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Dr.House-reptizoo

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Tout ce qui a été posté par Dr.House-reptizoo

  1. Merci c'est gentil, au niveau description de phase, c'est le travail de plusieurs années de contactes permanents avec les plus grands éleveurs de la planète et les divers dépôts de marque, cette liste s'agrandira au fur et à mesure. Merci pour ta participation
  2. Dr.House-reptizoo

    boutique grillions ??

    Je viens de tester une inscription bidon et ça marche très bien, quel est le message d'erreur que tu vois?
  3. Dr.House-reptizoo

    boutique grillions ??

    Bonjour, la boutique fonctionne très bien, je viens encore de vendre 15 boites de grillons il y a moins de 5 minutes. www.reptiles-zoo.fr tu as bien remplis le formulaire d'inscription?
  4. En parlant de photo, je me permet d'utiliser celle-ci dans la description de la phase pastel. Quand tu en auras d'autres tu seras sympa de m'en envoyer une. Merci
  5. S'il y a une chose que tu ne comprends pas, n'hésites pas à me le dire
  6. Si ça te permet d'avancer tant mieux, si tu as d'autres questions, n'hésites pas
  7. Franchement mon "Hypo/pastel" est identique, mais mon frère à un "Hypo/red" qui l'est également lol Je ne sais pas si tout cela t'avance beaucoup lol
  8. Il s'agit d'un "hypo/red" ou d'un "hypo/pastel" très coloré voire même d'un "X orange/Hypo". C'est très difficile à dire dans le sens où un gène "hypo" mélangé à un gène coloré peut donner le même résultat.
  9. Bien entendu, d'ailleurs avec l'explosion des ventes de spécimens "phasés" dont les créateurs ne se posent pas la question de "qu'est ce que va donner toute cette consanguinité", on en voit de plus en plus. En revanche, de nombreux éléments peuvent entrer dans le contrôle de la reproduction : la photopériode, la température ambiante, l'hygrométrie, l'abondance relative de nourriture ou encore l'olfaction au sens large par le biais de l'organe voméro-nasal. La photopériode occupe un rôle essentiel chez de nombreuses espèces de lézards dans l'activation et la régression de l'activité des gonades. Elle passe par des photorécepteurs ou des pinéalocytes situés dans la glande pinéale qui ne permettent la synthèse de mélatonine qu'en l'absence de lumière. La diminution de synthèse de mélatonine est responsable de l'augmentation de sécrétion de GnRH qui active l'hypophyse et permet par ce biais la régulation des gonades. Cependant de nombreux squamates restent tapis dans l'ombre et le cycle sexuel ne peut donc pas dépendre que de la photopériode. La température aide à la régulation du cycle sexuel : une température élevée stimulant la croissance ovarienne chez de nombreux serpents vivipares. Chez les lézards du genre Anolis, la température initie la première phase de la spermatogenèse à la fin de l'été-début de l'automne par l'intermédiaire de récepteurs thermodépendants situés au niveau du testicule. La température est souvent l'élément critique du cycle de reproduction puisqu'une certaine température est nécessaire pour permettre le développement de l'oeuf et/ou du jeune reptile. Le cycle est ainsi souvent déterminé dans la nature par rapport à la saison où les températures sont plus importantes. Chez les espèces tropicales principalement, l'hygrométrie et/ou la pluviométrie affectent le cycle sexuel : les follicules vitellogénétiques n'apparaissent pas avant la saison des pluies et certains scinques n'ont pas de comportement sexuel si l'hygrométrie n'est pas supérieure à 60%. Plusieurs « douches » quotidiennes sont donc nécessaires pour reproduire ce « climat » en captivité. L'abondance de nourriture intervient dans la régulation de l'activité ovarienne : s'il n'y a pas assez de lipides pour permettre la synthèse du vitellus et assurer les besoins d'entretien, la croissance folliculaire stoppe. D'autre part, certaines femelles lézards (genre Anolis, genre Iguana,...) ont besoin de la présence d'un mâle pour accomplir normalement leur cycle de reproduction. Le comportement des mâles peut même influer sur le cycle de la femelle : l'agression entre mâles (période précédant les accouplements) peut ainsi inhiber l'activité ovarienne et l'ovulation. Cela permet d'inhiber la reprise de l'activité ovarienne à une époque inappropriée (i.e. à l'automne). Afin d'obtenir un (des) accouplements(s) viable(s), certaines espèces nécessitent un contact permanent entre mâles et femelles, alors que chez d'autres, des contacts courts et répétés sont plus efficaces. En gros, excepté des examens pratiqués par un spécialiste, il est presque impossible d'attribuer une stérilité à un individu, et ce, peu importe son sexe.
  10. orange "hypo" désigne un orange dont les 2 parents sont "hypo" Le tien est un orange traditionnel certainement porteur du gêne "hypo/pastel", en revanche beaucoup d'éleveurs ont croisé leurs oranges avec des "hypo", afin d'atténuer le marquage noire et rendre ainsi les couleurs plus pâles tirant sur le gris bleu un peu comme les citrus mais de façon moins intense.
  11. Il faudra attendre l'hiver prochain. Pour le Pogona vitticeps, certains éleveurs conseillent d’attendre l’âge d’un an avant la première hivernation. Mais des spécimens plus jeunes l’ont supporté (Haupschild, A., 2007). La période d’hivernation dure de 6 à 12 semaines selon les éleveurs. La durée du jour est ramenée à 9 heures en l’espace de 2 à 3 mois. La période précédent l’hivernation est organisée comme chez le gecko léopard par exemple. La température est fixée à 24 à 27°C le jour et 18 à 20°C la nuit. Pour plus de sécurité, on peut peser le pogo régulièrement pendant l’hivernation. La perte de poids ne doit pas excéder 5% du poids initial. Dans le cas contraire, il est conseillé de stopper l’hivernation et remonter la température de 1 à 2°C tous les 2 jours.
  12. Bonjour, Chez les Reptiles, il existe une interdépendance entre reproduction et température de l’environnement. L’ « hibernation » est un terme réservé aux mammifères qui entrent en hypothermie. Un reptile ectotherme ne peut pas entrer en hypothermie au sens strict. On parle donc plutôt d’hivernation, chez les animaux à sang froid. Il s’agit d’un état de torpeur et d’engourdissement lié à la diminution de la température extérieure pendant la saison froide. Notons que le terme d’hivernage se rapporte à la façon de passer l’hiver. L’hivernation n’est pas indispensable à la reproduction. Dans le milieu naturel, et selon leur répartition certains reptiles n’hivernent pas. Certains spécialistes vont même plus loin en affirmant que l’hivernation n’est en rien une obligation biologique mais plutôt une adaptation physiologique. Mais si certains spécimens ne s’accouplent pas, une hivernation suffit souvent à déclencher la reproduction. L’explication serait que l’hivernation en captivité pourrait contribuer à mettre en phase les cycles sexuels des reproducteurs. Crews a montré en 1976 (cité par Fertard, B., 1983) que seuls les mâles sexuellement actifs courtisent les femelles attractives. Les conditions de captivité pourraient déphaser les reproducteurs les uns par rapport aux autres et empêcher ainsi l’accouplement. Ce mécanisme pourrait aussi expliquer les « affinités préférentielles » de certains couples observées par les éleveurs. Les animaux qui « se préfèrent » pourraient être en fait ceux qui sont en phase.
  13. Oui en effet, on peut se poser la question, quoi qu'il en soit je te tiens au courant dès que je saurai le fin fond de la vérité
  14. Je ne mets pas cette source en doute, mais le problème sur le net c est que dès que un texte est rédigé des tas de gens le copient et une erreur peut se reproduire à l'infini.
  15. Le père est un lemon, c'est la désignation d'un yellow porteur du gêne hypomélanique, pour preuve cette atténuation du marquage noire laisse place à des reflets gris bleus. Le bb est magnifique, félicitations.
  16. oui il y a toutes sortes de techniques utilisées dans les zoos américains, quand j'en aurai les moyens j'irai faire un stage là bas
  17. C'est même navrant et honteux et je suis dégouté de ne rien pouvoir faire pour lui. J'espère que l'on me transmettra par mp les coordonnées de cet indélicat.
  18. Je ne pique pas je l'envoi sans aiguille, c'est radical, mais en effet selon la taille du spécimen il est recommandé de l'anesthésier.
  19. Merci pour ce tableau, je vais me pencher dessus et comparer avec de réelles données, il me semble voir des incohérences au niveau des grillons, je te dirai cela ultérieurement.
  20. Je suis étonné d'entre un tel discours sortant de la bouche d'un vétérinaire, peut être peux tu te renseigner au près d'une association dans ta région, car la distance nous limite en ce qui concerne l'aide que nous pourrions t'apporter.
  21. Je ne connais pas par cœur les valeurs nutritives du Lombric, mais étant dépourvus d'un endosquelette, cela m'étonnerait que le rapport phospho-calcique soit de 1.48.
  22. C'était sur des spécimens de stade différents, certains étaient juvéniles, d'autres adultes, j'ai fais du Varan du Nil, des savanes, des Salvador et même sur une femelle de comodo fraichement arrivé du Zoo de San Diego (USA). Pour le reste je ne peux pas l'affirmer pour ne pas avoir testé d'autres espèces. Mais je tiens à préciser qu'il ne s'agit pas d'une traditionnelle éversion, ma technique consiste à gonfler les poches de serum physio tiède, et de presser entre le pouce et l'indexe, ca sort très vite et sans aucun stress, en revanche il est évident que je ne conseillerai jamais cette technique à une personne qui n'en a pas l'habitude. J'attends avec impatience ton article, c'est un sujet qui me passionne.
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