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voirons

epervier /becasse

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Scolopax, que penses tu de lancer l'epervier? Ancienne technique qui pourrait avec un affaitage special se reveler une bonne option!? as tu essaye cela?
amicalement

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Bonjour voirons,

J'ai eu l'occasion de voir pratiquer cette façon de lancer l'epervier (ventre de l'oiseau sur la paume et pointes des ailes une sur l'autre, maintenues par le pouce, impulsion comme un lancer de flêchette) La vitesse atteinte au demarrage est vraiment très impressionnante et semble très efficace, même sur la becasse.
Mais, je n'etais que spectateur...

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merci Emma, deja etre spectatrice c'est pas mal...j'aurais aussi aime voir cela. Il y avait un autoursier Alsacien qui lancait aussi son accipiter...mais c'etait un autour...et la, c'est une autre "histoire"! Mais avec une forme d'epervier ca doit etre faisable.

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Tout à fait d'accord ce serait surement à mon sens la technique et l'espèce la mieux appropriée pour cette chasse. Le problème pour moi, la manipulation qui malgré quelques explications m'échappe encore.
Un ami l'utilisait équipé d'un gant de soie pour éviter les problèmes de plumes. Il m'expliquait qu'une fois placé dans le creux de la main (c'est pas le + simple) après une manipulation précise, il reste encore à métriser le lancer (pas si facile qu'il n'y parait)
Je suis d'ailleurs intéressé par tous détails relatifs à cette méthode. A mon avis, il serait bon d'habituer l'oiseau dès qu'il est allongé. Lui faire prendre chaque jour à l'arrêt du chien un pigeon affublé d'un bec artificiel, l'habituer au chaperon pour éviter tous les départs intempestifs sur "ses gibiers habituels".
Tout aussi difficile, se lever chaque matin avec le même entrain, prendre le chemin du bois plein d'espoir quant au nombre de levées (suivant les régions!) et à l'issue finale.
J'ai appris qu'en Ecosse c'est au pèlerin qu'ils prennent les dames aux longs becs, je serai friand de lire tous vos récits et anecdotes.
Amicalement.

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Les Tunisiens mais aussi beaucoup d'éperveteurs Turcs et Géorgiens lancent leur épervier. La technique s'apprend (relativement) facilement - l'épervier est basculé vers l'arrière, pris avec la main droite par le dos (ailes plaquées), il est rabattu vers l'avant et passé dans l'autre main. Le lancer se fait un peu comme un lancer de javelot (vers le haut). Cela demande un peu de pratique. Dans les années 70, Jacques Renaud lançait une forme d'autour avec beaucoup de succès sur faisan.

Un gant en soie serait indiqué parce que la sueur des mains peut abîmer les plumes. Une équipe Espagnole a fait pour l'IAF un film sur la fauconnerie dans le monde – il y a une assez longue séquence sur la capture d’un épervier, son affaitage et quelques chasses sur caille.

Un perlin (pèlerin/émerillon) serait sans doute capable de prendre les bécasses, il est aussi agile qu’un épervier et plus persévérant.

J'ai pris une dizaine de bécasses avec des faucons volant d'amont - en Ecosse comme en Belgique. Le problème est de trouver des bécasses dans des biotopes assez ouverts pour le haut-vol. Il semble qu’il y ait de bons biotopes dans certaines républiques de l’ex-URSS. En Ecosse, les bécasses se trouvent rarement dans le ‘moor’ mais souvent en bordure de forêt. Nous en trouvons aussi quelque fois dans nos grandes plaines brabançonnes lors des migrations d’automne, dans des cultures d’engrais vert – genre « moutarde ». Les vols sont amusants parce que la bécasse crochète beaucoup et peut décourager un faucon peu assidu. Cette année encore j'ai eu la chance d'en voler une avec un pèlerin. Certaines, aussi surprises que nous, sont été capturées facilement au terme du premier piqué, d'autres crochètent et sont diaboliques.
Pour faire plaisir à scolopax, voici un extrait d’un petit article que j’avais écrit il y a quelques années.

Ecosse, 2 septembre 1999 :

Les grouses ont bourri trop tôt sous Eclipse mal placé. «Eclipse» tiercelet de gerfaut juvénile (ainsi baptisé parce qu’introduit pendant l’éclipse totale du 11 août) les poursuit à l’horizon. Bredouille, il survole la remise un moment avant de prendre appui sur le vent qui bute sur le flanc de la montagne aux aigles située en face de nous. Cette montagne a une sinistre réputation parce qu’elle héberge des aigles royaux qui nous ont déjà coûté quelques faucons ! En quelques dizaines de secondes, Eclipse est à plusieurs centaines de mètres de hauteur comme aspiré par un ascenseur. Arrivé au niveau du sommet, il se décide à revenir vers nous. Comme il a pris un bon plafond, je commence à me déplacer pour relancer le chien et trouver un nouveau service.

Un oiseau part dans mes pieds en crochetant : une bécasse ! C’est la première fois que j’en vois dans le moor depuis que nous allons en Ecosse. Nous en voyons régulièrement le soir ou la nuit en traversant les forêts mais jamais dans le moor. Nous nous trouvons au sommet d’un grand cirque bordé par une vieille forêt de pins écossais. La bécasse plonge dans la vallée en filant droit vers la forêt distante de 600-700m. Le gerfaut attaque tout de suite malgré son handicap et entreprend la bécasse avec un énorme retard. Son vol d’attaque est très rapide : visiblement ce gibier qu’il voit pour la première fois lui plaît plus que les grouses qu’il entreprend sans trop de conviction. Nous sommes à flanc de colline, magnifiquement placés pour observer sa longue attaque latérale : les gerfauts sont impressionnants dans les attaques à 45°. Les deux oiseaux sont éloignés l’un de l’autre de plus d’un kilomètre mais filent tous deux vers un point de convergence, comme la base d’un triangle rectangle géant, chacun empruntant un des côtés. Le point de rencontre virtuel est la base du triangle : la forêt.

Eclipse comble rapidement son handicap et essaie de couper la trajectoire de la bécasse. Les deux oiseaux arrivent à peu près en même temps à la lisière de la forêt dans laquelle plonge la bécasse suivie à une vingtaine de mètres par le gerfaut. C’est une forêt de vieux pins écossais assez claire, les arbres sont espacés et le sol recouvert de mousse et de lichens. Nous attendons quelques minutes sans trop y croire ; le gerfaut ne réapparaît pas. Le récepteur indique un signal stable, mais difficile à localiser à cause des échos dans les ravins. La forêt est coupée de petits ravins et canyons avec des dénivelés et à pics impressionnants (50-80m). Je descends la pente assez raide vers une rivière coincée entre deux canyons. Eclipse trône sur une grosse pierre plate émergeant de la rivière : il a pleine gorge et semble content de lui au milieu de la plumée de sa première prise. Il a mangé vite et ne m’a laissé que le bec et les pattes. Roy Dennis, célèbre ornithologue écossais spécialiste des aigles, qui nous accompagnait avec le nom moins célèbre fauconnier Steve Frank, après avoir consulté son carnet, me dit avec un humour typiquement british, qu’il a vérifié et que tout est en ordre puisque la saison de la bécasse ouvre le 1er septembre !

Novembre 1999, Belgique :

L’après-midi touche à sa fin. Nous roulons depuis près de deux heures à la recherche de perdreaux. En longeant un chaume de maïs, j’ai une vision fugitive dans le rétroviseur : un battement d’ailes ; un oiseau a décollé et s’est reposé aussitôt. Je ne suis pas sûr de ce que c’est –sans doute un perdreau- mais comme le jour ne va pas tarder à tomber, je décide de voler. Nous nous arrêtons à quelques centaines de mètres et le tiercelet de pèlerin est déchaperonné et mis sur l’aile. Comme à son habitude, il décolle sans s’ébrouer (ce qu’il fait en vol) et monte rapidement dans l’air frais en carrières décidées. Le pointer est délongé et part en trombe vers le coin opposé du champ pour prendre le vent. Le tiercelet s’est placé en amont à 250-300m au-dessus de nous et surveille nos mouvements avec attention. Après quelques minutes et une dizaine de lacets du chien, c’est l’arrêt brutal, typique du pointer. L’oiseau a piété et se trouve déjà à une centaine de mètres de l’endroit où nous l’avons vu se poser, entre le chien et nous.

Surprise, c’est une bécasse qui décolle assez loin devant nous alors que nous approchons du chien ; elle file droit au ras du sol. L’attaque est instantanée, le piqué raide et le buffetage spectaculaire dans une explosion de plumes. Le tiercelet fait un cercle mais au moment où il va se poser sur sa proie, la bécasse repart aussi sec et file en crochetant suivie comme un missile téléguidé par le tiercelet. Crochets diaboliques, ressources et vrilles spectaculaires s’enchaînent sur près d’un kilomètre sans que le faucon abandonne. Il faut dire que ce tiercelet a un moral à toute épreuve et est capable de prendre de bons voyageurs après des poursuites de 4 ou 5km. La bécasse est un gibier agile capable d’esquiver les attaques au dernier moment par des crochets à angle droit. Nous pensons que le tiercelet va abandonner mais il adopte une autre stratégie, prenant un peu de hauteur pour dominer sa proie et essayant d’anticiper et de couper les crochets de la bécasse. Après deux ou trous essais, la manœuvre réussit parce qu’il feint de partir dans la mauvaise direction pour corriger au dernier moment et il arrive à lier la bécasse par une aile. Cette fois-ci elle a terminé dans notre casserole, après avoir fait courtoisie au tiercelet.

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merci a vous tous! voila qui est interessant!
Il est certain comme tu le dis scolopax que tomber sur un bon passage de becasses...est peut etre le plus dur a...faire! Mais cote oiseau, l'epervier comprend si vite qu'il ne doit pas avoir beaucoup de probleme pour l'habituer a la main! Le gant semble inevitable. Ici, nous en avons quelques unes en milieu ouvert...et j'imagine facilement le spectacle que gerfaut a eu la chance de ....deguster!
Encore un challenge! Mais quel plaisir!

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merci Gerfaut de nous avoir fait profiter de ces belles journées.
Très jolie prose, on croiriat lire " du voirons" (amitiès Gerald)

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Salut a tous,

Je vous joins une petite photo prise sur un forum anglais, elle parle d’elle-même.
Voirons et Scolopax le rêve devient réalité non Very Happy
Chris26 je te souhaite la même réussite avec ton futur oiseau king

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Une photo magnifique !!!!!
C'est que du rêve, comme l'on dit, l'espoir fait vivre !
Merci pour cette trés belle photo.
Bonne chance toi aussi pour ton futur prédateur.
Chris.

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ah!!!!!!!!!!!!!oui c est une belle photo
ça c'est sur .
mais ,mais
oui bien sur il y a un mais ....
pourquoi mais
parce que nous ne pouvons vous laisser salir la reputation de la rusticola Very Happy

ne trouvez vous pas les remiges de cette becasse suspectes??
je ne parle meme pas des proportions.

nous ne pouvions garder le silence plus longtemps
maintenant si c'est un complot pour nous détroner suite a la photo du sanglier
sachez que la team 65 ne s'en laissera pas compter

sur ce nous retournons a notre café .........

steph et scolopax

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Evidement la photo assassine! C'est un reve! Encore faudrait il savoir dans quelle circonstance cet epervier a fait prise? Sacre anglais!Wink

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Cette photo est réapparue plusieurs fois sur le site anglais mentionné. Elle provient à l'origine du site d'un photographe animalier qui a pris une série de photos dans la nature, toutes plus belles les unes que les autres.
Amicalement,

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Je vois Scolopax tu ne veux pas en rester là thumright , malheureusement pour toi dwarf il n'y a pas de montage comme le confirme Fly the snipe.
Rien que pour le fun, une nichée de futur tueur de scolopax rusticola cheers



Sans rancunes
Gérald

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Invité

Quitte à en décevoir plusieurs, cet oiseau n'a jamais été une becasse ...
C'est peut-être pour ça que les porportions et les remiges semblent bizarres au maître du genre de la rusticola.

Fly, tu pensais à un montage? moi je pensais à une magnifique taxidermie Razz

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il s'agit evidemment d'un jeune de becasse italienne scolopax rusticola terronicas plus petite et plus gris que la becasse comune

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Invité
la jolie mordorée est en fait une belle bécassine( gallinago gallinago)
l'oiseau qui la transporte est un tiercelet d'épervier d'europe
qd à l'authenticité de la photo .....
j'ai tt de même un doute...la position des doigts ne me parait pas très naturelle , les proportions entre les deux oiseaux non plus la bécassine me paraît un peu trop grande par rapport au tiercelet , et l'ensemble me paraît être une photo montage mais bon je retourne la regarder pour faire pencher la balance ds un sens ou l'autre .il n'existe pas encore de smilies à loupe?0

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Invité
à mon humble avis il s'agit d'un montage, regardé le doigt de l'épervier sous l'aile , complètement tendu c'est pas vraiment une "prise" facile pour transporter un oiseau aussi lourd, regardez l'exposition à la lumière des deux oiseaux, elle n'est pas pareille ,la position des pieds pour le transport n'est pas naturelle non plus même si la proie est lourde
on a tous vu un épervier passé avec une proie c'est pas vraiment comme cela que ça se passe ,
d'autres opinions?

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Invité
C'est une bécassine, mais je ne m'avancerai pas sur le nom d'espèce .. pour peu que ce ne soit pas européen...

C'est vrai que ce tiercelet a du faire de la musculation pour pouvoir emmener de la sorte une proie plus grosse que lui..

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ça pourrai être une bécassine sourde ou une double mais pas totalement sur.
Il est vrai que la prise n'est pas franche et la position du doigt n'est pas très sur. La question reste ouverte!!!

Montage ou pas montage pour cela il faudrait avoir le lien vers le site de ce photographe animalier pour voir si d'autres photos sont dispos avec cette prise.

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Il doit s'agir d'une bécassine de chez vous, dont l'image a beaucoup plu en son temps à Patrice Février, président du Club International des Chasseurs de Bécassines.
Je ne pense pas que ce soit un montage.
Amicalement,

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Si l'épervier est de chez nous, la bécassine sans doute aussi....à moins que la dérive inversée des continents n'aie eu lieu juste avant la photo Very Happy

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Bien sûr, très talentueux Sokol, mais ce que je sous entendais, c'est que je ne peux dire avec certitude de quelle espèce il s'agit. Je ne les connais pas encore, moi, vos bésasseaux exotiques. En bref, je botte en touche.

Je connais tous les rhums antillais. Mais en matière de bière, à part l'Heineken...

Wink

Amicalement,

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Invité
Tiens ...! c'est bizarre mais je me sentais visé aussi ...
en fait le tiercelet, est-ce sûr que c'est épervier d'europe ? ça y ressemble beaucoup mais ....

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pour moi,il s agit bel et bien d un mouchet,(de chez nous...)c est bien la ou le bas blesse;les proportions semble farfelues.
tiercelet d epervier:120a200grm
becasse :280a350grm
la piste de la becassine double,pourqois pas...elle a une belle tete,un bel oeil de becasse cette becassine!!!
amicalement

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Dans le fond, comme sur la foto cela reste flou...

la seule façon d'y voir serait de pouvoir observer d'autres clichés de cette même série, car le photographe a du faire sortir plusieur fois son petit zoziau...

un lien vers le site de cet artiste animalier ?

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Ce n'est pas à l'oeuil que l'on distingue la bécassine de la bécasse mais aux lignes sur la tête, entre autre.

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Sokol a raison c'est a la tête entre autre et c'est ce qui me fait dire que c'est une bécassine car la tête est rayé et non barré comme chez la bécasse. après les autres critères sont les barres alaires, non visibles sur le cliché, les dessins du croupion et de la queue sont également importants, mais attention avec les juvénils pas blanc par exemple sur la queue pour la jeune bécassine double.
Fly the Snipe as tu le lien vers ce photographe animalier ?

Gérald

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a priori,apres discussions,comparaisons,becassine des marais!
une photo epoustouflante...qui laisse reveur...

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Becassine c'est certain! Mais si la photo est sublime, juste je me dis que ce photographe a eu un sacre coup de "pot"! etre la juste quand l'epervier faisait prise..! Shocked

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Citation :
juste je me dis que ce photographe a eu un sacre coup de "pot"! etre la juste quand l'epervier faisait prise..!
Il est en photographie comme en fauconnerie des "plus que passionnés" (voir fou furieux), qui non seulement connaissent très bien la nature, mais sont aussi capable de passer des heures et des heures (voir des jours) sans bouger dans leur affût, pour essayer de rapporter un "trophé" photographique admiré de tous (ou presque) ...

Hommage à eux.

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Ce que je voulais dire ou du moins laisser filtrer zig-zag..c'est que quand tu connais la becassine et l'epervier, tomber sur l'instant precis ou il fait prise..c'est vraiment de la chance!.L'affut dans ce cas la n'est pas possible! Mais il est vrai aussi que j'ai vu tant de photos ou fims ou la prise etait "construite" que j'ai toujours un regard sceptique..sur la chose. Je m'en excuse car au dela de ce "virus" qui m'affecte, ces photos me font rever et c'est cela le plus important

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pour la photo, j'ai une théorie, peut-être stupide, mais il vaut mieux dire une connerie, que de rien dire.

Je vais commencer par ce que je sais à voir la photo. Plutot l'appreil, d'ailleurs. Il s'agit de gros matosse. Un numérique, avec au moins 10 millions de pixel. Parce qu'elle a été retouchée, pour recentrer l'oiseau. Cependant, l'oiseau et passé assez près du photographe, à voir le flou important derrière. Et avoir un petit oiseau rapide passer au plus près, n'est pas forcement le mieux, tant pour le cadrage que pour la qualité de l'image (risque de trrainée). Cela il y a deux solutions indisociable : il faut pouvoir régler au mieux son appareil et savoir le faire. En tout cas, c'est du matériel de professionnel.

D'où, une théorie qui vaut ce qu'elle vaut. Le gars aurait-il pu piéger une bécassine, lui briser l'aile, sachant que dans un bois niche un couple d'épervier. Remarquer, une zone de chasse apprécié par l'épervier, et y déposer la bécassine un peu abimée à 20 mètres de la lisière du bois, se poster entre le bois et la bécassine, et attendre quelques heures.

Une seconde théorie, c'est un épervier très bien affaité, qui comme certaines harris peut rapporter ses proies au poing, et que l'autoursier a fait faire cette photo en enlevant les jets. Dans ce cas, il aurait été bien que comme les aigles, les éperviers aient des plumes jusqu'aux tarses. Mais malheureusement, ils ont des mini jupes. Dans ce cas, les bracelets auraient pu etre effacé par informatique également.

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Invité

et bien moi j'ai une autre théorie ..:

Plutot que de raconter une connerie ..on la ferme !! Boulet

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je te l'avais dit glassbreizh.
.... et il y en aura d'autres !!!!!!

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justement, pour les clichés, j'opterai pour un materiel plus performant qu'un numerique à 10 m/pix"
Par exemple un digital vitesse 800 à 1000 secondes (qui explique le flou de l'arrière plan) ouverture 10 avec une focale minimum de 40
mais je ne suis pas professionnel

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BONJOUR je chercherer a me procurer un epervier légalement pouriez vous me dir comment fair et les tarif si possible mercie beaucoup

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Pourquoi ne pas s'affilier à l'ANFA et faire une demande de désairage?

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La première chose à faire est de repérer des sites de nidification. Il est prudent d'en avoir au moins trois avant de faire une demande de désairage. cela permet d'avoir la possibilité de se rabattre sur l'une ou l'autre selon le nombre de jeunes ou si l'une est abandonnée. C'est encore un peu tôt pour les éperviers mais ce serait déjà bien de réperer d'anciennes aires. Une aire occupée se voit par les duvets et petites plumes qui sont accrochées dans le nid; quand il y a des jeunes il y a des déjections sous le nid (mais à ce moment il est trop tard pour faire la demande!)

Il ne faut pas oublier de demander la permission au propriétaire -c'est parfois risqué parce que beaucoup ignorent la présence d'aires sur leur territoire!

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La 1ere fois je n'ai pas fait de commentaires car pour moi il etait evident qu'il ne s'agissait pas d'une becasse !!!
En voila une avec une becasse
@+
Franck

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Invité

la deuxième est bien une bécasse mais ........il s'agit d'une forme d'épervier et non plus d'un tiercelet Wink
par contre joli le tiercelet sur étourneau.là c'est sur il n'y a plus du tout de trucage Cool

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Magnifique l'épervier sur bécasse! Néanmoins la glace sous la mordorée me laisse à penser que celle-ci n'était peut-être pas au meilleur de sa forme. En effet, plusieurs fois j'ai pu observer des bécasses très affaiblit suite à un coup de gel et où on pouvait quasiment les attraper à la main (inutile de dire que les prédateurs du coin se régaler).
Pour la photo avec le sansonnet il s'agit d'un mouchet d'épervier brun (Sharp shinned)!

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Invité

eh non , il s'agit d'un mouchet bien de chez nous
un mouchet de sharpie est d'abord de coloration différente et surtout de taille bien plus petite , notre tiercelet correspond à peu près à la taille d'une forme d'épervier brun Smile

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