StefdeMonac

Merci pour cette bourse très sympas! Cela permet aussi de nous retrouver entre membres, et manger ensemble! Le plateau repas était très bien! La galette super bonne!! Bref pour 10€ nous avons super bien manger! Merci à ceux qui ont jouer le jeu afin de permettre aux passionnés de pouvoir se faire plaisir dans leur achats. Maminou, Guy, merci, votre bourse reste un évènement en cette saison qu'on aime à profiter!

A demain aprem, je vais manger après tout le monde mais tans pis!

Du fait que je n'ai ni Rac ni de décante je pensais que du coup ça en rentrait pas entièrement dans la méthode berlinoise... j'avais un doute.

Je croyais que c'était un mélange des deux?

Ouhlala non je ne serais jamais experte, mais j'essai d'apprendre tout ce qui est à ma portée et avec les années j'espère y arrivé!

Je pense qu'il faut un minimum de connaissances en récifal et en aquariophilie pour se lancer dans cette méthode qui demande un moindre cout financier mais bon.... J'ai cherché pas mal de rapport d'expérience personnelles sur cette méthode Jaubert et il m'en reste surtout le fait que beaucoup de bacs ont clashés à plus ou moins long terme. Et parfois par la suite certains sont revenus à la méthode berlinoise car l'écumeur rien que lui jouant le rôle du poumon du bac, aide beaucoup. Personnellement, je fais la méthode Jauberlinoise, c'est un mélange des 2 méthodes principales. Beaucoup font ainsi...

Je vous ai rééditer mon 1er post avec un shéma dont j'ai cité bien évidemment la source.

La méthode Jaubert n’a besoin que d’un plenum, sable, pompes de brassage. Cette méthode se sert des sédiments ,du sable, du brassage et de la lumière pour recréer un milieu naturel. Le principe se base sur la dégradation biologique des substances ( défections, surplus de nourritures) et réalise de ce fait le cycle de l’azote. source: http://aquanimplanete.forumactif.org/t382-methode-jaubert Si la couche de sable est suffisamment épaisse et la granulométrie adaptée, un gradient d'oxygène dissous va se former dans ce sable vivant. Les bactéries aérobies de la nitrification (ammonium-->nitrites-->nitrates) vont se développer dans la couche de sable supérieur tandis que les bactéries anaérobies hétérotrophes de la dénitrification (nitrates-->azote) vont s'installer dans la couche inférieur. Un tel système peut donc théoriquement s'il est bien installé avec un sable bien ensemencé, boucler le cycle de l'azote sans recours à des changements d'eau importants nécessaires à l'élimination des nitrates s'accumulants en bout de cycle. Et la réalité semble donner raison à la théorie puisque dans son bac expérimental un suivi des paramètres sur une période de quatre ans montre que la concentration de nitrates n'a pas dépassée les 0.35 mg/l avec 0.013 mg/l au bout de quatre ans! Quant au calcium, celui-ci a évolué dans une fourchette de 460 à 520 mg/l qui doit faire rêver certains d'entre nous. Inutile de préciser que cette concentration de calcium s'est maintenue sans apport externe de calcium. Jaubert suggère que la dissolution du sable de corail grâce aux sécrétions acides des micro-organismes permet le maintien de concentrations élevées de calcium et un pH variant de 7.8 le matin à 8.25 le soir. Précisons tout de même que dans ce système, le passage de l'eau n'est pas forcé à travers la couche de sable mais que les ions et les gaz circulent par diffusion passive. Les composés jaunissants l'eau semblent dégradés par un mécanisme inconnu, peut-être par les bactéries hétérotrophes de la dénitrification (nécessitant une source de carbone pour vivre). Ce système serait-il parfait ? Jaubert et al après avoir étudiés et comparés les flux de carbone et de calcium d'un pâté corallien de la Mer Rouge et du mésocosme de 40 m3 du musée océanographique de Monaco, ont conclu que les bilans de calcium et de carbone sont semblables dans les deux cas et sont caractérisés par une calcification et une dissolution très intense. Jaubert et al reconnaissent cependant que le mésocosme est tout de même sujet à une légère eutrophisation celle-ci pouvant sans doute être réduite grâce à quelques petites améliorations. Cette technique, bien que séduisante, demande la maîtrise de paramètres qui ne sont pas très bien définis comme l'épaisseur de la couche de sable, sa granulométrie et le type de sable utilisé. De plus, plus que toute autre, elle nécessite beaucoup de patience et de retenue pendant la phase d'acquisition des invertébrés et des poissons. Pour ces diverses raisons et malgré les résultats indiscutables enregistrés avec cette technique au Centre de Biologie Marine de l'Université de Nice-Sophia Antipolis, à l'Observatoire Océanologique Européen de Monaco, et au Musée Océanographique de Monaco, l'installation de ce système me semble difficilement conseillable à des aquariophiles non expérimentés. source: http://aquariocatss.free.fr/aquariophilie/Recifal-marin/technique_maint_invertebre.html

Hé oui mireille le but n'est pas de vous assommer d'articles de contenus sans intérêts. Celui-ci explique aussi le coût si vous en faite le tour..... ça chiffre très vite en récifal, ça je confirme. Faut réellement que cela soit une vrai passion, sinon on ne s'en sort pas et on ne fais pas les économies nécessaires pour investir dans le bac quand besoin est. L'idéal c'est d'avoir eu la chance que j'ai eu pour me lancer avec des dons que j'ai eu pour mon 140L. Mais bon j'y ai dépenser aussi pas mal d'argent pour l'aménager et là avec mon 200L, ça a fait mal... mais j'ai un réel plaisir tout les jours à le comtempler; je n'ai jamais eu autant de plaisir avec l'eau douce et pourtant c'est par là que j'ai commencé car cela était bien plus abordable..... et les bettas j'avais eu le coup de foudre pour ces poissons.

Merci

La méthode berlinoise en quelques mots: L’histoire de l’aquariophilie récifale moderne n’est pas très ancienne, nous disposons cependant d’un recul d’une vingtaine d’années pour juger des résultats obtenus avec les diverses techniques et expérimentations. Parmi toutes les solutions évaluées ayant des résultats positifs, une se dégage particulièrement : La méthode berlinoise. Cette technique doit son nom à Dietrich Stüber et aux aquariophiles de Berlin et aussi à Peter Wilkens en Suisse. Cette technique a fait ses preuves chez de nombreux d’amateurs. Ses règles sont clairement exprimées, compréhensibles et faciles à mettre en œuvre pour un débutant. Le développement de l’aquariophilie récifale doit beaucoup à cette technique qui permet la réalisation d’aquariums aptes à la conservation des invertébrés sur plusieurs années. La méthode berlinoise repose sur un fonctionnement naturel et l'utilisation en quantité suffisante de petits détritivores , de décomposeurs et de pierres vivantes assurant l'épuration biologique au sein même de l'aquarium. Cette filtration biologique naturelle de l’aquarium fait l’objet d’une analyse détaillée dans le chapitre consacré aux ‘Techniques de filtration’. Sachez que les pierres vivantes sont des débris coralliens abritant une importante microfaune détritivore réalisant la filtration biologique et cela jusqu'à la dénitrification (recyclage des nitrates). Les biologistes nomment ce processus le cycle de l'azote. La méthode berlinoise nécessite, en plus des pierres vivantes : Un filtre écumeur puissant et correctement dimensionné, Un éclairage intense, Un brassage très efficace. source: http://microrecif.ovh.org/choix.htm Un petit shéma: source: http://aquariocatss.free.fr/aquariophilie/Recifal-marin/technique_maint_invertebre.html

Mais est-ce que nous nous posons la bonne question ? Bien que les mandarins exercent une forte pression sur la microfaune et sur la meiofaune, mais tout autant sur le tout petit plancton, de type brachionus, invisible à l’oeil nu, peut-on arriver à la conclusion que cette espèce de poisson serait néfaste pour la microfaune,la meiofaune et le zooplancton de l’aquarium comme le pense beaucoup de recifalistes ? La plupart des recifalistes s’accordent à dire qu’un mandarin va dépeupler totalement toute la microfaune de l’aquarium rendant ainsi impossible toute forme de micro-vie. Et bien nous sommes en mesure d’affirmer que rien n’est moins sûr … En effet nous avons pu constater chez daphbio que les cas où la microfaune, meiofaune est totalement absente dans un aquarium sont souvent les cas ou contrairement à l’idée reçue, il n’y a pas de prédateurs de microfaune, meiofaune, micro zooplancton, dans ces aquariums. En fait, là où il n’y a pas de poissons, d’invertébrés et bien nous avons pu constater qu’il y a souvent très peu, voir pas du tout de microfaune et de zooplancton. Dans le cas contraire dans un aquarium avec des petits poissons délicats et même des mandarins, la microfaune toute minime soit-elle, est quand même toujours présente, bien sur dans de toutes petites quantités mais malgré tout elle est là. De là à dire que les mandarins, les petits poissons délicats, entretiennent la microfaune il n’y a qu’un pas et ça ne serait pas complètement faux de le penser. Nous le savons les mandarins vont ingérer tout au long de leur vie des quantités importantes de Copepodes, micro-vers, larves de Gammarus, amphipodes, mais aussi les oeufs de cette même microfaune. Ces oeufs ont souvent une coque assez rigide et une fois dans l’estomac du poisson ils ne meurent pas nécessairement tous, bien au contraire, les acides gastriques du poisson vont perforer les parois de la coque des œufs et permettre l’éclosion des larves, leur dispersion et la colonisation du biotope par rejet des voix rectales du poisson. Les larves trouvant ainsi à disposition des bactéries, des enzymes, du micro-plancton, des matières en décomposition, qui vont assurer leur survie. Ces constats ont été effectués suite aux mutiliples visites chez des recifalistes, mais aussi grâce aux mails que nous recevons tout au long de l’année des quatre coins du monde. Certains biologistes d’aquariums nationaux, des chercheurs d’état spécialisés dans les micro-crustacés, nous expliquent que bien souvent les micro-organismes pathogènes ou non, se servent d’animaux supérieurs, poissons et mêmes certaines fois des oiseaux, pour assurer leur survie et leur propagation. Nous pouvons conclure que oui les mandarins et les petits poissons délicats de nos aquariums sont de gros prédateurs de microfaune, meiofaune, micro-plancton, zooplancton, mais que par leur quête incessante de nourritures vivantes, ils contribuent aussi à la propagation de la microfaune, meiofaune, bactério-plancton dans l’aquarium, lui permettant ainsi d’occuper le biotope. N’hesitez plus à vous faire plaisir en achetant ce splendide poisson sachant que daphbio peut intervenir pour entretenir votre microfaune. La microfaune s’entretient en moyenne tous les 6 mois. Benoit Lo Cascio Créateur, fondateur des produits biologiques daphbio Source : Daphbio http://www.recifalnews.fr/tags/ccs/article%2Bsur%2Bla%2Bmicrofaune/ Perso, j'ai eu un mandarin il a vécu 6 mois..certes je l'ai eu beaucoup trop tôt (erreur de débutant trop pressé), mais je n'ai eu cesse d'entendre dire qu'il est difficile d'en maintenir un et de maintenir sa microfaune tout de même..... bref, cet article me laisse perplexe!

Oui je trouve que c'est un très bon tuto!

Ben d'avoir envie c'est facile, le faire c'est pas si simple sans connaissances et expériences auprès de récifalistes de longue date....... y'a de tout ce n'est pas évident je trouve de faire bien.

Hé oui quand je vais à la marée, j'observe beaucoup surtout aux beaux jours, quand on a la chance de finir un peu avant que l'eau remonte, j'aime bien regarder tout ce qui se passe mais on observe pas de la même manière que dans un aquarium c'est clair! Si à l'occasion tu veux avancer voir mon bac, fais signe!

C'est un concentré de souches bactériennes spécialement destiné à éliminer l'excès de matières organiques et à réduire l'ammoniaque, les nitritres et les nitrates dans les aquariums marins et récifaux. Ca se présente genre ça:

Pour faire suite à ce topic, j'ai lu cette page web; je trouve qu'elle résume fort bien comment s'y prendre pour se lancer dans le récifal et surtout ce que cela va entrainer à faire pour maintenir ce bac! http://www.aquafolie.com/aquariophilie-aquariumeaumer.html

Ah ok j'ai cru que j'allais devoir te faire un cours d'informatique!

Suis contente que tu sois enfin passé voir!

Voilà je me demandais lorsqu'on utilise la méthode VSV (vodka, sucre, vinaigre), peut-on passer à l'utilisation d'un bio dégradeur en relève? L'un est-il plus révélateur de résultats que l'autre? Par contre, ce que je vois c'est que le bio dégradeur reste sans doute moins contraignant que la méthode VSV. Car si la VSV on en revient chaque jour à injecter sa dose, le bio dégradeur lui c'est un dosage une fois par semaine. C'est tout de même plus confortable, car perso il m'arrive d'oublié pour la VSV. Sur le net de tout ce que j'ai pu parcourir, entre la VSV dont tout le monde semble se méfier ( surtout la peur d'un crash du bac), et le bio dégradeur dont il semblerait souvent que ceux qui l'ont utilisés n'en sont pas satisfait, difficile de savoir réellement ce qu'il est bon de faire pour son bac quand on a beaucoup d'algues. Et vous une expérience perso? un rapport d'expérience d'autrui? vous feriez quoi?

Voilà, après avoir lu tout un tas de polémiques concernant l'ajout de Vodka dans son bac récifal pour faire baisser les nitrates et phosphates, j'ai fini par trouvé cette page web que je vais partager. Il va de soi de retenir que de jouer aux apprentis chimistes sans maitriser quoique ce soit par la suite en va de la santé de votre vivant dans votre bac. Je partage cet article afin de faire un peu la lumière sur cette méthode; je le trouve claire et posé maintenant à vous de juger ce que cela peut vous apporter. http://le840latiti62.space-blogs.net/blog-note/154913/methode-vodka-en-aquarium-recifal.html Petite réflexion personnelle ceci étant: Personnellement, je vous ai posté ce lien car j'utilise la méthode VSV car je suis très envahi d'algues et je n'en viens pas à bout. J'ai commencé cette méthode à raison de 2ml tout les jours dans mon 140L, puis je continue actuellement dans mon 200L. J'avoue arracher moins souvent les algues qu'avant et vu mes NO3 et PO4 diminuait mais bon je reste à des taux assez élevés. Maintenant après avoir vu la vidéo de monsieur Nitrobacter, je me dis que lorsqu'il évoque la stabilité d'un bac même avec des taux importants de NO3 et de PO4, l'éssentiel reste surtout de ne pas jouer au yoyo en somme surtout si les taux ont tendances à se répéter dans les même chiffres...enfin c'est ce que je crois avoir compris..... bref je retiens que le taux 0 n'est pas apparemment primordial, tant que le bac semble suivre un bon rythme... Bref, je suis loin d'être calée sur la question mais j'essai d'en débattre à mon petit niveau alors à vous de voir ce que vous voulez relever dans mes dires..... toutes critiques positives comme négatives est bienvenues évidemment!

Voilà un article sur CapRécifal fort intéressant d'un membre "Alexiamoi" qui à construit une rampe led, et pris le temps d'en faire un tuto. Je reste admirative des idées de personnes comme ça qui arrive a bout de leur bricolage, chapeau! Je vous partage donc le lien: http://www.cap-recifal.com/page/articles.html/_/materiel/rampe-%C3%A0-leds-by-geff-r14

Après visionnage de cette vidéo, je dois avouer que cela m'a beaucoup apporté en compréhension sur le rôle des bactéries dans un bac récifal. Ce que je retiens surtout c'est l'importance de la microfaune dans le bac... Monsieur Alain Tortey: Je le trouve fort intéressant à écouter et enrichissant! Je ne le connaissais pas maintenant je sais qui est monsieur Nitrobacter:bsmi: Un homme comme lui lors d'une soirée débat serait vraiment passionnante. Voilà sur le site cap récifal cette vidéo est visionnable; prenez le temps si vraiment vous êtes conquis par le milieu récifal où avait envie de mieux comprendre son fonctionnement: http://www.cap-recifal.com/page/articles.html/_/videos-biolo/bact%C3%A9ries-microfaune-nitrates-et-des-phosphates-r65

Oui c'est long à se stabiliser et ça fonctionne par étapes surtout, pour ça chaque chose en son temps afin de créer un bon équilibre dans le bac par la suite et surtout sa stabilité. Comme tu dis! Merci! Ah alors là pour éviter que ça prolifère partout, j'arrache tout les 10/15 jours les algues comparés à y'a quelques mois, j'en arrachais 1 fois par semaine. Je le fais pour éviter surtout l'étouffement des coraux, et puis c'est surtout que c'est moche quand ça dégénère! Mais bon si j'en ai cela prouve que j'ai du nitrate/phosphate en grosse quantité et donc ça ne va pas du tout! Sinon pour l'huître dans le bac j'en ai 3 vivantes oui! Hier j'ai remis 3 petoncles aussi vu que dans mon détroquage, on en avait pas mal ( mais pas assez gros pour les manger ni les vendre surtout donc on va les reparquer). Puis y'avait 6 bernards lermite aussi que j'ai rajouté dans mon bac vu que j'en avais qui sont mort dernièrement... ils ont dû se battre, car des fois cela arrive quand ils se chamaillent la même coquille ( je les ai vu faire une fois, c'est vrai!!!). Bref hier soir j'observais les petoncles s'ouvrir dans mon bac... c'est curieux, ça semble avoir ne bouche sur l'avant et des mini tentacules qui cherchent la nourriture quand c'est actif... sympas de les observer ainsi!