Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

sylvain951

Membres
  • Compteur de contenus

    766
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par sylvain951

  1. :63: ont a l'impression qu'il pense : mais quesque tu m'emm**** toi avec ta cam !! tu voie pas que tu me stress !!! :67:
  2. heuuuuuu il est ou le bleu? moi je la vois grise
  3. y'a un pays ou il n'y a plus de barreaux horizontal je me demande si c pas le canada
  4. sylvain951

    quelques recettes "maison"

    ont doit trop bien manger chez marsu :42: et quesque l'ont
  5. ont se base sur ce qui se vend et pas sur le bien etre des oiseaux un oiseaux monde aussi bien sur les 2 types de barreaux. sushi et spyrou grimpe en general sur les barreaux verticaux. je vais te retourner la question nikita pourquoi met ont 2 coter avec barreaux horizontaux si c mieux l'inverse? c juste pour contanter les 2 parties
  6. pas de ta faute mais celle des fabricants qui suive un idee pres concue des proprios d'oiseaux qui pense c plus facile de se deplacer avec des barreaux horizontaux plutot que verticaux. la cage ideal serait une mini voliere d'interieur avec du grillage . ca fait un moment que je pense rajouter un grillage sur les faces avec des barreaux horizontaux mais j'ai jamais le temps. jusqu'au jours ou ils auront un probleme similaire
  7. oui plus cas attendre la prochaine grande mue et tout sera redevenue normal
  8. oui martin debut octobre, 1er ou 2 eme week end en fonction du boulot de lydie car elle bosse le week end. ont trouvera un moment pour se voir avant
  9. ca serait avec grand plaisir de faire du velo avec vous 2
  10. Je pense que comme beaucoup tu a des barreaux horizontaux sur au moins 2 faces. c une vraie saloperie c cage ! il suffit que pendant sa chutte sont aile sois passer entre les bareaux et que ca lui ai arracher des plumes. la cage ideal et la cage qui a seulement des bareaux verticaux. jean marie a eu je pense de la chance de ne pas s'etre casse ou luxer une aile
  11. surement un mauvais reve, ca arrive aussi de temps en temps aux miens. controle quant meme qu'il ne tombe pas des perchoirs quant il et reveillé. si c le ca visite chez le veto
  12. sylvain951

    Perruche royale

    va faloir l'aider a passer l'hiver, pauvre petite mere
  13. Perruche de Brehm Identification : Chez les mâles, la tête est brun-olive, se fondant dans les barres noires et vertes de la nuque. L'avant et les côtés du cou sont encerclés d'un collier jaune éclatant. Le manteau est légèrement barré de vert et de noir. Le centre du dos est très vert et s'intègre sans transition dans le vert-jaune barré de noir du bas du dos et du croupion. Les sus-caudales sont barrées de noir et de vert jaunâtre. Les ailes affichent une couleur vert foncé avec des liserés sombres sur les couvertures moyennes. Les rémiges sont noirâtres avec des filets extérieurs verts et une fine bordure jaunâtre. La courbure de l'aile est bleuâtre. Les couvertures sous-alaires sont vertes. Les parties inférieures sont totalement vert terne excepté les sous-caudales qui sont rouge écarlate. Le dessous de la queue est vert, le dessous noir grisâtre. Le bec est gris brunâtre avec des bords tranchants plus clairs et une pointe blanche. Les iris sont orange rougeâtre. Les pattes sont gris-vert. Chez la femelle, le croissant jaune est absent sur l'avant du cou. La poitrine et les flancs sont densément barrés de jaune et de noir. Les juvéniles ont la zone pectorale barrée de vert et de jaune. Leurs sous-caudales sont teintées d'orange avec une extrémité jaune. Le bec est clair. Chant : Perruche de Brehm jacasse, siffle. Les perruches de Brehm sont relativement silencieuses et il est plutôt rare de les entendre. Lorsqu'elles sont perturbées, elles lancent des notes courtes et profondes. En d'autres occasions, on peut entendre des notes rudes et bisyllabiques, certaines étant infléchies vers le bas. Elles sont suivies, après une pause d'une demi seconde, par une note nasale. Habitat : Les perruches de Brehm fréquentent les forêts de montagnes, plus particulièrement celles qui sont composées de podocarpes et de hêtres du genre Nothofagus. Leur habitat préféré se situe à la lisière des zones boisées, principalement à des altitudes qui varient de 1500 à 2600 mètres. Ce dernier s'étend généralement juste en-dessous de celui de la perruche peinte (Psitacella picta). Cependant, les limites extrêmes de leur territoire peuvent aller de 1100 à 3800 mètres. Dans la péninsule de Huon, au nord-est, il existe une zone, placée entre 2800 et 3000 mètres, où la perruche de Brehm et la perruche peinte cohabitent. Distribution : Les perruches de Brehm sont endémiques de Papouasie-Nouvelle-Guinée où elles vivent presque exclusivement dans les zones de moyenne montagne. Leur aire de distribution est morcelée en 3 parties : les monts Arfak dans la péninsule du Vogelkop, la chaîne centrale et les montagnes relativements élevées de la péninsule de Huon. 4 sous-espèces sont officiellement reconnues : P. b. brehmii (Vogelkop, dans le nord-ouest) - P. b. intermixta (monts Weyland, Snow Mountain et mont Goliath, dans le centre d'Irian Jaya) - P. b. harterti (péninsule de Huon, dans le nord-est) - P. b. pallida (chaîne montagneuse centrale, dans le sud-est de la Nouvelle-Guinée). Comportements : Les perruches de Brehm sont souvent observées en solitaire, mais elles peuvent vivre également en petits groupes. Elles ne sont pas timides et elles autorisent les rares visiteurs à les approcher d'assez près. Ces oiseaux passent une grande partie de leur temps à se nourrir juste en-dessous de la canopée mais ils peuvent descendre parfois jusqu'au niveau du sol. Toutefois, ils montrent une assez nette préférence pour les étages supérieurs de la végétation. Les perruches de Brehm peuvent rester immobiles pendant quelques temps. Ils se déplacent de façon paresseuse, utilisant souvent leur bec pour trouver leur équilibre. Ils n'évoluent jamais au-dessus de la cime des arbres. Lorsqu'ils sont effrayés, ils quittent précipitamment les zones herbeuses situées dans les trouées et ils se réfugient sous le couvert après un vol bref. Nidification : On connaît peu de choses sur les mœurs reproductives de ce perroquet. La saison de nidification commence vraisemblablement en février et se termine sans doute au mois de juin. Les perruches de Brehm nichent dans des cavités d'arbre. Le seul nid que l'on ait découvert dans le milieu naturel, se situait dans la vallée de Waghi, dans le massif des Snow Mountains. Il contenait deux oisillons parvenus à un stade de développement différent. L'un était presque totalement emplumé tandis que le plus jeune était encore recouvert de duvet. On ne possède pas d'autres renseignements, cet oiseau ne se reproduisant pas en captivité. Régime : Comme la plupart des perruches du genre Psitacella, la perruche de Brehm est presque entièrement si ce n'est exclusivement végétarienne. Elle se nourrit surtout de graines, mais elles apprécie également les baies et les fruits, à différents stades de maturité. Pour trouver sa pitance, elle prospecte à de nombreux étages des arbres, préférant toutefois les niveaux supérieurs. Protection / Menaces : La population est répandue géographiquement mais elle n'est pas très dense. Les effectifs mondiaux sont estimés environ à 100 000 individus. L'espèce est classée comme de préoccupation mineure. Elle n'est pas l'objet de la convoitise des amateurs de volières car son taux de mortalité en captivité est très élevé. Sources : ◦Parrots, Tony Juniper ◦Parrots of the World, Joseph M. Forshaw ◦Vol. 4 - Handbook of the Birds of the World, Josep del Hoyo-Andrew Elliott-Jordi Sargatal ◦Avibase, Lepage Denis ◦Wikipédia, Wikipedia, The Free Encyclopedia ◦World Parrot trust, ◦IOC World Bird List (v2.10), Gill, F and D Donsker (Eds). 2011.
  14. Perruche de Barnard Identification : Chez cette perruche dont le plumage est à dominante verte, le capuchon et les côtés de la tête sont vert brillant mais les joues sont légèrement teintées de bleu. Une petite bande rouge traverse le front. La nuque brun-olive est soulignée par un collier jaune qui encercle l'arrière du cou. Le bas du dos est bleu sombre. La poitrine et l'abdomen sont bleu-turquoise, séparés l'un de l'autre par une bande transversale jaune qui est plus ou moins large. La courbure de l'aile affiche une couleur bleu-vert qui déborde sur les petites couvertures. Les grandes couvertures sont vert jaunâtre. Les secondaires sont bleu terne, contrastant avec les primaires et les couvertures primaires qui sont bleu foncé. Le dessous des ailes est bleu. Le dessus de la queue est formé de rectrices centrales vert foncé avec des pointes bleues et des rectrices extérieures bleues avec des pointes pâles. Le bec est gris blanchâtre. L'étroit anneau orbital est gris uni. L'iris est brun sombre, les pattes grises. La femelle a des couleurs plus ternes que son partenaire. Le dos et le bas du dos affichent une couleur gris-vert foncé. Le dessous des ailes est grisâtre, avec une bande claire plus ou moins visible. Les immatures sont encore plus ternes que les femelles. Ils ont la nuque et l'arrière du capuchon brunâtres. Le bleu des joues est souvent plus développé. Le dos et le croupion sont gris-vert. La bande sous-alaire est habituellement visible. Chant : Perruche de Barnard jacasse, siffle. Les perruches de Barnard sont généralement moins bruyantes que les perruches à collier jaune. Leur répertoire, moins fourni, comprend un cri d'alarme rude et métallique ainsi qu'une sonnerie aiguë "kling-kling-king" ou "put-kleep, put-kleep", assez semblable mais moins stridente que celle de leur proche cousine. Les perruches de Barnard émettent également des "chuk-chuk-chuk" ou des "kwink-kwink" quand elles se nourrissent dans les arbres. Elles sont plus silencieuses quand elles sont à terre. Habitat : Les perruches de Barnard occupent les zones arides de mallee composées presque exclusivement d'Eucalyptus gracilis. On les trouve également dans les broussailles d'acacias et de cyprès avoisinantes ainsi que dans une grande variété d'habitats assez semblables. La race qui vit dans le nord marque une nette préférence pour les gommiers rouges (E. camalduensis) qui bordent les cours d'eau temporaires et affiche un mode de vie plus arboricole. Les perruches de Barnard sont généralement moins répandues dans les zones habitées et dans les régions plus humides. Distribution : Cette espèce est endémique du sud-est et du centre-est de l'Australie. Son bastion est constitué par les Nouvelles-Galles-du-Sud mais son aire déborde également sur l'état de Victoria et l'Australie Méridionale au sud, ainsi que sur le Queensland et le Northern Territory au nord. Deux sous-espèces sont officiellement reconnues : B.b. barnardi (centre du Queensland, Nouvelles-Galles-du-Sud, Victoria, sud-est de l'Australie Méridionale) - B.b. macgillivrayi (nord-ouest du Queensland et Territoire du Nord avoisinant). Comportements : Les couples et les petits groupes familiaux constituent généralement les unités sociales de base, les grandes bandes sont rares. Les perruches de Barnard sont moins hardies et moins curieuses que les perruches à collier jaune, mais dans l'ensemble, elles partagent les mêmes habitudes et les mêmes parades. Elles sont particulièrement minutieuses et mettent un long moment pour préparer leur nid, remplissant le fond de la cavité de copeaux et de sciure de bois et y aménageant une petite dépression douillette pour y déposer leur ponte. Le mâle qui courtise bavarde continuellement et se tapit devant sa promise. Pendant la parade, il hausse les épaules et les ailes, les faisant vibrer légèrement. Comme la plupart des autres espèces de perroquets, ces oiseaux rongent et mâchouillent le bois, soit pour apposer leur marque personnelle à leur arbre favori, soit pour élargir l'entrée de la cavité. Cette activité leur permet de maintenir leur bec en bonne condition. Les perruches de Barnard adoptent des mœurs sédentaires, mais elles peuvent parfois effectuer de courtes migrations en raison des changements climatiques. Nidification : Le nid est situé dans une cavité naturelle d'arbre. La ponte comprend généralement 4 ou 5 oeufs qui sont déposés sur une couche de petits morceaux de bois en décomposition. Dans le nord, le début de la nidification est fortement influencé par les conditions climatiques et la reproduction coïncide habituellement avec l'apparition des premières graines après la saison des pluies. Dans le sud, la période des nids commence en juillet ou en août et la saison peut se prolonger jusqu'au mois de janvier quand il y a une seconde couvée. L'incubation dure environ une vingtaine de jours. La femelle couve seule. Les jeunes oisillons quittent le nid au bout de 5 semaines mais restent au sein du groupe familial en compagnie de leurs parents pendant quelques temps encore. Dans la chaîne des Flinders, en Australie Méridionale, les perruches de Barnard s'hybrident avec les perruches à collier jaune et produisent une race connue en taxonomie sous le nom de B.b. whitei. Régime : Les perruches de Barnard partagent les mêmes habitudes alimentaires que les perruches à collier jaune. Elles sont principalement végétariennes, consommant des graines, des fruits, du nectar et des fleurs. Leur menu est complété par des insectes et des larves. Quand elles se restaurent, elles recherchent leur nourriture en compagnie de perruches flavéoles, à tête pâle ou à bonnet bleu. Elles partagent également la compagnie de perruches à croupion rouge (Psephotus haematonotus). Protection / Menaces : L'espèce est considérée comme commune sur l'ensemble de son aire de distribution. La population mondiale est évaluée à environ 500 000 individus et elle paraît stable. Néanmoins, elle paraît moins capable de s'adapter aux changements qui sont intervenus dans son habitat que la perruche à collier jaune. La perruche de Barnard est appréciée comme oiseau de compagnie mais les oiseaux en captivité sont relativement peu nombreux. Sources : ◦THE AVIANWEB, Sibylle Faye ◦Parrots, Tony Juniper ◦Parrots of the World, Joseph M. Forshaw ◦Vol. 4 - Handbook of the Birds of the World, Josep del Hoyo-Andrew Elliott-Jordi Sargatal ◦Wikipédia, Wikipedia, The Free Encyclopedia ◦Birds in backyards and in the Wild, ◦Avibase, Lepage Denis ◦IOC World Bird List (v2.10), Gill, F and D Donsker (Eds). 2011. Photo : http://www.mesoiseaux-noirmoutier.com/html/becscrochus/la%20perruche%20de%20barnard.html
  15. Perruche peinte Psittacella picta [url=https://servimg.com/image_preview.php?i=177&u=16590062][/url] Ordre : Psittaciformes Famille : Psittacidés Taille : 18 à 19 cm Poids : 48-68 gr Identification : Chez les adultes, la tête est majoritairement châtain-brun, toutefois les couleurs du capuchon sont plus brillantes et plus chaleureuses alors que celles des joues sont plus ternes et plus grisâtres. Un étroit collier jaune orne la nuque et les côtés du cou. Le manteau est entièrement vert avec des barres noires. Le croupion et les couvertures sus-caudales rouges sont également barrés de noir. Les ailes affichent une couleur verte avec des liserés jaunes sur les filets extérieurs et sur les rémiges. Le dessous des ailes est vert jaunâtre. Le menton est brun, la partie supérieure de la poitrine porte une tache centrale bleue. Les couvertures sous-caudales sont rouge-brique. Le reste des parties inférieures est d'un vert moyen, légèrement plus clair que celui du desssus. Le dessus de la queue est vert foncé. Le dessous de la queue est gris-noir. Le bec est gris-bleu pâle avec une pointe blanchâtre. Les iris sont rouge-orange, les pattes gris sombre. Chez la femelle, le collier jaune est absent. Les joues sont teintées de bleu. La poitrine est barrée de noir et de jaune. Les parties supérieures sont plus abondamment rayées. Les juvéniles sont semblables aux femelles. La race excelsa est plus brun-olive que la nominale. La race lorentzi est celle qui possède les caractères les plus originaux : capuchon brun-olive, joues et oreillons bleu-vert, croupion et sus-caudales jaunes rayés de noir. Chant : Perruche peinte jacasse, siffle. Son répertoire est assez varié, il est composé de divers cris assez semblables à ceux de la perruche de brehm. Le cri principal varie selon les régions : en effet, les populations de l'est émettent un "nhrr-a-rehn" musical avec une légère tonalité nasale tandis que celles de l'ouest lancent un "err-ee" disyllabique. Un "tschi-ziddd" ou "chee-zeeddd" rude peut être également entendu en sourdine. Habitat : Les perruches peintes habitent les forêts de montagne où elles apprécient particulièrement les lisières et les clairières. On les trouve également dans les forêts moussues rabougries, dans les boisements secondaires ainsi que dans les broussailles alpines et subalpines. Ces oiseaux peuvent descendre jusqu'à 1370 mètres d'altitude. Dans le sud-est de leur aire de distribution, elles ont tendance à descendre plus bas qu'ailleurs. Cependant leur habitat préférentiel se situe entre 2400 et 4000 mètres, juste au-dessus de celui de la perruche de brehm (Psittacella brehmii). Distribution : Les perruches peintes sont endémiques de Nouvelle-Guinée. Leur aire de distribution couvre exclusivement la chaîne montagneuse centrale et exclut les autres parties montagneuses de l'île. Cette espèce est généralement divisée en 3 races : P. p. picta (sud-est de la Nouvelle-Guinée, y compris la chaîne Stanley Owen) - P. p. excelsa (montagnes du centre de l'île) - P. p. lorentzi (régions montagneuses de l'ouest, Snow Mountains, Irian Jaya). Comportements : Les perruches peintes sont des oiseaux calmes et peu craintifs, à l'allure paresseuse. On peut les observer soit en solitaire, soit en couples ou même en petits groupes pouvant atteindre jusqu'à six individus. Il n'est pas rare de les rencontrer au sein de rassemblements mixtes en compagnie de perruches de Madarasz. (Psittacella madaraszi). Elles recherchent leur nourriture dans les buissons bas ou sur le sol. Elles trouvent refuge dans des végétaux plus élevés quand elles sont dérangées et obligées de s'enfuir. Nidification : La saison de reproduction se déroule vraisemblablement du mois de juin au mois d'août. Les juvéniles sont assez nombreux en octobre. La taille de la ponte est inconnue (sans doute 2 ou 3 œufs comme les autres espèces du genre Psittacella). Régime : Les perruches peintes ont un régime exclusivement végétarien. Elles consomment des graines, des petites baies et des fruits. Elles apprécient particulièrement les fruits des conifères du genre Dacrydium. Ces oiseaux prospectent à l'étage inférieur des arbustes et dans les broussailles. Protection / Menaces : D'après "The World Parrot Trust", en accord avec Tony Juniper, la population mondiale est supérieure à 100 000 individus. Selon le Handbook, cette espèce, bien que relativement dispersée, peut être localement commune. En dépit de son aire restreinte, elle est classée comme "de préoccupation mineure" par les différents organismes ornithologiques. Sources : ◦Vol. 4 - Handbook of the Birds of the World, Josep del Hoyo-Andrew Elliott-Jordi Sargatal ◦Parrots, Tony Juniper ◦Parrots of the World, Joseph M. Forshaw ◦Avibase, Lepage Denis ◦Wikipédia, Wikipedia, The Free Encyclopedia ◦World Parrot trust, ◦IOC World Bird List (v2.10), Gill, F and D Donsker (Eds). 2011.
  16. :63: c'etait ca la petite voix que j'ai entendu courant d'apres midi :67: merci daniele, tu veut que je t'envoye un cheque pour le sexage?
  17. sylvain951

    mes BB eclectus

    :63: :63: :63: j'en reve
  18. Cacatoès à tête rouge ou Cacatoès Gang-Gang Ordre Psittaciformes Famille Cacatuidae Genre Callocephalon Nom binominal Callocephalon fimbriatum Statut de conservation UICN : LC : Préoccupation mineure Le Cacatoès à tête rouge ou Cacatoès gang-gang (Callocephalon fimbriatum) est une espèce de cacatoès australien. Cet animal est l'emblème du Territoire de la capitale australienne. Description : Cet oiseau pèse en moyenne 250 grammes (pouvant aller jusque 280 g) pour 34 centimètres de long (valeurs extrêmes de 32 et 37 cm). Le plumage est gris avec des rayures blanches. Le mâle a une tête avec une crête rouge tandis que la femelle est entièrement grise avec une petite huppe grise. Il a un cri facilement reconnaissable rappelant une porte qui grince ou le bruit d'une bouteille de vin qu'on ouvre. L'immature ressemble à la femelle, le jeune mâle présentant un peu de rouge à la tête. Distribution et habitat : Cet oiseau habite dans les bois des régions froides et humides des Alpes australiennes dans le sud-est de l'Australie où il peut vivre dans la neige se nourrissant de fruits d'eucalyptus. Il a été introduit sur Kangaroo Island. Mode de vie : Ces oiseaux vivent en bandes d'une cinquantaine d'individus sauf pendant la période de reproduction où ils vivent en couple. Ils demeurent dans les arbres et ne descendent sur le sol que pour boire ou ramasser des fruits. Alimentation : Ils se nourrissent de fruits d'eucalyptus, d'acacias et d'aubépine, une plante importée. Ils se nourrissent aussi d'insectes. Reproduction : La femelle pond généralement deux œufs dans un nid construit en creusant un tronc d'arbre. La couvaison a lieu d'octobre à janvier et dure 28 à 30 jours. Les jeunes demeurent au nid environ huit semaines. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cacato%C3%A8s_%C3%A0_t%C3%AAte_rouge
  19. Pione violette La pione violette (Pionus fuscus), est une espèce de pione, oiseau de la famille des Psittacidae. taille Je mesure 24 cm Description Certains sont vraiment bruns, tandis que d'autres sont plus violacés sur le ventre, d'autres très clairs de couleur et certains mâles ont un superbe reflet argenté sur le dos. Distribution Sud-est du Venezuela, Guyane, Suriname, Guyane française et nord du Brésil. Petite population au nord de la Colombie. Habitat Régions boisées. On en trouve rarement en zones découvertes. Nourriture Granivore, herbivore. comportement Je vis en couple ou en petit groupe et nous aimons passer la plupart de notre temps a cueillir fruits et baies en haut des grands arbres de la forêt équatoriale. Notre cri est très puissant et nous nous montrons agressifs quand il s’agit de défendre notre femelle. Nous tenons notre nom de la couleur de notre poitrine. En captivité, nous sommes répandu seulement en outre-Atlantique où nous faisons de parfait compagnon eam ou maintenu en couple dans une volière. Reproduction La Pionus fuscus est un maître agressif dans sa volière. Surtout en période de reproduction, il s’approche de son soigneur, avec les plumes de la queue grandes ouvertes, en se bombant le dos et relevant les plumes du cou. En faisant un maximum de bruit, il essaye certainement de protéger de cette manière sa femelle. Au printemps, lorsque le temps le permet, ils vont pondre de 3 à 5 œufs. L'accouplement d'une femelle de 2 ans avec un mâle de 3 ans ou plus donne de bons résultats. En général, ils couvent à partir du premier ou second œuf pendant 26 à 30 jours. Sexage Il n'existe quasiment pas de différence visuelle entre mâle et femelle. La façon la plus sûre est d'utiliser le sexage à l'aide de l'analyse de l'ADN de l'oiseau, qui se pratique grâce à quelques plumes. Captivité Il a la plus forte voix parmi les Pionus, mais heureusement il ne la fait pas souvent entendre.
  20. sylvain951

    J'ai réussi!!!!

    super, effectivement avec le temps tu poura lui faire seul et a la limite comme moi sans l'emmitouflé dans un tissus
×
×
  • Créer...