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changement de comportement..............
Franzi a répondu à un(e) sujet de katia16 dans Présentations et questions
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Le bric-à-brac de Mitia et Vania...
Franzi a répondu à un(e) sujet de Eltiania dans Présentations et questions
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petit invertébré dans mon mini aqua ?????,,
Franzi a répondu à un(e) sujet de Mitsou111 dans Présentations et questions
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Franzi a répondu à un(e) sujet de Mitsou111 dans Présentations et questions
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Franzi a répondu à un(e) sujet de Mitsou111 dans Présentations et questions
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A propos de cette oiseau !!
Franzi a répondu à un(e) sujet de Dgrisou37 dans Présentations et questions
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A propos de cette oiseau !!
Franzi a répondu à un(e) sujet de Dgrisou37 dans Présentations et questions
ORIGINE : Le diamant mandarin est un petit oiseau exotique (10-13 cm) à bec droit originaire d'Australie. Il vit en groupe, donc il faut au minimum avoir un couple. LONGEVITE : 5 à 8 ans MALE / FEMELLE : dans les mutations les plus fréquentes, la femelle n'a pas les joues colorées du mâle. Mais le seul critère applicable à tous les types de mutations pour différencier mâles et femelles est la couleur du bec : rouge vif chez le mâle et orange chez la femelle. Par exemple, chez les mandarins blancs, le mâle ne possède pas de joues colorées, de poitrine zébrée ni de flancs colorés. On reconnait aussi le mâle à son chant. MUTATION : il existe de nombreuses mutations, avec différents modes de transmission. La couleur la plus fréquentes est le gris (type sauvage, comme mon mâle). ALIMENTATION : les mandarins se nourrissent principalement de mélange de graines pour exotiques (vendus dans le commerce ou faits soi même). Il est aussi conseillé de laisser une grappe de millet en permanence dans leur cage. Ils apprécient aussi la verdure (mourron blanc, concombre, salade, pomme...) en petites quantités, pour éviter les diarrhées (au max une à deux fois par semaine). EAU à disposition en permanence. CALCIUM ET MINERAUX : ils doivent disposer d'un os de seiche (calcium), éventuellement d'un bloc minéral et de sable contenant des coquilles marines en fond de cage. VITAMINES : leur emploi est controversé. Certains en donnent toutes les semaines, d'autres jamais et d'autres encore, uniquement en période de mue, de reproduction ou de maladie. HABITAT : selon la taille (de la cage ou de la volière), on peut mettre un nombre plus ou moins grand d'oiseaux, le minimum étant deux. La cage doit être dans un emplacement lumineux, sans être exposée à la lumière directe du soleil, et à l'abri des courants d'air. Les mandarins sont des oiseaux assez résistants qui peuvent vivre en volière extérieure toute l'année, à condition d'y apporter les aménagements nécessaires (abri pour l'hiver, lumière, voir chauffage, etc.). L'idéal est de placer la cage en hauteur, pour faire moins peur aux oiseaux. Les perchoirs en bois naturel et placés dans divers positions sont très bons pour l'oiseau car ils lui permettent d'user naturellement ses griffes (et son bec) et évitent les crampes par les changements de position du corps qu'ils imposent. Il faudra les changer régulièrement. AUTRES ACCESSOIRES : les mandarins adorent se baigner. Un bain quotidien est un bonheur pour eux et permet de lutter contre les parasites (acariens). Il faut évidemment une mangeoire pour les graines, un abreuvoir ou un biberon pour l'eau. On peut leur mettre une balançoire, certains s'amusent beaucoup avec. MUE : vers avril-mai et août-début septembre. Dure 2 à 4 semaines. (j'ai lu ça partout, mais je n'ai pas constaté de réelle mue chez mes mandarins) REPRODUCTION : Ils peuvent de reproduire toute l'année. Durant cette période, ils ont besoin de calme et d'intimité. Ce sont des oiseaux faciles à élever et de très bons parents. Pendant la période de reproduction, il faut leur donner de la pâtée aux oeufs, pour le nourrissage des jeunes. Quant au nid, ils ne sont pas difficiles mais préfèrent les nids fermés en osier. Il faut leur donner du matériel (fibre de coco, foin, mousse, herbe sêchée...). Le mâle construit généralement le nid. La femelle pond de 3 à 8 oeufs par couvée, à raison d'un ou deu oeufs par jour. La couvaison dure 12 à 15 jours. Les petits éclosent ensuite dans l'ordre de la ponte et on peut donc voir une grande différence d'âge dans la même couvée. Les jeunes quittent le nid au bout de 3 semaines environ. Ils commencent à manger seuls mais les parents les nourrissent encore. Ils ne sont pas sevrés avant 6 semaines. -
A propos de cette oiseau !!
Franzi a répondu à un(e) sujet de Dgrisou37 dans Présentations et questions
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Toiletteuse
Franzi a répondu à un(e) sujet de nbcat1 dans Métiers, formations et certificats de capacité
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Age « chat » Age « humain » 18 mois --------------20 ans 20 mois ------------- 21 ans 22 mois -------------22 ans 2 ans --------------- 24 ans 3 ans ----------------28 ans 4 ans ----------------32 ans 5 ans ----------------36 ans 6 ans ----------------40 ans 7 ans ----------------44 ans 8 ans ----------------48 ans 9 ans ----------------52 ans 10 ans ---------------56 ans 11 ans ---------------60 ans 12 ans ---------------64 ans 13 ans ---------------68 ans 14 ans ---------------72 ans 15 ans ---------------76 ans 17 ans -------------- 84 ans 19 ans -------------- 92 ans 20 ans --------------100 ans
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Chat - Saint Saint Jérôme, Sainte Agathe, Sainte Gertrude et Saint Yves entre autres ont été immortalisés par des peintres avec des chats. Chat - beaute La beauté du chat est capable de porter la photo à son summum. Les publicitaires l’ont associé à des produits de luxe ou de grande consommation. Chat - cabaret Le Chat-Noir : cabaret satirique de Paris, fondé à Montmartre par Rodolphe Salis en 1881 et où se groupa toute une bande de poètes, de chansonniers, de dessinateurs d’allures très libres et surtout satiriques, il disparut en 1897. Parmi les familiers du Chat-Noir citons : Alphonse Allais, Georges Auriol. Rodolphe Salis ouvre à Montmartre un cabaret littéraire et artistique : Le Chat-Noir. C’est le peintre Willette qui peignit l’enseigne de l’établissement. Chat - artiste Jacques Lehman dit Nam né à Paris en 1881 mort en 1974, élève de Férôme à l’Ecole des Beaux-Arts expose depuis 1906 dans les salons parisiens : Salon d’Automne, Salon des Arts décoratifs, Salon de la Nationale des Beaux-Arts, Salon des Indépendants. Son amour des chats et son don pour les représenter lui permettent d’illustrer les livres de Colette Chats et sept dialogues de bêtes. Ses sujets favoris les chats et en particulier les chats Siamois. Il compose des poèmes à la gloire de la mouche et de sa chatte favorite nommée « Grille d’égout ». Nam travaillera avec la faïencerie de la Grande Maison à Quimper se sont encore les chats qui dominent. Chat - cinéma Marilyn Monroe avait comme compagnon un Persan blanc, Mitsou. Ils ou Elles ont dit ou écrit à propos du ou des chats : Colette : À fréquenter le chat, on ne risque que de s’enrichir. Nos compagnons les plus parfaits n’ont jamais moins de quatre pattes. De la confiance mentale, du murmure télépathique. En s'associant avec un chat, on ne fait que prendre le risque d'être plus riche. Le temps passé avec un chat n'est jamais perdu. Charles Baudelaire (1821-1867) : C’est l’esprit du lieu, il juge, il préside, il inspire. Les chats puissants et doux, orgueil de la maison, amis de la science et de la volupté. Les nobles attitudes des grands sphinx allongés au fond des solitudes. Viens mon beau chat sur mon cœur amoureux, retiens les griffes de ta patte. Chat séraphique, chat étrange, en qui tout est comme un ange. Les Chinois voient l'heure dans l'oeil des chats. Lady Sydney Morgan : Un chaton est plus amusant que la moitié des gens qui se croient obligés de l’être. Théophile Gautier (1811-1872) : Si vous êtes digne de son affection, un chat deviendra votre ami mais jamais votre esclave. François-Augustin Paradis de Moncrif (1687-1770) : « … N’en doutez point, dans les sociétés, aux spectacles, aux promenades, au bal, dans les académies même, les chats seront reçus, ou plutôt recherchés. Il est impossible qu’on ne parvienne point à sentir que dans un chat on possède un ami de très bonne compagnie, un pantomime admirable, un astrologue-né, un musicien parfait, enfin l’assemblage des talents et des grâces ; … » JACQUES LAURENT écrivain et journaliste français (1919-2000) : Il suffit de croiser son regard avec celui d'un chat pour mesurer la profondeur des énigmes que chaque paillette de ses yeux pose aux braves humains que nous sommes. JOSEPH WOOD KRUTCH : Les chats suivent le principe selon lequel on ne blesse personne à demander ce que l'on veut. LEONOR FINI peintre et décoratrice : Le chat est à nos côtés le souvenir chaud, poilu, moustachu et ronronnant d'un paradis perdu. JULES RENARD (1864-1910) : L'idéal du calme est dans un chat assis. ALBERT SCHWEITZER (1875-1965) : Il y a deux moyens d'oublier les tracas de la vie : la musique et les chats. JEAN COCTEAU (1889-1963) : Petit à petit, les chats deviennent l'âme de la maison. MARK TWAIN (1835-1910) : Si l'on pouvait croiser l'homme et le chat, ça améliorerait l'homme, mais ça dégraderait le chat. ERNEST HEMINGWAY (1899-1961) : Le chat est l'honnêteté absolue : les êtres humains cachent, pour une raison ou une autre, leurs sentiments. Les chats non. PAL GERHARD OLSEN : Les chats apaisent l'âme. Un chat n'a aucun souci, parce qu'il pense de manière intuitive.
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Chat - auteur Les chats ont passionné les plus grands auteurs. Mallarmé, Hemingway avait trente chats, Confucius, Charles Dickens, Jean Cocteau, Victor Hugo, Edgar Poe, Emile Zola. Georges Sand prenait son petit déjeuner dans la même assiette que Minou. De nombreux écrivains ont rendu hommage à leurs félins. Entre autres Théophile Gautier, Alexandre Dumas qui fonda une Ligue pour la défense des félins avec Guy de Maupassant, Anatole France et Charles Baudelaire. Charles Baudelaire (1821-1867) poète français, il est proche des romantiques, il annonce le symbolisme par la puissance suggestive de ses vers. Bien connu pour ses poèmes parlant ou évoquant des chats. Avait-il un chat pour compagnon qui l’aurait inspiré ? Nous n’avons pas de réponse à cette question. Taine Hippolyte (1828-1893) critique, philosophe et historien français. Pour Taine, l’homme est une « animal d’espèce supérieure ». Colette (Sidonie Gabrielle Colette) (1873-1954) écrivain français. Elle fut également actrice de music-hall, journaliste, mémorialiste (auteur de mémoires historiques ou littéraires). Elle fut l’une des grandes amies des chats dans le monde des Lettres. Sa mère lui avait donné le surnom de « Minet-Chéri ». Colette a souvent été prise en photo avec des chats, dans la rue, dans son jardin, à sa table de travail. Dans Dialogues des Bêtes, elle rapporte des conversations entre deux de ses animaux un Angora gris Kiki-la-doucette et un Bulldog appelé Toby-chien. Colette eut un chat sauvage, un chaton de 20 mois venu du Tchad, appelé Bâ-Tou. Il se comportait comme n’importe quel chat domestique. Colette est restée sans chat car Chatte Dernière l’avait quittée. On retrouve Saha, la chatte de Colette dans son roman La Chatte. Colette était une passionnée des Chartreux voir son livre La Chatte avec Saha. Colette a toujours été entourée de chats de Saint-Sauveur-en-Puisaye à Paris (Palais Royal). Ils l’ont inspirée et elle a parlé d’eux dans Claudine à l‘école, Dialogues de bêtes. Elle a même incarné La Chatte amoureuse en 1912 au Ba-Ta-Clan. Elle a dit : « A fréquenter le chat, on ne risque que de s’enrichir. Serait-ce par calcul que depuis un demi-siècle je recherche sa compagnie ? » Montaigne écrivait autour de son chat. Théophile Gautier eut pour compagnon Madame Théophile, Sérapita, Eponine. Il a écrit dans Ménagerie intime : « On dirait que les chats devinent l’idée qui descend du cerveau au bec de la plume et que, allongeant la patte, ils voudraient la saisir au passage ». Stéphane Mallarmé avait pour compagnon félin, une chatte noire Lilith. Il a dit : « Je pense que le chat est nécessaire à un intérieur. Il le complète. C’est lui qui polit les meubles, en arrondit les angles, lui qui donne à l’appartement du mystérieux. Il est bien le dernier bibelot, le couronnement suprême». Pierre Loti aimait lui aussi les chats, il leur avait fait faire des cartes de visite gravées à leur nom. Chat - peintre Théophile Alexandre Steinlen (1859-1923) chat couché 1898, chat couché 1912. Peintre, dessinateur, lithographe et affichiste français d’origine suisse. Collaborateur de nombreux journaux, dont l’Assiette au beurre il peignit avec réalisme la vie des pauvres et des opprimés. Il a illustré A. Bruant. Dessinateur et peintre né à Lausanne mort à Paris (1859-1923) naturalisé Français en 1901. Des dessins, lithographies et affiches de Théophile Alexandre Steinlen, un artiste suisse qui vivait à Paris vers 1890. Emportant son carnet de croquis à Montmartre, il immortalisa dans ses esquisses les chats de gouttière qui patrouillaient sur les toits et dévalisaient les poubelles. Il peignait aussi des animaux domestiques appartenant à ses collègues ou à des couturières, dans des décors plus conventionnels. Sa réputation d’amoureux des chats se consolida et sa maison abritant de nombreux félins reçut le sobriquet de « Coin des chats ». L’affichiste célèbre pour ses illustrations incluait souvent des félidés dans ses publicités. Théophile Alexandre Steinlen fut un illustrateur surtout connu pour ses tableaux de chats saisis dans toutes sortes de situations. L’affiche pour l’exposition de l’artiste à la galerie Bodinière à Paris en 1894 présentait deux chats dans la même attitude. Il fut affichiste entre autre d’une tournée du cabaret du Chat-Noir, il a réalisé un album de dessins sans paroles Des chats en 1898. Henri Matisse (1869-1954), le peintre aimait la compagnie des chats, lorsque malade il du garder le lit son chat noir préféré lui tint compagnie. Tsuguharu Foujita (1886-1967) l’artiste japonais vécut une grande partie de sa vie à Paris, entouré de chats qu’il immortalisa dans des aquarelles à la plume et à l’encre noire. Peintre français né au Japon, il sortit diplômé des Beaux-Arts de Tokyo puis il alla s’installer à Paris ou il acquit la citoyenneté française. Associé à l’Ecole de Paris, il développa un style très particulier. Il partagea son temps entre Paris, le Japon et les Etats-Unis. Léonor Fini dont on cannait la peinture, les dessins, gravures, masques et costumes inspirés par ses compagnons les chats. Elle en a été entourée jusqu’à 17 de toutes races et couleurs confondues. Son atelier-appartement était proche de la place de la Victoire à Paris.
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Le chat est un acteur né, roi du dessin animé. Les Aristochats, Fritz-le-chat, Félix le Chat, Alice aux pays des Merveilles, Figaro, Le Chat, Hercule, Blacksad, Garfield, Tom et Sylvestre. Certains chats sont devenus aussi célèbres que leur maître : Muezza de Mahomet, La Ménine Du Bellay, Sizi qui vivait au Gabon avec Albert Schweiter, le Docteur Schweitzer avait appris à écrire de la main droite alors qu’il était gaucher pour ne pas déranger son chat qui dormait en général sur son bras gauche. La peinture, la sculpture, l’écriture, la musique sont aussi son affaire. Il a des marraines et parrains connus. Chat - Pape et Cardinal Le pape Léon XIII aimait les chats. Micetto, son préféré jouait avec sa soutane pendant les audiences. Les prélats ont tous au doigt une bague appelée chaton. Le Cardinal de Richelieu, l’un des hommes les plus puissants de la France du XVIIième siècle brûlait les sorcières et leurs animaux familiers, mais ses chats personnels faisaient ses délices. Il en possédait quatorze et chacun hérita d’une pension dans son testament. Sa favorite Soumise dormait souvent sur ses genoux. Il adorait les chats, il en élevait beaucoup. Il les faisait nourrir au blanc de poulet, une bonne dizaine partageait sa couche. Le duc de Richelieu, cardinal et Premier Ministre de Louis XIII était passionné par les chats. Il avait d’ailleurs fait installé une chatterie à la cour. La douzaine de chats du cardinal avait à sa disposition une pièce et deux domestiques et en cas de problèmes le médecin personnel du cardinal. Quand il traitait une affaire d’état Richelieu avait près de lui un chat. Chat - musicien Entre autres le chat a inspiré les compositeurs suivants : Mozart, Chopin, Offenbach, Rossini, Tchaïkovski, Fauré, Satie, Ravel, Pierné, Milhaud. En Egypte avec la déesse Bastet, le chat a commencé à être lié à la musique. Le chat est au sommet de la convexité du sistre. Puis a continué avec Rossini et le Duo des chats. On peut trouver comme explication les ultra-sons en effet, le chat vit dans un monde imperceptible à l’homme. Il entend douze virgules onze octaves, l’homme dix. Le chat a des plaisirs acoustiques intenses. On prête au chat tous les pouvoirs maléfiques ou bénéfiques. Domenico Scarlatti (1685-1757) affirmait que Pucinella, sa chatte, l’avait aidée à composer le thème de la fugue en sol mineur, une de ses 555 sonates pour clavecin). Pucinella, la chatte du compositeur Domenico Scarlatti serait à l’origine de la sonate connue sous le nom de Fugue pour chat. Pucinella, chat de Domenico Scarlatti a « composé » la Fugue en sol mineur L499, surnommée Fugue du chat. Rossini, le célèbre compositeur italien du XIXième siècle, s’est inspiré du miaulement des chats pour écrire une célèbre pièce pour deux chanteuses. Maurice Ravel aimait les chats siamois, ses compagnons l’ont probablement inspiré quand il a composé la musique de L’Enfant et les sortilèges, poème lyrique créé en 1925. Chat - historien Colbert avait dans son cabinet de travail autour de lui des chats. Montesquieu avait un chat auquel il était très attaché. Louis XV possédait un Angora blanc qui venait chaque matins dans son lit et jouait sur la table du Conseil d’Etat pendant les réunions. C’est à l’épouse du roi Louis XV que l’on doit la vogue des chats angoras. Louis XV tomba sous le charme d’un angora blanc. Chat - Chef d 'Etat D’autres amoureux des chats on peut noter les chefs d’Etat français Poincaré et Clémenceau. Le Général de Gaulle avait choisi Ringo de Balmalon appelé « Gris-Gris » par le Général. Ringo de Balmalon, chartreux, dit Gris-Gris était le compagnon du Général de Gaulle. Nelson, chat noir compagnon de Sir Winston Churchill Lustrée et Fourrure, la première chatte noire aux yeux verts, la seconde chatte tigrée au regard d’or pâle ont tenu toutes deux compagnie à André Malraux. Socks peut-être le félin de la Maison-Blanche le plus connu, compagnon de Bill Clinton.
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Le Siamois : Chat svelte, aux yeux bleus et au pelage beige et brun. Il fut importé d’Asie en 1880. Leur origine est plus ancienne, il était présent en animal de compagnie à la cour de Siam XVIième siècle. Il naquit au Siam, Thaïlande. Les chats Siamois ont deux tâches dites « marques du temple », en souvenir de l’empreinte de Dieu qui les aurait pris par le cou. Le chat Siamois est peut-être issue d’un croisement entre un chat birman et un chat vietnamien. Ce chat était considéré comme le vaisseau des âmes des morts, plus particulièrement celles des rois. Selon la tradition un chat siamois vivant était enterré dans le tombeau royal, avec le corps du défunt. Un trou était percé afin que le chat puisse sortir. Quand le Siamois quittait le caveau, il emportait avec lui l’âme du souverain mort, et recevait un statut royal. Un rang à la cour lui était attribué ainsi qu’un trône où il pouvait s’asseoir et contempler le nouveau roi. A sa mort le chat emportait avec lui l’âme du défunt jusqu’au Paradis et lui trouvait une place parmi les étoiles. En 1926, un Siamois était présent lors du couronnement du roi de Siam. Comme la procession pénétrait dans le palais, le chat était porté aux côtés du monarque avec toute la déférence majestueuse due à son rang. Il est originaire de la province de Siam. Il est originaire d’Asie. Il y a plus de 500 ans, il était le gardien des temples royaux du Siam (Thaïlande). Les moines et les rois le vénéraient. A la fin du XIXième siècle un couple est importé au Royaume Uni pour la première fois. Le Singapura : Il a grandi dans les rues de Singapour d’où son nom. Il y a environ une trentaine d’années un couple d’Américains le découvre et le ramène en Californie. Le chat Turc du lac de Van : est un proche cousin de l'Angora turc. Le lac de Van se trouve au pied du mont Ararat où d'après la légende l'arche de Noé aurait échoué après le déluge. Ce chat est aussi appelé chat nageur. En 1955, deux Anglaises ramènent en Grande-Bretagne un couple de chats venant des environs du lac Van, dans l’est de la Turquie. La race se répandit à travers l’Europe. C'est un chat rare.
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Le Chartreux : Les premières descriptions de ce chat en 1500, son origine plus lointaine est liée à la Syrie. Son nom viendrait du monastère de la Grande-Chartreuse, près de Grenoble. Il était élevé dans ce monastère pour sa fourrure dont il était réalisé des vêtements. Dans les années 1920, la race risquait de s’éteindre. Les sœurs Léger sauvèrent certain de ces félins dans l’hôpital de Belle-Ile sur Mer. Elles croisèrent le Chartreux avec des British Shorthair bleu. En 1870, le Chartreux est importé aux Etats-Unis. Des Croisés qui revenaient du Moyen-Orient ont peut-être introduit les ancêtres des Chartreux en Europe. Les Chartreux, religieux de l’ordre contemplatif de Saint Bruno, fabrique au couvent de la Grande-Chartreuse une liqueur appelée la chartreuse. La sélection du Chartreux n’a commencé que dans les années 30. Le Chartreux fait partie des deux seules races de chat d’origine française. L’autre race le Sacré de Birmanie. En France, l’apparition du Chartreux remonterait au XVIe siècle. Venu du Proche-Orient, il serait le descendant du chat de Syrie. Installées à Belle-Ile-en-mer les deux sœurs Christine et Suzanne Léger sont attirées par des chats locaux. Elles décident d’en faire l’élevage. Elles capturent une chatte Marquise et un chat Coquito. De cette première union naît Mignonne de Guerveur. De Guerveur était le nom donné par les deux sœurs Léger à leur chatterie. Dès le XVIième siècle, des moines de la Grande Chartreuse, près de Grenoble l’aurait élevé. Le chat des forêts norvégiennes : Ce chat existe depuis des siècles en Norvège. En norvégien, skogkalt à traduire par chat des bois. Les récits de la mythologie scandinave évoquent souvent un grand chat à la fourrure abondante. Son origine est inconnue. Il se pourrait que ce chat soit de la lignée des chats turcs à poil long, importés en Norvège par les Vikings aux environs de l’an 1 000. Pendant des siècles, le « Wegie » vécut dans les fermes suédoises. Le chat turc du lac de Van : Il est originaire de l’Est de la Turquie dans la région du lac de Van situé à 1700 mètres d’altitude. L' Européen : Sans doute originaire d’Egypte, il a transité sous l’Antiquité par la Grèce et par Rome, il a gagné la Gaule avec les légions de Jules César. Plus tard, il sera accouplé avec les chats que les chevaliers ramenèrent de Palestine. Jusqu’au XIXième siècle le chat Européen règne en maître sur le continent qui lui a donné son nom, les voyages surtout vers l’Orient ont permis la découverte et l’importation de nouvelles races qui séduisent les puissants et leur cour. L’Angora turc, Persan, Siamois, etc. …vont jeter l’Européen dans l’ombre. Il est l’héritier de plusieurs milliers d’années de survie dans des conditions difficiles. Ramené d’Orient en Occident avec les Croisades, le chat, presque inconnu au début du Moyen Age s’est installé petit à petit comme chasseur de souris. Le chat d’Orient s’est débrouillé seul et a du s’adapter à son environnement. Haret : Il en existe une colonie au Colisé de Rome, dans les îles grecques et dans les bazars égyptiens. Se sont des chats domestiques retournés à l’état sauvage. Le Korat : Son nom d’origine est « Si-Sawat ». En Thaïlande où il est élevé depuis des siècles, il est considéré comme un porte-bonheur. Un couple de Korat offert en cadeau de mariage est censé assurer aux nouveaux mariés longue vie, santé et richesse. Il est connu depuis le XIVième siècle. Le Korat apparaît dans un des manuscrits du XVIième siècle de l’ancien royaume thaïlandais d’Ayuthya. En 1959, il est importé aux Etats-Unis. Le Maine Coon : A l’origine dans les années 1770 un chat de ferme, en Amérique du Nord, l’Etat du Maine sa région natale le nord-est des Etats-Unis. Le Maine Coon descend sûrement des chats introduits par des colons britanniques. Il vient de l’Etat du Maine. Selon la légende, il serait issu de l’union d’un chat sauvage et d’un raton laveur. Plus probablement, il serait issu de l’union entre un chat indigène à poil court et un chat Angora, introduit en Nouvelle-Angleterre au XIXième siècle par les marins qui les embarquaient pour protéger les cargaisons des rats. Au début de son existence le Maine Coon est à demi-sauvage améliorant ses talents de chasseur de rongeurs. Il fait son entrée dans les salons en 1860. Depuis trois siècles, ce chat vit dans le Maine aux Etats-Unis. Dans cet état, le climat est rigoureux. A la fin du XIXe siècle, il est présent dans les expositions. C’est l’une des plus anciennes races naturelles d’Amérique du Nord. D’après la légende l’accouplement entre un chat sauvage et un raton laveur aurait donné naissance au Maine Coon. D’après une autre théorie, il s’agit de la descendance des chats que Marie-Antoinette aurait envoyés en Amérique lorsqu’elle pensait fuir la Révolution. L’origine la plus probable semble être le croisement entre les chats domestiques indigènes et des chats à poil long introduits par les marins visitant la côte. Au début du XXième siècle, le Persan lui est préféré aux Etats-Unis. Le Manx : Sa particularité, il n’a pas de queue. A proximité du port de Liverpool se trouve en mer d'Irlande l’Ile de Man, cette île est le berceau d’une race de chats sans queue connue sous le nom de Manx ou chat de l'Ile de Man. Ces chats sont peut-être venus d’Extrême-Orient à bord de navires. Selon la légende, cette race serait apparue sur l’Ile de Man dans la mer d’Irlande lorsqu’elle se serait échappée des navires espagnols en perdition en 1588. Une autre hypothèse est que le Manx serait arrivé en retard sur l’Arche de Noé : sa queue serait restée coincée dans la porte. Il apparaît sur les pièces de monnaie et sur les timbres de l’Ile de Man. Il a été adopté comme effigie. Selon la légende il serait le résultat d’un croisement entre un chat et un lapin. Le Mau Egyptien : Il ressemble aux chats représentés sur les peintures de l’Egypte antique. Mau signifie « chat » en Egyptien. Il porte sur le front le « signe du scarabée ». Mau signifie chat en égyptien. L’arrivée de ce chat en Europe revient à une princesse russe exilée en Italie qui ramena une chatte d’un voyage en Egypte. Elle émigra ensuite aux Etats-Unis où elle éleva cette race. Il ressemble beaucoup au chat sauvage d’Afrique, dont il descendrait, ainsi qu’au chat que l’on peut voir sur les fresques, manuscrits et sculptures égyptiennes de l’époque des pharons. Nous pouvons le voir de nos jours dans les rues du Caire. Les marchands phéniciens l’importent en Europe, il y a déjà deux mille ans. Dans les années 50, une princesse russe exilée introduit trois de ces chats aux Etats-Unis. Le Persan : Chat à longs poils soyeux de couleurs variées, aux yeux oranges, bleus ou verts. Les premiers Persans importés en Angleterre, d’un blanc pur, avaient transité par Paris. Les premiers Persans importés en Europe le furent au XIXième siècle. A la fin du XIXième siècle, il est introduit en Europe depuis la Perse et la Turquie. Il se développa en Perse (Iran). Le Persan descend des chats d’Asie mineure. L’histoire de ce chat est méconnue jusqu’au XVIième et XVIIième où Pietro della Valle, un grand explorateur italien, le rencontre lors d’un voyage en Perse. Il le ramène sur le Vieux Continent, en 1620, en Italie tous les regards se tournent vers le Persan. Il est répandu en Turquie dans la ville d’Ankara, berceau du chat angora. En 1871, on peut le voir lors de la première exposition féline à Londres au Crystal Palace. La reine Victoria est séduite elle possédait un couple de Persans bleus. Son ancêtre semble être l’Angora. Le Persan est très vite devenu le préféré des aristocrates européens. Le Sacré de Birmanie : Selon la légende les chats Sacrés de Birmanie doivent leur apparition à l’intervention héroïque d’un chat. Un temple se trouva un jour menacé par des envahisseurs. A l’approche des troupes, les moines se mirent à prier la déesse du salut. A cet instant le plus vieux des moines mourut et son chat monta sur sa tête. L’âme du moine pénétra dans le corps du chat qui prit aussitôt les yeux bleus et la blondeur de la déesse. Ses pieds devinrent aussi blancs que les cheveux du vieux moine. Le chat dirigea les moines dans la défense spirituelle du temple. Les moines gagnèrent la bataille et le jour suivant tous les chats du temple ressemblaient au chat héroïque. Mise à part cette légende, son origine est inconnue. Cette race se situe entre le Siamois et le Persan.
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L' Angora turc : Ce chat porte un nom dérivé d’Ankara, Turquie. Cette race est très ancienne. Premier chat à poil long introduit en Europe par un italien au XVIIe siècle. Il séduit rapidement les nobles. Le Persan met cette race dans l’ombre, mais des éleveurs américains l’ont sortie de l’oubli. Il fut importé de Turquie en France vers 1500. Au début du XXime siècle, les croisements avec d’autres chats à poil long permirent l’extension de la race hors de la Turquie, où elle commençait à s’éteindre. Au début du XXième siècle les références à l’Angora concernent l’Angora turc. Le Balinais : Il apparaît dans les années 40 aux Etats-Unis né d’une portée de Siamois avec des poils longs. Son nom vient de l’éleveur qui avait une passion pour l’île de Bali. Son élégance a quelque chose d’oriental, poil mi-long, très bavard. Il demande beaucoup d’amour. Il peut être exclusif. Il était appelé Siamois à poil long. Sa silhouette gracieuse e souple évoque les mouvements des danseuses des temples de l’île indonésienne de Bali. Dans les années 1950, un éleveur californien décide de développer la race balinaise. En 1970, le Balinais apparaît en Europe. Le Bengal : A l’origine de ce félin une idée de Jean Mill, étudiante en génétique en Californie, dans les années 40 qui décida de créer une panthère de maison. Pour cela, elle rapprocha un félin sauvage le chat léopard d’Asie et l'American Shorthair. Après une pause de dix ans, elle poursuit ses recherches. Première exposition en 1985. C’est un chat à poil court, qui aime jouer avec l’eau, dynamique et curieux. Il a une voix particulière. Son but fut atteint car le Bengal a une belle robe tachetée. Le Bleu russe : On le rencontre en 1860 en Angleterre, il venait du Nord de la Russie d’Arkhengelsk. Son nom est adopté en 1939. Il a été croisé avec plusieurs bleus, ainsi qu’avec des Siamois. Il a une intelligence vive et n’aime pas les lieux bruyants. Deux origines s’opposent. Pour l’une, les premiers sujets à la fourrure bleue seraient arrivés en Grande –Bretagne du port d’Arkhangelsk. Pour l’autre, il serait natif du bassin méditerranéen. Il aurait été introduit au XIXième siècle en Grande-Bretagne par des marins venus de la mer Blanche (au nord de la Russie). Le Bobtail japonais : Son origine est chinoise. Il serait arrivé au IIIe siècle au Japon. Il fut offert par l’Empereur de Chine à l’Empereur du Japon, ou bien deuxième possibilité, en 999 un Empereur japonais pendant une période sacrée découvrit des chatons ce qui conféra au Bobtail japonais un caractère sacré. Au Japon il est considéré comme un porte-bonheur. Il est représenté sur des porcelaines, des boîtes, de la vaisselle. Il a un temple en son honneur. Il a le poil court, un vocabulaire étendu, très expressif, un caractère doux. Maneki Neko, la patte droite levée promet bonheur et félicité, la patte gauche dressée elle assure prospérité. Aussi appelé « chat-chrysanthème », il est originaire de Chine et du Japon. Il rencontre ses premiers amateurs occidentaux en 1963 lors d’une exposition féline au Japon. Le Bombay : Dans les années 50, en Amérique Nikki Horner passionnée par le Burmese décida de « créer » une panthère. Les premières unions furent entre une chatte Burmese zibeline et un American Shorthair noir. Après plusieurs essais la couleur se fixe. On lui donne le nom de Bombay. Première exposition en 1976. Il adore les câlins. Son miaulement est un peu rauque. Il se sent partout chez lui et n’appréhende pas les voyages. Il est la réplique miniature de la panthère noire qui vit en Inde. La race est apparue aux Etats-Unis. Le British Shorthair : On le trouve en Angleterre aux premières expositions félines. Il est sélectionné à partir de chats communs. Le public lui préfère les poils longs et le Siamois. En 1945, il est croisé avec des Persans. Ce qui lui donne une fourrure épaisse ainsi qu’un corps compact. Poil court. Douceur du Persan avec l’intelligence de l’Européen. Il est calme. Il est représenté sur quelques fresques égyptiennes. Importé en Europe par les envahisseurs romains, il y a environ 2 000 ans. Selon la légende en Egypte sous Ramsès II, les Hébreux quittent l’Egypte. Le général Gasthelos est chargé de les rattraper. Sa mission ayant échoué, Gasthelos part vers l’ouest avec son épouse Scota et ses chats. La première étape du voyage est Brigantium, au Portugal. Leurs descendants aborderont une île qu’ils baptiseront Scota. Au fil des années Scota se changera en Scotaland puis en Scotland, Ecosse où les chats vivront en liberté. Ils seront exposés en 1871 à la première exposition féline du Cristal Palace. Lewis Carroll aurait été inspiré par lui pour son personnage du chat de Cheshire dans Alice aux Pays des Merveilles. Dans les années 50, il fut croisé avec des Persans. Il descend des chats domestiques importés en Angleterre par les Romains au cours du 1er siècle avant notre ère. Le Burmese : Son origine vient d’une chatte Wong Mau ramenée en 1930 de Rangoon, Brimanie. Elle a séduit un médecin de l’armée américaine. Ce chat est connu dans le livre ancien Livre des poèmes des chats de Bangkok. Il a des origines possibles chez le Siamois. Il est très attachant, il accepte une laisse. Le contact avec son maître est important car par ennui il peut se laisser dépérir. Il sait être tonique ou relaxant. Poil court. Ils descendent tous de la même femelle importée aux Etats-Unis de Birmanie il y a environ 70 ans. Cette race existait en Thaïlande il y a des siècles. Il est représenté dans des peintures thaïes anciennes. En Birmanie, les chats vivaient dans les temples et dans les riches demeures. Ils étaient censés apporter fortune et bonheur à ceux qui les hébergeaient. Ses origines sont asiatiques mais Birman ou Thaïlandais ? Il fut ramené par un Américain à San Francisco. Vers 1930, une chatte d’origine siamoise portant le nom de Wong-Mau fut importée de Rangoon (Birmanie), aux Etats-Unis et acouplée à un Siamois seal point. Les descendants de cette race on suivi deux voies le Burmese américain et le Burmese européen.
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L' HISTOIRE DES RACES DE CHAT Des fossiles de chats (os ou dents) sont souvent retrouvés sur les sites préhistoriques. Impossible de savoir si ce sont des chats de compagnie ou considérés comme du gibier. Avec l’apparition de l’agriculture les hommes ne chassent plus le chat car il devient nécessaire pour chasser les rats et autres nuisibles. Plusieurs espèces de chats sauvages : celui d’Europe vivant dans les Highlands écossais, le chat ganté d’Afrique qui vit dans le sable des déserts égyptiens. Les autres chats sauvages vivent dans les neiges du Nord, dans les déserts ou dans les montagnes. Le chat sauvage africain s’adapte assez vite aux humains. Le plus proche parent du chat domestique est le chat sauvage du genre Felis, plus petit que le lion, tigre, puma, etc… Le chat domestique égyptien est peut-être issu du Felis lybica qui est lui-même l’ancêtre du chat domestique que nous connaissons actuellement. Les Hommes découvrent que le chat est un bon chasseur et que c’est un animal très propre. En Egypte, l’hypothèse a été émise que des chats étaient élevés en vue d’être sacrifiés. Grâce sûrement aux bateaux des marchands phéniciens, le chat gagne le Nord et l’Est, puis la Chine et le Japon. Dans ces pays, le chat était élevé pour protéger les cocons de vers à soie des rats. Pour les Romains, le chat est surtout un animal de compagnie, les mangoustes protègent les récoltes des rongeurs. Chez les Romains, le chat est symbole de liberté. Au Moyen Age le chat est associé au mal et à la sorcellerie. Au XVIIième, le chat retrouve les faveurs du public. Ce petit félin domestiqué arrive tard dans le Nouveau Monde. Dans les années 1500, il est introduit au Québec. En 1620, il y avait un chat sur le May flower. Au XVIIIième siècle, les chats se répandent en Amérique. En 1788, il arrive en Australie avec les Européens. Le Bleu russe est natif des régions de la mer Baltique, quant aux Angoras et Persans ils sont natifs des hauts plateaux de Turquie et d’Iran. Par tradition, les races des chats orientaux ont les noms d’îles ou du Sud-Est asiatique comme le Siamois, le Balinais,… A quelques exceptions toutes les races ont moins de 100 ans. Les premières expositions félines débutent en Grande-Bretagne à la fin du XIXième siècle. Avec ces expositions commencent la reproduction sélective. Lors de la première exposition féline en 1871 au Crystal Palace de Londres étaient montrés des Siamois, un Persan, un Abyssin. En 1887 fut créé le National Cat club sous la présidence d’Harrison Weir, écrivain félinophile. C’est comme cela que débute l’élevage comme on le connaît aujourd’hui. En 1895 au Madison Square Garden de New York, c’est la première exposition aux Etats-Unis. En 1896 au Jardin d’Acclimatation en France, les chats peuvent être admirés pour la première fois. A travers le mode les expositions de chats de race se développent, les éleveurs commencent à tenir des registres qui sont à l’origine des pedigrees. L' Abyssin : Chat de race à la robe fauve, aux larges oreilles pointues. Peut-être descendant des chats sacrés d’Egypte. Le premier Abyssin apparaît en 1896 en Grande-Bretagne. Il est originaire du nord-est de l’Afrique, ex-Abyssinie, Ethiopie. Sa robe le rapproche du Singapura chat à poil court. Chat très sociable, aime son maître de manière possessive. La marque caractéristique en forme de M, souvent dite « marque de scarabée » chez l’Abyssin, a subsisté juste au-dessus des yeux. Elle relie ce félin à l’ancienne Egypte où il était très prisé. Il est l’antique chat sacré des pharaons. Est-il originaire de l’ancienne région d’Ethiopie appelée l’Abyssinie ou d’Asie ? Les avis sont partagés. Les chats qui étaient vénérés dans l’Egypte sous les traits de la déesse Bastet sont peut être les ancêtres de l‘Abyssin que nous connaissons aujourd’hui. En 1866, des chats africains furent importés d’Abyssinie (Ethiopie) en Grande-Bretagne. L’Abyssin ressemble aux chats sacrés représentés sur les tombeaux égyptiens, ainsi qu’a chat sauvage d’Afrique (Felis libyca). L' American Curl : Il est descendant d’une femelle découverte en Californie, première exposition en 1983. Les oreilles en boucle font partie de la mutation. Chat à poil mi-long ou à poil court. Il miaule rarement. C’est un chat très actif. L' Angora : En 1887 est créé le National Cat Club car la mode est aux associations et concours de chats. Les races de chats sont moins nombreuses que celles des chiens. Peiresc (1580-1637) un savant conseiller au Parlement d’Aix aurait introduit les Angoras en France.
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La chatte reproductrice est souvent confrontée à des infections du tractus génital. Des saillies répétées ou une mise bas difficile sont autant d'occasions de voir se développer des affections plus ou moins graves de l'appareil génital. Les plus courantes sont les vaginites, les métrites et les pyomètres. Les vaginites Les vaginites sont par définition des infections limitées au vagin. Bien que sous-diagnostiquées, elles sont très fréquentes, en particulier en fin de chaleurs chez les jeunes femelles ou au retour de saillies. les signes cliniques se limitent à quelques pertes vaginales, sans symptôme général associé. La majorité des vaginites de la jeune femelle se guérit spontanément. Cependant, certaines formes récidivantes peuvent entraîner une infertilité temporaire. Dans ce cas, il est prudent de vérifier l'absence de tumeur, de corps étranger ou d'anomalie anatomique avant de mettre en place un traitement. Quand l'infection est strictement limitée au vagin, et sans atteinte de l'utérus, on préfère la mise en place d'antibiotiques locaux, plutôt que des traitements par voie générale. D'autant que le recours à des antibiothérapies préventives (au retour de saillie par exemple) peut favoriser l'émergence de souches résistantes. La métrite On parle de métrite dans le cas d'infection de l'utérus d'origine bactérienne. La métrite aigüe se retrouve classiquement chez les femelles ayant subi une mise bas difficile, longue ou lors de rétention placentaire. La symptomatologie d'une métrite aigüe post partum est rapidement alarmante : les pertes vulvaires sont souvent nauséabondes ou hémorragiques. Le tableau clinique est dominé par une hyperthermie, un abattement extrême (avec bien souvent désintéressement total de la portée) et une anorexie, pouvant évoluer en quelques jours vers le décès. Un traitement antibiotique général sous surveillance vétérinaire doit être mis en place très rapidement. Le pyomètre Le pyomètre correspond à l'accumulation de pus dans l'utérus. On pourrait le confondre avec la métrite, mais l'origine de cette maladie est complètement différente. Le pyomètre commence en effet par un stade "d'hyperplasie glandulokystique", c'est-à-dire un développement important des glandes de l'utérus, qui conduit à des sécretions abondantes et anormales. L'apparition de cette hyperplasie est principalement sous dépendance hormonale. Cette maladie concernera donc préférentiellement des femelles agées ou ayant pris des contraceptifs. Ces sécretions s'accumulent dans l'utérus, avec parfois des pertes à la vulve, si le col est ouvert. Secondairement, ces sécretions sont contaminées par des bactéries qui se multiplient. On peut constater une distention de l'abdomen (faisant parfois croire que la femelle est pleine !). La prise de boisson est augmentée : on parle de "polydypsie". Sans diagnostic à ce stade, l'état de la femelle évolue vers une baisse de l'état général, une anorexie, et une insuffisance rénale. Le seul traitement du pyomètre a longtemps été l'hystérectomie (retrait de l'utérus malade). Il existe maintenant des traitements médicaux qui peuvent permettre de sauver le potentiel reproducteur de la chatte, mais tout dépend de l'évolution de la maladie et de l'état général de la chatte. Conclusion Dans tous les cas, en cas de pertes suspectes, le meilleur réflexe reste de consulter un vétérinaire, qui fera le diagnostic différentiel de ces affections, et proposera le traiement adapté.
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Q-S Rayures : marques tabby. Récessif : désigne un gène qui, au sein d'une paire d'allèles, ne s'exprime pas (en raison de la présence de l'allèle dominant). Ce terme s'applique aussi, par extension, au caractère contrôlé par le gène. Normalement, les gènes récessifs ne peuvent s'exprimer qu'à l'état homozygote. Recourbées (oreilles) : oreilles courbées vers l'avant. Ce phénotype résulte de l'effet d'un gène dominant qui altère la structure du cartilage. Red : voir roux. Reine : chatte ayant eu au moins une portée. Rex : désigne une fourrure ondulée, dépourvue de poils de garde. On connaît deux gènes rex : celui du Cornouailles et celui du Devon. Robe (composition de la) : une robe normale se compose de trois types de poils : les poils de garde, les soies ou poils de barbe, le sous-poil ou duvet. Romain : nez légèrement arqué ou protubérant, avec des narines basses. Le Birman en offre un bon exemple. Romain (profil) : courbe descendante évoquant un bec de faucon. Du front à l'extrémité du nez, la courbure est continue, comme c'est le cas chez le Rex de Cornouailles. Rosettes : variante du motif tabby, où les taches sont remplacées par des rosettes. On remarque ce motif chez le chat de Bristol et certains Bengalis. Roussi : adjonction de roux, résultant de l'action d'un ou de plusieurs polygènes. Peut se confondre avec le Golden. Le facteur roux (rufus) transforme les bandes "jaunes" beige ternes du tabby sauvage en un abricot brillant ; de même, l'orange terne devient un roux éclatant et riche. L'Abyssin ruddy est un tabby agouti noir roussi. Roux ou red : rouge orangé profond et riche. Au sein de la TICA, les chats roux et crème sont exposés selon leur phénotype, mais enregistrés selon leur génotype. Ruddy : nom donné à la couleur brun agouti particulière de l'Abyssin ou du Somali. Robe brun orange (terre de Sienne brûlée) ou ocre, tiquetée, avec deux ou trois bandes noires ou brun foncé, l'extrémité étant plus sombre et la partie orange se trouvant du côté de la peau. Le pelage le plus court recouvrant les parties externes du corps ne doit pas avoir un tiquetage de moins d'une bande. Seal : brun foncé, dit brun seal, aux extrémités des variétés point, sépia ou vison. Semi cobby (type) : type morphologique un peu plus accentué que le cobby, ni trop court, comme le Manx, ni trop long, comme le Siamois. Exemple : le British Shorthair ou l'American Shorthair. Semi étranger (type) : type morphologique intermédiaire entre le semi-cobby et l'étranger. Longues lignes, ossature moyenne, tête d'aspect cunéiforme modifié. Exemple : le Havana ou le Mau Égyptien. Sépia : phénotype résultant de l'action des gènes sépia récessifs sur le complexe eumélanique / phéomélanique. Caractérise les couleurs du Burmese. Sépia zibeline (seal), bleu, chocolat (champagne) et frost (platine). Sépia agouti (tabby) : brun seal, brun foncé, comme chez le seal ou le zibeline, tiquetage sur fond vieil ivoire chaud. Exemple : le Singapour. Silver : Voir Argenté Smoke (couleurs) : la description prend pour référence le smoke noir. L'animal est d'un noir de jais, avec un sous-poil blanc argenté. À l'exception de la collerette et des touffes de poil aux oreilles chez les variétés à poil long, la couleur sous-jacente est inapparente sur la tête, les pattes et la queue, à moins d'écarter les poils de la robe. Le ventre et la face interne de la queue peuvent être gris, allant en dégradé jusqu'à un blanc argenté. Soies : voir poils de barbe. Sorrel (Abyssin) : motif tabby agouti cannelle. Brun-rouge ou alezan clair, de ton chaud, tiqueté de brun cannelle ; tipping brun cannelle de la queue. Les pelotes digitales sont roses, le brun cannelle réapparaissant entre les orteils et remontant un peu. Cette couleur est dite "rousse" chez certaines organisations, mais il ne s'agit pas d'un véritable type roux. Sous-poil : le véritable sous-poil est le duvet laineux qui se trouve sous les poils de garde. Standard : ensemble de règles définissant la morphologie et/ou la couleur idéales d'une race. Les différents standards sont élaborés par un comité et font l'objet d'un contrôle de la part de la division ad hoc. Un standard définissant un idéal, il est peu probable de voir un chat remplissant tous les critères. Le rôle d'un juge est d'évaluer (mentalement) la conformité de chaque chat à ces règles : type, couleur et motif. Les standards varient parfois d'un pays à l'autre. Stérilisation : opération consistant à castrer un mâle ou à pratiquer l'ablationi des ovaires chez la femelle. Stop : changement de direction, légère déclivité, concavité se produisant au niveau de la cassure fronto-nasale, sous la ligne reliant les deux yeux. le stop peut être imperceptible ou au contraire très prononcé. T-Z Tabby (motif) : se compose du dessin tabby proprement dit et du motif agouti (tiquetage) surajouté. Motifs possibles : tabby tiqueté, tigré, tacheté ou classique. les chats porteurs de gènes non domestiques peuvent présenter des rosettes. Tabby abyssin ou tabby agouti (motif) : gène agouti et gène tabby. C'est l'expression ultime du motif tabby. Les pattes et la face peuvent présenter les marques tabby ("M" sur le front, lignes de fronces ou barres). L'extrémité de la queue doit présenter la couleur la plus sombre. Les rayures sont considérées comme un défaut, bien que l'on autorise chez certaines races un léger surlignage de la face, des pattes ou de la queue. Des colliers entourant le cou peuvent également être autorisés. Tabby classique (motif) : motif essentiellement constitué de volutes et de taches mises en valeur par un dessin en oeil-de-boeuf visible sur chaque flanc. Le chat doit présenter un net contraste entre la couleur de fond, assez pâle, et le marquage tabby, bien plus sombre. Des marques fawn naissent entre les oreilles, elles recouvrent la nuque puis rejoignent le "papillon" situé au niveau des épaules qui séparent les lignes du crâne des lignes dorsales. Ces dernières sont des rayures larges et bien distinctes, de couleur sombre, courant sur un fond plus clair du papillon jusqu'à la queue. Les volutes dessinées sur les flancs du chat doivent former un cercle de la couleur de fond qui entoure complètement une tache de couleur. Les pattes doivent être striées régulièrement de bracelets qui rejoignent les marques du corps ; l'avant du cou doit avoir au moins un collier complet ; la queue doit être marquée régulièrement de petits anneaux ; quant au ventre, il doit porter des rangées de taches d'un marquage sombre que l'on appelle communément des "boutons de vestes". Tachetage ou patching : présence de taches colorées aux contours bien définis sur la robe, comme chez les torties, les calicos et les arlequins. Tacheté ou moucheté (motif tabby) : taches sombres, plus importantes sur les flancs de l'animal ; elles peuvent être de dimensions et de formes variables, mais la préférence est donnée aux taches rondes, bien réparties sur tout le corps. Une bande dorsale parcourt tout le corps jusqu'au bout de la queue ; dans l'idéal, elle est formée de taches. Les marques du visage et du front doivent être typiquement tabby, et le côté ventral doit présenter les "boutons de vestes" caractéristiques ; les pattes et la queue sont rayées. Ce motif peut être dû à un gène distinct, à des gènes modificateurs ou à une dominance partielle des allèles tabby. Thermolabile : détruit par la chaleur. C'est le cas de certaines substances, comme les enzymes, qui perdent leurs propriétés particulières une fois chauffées à 55°C ou plus. Ticking : voir Tiquetage. Tigré (motif tabby) : rayures formant un motif en "arête de poisson", sans dessins en oeil-de-boeuf, sans taches. Les flancs du tabby tigré (mackerel) doivent être striés de façon régulière, par des traits verticaux continus, selon un dessin évoquant les moires du maquereau (d'où le nom anglais). Il existe trois lignes distinctes au niveau de l'épine dorsale, mais elles sont très étroites et se rejoignent souvent, fusionnant en une seule bande. La tête est marquée de lignes de fronce s'étendant entre les oreilles, jusqu'à la nuque, pour rejoindre les lignes dorsales. Les pattes sont régulièrement cerclées d'anneaux rejoignant les marques corporelles. L'avant du cou doit comporter au moins un anneau complet, et la queue doit être régulièrement annelée. Le ventre porte des rangées de taches sombres, communément appelées "boutons de vestes". Tipping : coloration plus ou moins étendue de l'extrémité du poil. Le degré de tipping définit l'appartenance du chat aux catégories chinchilla, ombré ou fumé. Tiquetage inversé : se dit lorsque l'extrémité d'un poil à couleurs alternées est claire au lieu d'être foncée. Tiquetage ou ticking : présence de trois ou quatre bandes colorées distinctes, étagées, sur le follicule pileux, comme chez l'Abyssin. Tiqueté (motif tabby) : tiquetage du pelage corporel, avec plusieurs nuances, l'extrémité du poil étant la plus foncée et le sous-poil étant le plus proche de la couleur de fond. On peut apercevoir des motifs très subtils, presque imperceptibles, donnant un effet de "tweed" d'une extrême délicatesse. Les bandes ou taches visibles constituent un défaut. La queue, les pattes et le visage portent des marques tabby. Des "colliers" enserrent également le cou chez les spécimens bien marqués. Torbie : écaille-de-tortue avec marques tabby ; les plaques noires fusionnent avec les plaques rousses. Chez le tortie : plaques eumélaniques, coloration unie ; chez le torbie : plaques eumélaniques avec motifs tabby. Le torbie est appelé aussi tabby tortie. À noter : ce motif concerne presque exclusivement les femelles. Torbie point : plaques tabby eumélaniques ou phéomélaniques limitées aux extrémités. Le corps est plusieurs tons plus clair que les extrémités. S'observe en général chez le lynx point. Tortie point : la couleur du corps est identique à celle du color point eumélanique correspondant (seal tortie point bleu, chocolat, cannelle, frost ou fawn) ; s'il y a ombrage, celui-ci doit être du même ton que les extrémités : noter que le corps sera moucheté. La couleur des extrémités est un mouchetage des colorations eumélaniques et phéomélaniques correspondantes. La présence d'une flamme est souhaitable. Troisième articulation : équivalent du point de jonction entre les phalanges et les métacarpes chez l'homme. Tuck up : incurvation caractéristique de l'épine dorsale, dessinant les flancs, comme chez le lévrier ou le Rex de Cornouailles ; s'oppose au creux de flanc du Manx. Van (motif ou type) : considéré comme le nec plus ultra de l'expression du gène whiet spotting. Couleur limitée à la tête et à la queue. Une ou deux petites taches de couleur sont toutefois autorisées. Vison : voir mink. White spotting pie : gène empêchant la migration de cellules pigmentaires, donc l'accumulation de pigment dans certaines régions du corps ; responsable des plages blanches de la robe. Zibeline : brun foncé, brun seal, sépia seal.