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fsenegas1

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Tout ce qui a été posté par fsenegas1

  1. fsenegas1

    osmoseur vs ultra filtration

    celle que j'ai je l'ai ramenée avec moi de US..faudrait que je remette la main sur leur boite mais cela fait trois ans... Je sais que maf lui en a fait venir il y a peu...
  2. fsenegas1

    osmoseur vs ultra filtration

    regardez plutot les nano filtration argentique. 3 ans que ça tourne chez moi RAS
  3. la aussi oui et non. cette théorie se base sur un point ponctuel en oubliant que les simples caractéristiques de dilutions (et de pression) par exemple le co² se transforme dans l'eau en anhydride carbonique. la concentration sera en équilibre avec le taux de co² de la pièce. bref pomper de l'air à l’extérieur n'aura en dans le cas d'une pièce chargé en co² que peu d'effet (pour pas dire pas du tout) de même pour les utilisateur de RAC qui rejettent l'eluat dans la decant le tout dans un meuble fermé. dans ce cas la concentration en co² au dessus de la décant peut atteindre des valeurs relativement haute et du coup on charge encore plus en anhydride carbonique. résultat ph bas par contre le fait de prendre l'air en extérieur à un point positif. nos habitats on en effet pas mal de chose qui se baladent dans l'air ambiant (beaucoup de produits d’entretien contiennent des composé relativement volatiles. donc ceci sera diminué en prenant des l'air extérieur (la aussi certaine précautions sont à prendre et la mise en place d'une charge de charbon actif comme filtre à air est une bonne chose
  4. Oui et non. en fait on peut facilement passer la barre des 600 litres avec un simple RAH. pour ce faire un soins doit être apporté à sa mise en oeuvre. osmolation de faible volume et rejet dans une zone bien brassée (et idéalement dans le bac et pas la décant) Idem en ce qui concerne la méthode balling. on peut aujourd'hui s'approvisionner à des tarif relativement correct de plus RAH et balling peuvent être facilement combiné. le RAC demande une certaine maitrise et une certaine compréhension. dans la liste des problèmes les 2 plus importants (et classique) ont pour origine un osmoseur qui n'a d'osmoseur que le nom et un RAC mal réglé. les pb d'accumulation de CO² sont relativement courant. Faire fonctionner un RAC dans un appartement de 50m² avec 2 personnes dans la pièces c'est à 80% un PH du bac bas. dans ce cas par exemple si une soirée doit se faire et que le nombre de personne doit augmenter il sera prudent de stopper l’injection de co² durant quelques heures. Autre point la population du bac à aussi sont importance. un bac remplis de SPS aura certains besoins alors qu'un bac mixte (mous et dur) en aura d'autre. bref le matériel doit être adapté au besoin, et à la situation.
  5. Bonjour Sabine, J'ai aussi suivit cette théorie. néanmoins, certaines mise en cultures démontrent que ce n'est pas tout à fait vrai. En fait c'est encore une fois une question d'équilibre. je m'explique, dans le cas ou la souche x (potentiellement pathogène) se trouve dans un contexte normal et donc à à disposition ce dont elle à besoin elle à un développement ou plus exactement un cycle de vie stable. Ou cela se complique, c'est quand le milieu devient moins favorable. La les souches peuvent muter rapidement et s'adapter ceci étant principalement due à leur rapidité de multiplication (c'est par ailleurs ce qui a permis celons certains le développement de la vie). Ceci n'est pas exclusif aux bp (ni par ailleurs aux diverse souches de carbones pouvant être mises en oeuvre) On peut donc avoir x et x bacs et autant de variantes possible. de plus les dosages, les débits de transfert dans le réacteur, le type de maintenance voire même les aliment utilisés pour nourrir les poissons peuvent aussi avoir un impact et le tout avec des durées dans le temps totalement différentes. Bref du floue complet. De même dans le cas ou l'on suspecterai les BP il vaut mieux prendre certaines précautions avant de les stopper totalement et surtout ne pas perdre de vue que chaque bac à un temps x de réaction et de ce fait lui laisser du temps avant d'entreprendre toute autres interventions.
  6. hormis l’allumage d'un système de chauffage d'appoint (petrole, cheminée etc) et dans ce cas le PH remonte dés l’arrêt ou d'un RAC qui s'est dérégler (mais la en général le bac serai blanc) le seul cas probable est une défaillance de la sonde PH
  7. le fait d'apporter une source de carbone n'est pas complètement anodine. Faut pas croire que parce que les bp sont dans un "réacteur" les seule bactoches qui vont se développer le feront à l'intérieur de ce dernier. C'est la totalité du système qui en subira l'influence. hors des bactéries, il y en à partout et pas forcement que des bonnes. Le mucus des coraux present sur leur tissus en est chargé. Suivant l'équilibre du bac, l'ajout de carbone risque donc d'entrainer une multiplication de bacteries "patogène" ceci pouvant se caractériser par une necrose sur tel ou tel corail. Ces dernières années, sont apparus beaucoup de nouveaux produits qu'ils soient du commerce ou artisanaux . Le vrai problème (dans la fole course à la couleur) est que pour beaucoup ils sont en passe de devenir une méthode de maintenance et la c'est une grossière erreur. Les BP, tout comme les "méthone" à base d'éthanol doivent être considérés comme des remèdes ponctuels. Un bac qui affiche des taux récurent de NO3 et PO4 élevé ne trouvera pas la solution avec ces méthodes. sur le temps le clash sera inévitable. il convient donc dans un premier temps de caler au methode de maintenance éprouvées. L'étape suivant pourra alors être la mise en oeuvre de telle ou telle mixture ou réacteur dans le but éventuel de pousser l'oligotrophie encore plus loin ceci sans perdre de vue que l'équilibre d'un bac est fragile
  8. Tout à fait...comme dis plus haut, le dosage est important et par dosage je parle pas de volume mais de masse sèche.... Durant les petites expériences visant justement à sélectionner les composants ainsi que leur proportions j'ai vue pas mal de choses.... Faut dans un premiers temps revenir à la source de la Papone. son but faire pousser des SPS à vitesse mac12... Bref grosse tambouille mais derrière gros écumage...Si vous cherchez un peu vous verrez que des bac de 400 litre ayant un BBK 300 sont monnaie courante. Jouer à ceci, sur des installations classique, c'est comment dire, jouer à la roulette russe. ça passe, ça passe et puis d'un coup ça passe plus. Comme je le dis plus haut effectivement mon bac tourne ainsi depuis 6 ans soit au moins 2,5 fois plus que ce qu'on trouve en Papone. Cependant j'ai aussi dit que j'avais adapté la méthode et ce dans un autre but. Je ne cherche pas à faire pousser les coraux plus vite que prévue (ça c'est très facile) mais je cherche bien à augmenter la population de micro faune. Sur ce point ça implique déjà d'avoir de la micro faune et surtout d'avoir de la diversité dans cette même micro faune et là, c’est peut être facile à écrire mais comme Sprung la dit et écrit, ce qui fait que nos bac ne seront jamais de vraies portions de récif, c'est justement le manque de biodiversité dans la micro faune due au simple fait qu'il manque le premier des maillons dans de la chaine alimentaire à savoir le phyto suivit de sont copain indissociable le zooplancton. Bref jouer avec cette méthode vous garantie de beau résultats avec une évidence finale inévitable. Évidence que je laisserai le soin aux personnes qui pompent à droite et à gauche des données sans même les comprendre et qui les resservent sans même les réchauffer En simple et pour faire court... Pour développer se référer au tome 1 de Sprung sur la section traitant de la filtration. Dangereux car interférant avec l'action de l'écumeur. Un peu comme mettre un ecumeur sur un Jaubert ou un DSB. les actions se neutralisant en partie, l'écumeur ne fonctionne pas à sa pleine capacité et les BP non plus (je passe sur l'apport en carbone en "mono source"). Rajoutons la dessus une migration des populations bactériennes vers les BP, le risque est de se retrouver avec des PVS insuffisamment colonisées encore que cela ne soit pas tout a fait le terme mais en gros un peu comme dans la methode Zeovit. le résultat. Si une pollution massive apparait comme une ponte de bénitier et/ou de fungia (je passe sur les autres causes ou le résultats sera identique) Le bac ne sera plus en mesure de faire face. Dans un tel conteste l’écumeur ne sert plus a rien (car l’écume s'effondre) le bac tournant de manière carencée avec un déficit en azote et ou en PO4 une derrive immédiate se produira entrainant une poussée d'ammonium qui suivant le PH virera direct en ammoniaque. Le bac entamera alors une phase de démarrage ce qui sur bac peuplé est loin d'être la panacée. Les BP doivent être vus non pas comme une méthode de maintenance et encore moins comme une solution à un bac mal installé mais simplement comme pour la méthode zéovit, une avancé vers une oligotrophie poussée... Donc autant dire que cela s'adresse à des aquariophiles ayant déjà une certaine maitrise de leur bac et de leur installation et en aucun cas à des aquariophiles rêvant d'avoir des coraux pastel alors que leurs taux de NO3 et PO4 sont juste limite à la maintenance des animaux...on rentre ici dans le monde du commerce...de belles photos, de beaux produit miracles et surtout oublier les bases qui sont si fondamentales. Bon je m’arrêterais ici car sur ce sujet, il y a tellement à dire que je voudrais point vous ennuyer.
  9. tout à fait et pour c'est pour ceci que j'ai travaillé à l’élaboration d'un protocole ... Balancer ceci n'importe comment c'est comme dans la méthode Papone originale amener son bac doucement au crash....crash qui intervient en général entre 20 et 26 mois. Mon bac tourne sous ce protocole depuis maintenant 6 ans. Concernant la recette donnée dans l'article je la connais parfaitement car c'est la mienne cependant attention certains ingrédients doivent être dosés précisément. Sans ceci mieux vaut ne pas les mettre.
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