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Admin-nature-biodiversite

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Messages posté(e)s par Admin-nature-biodiversite


  1. C'est quoi ton délire ??

    Antigone a écrit:
    Je suis arrivée sur ce forum en faisant des recherches sur les oiseaux marins.
    Le forum s'appelle "Nature et biodiversité".

    Sur ce forum, j'ai rencontré la haine. Cette haine ne me concerne pas, elle arbitraire et résulte de frustrations personnelles de certains membres de ce forum.
    On a fait mon procès et celui de tout les agriculteurs.
    On m'a accusé d'une multitude de choses, on a même poussé, par une façon acharnée de presser de questions, de dévoiler mes opinions politiques et à me positionner sur le loup et l'ours!


    Ugatza a donc raison, tu déformes tous les propos !! Je pense maintenant que c'est toi qui a un réel problème, si tu parles de haine c'est que tu en ressens.
    Personne ne t'as accusé de quoi que ce soit...Personne ne t'as obligé comme tu veux le faire croie a "dévoiler tes opinions politiques, a te positionnner sur sur le loup et l'ours"...personne n'était derrière toi pour te menacer et te dire sur quelles touches de ton clavier il fallait appuyer...tu l'as bien fait en toute connaissance de cause, il me semble...alors comme l'a dit Ugarza, ce n'est pas les Bisousnours ici, si tu acceptes le débat tu assumes !!

    Citation :
    Si le nom "Nature et biodiversité" avait été le juste nom pour ce forum, je n'aurais pas subit un tel acharnement anti éleveurs. Cela prouve que ce nom n'est pas le bon, puisque il s'agit avant tout de mener un combat pour le loup et l'ours, un combat anti éleveurs. Cela n'a rien à voir avec la nature et la biodiversité.
    Il me semble important de le souligner.

    Bref, voilà l'exemple parfait d'une mauvaise dérive que l'on peut rencontrer sur internet.



    Es-tu vraiment sûre de ce que tu avances...l'élevage n'interfère en rien avec la nature et la Biodiversité...il n'y a que les gens de mauvaise foi pour affirmer cela...Peux-tu répondre aux conséquences des antibiotiques que font ingurgiter à fortes doses les éleveurs à leurs bovins ?? En ont-ils conscience de ces consèquences ??

    Et enfin pour répondre à ton accusation...

    Je ne pense pas que les principaux centre d'interêt des membres de ce forum soit ceux que tu décris avec "une haine consommée" vérifie par toi même :



    Dans les dix premiers sujets les plus actifs et les plus vus depuis 3 ans que le forum existe, je ne vois pas apparaitre tes principales préoccupations !!! c'est à dire le"combat anti-éleveur et agriculteurs" ni le combat pro loup et ours !!! bizarre non !!

    Alors à mon tour de te poser le question...pourquoi tant de haine à notre égard...si le forum et ses utilisateurs ne te convient pas...tu vas sur sanglier.net, le blog du Grand charnier, ou le forum de Louis Dollo...ou d'autres...ce ne sont pas les forums ou tu pourras t'exprimer sans contradiction qui manquent...
  2. Ridicule


    Demachy a écrit:
    merci je le prend comme un compliment mais c'est surtout que dans le cadre de ma scolarité j'ai eu une intrvention "grands prédateurs" donc si ca vous tente j'ai 50 pages à lire sur le loup Very Happy?


    Si tu as un site internet ou tu peux le mettre en .pdf ou en .doc pourquoi pas Laughing Ou si tu n'as pas tu peux me l'envoyer par e-mail et je le mettrai en ligne Very Happy

  3. SCIENCES - Par Matthieu DURAND a écrit:


    Les organisateurs de la manifestation en faveur de l'ours, prévue samedi à Luchon, ont décidé vendredi de la transférer à Toulouse. La sécurité n'aurait pas pu être assurée face aux menaces des "anti-ours". René Rettig, maire de Luchon, fait part à LCI.fr de son indignation.


    Créé le 02 juin 2006
    Mis à jour le 02 juin 2006 à 16h38

    "Ce devait être une fête familiale, ce n'est plus possible". Bagnères-de-Luchon (Haute-Garonne) devait accueillir samedi une manifestation en faveur de l'ours. Elle se déroulera finalement à Toulouse, "par mesure de sécurité". René Rettig, maire (UMP) de Luchon, cache difficilement son indignation. La décision a été prise par les organisateurs du défilé à la suite d'"informations alarmantes" recueillies vendredi matin, au lendemain du quatrième lâcher d'ours dans les Pyrénées (lire l'article).

    "Nous avons eu confirmation qu'il y aurait eu des exactions et des empêchements d'organiser ce rassemblement", a indiqué vendredi le maire à LCI.fr, précisant que certains participants à la manifestation avaient été "menacés de violence". Un décor paysager, réalisé par les jardiniers de la ville pour l'occasion, a même été incendié dans la nuit de jeudi à vendredi. Un escadron de 80 gendarmes devait éviter tout débordement samedi. Mais "une manifestation à Luchon aurait été trop dangereuse et n'aurait rien apporté, sauf des pleurs et des mises en responsabilité dont nous n'avons pas besoin", a poursuivi René Rettig.

    "Menaces intolérables"

    Bernard Moules, le secrétaire général de la Fédération régionale des syndicats d'exploitants agricoles (FNSEA), avait prévenu jeudi : "Si par malheur on lâche un nouvel ours, je ne sais pas si la fête pourra se tenir". Selon René Rettig, il s'agit de "menaces intolérables dans un pays où l'expression de l'opinion et le droit de manifester existent". Et de se déclarer "amer de voir à quel point on ne respecte plus grand-chose dans ce pays quand il s'agit d'opinions qui s'opposent".

    Dans une lettre ouverte publiée jeudi, l'élu local s'en prenait aux "députés, conseilleurs généraux, élus consulaires" qui se servent de l'ours et des éleveurs comme un "alibi à l'inaction" et qui mettent de l'huile sur le feu. "Ce n'est pas possible d'arriver à ce point d'exaspération et d'incompréhension pour un problème somme toute secondaire parmi ceux de la société française", déclare-t-il encore.

    "Un geste"

    Le transfert de la manifestation "doit être perçu comme un geste" de bonne volonté à l'égard des éleveurs, insiste le maire, qui leur "demande de reprendre leurs esprits et d'être à nouveau capable de dialoguer". Il rappelle d'ailleurs qu'il avait permis aux "anti-ours" de défiler à Luchon, le 6 mai dernier. "Les éleveurs ne peuvent pas se considérer comme les seuls à exploiter la montagne sans entraves", pointe-t-il. Car, selon lui, le débat sur la présence de l'ours dans les Pyrénées pose avant tout la question de l'avenir du pastoralisme mais aussi des activités qui peuvent survivre dans ces régions (lire : "Il y a manipulation et récupération politiques des anti-ours").

    En attendant la reprise du dialogue, René Rettig craint à l'avenir qu'il y ait "probablement des meurtres d'ours dans les Pyrénées, par accident ou volontairement" (lire : "Du poison anti-ours retrouvé dans les Pyrénées").

  4. SCIENCES - Par Matthieu DURAND et Diane HEURTAUT (avec AFP) a écrit:

    Un quatrième ours slovène, le premier mâle, a été lâché dans la nuit de jeudi à vendredi dans les Pyrénées, malgré la présence non loin d'opposants. La veille, les ministères de l'Ecologie et de l'Agriculture ont autorisé l'abattage de six loups en 2006.

    Créé le 02 juin 2006
    Mis à jour le 02 juin 2006 à 15h15

    Il s'appelle Balou. Il a 4 ans. Son parrain est un certain Gérard Depardieu et sa marraine, Fanny Ardant. Un nouveau lâcher d'ours slovène a eu lieu à 1 heure du matin vendredi à Arbas, commune montagneuse de Haute-Garonne, malgré la présence à 50 kilomètres, à Bagnères-de-Luchon, de manifestants anti-ours. Balou, 88 kilos, est le quatrième ours slovène lâché dans les Pyrénées depuis le 25 avril, début le campagne de réintroduction de cinq ours slovènes en France. Premier mâle de la série, il rejoint ainsi Palouma lâchée le 25 avril à Burgalays (Haute-Garonne), Franska lâchée le 28 à Bagnères-de-Bigorre (Hautes-Pyrénées) et Hvala lâchée le 17 mai à Arbas (Haute-Garonne).

    Tensions anti / pro-ours

    Les autorités ont donc réussi l'opération malgré les anti-ours qui barraient les routes alentour. La nouvelle n'a d'ailleurs été divulguée qu'à l'aube, laissant le temps au plantigrade de s'enfoncer dans la forêt. Tous les lâchers réalisés jusqu'alors ont été perturbés par les éleveurs qui voient en l'ours un prédateur de leurs troupeaux et un danger pour les populations. A chaque fois, les équipes chargées d'organiser le lâcher de l'animal ont dû changer de lieu à la dernière minute pour déjouer les manifestants.

    La veille, le Plan ours avait pourtant subi un revers. Afin d'apaiser les esprits, le deuxième lâcher d'ours prévu sur la commune de Bagnères-de-Bigorre (Hautes-Pyrénées) avait été suspendu, à la demande du ministère de l'Ecologie, "par volonté d'apaisement". Ce vendredi, après le lâcher de Balou, le conseil général des Hautes-Pyrénées a voté à une large majorité une motion demandant l'abandon du plan gouvernemental. Ce vote entérine le rapport d'une mission du conseil général qui considère notamment que "les conditions de l'acceptation sociale (de la réintroduction de l'ours) n'ont pas été réunies".

    Samedi, une manifestation pro-ours est organisée à Bagnères-de-Luchon (Haute-Garonne). Pour empêcher tout débordement, comme à Arbas le 1er avril dernier, un escadron de gendarmes mobiles (80 hommes) sera notamment mobilisé. Dans une lettre ouverte, le maire de Luchon, René Rettig (UMP), a dénoncé mercredi les actes de violence commis par certains "anti-ours" et s'en est pris aux "députés, conseilleurs généraux, élus consulaires" qui se servent de l'ours et des éleveurs comme un "alibi à l'inaction". Appelant à la reprise du dialogue, le maire milite pour "donner leur place au pastoralisme et à notre faune sauvage".

    Six loups à abattre

    Autre grand prédateur, dont la présence en France suscite un vif débat, le loup. Les ministères de l'Ecologie et de l'Agriculture ont publié jeudi au Journal officiel "l'arrêté fixant les modalités d'effarouchement et de prélèvement de loups pour 2006". En clair, les autorités autorisent l'abattage d'un maximum de six loups dans neuf départements du Sud-Est de la France (1). Ces "prélèvements sur la population des loups" peuvent intervenir dans la mesure où "il est nécessaire de prévenir des dommages importants aux élevages" et où "il n'existe pas d'autre solution satisfaisante", précise l'arrêté.

    Selon les autorités, le "tir de défense peut être déclenché plus rapidement qu'en 2005 : après sept jours de réalisation effective de l'effarouchement et à la suite de deux attaques faisant au moins une victime" alors qu'en 2005, "il fallait attendre trois semaines effectives d'effarouchement et quatre attaques faisant des victimes". Parmi les autres allègements : pour qu'il y ait "attaque", il faut avoir identifié "au moins une victime indemnisée", et non plus des victimes. "Ce niveau de prélèvement ne portera pas atteinte à l'état de conservation de l'espèce dans notre pays", assurent encore les ministères. Une espèce protégée tant en France qu'au sein de l'Union européenne.

    Ferus, qui se présente comme "l'association nationale qui protège les loups, les ours et les lynx", admet la nécessité de "quelques tirs ponctuels de défense des troupeaux" mais "sous strictes conditions". A savoir : "quand le nombre de loups est assez élevé, et quand toutes les mesures de prévention des attaques et d'effarouchement ont été mises en place et ont échoué". Or, l'association "estime qu'avec une centaine d'individus présents en France (à plus ou moins 30% près), le loup est encore très fragile". Elle craint que dans certains cas, tuer un loup revienne à "éliminer le [prédateur] de tout un massif".

    (1) Les départements concernés sont l'Ain, les Alpes-de-Haute-Provence, les Hautes-Alpes, les Alpes-Maritimes, la Drôme, l'Isère, la Savoie, la Haute-Savoie et le Var

  5. 20 Minutes.fr - B. Colin a écrit:

    Pourquoi et comment réintroduit-on des ours slovènes dans les Pyrénées ?


    Rappel en huit points.

    - Population

    Début 2005, on recensait 14 à 18 spécimens dans les Pyrénées.Deux mâles et un ourson sont de souche pyrénéenne, les autres sont issus de la réintroduction d’ours slovènes réalisée en 1996 et 1997.

    - Historique

    Les ours ont toujours été présents dans le massif. Au début du XXe siècle, ils étaient 150. A la fin des années 1980, il n’en reste que 7 à 8, d’où le lancement du plan de réintroduction.

    - Adaptation

    Selon les spécialistes, l’espèce slovène a le même comportement que celle de souche pyrénéenne.

    - Attaques

    Depuis janvier, une quarantaine d’attaques sur des troupeaux et des ruchers imputables aux plantigrades ont été recensées. En 2005, on en comptabilisait 98.

    - Pertes

    Sur 20 000 à 30 000 pertes annuelles d’ovins, on estime que 200 sont dues à l’ours.Entre 1996 et 2005, il a attaqué en moyenne 125 animaux domestiques et 20 ruchers par an.

    - Aides
    Pour accompagner la réintroduction, des aides au pastoralisme ont été mises en place: achat de chien patou pour garder les troupeaux, financement de clôtures. Elles sont jugées inadaptées et insuffisantes par les éleveurs.

    - Indemnités

    En cas de dommages, le berger touche au minimum 300 euros.

    -Lâchers

    Deux ours doivent être lâchés d’ici à cet été. Le maire de Bagnères-de- Bigorre a demandé la suspension du second lâcher sur sa commune. Le ministère devra trouver un autre site.
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