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erreur, Cyanea est une femelle

Salut, 2 melanota, 1 irregularis, 1 cyanea : Tous les individus sont adultes et de sexe mâle. Photo et renseignements sur demande et en MP. Disponibilité des animaux sur la Drôme mais possibilité de les acheminer sur la Lorraine. Tous cèdés avec attestation de capacitaire. Prix annoncé à la pièce : 200€

Désolé pas d'accès a la vente voir le règlement forum...................................20 postes min Ed Roger

le tout est d'éviter le surdosage, c'est souvent le pb car doser le pdt est difficile vu ce qui est donné. D'où la dilution. J'ai fait la manip sur des jeunes qui avaient 3 mois, donc tu vois si je m'étais planté ben ça se serait rapidement vu. Mais en dilution avec un produit qui casse hydrophobie du pdt (si on peut dire et en qque sorte) on obtient un dosage bien moins agressif et surtout plus uniforme... c'est tout l'intérêt du pdt vaisselle neutre. J'utilise ce support depuis de nombreuses années et je l'ai testé sur différentes espèces, vertébrées ou invertébrées, toujours avec grand succès.

Pour info je te copie une partie d'un post que j'ai mis dans la rubrique Boiga : Autre remarque sur le traitement des parasites externes du type ophionisus. Pas facile de doser un traitement pour des serpenteaux agés d'1 mois par exemple. Astuce utilisée avec succès : 1cm d'eau tiède dans une boite 24x10cm, 1 à 2 gouttes de produit vaisselle neutre, 1 à 2 gouttes de produit de traitement. On laisse le serpenteau dans cette sauce pendant qques secondes puis on le ressort sans l'essuyer et on le replace dans son enceinte de maintenance. Le produit vaisselle est un agent mouillant ce qui permet de répartir uniformément le liquide à la surface de la peau du serpenteau et permet également une dilution plus aisée du produit de traitement (souvent non miscible à l'eau). Dans mon cas 1 seule passe a été suffisante et le produit utilisé : Advocate (je te donne le lien de présentation que j'avais donné : www.emea.europa.eu/vetdocs/PDFs/EPAR/advocate/029703fr1.pdf+advocate&hl=fr&ct=clnk&cd=2&gl=fr&client=firefox-a)." target="_blank" rel="nofollow">http://209.85.129.132/search?q=cache:TJebMFikqIAJ:www.emea.europa.eu/vetdocs/PDFs/EPAR/advocate/029703fr1.pdf+advocate&hl=fr&ct=clnk&cd=2&gl=fr&client=firefox-a). Voilà, en espérant que ça puisse t'aider. Pour la quantité de produit de traitement descend à une goutte avec une seringue à insuline (j'avais un autre moyen de dosage et ça doit être équivalent à une goutte via seringue insuline).

exactement, et vu comment nos bestioles peuvent être vicieuses quelquefois, mieux vaut avoir des astuces !

T'inquiète, je ne dis pas non plus que c'est la meilleure, mais pour ma part c'est celle que j'ai préféré. Donc à chacun sa p'tite petite cuisine ! Ceci dit la technique du tube reste intéressante pour certaines interventions et dans certains cas.

J'ai essayé pas mal de chose, pour boiga et autres, le bain c'est bien OK mais pas toujours aussi efficace qu'il est dit (du moins je trouve). Dans le cas donné tu fais rentré petit à petit l'animal dans un tube pour isoler le risque potentiel (dans le cas de venimeux bien sur). C'est une technique largement employée dans les labos quand il y a besoin de bosser sur les bêtes en toute sécurité. Cette technique est d'ailleurs utilisée au CNRS à Chizé avec les vipères. Donc une fois que la bête rentre petit à petit (tu la fais rentrer) tu maintiens l'ensemble tube/bête le temps nécessaire sans aucun risque. Pour décoller la mue, une fois que les restes de peau sont passés à l'eau additionnée de 2-3 gouttes de pdt vaisselle neutre qui a le gros avantage bien mouiller tout ça, en frottant délicatement avec l'autre main, ça part tout seul. Tu fais une opération de cette façon et tu peux ensuite fiche la paix à la bestioles pas besoin de manip supplémentaire. Ceci dit c'est uniquement valable pour les restes de peau sur le corps. Cette technique est valable pour toutes les interventions à effectuer sur l'animal bien entendu, pas seulement pour la mue... qui devrait normalement bien se passer,... mais un accident peut toujours arriver. De plus l'utilisation d'un tube pour coiffer la tête de la bestioles au moins peut être bien utile pour bosser sur les grand individus en sécurité ; dans ce cas il faut être 2, un qui maintient l'ensemble tête tube (qui doit remonter sur le corps d'au moins 3-4 fois la longueur de tête) et l'autre qui intervient. C'est particulièrement valable pour venimeux, mais il ne faut pas oublier non plus que les quenottes de certains autres sans venin, et dans le cas de morsures particulières, peuvent être à l'origine aussi d'infections profondes et particulièrement mauvaises surtout si ce sont les articulations qui sont touchées. Ça peut paraitre excessif mais donner un niveau particulièrement important à la sécurité ça évite ensuite bien des soucis. C'est bien souvent l'habitude qui est à l'origine des erreurs rencontrées car on a tendance alors à baisser sa garde.

Normalement c'est du tube rigide mais c'est pas facile à trouver. Pour du jeune, le tube utilisé pour les aquariums (pour les filtres externes) peut convenir sans trop de difficulté ; et comme il est transparent c'est mieux pour zieuter l'affreusité qui y prendra place. Et quand tu as fini comme la facilité de faire reculer la bête n'est pas toujours au RDV, tu ouvres l'autre coté comme ça elle sort seule (mais tu fermes le temps de la manip). Pour virer les morceaux de mue, tu frottes délicatement avec les doigts et ça part tout seul.

Après avoir mis une petite participation dans la fiche melanota, un p'tit mot pour ceux qui ne connaissent pas et qui se demanderaient comment enlever les restes de mue sur l'animal en toute sécurité vu que j'ai vu la chose dans les différents postes : se reporter aux techniques utilisées pour les venimeux, c'est à dire utilisation d'un tube à peine plus gros de diamètre que l'animal. On y fait rentrer la bête et ensuite on peut travailler sur les différentes parties sans craindre les quenottes des pépères, d'autant qu'ils ont l'art et la manière de se déformer la gueule pour aller chercher le doigt qui ne serait pas trop loin. d'une main on peut alors maintenir l'ensemble bête/tube et de l'autre on peut bosser. Et là aussi la technique du pdt vaisselle neutre (très dilué) dans de l'eau marche très bien pour décoller les morceaux qui seraient restés collés.

me voilà pour préciser la matière active utilisée dans le cadre traitement ophionisus : Advocate (présentation du produit : www.emea.europa.eu/vetdocs/PDFs/EPAR/advocate/029703fr1.pdf+advocate&hl=fr&ct=clnk&cd=2&gl=fr&client=firefox-a)." target="_blank" rel="nofollow">http://209.85.129.132/search?q=cache:TJebMFikqIAJ:www.emea.europa.eu/vetdocs/PDFs/EPAR/advocate/029703fr1.pdf+advocate&hl=fr&ct=clnk&cd=2&gl=fr&client=firefox-a). Voilà je crois que le tout y est !

J'ai oublié de donner la matière active utilisée je regarde ce soir. Sinon pour la quantité de traitement j'ai utilisé une microcaps donc faudrait mieux se baser sur une goutte à partir d'une seringue insuline. Précisions en fin de journée.

le serpent se balade la tête en dehors du liquide. Résultat du traitement : 1 seul passe a été suffisante, sans réapparition ultérieure.

Juste une petite remarque sur le démarrage. Ils sont souvent un peu délicat à démarrer et j'en ai fait l'expérience avec les miens. Après avoir essayé pas mal de chose, j'en suis finalement arrivé à la technique utilisée pour les venimeux : une planchette en guise de plan de travail (contre-plaqué de 5) car moins froid que tout autre surface et reste bien fixe, avec une main maintien de la tête du serpenteau par l'arrière, de l'autre main avec pince apport du casse-croute. Dès que le casse-croute est dans la gueule du serpenteau (on lui taquine le bout du nez et il l'ouvre alors) on lâche tout rapidement puis on ne bouge plus. Cette manip est à faire dans la pénombre et il faut être patient, tranquille et assuré dans ses manips. Généralement ça marche impec. Il faut recommencer le temps que les serpenteaux acceptent relativement facilement le casse-croute (en titillant tout de même). Durant cette phase de démarrage, il faut les maintenir à une moyenne de 27,5°C constant, dans des boites relativement petites (25x15x8cm) avec un haut degré hygrométrique. Cette observation et technique est le résultat d'échanges avec différents éleveurs/chercheurs à travers différents pays. Pour info et pour faciliter le travail, il devrait être possible de travailler en lumière rouge qui a l'avantage généralement de ne pas perturber le comportement des animaux nocturnes ; mais il faudrait tout de même vérifier (méthode utilisée dans un labo où je travaillais). Autre remarque sur le traitement des parasites externes du type ophionisus. Pas facile de doser un traitement pour des serpenteaux agés d'1 mois par exemple. Astuce utilisée avec succès : 1cm d'eau tiède dans une boite comme celle donnée ci-dessus, 1 à 2 gouttes de produit vaisselle neutre, 2 gouttes de produit de traitement. On laisse le serpenteau dans cette sauce pendant qques secondes puis on le ressort sans l'essuyer et on le replace dans son enceinte de maintenance. Le produit vaisselle est un agent mouillant ce qui permet de répartir uniformément le liquide à la surface de la peau du serpenteau et permet également une dilution plus aisée du produit de traitement (souvent non miscible à l'eau). Voilà ma p'tite pierre à l'édifice !

2 terra en bois avec les vitres latérales. Reste à prévoir le sol (prévu à l'origine pour s'adapter à des bacs plastiques de type Curver d'où l'absence de sol) et le dessus. Les portes sont à prévoir aussi : des feuillures sont prévues pour y loger des portes coulissantes en façade. Aérations basses et hautes. Ce sont des bacs fabriqués maison et assemblage façon menuisier. Dimensions : 43x36x40cm (façade, profondeur, hauteur). Photo dispo sur demande (j'arrive jamais à les coller sous ce système) ! Prix de vente à la pièce : 27 € Localité : 54