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Dr.House-reptizoo

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Tout ce qui a été posté par Dr.House-reptizoo

  1. Entièrement de l'avis de Terminatal, sans connaitre la raison de la mort du poisson, je ne le donnerai pas aux tortues, certains diront "mais dans la nature certaines espèces sont charognardes", oui en effet, mais nous ne sommes pas dans la nature et la sélection naturelle n'as pas désigné nos animaux comme étant résistant à je ne sais quel trouble lié à l'ingestion d'une proie malade.
  2. si vous avez des techniques perso, d'hivernation d'espèce non présente dans cet article, n'hésitez pas à les poster dans ce post, après l'avoir corrigé et mis en page, j'inscrirai votre nom sur notre site d'info et d'élevage, qui ouvre très prochainement ses portes. Si vous n'êtes pas l'auteur de cette technique, merci de vous abstenir.
  3. Chez les Reptiles, il existe une interdépendance entre reproduction et température de l’environnement. L’ « hibernation » est un terme réservé aux mammifères qui entrent en hypothermie. Un reptile ectotherme ne peut pas entrer en hypothermie au sens strict. On parle donc plutôt d’hivernation (bien que les avis soient partagés), chez les animaux à sang froid. Il s’agit d’un état de torpeur et d’engourdissement lié à la diminution de la température extérieure pendant la saison froide. Notons que le terme d’hivernage se rapporte à la façon de passer l’hiver. L’hivernation n’est pas indispensable à la reproduction. Dans le milieu naturel, et selon leur répartition certains reptiles n’hivernent pas. Certains spécialistes vont même plus loin en affirmant que l’hivernation n’est en rien une obligation biologique mais plutôt une adaptation physiologique. Mais si certains spécimens ne s’accouplent pas, une hivernation suffit souvent à déclencher la reproduction. L’explication serait que l’hivernation en captivité pourrait contribuer à mettre en phase les cycles sexuels des reproducteurs. Crews a montré en 1976 (cité par Fertard, B., 1983) que seuls les mâles sexuellement actifs courtisent les femelles attractives. Les conditions de captivité pourraient déphaser les reproducteurs les uns par rapport aux autres et empêcher ainsi l’accouplement. Ce mécanisme pourrait aussi expliquer les « affinités préférentielles » de certains couples observées par les éleveurs. Les animaux qui « se préfèrent » pourraient être en fait ceux qui sont en phase. L’autre intérêt de l’hivernation est d’avoir des pontes toute l’année. La technique consiste à faire une rotation de groupes d’animaux à hiverner tout au long de l’année. Ainsi des femelles de l’élevage commencent leur saison de ponte chaque mois. Cette technique nécessite de bien contrôler la température et consomme beaucoup de chauffage en hiver. Mais elle est issue du Canada où l’électricité est gratuite. Si l’état général d’un animal est dégradé, l’hivernation est déconseillée. Il est conseillé de réaliser une coprologie avant toute hivernation. Chez les juvéniles, l’hivernation bloque transitoirement la croissance. Quelques exemples de techniques d'hivernation selon l'espèce : Pour faire hiverner le gecko léopard, l’éclairage est réduit à 8 à 12 heures par jour, voire complètement arrêté, et la température diurne est fixée à 10°C de moins que la température habituelle minimum, en général vers 18 à 20°C le jour et 12-16°C la nuit. Dans le milieu naturel, en hiver la température oscille entre 15°C le jour et 5°C la nuit. La diminution de température doit être progressive, de 1°C par semaine environ, ce qui permet à l’organisme des animaux de se préparer à l’hivernation. De même, la photopériode peut être diminuée graduellement d’une demi-heure par semaine pour passer de 14 heures de jour à seulement 8 heures (Antonini, O., 2007b). La distribution de nourriture est arrêtée une à deux semaines avant le début du repos complet. On conseille de donner un bain tiède quelques jours après le dernier repas pour vider les intestins, et de déparasiter les lézards. Un point d’eau est laissé à disposition pendant toute l’hivernation. Pour le Pogona vitticeps, certains éleveurs conseillent d’attendre l’âge d’un an avant la première hivernation. Mais des spécimens plus jeunes l’ont supporté (Haupschild, A., 2007). La période d’hivernation dure de 6 à 12 semaines selon les éleveurs. La durée du jour est ramenée à 9 heures en l’espace de 2 à 3 mois. La période précédent l’hivernation est organisée comme chez le gecko léopard. La température est fixée à 24 à 27°C le jour et 18 à 20°C la nuit. Pour plus de sécurité, on peut peser l’agame barbu régulièrement pendant l’hivernation. La perte de poids ne doit pas excéder 5% du poids initial. Dans le cas contraire, il est conseillé de stopper l’hivernation et remonter la température de 1 à 2°C tous les 2 jours. (Haupschild, A., 2007) Pour le Tiliqua scincoides l’hivernation s’effectue à une température de 12-14°C dans une cave, un sous-sol … (où la température reste stable). Cette fourchette de température semble optimale (Uverzagt 2000, Griffith), même si T. s. scincoides est très tolérant (limite minimale : 10°C, maximale 16°C sur de très courtes périodes). Cette période de léthargie dure un mois, il faut ajouter à cela 10-12 jours de jeun avant le début de la baisse des paramètres climatiques et une dizaine de jours pour la baisse de ces derniers, passant donc de 27-30°C à 12-14°C, et 8 heures de luminosité à la nullité. Vincent Noël, l’auteur de cette technique, commence à baisser le temps d’éclairage doucement un mois avant la chute des températures d’où les 8 heures mentionnées ici, car habituellement l’éclairage est allumé 12 heures par jour. Pour le Pantherophis guttatus, l’auteur de cette technique, Stéphane Rosselle, conseille de commencer par alimenter copieusement les sujets que l’on souhaite reproduire l’année suivante, d’Aout à fn octobre, au rythme d’un repas tous les 4 à 5 jours. Vers le moi de novembre, on stoppe toute alimentation pendant 3 à 4 semaines. À la fin de cette période de jeûne, les serpents seront baignés pendant une demi heure dans l’eau à 30°C afin qu’ils défèquent. Pendant l’hivernation, le tube digestifs des « Élaphes » doit être complètement vide. Après ce travail sur l’alimentation commence la modulation de la température et de l’éclairage. Abaissez la température de 2°C tous les 2 à 3 jours et la durée d’éclairage d’une heure tous les 2 à 3 jours et la durée d’éclairage d’une heure tous les 2 jours jusqu’à obtenir une nuit complète que vous maintiendrez pendant 2 mois à une température inférieure ou égale à 10°C. Pendant cette période, le bac d’eau doit être plus petit que d’habitude afin d’éviter que l’animal ne s’immerge et totalement et ne contracte de pneumonie. Ceci nous ramène à début mars, période à laquelle le retour à la normale est amorcé. Pour ce faire, augmentez progressivement la température de 2°C tous les 2 à 3 jours et la durée d’éclairage d’une heure jusqu’à la température optimale de 28 à 30°C et à la photopériode de 12 à 13 heures. en construction...
  4. Tout ca vous montre encore une fois que le contrôle de l'hivernation est très important, surtout quand elle se fait en frigo.
  5. Les séparer, pendant 15 jours puis ajouter le femelle dans le terrarium du mâle, s'il n'y a toujours pas d erésultat, ca sera pour l'année prochaine
  6. Pour commencer, je suis dsl de constater que ta question était restée sans réponse. Après une telle chute, il est possible que ton Phelsuma souffre de divers troubles neurologiques, provoquant une erreur d’orientation des micro-poils (setae) et empêchant ainsi l’adhérence de l’animal. Je ne pense pas qu’il y ai grand-chose à faire, si ce n’est attendre. Les reptiles étant dépourvus de sentiments, il est logique que ton mâle ne s'en fasse pas du tout. Si tu as d'autres questions, n'hésite pas.
  7. Comme vous le savez j’effectue constamment divers recherches concernant le Pogona vitticeps et c’est dans ce même cadre que je vous fais part de mes conclusions: Depuis toujours on peut lire dans tous les livres et site concernant le Pogona vitticeps que la température d’incubation est directement liée à la détermination du sexe des juvéniles et qu’une température élevée durant l’incubation donnera plutôt des mâles et inversement. Même si cela semble être le cas chez le Gecko léopard par exemple, ce n’est pas celui du Pogona vitticeps, en effet chez celui-ci, le sexe est génétiquement déterminé. La preuve en est qu’à une température basse ou élevée j’ai toujours obtenu 60% de femelles contre 40% de mâles. J‘ai effectué ces divers tests sur 5 pontes provenant de 5 femelles différentes pendant 2ans, aucune ambigüité n’est donc possible, en revanche je peux affirmer avec certitude que la température influe sur les couleurs des futurs juvéniles, en effet, les hautes températures donnent des couleurs plus vives, mais augmentent le risque de malformation des petits (Gérard, P. et al., 2001).
  8. Du calme les amis, on ne va pas se disputer pour une histoire de grillons lol. http://www.reptiles-zoo.com/alimentation-des-reptiles-amphibiens-et-arachnides-f68/varanus-exanthematicus-t4047.htm#64069
  9. L’alimentation des Varans est depuis toujours sujette aux polémiques les plus farfelues. Après avoir lu ce petit article vous y verrai nettement plus clair quand à la façon de nourrir votre Varanus exanthematicus. Avant tout voyons ensemble la composition de ce reptile en milieux naturel d’après le groupe d’étude des Varans (G.E.V) : Iules : 47,99% Coléoptères : 21,22 % Lépidoptères : 15,21 % Orthoptères : 8,84 % Gastéropodes et œufs de reptiles : 2,35 % Eh oui, contrairement à ce que l’on peut croire, dans son biotope, ce Varan ne mange pas de rongeurs. En captivité : Les juvéniles sont nourris tous les jours, de grillons, petites blattes, petites crevettes décortiquées et autres custacés très riches en calcium (les grillons doivent être préalablement saupoudrés de carbonate de calcium). À partir de 3/4 mois, il est conseillé de les nourrir 3 fois par semaine, pas plus car cette espèce est sujette à l’obésité, alors attention au sur nourrissage qui est une des causes principales de mortalité chez l’espèce. Les sub adultes et adultes seront nourris de crickets, grosses blattes, escargots, œuf de caille ou autres petits œufs d’oiseaux, les œufs de pigeons sont d’ailleurs très appréciés, cuisses de grenouilles, oisillons et poussins, gambas et scampi, blanc de volaille, guppy, platy, moly, morceaux de foie de veau, de bœuf ou de poulet (le foie étant très riche en vitamine A), le cœur de bœuf est également très apprécié. Attention ne donnez pas d’aliments pour chats ou chiens, cette mauvaise alimentation est la cause principale de lipidose hépatique et donc de mortalité chez les Varans.
  10. Les blattes sont des insectes de qualité par excellence, leur taille varie selon l'âge mais également selon l'espèce.
  11. Dr.House-reptizoo

    fecondation

    Les miens sont encore en hivernation au frigo et en sortiront dans 15 jours.
  12. Oui en effet, je dirai même que c' est les meilleurs du net, tu peux acheter chez eux les yeux fermés
  13. Dr.House-reptizoo

    question

    Les serpents agressifs ne peuvent être manipulés qu'à l'aide de crochets de contention
  14. Malheureusement la loi protège bien les animaleries, n'étant pas considéré comme un bien ou objet et pour des raisons d'origine sanitaire, rien ne les oblige à rembourser ni à échanger un reptile malade, seule la moralité de chacun entre en compte, mais ce n'est en rien une obligation et malheureusement rien ne prouve que tu as acheté un animal malade, si les choses se corsent, ils nieront en bloc. Quoi qu'il en soit cette ostéophibrose responsable des multiples fractures ne s'est pas contractée en quelques jours, c'est un trouble d'origine nutritionnelle, pour ce qui concerne l'abrasion rostrale, ils n'y sont pour rien, c'est presque physiologique chez l'espèce.
  15. Les femelles ne veulent jamais des mâles, chez les reptiles l'accouplement ressemble plus à un viol qu'à un accouplement consentant.
  16. une petite précision: Les Vipères, Crotales ou serpents à sonnette, Mocassins et fers de lance ont une dentition dite "glyptodonte" et font partie du groupe des « solénoglyphe » qui comprend les serpents dont l'avant de la mâchoire supérieure dispose de 2 longs crochets mobiles reliés à la glande à venin. Lorsque la bouche est fermée, les crochets sont repliés horizontalement contre le palais, et c'est au moment de la morsure, bouche grande ouverte, qu'ils se redressent vers l'avant.L'injection de venin est une action volontaire de chaque serpent venimeux, il décide en fonction de la situation d'utiliser ou non du venin, et en quelle quantité. L'injection n'est donc pas systématique. Les Pythons ont quand à eux une dentition dite "aglyphe" et font partie du groupe des « aglyphe sans diastème » qui comprend les serpents dits aglyphes qui ne possèdent pas de crochets placés à l'arrière de la mâchoire supérieure et n'ont pas de venin. (Boa, Python, Lampropeltis, Panterophis...). Ils sont en généralement inoffensifs. Mais attention aux boïdés et autres constricteurs, dont les dents acérées peuvent occasionner de graves blessures .
  17. Ton animalerie t'a bien conseillé, les juvéniles doivent être idéalement maintenus en terrarium 30X30.
  18. Nous sommes heureux de l'apprendre, bonne continuation. @+
  19. Les photos montrent un lézard en très mauvais état, l'infection est malheureusement déjà présente à l'intérieur de la bouche, il présente la déformation habituelle d'une stomatite, il faut un anti bio naturel ou non (à toi de voir) à large spectre, et un nettoyage au bain de bouche antiseptique de la cavité buccale matin et soir. L'homéopathie chez les reptiles n'est pas très efficace excepté dans certains cas de petites rhinites. Je ne peux que te conseiller du Baytril 5% (solution buvable) matin et soir pendant 10 jours et un nettoyage de la bouche à l'aide d'un coton tige et de solution Hextril toutes les 10h. .
  20. Bonjour, L'hivernation n’est pas indispensable à la reproduction, d'ailleurs, elle n’est pas une obligation biologique mais plutôt une adaptation physiologique. Mais si certains spécimens ne s’accouplent pas, une hivernation suffit souvent à déclencher la reproduction. L’explication serait que l’hivernation en captivité pourrait contribuer à mettre en phase les cycles sexuels des reproducteurs. Crews a montré en 1976 (cité par Fertard, B., 1983) que seuls les mâles sexuellement actifs courtisent les femelles attractives. Les conditions de captivité pourraient déphaser les reproducteurs les uns par rapport aux autres et empêcher ainsi l’accouplement. @+
  21. Bonjour, On va se tutoyer c’est plus simple, la lésion sur le « museau » de ton dragon, est ce qu’on appelle dans le milieu herpétologiste une "abrasion rostrale", généralement cette abrasion s’infecte très vite et s’étend dans la bouche de l’animal, lui causant ainsi une stomatite pouvant elle même s’étendre aux voies respiratoires et terminer en septicémie. L’abrasion rostrale est presque physiologique chez les Physignatus en captivité, à force de se cogner contre les parois de leur terrarium les pauvres bêtes se blessent le rostre. Hors mis une antibiothérapie (Ex:Marbofloxacine ou Enrofloxacine), il n’y a pas de remède miracle, n’étant pas homéopathe, je ne peux te conseiller un traitement aux plantes. En ce qui concerne la patte plus mince, on ne peut rien y faire c’est certainement congénital mais aurais tu une photo?
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