meganite1111
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BEAUNE (21, Bourgogne) - 24 et 25 novembre 2012
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BOURGES (18, Cher) - 24 et 25 novembre 2012
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LA GORGUE (59, Nord-Pas de Calais) - 18 novembre 2012
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REDING (57, Lorraine) - 18 novembre 2012
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ORLEANS (45, Loiret) - 3 et 4 novembre 2012
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SAINT AVOLD (57, Lorraine) - 28 octobre 2012
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TOULOUSE (31, Midi Pyrénées) - 27 et 28 octobre 2012
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NANCY (54, Lorraine) - 21 octobre 2012
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TOULOUSE (31, Midi Pyrénées) - 20 et 21 octobre 2012
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GRAVELINES (59, Nord-Pas de Calais) - 14 octobre 2012
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D´hier à aujourd´hui Ce sont l’Etat de New York et la couleur de son pelage qui lui valurent ce nom de « York Chocolate ». Cette race est née de plusieurs mariages entre des chats de maison qui eurent lieu vers 1983 chez une éleveuse américaine, Janet Chiefari. Tous les sujets actuels descendent d’une femelle chocolat et blanc baptisée Brownie et de son fils Minky, lui-même entièrement chocolat. Janet continua sa sélection en mariant ses protégés avec des Siamois à tête ronde qui introduisirent dans la lignée la couleur lilas. Désormais reconnu comme nouvelle race, le York Chocolate demeure à un stade expérimental. Il n’existe qu’une centaine de sujets à travers le monde (principalement aux Etats-Unis et en Italie). En France, la première portée de York Chocolate a vu le jour en 2005. Son look Le York Chocolate est un chat à poil mi-long, uniquement chocolat ou lilas, avec ou sans marques blanches. La tête est de taille moyenne. Le nez est droit ou légèrement bombé. Les yeux, ovales, peuvent être or ou verts. Les yeux bleus ou impairs sont acceptés chez les particolores. Les oreilles sont aussi hautes que larges à la base. De format semi-foreign, le corps est à la fois élégant et musclé. Fine et soyeuse, la fourrure est dense mais avec très peu de sous-poil. Courte et irrégulière sur les épaules, elle s’allonge graduellement sur les côtés pour atteindre sa pleine longueur sur le ventre et les culottes. Il peut y avoir une collerette suivant les saisons. Chez les particolores, la proportion de blanc va d’un tiers à la moitié de la surface du chat. Des marques tabby ou une légère coloration du poil ressemblant à du tipping sont tolérées chez les chatons. Sa compagnie Le York Chocolate a gardé de ses origines modestes (des chats de gouttière) un caractère attachant et débrouillard. Moitié nounours moitié félin, il a le don d’attendrir tous ceux qui le côtoient. D’autant plus qu’il est d’un naturel bavard ! Joyeux et déterminé, c’est un chat relativement actif mais pas trop nerveux. Son pelage mi-long réclame juste un brossage hebdomadaire. Si la race se développe, il peut trouver son public.
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TURC DU LAC DE VAN - Le chat de l'arche de Noé
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D´hier à aujourd´hui L’histoire du Turc de Van se perd dans les brumes de ses contrées natales, du Mont Ararat en Turquie, où se serait échoué l’arche de Noë, jusqu’aux rives du lac de Van, aux confins de l’Iran et de l’Irak. Forgé par la nature, il existe sous sa forme actuelle depuis fort longtemps, comme l’attestent les témoignages des marchands qui faisaient commerce de l’Orient vers l’Occident. Bien caché dans ses montagnes, il est resté isolé tandis que son cousin, l’Angora Turc, avec lequel il est souvent confondu, partait à la conquête du monde. Importé pour la première fois en Grande-Bretagne en 1955 par Laura Lushington et Sonia Halliday, il n’a pas réussi à s’imposer dans ce grand pays d’élevage. Ce sont finalement les Etats-Unis et l’Allemagne qui lui fournirent une terre d’accueil. Aujourd’hui la Turquie, consciente de son patrimoine, a décidé de protéger ce chat venu des légendes bibliques et il est très difficile d’en importer. Son look Le Turc de Van est un grand chat qui n’atteint sa pleine maturité que vers l’âge de trois ans. Sa tête a la forme d’un triangle aux contours adoucis avec des pommettes hautes et saillantes. Le museau est fort et arrondi. Grands et expressifs, les yeux en forme de noix sont placés légèrement de biais. De taille moyenne, les oreilles sont placées haut sur la tête sans pour autant être verticales. L’encolure est forte et bien musclée. Elle porte une abondante collerette en hiver. Le corps est long, grand et fort, avec une musculature puissante et arrondie qui se devine même sous la fourrure. Les pattes sont très musclées, les pieds ronds. La queue, de longueur moyenne, est bien fournie. Mi-longue, la robe a la texture du cachemire avec le moins de sous-poil possible. Même s’il existe des Turcs de Van entièrement blancs, la couleur typique de la race est un chat blanc avec une ou deux taches sur la tête et la queue colorée. Sa compagnie Le Turc de Van est un chat qui se mérite. Vivant à l’état demi-sauvage dans son milieu naturel, il ne bénéficie de contacts prononcés avec l’homme que depuis relativement peu de temps. Un peu timide, n’utilisant que très rarement sa force, il demande à être mis en confiance pour montrer toute l’affection dont il est capable. Le Turc de Van est un chat à deux fourrures. L’hiver, en souvenir du climat continental de sa terre d’origine, le Van est une boule de poils dense et impénétrable. L’été, seule sa queue rappelle qu’il a le poil long. Il en résulte une mue spectaculaire que vous aiderez avantageusement par de vigoureux brossages. -
D´hier à aujourd´hui Le Tonkinois, race somme toute récente dans sa version actuelle, existe sans se nommer depuis des siècles. En effet, le Tonkinois moderne est issu du métissage entre deux races autrefois très semblables: le Siamois et le Burmese. Cette union donne un chat au type intermédiaire mais surtout produit 100% de chatons à la robe aux dégradés subtils avec des yeux couleur aigue-marine incomparable (mink). Juste retour des choses, car dans sa contrée d’origine, la Thaïlande, ces races étaient tellement mêlées que l’on ne les distinguait pas ! L’alchimie est pourtant délicate car l’évolution morphologique de plus en plus divergente des deux races parentes rend difficile la stabilisation du Tonkinois. C’est pourquoi il a été décidé de marier des Tonkinois entre eux et d’accepter les chatons aux yeux bleus comme les Siamois (colourpoint) ou ambre comme les Burmese (sépia), nés de cette union. Le Tonkinois n’est donc plus une simple couleur mais une race à part entière qui connaît un succès croissant dans le monde entier. Son look Le Tonkinois est un chat de taille moyenne, assez élégant et très musclé. Très légèrement plus longue que large, la tête a la forme d’un triangle aux contours adoucis. Les yeux, en forme de noix, sont implantés légèrement de biais. De taille moyenne, les oreilles sont placées à égale distance des côtés et du sommet de la tête. Le corps est très musclé mais sans lourdeur. La poitrine est bien ouverte et légèrement arrondie. Les pattes sont plutôt fines. Il existe deux variétés de Tonkinois, l’une à poil court (fourrure très douce au toucher, courte et serrée) et l’autre à poil long (fourrure mi-longue et fine, soyeuse et couchée sur le corps). Trois motifs sont reconnus : le colourpoint qui présente un fort contraste entre la couleur des extrémités et du corps et chez qui les yeux sont bleus, le mink, avec un contraste intermédiaire et les yeux aigue-marine, et le sépia où le contraste est peu visible et les yeux ambre. Sa compagnie Intermédiaire dans sa morphologie, le Tonkinois l’est aussi dans son caractère. Comme le Siamois, il est fidèle, véritable chat-chien qui vous suit pas à pas. Mais au moment où il pourrait devenir embarrassant, sa discrétion Burmese prend le dessus pour qu’il ne soit jamais encombrant. Chat de famille très agréable, il s’adapte aux conditions de vie les plus diverses, à partir du moment où il a l’affection ses maîtres.
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D´hier à aujourd´hui Les premiers chats siamois connus furent importés du Royaume du Siam et montrés en exposition au Cristal Palace (Angleterre) en 1871. Le wichienmaat, nom qu’il porte en Thaïlande, a connu un engouement auprès du public du début du XXe siècle jusqu’à la seconde guerre mondiale. A partir des années 1960, le type évolua progressivement par sélection jusqu’aux formes élancées que l’on connaît actuellement. Des amoureux de la morphologie originelle ont cependant conservé les qualités ainsi que l’apparence du Siamois ancien type. Le nom de SIAMOIS est resté, associé dorénavant aux formes longilignes et très sveltes. Il a donc fallu trouver un nom pour l'ancien siamois, aux formes plus arrondies et d'aspect plus trapu. Le nom de « THAÏ » lui a été donné, puisque originaire du Siam, aujourd’hui appelé Thaïlande (Terre des Thaïs). Son look Chat de taille moyenne, à la silhouette légèrement trapue, le Thaï allie une grâce athlétique avec une robe soyeuse et couchée sur le corps. La tête, vue de face, forme un triangle équilatéral aux contours arrondis. De profil, le crâne et le front sont légèrement arrondis et prolongés d’une harmonieuse courbe convexe jusque au dessus des yeux et une légère et graduelle courbe concave sous les yeux. Les oreilles, larges à la base et arrondies à l’extrémité, sont de taille moyenne. Les yeux sont ovales et placés légèrement de biais. L’encolure et le corps sont de longueur moyenne et bien musclés. La poitrine est bien ouverte. La queue, de longueur moyenne, est large à la base et va en s’effilant. Le Thaï est un chat colourpoint, c’est-à-dire avec les extrémités, oreilles, museau, pattes et queue, plus foncées que le corps. Il doit y avoir un contraste net entre la couleur des points et celle du corps. Les yeux sont toujours bleus, de la tonalité la plus intense possible. Sa compagnie Tout comme le Siamois, le Thaï est un chat bavard, qui sait se faire comprendre en toute situation et qui a un sens aigu de la possession envers son maître. D’un tempérament proche de celui du siamois, le qualificatif de « chat-chien » peut lui être donné. Il vous accompagne dans chacune de vos activités. Sa robe courte et près du corps demande très peu de toilettage, des caresses régulières permettent d’éliminer le surplus de poils lors de la mue.
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D´hier à aujourd´hui Tous les Sphynx d’aujourd’hui descendent d’une portée de chatons nus nés en 1966 à Toronto au Canada. Deux petites chattes, Pinkie et Paloma furent importées aux Pays-Bas par le Dr Hugo Hernandez qui les maria avec des Devon Rex aux allures de lutin. En 1983, le Français Patrick Challain acheta une portée entière à Hugo Hernandez. Quand en 1984, les cinq chatons furent présentés au public lors de l’exposition féline de Baltard, plus de 20 000 personnes se pressèrent pour les découvrir et leur apparition déclencha une émeute. En 1985, Aline et Philippe Noël importèrent à leur tour deux chatons de Hollande, Mogwaï et Gizmo. Ces deux chats eurent une importance capitale : le premier standard de la race fut rédigé d’après leur fille, Aménophis Clone. Même si le Sphynx est internationalement répandu, on peut dire, non sans fierté, que la France est le pays d’origine de cette race unique. Son look Le Sphynx est un chat de taille moyenne. La tête, au crâne large et aux contours arrondis, présente des pommettes hautes et un pinch prononcé. Elle porte d’immenses oreilles très ouvertes et attachées bas. De profil, le crâne est assez plat, prolongé par un front légèrement bombé et par une légère cassure au niveau du nez. En forme de citron, les yeux sont grands et expressifs. L’encolure arquée dégage bien la tête et les épaules. Le corps est ferme avec une musculature ronde, une poitrine ouverte comme celle d’un bouledogue. Les pattes sont fines. La queue est longue et effilée. La peau du Sphynx va de la nudité complète à un fin duvet ressemblant à de la peau de pêche. Les chatons sont très ridés et les adultes doivent garder le plus de plis possible sans que cela n’affecte leur santé. Toutes les couleurs sont acceptées. Sa compagnie A look unique, caractère unique. Le Sphynx est un Monsieur Plus : il ouvre les yeux plus tôt que les autres chatons, il marche plus précocement, mange plus et plus vite, demande sans cesse des câlins et n’est heureux que dans les bras ou sous la couette. Malgré son absence de poil, il est fort et solide. Sa peau demande toutefois un entretien important car elle excrète beaucoup de sébum et nécessite des bains relativement fréquents, au maximum une fois par semaine . Un nettoyage quotidien avec un lait hypoallergénique est aussi le bienvenu, de même qu’un entretien régulier des oreilles.
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D´hier à aujourd´hui L’origine du Somali est un mystère. Est-il apparu de manière spontanée dans des portées d’Abyssins ou est-il issu d’une hybridation avec une autre race de chats à poil long ? Personne ne le sait. On sait, en revanche, que depuis fort longtemps de petits chats poilus et duveteux naissaient dans des portées d’Abyssins. Dans le meilleur des cas, ils étaient vite donnés avant que leur présence ne s’ébruite. Jusqu’en 1963, lorsque Mary Mailling, éleveuse d’Abyssins, introduisit subrepticement un petit « poil long » à l’exposition féline de Calgary. Le juge, loin de rejeter le chaton, tomba sous le charme et demanda à Mary de le lui confier. Au même moment, aux Etats-Unis, Evelyne Mague commençait elle aussi à sélectionner des « poil long ». La route fut longue vers l’acceptation, car les éleveurs s’obstinaient à nier la présence du poil long dans leurs lignées. Mais la variété fut tout de même reconnue par la Cat Fancier Association en 1978. Son look Le Somali est un chat élégant, souple et agile qui peut paraître, du fait de sa fourrure, un peu plus lourd qu’il ne l’est en réalité. Sa tête est un triangle aux contours arrondis. Ses yeux en amande sont or, noisette ou verts. Ses oreilles, assez grandes, sont larges à la base, en forme de coupe et pointées vers l’avant. L’encolure est souple, arquée et bien attachée. Le corps, moyennement long, est musclé avec une cage thoracique légèrement arrondie. Les pattes sont proportionnellement minces par rapport au corps, bien musclées avec une ossature parfois plus forte que chez l’Abyssin. La queue assez longue est portée en panache. Mi-longue, la robe est fine, soyeuse et douce. Chez le lièvre et le sorrel -couleurs les plus courantes de la race-, la robe est particulièrement chaude et brillante. Aujourd’hui, la palette de couleurs s’est élargie mais le motif de la robe reste toujours le même. Tiquetée, elle a une qualité particulière qui réfléchit la lumière. Sa compagnie Comme l’Abyssin, le Somali à un caractère vif et enjoué, peut-être simplement un petit peu plus posé que celui de son cousin à poil court. Chose exceptionnelle, le standard le décrit comme un chat d’apparence royale, agile comme une panthère mais proche de l’être humain. Tout en lui est lumière surtout quand il croise le regard de son maître. Sa fourrure mi-longue exige peu d’entretien.
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D´hier à aujourd´hui Le Sokoké vivait à l’état sauvage dans la forêt de Sokoké, au Kenya. Jusqu’à ce que Jeni Slater, une Anglaise, ne le sorte de l’anonymat en 1978 et suggère à Gloria Moldrup d’importer le premier couple au Danemark en 1984. Le Sokoké est reconnu par La Fédération Féline Internationale depuis 1993. Son audience reste faible. En France, la première portée de Sokoké est née chez Monique Dumont en 2003. Son look Le Sokoké est mince et musclé. L’angulation des pattes arrière, très prononcée, est caractéristique de la race. La tête est petite par rapport au corps. Les yeux sont grands, placés légèrement de biais, de couleur ambre à verte. Moyennes, les oreilles sont larges à la base et dotées si possible de « lynx tips » (plumets). Sa robe marbrée est mise en valeur par une fourrure très courte. Des poils tiquetés dans les marques noires sont typiques. Sa compagnie Le Sokoké sait se montrer doux avec les enfants comme avec les adultes. Très loquace, il émet toutes sortes de sons pour communiquer. C’est aussi un chat très actif et un excellent grimpeur, capable de faire des bonds impressionnants.
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SNOWSHOE - Un chat sur des raquettes à neige
meganite1111 a posté un sujet dans Races de chats de Wildcats
D´hier à aujourd´hui Le Snowshoe a été fabriqué de toutes pièces dans les années 1960 par une éleveuse de Philadelphie, Dorothy Hinds-Daugherty. Pour y parvenir, elle croisa un Siamois avec un American Shorthair bicolore puis avec un Sacré de Birmanie. Elle obtint alors un joli chat à poil court, aux extrémités colorées et aux yeux bleus, plus ou moins panaché de blanc selon les individus. Sa silhouette rappelle un peu celle des Siamois à pieds blancs présents sur certaines photos datant de l’époque victorienne. Cette particularité lui valut d’être baptisé Snowshoe (ce qui signifie en anglais : « raquettes à neige »). Il fut officiellement reconnu aux Etats-Unis par la TICA dans les années 1980. En France, la première portée de Snowshoe est née en 2006. Bien que la race soit rare, son regard bleu et son type harmonieux lui assurent l’affection du public. Son look Le Snowshoe est un chat de taille moyenne, musclé et agile. La tête présente des contours arrondis. Assez grands, les yeux sont de forme ovale à ronde et de couleur bleue. Les oreilles sont moyennes. Courte à moyennement courte, la fourrure est douce et soyeuse. Comme chez tout colourpoint, les oreilles, le masque, les pattes (pieds exceptés) et la queue sont de la couleur de base du chat (seal, bleu, chocolat ou lilas point), plus foncés que le corps et si possible homogènes. Deux motifs de panachures sont acceptés : le bicolore et le mitted (ganté). En version « mitted », les quatre pieds doivent être blancs (les pattes avant juste gantées, les pattes arrière blanches jusqu’aux jarrets). En version « bicolore », le masque présente un V inversé aussi symétrique que possible. La truffe est rose. La proportion de blanc ne doit pas dépasser la moitié de la surface totale du chat. Sa compagnie Beaucoup plus calme que son ancêtre siamois, le Snowshoe est un compagnon tendre mais équilibré. Assez cool et élégant, voire réservé, c’est le chat idéal pour un écrivain, car il adore venir se coucher sur les pages ou sur le clavier de l’ordinateur ! Vif et curieux, il aime aussi s’installer en hauteur pour observer les situations. Les enfants n’ont rien à redouter de lui car il fait volontiers patte de velours. Et il ne réclame aucun toilettage. -
D´hier à aujourd´hui Le Singapura, comme son nom l’indique, est originaire de Singapour. Il vit là-bas à l’état semi-sauvage, se nourrissant la nuit dans les poubelles des restaurants et dormant, le jour, là où il peut ! En 1974, Hal et Tommy Meadows, deux touristes américains, remarquent des ombres nacrées dans les lumières de la nuit asiatique. Séduits, ils ramènent chez eux trois sujets, sans trop de difficultés car le gouvernement de Singapour de l’époque n’était pas encore conscient de la richesse de ce patrimoine national. Lors de leurs premières apparitions aux Etats-Unis, les Singapuras remportent un vif succès. Tord et Susan Svenson reprennent alors le flambeau et obtiennent, en 1984, la reconnaissance de la race par les grandes fédérations félines américaines. En relation avec le Singapura Cat Club local, ils réussissent à importer d’autres chats qui, mariés à des Burmeses, sont à l’origine de presque tous les Singapuras d’aujourd’hui. Son look Connu pour être la plus petite race de chat au monde, le Singapura ne peut cependant être réduit à sa petite taille car il est unique par bien des points. Chat tiqueté comme l’Abyssin, il se fait remarquer par sa robe dégradée aux reflets nacrés et ses très grands yeux en forme de noix qui illuminent sa petite tête ronde. Le museau est court et rond, les oreilles plutôt grandes. L’encolure est courte et épaisse. Le corps compact avec une cage thoracique arrondie surprend par sa densité musculaire. Les pattes sont fortes et puissantes à leur naissance et s’affinent jusqu’à de petits pieds ovales. La queue est de taille moyenne. Le fond de robe est de couleur vieil ivoire avec des marques tabby typiques, brun foncé à noires, sur la tête et l’intérieur des pattes. Les yeux, idéalement verts, peuvent être jaunes à noisette. La fourrure, fine et soyeuse, est courte et douce au toucher. Les chatons peuvent avoir une texture plus longue et plus laineuse que les adultes. Sa compagnie Le Singapura est un chat vif et agile qui se déplace avec une grande aisance, voire même avec une puissance surprenante pour sa taille. Solide, on ne lui connaît pas de maladie particulière. Côté entretien, il fait partie des plus faciles, sa courte fourrure, quasiment autonettoyante, n’exigeant qu’un coup de brosse en caoutchouc pour enlever les poils morts durant la mue saisonnière.
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D´hier à aujourd´hui Il fallait bien un chat à la Grande Russie pour qu’elle fasse son entrée dans le monde de la félinotechnie internationale, montrant par là qu’elle rompait définitivement avec une époque où il était interdit de posséder un animal domestique et encore moins de race ! Ce chat, la Russie l’a tiré du plus profond de son histoire et des ses campagnes. Solide, robuste et agile, c’est un chat de ferme à la puissante mâchoire et la fourrure imperméable, indispensables pour chasser les proies nécessaires à sa subsistance et se protéger d’un froid…. sibérien. Probablement marié, il y a des siècles, avec des chats Angoras venus du Moyen-Orient dans les bagages des grands voyageurs, il a été reconnu officiellement par les instances internationales en 1997. Son look Le Sibérien s’inscrit dans la catégorie des grands chats « naturels », aux côtés du Maine Coon des Etats-Unis, du Norvégien d’Europe du Nord ou du Turc de Van d’Asie Mineure. En forme de triangle adouci, la tête est large avec des contours arrondis. De profil, le front est légèrement arrondi avec une légère déclivité au niveau du nez. Le museau est rond, les oreilles de taille moyenne, bien espacées et pointées vers l’avant. Les yeux sont grands, presque ronds. L’encolure est courte et puissamment musclée. Le corps, est lourd et massif avec une forme caractéristique dite « en tonneau ». Assez courtes, les pattes sont robustes et musclées, les pieds grands et ronds avec des touffes de poils entre les doigts. Mi-longue à longue la fourrure du Sibérien est composée d’un sous-poil abondant recouvert d’un poil de garde épais et brillant. La queue est bien fournie. Toutes les couleurs traditionnelles sont acceptées sauf le chocolat ; lilas, cinnamon et fawn. Les Sibérien colourpoint (la couleur du Siamois) sont appelées Neva Masquerade. Sa compagnie Malgré ses origines rustiques, le Sibérien est un chat qui s’est très bien adapté aux contraintes de la vie moderne, y compris celle de vivre en appartement, à partir du moment où il bénéficie de l’attention de son maître. Il est plutôt calme, comme la plupart des chats de grand gabarit. Sa fourrure épaisse demande un entretien régulier mais néanmoins modéré, sinon en période de mue ou un brossage plus fréquent est nécessaire.
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D´hier à aujourd´hui Le Siamois est une race ancienne dont on remarque les premières traces dans des manuscrits thaïlandais découverts à Ayudha, la capitale du Siam au XVe siècle. Les premiers Siamois sont arrivés en Grande-Bretagne au milieu du XIXe siècle, rapportés par le Major Owen Gould, ambassadeur à Bangkok. Le succès est fulgurant et très vite, ils gagnent les Etats-Unis. A cette époque, seuls les seal point étaient reconnus mais il naissait déjà des chatons chocolat point, bleu point et lilac point. Petit à petit s’est ajoutée une très large palette de couleurs. La race a connu une grande évolution dans les années 1970 quand les éleveurs ont accentué ses caractéristiques physiques. Les Américains ont recherché un corps plus élégant et une tête plus longue. Les Anglais, eux, préférèrent travailler le positionnement des oreilles, plus basses et plus grandes, et la forme orientale des yeux. Aujourd’hui, les meilleurs Siamois combinent les qualités des chats américains et des chats anglais. Son look Le Siamois est un chat d’une grande élégance, svelte et musclé. La tête est triangulaire vue de face. Les oreilles, grandes et larges à la base, prolongent le triangle formé par la tête. La ligne de profil est droite depuis le sommet du crâne jusqu’au bout du nez. Les yeux sont en amande et placés de biais pour donner ce regard oriental que l’on aime tant chez le Siamois. L’encolure est longue et déliée, le corps tubulaire et ferme. Les pattes sont longues et hautes, avec une ossature fine mais dense. La queue, longue et fine, ressemble à un fouet et contribue à prolonger l’impression de longueur. Toutes les couleurs colourpoint, c’est-à-dire avec les extrémités - oreilles, museau, pattes et queue plus foncés que le corps- , sont acceptées. Les yeux sont du bleu le plus intense possible. Sa compagnie Si l’on devait qualifier le caractère du Siamois par un seul mot, ce serait sans conteste l’adjectif « hyper » : hyper actif, hyper câlin, hyper bavard ! Non, la voix du Siamois n’est pas une légende ! Inutile de dire que dans ces conditions, on adore ou on déteste. Toujours est-il que les personnes qui ont eu un jour un Siamois pour compagnon s’en souviennent toute leur vie et restent fidèles à cette race.