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Whiterabbit1

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Tout ce qui a été posté par Whiterabbit1

  1. Hier nous avons présenté la petite via la webcam à une de ses tata qui habite loin. Mon neveu et ma nièce étaient tous heureux de voir leur petite cousine.
  2. Comme le forum est de plus en plus actif et que certaines modératrices viennent moins par manque de temps, nous avons décidé d'intégrer Mimine parmi les modos. Bienvenue à toi
  3. On dort la nuit, en effet, mais la journée est quand même assez mouvementée. On n'arrête pas. Entre la maison à entretenir, la bouffe à faire, la lessive, et s'occuper d'elle, on n'a pas le temps de s'ennuyer. Et je profite de dormir un peu quand elle dort, car j'ai du mal à rattraper mon retard de sommeil.
  4. Le lit fait immense en effet, mais elle va grandir vite. Elle ne pleure pas beaucoup, seulement quand elle a fait, et en général, une fois le biberon avalé, elle se rendort assez vite. La nuit, elle réclame un biberon vers 3 ou 4 heures du mat', puis se rendort jusqu'à 8 ou 9h. Donc ça nous laisse le temps de dormir.
  5. J'adore les fatals picards, et particulièrement celle ci !
  6. Je pensais comme vous Dji et Mortiana quand j'étais plus jeune. Mais voyez où j'en suis maintenant. Je ne regrette rien du tout. Ma fille est le plus beau cadeau que mon homme ait pu me faire !
  7. En fait oui, le ventre se dégonfle, car c'est principalement le bébé qui le gonfle ce ventre. Donc si ya plus de bébé, ya plus de ventre. Mais on ne retrouve pas forcément son ventre d'avant tout de suite, car l'utérus reste un peu gros pendant quelques temps, il va se rétracter petit à petit et reprendre sa taille initiale.
  8. Oh oui j'ai encore mal. J'ai mal au dos, dans le bassin. J'ai du mal à marcher car ça fait mal. J'ai aussi des douleurs dans le bas du ventre. Mais ces douleurs sont supportables et passent avec un bon Doliprane. Ah bon?! :lol: Ben ouais, d'ici 3 ans peut être on fera un petit frère. :lol: Mais chaque chose en son temps, je profite d'abord de ma fille.
  9. Tu sais Dji, je suis hyper douillette, mais j'ai survécu. Et je suis même prête à remettre ça dans quelques années.
  10. On entend toujours dire que la douleur de l'accouchement est oubliée quand le bébé nait. Euh, pour être honnête, non on ne l'oublie pas, mais on est tellement heureuse à ce moment là qu'on se dit que ça valait la peine de souffrir autant. J'ai accouché il y a 5 jours, et j'y repense encore à cette douleur, et je m'étonne même d'avoir tenu le coup pendant ces longues heures.
  11. Bon, j'ai un peu le temps et je me suis un peu reposée, donc j'en profite pour vous raconter toute cette aventure en entier. Tout a commencé en Août 2009.... Allons y : 15 Août 2009 => mon homme et moi décidons que la plaquette de pilules que je venais de terminer serait la dernière que je prendrai. Les mois passent et rien ne se produit. 10 Mars 2010 => Mes règles n'arrivent toujours pas, et je décide donc (un matin à 7h) de faire un test de grossesse. Et là, une légère barre apparait. Mais comme il était très tôt le matin, et que j'avais un peu la tête dans le c... je décide de réveiller mon homme (oui, je suis une vilaine) pour qu'il me dise s'il voit lui aussi cette fameuse barre. Il finit par me dire qu'il la voit aussi. Très heureuse, je prends donc contact avec mon médecin, et là, tout s'enchaine. Je suis donc officiellement enceinte et le terme est prévu pour le 22 Novembre. S'enchainent, les échos, les rdv mensuels de suivi. je vous passe les détails sur les nausées et les désagréments. 1er Septembre 2010 => On m'annonce que je fais du diabète gestationnel. Rien de bien grave, mais il faut suivre un régime strict en évitant le plus le sucre. Ce diabète s'accompagne le soir d'une petite dose d'insuline qui va permettre à mon organisme de se réguler en taux de sucre. 12 Octobre 2010 => Je vois ma gynéco pour mon rdv du 8e mois. Quand elle apprend que je suis sous insuline, elle me dit qu'elle va déclencher l'accouchement, qu'elle ne me laissera pas aller à terme. Elle décide donc d'avancer un peu le rdv du 9è mois et elle prendra sa décision à ce moment là. 5 Novembre 2010 => Je me lève à 7h pour aller voir ma gynéco pour mon rdv du 9e mois. Retenez bien l'heure, c'est important. Elle m'annonce que l'accouchement sera déclenché en début de semaine. Elle n'a pas encore de date, elle doit contacter l'hôpital et me tenir informée dans la journée. En prévision de ce déclenchement, elle fait ce qu'on appelle un "décollement des membranes". Elle me dit que ça peut, certaines fois lancer le travail spontanément. Ce décollement manuel fait mal, mais je m'en remets. Je rentre donc chez moi et j'attends le fameux coup de fil qui arrive vers midi. Là, on m'annonce que je rentre à l'hôpital le dimanche soir (le 07/11) et que l'accouchement sera déclenché le lendemain matin (le 08/11). Donc je me prépare psychologiquement à avoir ma puce dans les bras le lundi suivant. Par contre, ce vendredi, suite au décollement des membranes, je me sens vraiment patraque. J'ai mal au ventre, je suis fatiguée, je n'ai rien envie de faire. La journée passe et moi je me sens de plus en plus patraque. Mon homme rentre le soir, on mange, et je commence à ressentir quelques contractions. Ca fait mal, mais c'est largement supportable. Ces contractions ne sont pas régulières, donc je ne m'inquiète pas. Il m'arrivait souvent d'en avoir. Je vais me coucher vers 23h, et là, je ressens de violentes contractions dans le bas ventre, mais aussi dans le bas du dos (ce qu'on appelle les contractions dans les reins). Ces contractions sont de plus en plus rapprochées. Au départ, elles étaient toutes les 10 minutes, puis après c'est passé à 8 minutes, puis 5. A 1h du matin, on décide de partir pour la maternité. On arrive donc là bas, ils me posent le monito (qui enregistre les battements du coeur du bébé et les contractions). Et là, pas de bol, les contractions se calment. A 3h du matin, on me dit donc que ce n'est pas pour tout de suite, et me renvoit chez moi. Arrivée chez moi, je prends un bon bain chaud et du spasfon, pour faire diminuer les contractions et pouvoir enfin aller dormir. Je n'ai toujours pas dormi depuis vendredi 7h. Je me couche à 4h30 pensant que j'allais enfin dormir, mais non, les contractions reprennent de plus belle, toutes les 5 minutes. Comme je m'étais déplacée pour rien quelques heures avant, je décide donc de patienter et de ne pas partir à la maternité tout de suite. A 6h du matin, je n'ai toujours pas dormi, les contractions sont toujours là et font de plus en plus mal. Comme je savais que pour moi, la nuit serait foutue, j'allume mon pc pour venir faire un tour sur le forum. Et là, Patatra, je perds les eaux. Cette fois c'est sûr le déclenchement de lundi est annulé, je vais accoucher aujourd'hui. On repart pour la maternité (heureusement que je n'habite pas loin), et cette fois, évidemment, ils décident de me garder. Ils me montent donc dans une chambre et m'examinent. Mon col est ouvert à 1cm. On me dit que maintenant, il faut juste patienter, le col va s'ouvrir petit à petit. On patiente.... les contractions sont là, elles font mal, mais on patiente... A midi, on m'apporte à manger car j'ai faim. Je mange avec appétit, mais mon corps décide de ne pas garder cette nourriture exquise (je plaisante) de l'hôpital. Imaginez une femme enceinte de 8 mois et demi avec des contractions terribles, accroupie au dessus des toilettes. C'est totalement inconfortable comme position. Après ce vomito, je réclame un calmant, car les contractions sont vraiment devenues insupportables. On m'examine. Mon col est toujours ouvert à 1cm. Chouette, j'ai douillé toute la matinée pour rien ! On me donne quand même un calmant et ça m'assomme quelques heures. Vers 18h, les contractions sont à nouveau insupportables. Je demande un autre calmant. On m'examine. Mon col est ouvert à 2cm. Pfff, ça n'avance pas vite. On me fait une piqure dans la fesse pour soulager les douleurs. J'ai appris après que le produit injecté est un dérivé de morphine. Ca me shoute, je suis complètement stone. Mon homme rentre donc un peu à la maison, pour prendre une douche et manger un morceau, car d'après la sage femme, le travail va être encore très long. A 20h, je n'en peux plus, j'ai trop mal, il faut en finir. La sage femme m'examine, et là, Oh miracle, mon col est ouvert de 4cm. Elle me dit que c'est le moment de descendre en salle d'accouchement, et qu'une fois en bas, je pourrai avoir la péridurale. Je suis heureuse, et très angoissée, car mon homme n'est pas encore revenu. Non non non, je ne veux pas accoucher toute seule. Je trouve quand même le temps de lui envoyer un SMS pour qu'il revienne vite. Il arrive donc au moment où on me descend en salle d'accouchement. J'arrive donc en salle vers 20h30.Je suis accueillie par une sage femme diplômée et un élève sage femme (oui, oui, un homme). Pas très commun un homme sage femme. Ce monsieur, ou plutôt ce jeune homme, était vraiment sympa et m'a beaucoup aidée à me sentir mieux. On me pose la péridurale et là au bout de 10 minutes, je respire enfin. Bon, la péridurale fait son effet entièrement à gauche, mais ne fonctionne qu'à moitié sur le côté droit. Je souffre encore, mais tellement moins que j'arrive à supporter. On m'examine. Cette fois le col est entièrement ouvert, la puce arrive. Elle est encore un peu haute, donc on me laisse au calme pendant plus de 2 heures en attendant que les contractions fassent descendre la puce dans mon bassin. Juste avant que je commence à pousser on voyait déjà la tête. Je pousse donc pendant environ 15 minutes, à raison de 3 poussées par contraction, et là à 23h54 le 06 Novembre, je vois ma fille pour la 1ere fois. On me la pose sur le ventre et moi, j'évacue toute cette journée d'émotions en pleurant toutes les larmes de mon corps. On emmène Lola (car maintenant, ça y est, elle a son prénom) pour lui faire ses 1ers soins, la peser, la mesurer etc... Mon homme part avec elle et assiste à tout ça. Pendant ce temps, on sort le placenta, puis on me recoud car j'ai une petite déchirure. Rien de grave, les fils partiront d'eux mêmes dans environ 2 semaines. Ma puce est ensuite ramenée et je la prends en peau à peau pendant 1 bonne heure. Ensuite, elle est habillée, et le papa la prend dans ses bras. Vers 3h du matin, on me monte dans une chambre où je peux enfin me reposer. Mais impossible de dormir car avec le va et vient du personnel soignant dans la chambre et toutes ces émotions, mon corps est incapable de se reposer. J'ai donc décidé d'envoyer un SMS à Dji et de lui annoncer la bonne nouvelle. D'ailleurs Dji, j'espère que je ne t'ai pas réveillée. Vous vous souvenez à quelle heure je m'étais levée le vendredi ? A 7h. Et là nous étions dimanche matin. Ce qui veut dire que je n'ai pas dormi pendant quasiment 48h. Les jours suivants, à la maternité, j'ai un peu dormi, mais très peu. J'ai donc beaucoup d'heures de sommeil à rattraper. J'espère que les nuits ne seront pas trop agitées et que je pourrai me reposer. On verra bien. De toute façon, ce qui est le plus important à mes yeux, c'est qu'aujourd'hui, je suis maman, et que j'ai une fille en parfaite santé. Voilà donc le récit de ma grossesse ainsi que de mon accouchement. Je vous mets des photos juste après.
  12. Merci beaucoup tout le monde. Je suis rentrée chez moi en fin de matinée. Je suis très fatiguée, donc je passe ici en coup de vent. Quand j'aurai récupéré, je viendrai vous raconter mon accouchement, riche en émotions et en rebondissements, et je vous mettrai quelques photos de ma merveille.
  13. ok. Par conter si tu pouvais mettre des photos de ceux qui sont à adopter, ça aiderait pour le replacement.
  14. Ah, le reste c'était le descriptif des rats à donner. Désolé ! Donc je ne sais pas compter, je confirme. Tu gardes les autres ?
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