-
Compteur de contenus
6 020 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Forums
Blogs
Boutique
Calendrier
Téléchargements
Galerie
Articles animaux
Sites
Annuaire animalier
Petites annonces
Tout ce qui a été posté par RAF-nacannonce
-
Voici votre liste de course pour vos reptiles végétariens, omnivores mais aussi pour les proies des insectivores (grillons, blattes…). Aliments les plus appropriés constituant 80% de la ration alimentaire, ce sont les principaux aliments à acheter. Chaque repas est constitué d’au moins 3 de ces ingrédient, un des ingrédient doit être changé à chaque repas. (les chiffrres entre parenthèse indique le rapport calcium/phosphore): Feuillages : composent le principal support alimentaire. Frisée. Scarole. Feuilles de radis, feuille de chêne, pissenlit, bettes, luzerne, endives, trèfle. De l’herbe !!! Si si, l’herbe est une source de protéine très importante (16% contre 1 à 3% dans les salades) et de minéraux. Utilisez de l’herbe à chat par exemple. Légumes : courges et potirons comme les courges spaghettis, courge hubbard, les potirons, le courgeron (ou courge poivrée)… Ce sont parmi les seuls légumes réellement intéressants comme repas principal. Fruits : Papaye (5/1). Mangue (1/1 mais beaucoup de vitamine A). fruits rouges (surtout framboises et groseilles) agrumes (vitamines C). figues (2.5/1, de plus très riche en vitamines et en fibre, un des meilleurs fruits !). Aliments occasionnels qui peuvent être ajoutés deux fois par semaine car possédant des bienfaits spécifiques, ils ne doivent pas représenter plus du tiers de la ration. Ils doivent être saupoudrés de Ca. Feuillages et légumes : Mâche : très attractive pour les mauvais mangeurs. Persil, Basilic, menthe : Très riches en fibre et en minéraux, rapport Ca/P intéressant. Certains animaux raffolent de leur odeur forte, pour d’autres c’est un répulsif. Poivrons (pas toujours acceptés). Choux de tous types : riches en vitamines et minéraux si crus. En général le choux chinois et les brocolis sont les plus acceptés car ne sentent pas trop fort. Les choux fleurs et choux de Bruxelles sont les plus pauvres. Germes de soja ou haricots mungo pour leurs minéraux et leur attractivité. Céléri : Bonne source de minéraux. carottes : vitamines A et C. Fèves cuites : Riches en protéines et en minéraux. Utilisez des fèves en boite de conserves, même elles auront perdue une grande partie de leur vitamines. Fruits :sources de vitamines en général, mais surtout leur odeur et leur goût sucré est attractif : Kiwi : vitamine C. banane : attractive, idéale pour faire une purée pour les récalcitrants, mais à saupoudrer de calcium systématiquement. Les olives pour leur qualités énergétiques, idéales pour faire engraisser un animal qui a perdu du poids. Ne prenez que des olives fraîches non macérées qu’il faut réduire en purée et mélanger à des aliments sucrés. Autres fruits juteux : pêches, brugnons, pommes, poires, raisins (source de fibres), melon… Fleurs : Pétales de roses, fleurs d’hibiscus, fleurs de pissenlit, pâquerettes, trèfle. Autres : Riz ou semoule cuite. Pour certains animaux comme les Uromastyx, il faut disposer d’un bol rempli d’un mélange d’avoine, de riz et de semoule tous crus. Ils y puisent queues bouchées de temps en temps. Pour les autres : ce sont des aliments utiles sous forme cuite puis refroidie surtout pour des animaux en sortie d’hibernation (faciles à assimiler) ou les femelles gestantes. Ne pas en abuser car très riche en phosphore. Aliments à bannir : Légumes et feuillages: Laitue, battavia, romaine (salades à feuilles « larges », trop riche en phosphore, provoque parfois des diarhées). épinards (très pauvres contrairement aux idées reçues !), haricots et petits pois : Aucun intérêt nutritionnel. Pommes de terre. Courgette : trop riche en phosphore. Aubergine. (certains la classe dans les toxiques). Concombre : Dur à digérer, aucun intérêt nutritionnel. Autres : Pâtes alimentaires cuites, champignons à part certaines espèces comme les tortues du genre Terrapene qui raffolent des champignons de Paris ! A télécharger d'urgence: Tableau complet (en anglais) sur les qualité des aliments végétaux comme animaux. Document word à avoir dans son disque dur: Cliquez ici. http://gladstone.uoregon.edu/~hhumphre/BTSfoodrankings.doc (source: http://www.bluetongueskinks.net) :
-
-
-
-
-
-
Lampropeltis Triangulum Nelsoni Albinos à fond jaune Albinos à fond blanc Albinos juvénil Albino variation Apricot Albinos Bullseye Aberrant ou ligné (stripped) Patternless Hypoerythristic Hypomelanistic Millspaugh patternless ALBINO Normal V Albino Normal v Hypoerythristic Seib patternless Seib vanishing patternless Splotched albino Spotted Tricolor cosala Tricolor vs Apricot
-
-
Voili voila etant passionné du genre taeniuras entre autre . Je recherche des renseignement sur leur génétique étant donner que l'on a déja quelques phase il doit bien y avoir des explications ou renseignement. A moins qu'il y est une règle à appliqué. Peut être peut-on la même chose que les Pantherophis Donc si quelqu'un pouvait éclairé ma lanterne ou me donner un lien ce serait plus qu'apprécible. D'avance merci Raf
-
Les Risques animaliers La détention de serpents, notamment les espèces venimeuses, présente certains risques. I. Quelques rappels biologiques Ces rappels nous permettront de mieux comprendre ces animaux et ainsi de mieux évaluer les dangers qu'ils peuvent occasionner, selon les espèces. Les risques éventuels sont directement liés à la biologie des animaux et il n'est pas inutile de rappeler les points communs à toutes les espèces de serpents : la poïkilothermie : ce sont des animaux dont le sang a une température variable ils sont peu évolués au sens strict du terme ce sont tous des prédateurs ce sont des animaux discrets, fuyant les hommes ce sont des animaux apodes descendant des lézards ils ont des couleurs les rendant souvent peu visibles ils ont une morphologie tout-terrain ils ont un squelette entièrement articulé ils ont une musculature puissante ils se déplacent par reptation ce sont d'excellents grimpeurs Ils sont autant à l'aise sur terre que dans l'eau et ils se retrouvent dans tous les milieux terrestres : dans les forêts dans les déserts dans les zones humides dans la mer dans les arbres ils sont uniquement absents dans les zones polaires. Derrière la paroi vitrée d'un terrarium, il n'y a aucun risque. Le danger existe dès que les portes du vivarium s'ouvrent ou en cas de fuite du serpent hors de son enclos. Tous ces rappels montrent qu'en cas d'évasion d'un serpent, il ne faut exclure aucun endroit pour le chercher. Retrouver un spécimen peut se révéler être un vrai parcours du combattant. Il faut inspecter en priorité les endroits chauds et humides: derrière un radiateur, une chaufferie, la salle de bains... II. La prédation Tous carnivores, les serpents sont très bien équipés pour chasser. Ils ont une bonne vision, complétée d'un odorat efficace et d'un sens voméronasal développé. Sans rentrer dans une description anatomique détaillée qui fera l'objet d'un prochain article, soulignons quand même la présence d'un organe particulier chez le serpent : l'organe de Jakobson. Cet organe, situé au-dessus de la gueule, analyse, à chaque fois qu'ils sortent ou rentrent leur langue, des particules récoltées sur cette dernière, donnant ainsi à l'animal des informations olfactives précises sur son environnement. De même, certaines espèces possèdent des fossettes thermolabiales. Ces fossettes thermosensibles sont tapissées d'une couche de cellules qui renferme de nombreux thermorécepteurs reliés au cerveau. Ces cellules transmettent au cerveau du serpent des informations sur les variations de températures de son environnement et l'animal pourra se créer une image thermique de ce qui l'entoure, détectant ainsi la chaleur émise par les petits animaux à sang chaud qui constituent ses proies. Nous sommes toujours impressionnés en voyant un serpent avaler une proie en entier. Pour réaliser cet exploit dont il peut se vanter, le serpent possède un crâne et une mâchoire particuliers. La présence d'un os appelé “ os carré ” leur permet d'ouvrir la gueule à 180°. Les mâchoires inférieures de ces animaux sont reliées entre elles par un ligament, elles peuvent bouger indépendamment l'une de l'autre et faire avancer la proie dans la bouche au fur et à mesure. Tous les serpents n'ont pas la même dentition. On distingue 4 groupes de serpents classés selon leur type de dentition (de la moins élaborée à la plus évoluée) : les serpents aglyphes les serpents opistoglyphes les serpents solénoglyphes les serpents protéroglyphes 1) Les serpents aglyphes Les serpents dotés de ce genre de dentition sont les boas, les pythons, les couleuvres. Ce sont des serpents constricteurs qui étouffent leur proie. Ils ont une dentition sans dent creuse ou sillonnée qui pourrait injecter du venin. Les espèces qui peuvent atteindre de grandes tailles comme le python molure peuvent présenter des risques s'ils sont en liberté dans des pièces avec des jeunes enfants. 2) Les serpents opistoglyphes Les serpents dotés de ce genre de dentition sont les boomslang, boïgas, couleuvres. Ils sont venimeux, mais le danger est moindre, car les deux dents à sillon sont situées à l'arrière de la mâchoire, ce qui réduit le risque d'envenimation. Le venin est injecté pendant la déglutition. Deux espèces sont véritablement dangereuses: le boomslang et le serpent liane. 3) Les serpents protéroglyphes Les serpents dotés de ce genre de dentition sont les mambas, cobras, serpents corail. Leur venin est dangereux voire mortel. Ils injectent un venin qui tue la proie et facilite la digestion. Leur dentition présente deux dents profondément sillonnées situées à l'avant de la mâchoire. 4) Les serpents solénoglyphes Les serpents dotés de ce genre de dentition sont les vipères, crotales, bothrops, trimeresurus. Ils sont aussi dangereux voire mortels. Ils injectent un venin qui tue la proie et facilite la digestion. Leur dentition présente deux dents pourvues d'un canal interne à venin, ces crochets se déplient en ouvrant la gueule. III. Les risques en général Dépourvus de tout sentiment et d'affectivité, les serpents ne peuvent être considérés comme des animaux de compagnie. En réagissant de façon instinctive, ils peuvent causer des blessures sans intention de nuire à leur soigneur. Aucun serpent n'est méchant et, à la différence d'un chien, ils ne peuvent s'éduquer. Par contre, certains individus sont plus ou moins agressifs. 1) Les morsures simples : la gravité dépend de la taille du serpent risques limités si une désinfection soigneuse est effectuée risques réellement graves pour des enfants risques liés à la cohabitation directe avec les hommes risques limités si plusieurs personnes peuvent intervenir 2) Les étouffements : risques limités pour une personne adulte, uniquement valables pour les grands serpents ou lorsque le serpent est mis autour du cou. risques réels pour des enfants cohabitant avec un grand serpent. action de surprise lors d'une manipulation. 3) Les envenimations : Sur 2700 espèces, seulement 400 sont venimeuses, ce qui relativement modeste, sachant que tous les venins ne sont pas tous dangereux ou mortels. Il y a 5.400.000 morsures par an. 80 % en Asie 15 % en Afrique 5 % en Amérique du Sud et Centrale 50 % des morsures sont sans envenimation. Environ 125.000 décès par an. Ces chiffres donnent un aperçu de l'importance des risques d'envenimation, qui sont assez minces. Les cas mortels sont aussi assez rares, par rapport au nombre de morsures. Dans les régions exotiques, le risque est plus grand, car c'est là que vivent les serpents les plus venimeux et que les secours sont les moins performants: distance et durée trop longues pour la prise en charge, manque de matériels et de connaissances… Tous ces facteurs ne font qu'aggraver le risque de mortalité. Dans nos régions, le risque est moindre, car seules les vipères peuvent présenter un risque et notre système de soins est très au point. a) La gravité de l'envenimation dépend : de l'espèce du serpent des conditions de la morsure (attaque, défense) de la condition physique de la victime du temps écoulé jusqu'à l'administration des soins b) La fonction venimeuse : elle est la plus évoluée des vertébrés c'est un moyen de prédation et accessoirement de défense l'envenimation a une action digestive, le venin dégrade les tissus IV. Les venins Ils sont produits dans des glandes spécifiques. Les venins se composent : de protéines à 90 % d'acides nucléiques de lipides de carbohydrates Les protéines composent le principe actif des venins. Les venins peuvent avoir une action : neurotoxique cytotoxique hémotoxique Ils ont en général plusieurs de ces actions. Les toxines (elles se répartissent en 8 classes) se fixent sur un capteur spécifique. En fonction du récepteur, elles ont plusieurs effets : neurologiques cardio-vasculaires musculaires Le but est d'immobiliser la proie. Les enzymes (elles se répartissent en 5 classes) ont des propriétés catalytiques et transforment un élément défini. Contrairement aux toxines, elles peuvent transformer autant de molécules qu'elles rencontrent. Elles entraînent : des dommages capillaires des nécroses tissulaires des hémorragies internes Le but est de débuter la digestion. Toutes les classes de toxines ou d'enzymes ne sont pas présentes en même temps. Les risques réels en cas de morsure par un serpent venimeux: a) Morsure d'un serpent opistoglyphe : Venin neurotoxique, hémorragique Symptômes : saignements de la plaie hémorragie des gencives, des muqueuses céphalées, nausées Avec un traitement symptomatique, l'envenimation reste en général sans conséquences graves excepté pour le boomslang et le serpent liane. b) Morsure d'un serpent protéroglyphe : Venin neurotoxique, hémotoxique Syndrome cobraïque : troubles de la sensibilité (paresthésies locorégionales) paralysie respiratoire syndrome muscarinique ( ptosis, vomissements, hypersécrétion bronchique …) troubles du rythme ventriculaire troubles de la vision, de l'ouie, vertiges pas de signes inflammatoires destruction de la rétine en cas de projection dans les yeux, mais inoffensif sur la peau Traitement : Réanimation Assistance respiratoire Sérum thérapie Lavage de l'œil à l'eau en cas de projections Sans traitement, la mort survient dans les douze heures ou parfois plus pour des espèces marines. c) Morsure de solénoglyphes : Venin hémotoxique, cytotoxique en général Syndrome vipérin : syndrome local marqué et hémorragique syndrome hémorragique qui peut durer 8 à 10 jours (saignements de parties saines) douleur et œdème immédiats parfois nécrose humide ou gangrène gazeuse vertiges, fièvre Traitement réanimation symptomatique si forme grave (remplissage vasculaire, ventilation assistée, épuration extra rénale) sérum thérapie ou immunothérapie héparine inutile chirurgie réparatrice Sans traitement, la mort survient par choc hémorragique ou par une hémorragie cérébro-méningée. Conduite à tenir en cas de morsure : Mettre la victime en position couchée. Alerter les secours. Veiller à ce que la victime ne fasse aucun effort physique. Calmer voire sédater la victime. Calmer la douleur : paracétamol (élapidés), morphine (vipéridés). Mettre de la glace enveloppée dans un linge près de la morsure. Recueillir tous les éléments qui permettront d'identifier l'espèce de serpent (lieu géographique de la morsure, couleur, forme de la tête…), ramener le cadavre si possible. Laver les yeux à l'eau claire en cas de projection de venin. Questionner la victime sur la date de son dernier vaccin antitétanique. Transporter la personne vers un hôpital au plus vite. Notons pour conclure que les serpents sont victimes de leur mauvaise réputation, car comme nous l'avons vu, peu d'espèces sont venimeuses et quand elles le sont, les risques sont relatifs.
-
voici comment réaliser vous même les injections intra-muscul
RAF-nacannonce a posté un sujet dans Notes médicales
Voici comment réaliser vous même les injections intra-musculaire Les antibiothérapies par voie intramusculaire permettent de soigner de nombreuses pathologies chez les reptiles :pneumonies, problèmes respiratoires ,septicémies, dermites bulleuses,et toute autre infection d'origine bactérienne . Ainsi ,les dermites et les pneumonies sont soignées avec le même antibiotique à large spectre,le Baytril (Enrofloxacine),dont le dosage doit être précis et méticuleux,étant donné sa toxicité et ses possibles effets secondaires un animal malade voit ses défenses immunitaires chuter ,et l'efficacité de tout traitement médical diminuer,si les températures de maintenance sont trop basses et/ou s'il est stressé.Une légère augmentation des températures de maintenance et une minimisation du stress (pas de manipulations ,isolation des spécimens malades en terrarium individuel,présence de cachettes multiples et adaptées)s'imposent donc. POUR LES SERPENTS: l'injection se fait dans le premier tiers du corps en partant de la tête:le système-porte rénal des ophidiens rendrait inefficace une injection pratiquée vers la queue.On repère la colonne vertébrale,on désinfecte la zone à piquer,et on visualise la section du corps du serpent comme un carré :la colonne doit se trouver au milieu du côté "haut" du carré,correspondant au dos.On piquera dans l'un ou l'autre des angles,en enfonçant l'aiguille de quelques millimetres seulement en l inclinant à 45°,l'idéal étant qu'une autre personne tienne le serpent en même temps.On piquera bien entre deux écailles pour que l'aiguille passe sans problèmes,et on videra doucement le contenu de la seringue.Une piqure trop profonde risquerait d'atteindre -et de perforer- un poumon,donc pour un regius de 5cm de diamètre on enfoncera de 5mm,et de 1-2 millimètres grand maximum pour une jeune pantherophis (elaphe)de 6mm de diamètre .La zone idéale se situe à un peu moins d'1/3 de la longueur du serpent en partant de la tête. POUR LES LEZARDS ,TORTUES ET AMPHIBIENS: l'injection sera pratiquée dans un des muscles de la cuisse d'une patte avant ou arrière,en enfonçant l'aiguille de 2mm pour les petites espèces et 5 pour les grands sauriens et les grosses tortues . -les injections sous-cutanées: pincer légèrement la peau entre les côtes de l'animal et introduire à peine l'aiguille avec un angle presque parallèle au corps de l'animal. Pour les injections intraveineuses: il faut repérer les veines apparentes sur l'animal et enfoncer l'aiguille dedans. se type d injection étant tres délicate a réaliser selon les espèces je préconise de passer par un vétérinaire pour ne pas créer de lésion a vos reptiles. -
Adresse et telephone de la DDSV sur le territoire français
RAF-nacannonce a posté un sujet dans Législation
Adresse et telephone de la DDSV sur le territoire français et DOM-TOM D.S.V. de l'Ain (01) Chemin de la Miche - Cénord - 01012 Bourg en Bresse Tél. 04 74 45 6180 - Fax: 04 74 45 00 75 D.S.V. de l'Aisne (02) 3, rue Femand Christ - 02007 Laon cedex Tél. 03 23 28 69 80 - Fax: 03 23 28 69 90 D.S.V. de l'Allier (03) Rue Aristide Briand - B.P.42 - 03402 Yzeure cedex Tél. 04 70 48 35 90 - Fax: 04 70 48 35 99 D.S.V. des Alpes de Haute Provence (04) Rue Nicéphore Niepce - BP 9028- ZI St Christophe - 04990 Digne les Bains cedex Tél. 04 92 36 60 50 - Fax: 04 92 36 60 60 D.S.V. des Hautes Alpes (05) 5, rue des Silos - B.P.63 - 05002 Gap cedex Tél. 04 92 51 89 09 - Fax: 04 92 51 89 00 D.S.V. des Alpes Maritimes (06) Les Templiers - 105 Rte des Chappes - BP 122 - 06903 Sophia Antipolis Cedex Tél. 04 92 96 55 92 - Fax : 04 92 96 55 96 D.S.V. de l'Ardèche (07) 6, bd de la Glacière -BP 706 - 07007 Privas cedex Tél. 04 75 66 05 50 - Fax : 04 75 66 05 69 D.S.V. des Ardennes (08). 44, rue du Petit Bois - 08013 Charleville Mézières cedex Tél. 03 24 33 65 35 - Fax 03 24 33 65 44 D.S.V. de l'Ariège (09) Rue de Las Escoumes - BP 83 - 09007 Foix cedex Tél. 05 61 02 16 00 - Fax 05 61 02 16 20 D.S.V. de l'Aube (10) Chemin des Champs de la Loge -BP 376 - 10025 Troyes cedex Tél. 03 25 80 37 13 - Fax 03 25 80 71 00 D.S.V. de l'Aude (11) 144, rue Trivalle - 11000 Carcassonne Tél. 04 68 11 16 40 - Fax 04 68 11 16 59 D.S.V. de l'Aveyron (12) Zone Bel Air - Rue des Artisans - 12031 Rodez cedex 9 Tél : 05 65 67 86 20 - Fax : 05 65 67 86 29 D.S.V. des Bouches du Rhône (13) 66a, rue Saint Sébastien -BP- 23 - 13447 Marseille cedex 06 Tél. 04 91 13 48 60 - Fax: 04 91 81 23 15 D.S.V. du Calvados (14) 6, bd Général Vanier - La Pierre Heuzé - 14070 Caen cedex 5 Tél. 02 31 24 99 99 - Fax: 02 31 24 98 02 D.S.V. du Cantal (15) 10, place du Champ de Foire - BP 507 - 15005 Aurillac cedex Tél. 04 71 64 33 83 - Fax 04 71 64 84 68 D.S.V. de la Charente (16) Rue Louis Pergaud - 16021 Angoulême cedex Tél. 05 45 67 00 00 - Fax 05 45 67 05 27 D.S.V. de Charente Maritime (17) 2, avenue de Fétilly - 17072 La Rochelle cedex 9 Tél. 05 46 68 60 00 - Fax 05 46 27 56 01 D.S.V. du Cher (18) 216, rue Louis Mallet - 18014 Bourges cedex Tél. 02 48 27 56 00 - Fax 02 48 27 56 01 D.S.V. de la Corrèze 1, rue Gaston Ramon - 19012 Tulle cedex Tél. 05 55 29 97 00 - Fax 05 55 26 88 37 D.S.V. de Corse du Sud (2A) Immeuble le Pélican - Résidence Parc Azur - 20O90 Ajaccio Tél. 04 95 22 09 70 - Fax 04 95 22 29 79 D.S.V. de la Haute Corse (2B) RN 193 - Casatorra - 20620 Biguglia Tél. 04 95 58 9100 - Fax 04 95 33 19 86 D.S.V. de Côte d'Or (21) 4, rue Hoche - BP 1533 - 21035 Dijon cedex Tél. 03 80 43 43 01 - Fax 03 80 43 23 01 D.S.V. de Côtes d'Armor (22) 9, rue du Sabot - BP 34 - 22440 Ploufragan Tél. 02 96 01 37 10 - Fax 02 96 01 37 29 D.S.V. de la Creuse (23) 9, avenue Fayolle - BP 321 - 23006 Guéret cedex Tél. 05 55 41 72 20 - Fax 05 55 41 72 39 D.S.V. de la Dordorgne (24) 26, rue du 26ème R.I. - 24016 Périgueux cedex Tél. 05 53 45 56 00 - Fax 05 53 45 57 12 D.S.V. du Doubs (25) 10 Chemin de la Clairière - 25043 Besançon cedex Tél. 03 81 60 74 60 - Fax 03 81 53 09 83 D.S.V. de la Drôme (26) 3, rue Rossini –26000 Valence Tél. 04 75 82 17 60 - Fax 04 75 82 17 31 D.S.V. de l'Eure (27) 14 Rue du Dr Michel Beaudoux - 27023 EVREUX Cedex Tél. 02 32 39 83 00 - Fax 02 32 31 29 97 D.S.V. de l'Eure et Loir (28) Rue de la Maladrerie -ZA du Coudray - 28630 Le Coudray Tél. 02 37 90 72 18 - Fax 02 37 35 18 12 D.S.V. du Finistère (29) 7, rue Jacques Turgot - Cité Administrative Tynay - 29334 Quimper cedex Tél. 02 98 64 36 36 - Fax 02 98 95 81 33 D.S.V. du Gard (30) 1120 route de St Gilles - BP 78215 - 30942 Nimes Cedex 9 Tél. 04 66 04 47 20 - Fax 04 66 04 47 21 D.S.V. de la Haute Garonne (31) 10, chemin des Capelles - 31300 Toulouse Tél. 05 34 50 17 31 - Fax 05 61 31 06 69 D.S.V. du Gers (32) 108, avenue de la 1ère Armée Française - 32020 Auch cedex 9 Tél. 05 62 60 61 20 - Fax 05 62 63 62 94 D.S.V. de la Gironde (33) 6, rue du Moulin Rouge - BP 90 - 33019 Bordeaux cedex Tél. 05 56 42 44 60 - Fax 05 56 42 21 17 D.S.V. de l'Herault (34) DDAF Maison de l'Agriculture Place Chaptal - 34261 Montpellier cedex 2 Tél. 04 67 34 28 50 - Fax 04 67 34 29 90 D.S.V. de l'Ille-et-Vilaine (35) 24 Rue Antoine Joly - BP 3165 - 35031 Rennes cedex Tél. 02 99 59 89 00 - Fax 02 99 59 89 59 D.S.V. de l'Indre (36) Cité administrative -BP 617 - 36020 Châteauroux cedex Tél. 02 54 60 38 00 - Fax 02 54 27 06 99 D.S.V. de l'Indre-et-Loire (37) 46, avenue Gustave Eiffel - BP 9526 - 37095 Tours cedex 2 Tél. 02 47 49 50 80 - Fax 02 47 49 50 81 D.S.V. de l'Isère (38) 20, avenue Saint Roch - 38028 Grenoble cedex 1 Tél. 04 76 63 33 00 - Fax 04 76 54 82 23 D.S.V. du Jura (39) 4 Avenue du 44ème R.I. - BP 396 - 39016 Lons le Saunier cedex Tél. 03 84 43 40 00 - Fax 03 84 43 40 80 D.S.V. des Landes (40) 120, avenue Pasteur - 40010 Mont de Marsan Cedex Tél. 05 58 06 69 00 - Fax 05 58 06 69 19 D.S.V. du Loir-et-Cher (41) 6, rue Louis Bodin - 41011 Blois cedex Tél. 02 54 55 47 53 - Fax 02 54 78 65 34 D.S.V. de la Loire (42) 22, rue Balay -42022 St Etienne cedex Tél. 04 77 43 53 00 - Fax 04 77 43 53 02 D.S.V. de la Haute Loire (43) 16, rue de Vienne - BP 348 - 43012 Le Puy en Velay cedex Tél. 04 71 05 32 30 - Fax 04 71 05 59 01 D.S.V. de la Loire Atlantique (44) Erdre active La Bérangère 2, rue de Thessalie - BP 4209 - 44242 La Chapelle sur Erdre Cedex Tél. 02 40 72 93 50 - Fax 02 40 72 93 51 D.S.V. du Loiret (45) 1bis, rue St Euverte - 45043 Orléans cedex 01 Tél. 02 38 78 00 40 - Fax 02 38 78 00 49 D.S.V. du Lot (46) Cité administrative - quai Cavaignac - BP 281 - 46005 Cahors cedex 9 Tél. 05 65 53 24 00 - Fax 05 65 23 91 03 D.S.V. du Lot-et-Garonne (47) Cité administrative Lacuée - 47031 Agen cedex Tél. 05 53 98 51 47 - Fax 05 53 98 51 30 D.S.V. de la Lozère (48) Zone artisanale - rue du Gévaudan – 48000 Mende Tél. 04 66 65 70 75 - Fax 04 66 49 19 82 D.S.V. de Maine-et-Loire (49) Cité administrative - 26 ter, rue de Brissac - 49047 Angers cedex 01 Tél. 02 41 79 68 30 - Fax 02 41 79 68 48 D.S.V. de la Manche (50) Route de Bayeux - 50009 St Lô cedex Tél. 02 33 72 60 70 - Fax 02 33 72 60 71 D.S.V. de la Marne (51) Cité administrative Tirlet -51036 Châlons en Champagne Tél. 03 26 68 62 73 - Fax 03 26 70 54 99 D.S.V. de la Haute-Marne (52) Cité administrative départementale - BP 522 - 52011 Chaumont cedex Tél. 03 25 30 73 73 - Fax 03 25 03 63 99 D.S.V. de la Mayenne (53) 224, rue du Bas des Bois - B.P. 1427 - 53014 Laval cedex Tél. 02 43 49 55 64 - Fax 02 43 56 91 06 D.S.V. de Meurthe-et-Moselle (54) Domaine de Pixérécourt -BP 39 - 54220 Malzeville Tél. 03 83 29 80 40 - Fax 03 83 29 80 45 D.S.V. de la Meuse (55) 11, rue Jeanne d'Arc - BP 539 - 55013 Bar le Duc cedex Tél. 03 29 79 07 97 - Fax 03 29 79 94 18 D.S.V. du Morbihan (56) 6, avenue Edgar Degas - 56019 Vannes cedex Tél. 02 97 63 29 45 - Fax 02 97 40 57 83 D.S.V. de la Moselle (57) 1, rue de Bort les Orgues - St Julien les Metz - 57078 Metz cedex 3 Tél. 03 87 37 76 01 - Fax 03 87 36 69 48 D.S.V. de la Nièvre (58) 24, rue Charles Roy - BP 92 - 58020 Nevers cedex Tél. 03 86 71 52 01 - Fax 03 86 71 52 03 D.S.V. du Nord (59) 52, rue de Maubeuge -BP 3 - 59008 Lille cedex Tél. 03 20 29 87 40 - Fax 03 20 86 16 71 D.S.V. de l'Oise (60) 18, rue Arthur et Albert Desjardins -60022 Beauvais cedex Tél. 03 44 06 32 91 - Fax 03 44 45 30 06 D.S.V. de l'Orne (61) 19-21, rue Candie -BP 538 - 61016 Alençon cedex Tél. 02 33 82 36 82 - Fax 02 33 32 21 21 D.S.V. du Pas-de-Calais (62) Rue du 19 mars 1962 - BP 19 - Dainville - 62022 Arras cedex Tél. 03 21 21 26 26 - Fax 03 21 21 26 27 D.S.V. du Puy-de-Dôme (63) RN 89 Marmilhat -BP 42 - 63370 Lempdes Tél. 04 73 42 14 96 - Fax 04 73 42 15 30 D.S.V. des Pyrénées-Atlantiques (64) Cité Administrative - cours Lyautey - BP 590 - 64012 Pau cedex Tél. 05 59 02 10 80 - Fax 05 59 02 89 62 D.S.V. de Hautes-Pyrénées (65) Centre Kennedy - Boulevard Kennedy - 65025 Tarbes cedex 9 Tél. 05 62 44 56 00 - Fax 05 62 44 56 05 D.S.V. de Pyrénées-Orientales (66) 1, impasse de la Vigneronne -66000 Perpignan Tél. 04 68 85 15 91 - Fax 04 68 54 49 51 D.S.V. du Bas-Rhin (67) 2, place de l'Abattoir - 67200 Strasbourg Tél. 03 88 27 70 27 - Fax 03 88 29 76 76 D.S.V. du Haut-Rhin (68) 21, rue d'Agen - 68020 Colmar cedex Tél. 03 89 20 19 40 - Fax 03 89 23 60 36 D.S.V. du Rhône (69) 245, rue Garibaldi -69422 Lyon cedex 03 Tél. 04 72 61 37 00 - Fax 04 72 61 37 24 D.S.V. de Haute Saône (70) 4, place René Hologne -BP 359 - 70014 Vesoul cedex Tél. 03 84 96 17 40 - Fax 03 84 96 17 25 D.S.V. de Saône-et-Loire (71) 267, rue des Epinoches -71000 MACON Tél. 03 85 33 52 00 - Fax 03 85 38 38 62 D.S.V. de la Sarthe (72) 37, rue de Bellevue -72016 Le Mans cedex 2 Tél. 02 43 54 11 33 - Fax 02 43 54 11 34 D.S.V. de la Savoie (73) 321, chemin des Moulins - 73000 Chambéry Tél. 04 79 33 15 18 - Fax 04 79 33 06 19 D.S.V. de Haute-Savoie (74) 22, rue du Pré Fornet -BP 82 -74603 Seynod cedex Tél. 04 50 10 90 70 - Fax 04 50 10 90 80 D.S.V. de Paris (75) 107 bis, rue du faubourg St Denis - 75010 Paris Tél. 01 44 79 51 51 - Fax 01 44 79 51 70 D.S.V. de Seine-Maritime (76) Avenue du Grand Cours - 76107 Rouen cedex Tél. 02 32 81 82 32 - Fax 02 35 72 52 76 D.S.V. de Seine-et-Marne (77) 35 bis, rue Albert Moreau - 77008 Melun cedex Tél. 01 64 10 43 50 - Fax 01 64 10 43 79 D.S.V. des Yvelines (78) 9, rue des Réservoirs - 78000 Versailles Tél. 01 30 84 01 30 - Fax 01 30 84 01 49 D.S.V. des Deux-Sèvres (79) 210, avenue de la Venise Verte - BP 525 - 79022 Niort cedex Tél. 05 49 79 37 44 - Fax 05 49 79 96 50 D.S.V. de la Somme (80) Centre administratif départemental - 1, bd du Port - 80039 Amiens cedex 1 Tél. 03 22 97 23 45 - Fax 03 22 97 23 47 D.S.V. du Tarn (81) 188, rue de Jarlard - 81011 Albi cedex 9 Tél. 05 63 77 39 00 - Fax 05 63 77 39 09 D.S.V. de Tarn-et-Garonne (82) 140, avenue Marcel Unal - BP 955 - 82009 Montauban Cedex Tél. 05 63 21 25 40 - Fax 05 63 66 78 14 D.S.V. du Var (83) Place Noël Blache - BP 122 - 83071 Toulon cedex Tél. 04 94 92 47 40 - Fax 04 94 92 47 53 D.S.V. du Vaucluse (84) 285, rue Raoul Follereau -BP 899 - 84085 Avignon cedex 02 Tél. 04 90 16 41 41 - Fax 04 90 16 41 40 D.S.V. de Vendée (85) 18, rue Galliéni - BP 795 - 85020 La Roche sur Yon cedex Tél. 02 51 47 63 00 - Fax 02 51 46 05 44 D.S.V. de la Vienne (86) 39, rue de beaulieu -86034 Poitiers cedex Tél. 05 49 44 81 42 - Fax 05 49 01 67 99 D.S.V. de Haute-Vienne (87) 11, rue Auguste Comte -ZI Nord- 87280 Limoges Tél. 05 55 04 65 65 - Fax 05 55 38 42 95 D.S.V. des Vosges (88) 4, avenue du Rose Poirier - Parc Economique du Saut le Cerf - BP 1029- 88060 Epinal cedex 9 Tél. 03 29 68 48 50 - Fax 03 29 68 48 54 D.S.V. de l'Yonne (89) 8, avenue du 4ème R.I. -B.P. 19 - 89010 Auxerre cedex Tél. 03 86 94 22 50 - Fax 03 86 94 22 51 D.S.V. du Territoire-de-Belfort (90) Place de la Révolution française - BP 279 - 90005 Belfort cedex Tél. 03 84 21 98 50 - Fax 03 84 21 98 56 D.S.V. de l'Essonne (91) Boulevard de France - 91010 Evry cedex Tél. 01 69 91 95 60 - Fax 01 69 91 95 43 D.S.V. des Hauts de Seine (92) 45, rue Paul Vaillant Couturier - 92300 Levallois Perret Tél. 01 47 59 90 41 - Fax 01 47 58 08 12 edit: changement du numéro de téléphone D.S.V. de Seine-Saint-Denis (93) Cité administrative n°2 bat. J - avenue Paul Vaillant Couturier -93007 Bobigny Cedex Tél. 01 41 60 55 21 - Fax 01 48 30 12 67 D.S.V. de Val-de-Marne (94) 12, rue du Séminaire - 94516 Rungis cedex Tél. 01 45 60 60 00 - Fax 01 45 60 60 20 D.S.V. du Val d'Oise (95) Bâtiment administratif Jacques Lemercier - 5, avenue de la Palette -95000 Cergy Pontoise Tél. 01 34 20 15 30 - Fax 01 34 20 15 35 D.S.V. de la Guadeloupe (971) Antenne des Abymes - Jardin d'Essais - 97139 Les Abymes Tél. 0 590 21 57 76 - Fax 0 590 90 23 41 D.S.V. de la Martinique (972) Parc Naturel Régional de Tivoli - BP 671 - 97262 Fort de France cedex Tél. 05 96 64 89 64 - Fax: 05 96 64 23 74 D.S.V. de Guyane (973) Bld de La République - BP 7017 - 97307 Cayenne Cedex Tél. 05 94 31 01 93 - Fax: 05 94 37 83 23 D.S.V. de la Réunion (974) Parc de la providence - Bld de La Providence - 97488 St Denis cedex Tél. 02 62 48 61 00 - Fax: 02 62 48 61 30 D.S.V. de Mayotte (976) ZI Kaweni - BP 40 - 97600 Marnoudzou Tél. 02 69 61 11 41 - Fax: 02 69 61 11 47 Nouvelle Calédonie (988) Service Vétérinaire et de la Protection des Végétaux BP 256 - 98845 Nouméa Tél. 00 687 24 37 46 - Fax: 00 687 25 11 12 St Pierre et Miquelon Direction de l'agriculture et de la Forêt BP 4244 - 3 Rue Albert Briand - 97500 St Pierre et Miquelon Tél. 0 508 41 19 80 - Fax 0 508 41 19 85 Polynésie Ministère de l'Agriculture et de l'élevage BP 2551 - 98714 Papeete 00 689 42 68 08 - Fax 00 689 42 58 32 Wallis et Futuna Service d'état de l'Agriculture BP 19 - Mata Utu - 98600 UVEA Tél. 00 681 72 04 07 - Fax00 681 72 25 44 -
Habitat Naturel La famille des dendrobatidés compte plusieurs genres, regroupant chacun plusieures espèces. Les genres concernés sont Dendrobates, Phyllobates, Aromobates, Epipedobates, Colosthethus, Minyobates. Les Anglo-Saxons regroupent les espèces de ces différents genres sous le nom de poison frogs, ou poison dart frogs. Ce nom populaire vient de la réputation toxique des ces petites grenouilles, que certaines tribus indiennes utiliseraient pour enduire de poison la pointe de leurs flèches (dart). En pratique, seules 3 espèces de Phyllobates, dont Phyllobates terribilis, sont réellement dangereuses dans la nature. Les autres espèces provoques simplement des réactions d'irritations, surtout si le poison qu'elles sécrètent entre en contacte avec les muqueuses. Quand aux animaux du commerce, même les phylobates, ils ne sont normalement pas dangereux. En effet, en captivité, ces grenouilles perdent l'essentiel de leur toxicité. C'est encore plus vrai pour les animaux nés en captivité. La théorie ancienne et dominante (mais longtemps pas vraiment prouvée) voulait que leur poison soit d'origine exogène, c'est à dire produit hors de leur corps. Il viendrait d'insectes eux-mêmes toxiques, dont ils se nourrissent. Personne ne faisant encore l'élevage de tels insectes pour nourrir ses pensionnaires, ceux-ci perdent donc assez vite leur toxicité. Début 2004, des travaux ont été publiés indiquant que la réalité est un petit peu plus complexe : les grenouilles ont effectivement besoin de se procurer les alcaloïdes de base pour leur poison dans les insectes qu'elles chassent. Mais elles n'utilisent pas tous les alcaloïdes ainsi collectés tels quels. Une équipe de chercheurs américains, menée par John Cover, de l'Aquarium National de Baltimore (Etats-Unis), a réussi à montrer chez des Dendrobates la présence d'une hydroxylase capable de transformer un alcaloïde donné en un composé cinq fois plus dangereux. Article. Il peut être prudent de se renseigner sur l'origine (sauvage ou captive) des animaux achetés. Mieux vaut également se laver les mains rapidement après avoir touché ces grenouilles. Ces petites grenouilles font 2 à 6 cm (en moyenne 4 cm), et sont très colorées. Ces couleurs, loin d'être un camouflage, sont un signal leur permettant d'être repérées par les prédateurs. Ceux-ci connaissent leur goût affreux, voire leur dangerosité, et les évitent donc. Les Dendrobatidés vivent dans les forêts pluviales d'Amérique centrale et d'Amérique du Sud. Ils vivent surtout au niveau du sol. Certaines espèces ont un tempérament de grimpeuses, et montent volontier sur les arbres. Mais à l'exception de quelques espèces, les Dendrobatidés ne sont pas véritablement des arboricoles. Les espèces dont il sera question ci-dessous sont les plus fréquemment rencontrées dans le commerce (ce qui est d'ailleurs très relatif). Les autres espèces n'ont d'ailleurs pas forcément des conditions de maintenance très différentes. * Dendrobates auratus vient d'Amérique centrale et du nord de la colombie. 3-4 cm. * Dendrobates azureus vient du Surinam, ou des régions brésiliennes frontalières. 4-5 cm. * Dendrobates leucomelas vient de certaines régions du Brésil, de Colombie, du Guyana, et surtoût du Vénézuéla. 3-4 cm. * Dendrobates ventrimaculatus vient d'Amazonie péruvienne, équatorienne et régions limitrophes brésiliennes, ainsi que de la Guyane française pour la plupart des variétés en terrarium. 2 cm. * Phyllobates vittatus vient de la côte Pacifique du Panama et du Costa Rica. 3 cm. Ces espèces vivent en pleine ou à basse altitude. Terrarium Les Dendrobates peuvent parfaitement vivre en groupe dans un terrarium. Mais il est prudent de ne pas mélanger les espèces. Certains le font cependant, avec des résultats parfois satisfaisant. Mais il y a toujours un risque. En effet, la plupart de ces batraciens, même en captivité, restent toujours un peu vénéneux, et ils s'empoisonnent entre eux. La toxicité des Dendrobates est plus faible en terrarium, et les espèces proches ont sans doute des poisons proches, mais restons prudents. Malgré leur petite taille, les Dendrobates doivent avoir un minimum d'espace. Un terrarium de (80 cm X 50 cm X 50 cm) peut contenir 4 à 6 animaux. Les cachettes sont quelques chose d'important. Ces animaux doivent pouvoir se cacher en cas de peur, mais aussi pouvoir s'isoler les un des autres. Les mâles, en particulier, peuvent être assez territoriaux et bagarreurs. Des espaces très plantés, avec de nombreuses cachettes, mais aussi des espaces dégagés, pour faciliter la chasse des proies, sont très souhaitables. Bien que n'étant pas vraiment arboricoles, on a vu que les Dendrobates habitaient la forêt pluviale, et appréciait de pouvoir grimper sur les plantes. Beaucoup apprécient donc une position élevée. Offrez leurs des souches, des fougères, des plantes grimpantes. Certaines espèces sont plus grimpeuses que d'autres. Voir l'article de stéphane. le substrat de la partie terrestre : Le substrat. Il s'agit de remplir la partie terrestre avec de la terre de bruyère, d'y planter éventuellement des plantes (ficus ,fougères ou lierre, Scindapsus aureus, Tilandsia Sp,...). On recouvre la terre avec des plaques de mousse ramassées en forêt ou dans son jardin. Pour éviter que la terre soit détrempée il est conseillé de mettre un drain au fonds de la partie terrestre, en dessous de la terre : 3 cm de boules d'argiles expansées, très légères (en jardinerie), feront l'affaire. Une stérilisation micro-onde du substrat est parfois recommandée. Je ne la pratique pas, et l'apport de plantes "recontamine" le substrat. Mais cela peut par contre éliminer des bestioles indésirables. La méthode naturelle a un autre avantage. Les plantes « suent » de l'eau, et participent donc de la maintenance d'un taux d'humidité élevé dans le terrarium. Ces animaux viennent en effet de la forêt pluviale, et nécessitent une humidité élevée, proche de 90%-100%. Pour s'en assurer, il est très souhaitable de prévoir un hygromètre, qui donne l'humidité de l'air. Rappelons ce que signifie le pourcentage d'humidité : Plus l'air est chaud, plus celui-ci peu contenir de l'eau sous forme de gaz (la vapeur d'eau). Le pourcentage signifie que l'air a absorbé 80%, ou 90%, ou 100% de la vapeur d'eau qu'il peut théoriquement contenir compte tenu de sa température. Un taux de 100% implique une certaine tendance à la condensation : les vitres sont en générale plus froide, et l'air qui est à leur contacte devient ainsi plus froid. Il peut donc contenir moins d'eau, et relâche une partie de la vapeur d'eau qu'il contient, sous forme de gouttelettes : c'est la condensation. Il y a deux façons de réduire la condensation, laquelle n'améliore pas l'esthétique du terrarium et son hygiène : * Réduire l'humidité du terrarium : c'est une grave erreur. Si ça ne tue pas les animaux, cela les rendra plus fragile. Ils auront tendance à se cacher dans la mousse et les plantes (plus humide), et vous ne les verrez guère. * Mettre un couvercle grillagé (attention à la taille des mailles, une grenouille se faufile dans des interstices de petites tailles. Même sans parler des grenouilles, vous avez tout intérêt à mettre un grillage très fin, type moustiquaire. Cela évitera aux proies de s'enfuir du terrarium). L'inconvénient du grillage est d'assécher le terrarium. On compense en apportant de l'humidité en permanence. Certains ont recours à des pulvérisations manuelles, ce qui doit être effectué plusieurs fois par jour. Il semble plus simple d'organiser une cascade ou une pulvérisation artificielle. A noter la nécessité d'une bonne aération pour la bonne santé des animaux. Techniques pour maintenir un taux d'humidité élevé : La cascade : On recouvre la vitre arrière du terrarium avec un décor en résine, en ardoises collées au silicone, etc... On installe un tuyau de PVC (qualité alimentaire) percé de petits trous, pour rejeter de l'eau sur le haut de la cascade. Ces tuyaux se trouvent déjà percés en magasin d'aquariophilie. On peut aussi les acheter dans un magasin de bricolage (rayon sanitaire), et les percer avec une perceuse (forêts de taille minimale : 2 mm). L'eau est amenée par un tuyau depuis un réservoir ou se trouve une pompe aquariophile. Le réservoir peut-être : A l'extérieur du terrarium : l'eau coule sur la vitre du fond (éventuellement recouverte d'ardoise). Elle se répand donc dans le terra, sauf si on a créé un bassin ou elle est recueillie. Le bassin est créé par une simple plaque de verre de 5-10 cm de haut collée à 10 cm de la vitre du fond. L'eau s'accumule dans ce bassin, puis déborde. Un seau est placé sous le terrarium. On fait un trou d'au moins 2 cm (voir plus : il vaut mieux trop que pas assez) dans le coté du terra (partie bassin), pour que l'eau déborde par là. Il faut évidement que le trou soit légèrement plus bas que le bord du bassin. On place un tuyau dans le trou, et on silicone. Le tuyau amène l'eau dans un seau. Une pompe s'y trouve pour remonter l'eau par un autre tuyau vers la cascade. Pour changer l'eau, il suffit de vider le seau, et de le remplir avec de l'eauneuve. Schéma de ce système. A l'intérieur du bac. C'est le même principe qu'au dessus, mais sans seau en-dessous. La pompe de remontée est placée dans le bassin. L'inconvénient, c'est que le niveau d'eau varie dans le bassin avec l'évaporation, et que le changement d'eau est plus compliqué. Dans le 1er système décrit, le niveau d'eau ne varie pas dans le bassin avec l'évaporation, il varie dans le seau. Mais c'est bien plus facile à fabriquer. * A l'intérieur du bac, dissimulé sous le substrat (généralement sous la cascade) : pour exemple: il s'agit d'une simple plaque de verre de 12 cm de haut, et de 80 cm de long, coupant le bac en deux à 20 cm de la cascade. Il y a une plaque dessus, pour empêcher la terre de tomber dedans. L'eau tombant de la cascade est recueillie dans ce réservoir souterrain (et invisible), ou se trouve la pompe. L'eau est changée tous les 15 jours. Ce système est bâti sur le même système que le système N°1, mais l'équivalent du seau est dans le bac, et le bassin est posé dessus. C'est le système le plus complexe et le plus dure à entretenir (la pompe est presque inateignable). Pour l'avoir essayé sur un de mes terrariums, je le déconseille. La pulvérisation automatique : Le principe est le même, mais l'eau ne coule pas sur la vitre arrière. Elle retombe en pluie fine (pas en permanence, il faut relier la pompe à une minuterie marche-arrêt, pour quelques minutes de pluie quotidiennes, en particulier pour stimuler la reproduction). La distribution d'eau se fait sur le couvercle, par des tuyaux percés, ou des plaques de plastique percées comme un tamis ou l'eau est d'abord envoyée, et dont elle s'écoule en goutte. Il faut alors un double fond au bac, pour recueillir l'eau et la re-pomper. On peut aussi faire un petit trou tout en bas, par ou l'eau s 'écoulera vers un réservoir extérieur (ou se trouvera alors la pompe). On trouve aussi dans le commerce terrariophile des brumisateurs très efficaces, mais assez coûteux. La pulvérisation manuelle : Pulvériser une à 2 fois par jour le terrarium avec un pulvérisateur pour plante d'appartement. Le terrarium des Dendrobates n'est pas un aquaterrarium. Mais au moins un petit bassin est utile. Les Dendrobates s'y baignent assez souvent. Les bassins en terrarium de Dendrobates ne doivent pas être très grands ni très profonds : les Dendrobates ne sont pas de bons nageurs, n'ont pas besoin d'eau libre, et risqueraient même de se noyer). Même si on peut parfaitement mettre une eau ou elles n'ont pas pied (si celle-ci n'est pas trop étendue et si les animaux peuvent en sortir facilement), on court encore moins de risque en ne mettant qu'un cm d'eau. Le couvercle du terrarium est indispensable. On a en effet vu que ces grenouilles sont de bonnes grimpeuses. Elles ont d'ailleurs des disques adhésifs au bout des doigts. Les plantes utilisables dans un terrarium tropical sont nombreuses. Une bonne partie des plantes tropicales qu'on trouve en jardinerie conviendront à un milieu chaud et humide. Demandez aux vendeurs. Les plantes épiphytes (qui poussent sans terre, sur les arbres), ainsi que les broméliacées, sont particulièrement belles. Une bonne partie des plantes prévues pour l'aquariophilie sont également des plantes palustres, qui supportent parfaitement le mode émergé : mousse de java (avec une humidité très forte), Anubia, Hydrocotyle verticillata, Glossostigma élantoïdes. Malgré l'absence de substrat, les plantes poussent remarquablement bien grâce aux racines toujours dans l'eau qui coule, et les Hydrocotyles se répandent partout grace à leurs stolons. Le sol lui-même peut être recouvert de mousse, mais cela n'est pas obligatoire. Quand la mousse se plaît (l'humidité doit être forte, et cela dépend des espèces de mousse), elle colonise tout, même les rochers, et il n'y a jamais besoin de la changer. Eclairage Les Dendrobates sont des grenouilles essentiellement diurnes (vivant le jour). Un éclairage est donc le bienvenu. Il est d'autant plus important si des plantes vivantes sont dans le terrarium. Un tube spécialisé à synthèse de vitamines (avec des UV, donc) semble moins important que pour des reptiles. Par prudence, je met des tubes « U.V.B », . Je n'ai jamais eu de problème de carence identifié.
-
-
Le tableau http://www.snake-zone.dk/Snake-zone/content_pages/genetik/Genetik.html Recessive http://www.snake-zone.dk/Snake-zone/content_pages/genetik/Recessive.html Co-dominant http://www.snake-zone.dk/Snake-zone/content_pages/genetik/Codominant.html Dominant http://www.snake-zone.dk/Snake-zone/content_pages/genetik/Dominant.html Source : http://www.snake-zone.dk/ (Allan RIIS)
-
-
-
L'information génétique dans la cellule est codée par l'ADN. Toutes les cellules d'un organisme donné possèdent la même quantité d'ADN, enroulé et compacté sous forme de chromosomes, groupés par paires chez les organismes diploïdes (animaux, végétaux…), et dont le nombre est particulier à une espèce donnée (23 paires chez l'homme). La molécule d'ADN est constituée par un enchaînement de nucléotides ; ils sont constitués par un sucre, un groupement phosphate et quatre bases azotées différentes (A, T, G, C). L'enchaînement particulier de ces bases constitue l'information génétique, qui peut être transcrite puis traduite pour donner une protéine (voir fiches correspondantes). La portion d'ADN codant pour une protéine donnée est un gène. Le locus est l'endroit où se situe le gène sur le chromosome Les allèles et les mutations Les informations génétiques codées au niveau d'un même gène peuvent être différentes. Les différentes formes possibles d'un gène donné sont appelées les allèles. Cette diversité est rendue possible par la structure même des allèles. Ces derniers ne sont en effet que des séquences de nucléotides susceptibles d'être modifiées. Au niveau du seul nucléotide, on peut en effet déjà énoncer trois types de mutations possibles: On remplace un nucléotide de la chaîne par un autre: substitution On enlève un nucléotide de la chaîne: délétion On ajoute un nucléotide à la chaîne: insertion Bien sûr, ces opérations de base peuvent se combiner à divers niveaux de la séquence nucléotidique pour aboutir à des modifications plus complexes. Chaque gène peut donc avoir plusieurs allèles différents et être ainsi polymorphe. On parle de polyallélisme. Homozygotie, hétérozygotie Le nombre d'allèles d'un même gène présent dans une cellule dépend du type de celle-ci : Si la cellule est une bactérie, elle ne possède qu'un seul chromosome ou en d'autres termes, qu'un seul allèle d'un gène donné. Si la cellule est haploïde (gamètes, nombreux champignons…), elle possède n chromosomes : il n'y a qu'un allèle par gène. Si la cellule est diploïde (elle possède 2n chromosomes réunis en paires dites d'homologues), chaque gène est présent en deux exemplaires, chacun sur un des deux chromosomes homologues. On en déduit qu'il y a donc deux allèles. Deux possibilités existent alors. Soit ceux-ci sont identiques et on dit de l'individu qu'il est homozygote pour le gène, soit ils sont différents et on parle de caractère hétérozygote pour le gène. Phénotype et génotype L'ensemble des allèles détenus par un individu constitue le génotype. Celui-ci reste avant tout une donnée génétique. En vis-à-vis de celui-ci, on place généralement le phénotype (ensemble des caractères observables d'un individu, par exemple la couleur des yeux). Nous savons tout d'abord qu'un gène peut s'exprimer par la synthèse d'une protéine, et ce grâce au mécanisme de traduction de l'information génétique au niveau des ribosomes. Les protéines formées sont donc des produits directs de l'expression des allèles. A partir de deux allèles différents, le processus de synthèse protéique peut aboutir à : Des protéines fonctionnellement identiques (mutation muette ou neutre). C'est le cas lorsque la différence d'information portée par la séquence de nucléotides n'affecte pas la formule de la protéine (cela est rendu possible par le caractère redondant du code génétique). C'est aussi le cas quand la nouvelle séquence synthétisée n'a pas d'impact sur la fonction de la protéine. Des protéines différentes (mutation faux-sens ou non-sens). Certaines peuvent très bien, de par leur formule, ne pas être fonctionnelles : c'est très souvent le cas lorsqu'il y a insertion ou délétion d'un ou deux nucléotides, ou que la mutation implique la présence d'un autre acide aminé que celui initialement présent. Il peut aussi très bien ne pas y avoir de protéine du tout (rencontre d'un codon stop dès le début de la traduction). Schéma récapitulatif Dominance et récessivité Lorsqu'un allèle donné s'exprime chez les individus homozygotes pour ce gène mais aussi chez les individus hétérozygotes, on dit qu'il est dominant. Lorsqu'un allèle donné ne s'exprime que chez les individus homozygotes pour ce gène, on dit qu'il est récessif ; il ne s'exprime pas lorsque l'autre allèle du gène est dominant. Enfin, lorsque deux allèles s'expriment tous les deux chez un individu hétérozygote pour le gène en question, on dit qu'ils sont codominants. En tenant compte de ces remarques et si on considère chaque protéine comme expression à l'échelle moléculaire d'un phénotype, on explique aisément toute la diversité phénotypique par l'existence du polyallélisme (c'est à dire existence, dans une population, de nombreux allèles pour un seul gène). La notion d'identité génétique Un premier critère de distinction biologique est évidemment la notion d'espèce. Au sein d'une même espèce, la plus grande partie de l'information génétique est partagée: elle définit ce qu'on nomme les caractères de l'espèce. Cependant, à l'intérieur d'une espèce, au niveau des individus - et nous l'observons dans la diversité humaine- il existe des caractères propres (ex. couleur des yeux). Ceux-ci sont l'expression phénotypique de génotypes spécifiques. Un exemple du programme permet d'illustrer cette diversité d'un point de vue biologique. A la surface de la membrane de ses cellules, chaque être humain possède en effet des combinaisons originales de glycoprotéines appelées marqueurs majeurs d'histocompatibilité ou plus communément marqueurs du Soi. Ceux-ci sont absolument différents entre individus et sont donc une véritable carte d'identité cellulaire. Là encore, la diversité des marqueurs du Soi est l'expression du polyallélisme de certains gènes. L'ensemble de ceux-ci constitue le complexe majeur d'histocompatibilité. texte tiré du site KeepSchool
-
Découvrir toutes les espèces de geckonidae
RAF-nacannonce a répondu à un(e) sujet de Arwen02 dans Lézards
-
Naja Atra juste après la mue!
RAF-nacannonce a répondu à un(e) sujet de Alex3911 dans Serpents Venimeux
-
-
-
Naja Atra juste après la mue!
RAF-nacannonce a répondu à un(e) sujet de Alex3911 dans Serpents Venimeux
-
Découvrir toutes les espèces de geckonidae
RAF-nacannonce a répondu à un(e) sujet de Arwen02 dans Lézards
-