BelleMuezza 0 Posté(e) le 26 décembre 2013 Sydney (AFP) - Trois brise-glaces étaient en route jeudi matin pour porter secours au navire russe d'une expédition scientifique, avec à son bord 74 personnes, bloqué par les glaces au large de l'Antarctique, une opération de secours coordonnée par les autorités australiennes.Selon l'Autorité australienne de sécurité maritime (AMSA), le MV Akademik Shokalskiy a envoyé un message d'appel à l'aide mercredi, indiquant qu'il était bloqué à environ 100 milles natiques de la base française Dumont d'Urville. "Le bateau se dirigeait (vers le large) lorsqu'il a été pris dans le blizzard", a indiqué à l'AFP le porte-parole de l'expédition Alvin Stone. "Il est bloqué par la glace mais il n'y a aucun danger". Trois brise-glaces étaient en route jeudi matin pour porter secours au navire russe d'une expédition scientifique, avec à son bord 74 personnes, bloqué par les glaces au large de l'Antarctique, une opération de secours coordonnée par les autorités australiennes. (c) AfpLe navire se trouve dans la zone dépendant des secours australiens, qui ont lancé un appel aux bateaux munis d'un brise-glace se trouvant dans la région. Trois ont répondu présent.Les trois embarcations, dont l'Aurora, qui fait partie de la flotte de la division Antarctique australienne, sont en route et devraient atteindre le navire russe vendredi en fin de journée. Ils sont accompagnés d'un navire chinois. EspaceDocs 6/9/2013Atteindre le bateau pourrait cependant être difficile, selon l'AMSA. "Il y a beaucoup de vent et on pourrait avoir des conditions de blizzard", a déclaré Andrea Hayward-Maher, de l'AMSA, au diffuseur public Australian Broadcasting Corporation. Si les conditions météo empirent, ça pourrait limiter nos options", a ajouté le porte-parole.A bord du navire russe figurent des scientifiques et des touristes qui refont l'expédition historique vers l'Antarctique entreprise il y a un siècle par l'explorateur australien Douglas Mawson et son équipe. On ignore si le MV Akademik Shokalskiy, qui est coincé à moins de 3 km de la pleine mer, poursuivra ses expériences scientifiques une fois dégagé ou s'il retournera vers la Nouvelle-Zélande.L'atmosphère à bord est bonne, a indiqué Alvin Stone. "Ils ont fêté Noël", a-t-il précisé.Sciences et avenir 26/12/2013 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Admin-lane 0 Posté(e) le 28 décembre 2013 Sydney (AFP) - Un brise-glace chinois qui devait porter secours à un navire scientifique russe bloqué par les glaces et le blizzard au large de l'Antarctique a lui-même été bloqué et a dû faire demi-tour, ont annoncé samedi les autorités maritimes australiennes.Le brise-glace chinois Snow Dragon aurait dû rejoindre dans la soirée de vendredi le navire russe MV Akademik Shokalskiy, bloqué depuis mardi à une centaine de milles nautiques à l'est de la base française Dumont d'Urville avec 74 personnes à bord.Le Snow Dragon est parvenu à 6,5 milles nautiques du bâtiment russe mais n'a pu poursuivre sa route, a annoncé l'Autorité australienne de sécurité maritime (AMSA), qui coordonne les opérations de secours. "Le navire chinois a malheureusement rencontré de la glace épaisse qu'il n'est pas capable de briser", a indiqué à l'AFP Andrea Hayward-Maher, porte-parole de l'AMSA. "Pour cette raison, il ne sera pas en mesure de poursuivre sa route jusqu'à l'Akademik Shokalskiy. Il a fait demi-tour. Malheureusement, l'opération de secours a échoué", a ajouté la porte-parole.Un responsable de l'AMSA, cité par la chaîne de télévision australienne ABC, a déclaré que d'autres options pour venir en aide au bâtiment russe seraient étudiées samedi.Depuis que le navire scientifique est bloqué, trois bâtiments ayant la capacité de briser la glace, le Snow Dragon chinois, le navire français L'Astrolabe et le navire australien Aurora Australis, se sont dirigés vers la zone pour tenter de lui porter secours.A bord de l'Akademik Shokalskiy se trouvent des scientifiques et des touristes qui reproduisent l'expédition historique menée dans l'Antarctique il y a un siècle (1911-1914) par l'explorateur australien Sir Douglas Mawson. Ils effectuent les mêmes expériences scientifiques que celles qu'avait alors menées l'expédition de Mawson.Sciences et avenir 26/12/2013 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Admin-lane 0 Posté(e) le 28 décembre 2013 Sydney (AFP) - Le brise-glace chinois qui devait porter secours au navire scientifique russe bloqué depuis mardi par les glaces en Antarctique a dû faire demi-tour, et les 74 scientifiques, touristes et membres d'équipage à bord de l'Akademik Shokalskiy plaçaient désormais leur espoir dans un brise-glace australien, attendu dimanche.[...]"Le navire chinois a malheureusement rencontré de la glace épaisse qu'il n'est pas capable de briser (et) a fait demi-tour", a indiqué à l'AFP Andrea Hayward-Maher, porte-parole de l'Autorité australienne de sécurité maritime (AMSA), qui coordonne les opérations de secours. Le brise-glace chinois qui devait porter secours au navire scientifique russe bloqué depuis mardi par les glaces en Antarctique a dû faire demi-tour, et les 74 scientifiques, touristes et membres d'équipage à bord de l'Akademik Shokalskiy plaçaient désormais leur espoir dans un brise-glace australien, attendu dimanche. (c) Afp"A l'horizon, à l'est, je pouvais voir le brise-glace chinois qui, nous l'espérions, allait arriver jusqu'à nous d'ici quelques heures en nous ouvrant une route pour sortir d'ici, mais il n'a tout simplement pas pu y arriver", a déclaré à la BBC le journaliste scientifique Andrew Luck-Baker, qui se trouve à bord du navire russe."Il a ralenti jusqu'à une vitesse d'environ un demi-noeud, et décidé de retourner à l'endroit où la mer commence et d'attendre l'arrivée d'un brise-glace australien. L'idée est maintenant que les deux navires s'approchent de nous en parallèle, en ouvrant une voie plus large", a-t-il ajouté.L'Astrolabe, le navire français, ayant dû renoncer à sa mission, les passagers de l'Akademik Shokalskiy plaçaient à présent leur espoir dans le brise-glace australien, attendu dans la zone tard dans la soirée de dimanche."Nous savons tous qu'il est possible que nous soyons réduits à une attente prolongée" a indiqué à l'AFP par téléphone satellitaire Andrew Peacock, un passager à bord de l'Akademik Shokalskiy. "Je pense que les gens attendent juste la prochaine étape, qui est l'arrivée du brise-glace australien", a-t-il ajouté, précisant que les passagers, ravis de l'avancée rapide du brise-glace chinois, avaient ressenti un sentiment de frustration devant la tournure qu'ont pris les événements par la suite.Et il n'est pas certain que l'Aurora Australis, même s'il est celui des trois navires sur place avec la plus forte capacité de briser la glace, pourra aller plus loin que le Snow Dragon. Le capitaine du brise-glace australien, Murray Doyle, a expliqué au Sydney Morning Herald que son navire pouvait d'un côté couper la glace jusqu'à une épaisseur de 1,35m, et, en se retournant, briser peu à peu de la glace plus épaisse. Mais l'Aurora Australis n'est pas vraiment équipé pour avancer dans une glace épaisse de plus de trois mètres, a-t-il ajouté. "C'est un peu comme de tenter de défoncer un mur de brique avec votre voiture", a-t-il déclaré.Sciences et avenir 28/12/2013 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
BelleMuezza 0 Posté(e) le 29 décembre 2013 Sydney (AFP) - Les passagers d'un navire russe piégé par les glaces près de l'Antarctique se préparaient dimanche à une nouvelle journée d'attente incertaine, le brise-glaces australien qui vogue à leurs secours n'ayant aucune garantie de parvenir à forcer l'épaisse couche gelée.Le MV Akademik Shokalskiy est immobilisé depuis mardi à une centaine de milles nautiques à l'est de la base française Dumont d'Urville. Trois bâtiments brise-glaces se sont dirigés vers la zone pour lui porter le secours, mais deux, le français l'Astrolabe et le chinois Snow Dragon, ont fait demi-tour, faute de capacités suffisantes. Les passagers d'un navire russe piégé par les glaces près de l'Antarctique se préparaient dimanche à une nouvelle journée d'attente incertaine, le brise-glaces australien qui vogue à leurs secours n'ayant aucune garantie de parvenir à forcer l'épaisse couche gelée. (c) AfpSamedi, le Snow Deagon était parvenu à moins de 7 milles natiques du navire russe, mais il a dû rebrousser chemin car la glace était trop épaisse.Les 74 personnes à bord de l'Akademik Shokalskiy, touristes, scientifiques et équipage, placent à présent leur espoir dans le brise-glace australien, l'Aurora Australis, attendu dans la zone dimanche soir. "Il va alors évaluer ses chances de briser la glace pour atteindre l'Akademik Shokalskiy", a indiqué à l'AFP l'Autorité australienne de la sécurité maritime (ASMA). S'il ne peut pas se frayer un passage, "nous essayerons d'utiliser l'hélicoptère à bord du brise-glaces chinois, auquel l'ASMA a demandé de rester dans les parages", a ajouté l'Autorité. NewsyWorld 28/12/2013Des trois brise-glaces envoyés sur la zone, l'australien est celui qui possède les capacités les plus puissantes, mais rien ne garantit qu'il parvienne à rejoindre le bateau russe. Il peut briser la glace d'une épaisseur de 1,60 mètre, mais l'Akademik Shokalskiy est prisonnier de glace de 3 mètres d'épaisseur.Le co-respondable de l'expédition russe, Greg Mortimer, a indiqué que le navire serait évacué grâce à l'hélicoptère du Snow Dragon, si le bateau australien échoue à s'approcher "au cours des tout prochains jours". Les passagers seront alors transportés vers d'autres navires et ramenés vers la terre via la mer de Ross ou la base australienne en Antarctique, Casey, a-t-il précisé. WorldBreakingNews 25/12/2013"Je pense que quelque 12 heures après l'arrivée de l'Aurora Australis sur la zone, nous aurons une idée de comment les choses vont se passer", a déclaré le co-responsable au quotidien britannique The Guardian, précisant que les vents allaient être un facteur clé. Les vents sud-est ont compressé la glace, la rendant encore plus dure à briser. Des vents d'ouest allègeraient la pression.Malgré l'échec de l'opération de la veille, l'atmosphère restait positive à bord, où les 74 passagers sont sains et saufs et dotés d'un bon moral. Chris Turney, lui aussi co-responsable de l'expédition, et le correspondant du Guardian Alok Jha ont mis en ligne un journal de bord vidéo au ton jovial. Les passagers jouent à des jeux de société, regardent des films et descendent sur la banquise pour aller regarder les manchots. BFMTV 28/12/2013A bord du navire russe se trouvent des scientifiques et des touristes australiens, britanniques et néo-zélandais qui reproduisent l'expédition historique menée dans l'Antarctique il y a un siècle (1911-1914) par l'explorateur australien Sir Douglas Mawson. Ils effectuent les mêmes expériences que celles qu'avait alors menées l'expédition de Mawson.Le bâtiment se trouvait dans une zone où les bateaux peuvent normalement circuler à cette époque de l'année, mais un brusque changement des conditions météo l'a poussé vers les glaces, avait indiqué vendredi un des scientifiques à bord.L'expédition a démarré il y a trois semaines et le navire devait rejoindre la Nouvelle-Zélande début janvier.Sciences et avenir 29/12/2013 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
birdy1972 0 Posté(e) le 30 décembre 2013 Sydney (AFP) - Le brise-glace australien parti à la rescousse d'un navire russe piégé par les glaces près de l'Antarctique a fait demi-tour lundi pour cause de mauvais temps, ont annoncé les autorités australiennes.L'Aurora Australis a dû battre en retraite à 10 milles nautiques du MV Akademik Chokalskiï, immobilisé depuis mardi dans la glace à une centaine de milles à l'est de la base française Dumont d'Urville, a indiqué l'Autorité australienne de la sécurité maritime (AMSA)."De mauvaises conditions météorologiques ont contraint l'Aurora Australis à retourner en pleine mer cet après-midi", a précisé l'AMSA."La zone dans laquelle le MV Akademik Chokalskiï est coincé enregistre actuellement des vents de 30 noeuds et des chutes de neige" qui réduisent la visibilité et rendent périlleuses les conditions de navigation, selon l'agence. Une nouvelle tentative sera lancée à la première embellie. Le ministère russe des Affaires étrangères a indiqué lundi que la plupart des passagers du navire seraient évacués par hélicoptère si la météo est favorable. "La décision a été prise d'évacuer 52 passagers et quatre membres d'équipage par un hélicoptère du bateau chinois Xue Long, si les conditions météorologiques le permettent", a précisé le ministère dans un communiqué.Le centre de coordination des secours en Australie est en contact régulier avec le navire, qui transporte 74 passagers, parmi lesquels des touristes et des scientifiques australiens, britanniques et néo-zélandais... Partis reproduire l'expédition historique menée dans l'Antarctique il y a un siècle (1911-1914) par l'explorateur australien Sir Douglas Mawson, tous sont en bonne santé. Ils effectuent les mêmes expériences que celles qu'avait alors menées l'expédition de Mawson.Deux autres brise-glace étaient partis à la rescousse du MV Akademik Chokalskiï - le français l'Astrolabe et le chinois Snow Dragon - mais ils ont dû faire demi tour faute de capacité suffisante pour fendre l'épaisse banquise.[...]Chris Turney, l'un des responsables de l'expédition scientifique, a indiqué dans un tweet que des crevasses étaient apparues dans la glace autour de la proue du bateau, espérant que cela pourrait aider à le libérer.S - A 30 DEC 2013 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Admin-lane 0 Posté(e) le 31 décembre 2013 Sydney (AFP) - L'équipage et les passagers d'un navire russe bloqué dans l'Antarctique s'apprêtent à fêter le Nouvel an au milieu de la banquise, en raison de mauvaises conditions météo qui empêchent leur évacuation par hélicoptère.Le MV Akademik Shokalskiy est immobilisé depuis mardi dans d'épaisses couches de glaces que trois brise-glace dépêchés sur place ne sont pas parvenus à fendre. Le navire se situe à une centaine de milles nautiques à l'est de la base française Dumont d'Urville. L'équipage et les passagers d'un navire russe bloqué dans l'Antarctique s'apprêtent à fêter le Nouvel an au milieu de la banquise, en raison de mauvaises conditions météo qui empêchent leur évacuation par hélicoptère. (c) AfpL'Aurora Australis, brise-glace australien, est parvenu lundi à s'approcher à 10 milles du navire piégé, où se trouvent 74 scientifiques, touristes et membres d'équipage, mais il a finalement dû battre en retraite à cause de chutes de neige et de vents givrants.Le ministère russe des Affaires étrangères avait indiqué lundi que 52 passagers du navire seraient évacués par hélicoptère si la météo le permettait. Compte tenu de la persistance du mauvais temps, l'Autorité australienne de la sécurité maritime (AMSA), qui coordonne les opérations, n'a pu organiser cette évacuation. "L'hélicoptère ne peut pas voler dans les conditions actuelles. Elles ne devraient pas s'améliorer avant demain et la décision de dépêcher les secours sur place sera prise à brève échéance", a indiqué l'ASMA. News Worlds 25/12/2013Un site d'atterrissage a été délimité sur la glace à côté du navire russe dans la perspective de l'opération, qui ne concernera que les passagers et pas les 22 membres d'équipage, a-t-on précisé de même source.Andrew Peacock, médecin de bord, a déclaré que les passagers étaient "frustrés" mais "s'étaient résignés à continuer à attendre", essayant de se remonter le moral avec une petite fête prévue pour le 31 décembre au soir, au bar du navire. Reuters 27/12/2013"On passe notre temps à lire, à se préparer pour une éventuelle évacuation par hélicoptère, à continuer les expériences scientifiques, ou à regarder des films et à écrire une chanson pour la Saint-Sylvestre", a-t-il déclaré à l'AFP."On sait que c'est un incident sérieux et que nous causons des contrariétés. On n'est pas tristes ou en colère, juste frustrés et on n'a pas d'autre choix que de prendre notre mal en patience et de garder le moral". World news 30/12/2013Le MV Akademik Shokalskiy a deux semaines de réserve de denrées fraîches et deux semaines supplémentaires de stock de nourritures déshydratées, mais selon Andrew Peacock, les boissons commencent à diminuer "avec juste assez d'alcool" pour fêter le Nouvel an.Sciences et avenir 31/12/2013 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Admin-lane 0 Posté(e) le 2 janvier 2014 Sydney (AFP) - Les 52 passagers du navire russe bloqué dans les glaces de l'Antarctique depuis plus d'une semaine ont été secourus par hélicoptère et se trouvaient à bord d'un navire australien, ont annoncé jeudi les sauveteurs.Les autorités de sauvetage en mer australiennes (Amsa) ont indiqué avoir été informées par l'Aurora Australis que "les 52 passagers du MV Akademik Chokalskiï étaient maintenant à bord". Tous les 52 touristes et scientifiques à bord d'un navire de recherche russe bloqués dans l'Antarctique ont maintenant été sauvés. Un hélicoptère chinois les a pris de l'Akademik Shokalskiy, bloqué par la glace depuis la veille de Noël. Les passagers ont été transférés sur un navire de ravitaillement australien, alors que les 22 hommes d'équipage russe . restent à bord du navire. Tous ssemblent en bonne santé. L'évacuation a finalement pu être réalisée après les tempêtes de neige, le brouillard et le mouvement des glaces de mer qui ont entravé les tentatives antérieures d'évacuation. euronews (in English) 2/1/2014Sciences et avenir 2/1/2014 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
BelleMuezza 0 Posté(e) le 4 janvier 2014 SYDNEY - Le navire chinois qui s'est porté au secours des passagers d'un navire russe piégé dans l'enfer blanc de l'Antarctique depuis plus d'une semaine est à son tour bloqué par les glaces, a-t-on appris samedi de source officielle.Le Xue Long --ou Dragon des neiges-- a fourni son hélicoptère pour participer au sauvetage des passagers du MV Akademik Chokalskiï, un navire russe bloqué depuis le 24 décembre par la banquise. Mais toutes ses tentatives pour manoeuvrer samedi matin et échapper à la banquise ont échoué, a indiqué l'Autorité maritime australienne dans un communiqué.Le navire chinois a indiqué qu'il ne souffrait d'aucune avarie, qu'il était en sécurité et qu'il ne demandait pas d'assistance, selon ce texte.Il n'y aucune danger immédiat pour l'équipage à bord du Xue Long, a ajouté l'Autorité maritime, précisant que le navire disposait de vivres pour plusieurs semaines.romandie 4/1/2014 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
mustang91 0 Posté(e) le 4 janvier 2014 Paris (AFP) - Les opérations de sauvetage du navire russe piégé en Antarctique perturbent les activités liées à la recherche, intenses en cette période d'été austral, a déploré vendredi le patron de l'Institut polaire français (IPEV), en plaidant pour un meilleur encadrement du tourisme dans la zone. Carte de localisation du navire russe bloqué en Antarctique à 100 milles nautiques de la base Dumont d'Urville (c) Afp"Il n'y a aucune raison de mettre l'Antarctique sous cloche et de le garder uniquement pour les scientifiques, mais il faut que ce tourisme soit contrôlé et encadré, de sorte qu'on soit certain de pouvoir porter secours en cas de souci", a indiqué à l'AFP Yves Frenot, directeur de l'Institut polaire français Paul-Emile Victor, qui met en oeuvre les programmes de recherche dans la région.Jeudi, les 52 passagers du MV Akademik Chokalskiï - des scientifiques, des touristes et des journalistes australiens, britanniques et néo-zélandais - ont été évacués par hélicoptère grâce à l'intervention de deux bateaux, un australien et un chinois. Les 22 membres d'équipage sont eux restés à bord du bateau, piégé depuis le 24 décembre à 180 kilomètres à l'est de la base française Dumont d'Urville.Le navire chinois était à son tour en difficulté vendredi, cerné par la banquise. L'Astrolabe, le navire français qui ravitaille Dumont d'Urville pendant l'été austral (entre octobre et mars environ), a aussi été réquisitionné une semaine par les secours. S'il juge "tout à fait normal" de porter assistance à un bateau en difficulté, Yves Frenot déplore le temps perdu pour secourir une "expédition pseudo-scientifique".Les passagers du navire russe reproduisaient l'expédition historique menée dans l'Antarctique il y a un siècle par l'explorateur australien Sir Douglas Mawson. Pour M. Frenot, "ce genre d'expédition commémorative n'a aucun intérêt du point de vue scientifique"."L'expédition a été présentée comme scientifique, alors qu'il y a surtout des touristes à bord, qui ont payé pour faire le voyage", renchérit dans le quotidien Le Monde daté de samedi le glaciologue Jérôme Chappellaz, du Laboratoire de glaciologie et de géophysique de l'environnement (LGGE) de Grenoble.En raison de ces opérations, les Français ont d'ores et déjà annulé une campagne océanographique de quinze jours prévue en janvier. "Mais on a de la chance. Pour les Chinois, toute l'activité scientifique prévue est fichue et mon collègue directeur de l'Institut polaire australien est fou furieux, parce que toute sa campagne tombe à l'eau...", commente M. Frenot. L'Antarctique abrite quelque 80 bases scientifiques dont une quarantaine permanentes situées en très grande majorité sur les côtes (seules trois sont situées à l'intérieur).Le ravitaillement de ces stations par voie maritime ne peut avoir lieu que durant l'été austral. "Si on veut que ces bases fonctionnent toute l'année, il est indispensable de les ravitailler pendant cette courte fenêtre en nourriture et en fioul", explique le patron de l'Institut polaire français.Le détournement de ces navires ravitailleurs pour des opérations d'assistance peut ainsi "mettre en péril" le ravitaillement des bases, ajoute-t-il. D'autant que l'approvisionnement de Dumont d'Urville est déjà perturbé depuis trois ans par les accumulations de glaces de mer dans la zone, consécutives à la rupture d'un important glacier côtier en février 2010.SCIENCES ET AVENIR 3 JAN 2014 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Admin-lane 0 Posté(e) le 5 janvier 2014 Les Etats-Unis ont envoyé un brise-glace pour aider à libérer un navire russe et un brise-glace chinois piégés dans les glaces de l'Antarctique. Il devrait arriver dans le secteur le 12 janvier, et sa mission devrait durer deux à trois jours. 24X7BreakingNEWS 5/1/2014Le Polar Star, un bâtiment de 120 mètres de long, dont la vitesse maximale est de 18 noeuds, est dépêché sur les lieux en réponse à une demande d'assistance des autorités australiennes et des gouvernements russe et chinois, ont annoncé samedi les gardes-côtes américains. NewsReport24 31/12/2013"On parle de l'Antarctique, qui est un défi en elle-même. Il y a la météo, il y a la glace. Mais nos équipages sont très bien entraînés et nous anticipons un succès", a déclaré l'adjudante-cheffe de la garde-côte, jointe par téléphone. Cette mission périlleuse fait suite au sauvetage jeudi soir des 52 passagers de l'Akademik Chokalski, un navire russe qui a été pris dans les glaces la veille de Noël.Le brise-glace chinois Xue Long (Dragon des Neiges), qui est équipé d'un hélicoptère embarqué, s'est porté la semaine dernière à leur secours et a permis leur évacuation vers un brise-glace australien avant d'être son tour pris au piège. CCTV News 4/1/2014Il est cerné par une couche de glace épaisse par endroits de 4 mètres, à une vingtaine de kilomètres des eaux libres, selon des journalistes de l'agence de presse officielle chinoise Chine Nouvelle, présents à bord. Les 22 membres de l'équipage russe de l'Akademik Chokalski sont quant à eux restés à bord.Le navire russe avait quitté la Nouvelle-Zélande le 28 novembre pour une expédition organisée à l'occasion du 100e anniversaire du voyage polaire de l'explorateur australien Douglas Mawson en Antarctique. skystudiohawaii 5/3/2011romandie 5/1/2014 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Admin-lane 0 Posté(e) le 7 janvier 2014 Le brise-glace chinois piégé par la banquise dans l'Antarctique est parvenu à se dégager, a rapporté mardi un média officiel, tandis que les passagers d'un navire russe qu'il avait secourus devaient rallier une base de recherche australienne.Le Xue Long («Dragon des neiges»), qui se trouvait bloqué depuis vendredi après avoir porté assistance à un bâtiment russe lui-même immobilisé par les glaces, s'est «déjà libéré» et s'est frayé un chemin jusqu'à des eaux où il pouvait naviguer librement, a annoncé l'agence Chine nouvelle. Le brise-glace chinois piégé par la banquise dans l'Antarctique est parvenu à se dégager, a rapporté mardi un média officiel, tandis que les passagers d'un navire russe qu'il avait secourus devaient rallier une base de recherche australienne. PO3 RACHEL FRENCH US COAST GUARDUn expert météorologue, Zhang Lin, cité plus tôt mardi par le quotidien China Daily, avait estimé que le Xue Long bénéficiait, en raison d'un vent d'ouest attendu dans la zone où il se trouvait, d'«une fenêtre relativement courte» lui permettant de se dégager. Le vent d'ouest était en effet censé aider à déplacer les morceaux de banquise entravant le brise-glace chinois, trois fois plus épais que ce que peut fendre le bâtiment, selon Chine nouvelle.De son côté, un brise-glace des garde-côtes américains, le Polar Star, est en route vers la zone pour tenter d'ouvrir un chenal aux marins et scientifiques bloqués.Le Xue Long a permis jeudi grâce à son hélicoptère d'évacuer les passagers du navire russe Akademik Chokalskiï, immobilisé depuis le 24 décembre à une centaine de kilomètres à l'est de la base française Dumont d'Urville.Mais, pourtant équipé pour se frayer un passage dans les glaces épaisses, le bâtiment chinois s'est à son tour retrouvé prisonnier d'une banquise épaisse de 4 mètres, victime de l'environnement extrême du continent blanc. Les eaux navigables les plus proches sont à une vingtaine de kilomètres du navire.«La Chine peut être fière» de l'opération de sauvetage réalisée par le Xue Long, a estimé dans un éditorial le quotidien chinois Global Times, en estimant que celle-ci avait été «saluée par l'opinion publique internationale».Le navire chinois est équipé d'une salle de sport, d'un cinéma et de tables de ping-pong. Ses réserves de vivres pourraient permettre à sa centaine d'hommes de tenir jusqu'en avril, mais ses réserves d'eau douce ne vont que jusqu'au mois prochain.Le groupe des 52 scientifiques, touristes et journalistes évacués du navire russe est attendu en Australie dans une quinzaine de jours, ont indiqué mardi les autorités australiennes. Ils arriveront dès mardi soir à la base de recherche australienne en Antarctique, Casey, à bord du navire de ravitaillement Aurora Australis. Ils avaient été transférés jeudi dernier par l'hélicoptère chinois de leur bateau à l'Aurora Australis.L'Aurora rentrera au port de Hobart, sur l'île australienne de Tasmanie, le 22 janvier, a indiqué Tony Fleming, le directeur de la division Antarctique d'Australie (AAD), une agence gouvernementale. Le navire de ravitaillement doit d'abord terminer sa mission pour la base de Casey, qui avait été interrompue pour l'opération de secours auprès de l'Akademik Chokalskiï, à 800 milles de là où il se trouvait.Les passagers secourus resteront à bord du navire australien pendant les opérations de ravitaillement, a précisé l'AAD.L'expédition du navire russe, destinée à reproduire les expériences scientifiques menées il y a un siècle par l'explorateur australien Douglas Mawson, a été vivement critiquée en Australie, pour avoir obligé plusieurs navires brise-glace scientifiques (le chinois Xue Long, le français Astrolabe, l'australien Aurora et l'américain Polar Star) à dévier de leur route pour lui venir en aide. Ces opérations ont ainsi retardé des missions scientifiques en Antarctique, conduisant à l'annulation de plusieurs projets, la saison pendant laquelle ils peuvent être menées étant relativement courte.20 minutes 7/1/2014 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Admin-lane 0 Posté(e) le 8 janvier 2014 Sydney (AFP) - La saga de Noël en Antarctique, avec ses navires piégés dans les glaces et leurs passagers tuant le temps parmi les manchots, s'est achevée mercredi après la libération par ses propres moyens du bateau russe.Une complexe opération de secours pilotée par l'Australie aura mobilisé pendant deux semaines d'importants moyens en hommes et en matériel pour tenter de dégager le MV Akademik Chokalskiï, bloqué à une centaine de kilomètres à l'est de la base française Dumont d'Urville. La saga de Noël en Antarctique, avec ses navires piégés dans les glaces et leurs passagers tuant le temps parmi les manchots, s'est achevée mercredi après la libération par ses propres moyens du bateau russe. (c) AfpAprès l'Astrolabe français et l'Aurora australien, au gabarit trop modeste pour fendre l'épaisse banquise, le brise-glace chinois Xue Long ("Dragon des neiges") s'est aventuré au plus près du navire russe malgré le blizzard et les icebergs dérivants.Son hélicoptère a permis l'évacuation la semaine dernière de ses 52 passagers, touristes et scientifiques, vers l'Aurora, mais le Xue Long s'est retrouvé à son tour prisonnier de "l'enfer blanc". Pékin a annoncé mardi qu'il avait fini par se frayer un chemin jusqu'à des eaux où il pouvait naviguer librement.Et l'Autorité australienne de sécurité maritime (Amsa) a confirmé mercredi la mise en mouvement de l'Akademik Chokalskiï. Les deux navires chinois et russe "se sont libérés des glaces en Antarctique et n'ont plus besoin d'assistance", a-t-elle indiqué. Un brise-glace des garde-côtes américains, le Polar Star, géant de 120 mètres, avait quitté Sydney pour tenter d'ouvrir un chenal aux navires en difficulté. Il a finalement repris sa mission initiale de ravitaillement des bases scientifiques américaines.Le capitaine du navire russe, Igor Kisselev, avait fait état mardi d'une fissure dans la banquise à la faveur d'un changement météo. "Enfin le vent a changé de direction et vient de l'ouest, ce qui a permis à la glace de se fissurer. Maintenant nous naviguons doucement vers le nord", avait-il dit.Après douze heures de navigation à faible vitesse et par visibilité réduite, il a gagné la pleine mer et se dirigeait mercredi, avec ses 22 membres d'équipage, vers la Nouvelle-Zélande.Quant au groupe de scientifiques, touristes et journalistes évacués à bord de l'Aurora, il est attendu en Australie dans une quinzaine de jours.L'opération coordonnée par l'Australie avec l'aide de la France, de la Chine, de l'Allemagne et des Etats-Unis "est un bon exemple de la coopération multilatérale dans les opérations en Antarctique", a souligné le patron de l'Amsa, Mick Kinley.Toutefois l'expédition du navire russe, destinée à reproduire les expériences scientifiques menées il y a un siècle par l'explorateur australien Douglas Mawson, a été vivement critiquée pour avoir obligé plusieurs navires à dévier de leur route. Ces opérations ont retardé des missions scientifiques en Antarctique, conduisant à l'annulation de plusieurs projets, la saison pendant laquelle ils peuvent être menés étant relativement courte. "Ce genre d'expéditions commémoratives n'a aucun intérêt scientifique", s'est emporté Yves Frenot, directeur de l'Institut polaire français Paul-Emile Victor.Les organisateurs australiens de l'expédition ont réfuté les accusations du scientifique français, expliquant que les mesures actuelles comparées à celles de Douglas Mawson devaient contribuer à l'évaluation des changements climatiques en Antarctique.Territoire international dédié à la science, l'Antarctique attire des chercheurs du monde entier, notamment des spécialistes du climat, mais aussi un nombre croissant de touristes.Ils étaient environ 4.000 par an au début des années 90 à vouloir admirer manchots, phoques et baleines dans le décor virginal des mers australes, contre 30.000 aujourd'hui.Sciences et avenir 8/1/2014 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
mustang91 0 Posté(e) le 10 janvier 2014 Wellington (AFP) - L'ampleur et la complexité des secours apportés au navire russe bloqué par les glaces en Antarctique pendant deux semaines soulignent les risques inhérents aux voyages touristiques dans ce continent aux conditions extrêmes, selon les experts.L'Antarctique est une des dernières frontières, offrant aux touristes --fortunés-- une immensité virginale de neige, glace et banquises, peuplée de baleines, de phoques et de manchots. TO GO WITH AFP STORY BY NEIL SANDS L'ampleur et la complexité des secours apportés au navire russe bloqué par les glaces en Antarctique pendant deux semaines soulignent les risques inhérents aux voyages touristiques dans ce continent aux conditions extrêmes, selon les experts. (c) Afp.Mais comme l'ont découvert les passagers du bateau russe Akademik Chokalskiï, le blizzard, les icebergs, une météo extrême et des mers dangereuses peuvent aussi faire partie du programme. Et sur ce continent isolé, les secours ont des milliers de kilomètres à parcourir avant d'arriver sur place.L'affaire de l'Akademik Chokalskiï "doit en effet nous rappeler qu'il s'agit d'un environnement extrême, que ce soit pour les expéditions scientifiques ou les croisières touristiques", déclare à l'AFP Daniela Liggett, spécialiste de la réglementation pour le tourisme en Antarctique à l'université de Canterbury, en Nouvelle-Zélande.De moins de 5.000 en 1990, le nombre de touristes atteint aujourd'hui les quelque 35.000 par an, selon les chiffres de la profession. La plupart arrivent par mer, payant jusqu'à 15.000 euros pour une cabine de luxe en haute saison (novembre à mars). D'autres admirent le paysage depuis les airs, dans un avion. Par DuWebInfo 27 jul.2013Le premier séjour touristique en Antarctique date de 1958: une centaine de passagers avaient payé leur place à bord du navire argentin Les Eclaireurs.Depuis, beaucoup s'alarment de l'impact de ces visites sur un continent vierge et fragile et des difficultés à venir en aide aux bateaux pouvant se trouver en difficulté."L'isolement est une spécificité de l'Antarctique et si quelque chose arrive à un gros bateau, et bien il sera quasiment impossible de venir en aide à tous les passagers rapidement", note Daniela Liggett.Les équipes de secours traditionnelles se trouvent à des milliers de kilomètres et l'aide retombe souvent sur les navires des expéditions scientifiques, perturbant des missions minutieusement préparées en raison de la brièveté de l'été austral. Par ARTEplusSEPT 12 nov.2013Yves Frenot, directeur de l'Institut polaire français Paul-Emile Victor, s'était indigné la semaine dernières des perturbations subies par les scientifiques français, chinois ou australiens, pour venir en aide à un bateau de touristes."Il n'y a aucune raison de mettre l'Antarctique sous cloche et de le garder uniquement pour les scientifiques, mais il faut que ce tourisme soit contrôlé et encadré, de sorte qu'on soit certain de pouvoir porter secours en cas de souci", avait-il déclaré.L'Akademik Chokalskiï s'était retrouvé coincé la veille de Noël à une centaine de km de la base française Dumont d'Urville. Un brise-glaces chinois, venu à sa rescousse, avait alors lui aussi été piégé par les glaces. Les deux bâtiments sont finalement parvenus à s'extirper de la banquise cette semaine. Par serge123456789100 17 mai.2012L'Astrolabe, le navire français qui ravitaille Dumont d'Urville pendant l'été austral, a été réquisitionné plusieurs jours, de même que le navire scientifique des Australiens.La bateau russe comptait à son bord des touristes et des scientifiques venus reproduire un siècle plus tard les expériences de l'explorateur australien Douglas Mawson. "Une expédition pseudo-scientifique" selon Yves Frenot.Les navires de croisière avalisés par l'Organisation internationale des organisation touristiques en Antarctique (IAATO) naviguent souvent par paire, afin de pouvoir se porter secours en cas de pépin, indique Daniela Liggett. Ces croisières veillent à abimer le moins possible l'environnement, assure-t-elle. "Elles vendent à leurs clients des paysages, la vie sauvage et un environnement intact. C'est dans leur intérêt de préserver tout ça". Par VIDEOPOLES 23 fév.2008Les bateaux de tourisme appliquent des mesures sévères de décontamination afin que les passagers n'apportent pas à terre des espèces exogènes ou des microbes, indique Amanda Lynnes, porte-parole de l'IAATO. Les bateaux transportant plus de 500 passagers ne les font pas descendre à terre. Les touristes deviennent à leur retour d'ardents défenseurs pour la protection du continent blanc, ajoute la porte-parole. "Les visiteurs (...) deviennent des ambassadeurs de bonne volonté pour la conservation de cette immensité vierge". Par euronews (en français) 8 jan.2014L'industrie du tourisme est aujourd'hui bien établie et les autorités doivent donc s'assurer qu'elle agisse de manière responsable, souligne-t-elle.Sciences et Avenir 10 jan.2014 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites