Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

Loulou34

Membres
  • Compteur de contenus

    2 633
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Loulou34

  1. Loulou34

    Insectoquizz

    non, un indice elle vit au bord de l'eau qui court !!! C'est plus un indice là c'est quasiment la réponse
  2. Loulou34

    Insectoquizz

    T'es dans la bonne famille
  3. au 300 mm, avec beaucoup de patience et énormément de photos ratées
  4. Calopteryx haemoroïdalis Aeschna juncea
  5. Loulou34

    Hydromorphologie fluviale

    Je viens de réaliser .... je connais le coin j'y suis passé ! Bon stage.
  6. Loulou34

    Hydromorphologie fluviale

    Ben oui, on ne laisserait sans doute plus faire, il faut être très attentif à ce que l'on fait dans le lit majeur d'un cours d'eau. Si l'aménagement est assez solide pour résister aux crues (le plan d'eau à Allos a résisté à la crue de 1994 alors que le Verdon a fait des dégâts énormes tout autour) il serait intéressant de savoir ce qui se serait passé si le Vercon avait pu s'épandre sur la zone du plan d'eau s'il n'avait pas été là. De plus les plans d'eau réchauffent l'eau, favorisent l'évaporation donc accentuent les étiages. Désolé pour le délai de réponse j'étais en vacances !!! Je peux t'envoyer le rapport en pdf contacte moi en MP.
  7. Loulou34

    La corrida

    Je connaissais cette chanson, je la trouve magnifiquement ciselée. Du grand Brel quoi !
  8. Loulou34

    QUESTIONS/REPONSES INSECTES

    Petit point de vocabulaire, c'est pas une chrysalide mais une exuvie !!! Sinon aucune idée ni pour le stade, ni pour l'espèce !!!
  9. Loulou34

    Ornithoquizz

    Aigle botté ! J'y aurais jamais pensé spontanément ...
  10. Loulou34

    Ornithoquizz

    C'est pas un Balbu, c'est sur !!! Pfiou, allez j'en tente encore un, j'ai pas peur du ridicule ... Bonelli ???
  11. Loulou34

    Ornithoquizz

    Hum, tu serais pas de retour sur les bords de la Loire, toi ???? Balbu ???
  12. Loulou34

    Hydromorphologie fluviale

    Oui, le genre d'aménagement qui serait impossible aujourd'hui, une véritable gageure ! Mais bon, grandement pourvoyeur d'intérêt touristique, on touche là un point sensible, difficile à négocier mais aujourd'hui on a des arguments.
  13. Loulou34

    Hydromorphologie fluviale

    C'est sur, en même temps, c'était pas destiné au grand public. C'est que la première partie d'un document technique qui traite de mode de restauration des cours d'eau.
  14. Loulou34

    Hydromorphologie fluviale

    Désolé la mise en page a sauté lors du copié/collé ... bon courage ...
  15. Loulou34

    Hydromorphologie fluviale

    1- Notions essentielles Un cours d’eau érode, transporte et dépose des sédiments. Ce faisant, il sculpte son lit au gré des crues et des étiages. On caractérise son fonctionnement selon quatre dimensions : - La dimension longitudinale qui caractérise les flux de l’amont vers l’aval ; flux liquide et transport solide. - La dimension latérale qui caractérise le cours d’eau au sein de son lit majeur et sa capacité à y déplacer son lit mineur. - La dimension verticale qui caractérise les échanges entre les milieux superficiels et souterrains, les dépôts et les reprises de sédiments sur le fond. - La dimension temporelle, qui replace les trois premières dimensions dans le temps et permets de « lire » l’évolution de la morphologie d’un cours d’eau au gré des événements morphogènes de son histoire. Un cours d’eau façonne son lit en fonction de différentes variables. Des variables de contrôle qui vont prédéfinir le style fluvial comme le débit liquide, le débit solide, la pente de la vallée, la capacité de mobilisation du substrat (cohésion, nature géologique, couverture végétale du bassin versant.). En outre il s’adapte aux crues et étiages par des variables de réponse (ou d’ajustement) comme la géométrie de son lit (largeur, profondeur, pente du fond, amplitude et longueur d’onde des sinuosités), la taille des sédiments transportés et la vitesse du courant. L’eau ne s’écoule pas de manière linéaire et uniforme de l’amont vers l’aval. Le courant décrit un mouvement hélicoïdal qui a tendance à éroder l’extérieur des sinuosités du cours d’eau et à déposer des sédiments sur l’intérieur. A terme, le lit a tendance à se déplacer vers l’extérieur de la courbe. C’est ce phénomène qui est à l’origine de la divagation des lits en zone de piémont et des recoupements de méandres en zone de plaine, phénomène grandement pourvoyeur de diversité d’habitats (bras morts, noues, lônes, lacs d’oxbow …). Les berges des cours d’eau sont soumises à de nombreuses contraintes. L’eau et les sédiments transportés usent les berges provoquant des affouillements qui engendrent des effondrements. La pression de l’eau en crue sur les berges sature le sol mais maintient la berge. La décrue peut alors entraîner des glissements de la berge. Ces phénomènes perturbent l’hydraulique du cours d’eau, dirigent les flux vers une berge ou l’autre créant de nouveaux points d’érosion. Hors période de crue, le cours d’eau effectue un tri granulométrique de son lit, les sédiments qui restent en place entre deux crues morphogènes sont les éléments les plus grossiers du lit. Ils constituent une couche d’armure qui dissipe l’énergie et diversifie les écoulements et les habitats. Tous cela contribue à la « vie » du cours d’eau, à son apparence jamais définitive, qui évolue au gré de son histoire. 2- Les têtes de bassin en zone de plaine : Cas particulier Tous les cours d’eau ne naissent pas en montagne ! De nombreux affluents, contributeurs d’hydrosystèmes complexes, voient le jour en zone de plaine. Ils sont caractérisés par une dénivelée très faible entre la source et la confluence, leurs étiages sont très marqués mais leurs bassins versants pouvant être considérables, leurs crues sont conséquentes. Ils obéissent bien évidemment aux lois énumérées en 1- mais leur faible pente et la quasi absence d’alimentation continue en sédiments grossiers issus de l’érosion des massifs montagneux engendrent des particularismes qui méritent attention et réflexion. En zone de plaine, le cours d’eau installe son lit, décape une partie du sol mobilisable par son énergie et mets à jour des sédiments issus de la décomposition du socle d’un diamètre supérieur à ce qu’il peut transporter. Son lit est donc composé d’une part de sédiments plus fins qu’il transporte, dépose ou reprend au gré des crues et d’autre part de sédiments grossiers qui ne peuvent pas être mobilisés. Ceux ci contribuent à la diversité des écoulements et des habitats. Quand le lit divague, le processus de mise à jour d’éléments grossiers reprend et le décapage permet l’alimentation du transport solide en matériaux plus fins. L’énergie d’un cours d’eau, donc sa capacité à éroder, divaguer est liée au volume d’eau transporté et à la vitesse du transport. Les faibles pentes des zones de plaine et la situation de tête de bassin ne contribuent pas à favoriser ces variables. Du coup les phénomènes hydromorphologiques y sont très lents. Le style fluvial adopté, contre toute attente, a tendance à être méandreux à l’instar des grands fleuves de plaine. Cette lenteur influe également sur la capacité de résilience du cours d’eau face à une agression. En effet, c’est l’énergie du cours d’eau qui va lui permettre de retrouver son équilibre dynamique après un curage, un recalibrage ou un rescindement de méandre. A l’échelle humaine, ces cours d’eau n’ont aucune chance de pouvoir retrouver leur gabarit ou de reméandrer par l’érosion et le dépôt. Pour retrouver un profil hydromorphologique cohérent l’intervention humaine est inéluctable. Les cours d’eau de notre sujet d’étude ont été rectifiés pour être le plus rectiligne possible afin d’optimiser les capacités hydrauliques. Cela a pour effet de priver le cours d’eau de son substrat d’origine, surtout des sédiments grossiers qu’il n’a pas la capacité de transporter. Lorsque le lit est étroit, le cours d’eau retrouve de l’énergie lors des crues mais ne peut mobiliser que le fond de son lit et s’incise jusqu’à couler sur le substratum rocheux érodant celui-ci, phénomène irréversible. Lorsque son lit a été élargi, son énergie est affaiblie et a tendance à ralentir encore plus les vitesses d’écoulement donc d’annihiler toute capacité d’érosion et de transport. Dans un contexte ou l’autre, les seules particules transportées sont des limons et des sables, contributeurs du colmatage du fond et de l’uniformisation des habitats. Quelques désordres morphologiques peuvent ponctuellement être constatés au droit de seuils mal calés élargissant encore plus le lit ou le surcreusant.
  16. Loulou34

    Hydromorphologie fluviale

    J'ai ça en stock, c'est la première partie d'un document que j'ai réalisé. Je vous le livre, ça peut toujours intéresser deux ou trois masos
  17. Bon puisque personne ne réagit aux photos du chien, je m'y colle. Il me semble bien d'ailleurs qu'on les a déjà vu passer ces photos. D'abord absolument aucunes traces autour du cadavre, il a visiblement été jeté là par quelqu'un ! Ni traces de lutte, ni traces de sang dans la neige. Surtout, qu'il manque pas mal de morceaux au cadavre Ensuite les traces de pattes dans la neige. Comparées au cadavre, elles sont énormes, démesurées et à mon avis ne peuvent pas appartenir à un loup ni à aucun chien d'ailleurs Enfin, la photo de l'agent de l'oncfs me parait bizarre, le cadrage, la "texture" de la photo. Bref tout cela me semble tenir du canular. D'ailleurs comparez avec les photos publiés en même temps qui montre bien une scène de prédation. Edit : Ce bestiau, il lui manque le train avant et la colonne vertébrale, j'ai jamais vu ça, ce n'est absolument pas courant comme mutilation !!! En plus, vous imaginez la force nécessaire pour briser la colonne vertébrale ? Sans laisser aucune trace dans la neige, désolé je n'y crois pas du tout.
  18. Je dois quand même avoir beaucoup moins de chance d'en voir passer que des pierregarin sans les chercher, non ?
  19. Ben voyons ... Je fais avec ce qui me passe sous le nez, plutôt photographe opportuniste que chasseur d'images
  20. Loulou34

    Ornithoquizz

    J'aurais dit la même chose !
×
×
  • Créer...