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sokol

La preuve que Dieu existe:

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Hier, après-avoir entrpris une bande de vanneaux, ma forme de Black Shaheen est revenue pour être servie sur un coq faisan bloqué par mon chien.

Je savais qu'elle était beaucoup trop haute (870gr volant à 800-820gr) et n'étais pas surpris lors de son refus du coq.

Service sur d'un pigeon "imprennable" et poursuite inespérée pendant très longtemps. Elle accumulait le retard, mon but était atteint.

Durant sa poursuite, elle semble attaquer autre chose, re-poursuite et disparition au loin.

Je prends mon récepteur: pas de signal Embarassed

Poursuite en voiture, leurrer sur les points les plus hauts, retour au point de lancé: rien et la nuit tombe doucement.

En désespoir, accompagné d'un ornithologue, je fais le tour des campagnes (c'est fou ce qu'on observe alors comme rapaces quand on en cherche un!) Nebli est alerté, il arrive: tout le monde est sur le pont : rien!

En presque fin de luminosité, une petite tache sur un semé à proximité de l'endroit de vol (800m), jumelle: c'est elle. cheers

Premier coup de leurre: elle arrive et est récompensée sur le leurre qu'elle ignore.Elle avait les pattes pleines de sang et une bonne gorge.Elle avait du prendre malgré moi.

La surprise: perte de l'antenne de l'émetteur qui expliquait l'absence de signal. Embarassed

Moralité: vérifiez vos antennes de temps en temps et admettez que Dieu existe! thumleft

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Quel oiseau ! et probablement un parfait affaitage en dehors de la chance.

Je n'ai jamais vu un oiseau revenir après une pleine gorge et dieu doit décidément sourire au mahatma.

J'ai par contre un autre atout : un oiseau qui revient à la fauconnerie depuis des années.

Encore ce week-end, une prise en altitude - hélas liée - et on assiste au spectacle de l'oiseau qui file en direction les glaciers à plus de 4 ou 5 km dans la vallée opposée,1000 ou 1500 m au dessus du vide, la prise entre les mains ....

On le situe à la télémétrie, vers 2000 m d'altitude, sur un secteur totalement inaccessible et éloigné de la fauconnerie... Eté indien, des pompes qui soulèvent les aigles comme des parapentes... Tout est réuni pour qu'on ne revoit jamais cet oiseau.

Lundi soir, il était de retour à la fauconnerie - coup de chance, on le récupère par hasard sur un pigeon lié à travers le grillage du pigeonnier et mangé au 3/4 quarts. Il était temps, plume cassée à la base de l'émetteur.

Sur 3 saisons, cet oiseau a du passer plus d'un ou deux mois dehors, avec des retours systématiques à la fauconnerie dans des délais allant de 2 à 6 jours, sur des distances de plusieurs dizaines de km.

C'est aussi le grand avantage d'avoir des oiseaux qui montent très haut en montagne, ils sont capables de se repérer géographiquement sur de grandes distances, un autre atout : la faiblesse des proies disponibles.

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j'ai eu qq jours auparavant également une perte d'antenne, mais bon banalement mon oiseau était parfaitement centré , a bien buffeté et est revenu sans problème mais bon tt le monde ne dispose pas de sommets alpins ou de prises hors de vue Mr.Red
par contre cela pose deux questions intéressantes parmis plein d'autres,
est ce les chocs qui "dévissent petit à petit les antennes?
ensuite quel est la bonne solution pour placer un émetteur
les tarses pas idéal au niveau des chocs divers que l'émetteur subit le signal est moins bon
la queue pareil cassure ou arrachage , ce n'est pas idéal

le harnais semble être une solution mais il peut également blesser l'oiseau , cela semble néanmoins la solution vers laquelle on s'oriente de plus en plus
le coup n'est pas idéal non plus.....

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Puisqu'on en est aux mésaventures:
Lors d'une réunion de l'équipage, retour au leurre du tiercelet, qu'il écume pour repartir sans avoir le temps d'échapper à une forme de sacre lâchée prématurément.
Tiercelet lié criant tant qu'il peut. Bilan des courses: pas une égratignure mais les deux rémiges de pointe de l'aile droite écourtées d'un cm et le fil de l'émetteur sectionné au quart, révélant la violence de la prise.

Dieu sourit aux inconscients.

Amen.

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Bon, on est tous d'accord: Dieu existe.

Un bémol malgré tout: essayez de trouver un plombier le dimanche et vous reverrez peut-être votre position! Very Happy

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Il est clair que la pose de l'implant de l'émetteur fragilise le tuyau de la plume.
La cause en est souvent que le clip serre trop la plume et la fend verticalement, l'autre que les contraintes exercées sur l'émetteur par la pression de l'air lors des attaques amplifient encore ce phénomène. Dans tout les cas, les colles à deux composants sont les seules efficaces, car elles permettent de "souder" le clip au tuyau et renforcent également la structure propre du tuyau.

Les clips doivent être adaptés et surtout fixés à un niveau ou le tuyau est plus fin que le diamètre de l'émetteur, afin d'éviter de fendre la plume.... ( pas tjs simple )

L'utilisation de la télémétrie en montagne reste la plus difficile compte tenu du relief. Pour avoir tout essayé - sauf le harnais - je peux affirmer que seuls les clips de queue sont efficaces. Les emetteurs de patte réduisent nettement la portée de l'émetteur ( certainement lié au positionnement de l'oiseau qui fait barrière aux ondes ) et sont à proscrire en montagne.

J'utilisais autrefois 2 émetteurs, un de queue, un de patte sur le même oiseau, 5 fois sur 10 seul l'émetteur de queue émettait convenablement, quand l'émetteur de patte fonctionnait il renvoyait souvent sur des directions divergentes de la position de l'oiseau et de celle de l'émetteur de queue, ce qui m'a conduit à supprimer purement et simplement celui de patte.

Pour ce qui est des antennes, je n'ai jamais eu de problème, mais il faut impérativement les changer régulièrement et surtout penser à gainer à chaud la partie située au départ de l'émetteur, avec tjs un rajout de colle à 2 composants de manière à ce que l'antenne soit totalement soudée sur l'émetteur.

C'était le problème autrefois, ou les gaines n'étaient pas de bonne qualité et ou on était toujours à la merci d'un coup de bec intempestif de l'oiseau sur l'antenne, qui lachait systématiquement.

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J'ai de la peine à croire que le harnais soit sans incidence sur l'état du plumage, compte tenu de son principe même, auquel il faut ajouter les dégradations induites par les péripéties quotidiennes de l'oiseau.

Un émetteur de queue est moins susceptible de finir sous l'eau qu'un émetteur de patte. Il est aussi moins soumis aux chocs. L'oiseau a ses sonnettes aux pattes, ça me paraît bien (une forme arrondie qui n'offre pas de prises).

Reste que le raisonnement n'est pas forcément adapté pour les bas vol qui risquent d'accrocher l'émetteur et de s'arracher la rectrice plus facilement... ou qui n'ont plus de balai suffisant pour y accrocher un clip.

Personnelement, je contrôle systématiquement la fixation de l'antenne. Après, il m'arrive de ne pas mettre le contact de l'émetteur mais bon, il faut bien laisser un peu de boulot au bon Dieu.

Amicalement,

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Il y a déjà eu un post sur le harnais....un petit tour dessus et tout le monde se rafraichira la mémoire.

Quant à la plume de queue, chaque année j'en perds. Sous les "g" du piqué, l'émetteur pèse trop pour être tenu à une seule. Avant on l'attachait aux deux centrales. C'était peut-être la meilleure solution! study

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Citation :
Un émetteur de queue est moins susceptible de finir sous l'eau qu'un émetteur de patte


Tu voles un canard ou un pélerin ? Les émetteurs résistent parfaitement à l'eau - il faut toujours enduire la douille de silicone. Même après des bains prolongés dans un torrent je n'ai jamais eu le moindre pb à ce niveau, que l'émetteur soit de queue ou de patte.

Pour les harnais, les plumes ne risquent strictement rien, si risque il y a cela peut être au contact du harnaissur la chair de l'oiseau, pas sur les plumes. Rigo avait eu un pb de ce type, avec un harnais mal ajusté. ( c'est le risque, que ce soit harnais, clip ou jet )

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La meilleure solution consiste à mettre deux émetteurs sur l'oiseau (harnais et queue) comme le font beaucoup d'Américains. C'est la solution que j'ai adoptée pour mes gerfauts. En montagne, j'utilise deux émetteurs sur deux fréquences différentes (434 et 218).

J'ai des oiseaux équipés de harnais depuis 4 ans (ils le conservent pendant la mue) et je n'ai jamais eu de problème ni de dégradation au plumage. Par contre, avec les émetteurs fixés sur la queue, j'ai (comme tout le monde) eu plusieurs faucons qui ont eu des pennes de queue arrachées! Certaines ont repoussé, d'autres pas. Ces problèmes m'ont fait adopter le harnais ; je ne le regrette pas. Les harnais se placent en 10 minutes sans endormissement avec un oiseau chaperonné sur un bloc bas ou au poing.

Je n'ai jamais eu de problèmes d'antenne (dévissée ou coupée). L'antenne est renforcée par du thermo chauffé et ne se dévisse pas.

En ce qui concerne les oiseaux gorgés, si la digestion n'est pas commencée, il n'y a pas beaucoup de problèmes pour les reprendre au leurre ; ce n'est plus le cas après deux ou trois heures et ils passent la nuit dehors.

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Pour le harnais, qui semble être définitivement adopté par beaucoup de ceux qui l'utilisent, le seul problème semble être de passer le cap, ce que je n'ai pas fait, de peur de mal ajuster le harnais ou de mal m'y prendre.

Ce harnais à même la peau de l'oiseau me laisse malgré tout septique, quant aux risques de blessures ou d'ampoules ou infections, probablement à tort puisque je ne l'ai jamais essayé.

Pour ce qui est d'un oiseau gorgé ... bravo ! je n'ai jamais pu en récupérer un avant la nuit ! ni penser à les gorger pour les récupérer ! Very Happy

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J'ai essayé le harnais fixé par le vétérinaire de Gerfaut. Deux mois plus tard, l'oiseau était infecté à hauteur des épaules.

Cet oiseau s'était arraché la plume de cosse dans un de ses piqués. Par hasard j'ai la photo avec la plume détachée du faucon en plein vol. Le faucon, la plume avec l'émetteur et la prise sur la même photo: un document!

Faut dire que cet oiseau était très hautain (perte de vue) et ses piqués de gerfaut/pèlerins d'un brutalité habituelle pous les hybrides.

Ce faucon a été donné à un autre fauconnier belge qui avait des problèmes de santé. Ca a du lui faire du bien, depuis on ne parle plus d'opération alors qu'avant elles se succédaient régulièrement! cheers

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bonjour gerfaut
trouves tu une grosse difference de portée et surtout de facilité de localisation entre le 218 et 433 ?
je suppose que tu disposes de 2 recepteurs distincts chacun independants ?
la taille des antennes en 218 etant plus importantes la difference est elle vraiment flagrante ?
merci
david

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En effet je vole avec du 218 et du 434.

Les émetteurs que j'utilise sont des RT et RT+ de Marshall (dernière génération). Le 218 dont l'antenne est le double de celle en 434 est placé sur le harnais (elle ne dépasse pas la queue) tandis que le 434 est mis sur la queue.

Les récepteurs sont les suivants: un Marshall dernière génération qui balaie la plage 216-218, un 'vieux' Weinmann balayant de 433-435 et un Falconsat espagnol (431-435 Mhz).

Nous avons fait des essais en Ecosse en plaçant des émetteurs (RT et RT+ et un émetteur espagnol Falconsat) sur deux fréquences différentes (218 et 434). Les émetteurs ont été placés près du sol derrière un obstacle (je ne crois pas trop aux essais dans des conditions optimales -émetteur placé en hauteur ou oiseau en vol ; tous les émetteurs donnent un bon signal quand l'oiseau vole- et préfère les tests dans des conditions proches de celles de tous les jours).
Malgré le relief montagneux, les 433-435 étaient nettement supérieurs aux 218 (trois fois la distance - environ 30 km)! C'était très surprenant parce que j'ai toujours cru que les 216-218 donnaient de meilleurs résultats!

Un autre avantage du 433 est qu'on peut faire la recherche en voiture, ce qui est difficile avec le 216-218 parce que l'antenne du récepteur ne peut pas toujours être déployée à l'intérieur de la voiture et cela se termine souvent par une antenne croquée!

Je n'ai jamais perdu d'oiseau avec le récepteur Weinmann en 15 ans et plusieurs milliers de vols. Il est cependant (relativement) encombrant et lourd (1.5 kg).

Le nouveau récepteur espagnol falconsat est mignature (taille d'un Palm) et pèse 135 gr. A cause de sa taille, le haut-parleur est aussi plus petit.

Harnais:
La meilleure solution est de la placer de la manière 'indolore' sans endormissement de l'oiseau. La technique est parfaitement au point ; si on connait le poids, sexe et taille de l'oiseau, le point de couture peut être fait à l'avance et l'opération est vraiment rapide et indolore.

Quand l'émetteur est fixé sur le dos, il est souvent quasi invisible. Le seul problème est parfois de trouver la cosse sur le harnais avec certains oiseaux qui ont beaucoup de plumes comme les gerfauts.

Voici quelques photos de mes oiseaux équipés de harnais - vous verrez que l'émetteur n'est pas toujours très visible.

https://servimg.com/image_preview.php?i=14&u=11036812
https://servimg.com/image_preview.php?i=9&u=11036812
https://servimg.com/image_preview.php?i=10&u=11036812
https://servimg.com/image_preview.php?i=8&u=11036812
https://servimg.com/image_preview.php?i=13&u=11036812

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L'avantage du harnais est évident: si l'oiseau prend un fil il perd les deux ailes et non la plume Very Happy

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J'espère qu'il pleut en Belgique. Ce serait malvenu qu'il ne pleuve que chez nous. Je regarde le ciel par la fenêtre et me dit qu'il serait dangereux de faire voler un faucon par ce temps: il risquerait de se cogner sur un ciel si bas.
Belle collection d'oiseaux en effet. Il y en a pour tous les vols.
Amicalement,

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