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Dgrisou37

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Tout ce qui a été posté par Dgrisou37

  1. Attention ! Soyez extrèmement vigilant, les problèmes dus aux épillets sont très fréquents en été. Ce sont de tous petits épis qui se prennent dans les poils, ils ne sont presque pas visibles mais suffisent à créer des abcès qui peuvent être graves s'ils ne sont pas traités à temps. Il faut surveiller les zones sensibles de très près. Par exemple, pour les pattes, il faut bien écarter les doigts, couper les petites bourres de poils et enlever le moindre petit brin de paille que vous pourriez apercevoir. Car très rapidement, le brin s'avance vers la peau et petit à petit s'enfonce plus profondément dans la chair. Il va rentrer sous la peau et provoquer un abcès. Cela va très vite, il faut donc être particulièrement vigilant. Si votre compagnon se met à boitiller, à secouer la tête ou à essayer de se frotter derrière les oreilles, cela peut-être un épillet. Il faut alors vérifiez si vous ne sentez pas une petite boule ressemblant à un bouton sec sur la peau. Si c'est le cas il est recommandé de consulter rapidement un vétérinaire. En effet, si l'on attend trop longtemps, il peut alors être nécessaire de réaliser une véritable petite opération chirurgicale afin d'atteindre l'épillet. Qu'est-ce qu'un épillet ? Les épillets (ou voyageurs ou "espigaou") sont de petites graines de graminées sauvages qui poussent de mai à septembre. On les trouve dans les herbes hautes sauvages qui poussent le long des chemins et des prés ou des terrains vagues. Les chiens à poils longs sont particulièrement vulnérables. Quelles sont les zones sensibles ? Les épillets pénètrent principalement dans : le nez: provoquant des éternuements permanents, ils peuvent remonter dans les cavités nasales en faisant de nombreux dégâts. les oreilles: le chien se secoue sans cesse la tête, ce qui a pour effet de faire avancer plus encore l'épillet dans le conduit auditif, jusqu'à ce qu'il touche, voire perfore le tympan. Il en résulte une forte douleur, et fréquemment une otite. les yeux: l'animal garde l'œil fermé en permanence à cause de la douleur.Si l'épillet n'est pas retiré rapidement, cela peut conduire à une perforation de la cornée. entre les doigts: l'épillet avance sous la peau provoquant un abcès, le chien peut se mettre alors à boîter. Comment prévenir les problèmes liés aux épillets? La prévention consiste à tondre les zones vulnérables de la peau avant de partir en vacances, et de faire particulièrement attention sur les bords des chemins, et dans les broussailles, lors de vos promenades. En cas de doute, consulter immédiatement un vétérinaire. http://www.wanimo.com
  2. une p'tit balade ?? C'est parti !!
  3. L'ASPAS et le RAC lancent cette année une grande campagne en faveur des animaux classés comme "nuisibles". One Voice les soutient et vous explique pourquoi le terme même de « nuisibles » est inapproprié mais bien réfléchi par ceux qui l'utilisent... Nuisibles ? Nuisibles. Tel est le terme qui est utilisé pour qualifier certaines espèces et autoriser leur mise à mort en toute impunité. Tous les ans, le ministère de l'écologie fixe une liste des espèces pouvant être considérées comme tel. Chaque préfet choisira ensuite parmi elles celles qui le seront dans son département Cette sélection se fait soi-disant : dans l'intérêt de la santé et de la sécurité publiques ; pour prévenir les dommages importants aux activités agricoles, forestières et aquacoles; pour la protection de la flore et de la faune. Un détail, mais non des moindres : cette liste est déterminée sur avis du Conseil National de la Chasse et de la Faune Sauvage, donc par une majorité de chasseurs... La destruction systématique, voilà ce qui attend ces animaux dont le qualificatif semble tout droit sorti d'un autre âge, quand la science des écosystèmes en était encore à ses balbutiements. Les espèces concernées Depuis plusieurs années, la liste noire n'a pas changé. Elle compte 12 mammifères et 6 oiseaux : la belette, le chien viverrin, la fouine, le lapin de garenne, la martre, le putois, le ragondin, le rat musqué, le raton laveur, le renard, le sanglier et le vison d'Amérique, ainsi que : le corbeau freux, la corneille noire, l'étourneau sansonnet, le geai des chênes, la pie bavarde, le pigeon ramier. Du moins a-t-elle faillie, car en suite à une longue polémique, l'arrêté du 21 mars 2002 en avait retiré la belette, la martre et le putois... Trêve de courte durée pour ces animaux qui y étaient de retour par l'arrêté du 6 novembre de la même année ! L'écosystème mis en danger pour le commerce de la fourrure ! Le chien viverrin est originaire d'Asie. C'est un canidé, originaire d'extrême Orient. Entre 1929 et 1955, un grand nombre a été lâché en Russie, en vue d'augmenter la production de fourrure. Il a par la suite colonisé de nouveaux pays, jusqu'à la France où il a été observé dès 1979. Le ragondin est un rongeur originaire d'Amérique du sud. Il a été introduit en France en 1925 pour être élevé pour sa fourrure. Mais une fois la mode passée, certains ont été relâchés dans la nature où ils se sont multipliés en l'absence de prédateurs naturels. Le rat musqué est un rongeur originaire d'Amérique du Nord. Il a été introduit pour sa fourrure en Europe au début du XXème siècle. Suite à des introductions volontaires et à des fuites, il a colonisé depuis une grande partie de l'Eurasie. Le raton laveur est un mammifère omnivore originaire de l'Amérique du nord et de l'Amérique centrale. Il a été introduit en Russie et en Allemagne pour sa fourrure dans les années 1930. Certains se sont échappés, et l'espèce a peu à peu colonisé l'Europe centrale. On le trouve aujourd'hui jusqu'en Belgique, en Suisse et en Allemagne, ainsi qu'en France dans le département de l'Aisne. Le vison d'Amérique est, comme son nom l'indique, originaire d'Amérique du Nord. Il a été importé pour sa fourrure dans les années 1920 en Europe, en 1926 en France. Des individus se sont échappés, d'autres ont été relâchés, aboutissant à la colonisation de certains pays, dont l'Angleterre, la Belgique, les Pays-Bas, la Suède, la Finlande, mais également l'Espagne. En France, les élevages se sont beaucoup développés dans les années 1960, notamment en Bretagne. Aujourd'hui, l'espèce est présente en liberté en Bretagne, Normandie et Loire-Atlantique, mais aussi en Charente et dans les Hautes Pyrénées. De l'équilibre des écosystèmes Le problème de l'introduction de ces espèces exotiques est qu'elles concurrencent les espèces locales voire détériorent l'environnement. Il est particulièrement important quand elles n'ont pas de prédateur naturel car leur population n'est alors pas régulée. Or chaque écosystème, chaque habitat est dans un équilibre fragile, en particulier entre les espèces animales et végétales qui la peuplent. Certaines espèces végétales dépendent de certaines espèces animales pour se reproduirent, certaines espèces animales sont régulées par d'autres qui, en les mangeant, favorise la bonne santé de leur population en éliminant les plus faibles et en limitant les risques d'épidémies, mais permettent également de limiter leur pression sur l'environnement : si A mange B mange C, en supprimant A, il y a trop de B, qui mange donc trop de C qui finit par disparaître, entraînant avec elle... B ! C'est bien sûr à un schéma extrêmement simplifié mais qui illustre à quel point tout est lié et comment toute perturbation peut avoir des répercutions extrêmes... Dans ce même exemple, si on introduit une espèce étrangère E concurrente de B, et qui n'est pas mangée par A, elle va manger trop de C, donc les B vont disparaître, et les A aussi. Le plaisir du chasseur Toutefois, l'éradication telle qu'elle est pratiquée n'est pas une solution. Pour preuve l'inefficacité de cette méthode, en œuvre depuis plusieurs décennies ! D'ailleurs toutes les espèces artificiellement introduites ne sont pas classées « nuisibles », comme la tortue de Floride, qui cause pourtant la disparition de la cistude d'Europe... Rappelons également que certaines espèces exotiques se sont parfois totalement adaptées sans problèmes, telles que le faisan, pour les animaux, ou l'acacia pour les végétaux. Le cœur du problème est ailleurs, l'avantage de ces espèces est surtout qu'elles sont chassables toutes l'année ! Ou bien leur seul tort est de concurrencer les chasseurs... Dans tous les cas, et quand bien même une espèce perturbe dangereusement un écosystème, doit-on la tuer sans réfléchir ? Les méthodes d'éradication en question Trois méthodes sont en général admises pour l'éradication des nuisibles : le tir, le piégeage et le poison. Dans tous les cas la souffrance est de mise. Il n'y a jamais d'euthanasie douce après piégeage et le tir est rarement assez précis pour assurer une mort immédiate et sans douleur... Quant au poison, il s'agit en général d'un anticoagulant, qui entraîne une mort extrêmement douloureuse par hémorragie interne ! De plus, il pollue les cours d'eau et n'étant pas ciblé, il fait des victimes sans distinction. Dans certains départements, on lui reproche notamment de contribuer à la disparition du vison d'Europe, une espèce protégée... On peut également s'interroger, pourquoi nulle part ne procède t'on à la stérilisation des animaux capturés ? Le coût est certes plus important, mais c'est aussi un choix éthique qui doit s'imposer. De plus un animal tué libère son territoire et n'est plus en compétition avec les jeunes qui peuvent donc s'installer plus facilement... En Bretagne, pour réguler la population de goélands qui cause des dommages importants en milieu urbain, on stérilise leurs œufs : c'est une méthode efficace et à l'éthique irréprochable ! On stérilise de même les chats errants pour éviter leur prolifération. Alors pourquoi faire souffrir ? Des faux nuisibles ? Parmi les animaux susceptibles d'être classés nuisibles, il y a ceux qui causent des dommages à l'environnement du fait que leur population n'est pas régulée, comme le ragondin dont les terriers affaiblissent les berges des rivières qui s'effondrent en cas de crue. Mais il en est d'autres pour lesquels il est plus difficile de trouver un motif à cette éradication aveugle. La belette est par exemple un prédateur important pour les mulots, campagnols et autres mammifères. Si elle venait à disparaître, ils pulluleraient dans les campagnes, avec toutes les conséquences désastreuses que cela signifierait. Le problème et le même pour la fouine qui est de plus un prédateur des rats d'égouts. On lui reproche de s'introduire dans les poulaillers, alors qu'il suffirait que ces derniers soient correctement fermés ! Le putois est dans une situation équivalente, il a beau être un des rares à s'attaquer au surmulot et au rat musqué, classés nuisibles, son tort est de faire concurrence aux chasseurs dans la chasse au lapin de garenne... Or le lapin de garenne qui fait même l'objet de relâchés pour renforcement de population par les chasseurs, est également classé nuisible ! Les incohérences ne s'arrêtent pas là, la martre ou le renard ne sont également nuisibles que pour le chasseur. En effet, les pauvres animaux élevés puis relâchés pour être tirés ne sont pas méfiants et sont donc des proies faciles pour ces prédateurs... Le renard est pourtant considéré par beaucoup comme un policier sanitaire, tant il permet d'éviter des épidémies en consommant des milliers de rongeurs par an, et en s'attaquant toujours aux individus affaiblis, malades ou morts. Et ses effractions de quelques poulaillers seraient facilement évitables s'ils étaient correctement clos ! Vers une solution Faire déclasser les animaux par les préfets est une première étape à la lutte contre la loi sur les nuisibles. Ce terme qui n'a pas de sens, aux dires même de certains chasseurs qui le trouvent dangereux, est devenu obsolète. Il est temps que la réglementation s'appuie sur la réalité scientifique et adopte des mesures éthiquement acceptables pour réparer des erreurs le plus souvent humaines au lieu d'en commettre de nouvelles... Donnons une chance à l'équilibre écologique de se rétablir naturellement. Cessons de nous croire tout puissant, le futur de la Nature est à ce prix. Dernière minute : un grand pas en avant ! En janvier, l'ASPAS a attaqué en référé 9 arrêtés préfectoraux concernant les nuisibles : 6 d'entres eux ont été reconnus illégaux et ont été immédiatement suspendus. Seront ainsi épargnés en dehors des période de chasse : - dans les Bouches du Rhône : le renard, la fouine, la belette, le putois, la corneille, la pie et l'étourneau ; - dans le Maine et Loire : la fouine, la martre, la belette et le putois ; - dans la Drôme : la belette ; - dans le Rhône et la Loire : la pie bavarde ; - en Isère : la martre. C'est un grand pas en avant pour la réhabilitation des nuisibles, le premier vers une reconnaissance nationale de l'obsolescence de ce statut. http://www.onevoice-ear.org/campagnes/animaux_sauvages/nuisibles.html
  4. Euh désolé mais bientot j'aurai 2 bébés fufus
  5. pas grave .. Tu pouvais pas savoir .. Excuse accepter .. Si tu aimes mes vidéo j'en est mi une autre des section furet ... avec mon pseudo tu trouvra
  6. merci .. mais Pistache est DCD dimanche
  7. Adorable ... Ma belle soeur cherche un male persan ...
  8. Dgrisou37

    ULMA

    Magnifiques tes fifilles
  9. Moi avec mon setter Anglais je fais comme toi seulement le VTT .. C'est L'enfer .. Merci pour le partage ..
  10. http://video.google.fr/videoplay?docid=-1370853220847087548
  11. Dgrisou37

    Pistache

    Bonsoir , Je tiens a vous informé mon cochon d'inde de 4 ans est mort dans la nuit du samedi a dimanche (Today) De quoi et pourquoi j'en est aucune idée .. Il mangé des graines (un mélange de graine d'allemand ) + du foin de la montagne ... Des fruits et Légumes .. Il est parti rejoindre son copain Black ... A dieu ...
  12. J'ai déjà presenté mes animaux il faut aller sur mes autres posts pour les connaitre ..
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