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Tout ce qui a été posté par diadophis1
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Besoin d'aide, Identification serpent inconnu !!!
diadophis1 a répondu à un(e) sujet de LD501 dans Colubridés et Autres Serpents/Colubrids and Other Snakes
C'est pas vraiment une bonne idée d'avoir immergé ce serpent... Tu devrais aller leur dire d'arrêter ça... C'est pas un achrochorde, c'est pas aquatique, par conséquent le serpent devrait pouvoir choisir s'il veut ou non aller prendre un bain... et pour les poissons rouges, s'ils pensent que c'est ce que ça mange, il sont en dehors de la track solide... Je le sais pas s'il va vivre longtemps ce boa, gardé dans des conditions de même !!! -
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sauf que la destruction de son habitat est un problème qui cause beaucoup plus de mortalité dans les régions où l'espèce est présente que le réchauffement climatique. même que daprès moi ( et c'est seulement daprès moi) le réchauffement climatique à très peu, voir pas d'impacte à cours terme. meme que ca fait deux fois ces dernières années que l'hiver est plutot *facil à vivre*. C'est exactement ce que je me dis Phil aussi, et pour la couleuvre brune c'est pas difficile à faire comme observation; tu peux avoir un spot aujourd'hui et dans 2 ans Beubye !!! Par contre les changements climatiques peuvent avoir des effets néfastes à cours terme en matière d'hibernation, je m'explique; on peut assister à un dégel rapide (comme cette année), ensuite aux émergences, mais s'il y a une période de gel intense et/ou prolongée, subite et sans neige, il est fort à parier que certains secteurs peuvent essuyer un taux de mortalité plus élever...
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Du nouveau...
diadophis1 a répondu à un(e) sujet de Nir dans Colubridés et Autres Serpents/Colubrids and Other Snakes
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HUMOUR REPTILIEN no 21 (légende urbaine...)
diadophis1 a répondu à un(e) sujet de Marc Dubois dans Discussion Générale Reptiles/General Reptiles Discussion
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L'expo de Saint-Jean 2010, la date est officielle!!!!
diadophis1 a répondu à un(e) sujet de bistrobob85111 dans Discussion Générale Reptiles/General Reptiles Discussion
Fais donc un truc PacO; ARRÊTE de te justifier tout le temps et prends ton énergie à trouver une solution et accepter tes torts.... y'a ben du monde qui ont essayer de t'aider, mais ça d'lair que tu radottes tous le temps la même histoire. Regarde bien, on en a tous commis des erreurs dans la vie et/ou avec les reptiles, moi le premier, mais faut que tu assumes et arrêter de tous cacher à tout le monde et si ça se trouve de compter des menteries Parce que là tout ce que tu fais c'est te caler encore plus à chaque ligne que t'écris... !!!! Regarde, c'est plate à dire, mais si tu as peur que ton père foutte ton (tes) serpent dehors et qu'il meurt, ben VEND-Le simonac !!!! Il a une section sur le forum, sinon ta Kijiji et aussi tu peux aller voir une animalerie.... Me semble que c'est pas compliqué comme solution !!! Je comprend que tu les aimes et tu aimes ça avoir des serpents, mais désolé de t'envoyer ça direct, tu as suffisament démontrer que par moment, tu pouvais faire preuve d'irresponsabilité... rajoutes-en pas svp !!! Regarde, si tu veux que les gens continue de t'aider et tu veux acquérir une expérience pertinente, met-toi pas le monde à dos !!! C'est tout ce que je peux te dire. À toi de méditer sérieusement sur la question !!! -
Merci de les avoir relâcher et au fait, est-ce qu'il y a une raison particulière pourquoi tu voulais les peser, travailles-tu sur un projet en particulier ??? Désolé de te contredire, mais la couleuvre brune n'est pas la plus rare au Québec parce qu'elle est petite, mais parce que son aire de distribution provinciale est à la limite septentrionale de l'aire globale de l'espèce. Lorsque tu combines ça au fait que tu la trouve strictement dans la grande région métropolitaine, eh bien tu n'as pas la recette du succès pour une espèce. Les habitats disparaissent à vue d'oeil et la majorité des populations actuelles sont isolées et n'ont plus de contact entre elle (Ouellette et Rodrigue, 2006)... La grosseur n'a strictement rien à voir avec la rareté, prend la couleuvre à ventre rouge, encore plus petite que la brune et c'est la deuxième la plus commune de la province.... Également, le nombre de spécimen que tu observes dans un spot n'a rien à voir non plus avec la raretée; de ce fait, la couleuvre à collier est la troisième espèce de couleuvre la plus commune, pourtant elle est rarement observée et vice-versa, j'ai un record perso de 52 brunes dans un après-midi et ça reste pourtant l'espèce de couleuvre qui est la plus susceptible de disparaitre à court et moyen terme si aucune action n'est entreprise pour sauver les localités restantes. En 16 ans, j'ai vu beaucoup plus d'habitat de brune se faire détruire que d'habitat de couleuvre à collier.... Je te post ici un lien d'un vieux post que j'ai fait sur la couleuvre brune; http://www.repticlic.com/herping-nature-f11/infos-et-details-sur-l-ecologie-de-la-couleuvre-brune-t2662.htm
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J'ai décider de faire ce post concernant les photos que tu as montré sur le post suivant: http://www.repticlic.com/herping-nature-f11/une-belle-decouverte-t12552.htm Également si j'écris ça publiquement, c'est aussi dans le but de renseigner des gens qui voudrait en faire de même et je ne tiens pas à ce que ça passe dans le beurre. Prend le pas personnel, c'est pas méchant, c'est uniquement dans le but de renseigner !!! Mr Neo, voici toutes les raisons du pourquoi tu devrais relâcher (et ne plus en capturer) tes spécimens !!! 1-La couleuvre brune est l'espèce la plus rare au Québec, les effectifs diminuent d'année en année. En gardant ces spécimens, tu contribues à ta façon à la disparition de l'espèce. 2-Il est strictement interdit de posséder cette espèce (comme la plupart des espèces québécoises finalement); en t'affichant publiquement, tu t'exposes et n'importe qui peut porter une plainte, tu pourrais également être passible d'une amende. 3-Il est important, à ce temps-ci de l'année, que les couleuvres puissent se reproduire; en gardant ces couleuvres chez toi, il est possible que le spécimen adulte ne puisse pas se reproduire et par conséquent cela peut également avoir des conséquences pour des populations. 4- Beaucoup de spécimens capturés en nature peuvent refuser de manger et/ou être porteur de parasites et/ou être extrêmement stressé et/ou finir par mourir. 5- En montrant des photos en captivité, tu peux créer l'effet ''Si lui il en garde une, alors moi aussi je peux'' et par conséquent, causer des torts aux population restantes de couleuvres. Je ne sais pas si tu as agis en étant inconscient des lois et du statut de l'espèce ou si tu as volontairement et délibérément capturé ces couleuvres, mais il serait très bien que tu les relâches exactement au même endroit et le plus rapidement possible. À toi de voir qu'est-ce qui est le plus important; ton bonheur personnel ou le bien de l'animal et de l'espèce !!!
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Marc, Manu, ses enfants et moi-même (pas Luc), sommes parti faire une tournée de certains spots en Estrie. À la base nous sommes allés voir un premier secteur dans le but de trouver quelques couleuvres (et hibernacles), mais ce fût un peu décevant car ces dernières brillaient par leur absence. Donc, on se retrouve dans un autre site dans le but d’observer des tortues. Par le fait même, ça faisait longtemps que je voulais aller jeter un œil dans ce spot là, mais ça n’avait pas encore adonné. Et bien, on a été servi; en tout plus d’une 50 aine de tortues peintes, 1 grenouille verte, quelques grenouilles léopards et 2 salamandres cendrées. Également on a pu entendre une rainette crucifère. Je n’avais pas encore observé une telle densité de tortues dans une même localité. Nous avons regardé pour les couleuvres et salamandres maculées, mais encore une fois, on a eu moins de chance de ce côté là. Peu importe, des recherches ultérieures dans ce secteur pourront sûrement nous donner des résultats intéressants. En tout cas, ce fût une très belle journée et sérieux… ça fait du bien de revoir de l’herpéto après une couple de mois d’absence Je dois me racheter une caméra, donc toutes les photos ont été prises par Manu Ps pour Manu; Est-ce que tes enfants ont bien dormi dans la soirée ??? Quelques photos et vidéo de tortues peintes Voici la seule chose filiforme que nous avons trouvé; une couleuvre rouillée (Thamnophis oxidus mufflerensis) Le Manu arboricole (Dendrohomo sapiens manuensis) en train d’évoluer dans un arbre Le Patrice d’Amérique (Patricius diadophis americanus) en train de se chauffer au soleil dans son habitat estival Le Marc Dubois d’Estrie (Herpetologisticus duboisii sherbrookeiensis) en train de raconter des histoires de pêche à la progéniture du Manu arboricole. Et finalement, une vieille photo perso pour Manu; on s’organisera pour en voir un de ces 4
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MELANGE D ESPECES
diadophis1 a répondu à un(e) sujet de REMIDS dans Discussion Générale Reptiles/General Reptiles Discussion
Je vais y aller avec la famille; je te confirme qu'il n'est pas conseiller de mettre des espèces ensembles et même parfois, plusieurs spécimens de la même espèce pour des risques de transmission de pathogènes, l'ophiophagie volontaire ou involontaire e.t.c. Également, certains animaux peuvent devenir stresser s'il y a plus d'un spécimens sur le ''même territoire''. Personnellement, ça m'est arrivé avec des African house snakes il y a de ça plusieurs années, mon mâle avait subitement arrêter de manger quand je l'ai mis avec la femelle dans le même terrarium (et l'accouplement n'a pas rapport car les 2 étaient trop jeunes). Quand je l'ai séparé, il s'est remit à manger comme un cochon ! Je comprend ce que tu veux faire, mais il est possible que cela ait des conséquences et de ce fait, perso je ne le recommande pas. -
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Poissons d'avril ou vrai ???
diadophis1 a répondu à un(e) sujet de Laurent4211 dans Discussions Générale 'NON' Reptiles/'NON' Reptiles General Discussions
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cool expo ..merci
diadophis1 a répondu à un(e) sujet de Patt1 dans Discussion Générale Reptiles/General Reptiles Discussion
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Feisty Little Hatchlings!!
diadophis1 a répondu à un(e) sujet de deadvenom-x dans Colubridés et Autres Serpents/Colubrids and Other Snakes
Pour la question légale, officiellement, tous les serpents venimeux ne sont pas permis, mais officieusement, beaucoup de colubridés opisthoglyphes, opisthodontes ou whatever entre les 2 (il existe 4 ou 5 sorte de dentition opisthoglyphes) sont ''toléré'' probablement en dépit du manque de connaissance des agents de la faune et/ou l'absence de plainte et/ou l'absence d'incident !!! De récentes études ont démontrés que presque tous les colubridés possèdent des glandes à venin cependant, le système d'injection, très primitif et très peu élaboré chez les aglyphes, fait en sorte qu'il n'y a pas d'envenimmations sérieuses dans la majorité des cas. Dans le cas du faux-cobra aquatique il a des crochets à l'arrière de la gueule et est capable d'envenimer une morsure; Dans ce que j'ai pu retracer, les symptômes suivant ont déjà été enregistrés: oedème, douleurs au site de la morsure, sensation de picottement du membre mordu, maux de tête, nausée et saignements. En dépit de la taille que l'animal peut atteindre et de la méconnaissance à l'égard de son venin, il est préférable de laisser ce serpent aux gens avec de l'expérience.... ou de s'en passer, comme ça on évite d'être le ''premier cas'' de morsure sérieuse.... -
Feisty Little Hatchlings!!
diadophis1 a répondu à un(e) sujet de deadvenom-x dans Colubridés et Autres Serpents/Colubrids and Other Snakes
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Bonne nouvelle dans le monde des crotales !!!
diadophis1 a répondu à un(e) sujet de Marc Dubois dans Colubridés et Autres Serpents/Colubrids and Other Snakes
Wow, wow wow et re-wow !!!! Merci Marc d'avoir partager ce document que je qualifie de très précieux !!! Je peux te dire que quand j'ai eu ma passe Crotalus, cette espèce là m'en a donné des cheveux blancs (la seule photo connue était celle de l'holotype préservé (image D) et il faut dire que le spécimen est pas mal décoloré !!! Je dois dire que je suis particulièrement frappé par la ressemblance avec ses homologues ericsmithii et stejnegeri au niveau des patrons et de la coloration. Dans le cas ici, je ne pense pas que l'homme soit en partie responsable de la rareté de ce crotale, même si ce que tu dis est vrai dans bon nombre de cas. Il y a des espèces qui sont naturellement rares en dépit de divers facteurs; habitats spécifiques, alimentation spécifique, peut-être même l'évolution e.t.c. Ce qui est sûr, c'est que si l'homme met les pieds dans les habitats, c'est clair que ça pourrait nuir............. Cependant (et je le dis avec un C majuscule), comme il a été spécifié dans le texte, l'une des localités se situe à 50 km de celle de l'holotype, ce qui peut laisser présager qu'il y ait d'autres populations. Également (toujours selon le texte), le fait que le terrain peut devenir impraticable et/ou le fait que l'habitat entre dans l'aire de production de drogues sont d'autres facteurs qui peuvent entrer sérieusement dans l'équation. S'il s'agit d'une espèce discrète en plus, alors là vous avez tous les ingrédients dans la recette de rareté. Je ne pense pas que cette espèce fasse l'objet d'un tel programme et 2 raisons me laisse le croire; premièrement les données écologiques sont peu nombreuses et par conséquent on peut qualifier cette espèce de rare parce que l'échantillonage est faible et non parce qu'il a été démontrer que les effectifs sont en baisse. Ce crotale est peut-être plus commun que l'on pense.... 2ème raison, il faut être prudent avec la réintroduction cela peut parfois avoir plus d'effet néfaste que de bienfaits. En tout cas, super bon post et merci encore Marc, ce pdf va enrichir merveilleusement ma collection ! -
Des taxonomistes australiens controversés.... (texte long)
diadophis1 a répondu à un(e) sujet de diadophis1 dans Discussion Générale Reptiles/General Reptiles Discussion
Très bon point Mathieu ! D'ailleurs c'est drôle que tu parles de ça car en écrivant ce texte, je suis tombé sur un forum australien dans lequel on peut lire un débat entre Richard Wells (et ses amis) et divers herpétologistes; il fait référence à ce cas entre autre chose (j'ai également mis la main sur un pdf, de 2002 si je ne m'abuse, sur les tortues) Ce qui ce passe c'est que selon l'ICZN, le premier nom qui a été donné et accepté pour une espèce à priorité sur tous les autres. Cependant, beaucoup de noms proposés par Wells et Wellington ont été classé Nomen nudum, c'est-à-dire qu'il ne sont pas acceptés en dépit du fait qu'une ou plusieurs règles du code n'ont pas été respectées (dans le cas de Wells, c'est probablement à cause qu'il a échoué à décrire convenablement l'espèce). Par conséquent, si ultérieurement, des recherches plus sérieuse menés par un autre chercheur démontre la validité de l'espèce, et bien, cet autre chercheur en question peut nommer son espèce comme bon lui semble. Bien entendu, Wells et Wellington vont le traiter de voleur et de fraudeur de propriété intellectuelle, mais à la base, c'est de leur faute puisque c'était à eux et eux seuls de prouver hors de tout doute la validité de leur nouveau taxon. Notez que Hoser est exactement dans la même position; il accuse plein de chercheur de lui voler ses recherches, mais il n'est jamais en mesure de valider scientifiquement ses travaux donc..... Exactement ce que je me dis aussi !!! Ou bien ils en prendront un vrai venimeux dans leur main ou encore, il voudront peut-être les déglandés pour les avoir chez eux comme de gentils petits serpents de compagnie. Il y a des jours, quand je ''feel'' méchant, que je me dis que que mère nature pourrait faire sa job (genre une intervention chirurgicale mal faite et le serpent qui mord Hoser est encore venimeux ou des glandes qui repoussent.... Peut-être qu'après avoir gouter à la ''médecine taïpanaise ou deathaderienne'' Hoser ferait moins le clown avec les venimeux.... ps: une vidéo sur Youtube tournée par le Kentucky reptiles zoo nous montre le ''milking'' de 3 cobras déglandés; 2 d'entres eux ont produit du venin............... -
Par les temps qui courent, la taxonomie des amphibiens et reptiles est très variable en dépit de plusieurs facteurs; entre autre, de nouvelles méthodes telles des tests d’ADN mitochondrial ainsi qu’un nombre plus élevé d’herpétogistes qui travaillent sur la classification des espèces. Malgré qu’il y ait eu plusieurs changements de nomenclature chez les pythons, j’attire principalement votre attention sur le python de Birmanie, le groupe du python réticulé ainsi qu’une ‘’introduction’’ aux changements apportés dans le genre Leiopython. J’ai pu récemment lire des documents très intéressants sur la classification de ces pythons et je vous fais part ici de ce que j’ai pu lire. Le python de Birmanie Récemment, le python de Birmanie a été élevé (pour la 2ème fois) au rang d’espèce (Kuhl 1820) (Jacobs, Aulyia et Böhme 2009) et s’appelle donc Python bivittatus (anciennement Python molurus bivittatus, une sous-espèce du python indien). Également, les seconds auteurs mentionnés ci-dessus ont nommé une sous-espèce insulaire, Python bivittatus progschai. La différence entre les 2 espèces réside dans la coloration ainsi que l’écaillure; Chez le python indien, la coloration est généralement plus claire que son homologue de Birmanie (quoique ce critère ne soit pas une différence ‘’officielle’’), le patron en forme de pointe de lance sur le dessus de la tête s’estompe au niveau de l’œil ou avant et ce dernier est en contact avec une écaille labiale. Chez le python de Birmanie, l’œil est séparé des labiales supérieures par un rang circulaire de petites écailles. Le motif en pointe de lance est généralement continu jusqu’au bout du museau ou du moins, dépasse la hauteur de l’œil. En ce qui concerne Python bivittatus progschai, il s’agit d’une forme naine et insulaire habitant Sulawesi et dont la taille maximale connue est de 240 cm. Les auteurs ont noté que le nombre d’œufs pondu est 1/3 ou moins inférieur au nombre pondu par la sous-espèce nominale. Également, les juvéniles semblent définitivement plus petit par rapport à ceux de Python b. bivittatus. Notons qu’il semble y avoir des différences au niveau des taches (coloration, disposition et nombre) cependant, ce n’est pas tout à fait clair dans l’étude, probablement dû au fait qu’elle est encore en cours et que l’échantillonnage de spécimens est trop faible. Photo 1 : Notez l’écaille labiale supérieure qui touche à l’œil chez Python molurus (source de la photo : Frankief, reptileforums.co.uk) Photo 2 : Les écailles labiales ne touchent pas à l’œil chez Python bivittatus (source de la photo : kewlwallpapers.com) Photo 3 et 4 : Notez la tache en pointe de flèche sur le dessus de la tête; Chez Python molurus (3) elle s’estompe à la hauteur de l’œil ou avant et chez Python bivittatus (4) elle dépasse l’œil et peu se rendre jusqu’au bout du museau (probablement en dépit de l’âge de l’animal) (source des photos : (3) Shyamal Wynaad et (4) Jan Ševčík) Voici le lien de l’article (il est en allemand, mais vous retrouverai un résumé à la fin du texte.) http://www.cnah.org/pdf_files/1436.pdf Le python réticulé et le python du Timor dans un nouveau genre ; Broghammerus Afin d’alléger le texte concernant des spécifications sur l’auteur Raymond Hoser et ‘’sa taxonomie’’ (ici Broghammerus et Leiopython), je vous invite à lire le post suivant : http://www.repticlic.com/discussion-generale-reptiles-general-reptiles-discussion-f6/des-taxonomistes-australiens-controverses-texte-long-t12201.htm Des différences morphologiques ont amené Hoser à créer le genre Broghammerus pour l’espèce reticulatus et plus tard Rawling et al. (2008) ont homologué l’espèce timoriensis . Des études génétiques ultérieures menées par Rawling et al 2008 ont également démontrées que le python réticulé et du Timor se distinguent du genre Python, cependant il faudrait les considérés comme des genres génétiquement très proches. Hoser spécifie que le genre Broghammerus (pour reticulatus seulement puisque timoriensis n’était pas homologué dans le genre Broghammerus en 2003-2004) possède 4 fossettes thermiques sur les labiales supérieures comparé à 2 pour Python bivittatus, molurus et sebae). Il note également que la couleur de l’iris orange ou rouge est un critère de distinction. Outre cela il parle également qu’il y a une ligne foncée généralement bordé d’écailles claires sur le dessus de la tête, qui différencie ce genre du genre Python ; en l’occurrence, on n’a pas besoins de chercher bien loin sur Google image pour se rendre compte que le groupe des ‘’blood’’ (Python breitensteini, brongersmai et curtus) peuvent également posséder cette ligne foncée sur le dessus de la tête. D’autres détails morphologique entre en ligne de compte (Selon McDowell 1975 et/ou Kluge 1993) pour le genre Broghammerus : Absence de toute marque foncée sous l’œil et entre ce dernier et le museau, différence morphologique de certains os du crâne et de la forme des hémipénis, ainsi que la forme et disposition des fossettes thermosensibles. Dans ce cas-ci, on a clairement l’impression que Hoser a été beaucoup plus influencé par les écrits de McDowell, que par des recherches et investigation venant de sa part (même s’il a tout de même investigué un peu), dans la désignation du genre Broghammerus. Mais comme il semble être le premier à avoir proposé un nom, celui-ci a priorité sur tous les autres noms de genre qui pourraient être proposé ultérieurement à la date de parution de son article (selon le code de l’International Commission on Zoological Nomenclature ou ICZN si vous préférez). Par soucis de transparence, je vous donne le lien pour l’article de Hoser, MAIS JE VOUS AVERTI TRÈS CLAIREMENT : Beaucoup d’information provenant de cet auteur et de cet article NE SONT PAS VALIDES ET NE SONT PAS ACCEPTÉES DANS LA COMMUNAUTÉ SCIENTIFIQUE EN GÉNÉRAL !!!!!!!!!!!!! Donc cala signifie en bon québécois : prenez pas tout ce qui est écrit pour du Cash !!!!! http://www.smuggled.com/pytrev2.htm Le genre Leiopython À ma grande surprise, j’ai pu constater qu’il y a eu des changements taxonomiques majeurs dans le genre Leiopython (ou White-lipped python, si vous préférez) a) Le python d’Albertis (et non d’Albert, comme on peu parfois le voir dans la littérature) a été homologué par Rawling et al (2008) dans le genre Bothrochilus et passe donc de Leiopython albertisii à Bothrochilus albertisii. Reste à savoir si cette homologation est acceptée dans l’ensemble de la communauté herpétologique ou si elle est sujette à changement. Notez que je ne peux vous donner plus de détails en dépit du fait que l’article complet de Rawlings et al (2008) n’est pas actuellement disponible gratuitement. b) 5 espèces sont maintenant incluses dans le genre Leiopython. Il s’agit de Leiopython bennettorum (Hoser 2000), biakensis (Schleip 2008), fredparkeri (Hoser 2000), hoserae (Hoser 2000) et huonensis (Schleip 2008). Toutes les espèces sont originaires de Papouasie Nouvelle-Guinée (incluant la partie indonésienne) et/ou les îles avoisinantes. La principale façon de distinguer les espèces demeure l’observation de détails sur la tête (forme et/ou nombre et/ou disposition de telles ou telles écailles, présence ou non d’une petite marque claire derrière l’œil, sur les écailles postoculaires). Compte tenu de l’homologation de Leiopython albertisii dans le genre Bothrochilus et de l’apparente similitude physique entre les espèces, il est possible qu’il y ait d’autres changements taxonomiques dans un futur rapproché chez ce genre de python. Voici un lien sur l’article complet de Wulf Schleip sur le genre Leiopython et les 5 espèces incluant des cartes de répartition et les critères diagnostiques. http://leiopython.de/en/infos/2008Schleip_Revision_of_the_genus_Leiopython.pdf Bon, eh bien je m’arrête là pour aujourd’hui !!!
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Suite à mon post sur les changements de nomenclature des pythons, j’ai eu l’idée de faire celui-ci, car l’un des auteurs qui a décrit des genres, espèces et sous-espèces est concernées. Dans ce texte, je tenais à vous faire part de certains aspect de la taxonomie, mais également de 3 taxonomistes et herpétologistes qui sèment (ou on semé) la controverse en matière de nomenclature. Bien entendue, il existe une multitude d’autres herpétologistes ayant été impliqué dans de tel actes de ‘’vandalisme taxonomique’’ dans l’histoire, mais ceux présenté ici sont particulièrement notoires. Autant, certains faits demeurent cocasses, d’autres pourraient être placé dans la catégorie ‘’catastrophe scientifique’’. Je vais diviser le texte en 3 chapitre qui seront les suivants; 1) la taxonomie simplifiée 2) Wells et Wellington et le dernier et non le moindre, (3) Hoser. Chapitre 1 : La taxonomie simplifiée La taxonomie ou taxinomie est la science qui classifie les êtres vivants et qui a été instaurée par Carl Von Linné (mieux connu sous le nom de Linnaeus) en 1735 avec son manuscrit Systema naturae. Dans le texte ici je ne parlerai que des derniers échelons du classement qui sont le genre, le sous-genre (quand il a lieu), les espèces et les sous-espèces. Le genre est composé du premier mot dans un nom scientifique. Il peut regrouper 1 seule espèce, mais également plusieurs dizaines, dépendamment des cas. Des études morphologiques et génétiques des espèces peuvent démontrer la validité et la légitimité d’un genre ou encore, à l’inverse, le disqualifier et/ou le diviser en plusieurs autres genres (ex : Les genres Elaphe et Trimeresurus ont été divisés de manière considérable). Les sous-genres sont plus rarement employés et leur nom est généralement écrit entre parenthèse entre celui du genre et de l’espèce. Plusieurs sous-genres peuvent être appelés à devenir des taxons à part entière (Comme ce fut le cas avec Montivipera dernièrement). En gros, on parle ici d’une division qui a été suggérée à l’intérieur d’un genre sans toutefois le diviser officiellement et en dépit de caractères morphologiques et/ou géographiques et/ou génétiques (ex : Naja; (Afronaja)(Boulengerina)(Naja)(Uraeus) ). Les espèces (le deuxième mot dans le nom scientifique) possèdent généralement des caractéristiques communes qui les placent dans un genre tout en étant différentes les unes des autres. Les caractéristiques (physiques et/ou géographiques) peuvent être très évidentes ou au contraire, très discrètes, voir presqu’inexistante. La technologie génétique en herpétologie contemporaine aide cependant grandement certains chercheurs à valider des taxons. La sous-espèce (lorsqu’il y a lieu) est composé du 3ème mot dans le nom scientifique. Ce groupe taxonomique est probablement le plus contesté actuellement en herpétologie et dans plusieurs cas, la validité d’une ssp. dépend de l’auteur. De ce fait, nombre d’anciennes sous-espèces ont été élevées au rang d’espèce ou ont été abolies. On les reconnait généralement par des caractères morphologiques et/ou géographiques, cependant il y a un hic : Il existe parfois au sein d’une même espèce, des éléments physiques variables (entre autre des variations de couleurs) sans qu’il y ait pour autant de sous-espèce. Ici je fais une parenthèse sur l’étymologie (origine des noms); Le nom scientifique (genre, espèce, sous-espèce) est généralement dérivé du Latin ou du Grec (il y a des exceptions, par exemple des noms dérivé d’une langue autochtone comme ibiboboca) et est habituellement associé avec l’un des éléments suivants : caractéristique physique (ex : nigrocinctus (à bande noire), megalocephalus (à grosse tête)), l’endroit d’où il est endémique et/ou d’où l’holotype a été trouvé (ex : andamanensis (des îles Andaman), gabonica, gabonensis (du Gabon) e.t.c.) et finalement, il peut être nommé en l’honneur de quelqu’un qui a, le plus souvent, travaillé dans la discipline concernée (ex : schmidti, mertensi, slowinskii). Notez qu’il existe des règlements et critères sur la nomenclature, règlement que vous pouvez trouver sur la page de l’ICZN (International commission on zoological nomenclature) http://www.iczn.org/ Chapitre 2 : La révolution Wells et Wellington Il peut être compréhensible que de nombreux taxonomistes et systématiciens (professionnels et amateurs) se penchent sur la question des amphibiens et des reptiles (ainsi que beaucoup d’autres espèces animales et végétales) aux sud de la ligne de Wallace (frontière écologique entre l’Asie et l’Océanie) puisque des espèces uniques ayant évoluées dans une direction qui leur est propre s’y trouvent. Parmi eux se trouve Richard Wells et Cliff Ross Wellington. Notez que le manque d’information concernant l’histoire de ces auteurs fera en sorte que je mettrai l’emphase sur leurs travaux. En 1984 et 1985, Wells et Wellington ont publiés 3 documents qui portent sur la classification (ou reclassification) de nombreux taxons de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande. Résultat : des centaines de taxons ont été nommé, renommés ou encore, nous avons pu assister à la résurrection de certains qui avaient été préalablement placés comme synonyme d’un autre. Validité douteuse et source de biais du document Très peu (ou pas) de scientifique moderne (1980 à aujourd’hui) ont nommés autant de taxons que Wells et Wellington. En partant, un doute sérieux peut s’installer quand on pense au temps et au travail que ça prend pour faire la description d’une seule espèce. Alors imaginez un document sur la description de plusieurs centaines…. Lorsqu’une personne proclame avoir découvert une espèce, la communauté scientifique est en droit de savoir et d’avoir des détails. Or, dans Wells et Wellington 1984, 1985, très peu (parfois aucun) de détails sont donnés sur le nouveau genre ou nouvelle espèce. Également, la méthodologie ainsi que l’échantillonnage de spécimens (autant des spécimens du nouveau taxon que des spécimens de comparaison) ne sont pas disponible. Selon ce qui est écrit dans le document, nous pouvons aisément anticiper que cet échantillonnage est très faible, du moins dans plusieurs cas. Ils ont nommé un nouveau genre de lézard en l’honneur de …………………………… Darth Vader !!! Eh oui ! Vous avez bien lu ! Ils ont nommé ce genre de lézard de la famille des scincidae, Vaderscincus. Comme le diagnostic du genre enfreignait une loi de l’ICZN (la description était incomplète), ce genre n’a pas été retenu. Celui-ci demeure le plus comique, mais il y a une multitude de noms ridicules ou qui n’ont pas rapport avec le spécimen ou l’herpétologie, qui ont été proposés par ces auteurs. Pour une liste exhaustive de l’étymologie des noms proposés par Wells et Wellington je vous invite sur le site suivant : http://forums.kingsnake.com/view.php?id=976924,976924 Plus on tire au but, plus on risque d’en compter un. Je ne sais pas exactement quel est la raison exacte du pourquoi ces auteurs ont renommé pratiquement toute l’herpétofaune australienne. Ce qui sur, c’est qu’ils ont créé plus de confusion que de clarification. Malgré cela, certaines espèces décrites par Wells et Wellington sont légitimes et sont reconnues dans la communauté herpétologique (19 de reptiles, nombre d’amphibiens inconnu). Chapitre 3 : Bienvenue à HoserLand !!! De tous les systématiciens, Raymond T. Hoser pourrait gagner la médaille d’or dans la catégorie des herpétologistes les plus controversé ou être récipiendaire de l’oscar dans la catégorie ‘’pire taxonomiste de 1998 à aujourd’hui’’. Malgré que sa passion des reptiles remonte à très longtemps (du moins selon Richard Wells), il n’en reste pas moins que ce coloré personnage est controversé sur plusieurs points. Hoser est reconnu entre autre pour son implication contre la corruption de fonctionnaire, ses méthodes d’éducation et de traitement des animaux controversées, son auto-publicité stridente et bien sûr, sa taxonomie et nomenclature personnelle, singulière et distinctive. Smuggled.com : À ne pas regarder si vous êtes épileptique ! Raymond Hoser est probablement une personne qui aime être le centre d’intérêt, cependant, il y arrive par des méthodes que nous pourrions qualifié de provocantes. D’ailleurs, plusieurs pensent qu’il souffre de maladies mentales (troubles de la personnalité quelconques, il est obsessif-compulsif, paranoïaque etc.). Son premier site, smuggled.com est un mélange de site traitant sur la corruption australienne et d’herpétologie… Ce site nous est présenté avec des couleurs voyantes, des icônes flashant et une auto-publicité criarde qui nous tape rapidement sur les nerfs. En fait si vous ne lisez pas l’anglais et tomber sur ce site, vous croirez probablement être tombé sur le site d’une association de clowns psychédéliques !!! Ah oui j’oubliais, prenez vos pilules contre l’épilepsie si vous en faite, vous risquez d’avoir une crise en regardant ce site !!! Sur les traces de Wells et Wellington Dans les travaux de Hoser, nous remarquons certaines similitudes avec les travaux de Wells et Wellington, c’est-à-dire; beaucoup de nouveaux taxons, mais des détails et des preuves qui sont gardées aux minimum dans le texte, et ça, c’est quand il y en a ! Également, les noms donnés par Hoser sont généralement en l’honneur de sa famille, animaux de compagnie, amis et autres herpétologistes moins connus ou contestés. Voici des exemples; Lenhoserae en l’honneur de son père, Morelia viridis shireenhoserae en l’honneur de sa femme, Leiopython hoserae, Acanthophis wellsi en l’honneur de Richard Wells et la liste est longue comme ça. Ironiquement, Hoser étant contre la contrebande d’animaux, a nommé un sous-genre de crotale Crutchfieldus (en l’honneur de Tom Crutchfield). Ce dernier a été reconnu coupable devant un tribunal de traffic et d’importation d’espèces menacées (Iguane à bandes des fidjis). Des tests d’ADN qui sont comme des ovnis; on en entend parler mais on en voit jamais ! Dans la plupart des papiers écrits par Hoser (ou du moins les récents), il est spécifié que son nouveau taxon se distingue des autres par des analyses d’ADN mitochondrial. Or, aucune trace de ces fameuses analyses ne figure dans ses travaux. Pire que ça, l’échantillonnage pour nommer un nouveau taxon est généralement très faible et dans plusieurs cas, Hoser n’a même pas vu le spécimen en personne, mais dans une publication (ex : Hoser à décrit le genre et la nouvelle espèce Pailsus pailsei (Pseudechis pailsei) en 1998 à partir de 2 spécimens seulement. Cette espèce est présentement acceptée, mais pourrait être homologuée avec Pseudechis australis. Le Australasian journal of herpetology À défaut de voir ses travaux publiés dans des revues scientifiques reconnues, Raymond Hoser à lancer le Australasian Journal of Herpetology (à ne pas confondre avec le Australian journal of herpetology) et il y publie ses travaux. Ce qui est drôle, c’est que Hoser est le seul créateur, éditeur, auteur et responsable de la révision de ce journal. Encore plus marrant, c’est que ça peut lui prendre plus de 2 semaines pour ‘’accepter’’ ses propres travaux ! Les ‘’Truth Haters’’ Si vous n’êtes pas d’accord avec la taxonomie d’Hoser, alors il vous traitera probablement de Truth Hater (à la base sont David Williams, Wolfgang Wüster et Mark O’shea) !!! Hoser est rendu un spécialiste dans le domaine du propos cinglants à l’égard d’autres herpétologistes, fort probablement parce qu’il n’accepte pas la critique et/ou n’est pas content que ses travaux ne soient pas acceptés dans la communauté en général. Selon moi, cet énoncé a atteint son paroxysme lorsque Hoser décerne une rubrique spéciale dans ses travaux pour parler contre les ‘’Truth Haters’’! Cependant, ce manque de professionnalisme flagrant ne fait que donner raison au gens qui le critique. Hoser, les pétitions et la justice Déjà à la base, Hoser (avant ses papiers sur l’herpétologie) était controversé. Il a été emprisonné après s’être parjuré et avoir fait de fausses accusations dans un dossier de corruption. Dans un autre ordre d’idée, Hoser possède une compagnie ‘’Snakebusters’’, qui propose divers services entre autre, des ‘’shows’’ de reptiles pour des évènements tels des anniversaires d’enfants, des partys quelconques etc. Hoser a fait chirurgicalement enlever les glandes à venin d’espèces très venimeuses (venomoids) et il a fait manipuler ces serpents ‘’qu’il qualifie’’ d’inoffensifs au public. Il est d’ailleurs possible de voir sur le net des enfants tenant en main une ribambelle de serpents tels des taïpans, serpents tigres, serpent bruns de l’est, serpent noir de Collett etc. J’ai été horrifié de voir qu’il allait même jusqu’à se faire mordre devant le public pour démontrer que ses animaux ne ‘’représentaient pas de risque’’ et que sa compagnie est la seule qui est dénuée de tout risque. La communauté scientifique a placé une pétition en ligne contre les agissements d’Hoser en matière de traitement des animaux et qualifie cet acte de barbare. Également, la cour à ordonnée à Hoser de ne plus faire manipuler quelques serpents venimeux que ce soit, avec ou sans glandes à venin. Éventuellement, des actions pourraient être prises pour mettre de la pression sur l’ICZN pour qu’elle renforce ses règlements et critères d’admission dans le but d’éviter que des individus comme Wells ou Hoser puissent publier ‘’n’importe quoi’’ et ainsi, contribuer à la stabilité de la nomenclature. En espérant ne pas vous avoir endormi avec mon roman Bonne fin de journée
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objectif d'observationpour cette été
diadophis1 a répondu à un(e) sujet de cadafi1 dans Herping-Nature
Salut Cadafi, Concernant ce que tu as écrits, je tiens à te spécifier ceci: Je suis de ceux qui pense que les plus belles découvertes sont celles que tu fais par toi-même et non celles qui résultes d'un spot qui t'as été montré par quelqu'un d'autre. Également, je ne sais pas si tu as déjà mis des efforts afin de trouver les espèces que tu as mentionnés, mais si la réponse est non, alors tu devrais !!! Je parle ici du travail de recherche, théorique et pratique, ensuite tu tentes de les mettres en application sur le terrain. En gros, ce que ça veut dire c'est que si tu me demandes un spot à couleuvre à collier maintenant, bah je risque de dire non, par contre, si ça fait 5 ans que tu la cherches comme un défoncé et que ça fait 5 ans que tu rentres bredouille, alors il me ferait plaisir de te donner un coup de main (tant et aussi longtemps que tu es une personnes sérieuse). Je le sais pas pour les autres, mais j'ai eu suffisament de mauvaises expériences par le passé pour être prudent sur le: ''à qui je montre des spots''. Donc en conclusion, si tu as besoin de conseils sur les habitats et certains aspect du mode de vie, je pense qu'il n'y a pas de problème, mais en ce qui concerne la mention de spots en particulier, je ne suis pas sur que beaucoup de gens vont te répondre. Je termine sur une note de conservation avec un exemple; tu parles de trouver de la couleuvre d'eau, cependant cette espèce est rendu rare comme de la ''marde de pape'' dans la grande région métropolitaine. Donc par conséquent, si tous le monde qui a le gout de voir des couleuvres d'eau se retrouvent dans ces spot à toutes les semaines, un moment donné, cette espèce risques de ne plus juste être rare comme de la m*rde de pape, elle risque de ne plus être présente du tout dans la grande région métropolitaine... Également, il existe plusieurs endroit où les espèces que tu désires voir sont présentes, mais ces endroits sont protégés et nécéssite un permis pour faire du hors sentier. Je ne sais pas quel est ton objectif, est-ce juste voir pour en voir, ou si tu désire faire des mentions ou encore un autre projet quelconque, cependant tu y trouveras plus de mérite en y mettant du tien, que d'aller dans un spot qu'un membre du forum t'as donné !!! Si tu as d'autres questions n'hésite pas !!! Patrice