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0 NeutralÀ propos de Aquadex
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Canadian reptile breeder expo
Aquadex a posté un sujet dans Discussion Générale Reptiles/General Reptiles Discussion
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Super Spécial
Aquadex a posté un sujet dans Vente/Sale Matériels/Merchandise Reptiles Débloqué à 30 post
Bonjour a tous J'ai eut la chance de tomber sur un super spécial de produits Tetra et Zoo Med et je vous offres tous d'en profiter avec moi. Les voici: Filtreur Tetra Wisper model 3i, 10i, 20i, les filtreurs Tetra Wisper peuvent fonctionner dans seulement 2 pouces d'eau, ils sont idéal pour tout terrarium ou paludariums voici les prix: 3i $11.00, 10i $12.50, 20i, $17.50 Clic ICI Zoo Med Repti Breeze 16 X 16 X 20: $46.00, 16 X 16 X 30 $56.00, 16 X 16 X 36 $67.00 et 16 X 16 X 48 $89.00 Clic ICI -
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Quelles espèces élèves-tu Quand j'étais plus jeune J'ai élever des Ambystoma maculatum des Ambystoma laterale et des Notophthalmus viridescens comme vous pouvez voire je tripe plus amphibiens que d'autres especes maitenant j'ai une chambre de 12 X 12 completement dédier pour mes Agalychnis calidryas, ma femme est tombé en amour avec leurs petits visages coquins. J'aimerais aussi éventuelement me lancer dans l'elevage de Dentrobates
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Bonjours a vous tous Oui Dedrolaval a raison il faut toujours utiliser une eau sans chlore, personnellement j'utilise de l'eau a O/I (osmose inversé) car elle contiens pratiquement aucun sel minéraux et/ou métaux lourds, l'eau traiter par osmose inversé ressemble beaucoup a l'eau qui est présente dans les milieux naturels des grenouilles en Amérique du sud ( THD très bas et pH entre 6.0 et 7.0 ), il est possible d'obtenir un 18 litres d'eau O/I chez tout bon marché comme IGA pour environ $4.00 du 18 litres. J'utilise aussi des micro filtre submersibles comme le Duetto de Marineland il est tres petit et abordable voici le liens: http://www.mops.ca/cgi-bin/SoftCart.exe/skus/cp/CPAS-DJ100.asp?L+scstore+sqvn0146ff074407+1249662926
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Bonjour a vous Vous avez partiellement raison, l'exposition des branches a cette température va (tuer) tout les organismes vivant mais la plupart des éléments toxiques de nature chimiques ( si ils sont présent ) ne seront pas détruits, il est toujours plus sécuritaire d'utiliser des produits concu pour etre utiliser en terrarium/vivarium
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Bonjour Marie Matos a raison du Polysporin est très efficace, au début j'utilisait du Polysporin en tube mais l'application sur la surface de la peau des amphibien étais très difficile, j'ai récemment trouver une version qui se pulvérise ca se nomme (Poly to go), du au fait que le Poly est distribué en (mist) elle tiens plus longtemps sur la peau des amphibiens. Voici le liens du Poly to go: http://www.polysporin.ca/fr/p-polytogo.asp
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vivarium pour dendrobates et mantellas
Aquadex a répondu à un(e) sujet de geckododu dans Amphibiens/Amphibians
une vaporisation automatique, nécessaire ou non et à quel prix?: Un système de vaporisation automatique comme les mist kings est fortement recommandés sinon ont devient un peut un esclave tu (misting) quotidien. ampoule fluo compact pour vivarium, es-ce que c'est de l'arnaque? Une ampoule fluo compact est utile pour le bon développement des dentros mais pas plus que la version 2.0 ne pas utiliser plus que du 2.0 sous aucun cas sinon ils vont avoir une surdose de UVA/UVB et leur peau vont brûlé cela est arriver a moi au début de gardes des amphibiens. cohabitation avec d'autre espèce ( ok je touche une corde sensible et je veux pas faire de drama ) mais je pensais faire cohabiter sa avec 4 hyperolius et un couple de Rhampholeon temporalis que je possède déjà, bonne ou mauvaise idée? Cela est possible sous certaines conditions pour les hyperolius car ils ont des besoins très similaires mais ce n'est pas recommandé sauf pour un expert pour les Rhampholeon temporalis car leur exigences ne sont pas aussi similaires, il est préférable d'avoir un vivarium d'espèces spécifique pour eux. -
Bonjour Matos voici de l'info sur les collemboles ( Springtails ) Les collemboles (Collembola) sont de petits invertébrés, souvent sauteurs, anciennement classés parmi les insectes. Ils forment aujourd'hui, en compagnie des protoures, un ordre au sein de la classe des aptérygotes, dans le sous-embranchement des hexapodes. Connus comme étant les plus anciens des hexapodes fossilisés, ils étaient déjà présents au Dévonien, il y a environ 400 Ma, donc bien avant les insectes. La plupart sont lucifuges et vivent dans les premiers centimètres du sol, à l'abri de la lumière directe (quelques espèces descendent jusqu'à 30 cm de profondeur). Ils jouent un rôle essentiel dans la dissémination et le contrôle de la microflore du sol et participent donc indirectement à la tranformation de la matière organique et au cycle des nutriments. Là où la matière en décomposition (feuilles mortes surtout) est abondante, en forêt par exemple, on en trouve en Europe de 50 000 à 400 000 individus par mètre carré[1]. On les trouve depuis les forêts tropicales humides aux limites des glaces polaires et jusqu'à la limite des glaciers en altitude. Certaines espèces vivent dans des fourmilières. En zone tempérée ils sont actifs en hiver (hors période de gel), au printemps et à l'automne. Ils ont longtemps été considérés comme des insectes primitifs mais ils sont aptères et amétaboles (c’est-à-dire dépourvus d'ailes et ne passant pas par une phase larvaire). On tend à les rapprocher aujourd'hui des crustacés : beaucoup d'espèces ressemblent à de petites crevettes et certains crustacés (talitres par exemple) sont également "sauteurs". Alimentation La plupart des espèces connues sont saprophages puisqu'elles se nourrissent principalement de végétaux en décomposition et de microorganismes présents au sein de la litière (champignons, bactéries, algues), mais certaines espèces sont phytophages et se nourissent du feuillage des plantes (Sminthurus viridis) ou de racines (Onychiuridae). Il existe aussi des espèces carnivores (genre Friesea) qui se nourissent de nématodes, de protozoaires et de rotifères. Leur activité de broûtage de champignons (hyphes et spores) est considérable[3][1]. Habitat Les collemboles peuplent les sols, mais également les rochers, troncs d'arbres et autres milieux en contact plus ou moins direct avec le sol, ainsi que les milieux humides tels que mares et tourbières. Il existe même une espèce marine vivant dans la zone intertidale, Anurida maritima[4]. Dans chaque type d'habitat on trouve un grand nombre d'espèces qui cohabitent, mais la composition spécifique varie en fonction de la profondeur (espèces épigées ou épiédaphiques, hémiédaphiques, endogées ou euédaphiques), de l'usage du sol et du type de végétation (forêts, landes, prairies, cultures), de l'humidité et de la lumière[5]. Les Collemboles sont grégaires et sont attirés par des substances excrétées par leurs congénères (phéromones)[6][2]. Certaines espèces (Hypogastruridae) peuvent pulluler et se déplacer en groupes compacts à la surface du sol ou sur une couverture neigeuse, où ils s'orientent grâce à la position du soleil[7]. Les capacités de dispersion de ces animaux varient fortement d'une espèce à l'autre et les modifications trop rapides des paysages peuvent avoir des conséquences néfastes sur les communautés en défavorisant les espèces les plus spécialisées et les moins mobiles[8][3]. Les communautés de collemboles sont sensibles au niveau d'acidité du sol (communément exprimé par le pH) et leur composition spécifique n'est pas la même selon que les sols sont acides ou non, avec un seuil à pH 5 environ[5][9][4]. D'après les quelques études sur la phylogénie des collemboles dont on dispose, il semble que les espèces les plus proches de l'origine des lignées évolutives seraient plus tolérantes vis-à-vis de l'acidité du sol[10]. Etant donnée l'ancienneté de ces animaux, déjà très diversifiés au Dévonien, il est possible que certaines espèces aient conservé des caractères ancestraux, hérités des conditions de vie ayant prévalu dans les milieux terrestres avant le Carbonifère.
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