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CHROMATOPELMA CYANOPUBESCENCE ATTENTION : les mygales ne sont pas mortelles ! Cependant, elles possèdent toutes un venin qu’on ne peut retirer à moins de les mutiler mortellement. Elles ont en effet besoin de leur venin pour immobiliser et prédigérer leurs proies, c’est pourquoi il ne faut pas penser (et croire un vendeur sans scrupules) que le venin a été retiré pour rendre la mygale inoffensive ! Certaines espèces sont munies d’un venin assez efficace qui peut faire passer à la victime de très mauvais moments ! Lisez donc attentivement les fiches de chaque espèce. Mais à l’inverse, il ne faut pas tomber dans la psychose : on peut possèder des araignées en agissant de façon responsable, avec une espèce qui correspond à votre niveau d’expérience. Description : cette espèce superbe se trouve désormais assez souvent en captivité. Sa beauté en fait l’une des plus recherchées, et puisqu’elle n’est pas agressive un débutant en la matière peut s’en occuper. Toutefois, il faut se méfier de ses retournements rapides et de son comportement changeant ! Son cephalothorax est vert, ses pattes bleues, et son abdomen orange ! Et les juvéniles sont encore plus beaux, avec le cephalothorax doré et l’abdomen rayé de rouge et de noir ! Nous ne conseillons pas de la manipuler, mais si vous voulez le faire quand même, prenez un crayon et approchez-le d’elle : si elle se rue dessus, c’est qu’elle a faim ; vous pouvez la nourrir ou la prendre avec précaution (elle risque d’être vive !). Si elle lève les pattes et se met sur l’arrière en montrant ses chélicères (crochets à venin), méfiez-vous et repassez plus tard... Terricole, elle tisse autant qu’une espèce arboricole, tout autour de son nid et même davantage ! Elle fait ainsi de larges entrées à son nid qui sont très esthétiques, et devant lesquelles elle reste de longues heures sans bouger. Avec cette espèce, vous avez vraiment peu de chances de vous faire mordre, car elle est rarement agressive, pourtant, elle peut bombarder ses soies urticantes assez facilement quand elle est jeune. Reproduction : elle assez facile, mais pas toujours observée (voire jamais). Le mâle fuit de nombreuses fois avant d’accepter l’accouplement. LA femelle, sentant le mâle, va commencer à tapoter le sol tapissé de toiles de ses deux pédipalpes, le mâle se mettant à lui répondre. Ceci durera parfois de nombreuses heures pendant lesquelles, soit la femelle avancera, soit le mâle viendra au contact avant de fuir. Enfin, tard dans la nuit, plusieurs accouplements auront lieu, la femelle ne dévorant que rarement le mâle. La femelle s’enferme pour faire son cocon 4 à 5 mois plus tard : attention, il faut qu’elle ait une cachette, sans laquelle elle risque fort de manger son cocon ! Après une incubation de 2 mois environ, elle fera 100 à 200 mygalons. Maintenance : Les mygales comme les reptiles, sont poïkilothermes, c’est à dire qu’elles ne peuvent vivre de façon prolongée à des températures trop basses, même si elles sont plus résistantes que les reptiles à priori. Seront nécessaires une hygrométrie égale à 70%, et des températures de 21-23°C la nuit et 26°C le jour. Si vous en avez la possibilité elle appréciera un gradient thermique, qui lui permettra de bénéficier de plusieurs températures dans son habitat : vous verriez alors qu’elle affectionne la chaleur, pour passer la plupart de son temps prés du point le plus chaud. Préférez un chauffage par cordon chauffant (ou plaque chauffante), que vous mettrez si possible à l’extérieur du terrarium, sur une paroi, pour éviter les accidents (brûlures ou sècheresse excessive de l’installation). Si le cordon n’est pas très puissant, vous pouvez le disposer à l’intérieur, mais toujours sur une paroi plutot qu’au sol. Comme les mygales ne demandent pas des installations très spacieuses, il est nécessaire de ne pas mettre de chaleur par le sol, car vous ne pourriez éviter que l’ensemble du substrat, dans tout le terrarium, soit chaud (trop chaud), aidant ainsi le développement rapide et incontrôlable des parasites. En substrat, préférez la tourbe de sphaigne, qui engendre un nombre de parasites négligeable : vous pourrez ainsi le changer 2 à 4 fois par an seulement, si vous entretenez régulièrement l’habitat de la mygale (retirer les restes de repas par exemple). Vous pouvez aussi utiliser certains substrats pour reptiles qu’il faudra changer plus souvent. Les mygales ont besoin d’un cycle normal jour/nuit, cependant elles sont souvent plus active la nuit, lorsque tout est calme et qu’elle peuvent sortir de leur nid. Nourriture : insectivore (grillons, blattes, criquets), la mygale peut manger tout ce qui bouge. Cela dit, les insectes sont suffisants. En résumé : Caractère : docile Origine : Venezuela Moeurs : Terricole / Autre Biotope : Semi-Aride Taille adulte : 15 cm Esperance de vie : 15 ans Nourriture adaptée : insectes juvénile vu de derrière Le juvénile n’a absolument rien à envier à l’adulte ! Les couleurs sont magnifiques ! Plan rapproché... Détail de l’abdomen tigré superbe ! On y voit bien les soies urticantes dorées au centre. Gros plan sur une femelle Et ses chélicères bleus irisés Elle se laisse manipuler Mais reste rarement sur placide Plan sur l’abdomen orange où manquent un paquet de soies urticantes ! On voit bien ici les 3 couleurs dominantes : abdomen orange, cephalo vert et pattes bleues Grande tisseuse, son nid est toujours bien blanchi !
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CERATOGYRUS BECHUANICHUS Mygale à corne ATTENTION : les mygales ne sont pas mortelles ! Cependant, elles possèdent toutes un venin qu’on ne peut retirer à moins de les mutiler mortellement. Elles ont en effet besoin de leur venin pour immobiliser et prédigérer leurs proies, c’est pourquoi il ne faut pas penser (et croire un vendeur sans scrupules) que le venin a été retiré pour rendre la mygale inoffensive ! Certaines espèces sont munies d’un venin assez efficace qui peut faire passer à la victime de très mauvais moments ! Lisez donc attentivement les fiches de chaque espèce. Mais à l’inverse, il ne faut pas tomber dans la psychose : on peut possèder des araignées en agissant de façon responsable, avec une espèce qui correspond à votre niveau d’expérience. Description : c’est une mygale qui doit tout à la corne qu’elle a sur le dos, comme ses soeurs Darlingi, Cornuatus, Marshalli... Elle est grise avec des poils dorés et des tâches claires sur l’abdomen. Son comportement est particulièrement irrascible, comme les autres africaines d’ailleurs, ce qui veut dire qu’il faut éviter d’y mettre les doigts et de la manipuler ; se contenter de l’observer est plus sùr, même si elle a tendance à se cacher dans d’épaisses toiles qui forment son nid. En effet, les ceratogyrus peuvent tisser énormément autour de leur nid, surtout si une mue approche. Dés que vous approchez un objet ou votre main d’elle, la première chose qu’elle fera sera de s’échapper ; puis elle lèvera les pattes et écartera les crochets pour vous intimider. Enfin elle n’hésitera pas à mordre si vous approchez encore. Maintenance : Les mygales comme les reptiles, sont poïkilothermes, c’est à dire qu’elles ne peuvent vivre de façon prolongée à des températures trop basses, même si elles sont plus résistantes que les reptiles à priori. Seront nécessaires une hygrométrie égale à 70%, et des températures de 24-28°C la nuit comme le jour, avec un gradient thermique si possible qui lui permettra de bénéficier de plusieurs températures dans son habitat : vous verriez alors qu’elle affectionne la chaleur, pour passer la plupart de son temps prés du point le plus chaud. Préférez un chauffage par cordon chauffant (ou plaque chauffante), que vous mettrez si possible à l’extérieur du terrarium, sur une paroi, pour éviter les accidents (brûlures ou sècheresse excessive de l’installation). Si le cordon n’est pas très puissant, vous pouvez le disposer à l’intérieur, mais toujours sur une paroi plutot qu’au sol. Comme les mygales ne demandent pas des installations très spacieuses, il est nécessaire de ne pas mettre de chaleur par le sol, car vous ne pourriez éviter que l’ensemble du substrat, dans tout le terrarium, soit chaud (trop chaud), aidant ainsi le développement rapide et incontrôlable des parasites. En substrat, préférez la tourbe de sphaigne, qui engendre un nombre de parasites négligeable : vous pourrez ainsi le changer 2 à 4 fois par an seulement, si vous entretenez régulièrement l’habitat de la mygale (retirer les restes de repas par exemple). Vous pouvez aussi utiliser certains substrats pour reptiles qu’il faudra changer plus souvent. Les mygales ont besoin d’un cycle normal jour/nuit, cependant elles sont souvent plus active la nuit, lorsque tout est calme et qu’elle peuvent sortir de leur nid. Nourriture : insectivore (grillons, blattes, criquets), la mygale peut manger tout ce qui bouge. Cela dit, les insectes sont suffisants. En résumé : Caractère : agressif Origine : Afrique du Sud Moeurs : Terricole / Autre Biotope : Aride Taille adulte : 20 cm Esperance de vie : 10 Nourriture adaptée : insectes Vue générale Gros plan sur la fameuse corne
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BRACHYPELMA SABULOSUM ATTENTION : les mygales ne sont pas mortelles ! Cependant, elles possèdent toutes un venin qu’on ne peut retirer à moins de les mutiler mortellement. Elles ont en effet besoin de leur venin pour immobiliser et prédigérer leurs proies, c’est pourquoi il ne faut pas penser (et croire un vendeur sans scrupules) que le venin a été retiré pour rendre la mygale inoffensive ! Certaines espèces sont munies d’un venin assez efficace qui peut faire passer à la victime de très mauvais moments ! Lisez donc attentivement les fiches de chaque espèce. Mais à l’inverse, il ne faut pas tomber dans la psychose : on peut possèder des araignées en agissant de façon responsable, avec une espèce qui correspond à votre niveau d’expérience. Les Brachypelma possèdent des soies urticantes assez efficaces, et les jeunes individus se frottent souvent l’abdomen lorsqu’ils sont dérangés. C’est pourquoi, si elle se frotte, refermez soigneusement le terrarium pour laisser passer quelques minutes. Description : il s’agit d’une mygale vraiment magnifique qui, malheureusement, est victime de son succés puisqu’elle est en voie de disparition et placée en annexe 2 de la Convention de Washington. Tous les individus cédés doivent être accompagnés d’un CITES ou d’une facture attestant son origine licite. Le céphalothorax est cuivré beige, avec un triangle noir autour du bloc oculaire. Son abdomen est noir, avec des poils rouges à oranges assez abondants. Les pattes sont noires et recouvertes de poils gris clair qui lui donne un aspect de velours. Comme toutes les Brachypelma, elle bombarde facilement quand elle est dérangée, même au stade adulte, et ses soies urticantes sont assez efficaces. Cette espèce peut être manipulée, mais il ne faut pas oublier les soies urticantes qu’elle possède : ceux-ci ont le même effet que le poil à gratter, mais ils restent beaucoup plus longtemps accrochés. Evitez donc de l’effrayer pour qu’elle ne se gratte pas. Maintenance : les mygales comme les reptiles, sont poïkilothermes, c’est à dire qu’elles ne peuvent vivre de façon prolongée à des températures trop basses, même si elles sont plus résistantes que les reptiles à priori. Seront nécessaires une hygrométrie égale à 60-70%, et des températures de 26°C la nuit et 30°C le jour, avec un gradient thermique si possible qui lui permettra de bénéficier de plusieurs températures dans son habitat : vous verriez alors qu’elle affectionne la chaleur, pour passer la plupart de son temps prés du point le plus chaud. Préférez un chauffage par cordon chauffant (ou plaque chauffante), que vous mettrez si possible à l’extérieur du terrarium, sur une paroi, pour éviter les accidents (brûlures ou sècheresse excessive de l’installation). Si le cordon n’est pas très puissant, vous pouvez le disposer à l’intérieur, mais toujours sur une paroi plutot qu’au sol. Comme les mygales ne demandent pas des installations très spacieuses, il est nécessaire de ne pas mettre de chaleur par le sol, car vous ne pourriez éviter que l’ensemble du substrat, dans tout le terrarium, soit chaud (trop chaud), aidant ainsi le développement rapide et incontrôlable des parasites. En substrat, préférez la tourbe de sphaigne, qui engendre un nombre de parasites négligeable : vous pourrez ainsi le changer 2 à 4 fois par an seulement, si vous entretenez régulièrement l’habitat de la mygale (retirer les restes de repas par exemple). Vous pouvez aussi utiliser certains substrats pour reptiles qu’il faudra changer plus souvent. Les mygales ont besoin d’un cycle normal jour/nuit, cependant elles sont souvent plus active la nuit, lorsque tout est calme et qu’elle peuvent sortir de leur nid. Nourriture : insectivore (grillons, blattes, criquets), la mygale peut manger tout ce qui bouge. Cela dit, les insectes sont suffisants En résumé : Caractère : docile Origine : Mexique Moeurs : Terricole / Autre Biotope : Aride Taille adulte : 14 cm Esperance de vie : 10ans Nourriture adaptée : insectes Vue générale de la B. Sabulosum Gros plan
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BRACHYPELMA EMILIA ATTENTION : les mygales ne sont pas mortelles ! Cependant, elles possèdent toutes un venin qu’on ne peut retirer à moins de les mutiler mortellement. Elles ont en effet besoin de leur venin pour immobiliser et prédigérer leurs proies, c’est pourquoi il ne faut pas penser (et croire un vendeur sans scrupules) que le venin a été retiré pour rendre la mygale inoffensive ! Certaines espèces sont munies d’un venin assez efficace qui peut faire passer à la victime de très mauvais moments ! Lisez donc attentivement les fiches de chaque espèce. Mais à l’inverse, il ne faut pas tomber dans la psychose : on peut possèder des araignées en agissant de façon responsable, avec une espèce qui correspond à votre niveau d’expérience. Les Brachypelma possèdent des soies urticantes assez efficaces, et les jeunes individus se frottent souvent l’abdomen lorsqu’ils sont dérangés. C’est pourquoi, si elle se frotte, refermez soigneusement le terrarium pour laisser passer quelques minutes. Description : Elle a le cephalothorax (milieu du corps) orange avec un triangle noir autour des yeux et les pates sont noires, les tibias orange. Elle possède aussi des poils oranges sur l’abdomen noir. Elle a un aspect massif, et peut atteindre une taille de 13-14 cm, avec un corps de 6-7 cm. Cette espèce peut être manipulée, mais il ne faut pas oublier les soies urticantes qu’elle possède : ceux-ci ont le même effet que le poil à gratter, mais ils restent beaucoup plus longtemps accrochés. Evitez donc de l’effrayer pour qu’elle ne se gratte pas. Elle bouge peu, est très peu agressive, mais bombarde facilement ! Cette espèce vit ans les zones semi-désertiques du Mexique, dans des terriers situés au pieds d’arbustes, dans des zones broussailleuses et caillouteuses. Maintenance : Les mygales comme les reptiles, sont poïkilothermes, c’est à dire qu’elles ne peuvent vivre de façon prolongée à des températures trop basses, même si elles sont plus résistantes que les reptiles à priori. Seront nécessaires une hygrométrie égale à 60-70%, et des températures de 22-24°C la nuit et 26-28°C le jour, avec un gradient thermique si possible qui lui permettra de bénéficier de plusieurs températures dans son habitat : vous verriez alors qu’elle affectionne la chaleur, pour passer la plupart de son temps prés du point le plus chaud. Préférez un chauffage par cordon chauffant (ou plaque chauffante), que vous mettrez si possible à l’extérieur du terrarium, sur une paroi, pour éviter les accidents (brûlures ou sècheresse excessive de l’installation). Si le cordon n’est pas très puissant, vous pouvez le disposer à l’intérieur, mais toujours sur une paroi plutot qu’au sol. Comme les mygales ne demandent pas des installations très spacieuses, il est nécessaire de ne pas mettre de chaleur par le sol, car vous ne pourriez éviter que l’ensemble du substrat, dans tout le terrarium, soit chaud (trop chaud), aidant ainsi le développement rapide et incontrôlable des parasites. En substrat, préférez la tourbe de sphaigne, qui engendre un nombre de parasites négligeable : vous pourrez ainsi le changer 2 à 4 fois par an seulement, si vous entretenez régulièrement l’habitat de la mygale (retirer les restes de repas par exemple). Vous pouvez aussi utiliser certains substrats pour reptiles qu’il faudra changer plus souvent. Les mygales ont besoin d’un cycle normal jour/nuit, cependant elles sont souvent plus active la nuit, lorsque tout est calme et qu’elle peuvent sortir de leur nid. Reproduction : Elle n’est pas difficile à priori, bien qu’il faille toujours se méfier es espèces dociles, qui sont souvent les plus agressives avec le mâle ! La ponte aura lieu environ 4 à 6 mois après l’accouplement, pour une incubation d’environ 3 mois : il y aura jusqu’à 800 jeunes, mais le plus souvent 3-400. Nourriture : insectivore (grillons, blattes, criquets), la mygale peut manger tout ce qui bouge. Cela dit, les insectes sont suffisants En résumé : Caractère : docile Origine : Mexique Moeurs : Terricole / Autre Biotope : Semi-Desertique Taille adulte : 14 cm Esperance de vie : 10 Nourriture adaptée : insectes Le mâle Emilia dans une posture de mâle fuyant
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BRACHYPELMA BOEHMI ATTENTION : les mygales ne sont pas mortelles ! Cependant, elles possèdent toutes un venin qu’on ne peut retirer à moins de les mutiler mortellement. Elles ont en effet besoin de leur venin pour immobiliser et prédigérer leurs proies, c’est pourquoi il ne faut pas penser (et croire un vendeur sans scrupules) que le venin a été retiré pour rendre la mygale inoffensive ! Certaines espèces sont munies d’un venin assez efficace qui peut faire passer à la victime de très mauvais moments ! Lisez donc attentivement les fiches de chaque espèce. Mais à l’inverse, il ne faut pas tomber dans la psychose : on peut posséder des araignées en agissant de façon responsable, avec une espèce qui correspond à votre niveau d’expérience. Les Brachypelma possèdent des soies urticantes assez efficaces, et les jeunes individus se frottent souvent l’abdomen lorsqu’ils sont dérangés. C’est pourquoi, si elle se frotte, refermez soigneusement le terrarium pour laisser passer quelques minutes. Description : il s’agit d’une mygale vraiment magnifique qui, malheureusement, est victime de son succès puisqu’à l’état sauvage la population diminue dangereusement et placée en annexe 2 de la Convention de Washington. Tous les individus cédés doivent être accompagnés d’un CITES ou d’une facture attestant son origine licite. Elle a le céphalothorax (milieu du corps) noir avec les bords rouge orangé ; son abdomen est noir avec des poils clairs, et les pattes sont noires avec des flammes rouges sur les patelles. Elle a un aspect trapu, et peut atteindre la taille respectable de 17 cm. Cette espèce peut être manipulée, mais il ne faut pas oublier les soies urticantes qu’elle possède : ceux-ci ont le même effet que les démangeaisons provoquées le lendemain par des piqûres d’orties. Evitez donc de l’effrayer pour qu’elle ne se gratte pas. De plus, elle est parfois moins calme que la Smithi et avoir de temps à autre un comportement douteux. Maintenance : les mygales comme les reptiles, sont poïkilothermes, c’est à dire qu’elles ne peuvent vivre de façon prolongée à des températures trop basses, même si elles sont plus résistantes que les reptiles à priori. Seront nécessaires une hygrométrie égale à 60-70%, et des températures de 26°C la nuit et 30°C le jour, avec un gradient thermique si possible qui lui permettra de bénéficier de plusieurs températures dans son habitat : vous verriez alors qu’elle affectionne la chaleur, pour passer la plupart de son temps prés du point le plus chaud. Préférez un chauffage par cordon chauffant (ou plaque chauffante), que vous mettrez si possible à l’extérieur du terrarium, sur une paroi, pour éviter les accidents (brûlures ou sècheresse excessive de l’installation). Si le cordon n’est pas très puissant, vous pouvez le disposer à l’intérieur, mais toujours sur une paroi plutot qu’au sol. Comme les mygales ne demandent pas des installations très spacieuses, il est nécessaire de ne pas mettre de chaleur par le sol, car vous ne pourriez éviter que l’ensemble du substrat, dans tout le terrarium, soit chaud (trop chaud), aidant ainsi le développement rapide et incontrôlable des parasites. En substrat, préférez la tourbe de sphaigne, qui engendre un nombre de parasites négligeable : vous pourrez ainsi le changer 2 à 4 fois par an seulement, si vous entretenez régulièrement l’habitat de la mygale (retirer les restes de repas par exemple). Vous pouvez aussi utiliser certains substrats pour reptiles qu’il faudra changer plus souvent. Les mygales ont besoin d’un cycle normal jour/nuit, cependant elles sont souvent plus active la nuit, lorsque tout est calme et qu’elle peuvent sortir de leur nid. Nourriture : insectivore (grillons, blattes, criquets), la mygale peut manger tout ce qui bouge. Cela dit, les insectes sont suffisants. En résumé : Caractère : docile mais très urticantes Origine : Mexique Moeurs : Terricole / Autre Biotope : Aride Taille adulte : 17 cm Esperance de vie : 15 ans Nourriture adaptée : insectes
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AVICULARIA URTICANS ATTENTION : les mygales ne sont pas mortelles ! Cependant, elles possèdent toutes un venin qu’on ne peut retirer à moins de les mutiler mortellement. Elles ont en effet besoin de leur venin pour immobiliser et prédigérer leurs proies, c’est pourquoi il ne faut pas penser (et croire un vendeur sans scrupules) que le venin a été retiré pour rendre la mygale inoffensive ! Certaines espèces sont munies d’un venin assez efficace qui peut faire passer à la victime de très mauvais moments ! Lisez donc attentivement les fiches de chaque espèce. Mais à l’inverse, il ne faut pas tomber dans la psychose : on peut possèder des araignées en agissant de façon responsable, avec une espèce qui correspond à votre niveau d’expérience. Les Avicularia possèdent des soies urticantes assez efficaces, même si elles ne se frottent pas ou peu l’abdomen : c’est en effet au contact que les soies peuvent se faire sentir par quelques démangeaisons plus ou moins durables. Description : cette mygale est assez belle, avec le cephalothorax verdâtre, l’abdomen noir avec des poils clairs ; le bout des pattes est orangé (aspect "chaussettes"). Elle peut atteindre une taille respectable de 15 cm si elle vit longtemps.. Cette espèce peut être manipulée, mais il ne faut pas oublier les soies urticantes qu’elle possède : ceux-ci ont le même effet que le poil à gratter, mais ils restent beaucoup plus longtemps accrochés. Prenez-la donc le moins possible. D’un naturel assez nerveux, elle peut aussi bombarder ses soies urticantes si elle est dérangée. Parfois même, il arrive qu’elle soit agressive si elle a été dérangée (voir photos) Elle habite naturellement les zones humides du Pérou. Elle a pour habitude de tisser des tubes de toile dans les feuillages, entre des branches ou devant un trou. Les mâles quant à eux sont ceux que l’on trouve souvent sur notre chemin : ils sont plus petits et plus frêles, et sont en perpétuelle recherche de femelles. Maintenance : Les mygales comme les reptiles, sont poïkilothermes, c’est à dire qu’elles ne peuvent vivre de façon prolongée à des températures trop basses, même si elles sont plus résistantes que les reptiles à priori. Seront nécessaires une hygrométrie égale à 80%, et des températures de 24°C la nuit et 28°C le jour, avec un gradient thermique si possible qui lui permettra de bénéficier de plusieurs températures dans son habitat : vous verriez alors qu’elle affectionne la chaleur, pour passer la plupart de son temps prés du point le plus chaud. Préférez un chauffage par cordon chauffant (ou plaque chauffante), que vous mettrez si possible à l’extérieur du terrarium, sur une paroi, pour éviter les accidents (brûlures ou sècheresse excessive de l’installation). Si le cordon n’est pas très puissant, vous pouvez le disposer à l’intérieur, mais toujours sur une paroi plutot qu’au sol. Comme les mygales ne demandent pas des installations très spacieuses, il est nécessaire de ne pas mettre de chaleur par le sol, car vous ne pourriez éviter que l’ensemble du substrat, dans tout le terrarium, soit chaud (trop chaud), aidant ainsi le développement rapide et incontrôlable des parasites. En substrat, préférez la tourbe de sphaigne, qui engendre un nombre de parasites négligeable : vous pourrez ainsi le changer 2 à 4 fois par an seulement, si vous entretenez régulièrement l’habitat de la mygale (retirer les restes de repas par exemple). Vous pouvez aussi utiliser certains substrats pour reptiles qu’il faudra changer plus souvent. Les mygales ont besoin d’un cycle normal jour/nuit, cependant les Avicularia affectionnent les endroits bien éclairés (lumineux) : ne les exposez cependant pas à la lumière directe du soleil, sous une fenêtre ! Et puisqu’il s’agit d’une mygale arboricole, n’oubliez pas de lui donner un terrarium fabriqué de préférence sur la hauteur. Reproduction : elle est assez facile. La ponte aura lieu environ 5 mois après l’accouplement et l’éclosion 8 à 10 semaines après ; les petits ne ressemblent pas du tout à la mère : ils sont rose clair avec des pattes noires. Nourriture : insectivore (grillons, blattes, criquets), la mygale peut manger tout ce qui bouge. Cela dit, les insectes sont suffisants. En résumé : Caractère : docile Origine : Pérou Moeurs : Arboricole / Autre Biotope : Tropical Taille adulte : 15 cm Esperance de vie : 10 Nourriture adaptée : insectes Avicularia Urticans Comportement rare : elle se sent agressée et tente d’impressionner.
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AVICULARIA MINATRIX ATTENTION : les mygales ne sont pas mortelles ! Cependant, elles possèdent toutes un venin qu’on ne peut retirer à moins de les mutiler mortellement. Elles ont en effet besoin de leur venin pour immobiliser et prédigérer leurs proies, c’est pourquoi il ne faut pas penser (et croire un vendeur sans scrupules) que le venin a été retiré pour rendre la mygale inoffensive ! Certaines espèces sont munies d’un venin assez efficace qui peut faire passer à la victime de très mauvais moments ! Lisez donc attentivement les fiches de chaque espèce. Mais à l’inverse, il ne faut pas tomber dans la psychose : on peut possèder des araignées en agissant de façon responsable, avec une espèce qui correspond à votre niveau d’expérience. Les Avicularia possèdent des soies urticantes assez efficaces, même si elles ne se frottent pas ou peu l’abdomen : c’est en effet au contact que les soies peuvent se faire sentir par quelques démangeaisons plus ou moins durables. Description : Il s’agit là d’un petit bijou ! Le cephalothorax rose, l’abdomen rayé de rouge et de noir avec des poils roses, les pattes marron avec des poils roses, elle est l’une des plus esthétique et des plus recherchée parmi les amateurs de raretés. Au niveau de la taille, elle ne dépassera guère les 8 cm d’envergure, ce qui en fait une petite rareté dont on prend soin ! Cette espèce peut être manipulée, mais il ne faut pas oublier les soies urticantes qu’elle possède : ceux-ci ont le même effet que le poil à gratter, mais ils restent beaucoup plus longtemps accrochés. Prenez-la donc le moins possible. D’un naturel assez nerveux, elle peut aussi bombarder ses soies urticantes si elle est dérangée. Mais le plus gênant, c’est sa capacité à sauter et à se déplaçer tellement rapidement qu’on la perd de vue facilement. Il faut éviter de la sortir si on n’est pas sùr de son coup ! Par aileurs, c’est tout de même une mygale qu’on peut qualifier de fragile : il est absolument nécessaire de lui offrir beaucoup de lumière (comme pour toutes les Avicularia), même s’il ne faut pas la mettre sous la fenêtre. Elle habite naturellement les zones semi-humides du Venezuela ; parfois elle habite même des zones à plus faible hygrométrie. Elle a pour mauvaise habitude de tisser des tubes de toile dans les feuillages, entre des branches ou devant un trou, ce qui fait que même en captivité il est difficile de l’observer la plupart du temps. Les mâles sont assez rares en captivité. Maintenance : Les mygales comme les reptiles, sont poïkilothermes, c’est à dire qu’elles ne peuvent vivre de façon prolongée à des températures trop basses, même si elles sont plus résistantes que les reptiles à priori. Seront nécessaires une hygrométrie égale à 70%, et des températures de 24°C la nuit et 28°C le jour, avec un gradient thermique si possible qui lui permettra de bénéficier de plusieurs températures dans son habitat : vous verriez alors qu’elle affectionne la chaleur, pour passer la plupart de son temps prés du point le plus chaud. Préférez un chauffage par cordon chauffant (ou plaque chauffante), que vous mettrez si possible à l’extérieur du terrarium, sur une paroi, pour éviter les accidents (brûlures ou sècheresse excessive de l’installation). Si le cordon n’est pas très puissant, vous pouvez le disposer à l’intérieur, mais toujours sur une paroi plutot qu’au sol. Comme les mygales ne demandent pas des installations très spacieuses, il est nécessaire de ne pas mettre de chaleur par le sol, car vous ne pourriez éviter que l’ensemble du substrat, dans tout le terrarium, soit chaud (trop chaud), aidant ainsi le développement rapide et incontrôlable des parasites. En substrat, préférez la tourbe de sphaigne, qui engendre un nombre de parasites négligeable : vous pourrez ainsi le changer 2 à 4 fois par an seulement, si vous entretenez régulièrement l’habitat de la mygale (retirer les restes de repas par exemple). Vous pouvez aussi utiliser certains substrats pour reptiles qu’il faudra changer plus souvent. Les mygales ont besoin d’un cycle normal jour/nuit, cependant les Avicularia affectionnent les endroits bien éclairés (lumineux) : ne les exposez cependant pas à la lumière directe du soleil, sous une fenêtre ! Et puisqu’il s’agit d’une mygale arboricole, n’oubliez pas de lui donner un terrarium fabriqué de préférence sur la hauteur. Reproduction : Assez facile si vous trouvez un mâle ; la cohabitation mâle/femelle est même possible tant la femelle reste calme avec le mâle. LA femelle s’enfermera dans son nid 2 à 3 mois après l’accouplement, donnant naissance à une cinquantaine de jeunes en moyenne 1 mois et demi plus tard. Nourriture : Insectivore (grillons). En résumé : Caractère : docile mais rapide Origine : Venezuela Moeurs : Arboricole / Autre Biotope : Tropical Taille adulte : 8 cm Esperance de vie : 8 ans Nourriture adaptée : insectes Un pur bijou ! Regardez le contrast des couleurs !
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AVICULARIA METALLICA ATTENTION : les mygales ne sont pas mortelles ! Cependant, elles possèdent toutes un venin qu’on ne peut retirer à moins de les mutiler mortellement. Elles ont en effet besoin de leur venin pour immobiliser et prédigérer leurs proies, c’est pourquoi il ne faut pas penser (et croire un vendeur sans scrupules) que le venin a été retiré pour rendre la mygale inoffensive ! Certaines espèces sont munies d’un venin assez efficace qui peut faire passer à la victime de très mauvais moments ! Lisez donc attentivement les fiches de chaque espèce. Mais à l’inverse, il ne faut pas tomber dans la psychose : on peut possèder des araignées en agissant de façon responsable, avec une espèce qui correspond à votre niveau d’expérience. Les Avicularia possèdent des soies urticantes assez efficaces, même si elles ne se frottent pas l’abdomen : c’est en effet au contact que les soies peuvent se faire sentir par quelques démangeaisons plus ou moins durables. Description : il s’agit d’une mygale vraiment magnifique : elle a une couleur noire généralisée, sauf que de très nombreux poils gris irisés ressortent, lui donnant cet aspect "métallique" et son nom "métallica", et des reflets parassant bleutés. Elle peut devenir assez imposante, et peut atteindre une taille respectable de 15 cm si elle vit longtemps, avec un corps en général et un abdomen en particulier bien gros. Cette espèce peut être manipulée, mais il ne faut pas oublier les soies urticantes qu’elle possède : ceux-ci ont le même effet que le poil à gratter, mais ils restent beaucoup plus longtemps accrochés. Prenez-la donc le moins possible. D’un naturel assez nerveux, elle peut aussi bombarder ses soies urticantes si elle est dérangée. Elle habite naturellement les zones humides de la Guyane et du Surinam, dans les buissons, les broméliacées et les plantations diverses locales. Elle a pour habitude en effet de tisser des tubes de toile dans les annanas et les bananiers, dans lesquels elle est facilement repérable. Les mâles quant à eux sont ceux que l’on trouve souvent sur notre chemin : ils sont plus petits et plus frêles, et sont en perpétuelle recherche de femelles. Maintenance : Les mygales comme les reptiles, sont poïkilothermes, c’est à dire qu’elles ne peuvent vivre de façon prolongée à des températures trop basses, même si elles sont plus résistantes que les reptiles à priori. Seront nécessaires une hygrométrie égale à 80%, et des températures de 20-22°C la nuit et 26-28°C le jour, avec un gradient thermique si possible qui lui permettra de bénéficier de plusieurs températures dans son habitat : vous verriez alors qu’elle affectionne la chaleur, pour passer la plupart de son temps prés du point le plus chaud. Préférez un chauffage par cordon chauffant (ou plaque chauffante), que vous mettrez si possible à l’extérieur du terrarium, sur une paroi, pour éviter les accidents (brûlures ou sècheresse excessive de l’installation). Si le cordon n’est pas très puissant, vous pouvez le disposer à l’intérieur, mais toujours sur une paroi plutot qu’au sol. Comme les mygales ne demandent pas des installations très spacieuses, il est nécessaire de ne pas mettre de chaleur par le sol, car vous ne pourriez éviter que l’ensemble du substrat, dans tout le terrarium, soit chaud (trop chaud), aidant ainsi le développement rapide et incontrôlable des parasites. En substrat, préférez la tourbe de sphaigne, qui engendre un nombre de parasites négligeable : vous pourrez ainsi le changer 2 à 4 fois par an seulement, si vous entretenez régulièrement l’habitat de la mygale (retirer les restes de repas par exemple). Vous pouvez aussi utiliser certains substrats pour reptiles qu’il faudra changer plus souvent. Les mygales ont besoin d’un cycle normal jour/nuit, cependant les Avicularia affectionnent les endroits bien éclairés (lumineux) : ne les exposez cependant pas à la lumière directe du soleil, sous une fenêtre ! Reproduction : elle est assez facile mais peu fréquente en élevage. La ponte aura lieu environ 5 mois après l’accouplement et l’éclosion 8 à 10 semaines après ; les petits ne ressemblent pas du tout à la mère : ils sont rose clair avec des pattes noires. Nourriture : insectivore (grillons, blattes, criquets), la mygale peut manger tout ce qui bouge. Cela dit, les insectes sont suffisants. En résumé : Caractère : docile Origine : Guyane, Surinam Moeurs : Arboricole / Autre Biotope : Tropical Taille adulte : 12 cm Esperance de vie : 10 Nourriture adaptée : insectes L’envergure d’une arboricole Vue de face. Vue générale Vue du dessus : on distingue bien les soies colorées
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AVICULARIA AURANTIACA ATTENTION : les mygales ne sont pas mortelles ! Cependant, elles possèdent toutes un venin qu’on ne peut retirer à moins de les mutiler mortellement. Elles ont en effet besoin de leur venin pour immobiliser et prédigérer leurs proies, c’est pourquoi il ne faut pas penser (et croire un vendeur sans scrupules) que le venin a été retiré pour rendre la mygale inoffensive ! Certaines espèces sont munies d’un venin assez efficace qui peut faire passer à la victime de très mauvais moments ! Lisez donc attentivement les fiches de chaque espèce. Mais à l’inverse, il ne faut pas tomber dans la psychose : on peut possèder des araignées en agissant de façon responsable, avec une espèce qui correspond à votre niveau d’expérience. Description : Son ancien nom est Av. Magdalenae. Cette espèce ressemble à une avicularia urticans par exemple, cependant qu’elle est moinsombre et devient aussi plus grosse. Elle reste assez calme, mange bien, ne présente pas de difficultés majeures en maintenance. Arboricole, elle vit normalement dans la forêt tropicale humide. Maintenance : Les mygales comme les reptiles, sont poïkilothermes, c’est à dire qu’elles ne peuvent vivre de façon prolongée à des températures trop basses, même si elles sont plus résistantes que les reptiles à priori. Seront nécessaires une hygrométrie égale à 80%, et des températures de 23°C la nuit minimum et 27-28°C le jour. Si vous en avez la possibilité elle appréciera un gradient thermique, qui lui permettra de bénéficier de plusieurs températures dans son habitat : vous verriez alors qu’elle affectionne la chaleur, pour passer la plupart de son temps prés du point le plus chaud. Préférez un chauffage par cordon chauffant (ou plaque chauffante), que vous mettrez si possible à l’extérieur du terrarium, sur une paroi, pour éviter les accidents (brûlures ou sècheresse excessive de l’installation). Si le cordon n’est pas très puissant, vous pouvez le disposer à l’intérieur, mais toujours sur une paroi plutot qu’au sol. Comme les mygales ne demandent pas des installations très spacieuses, il est nécessaire de ne pas mettre de chaleur par le sol, car vous ne pourriez éviter que l’ensemble du substrat, dans tout le terrarium, soit chaud (trop chaud), aidant ainsi le développement rapide et incontrôlable des parasites. En substrat, préférez la tourbe de sphaigne bien humide : vous pourrez ainsi le changer 2 à 4 fois par an seulement. Les mygales ont besoin d’un cycle normal jour/nuit, cependant elles sont souvent plus active la nuit, lorsque tout est calme et qu’elle peuvent sortir de leur nid. Nourriture : insectivore (grillons, blattes, criquets), la mygale peut manger tout ce qui bouge. Cela dit, les insectes sont suffisants En résumé : Caractère : docile Origine : Pérou Moeurs : arboricole Biotope : forêt tropicale Taille adulte : 18 cm Esperance de vie : 10 ans Nourriture adaptée : insectes
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APHONOPELMA HENTZI ATTENTION : les mygales ne sont pas mortelles ! Cependant, elles possèdent toutes un venin qu’on ne peut retirer à moins de les mutiler mortellement. Elles ont en effet besoin de leur venin pour immobiliser et prédigérer leurs proies, c’est pourquoi il ne faut pas penser (et croire un vendeur sans scrupules) que le venin a été retiré pour rendre la mygale inoffensive ! Certaines espèces sont munies d’un venin assez efficace qui peut faire passer à la victime de très mauvais moments ! Lisez donc attentivement les fiches de chaque espèce. Mais à l’inverse, il ne faut pas tomber dans la psychose : on peut possèder des araignées en agissant de façon responsable, avec une espèce qui correspond à votre niveau d’expérience. Description : cette espèce est assez RARE en captivité. Sa couleur générale est brun-gris avec des poils clairs. L’envergure d’un spécimen adulte atteindra 12-13cm. Cette mygale est docile, mais elle peut être imprévisible et nécessite donc une certaine prudence. Avant de la manipuler si vous voulez le faire, prenez un crayon et approchez-le d’elle : si elle se rue dessus, c’est qu’elle a faim ; vous pouvez la nourrir ou la prendre avec précaution (elle risque d’être vive !). Si elle lève les pattes et se met sur l’arrière en montrant ses chélicères (crochets à venin), méfiez-vous et repassez plus tard... Avec cette espèce cependant, vous avez vraiment peu de chances de vous faire mordre, car elle est rarement agressive ; de plus elle bombarde peu. Maintenance : Les mygales comme les reptiles, sont poïkilothermes, c’est à dire qu’elles ne peuvent vivre de façon prolongée à des températures trop basses, même si elles sont plus résistantes que les reptiles à priori. Seront nécessaires une hygrométrie égale à 65-70%, et des températures de 22°C la nuit et 28-31°C le jour ; elle appréciera également un gradient thermique, qui lui permettra de bénéficier de plusieurs températures dans son habitat : vous verriez alors qu’elle affectionne la chaleur, pour passer la plupart de son temps prés du point le plus chaud. Préférez un chauffage par cordon chauffant (ou plaque chauffante), que vous mettrez si possible à l’extérieur du terrarium, sur une paroi, pour éviter les accidents (brûlures ou sècheresse excessive de l’installation). Si le cordon n’est pas très puissant, vous pouvez le disposer à l’intérieur, mais toujours sur une paroi plutot qu’au sol. Comme les mygales ne demandent pas des installations très spacieuses, il est nécessaire de ne pas mettre de chaleur par le sol, car vous ne pourriez éviter que l’ensemble du substrat, dans tout le terrarium, soit chaud (trop chaud), aidant ainsi le développement rapide et incontrôlable des parasites. En substrat, préférez la tourbe de sphaigne, qui engendre un nombre de parasites négligeable : vous pourrez ainsi le changer 2 à 4 fois par an seulement, si vous entretenez régulièrement l’habitat de la mygale (retirer les restes de repas par exemple). Vous pouvez aussi utiliser certains substrats pour reptiles qu’il faudra changer plus souvent. Les mygales ont besoin d’un cycle normal jour/nuit, cependant elles sont souvent plus active la nuit, lorsque tout est calme et qu’elle peuvent sortir de leur nid. Nourriture : insectivore (grillons, blattes, criquets), la mygale peut manger tout ce qui bouge. Cela dit, les insectes sont suffisants. En résumé : Caractère : docile Origine : Texas, Colorado, Kansas. Moeurs : Terricole / Autre Biotope : Semi-Desertique Taille adulte : 15 cm Esperance de vie : 10 ans Nourriture adaptée : insectes
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ACANTHOSCURIA GENICULATA les mygales ne sont pas mortelles !. Cependant elles possèdent toutes un venin qu’on ne peut retirer à moins de les mutiler mortellement. Elles ont en effet besoin de leur venin pour immobiliser et prédigérer leurs proies, c’est pourquoi il ne faut pas penser (et croire un vendeur sans scrupules) que le venin a été retiré pour rendre la mygale inoffensive ! Certaines espèces sont munies d’un venin assez efficace qui peut faire passer à la victime de très mauvais moments ! Lisez donc attentivement les fiches de chaque espèce. Mais à l’inverse, il ne faut pas tomber dans la psychose : on peut possèder des araignées en agissant de façon responsable, avec une espèce qui correspond à votre niveau d’expérience. L’Acanthoscuria Geniculata possède des soies urticantes très efficaces qui peuvent vous gratter (y compris la gorge) ou vous faire pleurer plusieurs heures. Si elle se frotte l’abdomen, il vaut mieux refermer le terrarium au plus vite. Description : c’est une superbe mygale de couleur marron foncé presque noir. Le tour du céphalothorax est blanc-crème, les poils du corps sont rouge clair, et des stries horizontales sont présentes à chaque articulation. Des stries verticales blaches sont également bien visibles sur les tibias. L’envergure d’un spécimen adulte atteindra 20cm pour un corps d’environ 8cm ! Elle est imposante, et très puissante : rien ne semble en effet résister à ses chélicères, qui peuvent perçer un os ou de l’argile dure sans difficulté. Cette mygale n’est pas docile, et elle est souvent imprévisible, se retournant très rapidement : vous devez donc être prudent dés que vous pénétrez dans son habitat. Il faut donc éviter de la manipuler, et se contenter de l’observer. Maintenance : Les mygales comme les reptiles, sont poïkilothermes, c’est à dire qu’elles ne peuvent vivre de façon prolongée à des températures trop basses, même si elles sont plus résistantes que les reptiles à priori. Seront nécessaires une hygrométrie égale à 80%, et des températures de 24-26°C la nuit et 28°C le jour, jusqu’à 34°C à un point chaud qu’elle appréciera énormément : le gradient thermique lui permettra de bénéficier de plusieurs températures dans son habitat : vous verriez alors qu’elle affectionne la chaleur, pour passer la plupart de son temps prés du point le plus chaud. Préférez un chauffage par cordon chauffant (ou plaque chauffante), que vous mettrez si possible à l’extérieur du terrarium, sur une paroi, pour éviter les accidents (brûlures ou sècheresse excessive de l’installation). Si le cordon n’est pas très puissant, vous pouvez le disposer à l’intérieur, mais toujours sur une paroi plutot qu’au sol. Comme les mygales ne demandent pas des installations très spacieuses, il est nécessaire de ne pas mettre de chaleur par le sol, car vous ne pourriez éviter que l’ensemble du substrat, dans tout le terrarium, soit chaud (trop chaud), aidant ainsi le développement rapide et incontrôlable des parasites. En substrat, préférez la tourbe de sphaigne, qui engendre un nombre de parasites négligeable : vous pourrez ainsi le changer 2 à 4 fois par an seulement, si vous entretenez régulièrement l’habitat de la mygale (retirer les restes de repas par exemple). Vous pouvez aussi utiliser certains substrats pour reptiles qu’il faudra changer plus souvent. Les mygales ont besoin d’un cycle normal jour/nuit, cependant elles sont souvent plus active la nuit, lorsque tout est calme et qu’elle peuvent sortir de leur nid. Nourriture : insectivore (grillons, blattes, criquets), la mygale peut manger tout ce qui bouge. Cela dit, les insectes sont suffisants. En résumé : Caractère : agressif Moins Origine : Brésil Moeurs : Terricole / Autre Biotope : Tropical Taille adulte : 20 cm Esperance de vie : 15 ans environ Nourriture adaptée : insectes et rongeurs Femelle à doite et mâle à gauche : l’approche Le mâle essaye de négocier, mais c’est pas facile ! Et puis finalement elle se laisse faire ! Il passe dessous et se met au travail, en prenant soin de bien contrôler sa partenaire Et ça donne ce juvénile quelques mois plus tard !
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HADRURUS ARIZONENSIS ATTENTION : les scorpions ne sont pas des créatures inoffensives. Plus encore que la plupart des mygales, il est nécessaire d’être prudent, car certaines espèces peuvent entraîner des symptômes d’envenimation qui ne sont pas à négliger ! De plus, une vingtaine d’espèces (non vendues sur ce site) présentent un caractère particulièrement dangereux, avec des issus fatales. Certaines espèces sont munies d’un venin assez efficace qui peut faire passer à la victime de très mauvais moments ! Lisez donc attentivement les fiches de chaque espèce. Mais à l’inverse, il ne faut pas tomber dans la psychose : on peut possèder des scorpions en agissant de façon responsable, avec une espèce qui correspond à votre niveau d’expérience. Description : il s’agit d’un scorpion magnifique de petite taille (14cm) : il est jeune brun avec le cephalothorax gris-noir. Il a de petites pinces et une posture cambrée presque permanente, toujours sur ses gardes. Il pique assez facilement, surtout lorsqu’il s’agit de jeunes individus, et même deux individus d’un couple peuvent être agressifs l’un envers l’autre à un moment ou à un autre. Il est donc conseillé de séparer les individus, même s’il existe des couples pour lesquels cela se passe bien. La piqûre de ce scorpion est douloureuse mais sans conséquences. Maintenance : Les scorpions comme les reptiles, sont poïkilothermes, c’est à dire qu’ils ne peuvent vivre de façon prolongée à des températures trop basses, même s’ils sont plus résistants que les reptiles à priori. Seront nécessaires une hygrométrie égale à 50-60%, et des températures de 18-22°C la nuit et 24-30°C le jour, avec un gradient thermique si possible qui lui permettra de bénéficier de plusieurs températures dans son habitat : vous verriez alors qu’elle affectionne la chaleur, pour passer la plupart de son temps prés du point le plus chaud. Préférez un chauffage par cordon chauffant (ou plaque chauffante), que vous mettrez si possible à l’extérieur du terrarium, sur une paroi, pour éviter les accidents (brûlures ou sècheresse excessive de l’installation). Cependant, vous pouvez aussi utiliser une ampoule chauffante (type infrarouge par exemple), en raison du biotope de type désertique d’origine de l’animal ; mais elle doit être hors d’accés. Comme les scorpions ne demandent pas des installations très spacieuses, il est nécessaire de ne pas mettre de chaleur par le sol, car vous ne pourriez éviter que l’ensemble du substrat, dans tout le terrarium, soit chaud (trop chaud), aidant ainsi le développement rapide et incontrôlable des parasites. De plus, le scorpion irait forcément au contact dangereux voire mortel du chauffage ! En substrat, vous utiliserez du sable fin de type desertique, sur une épaisseur de 20 cm environ , avec des pierres ou des racines (ou vignes) enterrées qui lui permettront de creuser des galeries. Les scorpions ont besoin d’un cycle normal jour/nuit, cependant ils sont crépusculaires et souvent plus actifs la nuit, lorsque tout est calme et qu’ils peuvent sortir de leur cachette. Nourriture : insectivore (grillons, blattes, criquets), le scorpion peut à priori manger tout ce qui bouge, mais les insectes sont suffisants. En résumé : Caractère : agressif Origine : Arizona, Nevada Moeurs : Terricole / Autre Biotope : Desertique Taille adulte : 14 cm Esperance de vie : 20 ans Nourriture adaptée : insectes
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Caméléon Le caméléon est un animal fascinant, mais qu'on ne devrait posséder que si l'on connaît vraiment l'espèce. Ce n'est vraiment pas un lézard pour débutant. À cause des mauvaises conditions en captivité, le caméléon a une espérance de vie bien courte. Pour un premier caméléon, il vaudrait mieux choisir un mâle, car les femelles vivent encore moins longtemps dues au stress des pontes successives. Physiquement, le caméléon est très différent des autres lézards. Il a les yeux qui s'orientent dans presque toutes les directions et bougent indépendamment un de l'autre. Il a un corps comprimé latéralement et a les pieds équipés de deux séries d'orteils collés (ce qui donne l'impression qu'il n'a que deux doigts) pour mieux saisir les branches, c'est ce qu'on appelle la zygodactylie. Sa queue lui sert de cinquième membre, puisque sa queue est préhensile (peut saisir des objets). Un caméléon ne peut perdre sa queue. Sa langue, fait très étonnant, est aussi longue que le corps du caméléon. Bien que le caméléon soit très lent, on ne peut pas en dire autant de sa langue qu'il peut projeter à des vitesses atteignant les 5 m/sec. L'extrémité de la langue est gluante pour permettre au caméléon d'attraper les insectes. Son aspect le plus étrange est sans doute sa faculté de changer de couleur selon l'environnement, le stress, la température, etc. Ce changement de couleur sert plus souvent qu'autrement à le dissimuler dans son environnement, c'est une sorte de moyen de défense passif. Caméléon casqué Autres espèces de caméléon Espèce Chamaeleo Calyptratus Chamaeleo jacksonni (De Jackson) Chamaeleo pumilus (nain) Autre appellation Veiled cameleon Caméléon casqué du Yémen Selon l'espèceHabitat naturel et moeurs Arboricole, diurne et habite dans les régions chaudes et humides avec les nuits froides. La plupart des espèces sont arboricoles, diurnes et habitent dans des régions forestières chaudes et humides avec des nuits froides. Taille à l'âge adulte Jusqu'à 50 cm Varie de 25 mm à 55 cm, selon les espèces Caméléon nain : 15 cmReproduction Ovipare La plupart des espèces sont ovipares Le caméléon nain et le Jackson sont ovovivipares. Dimorphisme sexuel Le casque du mâle est plus gros et il possède un ergot supplémentaire près du talon que la femelle ne possède pas. Caméléon de Jackson : seul le mâle a des cornes Saison des amours Fin de l'été début de l'automne. Nombre de petits 30 à 40 oeufs En moyenne, pour les espèces ovipares, de 30 à 40 oeufs. Le caméléon de Jackson (ovovivipare) met au monde de 15 à 20 petits. Incubation N/d Caméléon de Jackson : gestation de 190 jours environ. Répartition géographique On trouve la plupart des caméléons en Afrique jusqu'à l'Inde. Régime alimentaire Insectivore. Offrez-lui plusieurs variétés de proies et n'attendez pas qu'elles soient toutes dévorées pour en remettre d'autres, car le caméléon est un lézard extrêmement lent. Cependant, même s'il est insectivore, il est bon de lui offrir des légumes. Espérance de vie Il peut vivre en moyenne 6-7 ans dans de bonnes conditions. Si les conditions ne sont pas optimales, le caméléon décèdera généralement prématurément vers les 2 ans. Tempérament Le caméléon est un lézard très lent et très stressé. Le stress est mauvais pour lui, car il arrête souvent de manger à la suite d'un stress. Le caméléon ne devrait être manipulé que si c'est absolument nécessaire. Il devrait toujours y avoir une barrière visuelle entre lui et les autres êtres de la maison. Les allées et venues de tous peuvent le stresser. De plus, il vous considère comme un prédateur. Pour le regarder de près, approchez-vous très lentement pour le stresser le moins possible. Vie en captivité Le caméléon n'est pas un animal facile à garder en captivité. Il demande des conditions difficiles à reproduire. Il doit vivre seul, car c'est un lézard solitaire. Même s'il est lent, il doit avoir beaucoup d'espace pour bouger. Il demande un terrarium bien aéré (qui a au moins deux des six surfaces qui sont grillagées). Le terrarium doit être placé dans un endroit isolé où il n'y a pas beaucoup d'action, pour éviter de stresser le lézard. Comme c'est une espèce arboricole, il doit disposer de plusieurs branches (non toxiques) et d'un terrarium en hauteur. Le fond peut être constitué de papiers ou de copeaux. Il est très important d'avoir une lampe UV et une lampe chauffante qu'on ferme toutes les deux à la tombée de la nuit. Il est très important de vaporiser le terrarium au moins deux fois par jour. L'ajout d'un plat d'eau n'est pas indispensable, car le caméléon lèche les gouttelettes sur les feuilles plutôt que de boire dans un plat d'eau. L'idéal pour l'eau serait de lui fabriquer un système de gouttes, qui tombent dans un plat d'eau fermé (pour ne pas que le caméléon puisse tomber dedans) et on vide le plat chaque jour. Ainsi le caméléon lèchera les gouttelettes qui tombent, comme dans la nature. Même si un système de gouttes est installé, vaporisez le terrarium avec de l'eau tiède un minimum d'une fois par jour pour maintenir le taux d'humidité adéquat. Il est aussi possible d'utiliser un générateur de bouillard. En plus d'aider à conserver un taux d'humidité élevé dans le terrarium, la brume qu'il génère est très jolie dans un terrarium tropical. Pour le caméléon, il n'est pas nécessaire de lui fournir une lampe de nuit, ou un coussin chauffant, car dans son environnement naturel, les nuits sont très froides. Température point chaud 28 °C à 34 °C point froid 25 °C à 28 °C de nuit Température de la pièce (18 °C à 20 °C)Degré d'humidité 60%. Peut être obtenu en vaporisant le terrarium régulièrement ou à l'aide d'un générateur de brouillard, puisque le terrarium du caméléon devrait être grillagé pour pemettre une bonne circulation de l'air.
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Uromastyx L'Uromastyx est un lézard dodu ayant une queue très épineuse, d'où son nom de lézard à queue épineuse. Tout dépendant de l'espèce, il est soit craintif soit sociable. On peut l'apprivoiser si on commence tôt. Physiquement, les couleurs varient selon les espèces, mais dans tous les cas, la queue de l'Uromastyx est épineuse. Il a l'habitude de fouetter de la queue comme moyen de défense. L'Uromastyx est un lézard bien sédentaire et ne bouge qu'en cas de nécessité. Espèce Uromastyx (comprenant environ 13 espèces) Autre appellation Fouette-queue, agame à queue épineuse, spiny-tail, dabb lizards Habitat naturel et mœurs Terrestre et diurne, il habite dans les déserts. Taille à l'âge adulte Tout dépend de l'espèce, en moyenne 35 à 40 cm. L'Uromastyx d'Égypte peut atteindre 75 cm. Reproduction Ovipare Dimorphisme sexuel Tout dépendant de l'espèce, certaines espèces étant plus faciles à sexer que d'autres. Certaines espèces ont des variantes de couleurs entre le mâle et la femelle. Règle générale, les mâles ont des pores fémoraux plus développés, une ouverture cloacale plus grande et la présence de renflement visible au lieu des hémi-pénis. Saison des amours Début du printemps Nombre de petits Une quizaine d'œufs Incubation Environ trois mois (75 à 90 jours) Répartition géographique Afrique, Inde, Asie, selon l'espèce Régime alimentaire Les jeunes sont omnivores et les adultes sont plutôt herbivores Espérance de vie 10 à 15 ans Tempérament Varie selon les espèces. Certains sont peureux et se cache dès qu'un humain approche, tandis que d'autres sont plutôt dociles. Si on les habitue jeune, il est possible de les apprivoiser. Ce n'est généralement pas un lézard agressif, il préférera se cacher plutôt que de mordre, attention cependant à sa queue : elle est épineuse et peut causer de bonnes plaies. Ne mettez jamais deux mâles dans le même terrarium, ils sont très territoriaux. Vie en captivité Un adulte, pour être bien, doit vivre dans un terrarium de dimension minimum de 40 gallons, mais le plus grand possible est l'idéal. Le substrat est du sable lorsque le lézard est adulte et du tapis gazon lorsque bébé (pour éviter les ingestions). On doit lui fournir des branches solides et des roches, mais un plat d'eau n'est pas indispensable (lézard du désert). Une lampe UV et une lampe chauffante sont absolument nécessaires, mais la lampe de nuit non, puisque dans les déserts, les nuits sont très froides. Température point chaud 34°C à 40°C point froid 25 °C à 28 °C nuit Température de la pièce (environ 20 °C) Degré d'humidité Faible (30 % à 40 %) Aucune vaporisation nécessaire. Il est possible de lui fournir un petit plat d'eau de temps à autre si nécessaire (pour prévenir la déshydratation). Ce lézard va généralement puiser son eau dans ses fruits et légumes.
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Lézard à collerette Le lézard à collerette est un agame très impressionnant. Il est muni d'une large collerette qu'il ouvre pour impressionner. Il est de plus muni de pattes arrières tellement puissantes, qu'il peut se soulever sur ses pattes arrières, soit pour courir sur une petite distance, soit pour impressionner en ouvrant la bouche et en déployant sa grande collerette. Il est de couleur gris brun noir, mais la collerette peut avoir des couleurs moins ternes tels que le jaune ou le orange. Espèce Chlamydosaurus kingii Autre appellation Frilled lizard, Autralian frilled lizard, frillneck lizard. Habitat naturel et mœurs Arboricole et diurne. Il habite soit dans des mileux semi-désertiques soit dans des milieux semi-humides. Taille à l'âge adulte 80 à 90 cm. Reproduction Ovipare Dimorphisme sexuel Les femelles sont plus petites et ont une plus petite collerette que les mâles. Ces derniers possèdent des pores fémoraux développés. Saison des amours Octobre à février. Nombre de petits 5 à 13 avec une moyenne de 8 œufs par ponte. La femelle peut faire ainsi trois pontes à un mois d'intervalle. Incubation 70 à 80 jours. Répartition géographique Australie et Nouvelle-Guinée Régime alimentaire Insectivore, avec des penchants carnivores. Espérance de vie 8 à 10 ans. Tempérament Parfois nerveux quoiqu'il puisse s'habituer aux manipulations. Vie en captivité Un adulte doit vivre dans un terrarium d'une dimension minimale allant de 75 à 100 gallons. Pour un couple ou un groupe, on doit leur en bâtir un, car il n'existe pas de bassin assez grand. De toute façon, cela serait beaucoup trop dispendieux. Le substrat (fond de cage) n'est pas très important, car le lézard à collerette descend rarement au sol. On peut donc mettre du tapis gazon, des copeaux ou autre. Les bébés ne devraient pas avoir du sable comme fond de cage pour éviter les ingestions. Une lampe chauffante et une lampe UV sont absolument nécessaires pour sa santé. Des branches hautes et solides sont nécessaires (lézard arboricole). On doit lui fournir un plat d'eau (où il pourra éventuellement déféquer). On peut aussi lui fournir un abri, mais les lézards à collerette ne se cachent pas très souvent. La lampe de nuit n'est pas absolument nécessaire. Température point chaud 29°C à 35°C point froid 25°C à 28°C nuit Température de la pièce (environ 20 °C à 22°C) Degré d'humidité Ils habitent différents milieux, mais, règle générale, il suffit de mettre un plat d'eau et de vaporiser le terrarium une fois par jour avec de l'eau tiède pour permettre au lézard de ne pas se déshydrater.
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Dragon barbu Le dragon barbu est un lézard d'Australie très docile. Il se caractérise par une taille moyenne, un dos recouvert de pics mous et un large fanon (barbe) sous la mandibule, qu'il gonfle pour impressionner. Il est de couleur beige paille, quoiqu'il existe maintenant plusieurs variantes de coloration. Le dragon barbu est vraiment un bon "lézard de compagnie", intéressant et facile à "apprivoiser". Espèce Pogona Vitticeps Autre appellation Bearded Dragon Habitat naturel et moeurs Semi-désertique, semi-arboricole et diurne Taille à l'âge adulte 40 à 60 cm Reproduction Ovipare Dimorphisme sexuel Pas évident chez les juveniles. Les mâles adultes ont la tête et la base de la queue plus large. Présence évidente de pores fémoraux et exibition fréquente du fanon barbu. Saison des amours Surtout au printemps et à l'été Nombre de petits 15 à 20 oeufs Incubation 55 à 75 jours, en moyenne 60 à 65 Répartition géographique Australie Régime alimentaire Omnivore. Les bébés sont plutôt omnivores-insectivores, tandis que les adultes sont plutôt omnivores-végétariens.Espérance de vie 6 à 8 ans Tempérament Lézard très calme et docile. Il s'apprivoise bien. C'est un lézard idéal pour un premier lézard. On peut le manipuler sans aucune crainte. Vie en captivité Un gros mâle doit vivre dans un terrarium d'au moins 40 gallons tandis que les femelles peuvent vivre dans un terrarium de 33 gallons. Le plus grand terrarium possible est l'idéal. Le substrat est du sable lorsque le lézard est adulte et du tapis gazon ou du papier lorsque bébé (pour éviter qu'il mange du sable). Une branche est nécessaire (semi-arboricole), mais un plat d'eau n'est pas indispensable (lézard du désert). Une lampe UV et une lampe chauffante sont absolument nécessaires, mais pas la lampe de nuit, puisque dans les déserts d'Australie, les nuits sont très froides. Température point chaud 32 °C à 38 °C (38°C-40°C directement sous la lampe chauffante) point froid 25 °C à 28 °C de nuit Température de la pièce (environ 20 °C) Dedré d'humidité Faible (environ 40 %). Les adultes ne doivent pas avoir de bol d'eau. Il est tout de même possible de leur offrir de temps à autre un peu d'eau, mais ce sont des lézards du désert. Les bébés par contre ont tendance à se déshydrater plus facilement, il est donc conseillé de leur fournir un petit bol d'eau.
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