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Rhombeus1

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Tout ce qui a été posté par Rhombeus1

  1. c'est sur j’espère que ça se passera bien après si ça devient compliqué je verrais pour les séparés
  2. je ne pense pas perso, j'ai déjà vu des natt et oscars dans le même bac et tout allé bien les oscars sont aussi gros voir même plus qu'un natterie et il est tout aussi agressif puis l'Oscar reste un poisson grégaire donc je ne pense pas que sa va posé problème pour la cohabitation peut être qu'il y aura des petits accrochage comme avec un groupe de piranha mais rien de bien méchant a mon avis après a voir par la suite je vous donnerez des nouvelles
  3. Salut je viens vous présentez les nouveaux venus j'ai acheté hier six pygocentrus natteries (élevage) et trois Astronotus Ocellatus (Oscar) je vous posterez des photos bientôt
  4. ok ta pas eu un chauffage qui a sauté et qui aurait fais une électrocution dans ton bac ? Jai un ami qui a eu ça
  5. ha ok désolé pour toi, dit moi ton bac c'était un combien de litres ? pour quelle raison sont il mort ?
  6. c'est du parquet chez moi t'inquiete pas pour le bois
  7. ça c'est du bac, je vais faire le même dans mon appart lol
  8. je te remercie, ouai je suis deg pour le décor après je ne me décourage pas j'ai fais une petite pause car ça me prend du temps donc une pause me fais du bien
  9. Merci Pygo franchement non je ne me suis pas renseigné mais ça tien ( lol ) mais normalement un litre vaux un kilo donc il doit faire moins que ça, après les dalles sont prévue pour pas mal de poids franchement je ne suis pas du tout inquiet
  10. tu m'étonne super projet a ce prix Bonne chance Pygo
  11. merci Pygo, mettre la main avec des Pygo d'élevage jle fais sans hésité mais avec un Rhomb sauvage j'évite ou alors en rapide
  12. lol j'avoue sur la photo en gros plan la couleur ressemble a celle du piraya
  13. Serrasalmus Geryi " /> Introduction Le Serrasalmus geryi, plus communément appelé le Piranha de Gery, est un poisson originaire d'Amérique du sud. Comme toutes les espèces du genre Serrasalmus, il est couramment rangé dans les poissons appelés "Piranha". C'est une espèce dite tropicale dont le niveau de maintenance est considéré comme très difficile. Dans des conditions optimales, ce poisson peut vivre jusqu'à 10 ans. Le Piranha de Gery est un poisson très rare dans le hobby aquariophile Morphologie Cette espèce mesure généralement autour de 15 cm. Les Serrasalmus sont des poissons courts et massifs munis de fortes dents acérées. Ils ont la particularité d'avoir des "serras" sur la quille du ventre, particularité qui a donné leur nom de genre et de famille. Comportement Le Piranha de Gery est un poisson vivant en petits groupes qui réside naturellement à mi-profondeur et proche de la surface. C'est une espèce au tempérament plutôt calme. Bien que ce poisson soit non territorial à proprement parlé, il se montre parfois agressif envers d'autres espèces. Il a par exemple tendance à s'attaquer aux nageoires, pouvant laisser des séquelles non négligeables à ses voisins. Il peut cependant montrer quelques signes d'agressivité envers ses congénères. Les piranhas ne sont pas considérés comme des "grands" prédateurs mais plutôt comme des prédateurs opportunistes. Dans leur milieu, ils ont un rôle d'épurateurs "sanitaires", ne s'attaquant qu'aux plus faibles, aux malades et aux poissons mal-formés. Ils sont surtout dangereux pendant la saisons sèche, lorsqu'ils se retrouvent isolés dans un milieu fermé (mare, étangs, lacs...) à cause de la baisse du niveau d'eau. N'ayant plus de nourriture à disposition, ils commencent à se cannibaliser et deviennent très agressifs avec tout ce qui tombent dans l'eau. Les accidents sont beaucoup plus anecdotiques dans les fleuves et rivières. En aquarium Le Piranha de Gery est un poisson dont la maintenance est plutôt reservée à des aquariophiles avertis. Elle ne pourra être réalisée avec succès qu'en effectuant un minimum de travail de documentation. De plus les conditions particulières d'élevage peuvent facilement entraîner la mort de l'espèce en question ou d'autres poissons. Le Piranha de Gery est un poisson robuste qui peut vivre dans une eau ayant une température comprise entre 23°C et 27°C pour un pH allant de 5.8 à 7.0. La conductivité de l'eau peut osciller entre 15μS/cm-1 et 500μS/cm-1. Le Piranha de Gery est tolérant en matière de paramètre d'eau. Cependant, il est conseillé d'essayer de se rapprocher de ses conditions de vie en milieu naturel pour lui assurer plus de longévité. Dans un contexte d'aquarium communautaire, il convient de le maintenir dans un volume minimum de 700 litres. Cette espèce est susceptible de manger des poissons de petites tailles. Il est recommandé d'être particulièrement vigilant sur la constitution de la population pour éviter les risques de prédations. Les espèces de banc doivent être insérées avant l'éventuel prédateur. Celui-ci cohabite généralement bien s'il a été habitué à leur présence dès son plus jeune âge. Le Piranha de Gery est un poisson qui a tendance à s'attaquer aux nageoires. Il ne doit pas être élevé en présence d'espèces à voile (guppy, gourami, combattant, scalaire...). Pour éviter que l'eau ne devienne trop polluée, il est recommandé d'effectuer un renouvellement mensuel de 20% à 30% du volume d'eau. Attention, l'eau ajoutée doit être à une température voisine de celle de l'aquarium. Les piranhas sont particulièrement peureux dans le cadre de l'élevage en captivité. L'affolement est assuré à la vue de la moindre épuisette. Un piranha ne doit jamais être capturé à la main car on s'expose très probablement à sa morsure. Alimentation Le Piranha de Gery est un carnivore et piscivore. Il peut être nourri avec des paillettes spécialement conçues pour les poissons de sa famille. Comme pour tous les poissons, il convient de ne pas trop les nourrir pour éviter de polluer l'eau. Il est préférable d'échelonner les repas en plusieurs fois durant la journée. Reproduction Le Piranha de Gery est une espèce ovipare qui pond en eau libre. Sa reproduction en aquarium est difficile. Elle a idéalement lieu à une température avoisinant les 25°C pour un pH de 6.5.
  14. Serrasalmus Irritans " /> Noms communs Iridescent Piranha, caribito iridescent, caribe pinche. Répartition Présent uniquement au Vénézuela dans les bassins du Rio Orinoco et du Rio Apure. Historique 1877 : Référencé par Peters sous l’appellation Serrasalmus irritans 1965 : Référencé par Fernández-Yépez sous l’appellation Serrasalmus fernandezi Biologie Poisson très élancé qui possède corps comprimé et un long museau pointu en forme de « V ». Adulte, la partie supérieure de son corps est couverte de nombreux petits points noirs. La base de la queue est délimitée par une large bande noire dont les parties supérieurs et inférieurs sont diaphanes. Chez les spécimens adultes, une petite tache humérale noire apparaît ainsi qu’une tache jaune au niveau de l’ouie. La nageoire anale est complètement rouge et le reste du corps uniformément gris. L’iris est jaune. La taille est très modérée (15cm) Mode de vie On retrouve S. irritans en eau blanche et noire. Les juvéniles vivent près du rivage, protégés par les plantes immergées et flottantes qui se déplacent au grès du courant. Adulte, l’espèce peut former des groupes de quelques individus en pleine eau. L’irritans forme aussi des bancs avec Pygocentrus cariba et rencontre le S.medinai. Il se nourrit principalement de nageoires. Adulte, il s’attaque aussi a de petits poissons. Croissance Assez lente, il atteint sa taille adulte en 3/4 ans environ. Les spécimens importés sont souvent proches de la taille adulte. Reproduction en captivité Jamais obtenue en aquarium. Cependant, il est possible de faire cohabiter plusieurs irritans dans un même aquarium si celui ci dépasse 600L. Il n’est donc pas à exclure que cette espèce soit un jour reproduite par un aquariophile. Maintenance en aquarium S. irritans apprécie une eau dont la température sera comprise entre 24 et 28 C° et le pH entre 6,6 et 7,1. Comportement : S. irritans se révèle relativement farouche au stade juvénile. Comme la plupart des Serrasalmus, Il ne prendra une certaine assurance qu’après une longue période d’adaptation en aquarium. Un décor adapté permettra de faire évoluer son comportement plus rapidement. A moins de disposer d’un très grand volume , il est vivement déconseillé de placer plusieurs S. irritans dans le même aquarium, ils pourraient se blesser mortellement. Volume requis : On estime qu’un volume de 200L est suffisant pour un héberger un Serrasalmus irritans. Agencement de l’aquarium : Comme pour tout les piranhas : un sol sombre, bien planté, avec beaucoup de cachettes. L’ éclairage sera doux et tamisé par de nombreuses plantes flottantes, ce qui apaisera le S. irritans. Il s’agit d’une espèce très rare à la vente.
  15. Serrasalmus Maculatus/Spilopleura " /> Noms communs Maculatus, « Mac », Yellow spilo, Spilo, Ruby Red Spilo (pour la forme rouge et jaune) Faux piranha diamant. Etymologie: Maculatus fait référence aux points sur les cotés du corps. Répartition D’après les travaux de M.Jégu. Maculatus: Bassin amazonien. Argentine, Bolivie, Brésil, Colombie, Paraguay, Pérou, Uruguay Spilopleura: Bassin du Guaporé, Rio Itinez, Bolivie Historique / Systématique Kner (1858) Les derniers derniers travaux sur le sujet : M.Jégu et G. Dos Santos (2001) et Hubert 2007/2010. Auparavant, S.spilopleura et S.maculatus étaient considérés comme synonymes. Dans son travail de 2001, Jégu définit S.spilopleura du Guaporé et du Tocantins uniquement, S.maculatus occupant le reste de l’aire de répartition. Certains systématiciens et spécialistes ne sont pas d’accord , notamment Franck Magallanes (OPEFE) qui conclut qu’il existe une erreur dans les travaux de M.Jégu (S.egeinmanni identifié comme S.spilopleura). N’étant pas scientifique ni systématicien, je ne m’avancerais pas sur la question. Ce qu’il faut retenir, c’est que ces espèces risquent d’être révisés dans peu de temps et qu’ il pourrait même s’agir d’une seule et même espèce avec des variantes géographiques. Je parlerais donc ici du complexe Spilopleura qui englobe, selon moi, des espèces très proche. Morphologie et coloration : Chez le juvénile, la tête est pointue, la mâchoire est longue et le corps moucheté de points noirs. Avec l’âge, une pigmentation jaune ou rouge se développe sur l’opercule, la gorge et la nageoire anale. Les points s’affadissent puis disparaissent complètement. Chez certains spécimens, l’oeil est rouge sang, chez d’autres, il reste clair. La coloration dépend des individus, certains développent par exemple une coloration rouge au niveau de l’opercule et jaune sous le ventre. Ces spécimens, particulièrement attractifs, sont appelés Ruby red spilopleura (RRS) par les commerciaux. Voici quelques anecdotes morphologiques glanées sur internet et dans les livres concernant les variantes, je ne suis pas en mesure de vérifier ces informations, mais elles permettent d’illustrer les variabilités morphologiques dans ce complexe. -Une variante présente au Pérou aurait les yeux rouges, une bande terminale noire à la nageoire caudale et une disposition spécifique des tâches sur le corps. -Les poissons amazoniens appelés S.maculatus sont en général jaune, les poissons nommés S.spilopleura du Guaporé serait coloré d’un jaune/or orange et enfin les spécimens issus du bassin de l’Araguaia seraient rouge. -Les formes de la partie inférieure de l’Amazone possèdent un bord hyalin à la nageoire caudale, les formes de la partie supérieure de l’Amazone possèdent une nageoire caudale bordée de noir sans bord transparent. Mode de vie Prédateur diurne, certaines variantes vivent en petits groupes. Ils consomment les nageoires des autres poissons et parfois des poissons entiers. Croissance : Elle est relativement lente. Juvénile, l’espèce prends quelques cms par an. A partir de 12 cm, la croissance diminue fortement. Certains spécimens atteignent 30 cm et ressemblent alors aux poissons du genre Pygocentrus, le front devenant convexe avec l’âge. Reproduction en captivité Réussie exceptionnellement par des aquariophiles américains. Il existe un sujet particulièrement documenté sur internet (rechercher l’utilisateur Primetimewise sur www.piranhas-keepers.com). Le problème est surtout d’obtenir des spécimens issus du même lieu de provenance et donc de la même variante géographique ou espèce. Maintenance en aquarium En solitaire, dans un bac spacieux avec une filtration efficace. Maintenance possible en groupe, pour piranophiles très expérimentés. La majorité des tentatives sont soldés par des échecs. Paramètres de l’eau : Eau douce et acide de préférence. Un pH aux alentours de 7 convient. Tac: 75 % du TH. Maintenir les nitrates en dessous de 50 mg/L. On peut utiliser un mélange eau du robinet / eau osmosée si l’eau de conduite est trop dure. Comportement : Craintif, actif le soir et statique la majorité du temps. Il existe des exceptions. Ce poisson atteint une taille respectable et vit de nombreuses années. Comme pour tous les Serrasalmus solitaires, il faut être conscient de l’engagement pris lors de l’achat d’un S.maculatus. Volume requis : Pour un spécimen adulte. Un bac de 120×50 de surface au sol est un minimum. Pour tenter d’élever un groupe, un aquariophile sérieux pourra tenter l’expérience avec une surface au sol de 200×60 minimum. Toute tentative en dessous de ces dimensions relève de l’aberration. Cohabitation : Cohabitation intra-spécifique possible mais très délicate, même dans de gros volumes. Certaines variantes se supporteraient plus que d’autres. On peut donc supposer qu’il existe des variantes qui se tolèrent et peuvent se reproduire en aquarium. Cohabitation à long terme avec d’autres espèces impossible. Agencement de l’aquarium : Comme pour tous les piranhas : un sol naturel type sable de loire, bien planté, avec beaucoup de cachettes. L’éclairage sera doux et tamisé par de nombreuses plantes flottantes, comme Pistia stratiotes ou Lemna minor (attention, envahissante). Quelques morceaux de bois et Echinodorus sp constituerons le gros du décor. On peut aussi obscurcirles cotés de l’aquarium pour rendre le spécimen moins farouche. Pour maintenir l’espèce en groupe, il y a deux écoles : bac vide ou bac comportant des cachettes. Selon certains amateurs, le fait de mettre des cachettes augmente la territorialité et donc l’agressivité intra-spécifique. Un bac vide oblige les poissons a maintenir un comportement grégaire. Alimentation : S.maculatus / spilopleura apprécie les petits poissons entiers congelés, les crevettes crues, le coeur de boeuf. Nourrir modérément. L’alimentation vivante n’est pas conseillé (Apport de maladie).
  16. Serrasalmus Elongatus " /> L’aire de répartition de S.elongatus est très étendue, la coloration varie beaucoup d’un spécimen à l’autre. Les animaux présents au Pérou sont différents de ceux du Vénézuela. Cependant, la livrée juvénile est souvent similaire. Les spécimens juvéniles sont en général argentés / gris. Des reflets verts peuvent être présents. Quelques tâches noires parsèment le corps mais elles sont peu prononcées. Une bande noire légère est présente sur la base de la nageoire caudale. Quelques pigments noirs se retrouvent en général sur le lobe terminal de la nageoire anale. Le reste des nageoire est hyalin. La grande majorité des spécimens adultes sont gris et argentés sur l’ensemble du corps. L’iris est rouge sang. Une bande noire est disposée à la base de la nageoire caudale, cette bande étant beaucoup plus large sur le lobe inférieur de la caudale. La nageoire adipeuse devient complètement noire. Des pigments noirs se retrouvent sur l’anal et une tâche humérale est parfois présente. Noms communs Elongatus, Elongate, Slender piranha, Caribe pinche, Pike piranha Synonymes Serrasalmus pingke est un synonyme courant pour la forme Vénézuélienne. Actuellement, il y a débat mais S.pingke n’est pas une espèce valide. Répartition L’espèce possède une large aire de répartition, elle est présente dans le bassin Amazonien, la rivière Orinoco et ses affluents. On retrouve S.elongatus au Brésil, en Bolivie, en équateur, au Pérou et au Vénézuela : •Rio Guaraiquito, Laguna La Yuca •Rio Apure, Caño Los Zorros, Boquerones •Rio Chimire, Paso Chimire •Rio San José •Rio Apure, Viejo •Caño El Rodeo •Hato Santa Rosa, Esteros de Camaguán •Carretera Guayabal, GU •Lag. La Raya, Cano Falcón •Rio Apure, Las Guanotas •Laugun Terecaya, Soledad •Caño Falcon, La Raya, Camaguán •Rio San José, El Polvero •Caño Guaraguapo. afl, Rio Orinoco Historique Kner (1859) Biologie L’espèce atteint 30 cm en milieu naturel mais habituellement 22/25 cm en captivité. Morphologie et variantes Le corps est fortement allongé, en forme de torpille. La tête est de type concave, comme tous les représentants du genre Serrasalmus. Serraes (petites « dents ») bien visibles le long de la ligne ventrale. Bande noire présente sur la base de la nageoire caudale, épaissie sur le lobe inférieur. Iris de l’oeil rouge à l’âge adulte. Le S.elongatus « redthroat » (gorge rouge) Les spécimens en provenance du Vénézuela sont plus colorés, avec une pigmentation rouge sur les ouies et la gorge. L’iris de l’oeil est rouge. Une tâche humérale est parfois présente. Les nageoires pectorales et ventrales sont parfois rouges / oranges. Cette variété est en général appréciée / recherchée des amateurs. Le S.elongatus « Blackmask » (masque noir) Certains spécimens péruviens possèdent une ligne noire qui traverse la tête du museau à l’ouie en passant par l’oeil, dans l’alignement de la ligne latérale et de la tâche humérale. Cette variante nommée black mask est très prisée des amateurs. Le S.elongatus sp Pingke Certains spécimens présentent les caractéristiques des deux variantes (Gorge rouge et masque noir). On considère cette variante comme étant la plus rare et la plus chère et elle est parfois nommée Serrasalmus pingke par les revendeurs pour la rendre plus attractive. (S.pingke n’est pas une espèce valide). La majorité des spécimens ont une livrée uniformément grise ainsi qu’une petite tâche humérale noire. C’est le spécimen type le plus fréquemment rencontré dans le commerce. Dimorphisme sexuel : Le dimorphisme sexuel est inexistant, les mâles et les femelles ont la même apparence. Comportement en milieu naturel. S.elongatus vit parfois dans les rivières à débit très rapide mais on le retrouve aussi dans des zones plus calme. Au vu de sa grande aire de répartition, on peut le retrouver dans de nombreux biotopes. C’est un prédateur embusqué solitaire qui attaque par surprise et à très grande vitesse. Son corps effilé lui permet des accélérations impressionnantes. Il se nourrit des nageoires et écailles des autres poissons. On retrouve S.elongatus juvénile dans les lagons où prospèrent de nombreuses plantes flottantes. Les juvéniles commencent très tôt la chasse sur des petites espèces. Les adultes se retrouvent dans les eaux profondes. Disponibilité, Prix : Une espèce peu courante en Europe et relativement chère. Le prix des juvéniles oscille entre 100 et 150 €. Un spécimen adulte de 25/30 cm vaut environ 220 €. Les importations du Vénézuela étant beaucoup plus rares que celles du Pérou, les S.elongatus « Redthroat » voient leur prix monter en flèche. Maintenance en captivité: L’espèce nécessite une très grande façade pour nager. Pour un juvénile (5/6 cm), une cuve de 100x40x40 suffit amplement. Pour un spécimen sub-adulte/adulte, un bac de 120x40x40 cm est le strict minimum recommandé. Idéalement, l’espèce nécessite 150x50x40 pour se dépenser correctement. Il est préférable d’acquérir un spécimen juvénile et de le maintenir dans un aquarium de 100×40 au départ, le temps de l’acclimater à la captivité. Agencement de l’aquarium: S.elongatus affectionne les rapides, les rivières à forts débits et les torrents. Il faudra mettre en place une zone de rivière à fort débit avec du sable de Loire (par exemple), des galets et quelques racines. Une pompe de brassage est indispensable pour lui permettre de se dépenser convenablement. (Au moins 700 L/h pour un adulte) On pourra également installer une petite zone moins turbulente, protégée par une racine et y placer des plantes robustes et quelques cachettes. L’éclairage se doit d’être tamisé voir faible pour le bien-être du spécimen qui n’apprécie guère la lumière. Paramètres et qualité de l’eau: L’espèce n’est pas difficile bien qu’elle apprécie une eau légèrement acide (Ph 6-6,5) et une faible dureté. Une température de 24-28 C° convient. L’acclimatation du spécimen doit être réalisée au goutte à goutte. Ces poissons sont présents en eau noire, en eau blanche et en eau claire. Il faudra se renseigner sur la provenance du spécimen et tenter de répliquer ses conditions préférentielles. Compatibilité: Aucune cohabitation, S.elongatus ne tolère pas ses semblables ni la présence d’autres poissons. Un aquariophile possesseur de cette espèce en a fait la douloureuse expérience avec la perte de 30 cardinalis en une seule nuit…! On peut tout de même tenter d’installer Platydoras costatus si l’agencement du décor le permet, mais les chances de réussite ne sont pas garanties. Alimentation: Dans la nature, S.elongatus se nourrit principalement d’écailles et de nageoires d’autres poissons. Adulte, il consomme des petits poissons entiers. En captivité, S.elongatus peut se révéler capricieux et n’accepter que de la nourriture vivante au départ voire même refuser catégoriquement de s’alimenter les premières semaines. Il faudra être patient et l’habituer progressivement à manger du mort. Nourrir uniquement avec des poissons d’eau douce. (Les salmonidés d’eau douce conviennent particulièrement). La base de l’alimentation doit être constituée de petits poissons entiers. Eviter les poissons rouges (même congelés) qui contiennent des substances nocives. Les poissons doivent être maintenus dans un bac dit « de quarantaine » (pendant une période d’un mois) afin de s’assurer qu’ils ne sont pas porteurs de maladies ou de parasites, avant d’être donnés à votre piranha.
  17. PYGOCENTRUS PIRAYA " /> Noms communs Giant red-bellied piranha, Rio São Francisco piranha, Piraya piranha. Répartition Pygocentrus piraya (comme Serrasalmus brandtii), se trouve uniquement dans le Rio San Francisco, au Sud du Brésil. Historique 1816 : Référencé par Cuvier sous l’appellation Pygocentrus piraya 1829 : Référencé par Agassiz sous l’appellation Pygocentrus piranha 1860 : Référencé par Kner sous l’appellation Pygocentrus dorsalis Biologie Taille : 50cm maximum relevé dans la nature Morphologie : Les clés de distinction du Pygocentrus piraya sont : – « Flammes » jaune/orange sur le corps – Oeil (iris) jaune/orange, pigmentation noire des extrémités hautes et basses – Tâches quasi-inexistantes chez le juvénile – Nageoire adipeuse rayée (sur les spécimens de plus de 25cm) Mode de vie Comme précisé plus haut, le piraya ne se trouve que dans le Rio San Francisco, ce qui en fait une espèce relativement rare. De plus, une bonne partie de la région étant occupée par des milices en charge de surveiller les plantations locales de coca, peu de pêcheurs osent s’aventurer sur ce fleuve qu’ils qualifient de « dangereux ». Ce phénomène a un impact direct sur son prix de vente, souvent prohibitif les très rares fois ou ce poisson atteint les bacs de nos commerçants. P. piraya partage les eaux du San Francisco avec une seule autre espèce de piranha : Serrasalmus brandtii (gold piranha). Croissance P. piraya est sans aucun doute le plus grand représentant du genre Pygocentrus ; ce qui lui vaut parfois l’appellation de « King piranha » par les populations locales. Si l’on a enregistré certains individus à plus de 45cm en milieu naturel, p. piraya dépasse rarement 35cm en captivité. Cette importante différence est retrouvée chez la plupart des espèces de grande taille comme s. rhombeus et s. manuelli par exemple, ce qui est certainement la preuve que le volume des aquariums dédiés à la maintenance de ces espèces n’est pas suffisant. La croissance de P. piraya en captivité est similaire à celle des autres espèces du genre Pygocentrus : rapide jusqu’à environ 15cm, puis de plus en plus lente par la suite. Reproduction en captivité Jamais obtenue en aquarium et problématique. Les femelles sont systématiquement éliminés pendant les prémices de reproduction. La raison de ce cannibalisme est encore inconnue. Certaine rumeurs prétendent qu’il serait élevé dans certaines zones extérieures au Rio San Francisco. Maintenance en aquarium Comportement : L’espèce du genre Pygocentrus la plus agressive après le caribe. Elle est également réputée pour être la moins craintive de toutes. Des aquariophiles ont souvent fait le même constat : bien que relativement paisible à l’état juvénile ou subadulte, l’adulte a tendance, sans signe avant-coureurs, à éliminer certains ses congénères. Mais pas n’importe lesquels. En effet, après dissection, il s’est avéré que ces individus étaient souvent des femelles gravides (c’est d’ailleurs souvent de cette manière que ces personnes ont été capables de sexer les individus éliminés). Aucune explication n’a pour l’instant été donnée à ce phénomène. Nous ne nous avancerons pas à dire que l’espèce craint prématurément le risque de surpopulation mais il est fort probable que le manque d’espace en soit l’origine. Volume requis : Pour la maintenance d’un groupe d’adultes, il ne faudrait pas descendre en dessous de 1000L. Afin de déterminer la taille du banc, Il est d’usage de considérer que 200L (au moins) par individu sont nécessaires. Ce poisson est rarissime et très cher, il ne sert donc à rien de l’acheter si on ne peut pas faire face aux contraintes occasionnées par sa taille démesurée. Au niveau des dimensions, 200x70x70 pour 3 /4 est le stict minimum. 250x80x70 est un bac adapté pour 4/5 adultes. Agencement de l’aquarium : Comme tous les Pygocentrus, il aime nager en pleine eau mais il apprécie les zones d’ombre pour se replier en cas de stress. Offrez-lui un nombre suffisant de cachettes et plantes flottantes et évitez un éclairage trop intense.
  18. carement mais bon au moin je suis sur que mon eau ne sera pas pollué a cause du décor, j'avais peur de ça
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