ressource produit à la production des oeufs représentait 44% du poids de la femelle. L’effort de reproduction varie de 37 à 44% sur 3 pontes mesurées. Hawkes et M. O’Brien ont mesuré un poids relatif de ponte ou effort de reproduction de 46% ( Barker & Barker 1994). Les oeufs de deux pontes ont été pesés à intervalle pendant l’incubation. Le poids moyen perdu pour un oeuf de la ponte n°11 fut de 9 g et de 7 g pour la ponte n°12. Cependant certains avaient gagné 1 g. A la naissance, les bébés pèse de 57 à 60% du poids de l’oeuf fraîchement pondu. Le poids des jeunes issus de 3 pontes fut en moyenne de 70g, 64g et 67g. Un poids moyen de 67 g pour 35 naissances ce qui est inférieur à ce que note Barker & Barker ( 1994), 71,2 g pour 45 naissances. La longueur moyenne de 7 bébés issue de la ponte n°1 est de 660mm comparé aux 687mm ( 45 bébés), cité par Greer ( 1997). L’élevage du python olive n’est pas aisé en captivité. Quelques femelles ont été reproduient lors de cette étude. Cependant il y eu de nombreux spécimens ne montrant aucun intérêt à se reproduire. La raison à cela est inconnu, peut-être que les paramêtres de maintenance n’était pas correct pour initier les copulations. Beaucoup reste à faire concernant la reproduction et l’élevage de python olive , en particulier la sous-espèces liasis olivaceus baronni pour laquelle aucune donné n’est actuellement disponible.
  16. D’après: Liasis mackloti ( Dumeril & Bibron 1844) Python aquatique Texte original: Chris Hay Comme son nom commun le suggère, cette espèce est le python australien le plus aquatique et fréquente habituellement les alentours des lacs d’eau douce, des marais, des lagons, des rivières et des barrages artificiels. Cependant il n’est pas exclusivement aquatique et se rencontre également dans les bois et les forêts. C’est un python robuste et assez gros avec un t^te bien distincte du corps. Des spécimens peuvent atteindre un longueur de 3 m. La coloration dorsale ne présente pas de patron particulier et peut être presque noire, brun-olive ou gris-olive. avec des reflets bien visibles. ( Ce sont ces reflets qui font penser que les aborigènes nomme cette espèce le serpent arc-en-ciel). Les lèvres et la gorge sont blanches avec une face ventrale jaune, même si les sub-caudales sont foncées. Males et femelles ont des éperons et leur griffes bien dévellopées. Cette espèce se rencontre dans les regions de mousson de Broome,W.A à Lawrence, Qld. Liasis mackloti est semi-aquatique et terrestre, se dissimulant dans les terriers, les troncs creux, les fissures du sol et sous la végétation. A tendance nocturne, ils traversent régulièrement les routes autour des points d’eau durant les soirées douces. C’est un prédateur majeur des plaines inondables du nord et il se nourris majoritairement de mammifère. Ces proies incluent des rats ( rattus colletti), de roussette et de bandicoots, des oeufs d’oie-pie et aussi des reptiles comme de petits crocodiles, des serpents et des lézards. bandicoot: oie-pie: Les accouplements ont lieu de juin à aout et entre 3 et 24 oeufs sont pondus d’aout à septembre, les naissances ont lieu de en novembre-décembre. Management captif: Le maintien du python aquatique ne nécessite pas l’ajout d’un coin aquatique par rapport aux autres pythons australiens, mais par rapports aux autres ils se baignent plus souvent. Leur tempérament varie de docile à particulièrement mordeur. Les juvéniles morde systématiquement et à plusieurs reprise lors des manipulations. C’est une espèce relativement bien représenté dans chez les éleveurs, ils sont largement reproduis et obtenir un spécimen est assez facile. L’objectif de ce compte-rendu est de présenté les techniques employées pour maintenir liasis mackloti en captivité et cela en incluant les données de deux reproductions succéssives. Actuellement il y à 5 pythons aquatiques au sein de l’élevage. Toutes les données morphométriques ont été prises le 16 avril 1996. ( la morphométrie est l’étude et l’analyse de la géométrie d’organes en se reposant sur des études statistiques). Les serpents impliqués par ces études et reproduit en 1996 sont: L.F 01: femelle d’approximativement 1m52 de longueur totale ( pas du museau au cloaque). Pesant 1kg200. De couleur marron sombre avec un ventre jaune citron. Nourris de souris. Age: inconnu. Cet animal est présent au sein de l’élevage depuis novembre 1994. L.F 02: femelle mesurant 2m235 de longueur totale et pesant 2kg858, de couleur gris clair, avec une surface ventrale orange. Nourris de rat. Née en 1988. Le dernier propriétaire de cette animal m’informa que celle-ci avait pondu 12 oeufs non fertiles l’année précédente. L.F 05: male mesurant approximativement 1m94 de longueur totale et pesant 1kg920. De couleur gris clair, avec une surface ventrale orange. Nourris de rats. Né en 1986. L’histoire de ctte animal montre que celui-ci était désireux de se reproduire. Une des clefs du succès pour la reproduction en captivité tourne souvent autour de la capacité à acquérir des males sexuellement actifs. Quelques males sont plus désireux de se reproduire que d’autre et un male intéressé fait souvent la différence entre suucès ou échecs ( Robert Valentic pers. Comm., Raymond Hoser pers. comm.) Pendant le temps de l’élevage ( mi-1996) les serpents étaient maintenus séparément dans des boites avec ouvertur par le haut avec les dimensions suivantes: longueur 90 cm, largeur 70 cm et hauteur 50 cm. Les enclos ont été construis en mélaminé et une vitre à été inséré sur le panneau avant pour les inspections. Chaque boites est chauffée par trois lampes à incandescence bleues controllées par un thermostat ( RAD 5), situé tout au fond des enclos. Le fonds des boites sont tapisser de papier de boucherie, qui sont changés lorsqu’ils sont souillés. Pendant le changement du papier les terrariums sont nettoyés avec de l’eau tiède et du Napisan. Ce mélange est obtenu avec deux litres d’eau pour une cuillère à café de poudre. Une cachette est mis à disposition celle-ci à la forme d’une boite en bois ou d’un tronc creux. Si le terrarium comporte une boite en bois, j’inclus une roche de taille appropriée pour facilité la mue. Quelques feuillages artificiels sont ajoutés pour la décoration. La ventilation est assurée par des grilles localisées en haut d’un coin du terrarium. L’eau est mis à disposition dans un conteneur rectangulaire peu profond mesurant 18 cm par 9 cm et de 7,5 cm de profondeur.Les serpents ne peuvent pas se baigner dans leur bol d’eau pour éviter les déversement de l’eau. L’eau est changé seulement une fois par semaine car un additif anti-bactériens ( Aviclens), est utilisé à raison d’un millilitre pour un litre d’eau. Ce qui rend l’eau étincelante de propreté. La femelle reproductrice ( L.F 02) consomme entre 1 et 3 rats, ce qui équivaut à un poids d’environ 1 kg chaque mois entre et janvier et début mai. A partir de la mi-mai, le serpent refuse de se nourrir. Le male mange un gros rat tous les 8-14 jours jusqu’à mai. Après cette période les repas sont pris à intervalle irrégulier. Chaque proie offerte au python est décongelé dans l’eau puis offerte à la main où à la pince. Les rongeurs congelés sont préférés au vivants car les serpents ne risquent aucune blessure d’une proie morte et le risque de transmission de parasite est grandement réduit. Les rongeurs peuvent être congelés pendant une période de deux semaines à trois mois, suivant l’évolution du stock tout au long de l’année. Le seul additif utilisé est de l’huile de mutton-bird ( Munday 1994). Celui-ci est directement injecté dans la nourriture avec une dose de 1 à 2 ml par kilogramme du serpent. Cette procédure est répétée tous les deux ou trois repas. Les activitées entre les deux saison de reproductions ont été enregistrées et résummées. jusqu’à début mai, les animaux ont été soumis à des température journalière de 31°-32° au sol du point chaud, la température de l’air étant de 27°-28°. La température de l’air a été mesurée en suspendant un thermomètre digital au centre du terrarium à égale distance entre le sol et le plafond. Le thermomètre est laissé cinq minutes pour que celui-ci se stabilise puis la lecture est prise. A la mi-mai, le thermostat est baissé pour atteindre des températures nocturne minimal de 17°18° (température de l’air). Cependant les pythons ont toujours l’opportunité de se réchauffer à 30°. Sexage: Le sexage s’effectue par sondage, la sonde s’enfonçant jusqu’à 10-13 écailles sub-caudale chez les males contre 4 à 7 chez les femelles. Les femelles ont généralement une taille supérieur au male. Accouplements: (Ces notes ont été recopier directement depuis le journal d’élevage qui fut écris en 1996) Le 1 juin 1996, après être resté au frais pendant deux semaines, le male (L.F 05) à été introduit chez la femelle reproductrice ( L.F 02) à 18h00. Le comportement de séduction à été obervé pratiquement immédiatement. Celui-ci suivait continuellement et dans tous le terrarium, tentant de placer son corps sous celui de la femelle. A ce stade la femelle ne semble pas intéressée et tente de se soustraire aux avances du males en le fuyant. La température nocturne enregistré etait de 19° et les serpents furent séparés le matin suivant. Après un break de 5 jours, le couple fut à nouveau réunis le 7 juin 1996. Le comportement du male fut le même que lors de la première présentation ( 1 juin 1996). Le male courtise la femelle, cependant celle-ci ne semble pas receptive. Il fut alors décidé que les températures froides de la nuit serait abaissées pour essayer de stimuler la femelle. L’une des 3 ampoules dans le terrarium fut remplacer par une ampoule soufflé créant ainsi une température plus fraiche. La température enregistré fut de 17,2°. Les serpents furent inspecter l’après-midi suivant à 15h30 et ceux-ci s’accouplaient. Une nouvelle inspection à 19h30 révéla que les serpents était toujours accolés. Quelques jours plus tard le couple à été séparé et replacé dans leur terrarium respectif. Quelques jours plus tard, un rat décongelé à été proposé aussi bien au male qu’à la femelle pour determiner si les serpents jeûnait toujours. Aucun des deux ne montra d’intérêt envers la nourriture. le 22 juin 1996, le male fut de nouveau introduit chez la femelle, même si il fut noté que celui-ci était en mue. Le male mua deux jours plus tard, et le jour suivant je fut témoins d’accouplement à 07h15,14h00 et 21h45. Pendant que je nettoyais l’enclos le 26 juin 1996 je notais la présence de taches de sang sur le papier. Ce qui fut un bon signe que la femelle était sexuellement active (Barker & Barker). Le 2 juillet 1996 un autre rat fut proposé au deux serpents. La femelle ne fut pas du tout interessée, le male en revanche le mangea avec empressement. Laissant 5 jours au male pour digérer son repas, il fut ré-introduit auprès de la femelle pour la quatrième fois le 7 juillet 1996. Cependant, cette fois j’aivais également introduit la femelle L.F 01 dans le terrarium. Bizarrement le male ne montra aucun ineret envers la femelle L.F 01 et copula avec la femelle résidant habituellement dans ce terrarium (L.F 02) une heure et demi après l’introduction. Le jour suivant je replaçait le male dans son terrarium à 17h00. En faisant cela je remarquais des traces de sang sur le papier de boucherie dans la cachette, où le couple s’etait caché. Le jour suivant le couple fut rassemblé pour la cinquième fois à 20h15 et ont passé pratiquement l’intégralité des deux nuit suivantes cachés. Durnat cette période des températures nocturnes de 18,4° et 20,1° furent enregistrées. Après quelques jours de séparations le male fut à nouveau introduit auprès de la femelle le 14 juillet 1996 à 18h15. Les trois jours suivants les deux serpents sont restés dans la cachette, apparaissant brièvement pour allez boire. J’ai enlevé le male à 21h15 le 17 juillet 1996. A ce moment là, j’ai examiné la femelle qui apparaissait gonflée sur le tiers postérieur du corps et son cloaque était légérement distendu. Satisfait que les pythons aient copuler, j’ai décidé de stopper les introductions du male chez la femelle. Les deux semaines suivantes, la femelle a devellopé des oeufs qui était clairement visible lorsqu’elle se lovait. La mue de pré-ponte intervint le 12 aout 1996, soit 26 jours après la dernière copulation observée. La femelle devint extrèmement active vers la fin aout, parcourant son terrarium, mais refusant toujours les repas. Au début septembre la femelle était fréquemment observer se réchauffant en position inversée. Ponte: J’ai été témoin de la fin de la ponte de 12 oeufs déposé le 16 septembre 1996 à 5h30. Il y avait 3 oeufs non-fertile qui avait tous une apparence jaûnatre. Le 9 autres était d’un blanc brillant et apparaissaient comme ayant une belle coquille. Les oeufs furent recueillis par la femelle, en deux lots de 5 oeufs et deux d’un seul. L’activité reproductive de 1997 fut obtenue avec la même méthode que précedemment. Des températures nocturnes de 19,3° à 20,8° furent enregistrées fin mai. A ce moment là la femelle pesait 4kg906. Les introductions commencèrent le 4 juin 1997 à 16h30. A 21h00 cette nuit là le couple fut observer en train de copuler. Un température de 22,8° fut enregistrée aux cotés des serpents copulant. En regardant de plus près, cela révéla que le male utilisait son hémipénis gauche et une grande quantité de liquide blanchâtre était présent autour du cloaque de la femelle. Les copulations suivantes les 5, 19 et 21 juin furent observées de nuit avec des températures de 20° à 23°. Lors de l’inspection de la femelle le 23 juin 1997, elle fut observée enroulée avec le tiers inférieur de son corps en position inversée, seulement 19 jours après la première copulation. Ce comportement a également été détecté le jour suivant. Après deux accouplements de plus les 3 et 4 juillet, il à été décidé que le nombre de copulations étaient suffisantes et les températures du terrarium remonté jusqu’aux alentours de 25° La mue de pré-ponte eu lieu le 13 juillet 1997, et 36 jours plus tard la femelle déposa 14 oeufs, le 18 aout 1997, il y avaient trois non fertiles, qui étaient de couleur jaune et au moins deux fois plus petits que les oeufs fertiles. La ponte débuta à 10h20 et continua durant la journée, le dernier oeuf ayant été déposé à 14h20. Le temps moyen entre chaque oeuf fut de 17,3 minutes ( 14 oeufs), cependant les oeufs non fertile se sont suivis de respectivement 5, 8 et 7 minutes. Le temps le plus long ( 40 minutes) fut observé entre les deux derniers oeufs, avec le dernier qui était le plus long oeuf. L’intégralité de la ponte à été observé, donc chaque oeuf à été collecté de suite après, ainsi la femelle n’as pu les regroupés. Incubation: Les oeufs furent placés dans un incubateur spécialement conçu et construit en panneau de bois reconstitué de 16 mm et couvert par une surface stratifié. Les dimensions étant les suivantes: 60 cm de long, 45 cm de profondeur et 60 cm de haut. L’incubateur est divisé verticalement en trois section de 20 cm. La section basse contient trois ampoules bleus de 40 W. Cette partie a sa propre porte d’accès pour minimiser les déperdition de chaleur lors des changements d’ampoule. Une petite aèration est localisé sur chaque coin avant de cette section pour créer un tirage par le haut et transporter l’air chaud vers les sections les plus hautes de l’incubateur. La section du millieu est essentiellement un tampon aérien, et permet de diperser la chaleur de façon homogène vers la section du dessus. Son sol et le plafond sont des rayons percés. La section du haut reçoit les oeufs. La porte de cette section permet aussi l’accès à la section du milieu. Les conteneurs à oeufs est diposé sur le panneau et la chaleur filtré par les sections basse. Le thermostat est placé sur le haut de l’unité et la sonde passe à travers le toit de l’installation dans la chambre haute. Chaque porte de l’incubateur contient une petite fenêtre de controle en plexiglass de 10 mm. Durant l’incubation ils sont couverts de l’extérieur pour éviter toute perte de chaleur. Le nouvel incubateur pour l’incubation de 1997 fut également construit en panneau de bois de 16 mm. Ces dimensions étaient les suivantes: 1m20 de long, 60cm de profondeur sur 60cm de haut. Six ampoules à incandescence bleu de 40 W, uniformément situé le long du centre du plafond et controller par thermostat, fixé à l’extérieur de la surface frontale de l’incubateur. Deux petites portes contiennent une petite vitre de controle, qui sont aussi couverte durant l’incubation pour éviter les déperdition de chaleur. (Incubations des oeufs 1996-97) Les oeufs furent placés dans des conteneur de 6 litres emplis de 400 gr de vermiculite de taille moyenne ( sèche) et de 370 ml d’eau. Ce qui donne une profondeur d’à peu près 4 cm dans le conteneur. Des pellicules de film alimentaires avec des petits trous sont placés sur le haut du conteneur pour contenir l’humidité. L’incubateur est réglé sur 31°-32° et l’humidité de 85% à 100%. L’un des problèmes de cet incubateur à été que je n’ai pas eu la chance de le testé avant de l’utilisé. J’ai attendu pour voir si il y allait avoir des problèmes de températures ou d’humidité avec l’incubateur, avant de l’utilisé avec des oeufs. Cependant, lorsque l’incubateur à été terminer les oeufs furent pondus le lendemain matin suivant. Malheuresement l’incubateur n’as pas pu être testé à fond avant la période d’incubation réelle. Après une semaine et demi d’incubation je suis partie à l’étranger. Les oeufs furent laissés sans surveillance pendant cette période. Lorsque je suis retourné à mon domicile j’ai trouvé 5 oeufs qui était mort; cependant les 4 autres avaient l’air en bonnes conditions. Les 5 n’avait pas survécu en raison d’un excès d’humidité qui avait condenser sur le haut du film en plastique et qui s’écoulait directement sur les oeufs. Lorsque j’ai vérifié les température mini et maxi, j’ai remarqué que le thermostat ( de type heat map avec sonde) avait une tolérance de +/-3°. Ce qui pouvait avoir des conséquences sur les embryons restant. Réalisant que je ne pouvais faire confiance plus longtemps à ce thermostat pour maintenir des températures stables. Laborieusement je commençais des ajustements sur l’environnement de l’incubateur. Toutes les six heures une tentative était faites pour maintenir les conditions. J’enlevais le film de plastique immédiatement. A la place un récipient d’eau fut placé dans la chambre du bas, pour permettre de maintenir l’humidité. Tous les 2 à 3 jours 150 ml d’eau était additionné à la vermiculite en l’injectant en utilisant un catheter à seringue de 50 ml. Les conditions furent maintenues de cette façon pour le reste de l’incubation et jusqu’à l’éclosion. La procédure d’incubation des pontes de 1997 fut la même en utilisant la vermiculite et l’eau, cependant des ajustements furent réalisés. Les oeufs furent placés dans un conteneur de 20 l, avec un tiers remplit dun kilo de vermiculite et 800 ml d’eau. Trois petits vitre en verre couverait le haut du conteneur, l’une juste au dessus de la suivante. De petites lacunes furent faite pour permettre des échanges gazeux limités. La sonde du thermostat placé dans le conteneur, partiellement recouvert avec le vermiculite entre les oeufs. Les températures stabilisé entre 30,1° et 31,9° et l’humidité relative maintenue entre 95% et 100%. Au bout de 3 semaines, il est devenue évident que 3 oeufs commencçait à être trop sec, en raison de leur apparence flétrie. L’eau c’est évaporée dans le place la plus oxygénée autour des oeufs. De l’eau fut additionnée graduellement pour éviter d’en mettre en excès. Les oeufs nécéssitaient que l’eau soit injecté tiède ( à 30°-31°) par un catheter de seringue de 60 ml dans le substrat. L’eau additionnée à la surface du substrats avait tendance à faire peu pour les oeufs du fait qu’elle s’évaporait très rapidement ( pers.obs.) Un total de 600ml d’eau fut additionné à la vermiculite durant les quatres premières semaines d’incubations. Cette eau ne fut d’aucun secours pour certains embryons. Il devinrent bleu-vert et dévelloppèrent des chapignons. Après un controlle interne de ces oeufs, absolument aucune trace d’embryon ne put être trouvée. Encore trois oeufs périrent puis un autre apparu non-fertile, pourtant ils avaient été pondu normalement. Les cinq autres oeufs se dévellopèrent normalement pendant l’incubation. Naissances: Le 18 novembre ( 63 jours après la ponte) à 16h50 un oeuf fut découvert avec deux incisions. Le jour suivant le nouveau-né ( L.F 06) a émergé de sa coquille. Bien qu’il semble en parfaite santé celui-ci avait une petite déformation de la colonne au niveau de la queue légèrement après le cloaque. Des préoccupations commencèrent à apparaitre pour les 3 oeufs restant, lorsqu’ aucun ne fut trouver fendu le 20 novembre. Tard cet après-midi là, Ces trois oeufs furent fendus, en faisant une incision d’environ 20 mm sur le coté de la coquille en utilisant un scalpel. Ce qui confirma que chacun d’entre eux contenait un petit parfaitement dévellopé. Le jour suivant, le 21 novembre, un nouveau-né (L.F 07) fut trouvé à moitiè hors de l’oeuf. L’extérieur de la coquille avait durci considérablement et le serpenteau avait des difficultés pour s’en extraire. Il fut sortit manuellement. Ce qui fut fait en s’assurant que la partie antérieur était à l’air libre, pour minimiser les d’gats sur le cordon ombilicale. Le 22 novembre le nouveau-né suivant (L.F 08) fut trouver hors de l’oeuf. LEs deux, L.F 07 et L.F 08 était extrèmement faible. Il ne faisaient que la moitié du poids de l’ainé (L.F 06 pesant 36 gr) pesant respectivement 17 gr et 18,5 gr. Les deux jours qui suivirent L.F 07 et L.F 08 montrèrent des signes de déshydratation. Des tentatives pour les ré-hydratés en donnant du fluide aux animaux ( eau du robinet) oralement, mais le 25 novembre il furent euthanasiés et conservé pour analyse. L’oeuf restant fut ouvert et contenait un foetus mort parfaitement formé. Lui aussi fut congelé pour controle. Les naissances de la pontes suivantes en 1997 commencèrent le 19 octobre ( 62 jours après la ponte) lorsque le premier oeuf fut fendu. Quand le bébé fut sortit le 22 octobre , j’ai prudemment fait une incision de 30 mm sur chaque oeuf. Le 24 octobre Tous à l’exception d’un bébé étaient sortis , après inspection le dernier oeuf contenait un foetus mort parfaitement formé. Des rayures sur le cotés intérieur de la coquilles ont démontrées que celui-ci a tenté de se libéré. Une fois sortit de l’oeuf, les 4 bébés furent placé individuellement dans des boites en plastiques mesurant 35 cm de long, 20 cm de larg et 14 cm de haut. Un morceau de papier sur le sol et un petit plat d’eau sont les seuls fournitures de ces boites. Les conteneurs furent placé sur une étagère avec un tapis chauffant thermostaté. Les jeunes sont maintenus à environ 30°. Après 10 jours les quatre bébés avaient mués, puis trois jours plus tard un rosé de rat décongelé placé dans chaque terrarium et les serpents laissés dans la pénombre. Une inspection deux heures plus tard et les 4 bébés avait mangés, deux semaines plus tard ils avaient mangé deux fois succéssivement. Conclusion: Les deux pontes de 1996 et 1997 ont été initié à quatre jours d’intervalles et beaucoup d’autres aspects à propos des accouplements furent conformes. Les accouplements ont eu lieu en juin et juillet, cependant en 1997, les oeufs furent pondus quatre semaines plus tot qu’en 1996, et ont logiquement éclos quatres semaines plus tot. L’explication à cela est que les acouplements de 1996 furent infructueux est que ceux de juillet ont permis la fertilisation. Le fait que la femelle est inversé sa position de réchauffement très tot en 1997 fut aussi une bonne indication de la conception récente. En 1996 cette position ne fut pas observée avant septembre. Dans les deux cas ce comportement fut enregistré seulement 20 jours avant que les oeufs ne soient déposé. Un échantillon de 15 pontes de liasis mackloti ( Barker & Barker) on permis de découvrir un oeuf de 56 mm , cependant tous les oeufs fertiles de l’année 1997 était tous au dessus de cette mesure ainsi que le poids. Un autre point interessant est que bien que chaque reproduction à durer sur une période de quatre semaines, la période entre la mue de pré-ponte et les naissance n’as pas changer et fut de 98 jours. D’autre donnée sur la reproduction du python aquatique, l’incubation des oeufs où d’espèce similaire ont été fournit par ( Barnett 1981, Bulian 1994, Hoser 1981 et James 1992)
  17. D’après: Aspidites ramsayi ( macleay 1882) Woma texte original: neil sonnemann Le woma où python de ramsay ( ancien nom de l’espèce) est un python de taille moyenne, qui peut atteindre 2.3 mètres. Celui-ci se rencontre à l’interieur de l’australie et ses couleurs varie selon son origine. Le woma est présent dans les régions desertiques et beaucoup de forme régionales sont reconnues. Par exemple il y a la forme du territoire du nord ( forme du désert de tanami) la forme du sud australien, du sud-ouest de l’australie occidentale et la forme du sud est du queensland. Tandis que le woma est protégé sur une grande partie de son aire de répartition la déforestation et les predateurs sont responsables de son déclin dans le sud ouest de l’australie. Le woma est un joli python de couleur marron pale à jaunâtre ou marron-rougeâtre et olive ovec de nombreuses bandes sombres irrégulières. Le ventre est crème à jaune pale avec des taches irrégulières. Les jeunes spécimens ont souvent une marque noire remarquable sur le haut de chaque oeils qui s’estompe généralement avec la maturité. C’est une espèce robuste avec la tête légérement plus large que le cou et dépourvu de fossettes thermosensibles. Les deux sexes possèdent des éperons cloacaux, la queue n’est pas préhensile. Le biotope du woma est constitué de région sablonneuse aride boisée, buissoneuse ou de maquis. Ils sont le plus souvent rencontrés dans les dunes de sables avec des herbes du genre spinifex et sont connus pour se cacher dans les fissures des rochers, les tronc d’arbre creux les terriers abandonné ou sous la végétation. Le woma est terrestre et peut creuser son propre terrier dans les sols meubles. C’est une espèce majoritairement nocturne cependant elle à été occasionnellement observé se réchauffant durant la journée. Les proies d’A.ramsayi sont des mammifères et des reptiles, y compris des serpents, cependant une grande variété de lézards est consommée. Les accouplements ont lieu de mai à aout avec 14 oeufs pondus en septembre-octobre. Les naissances ont lieu fin novembre-décembre. Management captif: Les techniques habituelles pour choisir les couples ont été utilisées. Tous les sujets sont maintenus dans une pièce chauffée et isolée. Les adultes sont maintenus dans des terrariums en bois contre plaqué d’environ 1 metre carré. Les juvéniles quant à eux sont maintenus en rack dans des conteneurs en plastique de 18 litre sur une étagère. Le substrat est constitué de roche écrasée utilisé pour la fabrication de route ( diamètre 7 mm), de couleur blanche, nettoyé dans une bétonnière pour éliminer saleté et les particules de poussières puis sécher à l’air. Une profondeur d’environ 75 mm est nécessaire. pendant la majeur partie de l’année la température de la pièce d’élevage durant la journée varie autour de 30°, avec une baisse jusqu’à 20° pendant la nuit. Des spots chauffants sont ajoutés pour obtenir des températures au point chaud qui se maintiennent vers les 30°. Durant les heures d’éclairage une moyenne de 30° à 42° sont enregistrées. La température minimale enregistrée durant l’hiver est de 17°. La durée du temps de chauffage varie en fonction de ses saisons, d’un minimum de 8-9 heures en hiver à 14 heures maximum en été. Aucun chauffage ne fonctionne la nuit, la température des enclos retombant au niveau de la température ambiante de la pièce. Les womas se réchauffe durant la journée et se love dans leur cachette durant l’hiver pour conserver la chaleur. Les températures sont cyclées pour provoquer les accouplement des pythons. Durant le printemps et l’été les températures sont maintenues dans une gamme étroites. Au début de la saison des amours en automne les températures hautes et basses sont modifiées graduellement, avec les plus basses enregistrées pendant l’hiver en juin et juillet. Les températures hautes sont accrues pour compenser la baisse des températures nocturnes et la diminution des durée d’éclairage. Les thermostats des lampes chauffantes sont réglés à leur maximum de 40° de l’automne jusqu’au printemps. La lumière naturelle fournit la photopériode naturelle pour le nord de victoria, australie. Les fournitures des enclos sont constitués de graviers, d’un bol d’eau et d’une cachette en contre-plaqué pour apporté un endroit de taille confortable au serpent. Les adultes sont nourris avec des rats de laboratoires. Ils sont nourris de proie fraichement tuées ou décongelées. La plupart prennent les proies sur le sol du terrarium. La fréquence des repas varie tout au long de l’année, Généralement les adultes cessent de se nourrir à partir de mars jusqu’au printemps. Les femelles refusent leur repas jusqu’à ce qu’elles aient pondu.Les juvéniles peuvent être nourris toutes l’année si ils sont maintenus au chaud l’hiver. Les adultes sont nourris à volonté du printemps durant l’été et l’automne et jusqu’a ce qu’ils cessent d’eux-mêmes en hiver. Les gros adultes acceptent 2 rats adultes. Les jeunes NC acceptent généralement les rongeurs et grandissent rapidement du fait de leur bon appétit, cependant quelques individus peuvent être pointilleux en refusant leur repas sans raison apparente. L’un d’entre eux refusa de manger de lui même pendant 13 mois il fut assisté en lui donnant des queues de rats durant cette période. Il commença à se nourrir de poussins de cailles et mange maintenant de jeunes rats. Certains jeunes furent démarrer en plaçant des plumes d’oiseaux dans la bouches des rongeurs. Sexage: Le sexage se fait par sondage, la sonde s’enfonçant jusqu’à 8-12 écailles sub-caudeales chez les males contre 3 à 4 chez les femellles ( Barker & Barker 1994). De nombreuses données de maintenances ont été publiés par différents auteurs incluant: Barker & Barker 1994, Gow 1989, Greer 1997, Morley 1999 et Oliver 2005. Ce compte rendu présente les données de 15 pontes issue de huit femelles captive pendant la période 2000 à 2005. Un male nouveau-né fut obtenu en juin 1998 de chez Mr Oliver Bradley. Indépendamment deux femelles furent emprnutées au zoo d’adelaïde en fevrier 2000, tous les specimens sont originaires du nord de l’australie du sud. Une femelle ( AC#970032) a pondu des oeufs fertiles et sa progéniture est l’objet de cette étude, l’autre femelle ( AC#990027) ne s’est pas reproduite. Accouplement: Les accouplements commencent en mai et se poursuivent jusqu’à mi-juillet. Le male est toujours introduit dans le terrarium de la femelle et celui-ci la localise et la courtise sans délai. Si le couple est compatible les accouplements ont lieu durant les deux premiers jours suivant l’introduction du male. Souvent le male ne montre aucun intérêt envers la femelle. Ce qui est sans doute dut au fait que la femelle n’est pas receptive où que le male est immature. Les deux sexes ont habituellement une mue de pré-saison, après le jeune en autommne. Les couples sont psrésentés après cette mue.Les males sont placés chez la femelle pour une semaine, puis enlevé une semaine avnt d’être à nouveau présenté pour le même laps de temps. La plupart des accouplements ont lieu en mai et juin et fin juillet ceux-ci ont cessés. Les males sont retirés fin juillet. Ponte: La plupart des pontes ont lieu en novembre. Un e boite de ponte en bois avec une charnière pour l’inspection leur est fournie. Ce qui permet d’observé les femelles avant et pendant la ponte. Du papier journal froissé est mis dans la boite pour fournir un endroit ou la femelle se sent en sécurité et celui-ci est humidifié avec un spray lorsque la ponte approche. Souvent quelques jours avant la ponte la femelle devient très active, se déplaçant dans leur terrarium à la recherche du meilleur endroit pour construire leur nid. Le dernier jour, où les deux dernier jours avant la ponte elles s’aventurent rarement hors de leur cachette. Dès que le dernier oeuf est pondu, ils sont tous soustrait à la mère puis séparer de la grappe avant d’être incuber artificiellement. Incubation: L’incubation maternelle en laissant les oeufs à disposition de celle-ci n’a pas été tenté, en raison de conditions trop sèche dans les terrariums.Il est aussi important que la femelle recommence à se nourrir le plus rapidement possible. Laissé la femelle avec sa ponte pendant une semaine, puis nettoyer le substrat permet d’enlever l’odeur des oeufs, ce qui a pour effet de permettre à la femelle de recommencer à se nourrir. Les techniques standard de Barker & Barker (1994) pour l’incubation d’oeufs de python ont été utilisées. La température d’incubation est de 31,5° +/- 1°. Un ratio de vermiculite en poids de 0,8/1 est utilisé dans les boites de ponte.. C’est un mélange plus sec que pour la plupart des autres espèces de pythons, avec 500 gr de vermiculite mélanger à 400 ml d’eau dans un plat à gateau. Chacun de ces conteneurs contient 8 oeufs à moitié enterrés dans la vermiculite, avec un espace large entre chaque oeuf. Les oeufs sont séparés immédiatement après la ponte et avant que ceux-ci n’adhère entre eux. Les oeufs du woma ont une coquille relativement mince et la séparation des oeufs peut malgré cela être effectuée quelques heures après la ponte. La plupart des oeufs sont d’un blanc pur lors de la ponte, et peuvent être mirer avec une petite lampe de poche pour voir si ils contiennent des vaisseaux sanguins, indication qu’ils sont fertilisés. Tous les oeufs qui semblent bons sont incubés, sauf ceux qui sont manifestement trop petit, jaune donc infertile ou ceux qui ressembles à des limaces ( slugs). Le procéssus d’éclosion d’une ponte peut prendre une semaine entre le temps ou le premier est percé et le moment où le dernier serpenteau émerge. Les jeunes restent souvent un ou deux jours dans l’oeuf, lorsque leur tête est sortie hors de la coquille, avant finallement d’émerger de celle-ci. Lorsque le premier oeuf est percé ou au delà de 50 jours, tous les autres sont ouverts. Ce qui est effectué en faisant une incision dans la longueur sur le haut de l’oeuf à l’aide de ciseaux à ongle recourbés. Ce qui permet de s’assurer que les jeunes peuvent prendre leur souffle et sont coincés incapable de sortir pour quelconques raisons. Avec cette méthode un grand pourcentage de jeunes sont obtenus des oeufs fertilisés. La plupart des serpenteaux sortent sans assistances. Nouveaux-nés: Après les éclosions, tous les nouveaux-nés sont enlevés de la boite de ponte et placé individuellement dans une boite en plastique d’élevage aussi grand qu’un plat à gateau. Des graviers sont utilisés en guise de substrat et sont changé dès que nécessaire. Un petit plat d’eau et un bol en plastique servant de cachette sont ajoutés. Ces conteneurs sont acceptables pour les woma, mais pour une courte période seulement. Lorsque qu’ils deviennent trop grand, ils requièrent des enclos de tailles adaptés. Conclusion: Les 8 femelles ont pnodus un total de 173 oeufs en 15 pontes de 2000 à 2005. Dont 172 étaient fertiles, 79% éclorent. La plupart des accouplements ont eu lieu en juin et la plupart des pontes en novembre. La maturité sexuelle est atteinte entre deux et trois ans et les femelles pondent pour la première fois à 2,5 ans. L’effort de reproduction est calculé en pesant la ponte et la femelle à l’issue de celle-ci. ce qui donne le poids relatif pondu exprimé en pourcentage du poids de la femelle. L’effort moyen de reproduction obtenu est de 0,53. Ce qui signifie que le poids des oeufs est de 53% de celui de la femelle. L’oeuf le plus lourd pesait 84 gr. Le poids moyen d’un oeuf fertile est de 66 gr. Des données sont disponibles sur la reproduction de la forme du sud de l’australie ( Morley 1999) et Oliver (2005). Les animaux de la présente étude sont des juvéniles issues des élevages précédemment mentionnés. Morley (1999) à enregistré une ponte de 14 oeufs. Quatres d’entre elles contenaient plus de 12 oeufs. Oliver (2005) rapporte une ponte de 30 oeufs produite par une très grosse et vieille femelle. Gow ( 1989) mentionne aussi une ponte, chez Joe Bredl, de 28 oeufs pondu par une femelle originaire de moomba au sud de l’australie. Shine (1991) mentionne un nombre moyen de 14 oeufs issue de spécimens capturés dans la nature, cependant on ne connait pas de quelle population ceux-ci sont issues. Les femelles de cette forme semble grandir plus, et être plus longue que les femelles des autres formes reconnues, et sont capable de pondre 30 oeufs. La femelle de cette étude à produit 8 oeufs lors de sa première ponte puis 11,15 et 17 oeufs les années suivantes. Ce qui coïncide avec l’accroissement du poids de la femelle de 959 gr à 2kg070 lors de la quatrième ponte. Après 5 ans la femelle à plus que doubler son poids avant les pontes le nombre d’oeufs à doubler depuis la première ponte. Le poids des oeufs à également augmenté passant d’une moyenne de 68 gr à 71 gr. Durant ce temps l’effort de reproduction est resté relativement constant de 56% à 58%. Les données au seins de l’élevage inclues le temps entre l’ovulation et la ponte qui est en moyenne de 48 jours, et le temps entre la mue de pré-ponte et la ponte est d’environ de 26 jours. Oliver ( 2005) à enregistré la même période de 48 jours mais un temps plus court après la mue de pré-ponte de 16 jours. L’effort de reproduction de cette étude est de 53% sur 9 pontes, Greer ( 1997) reporte une moyenne de 36%. Les femelles sont plus nombreuses que les males avec un sex-ratio de 0,78 males pour une femelle obtenues sur 134 naissances. Beaucoup de jeunes sont assoiffés à la sortie de l’oeuf et boivent si ils sont placés dans un conteneur avec de l’eau. Un bébé à été observé en train de boire le liquide amniotique de son oeuf, avant d’en sortir. Ce qui est peut-être due au fait que celui-ci s’adapte à un environement sec pour conserver de l’humidité. Le woma est un python facile à maintenir et à reproduire. C’est un des reptiles les plus facilement manipulable disponible sur le marché. Il a tout les attributs d’un animal captif de par son tempérament et sa taille adulte modeste. Il a le potentiel pour devenir le python choisis par beaucoup d’éleveur.
  18. D’après: Aspidites melanocephalus ( krefft 1864) Python à tête noire Texte originale: Neil sonnemann La beauté saisissante de ce python est facilement identifiée par le noir brillant de sa tête sa gorge et son cou. Cet espèce est volumineuse et robuste la tête est légérement plus large que le cou, les lèvres ne possèdent pas de fossettes thermosensibles. Le corps et la queue sont de couleurs crèmes, jaunâtre, brun à brun-rougeâtre avec un grand nombre de bandes marrons ou noires. Les spécimens les plus occidentaux sont plus pale avec des bandes noires plus fines. Le ventre est est crème à jaune pale avec des taches sombres. Les deux sexes possèdent de petits éperons cloacaux et la queue n’est pas préhensile. Les spécimens peuvent atteindre 2,5 m. Les pythons à tête noire fréquentent surtout les prairies, les bois souvent dans les coins rocheux. Ils cherchent abris dans les cavernes, les crevasses les terriers et les cavités abandonnés, mais peuvent aussi creuser leur propre cavité lorsque la terre est meuble. C’est un python terrestre qui est nocturne bien que l’on puisse l’observer se réchauffant durant la journée. Il est suggéré que la couleur noire de la tête absorbant mieux la chaleur peut être dissimulé pendant que le reste du corps est exposé au soleil et aux prédateurs. Les proies de ce serpents sont quasi exclusivement composées de reptiles y compris des serpents venimeux et une grande variété de lézards. Ils peuvent aussi consommer de petit mammifère et des oiseaux. Des combats vigoureux avec des morsures entre males ont été rapporté. Les accouplements ont lieu en juin-septembre avec 6 à 18 oeufs pondu en octobre-novembre. Les éclosions ont lieu de novembre à janvier. Cette espèce se rencontre au nord de l’australie du nord de west cape, W.A à Gladstone, Qld. Management captif: Cette une espèce populaire chez les herpetologues simplement en raison de sa pure beauté. C’est une espèce facile à maintenir, et bien que les reptiles constituent la majorité de leur repas dans la nature, ils se contentent facilement de rongeurs. Un bon nettoyage, suivant le nourrissage est recommandé, car il y a de nombreux écrits relatants que l’un de ces serpents à tenté d’en mangé un autre. Généralement le python à tête noire est plutot calme cependant certain sujets peuvent se montrés menaçant, plaçant leur corps de façon à former un «S», souffler fortement et frappant bouche ouverte. Il n’y a que peut de tentatives réelles de morsures. Surtout que la morsure de cette espèce peut être douloureuse. Les males peuvent se battre et se mordre s’ils sont maintenus ensemble. Les données suivantes proviennent de l’élevage et des 33 pontes produitent par 14 femelles maintenues entre 1995 et 2005. Une très jeunes femelles fut obtenue en 1993, originaire du nord du queensland. Cette femelle fut la fondatrice de la colonie et était la progéniture de parents originaire de cairns et port douglas ( Naylor 1995). Les males sont originaire du queensland et du territoire du nord et proviennent d’éleveur amateur, animalerie et de parc naturel. Un gestion saine et standard est utilisé pour cette espèce. Chaque spécimen est logé individuellement dans une pièce chauffée et isolée. Les adultes requièrent des terrariums de taille généreuses et sont maintenus dans des enclos en bois mesurant entre 1 et 2 mètre carrés. Les juvéniles et les nouveaux-nés sont maintenus dans des boites en plastiques de 18 litres sur un rack d’étagère. Le substrat est constitué de roche écrasée utilisé pour la fabrication de route ( diamètre 7 mm), de couleur blanche, nettoyé dans une bétonnière pour éliminer saleté et les particules de poussières puis sécher à l’air. Une profondeur d’environ 75 mm est nécessaire. Les systèmes de chauffage inclus des spots chauffant, des cables entérrés dans le substrat et des blocs chauffants. Pendant la majeur partie de l’année la température de la pièce d’élevage durant la journée varie autour de 30°, avec une baisse jusqu’à 20° pendant la nuit. Des spots chauffant et des cables chauffant pendant la journée maintiennent la température de l’aire d’insolation au dessus de 30° avec une fluctuation de 30° à 42°. La température la plus basse l’air a été de 17° durant l’hiver. La durée du chauffage varie selon la saison avec un minimum de 8 à 9 heures en hiver jusqu’à 14 heures en été. Aucun chauffage ne fonctionne la nuit la température rejoignant celle de l’air ambiant de la pièce. Les pythons à tête noire se chauffe le jour se lovant dans leur cachette pour conservé la chaleur en hiver. Les températures sont cyclées pour provoquer les accouplement des pythons. Durant le printemps et l’été les températures sont maintenues dans une gamme étroites. Au début de la saison des amours en automne les températures hautes et basses sont modifiées graduellement, avec les plus basses enregistrées pendant l’hiver en juin et juillet. Les températures hautes sont accrues pour compenser la baisse des températures nocturnes et la diminution des durée d’éclairage. Les thermostats des lampes chauffantes sont réglés à leur maximum de 40° de l’automne jusqu’au printemps. La lumière naturelle fournit la photopériode naturelle pour le nord de victoria, australie. Les fournitures des enclos sont constitués de graviers, d’un bol d’eau et d’une cachette en contre-plaqué pour apporté un endroit de taille confortable au serpent. Les adultes sont nourris avec des rats de laboratoires. Ils sont nourris de proie fraichement tuées ou décongelées. La plupart prennent les proies sur le sol du terrarium. La fréquence des repas varie tout au long de l’année, les adultes cessant de se nourrir en avril et recommançant au printemps. Les femelles gravides refusent jusqu’à la ponte. Les juvéniles peuvent être nourris toutes l’année si ils sont maintenus au chaud l’hiver. Les adultes sont nourris à volonté du printemps durant l’été et l’automne et jusqu’a ce qu’ils cessent d’eux-mêmes en hiver. Les gros adultes acceptent 3 à 4 rats. Une technique d’assist-feeding à été développée sur un grand nombre de juvéniles et semble bien fonctionné. Une à deux fois par semaine ils sont laissés avec un rongeur mort dans une boite pour une courte période. Les rongeurs vivants ne sont pas utilisés car ils stressent les jeunes. Ceux qui n’ont toujours pas mangé sont assistés en utilisant une queue de rat humide introduite dans leur gueule, le coté le plus gros en premier, et pousser délicatement jusqu’à la moitié de la gorge. L’animal est alors replacé dans la boite avec le rongeur mort. La plupart avale la queue de rat après une initiale période d’hésitation. Cependant certain la régurgitent surtout si il perçoivent des mouvements. Pour ceux qui mange la queue il y en a parmis lesquels certains finissent aussi par manger le rongeur mort car il semblent le trouver plus facilement. Cette procédure est utilisé jusqu’à ce que les jeunes se nourrissent seul. Ce qui peut prendre un peu de temps pour certains. Quelques juvéniles ont eu besoins de plus d’une année pour se nourrir sans assistances. Parfois des juvéniles oublient comment se nourrir seul et ont besoins qu’on les assiste un ou deux fois encore pour recommencer à se nourrir seul. Pour la majorité cependant le premier repas est pris volontairement, il rate rarement les repas suivants, y compris lorsqu’ils sont en mue. Après avoir manger ils peuvent devenir agressif au point d’attaquer leur propriétaire, il vaut alors mieux les laisser seul. De l’huile de mutton-bird à été utilisé comme supplément mais aucune autre vitamine ou minéraux n’a été utilisé. Sexage: Le sexage se fait par sondage, la sonde s’enfonçant jusqu’à la 10-12éme écailles sub-caudales des males contre 2 à 5 chez la femelle. Accouplements: Les accouplements commencent en mai et continuent jusqu’à la mi juillet. Le male est toujours introduit dans l’enclos de la femelle. Il localise la femelle et la courtise sans délai.Si le couple est compatible les accouplements ont lieu durant les deux jours suivant l’introduction. Souvent aucun interet n’est montré par le male ce qui est sans doute dut au fait que la femelle n’est pas receptive où que le male est immature. Les deux sexes effectuent souvent une mue de pré-saison après un jeûne de quelques temps en automne, ils sont présentés à l’issue de cette ponte. Les males sont placés chez la femelle pour une semaine, puis enlevé une semaine avnt d’être à nouveau présenté pour le même laps de temps. Si plusieurs males sont présentés au différentes femelles cela peut être contre-productif car le male détecte la présence d’un précédent concurrent. Ce qui peut engendrer des combats avec la femelle plutôt que des accouplements ce qui a engendrées des blessures à quelques femelles. Si un couple compatible est trouvé, ils sont mis ensemble chaque année, ainsi les résultats semblent meilleur que si l’on changeait à chaque fois de male. La plupart des accouplement ont lieu en juin et vers la fin juillet, la plupart des activités sexuelles ont cessées. Les males sont retirés définitivement fin juillet. Ponte: La plupart des pontes ont lieu en septembre. On fournit au femelles des boites de pontes en bois avec un couvercle à charnière. Ce qui permet de l’inspectée avant et pendant la ponte, avec un minimum de désagrément. Du papier journal chiffonné est placé dans la boite ce qui permet à la femelle de s’isolée. Celui-ci est humidifié à l’aide d’un spray, quand la ponte approche. Quelques jours avant la ponte, les femelles sont souvent très actives parcourant l’enclos à la recherche du meilleur endroit pour construir leur nid. Le dernier, ou deux derniers jours avant la ponte, la femelle devient très recluse, s’aventurant rarement hors de la boite de ponte. Après que la femelle ai pondu son dernier oeuf, la ponte lui ai soustrait, et les oeufs sont séparés avant de les mettre en incubation artificielle. L’incubation maternelle, les oeufs étant laissés à la femelle, n’a jamais été tenté en raison des conditions trop sèches dans le terrarium et du fait que la femelle doit être nourris de nouveau le plus rapidement possible. Permettre à la femelle de se reposée une semaine puis nettoyer le substrat pour éliminer les odeurs dut à la ponte, a comme résultat que la femelle recommence à se nourrir. Incubation: L’incubation artificielle à été utilisée pour toutes les pontes en utilisant les techniques standards pour l’incubation des oeufs de pythons. Les températures d’incubation sont de 31,5°, +/- 1° Un ratio au oids de 0,8/1 est utilisé dans les conteneurs. Cette un mélange plus sec que pour la plupart des autres espèces de pythons, avec 500 gr de vermiculite mélanger à 400 ml d’eau dans un plat à cake. Chacun de ces conteneurs contient 6 oeufs à moitié enterrés dans la vermiculite, avec un espace large entre chaque oeuf. Les oeufs sont séparés immédiatement après la ponte et avant que ceux-ci n’adhère entre eux. Les oeufs du python à tête noire ont une coquille relativement mince et la séparation des oeufs peut malgré cela être effectuée quelques heures après la ponte. La plupart des oeufs sont d’un blanc pur lors de la ponte, et peuvet être mirer avec une petite lampe de poche pour voir si ils contiennent des vaisseaux sanguins, indication qu’ils sont fertilisés. Tous les oeufs qui semblent bons sont incubés, sauf ceux qui sont manifestement trop petit, jaunae donc infertile ou ceux qui ressembles à des limaces ( slugs). Eclosion: Le procéssus d’éclosion d’une ponte peut prendre une semaine entre le temps ou le premier est percé et le moment où le dernier serpenteau émerge. Les jeunes restent souvent un ou deux jours dans l’oeuf, lorsque leur tête est sortie hors de la coquille, avant finallement d’émerger de celle-ci. Lorsque le premier oeuf est percé ou au delà de 60 jours, tous les autres sont ouverts. Ce qui est effectué en faisant une incision dans la longueur sur le haut de l’oeuf à l’aide de ciseaux à ongle recourbés. Ce qui permet de s’assurer que les jeunes peuvent prendre leur souffle et sont coincés incapable de sortir pour quelconques raisons. Avec cette méthode un grand pourcentage de jeunes sont obtenus des oeufs fertilisés. La plupart des serpenteaux sortent sans assistances, cependant les plus faibles ou ceux qui ont une malformation doivent être aidé manuellement. Parfois les jeunes on besoin d’être séparé du reste du jaune d’oeuf si celui-ci n’a pas été absorbé après deux ou trois jours. Ceux-ci peuvent être plus petits et plus faibles que le reste de la ponte, cependant avec une nutrition adéquate il rattrape vite. Habituellement, les jeunes absorbent le reste du jaune dans l’oeuf et leur estomac est bien distendu lorsqu’ils sortent de leur coquille. Après les éclosions, tous les nouveaux-nés sont enlevés de la boite de ponte et placé individuellement dans une boite en plastique d’élevage aussi grand qu’un plat à gateau. Des graviers sont utilisés en guise de substrat et sont changé dès que nécessaire. Un petit plat d’eau et un bol en plastique servant de cachette sont ajoutés. Ces conteneurs sont acceptables pour les pythons à tête noire, mais pour une courte période seulement. Lorsque qu’ils deviennent trop grand, ils requièrent des enclos de tailles adaptés. Conclusion: Une variété de pathologie à impliquée le décès d’animaux captifs, les plus significatives étant les infections par des salmonelles. Il à été soupçonné que celle-ci provenait d’un lot de rongeurs, bien que les tests effectués sur les fèces des rats furent négatives. Ces bactéries se trouve facilement dans l’environnement et peuvent causer la mort lorsqu’elles sont présentes en grand nombre, particulièrement dans la nourriture. Elles sont souvent retrouvées dans la volaille, bien qu’aucun serpent ayant succombé au salmonelle n’eut été nourris d’oiseaux. Les parasites internes était plus présent durant les premières années, notamment les nématodes ( vers ronds) et les cestodes ( vers plats). Ces affections furent traitées avec du panacur ( fenbendazole) pour les vers ronds et du drontal ( praziquentel), qui sont des tablettes pour les chiens, pour les vers plats. Ces médicaments étaient dissimulés dans les repas et distribués ensuite. Les dosages furent obtenus dans le livre de Roger Klingenberg « Understanding reptile parasites» publié en 1993. Les juvéniles ne furent pas traités, car supposés exempt de toute infection. Deux juvéniles mourrurent car le jaune de l’oeuf était devenu dur dans leur estomac, créant une occlusion. Certains adultes sont décédé en raison d’un syndrome leur provoquant le fois gras, probablement en raison d’un surdosage en nourriture. Les 14 femelles ont pondus un total de 441 oeufs en 33 pontes entre 1995 et 2005. Dont 386 étaient fertile, 89% ont éclos. La plupart des accouplements ont été enregistrés en juin et la majorité des oeufs pondu en septembre. Les données sur les spécimens captifs incluent le temps entre l’ovulation et la ponte, qui à une moyenne de 50 jours, et la moyenne entre la mue de pré-ponte et la ponte est de 30 jours. L’effort de reproduction est calculé en pesant la ponte et la femelle à l’issue de celle-ci. ce qui donne le poids relatif pondu exprimé en pourcentage du poids de la femelle. L’effort moyen de reproduction obtenu est de 0,35. Ce qui signifie que le poids des oeufs est de 35% de celui de la femelle. La ponte la plus lourde pesait 172 gr, la moyenne pour une ponte fertile est de 132 gr. Il y eu un cas de jumeaux dans la ponte 30 lorsque deux serpents sortirent du même oeuf. Les deux était de petite taille et avaient une petite queue. Démarrer les juvéniles peut être un challenge pour l’éleveur, certains mangent dès le premier jour où après la première mue d’autre mettent des mois avant de se nourrir volontairement. Des données ont été notées sur 32 petits et, en moyenne, il leur faut quelques semaines pour démarrer. Deux d’entre eux acceptèrent leur repas après leur première mue. Une moyenne de huits ont été assistés avec une queue de rat pour démarré, dont 65% ont commencé à manger des souris et 35% des rats Frotter la proie sur un oiseau ou un lézard n’as pas semblé efficace pour initier la prise de nourriture. La couleur des bébés est variable entre les pontes mais également au sein d’une même ponte, certain étant très foncé, et d’autre très clair avec des bandes très marquées. Parmis les nouveaux-nés il y eu un spécimen axanthic quelques hypomelanique et des pinstripe. Deux adultes ont subi un changement graduel de couleur à chaque mue, des écailles blanches remplaçant les pigments noirs. Barker (1992) rapporte qu’au sein de l’élevage du zoo de dallas ou les pythons à tête noire furent soumis à des simulations de pluie journalière pendant 4 mois. Les pythons était brumisé et s’accouplaient pendant les deux mois suivant ces pluies. Ce qu’il a soupçonné être un stimulant pour le succès de le reproduction. Dans la présente étude les accouplement sont provoqués par la diminution des jours et la diminution des températures nocturne. La maturité sexuel intervient entre deux et trois ans, cependant Barker (1982) rapporte que ses spécimens n’ont pas montré de comportement sexuel avant 5 ans. Les femelles ont pondus vers l’age de 2,5 ans et le poids des pontes allait de 645 gr à 2167 gr. Les males ont montré un comportement sexuel dès 18 mois, cependant leur fertilité est meilleur lorsqu’il sont plus vieux et plus imposants. Multiplié les males ou utilisé les combats entre eux ne fut pas une stratégie considérée essentielle pour la production d’oeufs fertiles. En fait les meilleurs résultats furent obtenus en conservant les mêmes couples chaques années. Leyden et al. (1990) rapporte des accouplements infructueux au zoo de melbourne. Le male était introduit pour de courte période chez la femelle de début avril jusqu’à septembre. Une étagère en plexiglass était chauffé par une lampe chauffante et permettait au pythons de se thermoreguler avec des températures variant de 16° à 52° durant l’automne. Quelques oeufs furent perdus durant l’incubation, probablement en raison d’un excès d’humidité. Le point important pour réussir les accouplements est de donné accès à un point chaud et d’obtenir des fluctuations journalières significatives. LEs autres facteurs importants sont de séparer le male reproducteur de la femellle et de s’assurer que celle-ci est en bonne forme. Pour cette étude le plus important facteur pour la production d’oeufs fertiles est considéré de pouvoir fournir à la femelle gravide un bon point de chauffage. Shine (1991) donne une moyenne de 8 oeufs pour des sujets capturés. Au sein de l’élevage le nombre moyen est de 12 oeufs ce qui est sans doute due à une meilleur alimentation et à l’absence de parasite. L’effort moyen de reproduction sur 19 pontes est de 35% ( 22% à 47%), c’est le même résultat que Greer ( 1997) Un sex-ratio de 1,06 males à été obtenu sur 327 naissances, un sex-ratio de 1,84 ( 54 naissances) fut obtenu par slip & shine (1991) Le nombre de males et de femelles est à peu près similaire ( 169,158), cependant certaines pontes tendent à avoir plus de petits du même sexe, par exemple la ponte 24 les 5 bébés étaient des femelles. Le python à tête noire est facile à maintenir et à élever en captivité si ses exigences sont respectées. Il a le potentiel pour montrer des couleurs et des patrons de grande variété, et avec l’intérêt actuel pour les morphs il devrait continué à être populaire en captivité.
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