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Tout ce qui a été posté par walter.3
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Rat brun (Rattus norvegicus) : prévention et lutte L’arrêté royal du 19 novembre 1987 rend obligatoire la lutte contre le rat brun (Rattus norvegicus Berk., aussi appelé rat gris, rat d’égout ou surmulot). La mise en œuvre de la lutte relevant du « responsable » au sens juridique du terme, elle concerne donc tout occupant public ou privé. Qui est le rat brun ? Le rat brun est un rongeur commensal de l’homme. Il est présent dans le monde entier et cause d’importants dégâts : destruction de biens, de nourriture, souillures et vecteur de maladies. L’adulte est long d’environ 25cm, plus une queue d’environ 20 cm. De couleur brun –gris, les poils hirsutes. Son poids peut dépasser 400g. Le jeune est d’une couleur plus grise. Pour s’installer, le rat a besoin de 3 choses : -un logis : un sol meuble, il aime creuser sous un support (dalle de béton, débris, déchets…) mais peut s’en passer s’il n’a pas le choix pourvu qu’il puisse creuser. -de la nourriture : parfaitement omnivore, le rat profite des aliments pour hommes ou animaux, des déchets de compost, de poubelles, bref, de tout ce qui est comestible et accessible. S’il en a l’occasion, il mange également des œufs ou de petits animaux (jeunes par exemple) et peut devenir cannibale face à des congénères blessés ou en cas de disette. -de l’eau : le rat a d’énormes besoins en eau et sa présence est liée à celle d’un point d’eau accessible (égout, ruisseau, mare, abreuvoir, piscine,…). Le rat est un animal sociable qui vit généralement en colonies hiérarchisées dont la taille dépend des ressources disponibles. Par besoin ou par opportunisme, des individus peuvent quitter la colonie pour s’installer ailleurs et en fonder une nouvelle. Une colonie peut comprendre plusieurs centaines d’individus sur quelques ares. Sa capacité de multiplication est très importante : 3 semaines de gestation, une dizaine de jeunes par portée, une maturité sexuelle à 6 semaines, jusqu’à 7 portées par an… Une jeune colonie dans un endroit favorable se développe rapidement. Plusieurs indices permettent de détecter sa présence : vue d’un individu, objets rongés, sacs grignotés, déjections, galeries (trou d’une petite dizaine de cm de diamètre avec le cas échéant un tas de déblais étalé à l’entrée), couloirs de passage. Empêcher qu’il ne s’installe La meilleure façon de se débarrasser du rat brun est… de ne pas en avoir ! Pour cela quelques mesures simples permettent d’empêcher l’installation d’une colonie, ou au moins d’empêcher qu’elle puisse s’accroître de façon importante, causant de gros dégâts et rendant la lutte difficile et onéreuse. -le logis : boucher ou grillager les anfractuosités, les trous, les égouts, tuyaux, soupiraux,… qui permettent aux rats de se déplacer et de s’abriter en sécurité. Eviter les tas de déchets, de débris, le bric à brac ou le bois stocké indéfiniment dans des endroits accessibles. -la nourriture : stocker la nourriture dans des récipients fermés, des remorques, des silos,…. Ne pas nourrir les animaux à l’extérieur, particulièrement le soir ; nourrir les animaux dans des bâtiments sur sol en dur, inaccessibles aux rongeurs, ou utiliser des mangeoires à bascule. Eviter de laisser des déchets de cuisine à l’air libre (compost ouvert, par exemple). -l’eau : rendre les points d’eau comme les abreuvoirs inaccessibles aux rats. Le piéger Le rat se méfie de tout ce qui est inhabituel (néophobe), ce qui le rend plus compliqué à piéger que la souris par exemple. Au vu des capacités de multiplication et d’apprentissage de l’animal, le piégeage n’est efficace que si la population se limite à quelques individus dans un milieu pauvre en ressources. Les pièges les plus communs sont le piège-trappe et la « tapette » à rat. Le lard à une excellente réputation comme appât. La colle à rat peut donner de bons résultats sur de jeunes sujets si elle est placée correctement. L’empoisonner Une dératisation efficace ne se conçoit pas sans l’aide de poisons. Tous les poisons destinés au rat brun sont des anticoagulants. Particulièrement efficaces contre les rongeurs, la mort différée empêche l’apprentissage. Un rat met environ 5 jours avant de mourir suite à l’empoisonnement, le temps d’épuiser ses réserves de vitamine K. Il existe une multitude de molécules anticoagulantes, présentées sous des formes diverses : grains, granulés, pâtes, gels, poudres,… Deux catégories de molécules : 1ère génération : (Coumafène, Coumatetralyl, Chlorophacinone) : ces produits sont souvent moins chers, demandent a être ingérés en plusieurs fois ou en grande quantité, sont moins toxiques pour l’environnement et peuvent parfois présenter des phénomènes de résistance. 2ème génération : (Brodifacoum, Bromadiolone, Difénacoum, Diféthialone, Flocoumafen) : agissent même en dose unique, sont plus toxiques pour l’environnement (les cadavres restent empoisonnés). En cas de colonie importante, une solution économique et écologique est d’utiliser un poison de 1ère génération et de terminer par un poison de seconde génération. La présentation dépend de l’utilisation qui sera faite : certains produits sont destinés pour l’intérieur ou l’extérieur ; les grains sont susceptibles d’être consommés par des oiseaux, les blocs et les pastas peuvent être déplacés ; les pastas intéressent les chiens et chats ; une poudre de piste se met sur le trajet des rats (qui s’empoisonneront en se léchant),…. Quelques conseils de sécurité : mettre des gants ; mettre le poison hors d’atteinte des enfants et des animaux domestiques ou sauvages ; attacher si possible les blocs ou pastas avec un fil de fer pour qu’ils ne les emportent pas ; contrôler régulièrement la présence de poison. Pour les appâts de première génération, prévoir un approvisionnement constant en rechargeant les postes régulièrement. Une pose d’appâts par semaine est suffisante pour les appâts de seconde génération, pas plus de 2-3 doses par poste : en effet la hiérarchie de la colonie et le délai avant la mort obligent à étaler le traitement dans le temps de façon à ce que quelques individus ne consomment pas tout le poison, n’en laissant pas aux autres ; en cas de forte population, mieux vaut multiplier les postes que de les surcharger en appâts. Il est possible que les rats mettent plusieurs jours à toucher aux appâts, particulièrement si ils sont cachés dans un tuyau ou une boîte qui n’était pas présente auparavant. Si un poste régulièrement visité ne l’est plus, vous pouvez l’enlever. Attention à la date de péremption du poison : il perd de son efficacité au cours du temps. Une lutte efficace est effectuée sur tout le territoire d’une colonie (qui est de quelques ares), il se peut que le foyer soit présent ou s’étende chez vos voisins : seule une lutte simultanée vous permettra de le détruire. Lutte permanente Il est possible que votre terrain soit de facto favorable à la présence du rat brun : proximité de rivière, endroit de stockage ou de transfert de nourriture, bâtiment agricole, poulailler, proximité d’un terrain vague, foyer important non traité dans le voisinage (à signaler à la commune !),… La première chose à faire est d’appliquer autant que possible les mesures de prévention. Ensuite, au besoin, effectuer une campagne de dératisation pour éliminer les individus présents. Pour éviter que des rats de passage ne recolonisent le site, quelques postes d’appâtage seront présents en permanence en des endroits stratégiques. Ils permettront d’une part de contrôler la présence ou non de rongeurs, d’autre part, de détruire les premiers individus avant qu’ils ne fondent une colonie. -les endroits : lieux de passage connus ; lieux favorables ; proximité de nourriture, logis ou eau ; le long d’un obstacle ; endroit discret, inaccessible aux enfants et animaux non ciblés. -les postes : conçu pour permettre le passage des rats (Æ : 8-10cm), pour résister à la curiosité d’enfants ou d’animaux, pour résister aux intempéries et à la moisissure. Ce peuvent être des tuyaux en PVC aménagés, des boîtes en bois ou autre. -les appâts : privilégier les appâts sous forme de blocs paraffinés : ils résistent à l’humidité et les traces de grignotement se voient très bien. Si possible, les attacher. Certaines molécules agissent aussi sur d’autres rongeurs susceptibles de visiter les postes tels souris, mulots, petits campagnols. -contrôle : un contrôle mensuel est indispensable afin de vérifier l’intégrité du poste et de remplacer les appâts. Davantage si le poste est systématiquement vidé avant, mais dans ce cas, cela signifie la présence d’un foyer à proximité. diffusé avec l'autorisation du CRAW / Lutte biologique et ressources phytogénétiques / Zoologie / labo "rongeurs"
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avez vous déjà vu des poussins choristes ?
walter.3 a répondu à un(e) sujet de lila15 dans Images drôles
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Apparence générale: Volaille de petite taille, possédant un type ramassé qui lui est propre: basse sur pattes, dos très court, poitrine large et portée relevée, queue peu développée. Il est caractérisé par le grand développement de sa barbe, de ses favoris et de son camail. Ces derniers forment crinière. Son port est fier. Chez le coq, les ailes sont portées basses et presque à la verticale, l'extrémité inférieure venant presque toucher le sol. Il est de taille très réduite, mais sans exagération. La taille ne doit jamais passer avant le type, ce dernier étant primordial. Propriétes: La race est très vive de caractère, quoique familière. Elle convient parfaitement aux parquets restreints. Assez bonne pondeuse d'oeufs blancs, parfois légèrement teintés d'environ 35 grs, elle est bonne couveuse et certaines poules couvent même plusieurs fois par an. Les poussins grandissent sans difficultés. Le coq possède un chant assez particulier. Poids: Coq adulte: 700g Poule adulte: 600 g Coq: Port: fier, très relevé, la tête portée en arrière. Tête: paraissant plutôt grosse dans son ensemble, large et bien courte, plumage bien développé, face cachée par les favoris. Crête: double (frisée), relativement petite, large à l'avant, la partie supérieur garnie de petites aspérités, terminée à l'arrière d'un éperon (pointe) assez court qui suit le contours de l'occiput, rouge vif. Bec: court, légèrement courbé, couleur selon la variété. Yeux: grands, vivants, proéminents, le plus foncé possible, la couleur variant selon le plumage. Face: recouverte de plumes relativement longues, s'écartant de la tête pour se diriger en arrière et former les favoris, ces derniers recouvrant les oreillons et les oreilles. Oreillons: petits, rouges, recouverts par les favoris. Barbillons: rudimentaires, de préférence nuls, recouverts par la barbe. Barbe: très développée, composée de plumes dirigées horizontalement en arrière de chaque côté du bec et au milieu verticalement vers le bas, le tout formant trilobe. Cou: court, la partie inférieure portée assez fort vers l'arrière. Camail: épais, long et bombé, les plumes couvrant entièrement le dos et se rejoignant par devant autant que possible. Les plumes arrières forment presque crinière, ce qui semble encore donner plus de lageur au cou. Poitrine: très large, bombée et protée relevée Dos et reins: dos assez court, incliné vers l'arrière et remontant vers la queue, reins assez larges. Ailes: de longueur moyenne, portée descendues vers le sol presque à la verticale en s'incurvant, rémiges potées assez ouvertes, écartées. Queue: portée relevée à 90° avec la ligne du dos, les rectrices sont portées étagées jusqu'aux lancettes. Elles ne sont pas cachées par les lancettes et petites faucilles, assez étroites. Les deux grandes faucilles sont également étroites,peu courbées et formant sabre Jambes (cuisses): courtes, cachées par le plumage de l'abdomen Tarses: fins, lisses, de longueur moyenne, couleur vaiant selon les variétés Doigts: fins, courts, au nombre de quatre Ongles: de la couleur du bec. à compléter... Poule: Défauts légers: Défauts graves: ( D'après "Traité d'aviculture sportive, Et. Brandt, Prof. Dr. A.E.R. Willems")
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Port: fier, majestueux, assez haut sur pattes Taille: Bec: corne, blanc rosé à sa pointe chez les variétés claires Œil: brun foncé, plus clair chez les variétés claires Crête: grande, simple, droite, 5 à 6 dents Barbillons: longs, pendants, rouge vif Oreillons: blancs, en forme d'amande Poitrine: développée, légèrement portée en avant Dos: large aux épaules, légèrement incliné vers l'arrière Ailes: serrées au corps Queue: portée perpendiculairement à la ligne du dos, garnie de grandes faucilles Tarses: fins, nus,blanc-rosé, parfois tachetés de gris Doigts: quatre Ongles: corne clair Poids: adulte: 3 à 3,500 kg Défauts à éviter: chez le coq: crête double, oreillons sablés de rouge, tarses jaunes, bleus ou pattus, oreillons plissés, queue de travers. ( D'après "Traité d'aviculture sportive, Et. Brandt, Prof. Dr. A.E.R. Willems")
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Bon courage pour la remise en état... et les paperasses; Le pilotis est aussi plus pratique: pas besoin de se baisser plus hygiénique: la litière reste plus sèche plus sur: très efficace contre les rats et autres prédateurs. Enfin, on gagne un rien de place, mais à l'abri de la pluie. Les poules savent apprécier
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Le male est parti à la ferme (chez mon cousin). Il devrait bientôt revoler, le temps que les plumes des ailes trerminent leur croissance. Il a un parterre de femelles à ses pieds... malheureusement elles volent . Mais je pense qu'aux dernières nouvelles il est accouplé. Monsieur attend sagement le retour de madame à la maison
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Le petit Jackson (rescapé) et LILI!
walter.3 a répondu à un sujet dans Reproduction - élevage des jeunes
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différences entre Ardennais nain et Hollandskriel
walter.3 a répondu à un(e) sujet de walter.3 dans Travail d'éleveur
Une erreur dans ce sens... m'arrange énormément :bigsmil: :bigsmil: :bigsmil: Je lui avais pris une copine en attendant, pensant avoir du mal à en retrouver... mais il y en avait plein à Mol :smil2: Ce n'aurait pas été un drame: leurs fonctions sont: 1) esthétique 2) commando "anti-limace" 3) éventuellement repro, mais pour ça faudrait encore qu'elles pondent (j'ai quand même fini par avoir 1 oeuf... :what: . Tu pourrais m'envoyer le standard Hollandskriel? -
différences entre Ardennais nain et Hollandskriel
walter.3 a répondu à un(e) sujet de walter.3 dans Travail d'éleveur
Désolé pour la piètre qualité des photos, mais je ne sais pas me servir de l'appareil (nouveau) et ces petites choses ne tiennent pas en place (ou alors c'est le coq qui se met devant...) Voici la poule qui est supposée être une ardennaise... Ici en avant plan une Hollanskriel, ainsi que la dernière image -
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différences entre Ardennais nain et Hollandskriel
walter.3 a répondu à un(e) sujet de walter.3 dans Travail d'éleveur
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Hello, Quelqu'un disposerait-il des standards pour l'Ardennais nain et Le Hollandskriel (Hollandais nain), en effet, les deux races sont à priori TRES semblables. J'ai un coq et cinq poules Hollandskriel et une poule Ardennaise... mais c'est selon les vendeurs car je ne sais comment les différencier (chez moi, ce sont les bagues :bigsmil: ). Et comme je ne souhaite pas de métissage, je me dois de savoir -les différencier -apprécier (extérieurement) la qualité d'un sujet enfin bref...
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Il s'agit de la piéride du chou... sale bièsse!!! destruction des jeunes chenilles et des oeufs (paquets d'oeufs jaunes sur les feuilles) manuellement, mais à moins de passer sa vie dans son jardin, le recours à un insecticide est probable. Une fois traités (ou pour ceux qui y échappent encore...), tendre un voile ou un treillis à fines mailles au dessus des chous (sans que ça ne touche!!!) peut aider. http://www.insectes-net.fr/pieride/pieride2.htm (ils y disent que les dégats sont supportables... mais tout dépend de la quantité!)
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