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Xenes

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Tout ce qui a été posté par Xenes

  1. Pourquoi pas Aphonopelma seemani? Milieu relativement sec, belle, plutôt active et loin d'être toujours placide
  2. Re, Ok. Et bien je vais tenter cela bientôt alors. Merci à toi!
  3. Salut Denis, Merci pour ta réponse. Tu as donc utilisé un terrarium comme on en utilise un pour nos serpents ou lézards et juste bouché l'espace entre les deux portes alors? Je t'avoue que je n'aurais pas osé pour éviter les fuites. Avec mes incei, à l'époque où j'ai fait ma cohabitation depuis stade 3, sur 14 introduites, 13 avaient atteint l'âge adulte après 18 mois environ, 10 femelles et 3 mâles et durant la vie des mâles, 11 cocons obtenus. Et j'avais utilisé un terra en verre classique. Merci encore.
  4. Bonsoir, Je m'adresse ici à toutes celles et à tous ceux qui ont déjà tenté une cohabitation à partir des tous premiers stades... J'ai déjà tenté, par le passé la cohabitation de plusieurs espèces (H. incei, P. murinus RCF, P. ornata, C. fimbriatus), avec des individus provenant des mêmes cocons mais toujours d'une taille déjà ''certaine'', genre stade 3-4, en gros 2,5-3cm d'envergure. Ma question est la suivante : dans l'hypothèse de les installer dès le départ, par 10 ou 12 indiividus dans leur bac définitif (type 120x60x50), quelle solution adapter pour la confection du bac avec des bêtes d'environ 1cm d'envergure? Difficile d'imaginer une ouverture en façade avec double porte car bonjour les évasions ou une guillotine-vitre unique de 120x50, vu le manque de côté pratique à l'ouverture... L'ouverture par le dessus est, j'imagine, le plus pratique avec une plaque en deux parties coupées au mm pour que tout soit bien jointif, ces mêmes plaques étant posées sur des renforts de cuves fixés à 5cm, par exemple, du haut de la cuve. A ceux qui ont confectionné des bacs communautaires dès les petits stades donc, quelle conception pour l'accés et quel type d'aération? Avec des bêtes de 3cm d'envergure, de la tôle perforée ou un grillage à mailles fines ne pose aucun problème mais avec de tous petits mygalons? Merci d'avance.
  5. Je pense qu'avec tout ce que Miss vient de rajouter comme infos tu as une réponse plus que complète! Il n'y a qu'une façon de savoir comment agir et réagir : OBSERVER! A bientôt.
  6. Salut, Tu peux y aller sans problème ; et il est vrai que l'effet peut être sympa! Certains éleveurs utilisent même de la fibre de coco seule. @+.
  7. Bonsoir, L'âge de la mygale et la taille de l'espèce concernée (pour les grosses subdultes et les adultes) entrent en jeu, c'est évident et s'il est impossible d'établir une règle stricte, pour ma part, et suite à de longues années d'observations, j'ai choisi de ne pas solliciter ou de ne pas nourrir une mygale après mue selon la règle suivante : - mygalons et juvéniles (1 et 2, cad jeunes juvéniles (1) et sub-subadultes (2) pour reprendre l'ancienne terminologie ) : 5 à 7 jours - subadultes : 7 à 10 jours - grosses subadultes ou adultes : 10 à 14 jours, selon la taille de la bête (plutôt 10 jours pour une Brachypelma, une Grammostola, une Avicularia, etc... ; plutôt 14 jours pour une Phormictopus, une Lasiodora, une Poecilotheria, une Pamphobeteus), etc... Ce n'est pas une règle rigide, juste un ordre d'idée de ce que je pratique globalement. J'ai eu le cas un jour, à mes débuts, d'une Brachypelma smithi adulte, nourrie exactement 6 jours après la mue et qui, en se pécipitant sur sa proie a heurté sous mes yeux, très légèrement, le bord de sa cacette en liège avec une patte de la paire III et du coup, blessure et perte d'hémolymphe... Depuis, je respecte la règle énoncée ci-dessus. Bye.
  8. Bonsoir, Oui Miss, tu as raison, il y a un gros travail à réaliser au niveau des données purement pratiques, ''expérimentales'', je dirais même simplement réelles de l'élevage. D'une certaine manière, une fiche d'élevage peut devenir le pire instrument d'élevage possible de par sa rigidité et le côté statique des informations qu'elle est susceptible de fournir. Rien de mieux que des données précises et qui semblent parfois anodines sur l'élevage AU QUOTIDIEN et c'est bien là, en fait, que se trouve le maître-mot qui devrait régir la communication entre éleveurs. Bien entendu les données théoriques sont importantes pour posséder le bagage minimal nécessaire à la connassance et à la compréhension des bêtes élevées mais lorsque nous gérons nos animaux, c'est bien souvent d'informations vécues, empiriques et observées dont nous avons le plus immédiatement besoin. Je me souviens, lorsque j'ai eu mes premières mygales ou mes premiers reptiles, j'étais tout content de trouver un bouquin ou une fiche d'élevage à gauche ou à droite (avant Internet). Mais les informations les plus riches et les plus déterminantes, celles qui m'nte plus apportées, me sont toujours venues au contact d'éleveurs me disant : ''moi je fais comme cela et j'ai vu qu'alors la bête réagissait de telle manière'' ou alors ''il m'est arrivé un truc de dingue hier avec telle espèce'' ou encore ''j'ai essayé tel aménagement et c'est mieux, ou au contraire, moins bien'', etc... Aujourd'hui, certaines choses paraissent évidentes, simples, alors qu'elles ne l'étaient pas au départ. Et il suffit de voir la différence entre une fiche d'élevage écrite en 1995 et une autre sur la même espèce rédigée en 2010 ; il y a des choses conseillées en 1995, notamment au niveau des tailles de terrariums ou des taux d'hygrométrie que plus personne n'oserait appliquer aujourd'hui... Comme le dit Miss, recouper des infos concernant des données vécues et observées ''en vrai'', là est l'idéal et la plus grande richesse potentielle ; et même des choses qui paraissent, au premier abord, inintéressantes! Pour ce qui est, comme tu le dis Miss, du fait d'être blasé, de stagner d'une certaine manière, je pense que c'est inévitable tôt ou tard. La solution peut être comme tu as l'air de le faire, d'apprendre de la maintenance de nouvelles espèces en abandonnant certaines autres dont tu as fait le tour. Ou alors de tenter un nouveau projet inhabituel. Si nous pouvons tous dire que nos chères mymy nous émerveillent tous les jours, que l'attachement ne diminue pas, plus la passion est ancienne, plus on demande de nouvelles choses et plus avancer devient difficile. C'est notre lot à tous..
  9. Xenes

    Brachypelma boehmi

    J'ai récupéré cette femelle il y a quelques jours. A mon avis elle n'est pas toute jeune mais elle est encore en forme la bougresse.
  10. Mon message était justement de dire que d'une certaine façon, un second accouplement était nécessaire chez certaines espèces (notamment les exemples que j'ai donnés) mais probablement inutile chez d'autres (comme les exemples que tu as donnés). Il est clair que de nombreux éleveurs conseillent de présenter le mâle au moins une seconde fois, cette seconde présentation étant censée être un gage de réussite de l'accouplement. Ce conseil sert à mon avis avant tout, surtout pour les plus novices, à les rassurer et à maximier potentiellement leurs chances de réussite lors de leurs pemier accouplements ; d'une certaine façon à ne pas "gâcher" le mâle et à faire en sorte que son acte aboutisse. Par la suite l'expérience, la connaissance empirique (et non théorique) des différentes espèces et l'observation permettent davantage de savoir quand il peut être nécessaire de représenter les mâles et que cette manoeuvre ne soit pas systématique.
  11. Observer et présenter le mâle au moment qui te semble le plus opportun peut ne pas être suffisant. S'il y a des espèces pour lesquelles je ne représente jamais le mâle, il y en a d'autre pour lesquelles je le fais et notamment pour les espèces où l'accouplement est compliqué parce que le mâle en chie réellement ; l'exemple d'Atrichomatus se justifie dans mon cas à ce niveau : tellement brouillon, ''bordélique'', violent qu'il n'est pas facile de voir l'insertion et même quand le mâle y parvient il n'est pas toujours certain que le sperme soit déposé. J'ai déjà constaté avec P. cancerides et T. blondi par exemple que plusieurs fois, après un accouplement unique, nada et qu'après mâle représeté, réussite. En ce qui concerne la réalité ''dans la nature'', peut-être que les femelles ne sont pas refécondées par le même mâle (c'est même fort probable), mais peut-être parfois par un ou plusieurs autres mâles passant dans les parages. Représenter un mâle c'est certes tenter le diable, mais parfois, pas le choix. Si tu représentes le mâle un mois après, si la fécondation a eu lieu après le premier accouplement, effectivement, la femelle risque fort de croquer le mâle. Mais généralement le mâle est représenté 8, 10 ou maxi 15 jours après et là moins de risque et si la femelle n'en veut pas, ce peut être un bon indicateur de la réussite du premier accouplement. J'ai représenté une seconde fois des mâles pour P. Atrichomatus, P. cancerides, T. blondi, H. lividum et le mâle s'en est toujours sorti.
  12. Salut Miss, Si bien sûr, une forme de crainte existe au moment de chaque accouplement ; assister à la mise à mort éventuelle d'un mâle n'a rien de très réjouissant, surtout lorsque parfois c'est une mygale que l'on élevée depuis les premiers stades. Du coup je prends le maximum de précaution avec baguettes et gants blindéspour intervenir au plus vite, avec la main si nécessaire. Quelle que soit la taille du terra, le mâle n'a pas toujours les possibilités de fuir en cas de problème. Mais dans tous les cas, l'objectif d'un mâle est bien de s'accoupler donc autant lui permettre de le faire quand c'est possible. En ce qui concerne cet accouplement d'Atrichomatus, je ne sais pas ce qu'il donnera ; je vais représenter le mâle dans quelques jours. Mais c'est un des plus violents que j'ai vus, avec T. blondi et un jour P. muticus. @+
  13. Salut Valko, Pire que vache!!! Le décor et la mâle giclent et tout le terrarium devient un champ de bataille. Chez cette espèce l'accouplement est de toute façon réputé violent et comme ce sont de grosses et grandes mygales, ça fait du bruit et de grands mouvements.
  14. Madame Monsieur, en pleine toile spermatique Crac-crac, Boom-boom Hyper sport l'accouplement Le mâle s'en prend plein la tronche, c'est incroyable...
  15. Xenes

    Lasiodora klugi

    En vrac et il y en a d'autres plus ou moins évidentes: - parahybana à une envergure plus importante ; klugi un corps plus massif. - klugi arbore des poils au niveau de l'abdomen plus rouges que ceux de parahybana. Mais les deux sont difficiles à reconnaître au premier abord, notamment lorsqu'elles n'ont pas mué depuis longtemps.
  16. Mâle qui fait sa toilette après un accouplement.
  17. Xenes

    Lasiodora klugi

    Femelle grosse subadulte 7,5cm de corps.
  18. La même femelle que sur l'autre photo mais plus visible.
  19. Femelle adulte, d'âge inconnu, nouvellement acquise.
  20. Merci Je fais avec les ''maigres'' moyens du bord ; ce sont les sujets qui sont extra.
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