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RAF-nacannonce

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  1. Généralités sur l'élevage des mantes par Guillaume QUEVAL La maintenance des mantes est une chose assez simple pour les personnes ayant un peu de connaissance dans la maintenance des insectes. Le plus délicats chez les mantes, excepté certaines espèces dites "difficiles", est l'accouplement. Pour le reste, cela est assez simple, si ce n'est l'approvisionnement en nourriture, surtout chez les nouveaux nés. La maintenance décrite ci-dessous convient pour la plupart des variétés que l'on rencontre facilement dans les élevages: Sphodromantis ssp, Parasphendale ssp, Stagmomantis ssp, Hierodula ssp, etc.... La maintenance: Pour maintenir des mantes, de nombreux récipients sont appréciables: bocaux en verre, bouteille d'eau coupée, pots d'analyse d'urine ou selles (pour les jeunes), faunaBox de petite taille, etc.... Les bocaux seront fermé soit par un couvercle au centre découpé sur lequel sera "collé" un moustiquaire, ou simplement par un moustiquaire souple et un élastique. Pour les jeunes spécimens à partir du stade 2/3 et même pour les adultes, l'agencement des bocaux sera très simple. Personnellement, j'utilise comme substrat du simple papier essuie-tout découpé à la forme du bocal et mis sur 2 ou 3 épaisseurs ou du gravier (granulométrie de 3-4 mm). Tout les soirs, grâce à une seringue, j'humidifie ce "substrat", ce qui permet d'avoir l'hygrométrie idéale mais permet également aux mantes de s'abreuver. Une fois par semaine seulement, l'humidification se fait grâce à un pulvérisateur, au dessus de l'ensemble des bocaux, ceux qui recrée une légère pluie fine. Un morceau de plante artificielle servant de support est placé dans ces bocaux. Il convient toutefois de vérifier le taux hygrométrique correspondant à l’espèce que vous possédez. La température devra se situer en général entre 24 et 26°C mais il faudra également se renseigner sur l'idéale pour l'espèce que vous élevez. Pour les spécimens juste éclos, on utilisera un faunaBox assez spacieux (37x22x25cm) où ils seront tous placé ensemble. Sous le couvercle, un moustiquaire souple ou du tulle sera placé pour éviter les évasions. Le sol sera composé de 2 couches de papier essuie-tout et une plante artificielle (style lierre) sera placé dedans, permettant aux individus de s'isoler des plus voraces. Il faudra veiller à laisser à disposition de ceux-ci de la nourriture abondante en permanence (drosophiles). L'humidification se fait par une légère vaporisation tout les soirs. Les jeunes seront isolés un par un à partir du stade 2 ou 3 selon leur voracité, sous peine, par exemple, de voir des groupes de 200 individus, "rétrécir" à 20 ou 30 spécimens. Pour les personnes voulant avoir un terrarium de style "déco", ce que l'on peut se permettre pour héberger des spécimens subadultes ou adultes, on préfèrera un terrarium avec une très bonne aération. Un terrarium d'environ 20 x 20 x 35 est amplement suffisant. Pour l'aménagement de ce terrarium, on pourra choisir divers substrats au choix (tourbe, sable, écorce, etc....) et quelques décos comme des branchages et des plantes (artificielles ou non). Alimentation: L'alimentation des mantes ne posent pas de problèmes. Elles acceptent tout insectes qui passe à leur portée, voir même parfois des insectes un peu plus gros qu'elle-même. Selon les stades, on leurs fournira les proies suivantes: drosophiles, micro grillons, mouches, petits papillons, grillons, blattes, criquets, sauterelles, etc.... La fréquence des repas sera la suivante: - jeunes de la naissance à l'isolement: à volonté et en permanence - jeunes jusqu’au stade subadulte: tout les 2-3 jours selon tailles des proies - subadulte/adulte: une à deux fois par semaine selon taille des proies Reproduction: La reproduction chez les mantes est un risque pour les mâles. Il arrive parfois que ces messieurs se fassent dévorer avant que l'acte commence ou pendant celui-ci. Pour éviter cela une petite préparation de la femelle est utile. La maturité de la femelle semble être atteinte vers l'âge de 3 semaines et c'est à ce moment que l'on effectuera l'accouplement. La semaine précédent l'accouplement, la femelle sera nourrit plus souvent, à raison d'une proie tout les 2 jours. Avant d'effectuer l'accouplement, je nourris la femelle à volonté. C'est à dire que dès qu'une proie est terminée, je lui en donne une autre. Au bout de quelques proies, elle refusera de se nourrir, c'est à ce moment que l'on "essayera" l'accouplement, car le risque réside toujours pour le mâle, surtout chez certaines espèces plus vorace que d'autres (ex.: Parasphendale affinis). Il existe deux méthodes principales pour réaliser les accouplements: - Placer la femelle et le mâle dans un grand terrarium et laisser faire la nature - Placer la femelle sur un support (souche, plante,....) et venir placer le mâle directement sur l'arrière de celle-ci. Personnellement, j'utilise la deuxième méthode, qui comporte moins de risque et permet souvent de sauver le mâle, qui pourra servir pour une autre femelle. La durée d'accouplement varie beaucoup selon les espèces mais en général, elle dure plusieurs heures (3 à 6 heures généralement). L'accouplement terminé, le mâle s'échappe mais il arrive parfois que la femelle le "course" pour complet son appétit qui revient soudainement. Attention toutefois, il convient de faire les accouplements sous surveillance, car il arrive parfois, même si cela est très rare, que se sont les mâles qui dévorent la femelle. Les individus séparés, ceux-ci sont replacés dans leur terrarium habituel et la femelle sera bien nourrit. La ponte survient entre 2-3 jours à deux semaines après l'accouplement selon les espèces. Une seule femelle, peut pondre, avec un seul accouplement, plusieurs oothèques viables(parfois 6-. Chaque oothèque comportera d'une dizaine à plusieurs centaines d'œufs qui écloront généralement au bout de 1 à 3 mois selon les espèces. Dans le cas d'une femelle pondant plusieurs oothèques, le nombre d'œufs par oothèque diminuera progressivement au fur et à mesure des pontes. L'incubation des oothèques est assez simple à réaliser. On prendra un récipient style pot à confiture où l'on placera dans le fond une mousse utilisé en aquariophilie pour la filtration. On prendra une mousse d'environ 5 cm d'épaisseur qui permettra de placer de l'eau sans que celle-ci ne rentre en contact avec l'oothèque tout en concervant une bonne hygrométrie. Le pot sera fermé avec un gaze (utilisé pour les pensement) maintenu par un élastique. Ce pot sera placé dans une pièce ou dans un terrarium maintenu à la bonne température(24-26°C).
  2. CHARTE de la BANQUE La Banque d’Oeufs n’est pas un projet nouveau. L’idée avait été lancée il y a quelques années par le G.E.P (Groupe d’Etude des Phasmes) et fonctionnait bien. Nous reprenons cette idée dans le but de faciliter la circulation des espèces de phasmes en élevage et ainsi de promouvoir l’échange en réponse au mercantilisme grandissant faisant œuvre dans ce monde de passionnés. Nous avons établi de façon indicative quatre catégories d’espèces en fonction de critères définis (espèces courantes ou difficiles d’élevage). Le fonctionnement de la banque repose sur l’échange. Ainsi, le stock d’œufs disponible dépend de votre participation à ce projet, l’idée est simple : Vous donnez = Vous recevez Une liste indicative d’espèces disponibles fait l’objet d’une mise à jour régulière Pour gérer dans les meilleures conditions les stocks d’œufs de la banque, celle-ci n’accepte pas plus de : 100 oeufs par espèce pour la catégorie 1 200 oeufs par espèce pour la catégorie 2 300 oeufs par espèce pour les catégories 3 et 4 Un envoi d’un nombre minimal de 20 oeufs pour une espèce pour la catégorie 1 et 30 oeufs pour une espèce pour les catégories 2,3 et 4 est nécessaire pour participer. La banque, en échange, envoi un nombre de 20 oeufs pour la catégorie 1 et 30 œufs pour les catégories 2, 3 et 4. Une espèce contre une espèce (certaines exceptions peuvent être faite). Gestion de la Banque : Deux commissaires (Hélène et Bazleman74) sont chargés de vous renseigner sur les espèces disponibles, et prennent en compte vos demandes d’œufs. Vos questions et demandes sont à faire sur le mail de la Banque : banque.doeufs@yahoo.fr Deux banquiers (nanou et fauvelle) s’occupent de l’incubation, de l’envoi et de la réception des œufs. Fonctionnement de la banque : Un envoi d’œufs + une enveloppe timbrée à 0.54€ et pré remplie à vos noms et adresse à la banque permet de recevoir des oeufs d’une espèce de la même catégorie ou de celle en dessous. L’envoi de 2 espèces de même catégorie ouvre le droit de recevoir des œufs de la catégorie supérieure. Par exemple : Un don de 2 espèces de catégorie 1 = 1 envoi de catégorie 2 Un don de 2 espèces de catégorie 2 = 1 envoi de catégorie 3 Un don de 2 espèces de catégorie 3 = 1 envoi de catégorie 4 Seules les demandes d’oeufs correctement remplies seront prises en compte Marche à suivre : Après avoir consulté la liste des espèces disponibles et vous être renseignés sur les conditions d’élevage des espèces qui vous intéressent, adressez vous par mail au commissaire concerné en lui envoyant en pièce jointe le document « Demande d’œufs » (Déjà disponible sur les sites) à l'adresse suivante : banque.doeufs@yahoo.fr Pour les œufs de catégorie 1 et 2 : noter pour titre de mail « Baz74leman » Pour les œufs de catégorie 3 et 4 : noter pour titre de mail « Hélène » Après avoir consultés les stocks disponibles et validés votre demande, ils vous enverront par mail un document à remplir et retourner par voie postale avec les œufs et un timbre au banquier concerné. Une copie manuelle lisible est acceptée si vous ne disposez pas d’imprimante. Pour tout don, veuillez juste avertir par mail des espèces que vous désirez envoyé. Le commissaire vous retournera un document à envoyer avec les oeufs à l'adresse indiquée. liste indicative sur les catégories d'espèces et leurs disponibilités : (Merci à Jérom Lemaistre, pour l'aide fournie dans la création de cette liste) Lorsque la banque aura atteint son quota d'oeufs pour une espèce, elle ne pourra plus accepter d'autres envois pour cette espèce le temps que le stock soit épuisé. Fiche d'élevage disponible sur : http://lemondedesphasmes.free.fr/rubrique.php3?id_rubrique=26 Catégorie 1 : Aretaon asperrimus Bacillus rossius Brasidas samarensis Carausius morosus Clonopsis gallica Eurycantha calcarata Eurycantha sp PSG 44 Extatosoma tiaratum Lamponius guerini Medauroidea extradentata Neohirasea maerens Ramulus thaii Ramulus sp PSG 144 Sipyloidea sipylus Sungaya inexpectata Trachyaretaon brueckneri Catégorie 2 : Aplopus jamaicensis Asceles sp PSG 267 Chrondostetus woodfordi Creoxylus spinosus Ctenomorphodes briareus Diapherodes gigantea Dimorphodes catenulatus Eurycantha insularis Lonchodes amaurops Lonchodes brevipes Lonchodes cutratolobatus Lonchodes hosei hosei Lonchodes malleti Lopaphus caesius Lopaphus sp PSG 252 Malacomorpha cyllarum Malacomorpha jamaicana Medaura jobrensis Medaura scabriuscula Neohirasea hongonkensis Neohirasea sp PSG 185 Oreophoetes peruana Orestes mouhoti Oxyartes honestus Paramenexenus laetus Phaenopharos khaoyaiensis Phanocloidea muricata Pharnacia biceps Pharnacia cantori Phenacephorus cornucervi Phyllium sp "Philippines" Pseudophasma acanthonotum Pseudophasma rufipes Raphiderus scabrosus Raphiderus spiniger Sceptrophasma hispidulum Xylica oedematosa Catégorie 3 : Abrosoma johorensis Acrophylla wuelfingi Anisomorpha brupestoides Anisomorpha ferruginae Anisomorpha paromalus Aplopus cytherea Aplopus micropterus Canachus alligator Carausius chani Carausius cristatus Carausius sanguineoligatus Carausius sp PSG 230 Carausius spinosus Dares validispinus Dares verrucosus Dinophasma kinabaluense saginatum Epidares nolimatengere Eurycnema goliath Haaniella dehaanii Haaniella muelleri Heteropteryx dilatata Hoploclonia abercrombiei Hoploclonia cuspidata Hoploclonia gecko Leiophasma lucubense Lonchodes everetti Lonchodes geniculatus Lonchodes harmani Lonchodes imitator Lonchodes megabeast Lonchodes mindanaenensis Lonchodes rusticus Parapachymorpha quadrispinosa Parapachymorpha spinosa Parapachymorpha zomproi Parectatosoma mocquerysi Pharnacia sp PSG 208 Phasma gigas Phyllium celebicum Phyllium giganteum Pseudodiacantha macklotti Pseudophasma menius Pseudophasma pthisicum Pseudophasma velutinum Pylaemenes guangxiensis Ramulus nematodes Ramulus saussure Ramulus sp PSG 157 Ramulus sp PSG 158 Ramulus sp PSG 159 Rhynchacris ornata Stheneboea repudiosa Catégorie 4 : Acrophylla titan Archioptera punctipes Ctenomorphodes tessulata Didymuria violescens Eurycnema osiris Eurycnema versirubra Haaniella echinata Haaniella grayii Haaniella saussurei Haaniella scabra Nearchus maximus Peruphasma schultei Pharnacia ponderosa Pharnacia sumatranus Pharnacia westwoodi Phasmotaenia lanyuhensis Phyllium bioculatum Phyllium hausleithneri Phyllium pulchrifolium Phyllium siccifolium Pseudophasma castaneum Pylaemenes borneensis borneensis Pylaemenes borneensis sepilokensis Pylaemenes mitratus Spiniphasma crassithorax Tropidoderus childrenii
  3. Le changement de couleur ontogénique Les lignées de Morelia viridis (lemon tree, blue line, calico,..) ne correspondent pas à des localités mais sont la fruit d’une sélection méticuleuse réalisée par des éleveurs. Génétique Les traits des animaux sont tous génétiques, la question qui nous intéresse est de savoir s’ils sont transmissibles. Voici quelques définitions : - Allèle : variant d’un gène. Chaque individu possède deux copies de chacun de ses chromosomes. Sur chacun de ceux-ci se trouve un allèle du gène dont il est question. Chaque individu possède donc deux allèles d’un même gène (excepté sur les chromosomes dits « sexuels »). - Homozygote : deux allèles identiques d’un même gène - Hétérozygote : deux allèles différents d’un même gène - Dominant : allèle d’un gène qui s’exprime chez le sujet hétérozygote tout en empêchant l’expression du deuxième allèle dit « récessif » - Récessif : voir ci-dessus. L’allèle récessif ne s’exprime que chez les homozygotes. Ces définitions sont difficilement applicables directement quand on parle des couleurs chez le python vert arboricole car leurs couleurs ne sont pas le résultat d’une simple dominance ou récessivité de gènes. La lignée Lemon Tree a été isolée à partir d’un couple d’animaux entièrement verts. Les traits de Morelia viridis sont souvent exprimés de façon inconstante au sein d’une même portée et toutes les portées issues d’un même couple sont différentes. Il est, par contre, possible d’isoler certains traits (high yellow, lemon tree, high blue, calico,..) en sélectionnant et croisant des individus présentant des traits de couleur communs. Lorsque l’on envisage l’achat d’un animal issu d’une lignée, il est important de connaître l’historique des parents et, idéalement, de disposer de photos des portés précédentes. Les nouveaux-nés Les nouveaux-nés peuvent être de deux couleurs : jaunes ou marrons. Il existe cependant une grande variabilité, surtout en ce qui concerne la couleur marron. En effet, cette couleur va du noir au rouge en passant par l’orange et le brun. Les nouveaux-nés de la lignée « calico » sont généralement bruns et les marques dorsales sont souvent assez réduites, voire complètement absentes. Les nouveaux-nés de la lignée Lemon Tree sont toujours jaunes. Il est à noter que la couleur des nouveaux-nés semble être dépendante de la couleur des parents à la naissance. Les portées issues de parents des deux couleurs comportent généralement des juvéniles des deux couleurs. Changement de couleur ontogénique Il n’existe pas de règle et tout peut arriver lors du changement de couleur. Certains animaux peuvent changer de couleur en une nuit alors qu’il faudra quatre années pour d’autres. Les individus de type Biak sont bien connus pour la lenteur de leur changement de couleur ontogénique. En moyenne, le changement de couleur commence entre six et douze mois. En général, les individus jaunes commencent par montrer quelques écailles vertes au niveau des narines et du corps. Beaucoup de jeunes Sorong ont des marques dorsales rouges qui tournent au gris lorsqu’ils changent de couleur. Ces marques deviennent ensuite bleues au cours de la maturation. Parfois, il faut deux à trois ans pour que ces marques bleues se développent complètement. Les juvéniles de couleur rouge deviennent d’abord plus clairs. Les individus de type Biak passent par une couleur orange. Certains développent des écailles jaunes. Les calico développent une multitude de couleurs différentes. Quand le changement de couleur débute tôt celui-ci prend généralement fin assez rapidement. A contrario, lorsque le changement de couleur débute très lentement le temps nécessaire est plus long. Le changement de couleur ne dépend pas de l’environnement mais est intimement lié à la croissance. La température, l’environnement, l’exposition à la lumière et autres facteurs extérieurs ne semblent jouer aucun rôle dans le changement de couleur ontogénique. C’est l’ADN de chaque individu qui détermine ses couleurs.
  4. RAF-nacannonce

    chondroweb

    http://p072.ezboard.com/bchondroforum
  5. RAF-nacannonce

    MVF

    http://p219.ezboard.com/bmoreliaviridis
  6. https://www.dailymotion.com/visited/search/serpent/video/xz3rz_les-pythons-aiment-les-jambes
  7. http://encyclo.free.fr/pages/terrariu.htm
  8. Les genres des agamidés -------------------------------------------------------------------------------- http://animaldiversity.ummz.umich.edu/site/accounts/classification/Agamidae.html un site avec quelques photos,pour mieux se retrouver dans une famille qui compte dans les 400 espèces.
  9. http://www.vet-lyon.fr/ens/expa/guidelines/regl_protectionanimale.html
  10. http://perso.wanadoo.fr/siteessai/codeveterinaire.htm à lire et à méditer
  11. http://coloherp.org/cb-news/archive/vet-med/cancer.php
  12. RAF-nacannonce

    Lézards du Nevada

    http://www.richard-seaman.com/Reptiles/Usa/Nevada/ValleyOfFire/ Des photos en milieu naturel de toute beauté
  13. voici 2 sites trés instructif et sympa Coruzia zebrata : http://dot.free.fr/pages/0.html le tribolonotus : http://monsite.wanadoo.fr/Le_tribolonotus/index.jhtml
  14. J.O n° 209 du 9 septembre 1993 TEXTES GENERAUX MINITERE DES POSTES ET TELECOMMUNICATIONS Arrêté du 22 juillet 1993 fixant la liste des amphibiens et reptiles protégés sur l'ensemble du territoire NOR: ENVN9320304A Le ministre de l'agriculture et de la pêche et le ministre de l'environnement, Vu le livre II du code rural relatif à la protection de la nature, notamment ses articles L. 211-1, L. 211-2 et R. 211-1 à R. 211-5; Vu l'avis du Conseil national de la protection de la nature, Arrêtent: Art. 1er. - Sont interdits sur tout le territoire métropolitain et en tout temps, dans les conditions déterminées par les articles R. 211-1 à R. 211-5 du code rural, la destruction ou l'enlèvement des oeufs ou des nids, la destruction, la mutilation, la capture ou l'enlèvement, la naturalisation des amphibiens et des reptiles suivants ou, qu'ils soient vivants ou morts, leur transport, leur colportage, leur utilisation, leur mise en vente, leur vente ou leur achat: AMPHIBIENS Urodèles Salamandridés: Euprocte des Pyrénées, Euproctus asper (Dugès, 1852); Euprocte corse, Euproctus montanus (Savi, 1838); Salamandre noire, Salamandra atra (Laurenti, 1768); Salamandre tachetée, Salamandra salamandra (Linné, 1758); Salamandre de Lanza, Salamandra lanzai (Nascetti, Andreone, Capula et Bullini, 1988); Triton alpestre, Mesotriton alpestris (Laurenti, 1768); Triton crêté, Triturus cristatus (Laurenti, 1768); Triton marbré, Triturus marmoratus (Latreille, 1800); Triton palmé, Lissotriton helveticus (Razoumowski, 1789); Triton ponctué, Lissotriton vulgaris (Linné, 1758); Triton de Blasius, Triturus blasii (De l'Isle, 1862). Plethodontidés: Spélerpès brun, Speleomantes ambrosii (Lanza, 1955). Anoures Discoglossidés: Crapaud accoucheur, Alytes obstetricans (Laurenti, 1768); Crapaud sonneur à ventre jaune, Bombina variegata (Linné, 1758); Discoglosse corse, Discoglossus montalentii (Lanza, Nascetti, Capula et Bullini, 1984); Discoglosse peint, Discoglossus pictus (Otth, 1837); Discoglosse sarde, Discoglossus sardus (Tschudi, 1837). Pélobatidés: Pélobate cultripède, Pelobates cultripes (Cuvier, 1829); Pélobate brun, Pelobates fuscus (Laurenti, 1768); Pélodyte ponctué, Pelodytes punctatus (Daudin, 1803). Bufonidés: Crapaud commun, Bufo bufo (Linné, 1758); Crapaud calamite, Bufo calamita (Laurenti, 1768). Crapaud vert, Bufo viridis (Laurenti, 1768). Hylidés: Rainette verte, Hyla arborea (Linné, 1758); Rainette méridionale, Hyla meridionalis (Boettger, 1874). Ranidés: Grenouille des champs, Rana arvalis (Nilsson, 1842); Grenouille agile, Rana dalmatina (Bonaparte, 1840); Grenouille de Perez, Rana perezi (Seoane, 1885); Grenouille rieuse, Rana ridibunda (Pallas, 1771); Grenouille ibérique, Rana iberica (Boulenger, 1879); Grenouille de Lessona, Rana lessonae (Camerano, 1882). REPTILES Chéloniens Emydés: Cistude d'Europe, Emys orbicularis (Linné, 1758); Emyde lépreuse, Mauremys leprosa (Schweigger, 1812). Testudinidés: Tortue d'Hermann, Testudo hermanni Gmelin, 1789; Tortue grecque, Testudo graeca (Linné, 1758). Lacertiliens Geckonidés: Hémidactyle verruqueux, Hemidactylus turcicus (Linné, 1758); Phyllodactyle d'Europe, Phyllodactylus europaeus (Géné 1838); Tarente de Mauritanie, Tarentola mauritanica (Linné, 1758). Scincidés: Seps tridactyle, Chalcides chalcides (Linné, 1758). Anguidés: Orvet, Anguis fragilis (Linné, 1758). Lacertidés; Algyroïde de Fitzinger, Algyroïdes fitzingeri (Wiegmann, 1835); Lézard montagnard corse ou Lézard de Bédriaga, Archéolacerta bedriagae (Camerano, 1885); Lézard montagnard pyrénéen, Archeolacerta monticola (Boulenger, 1905); Lézard des souches, Lacerta agilis (Linné, 1758); Lézard vert, Lacerta viridis (Laurenti, 1768); Lézard ocellé, Lacerta lepida (Daudin, 1802); Lézard vivipare, Lacerta vivipara (Jacquin, 1787); Lézard hispanique, Podarcis hispanica (Steindachner, 1870); Lézard des murailles, Podarcis muralis (Laurenti, 1768); Lézard sicilien, Podarcis sicula (Rafinesque, 1810); Lézard tyrrhénien, Podarcis tiliguerta (Gmelin, 1789); Psammodrome algire, Psammodromus algirus (Linné, 1758); Psammodrome d'Edwards, Psammodromus hispanicus (Fitzinger, 1826). Ophidiens Colubridés: Couleuvre verte et jaune, Hierophis (Coluber) viridiflavus (Lacépède, 1789); Coronelle lisse, Coronella austriaca(Laurenti, 1768); Coronelle bordelaise, Coronella girondica (Daudin, 1803); Couleuvre d'Esculape, Elaphe longissima (Laurenti, 1768); Couleuvre à échelons, Elaphe scalaris (Schinz, 1822); Couleuvre de Montpellier, Malpolon monspessulanus (Hernann, 1804); Couleuvre vipérine, Natrix maura (Linné, 1758); Couleuvre à collier, Natrix natrix (Linné, 1758); Vipère de Séoane, Vipera seoanei (Lataste, 1879); Vipère d'Orsini, Vipera ursinii (Bonaparte, 1835). Art. 2. - Sont interdits, sur tout le territoire métropolitain et en tout temps dans les conditions déterminées par les articles R. 211-1 à R. 211-5 du code rural, la mutilation, la naturalisation des reptiles suivants ou, qu'ils soient vivants ou morts, le transport, le colportage, l'utilisation, la mise en vente, la vente ou l'achat des spécimens détruits, capturés ou enlevés; REPTILES Ophidiens Vipéridés: Vipère aspic, Vipera aspis (Linné, 1758); Vipère péliade, Vipera berus (Linné, 1758). Art. 3. - Sont interdits, sur tout le territoire métropolitain et en tout temps, dans les conditions déterminées par les articles R. 211-1 à R. 211-5 du code rural, la mutilation, la naturalisation des amphibiens suivants ou, qu'ils soient vivants ou morts, le colportage, la mise en vente, la vente ou l'achat des spécimens détruits, capturés ou enlevés: AMPHIBIENS Anoures Ranidés: Grenouille verte, Rana esculenta Linné, 1758; Grenouille rousse, Rana temporaria Linné, 1758, sous les réserves de l'article 4 ci-après. Art. 4. - Les interdictions de colportage, de mise en vente, de vente et d'achat des spécimens vivants ou morts de grenouille rousse (Rana temporaria) ne s'appliquent pas aux spécimens produits par les élevages ayant obtenu l'autorisation mentionnée à l'article 1er de l'arrêté du 5 juin 1985 relatif à la production des spécimens de grenouille rousse. Art. 5. - L'arrêté du 24 avril 1979 fixant la liste des amphibiens et reptiles protégés sur l'ensemble du territoire est abrogé. Art. 6. - Le directeur de la nature et des paysages et le directeur général de l'alimentation sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 22 juillet 1993. Le ministre de l'environnement, Pour le ministre et par délégation: Le directeur de la nature et des paysages, G. SIMON DéLe ministre de l'agriculture et de la pêche, Pour le ministre et par délégation: Par empêchement du directeur général de l'alimentation: Le vétérinaire inspecteur en chef, G. BEDES J.O n° 302 du 29 décembre 2004 page 22231 texte n° 60
  15. http://www.arkive.org/species/ARK/amphibians/Triturus_helveticus/more_moving_images.html http://www.arkive.org/species/ARK/amphibians/Triturus_vulgaris/more_moving_images.html http://www.arkive.org/species/ARK/amphibians/Triturus_cristatus/more_moving_images.html http://www.arkive.org/species/GES/amphibians/Andrias_davidianus/more_moving_images.html http://www.arkive.org/species/GES/amphibians/Proteus_anguinus/Proteus_anguinus_00.html?movietype=wmMed
  16. http://www.ratoupedia.org/wiki/Accueil
  17. Modifications de la famille des Dendrobatidae En 2006 des modifications et precisions ont été apportées sur cette famille,auparavant toutes les grenouilles appartenant a la sous-famille des Dendrobatinae etaient nommées Dendrobates pour le genre,ce qui etait fort inexact quand on regarde les differences entre les dendrobates telles que Dendrobates pumillio et Dendrobates Tinctorius qui ont une forme et des moeurs différents.Désormais la taxonomie est legerement différente.C'est aussi le cas pour certains Epipedobates. Liste les dendrobates avec leur ancien nom: Dendrobates abditus Dendrobates altobueyensis Dendrobates amazonicus Dendrobates arboreus Dendrobates auratus Dendrobates azureus Dendrobates biolat Dendrobates bombetes Dendrobates captivus Dendrobates castaneoticus Dendrobates claudiae Dendrobates daleswansoni Dendrobates dorisswansoni Dendrobates duellmani Dendrobates fantasticus Dendrobates flavovittatus Dendrobates fulguritus Dendrobates galactonotus Dendrobates granuliferus Dendrobates histrionicus Dendrobates imitator Dendrobates intermedius Dendrobates labialis Dendrobates lamasi Dendrobates lehmanni Dendrobates leucomelas Dendrobates minutus Dendrobates mysteriosus Dendrobates occultator Dendrobates opisthomelas Dendrobates pumilio Dendrobates quinquevittatus Dendrobates reticulatus Dendrobates rubrocephalus Dendrobates sirensis Dendrobates speciosus Dendrobates steyermarki Dendrobates sylvaticus Dendrobates tinctorius Dendrobates truncatus Dendrobates uakarii Dendrobates vanzolinii Dendrobates variabilis Dendrobates ventrimaculatus Dendrobates vicentei Dendrobates viridis Dendrobates virolinensis Et maintenant les memes mais avec leurs genres mis a jour: Genre Ranitomeya Ranitomeya abdita (Myers and Daly, 1976) Ranitomeya altobueyensis (Silverstone, 1975) Ranitomeya amazonica (Schulte, 1999) Ranitomeya biolat (Morales, 1992) Ranitomeya bombetes (Myers and Daly, 1980) Ranitomeya claudiae(Jungfer, Lötters, and Jörgens, 2000) Ranitomeya daleswansoni (Rueda-Almonacid, Rada, Sánchez-Pacheco, Velásquez-Álvarez, and Quevedo, 2006) Ranitomeya dorisswansonae (Rueda-Almonacid, Rada, Sánchez-Pacheco, Velásquez-Álvarez, and Quevedo, 2006) Ranitomeya duellmani (Schulte, 1999) Ranitomeya fantastica (Boulenger, 1884) Ranitomeya flavovittata (Schulte, 1999) Ranitomeya fulgurita (Silverstone, 1975) Ranitomeya ignea (Melin, 1941) Ranitomeya imitator (Schulte, 1986) Ranitomeya intermedia (Schulte, 1999) Ranitomeya lamasi (Morales, 1992) Ranitomeya minuta (Shreve, 1935) Ranitomeya opisthomelas (Boulenger, 1899) Ranitomeya reticulata (Boulenger, 1884) Ranitomeya rubrocephala (Schulte, 1999) Ranitomeya sirensis (Aichinger, 1991) Ranitomeya uakarii (Brown, Schulte, and Summers, 2006) Ranitomeya vanzolinii (Myers, 1982) Ranitomeya variabilis (Zimmermann and Zimmermann, 1988) Ranitomeya ventrimaculata (Shreve, 1935) Ranitomeya viridis (Myers and Daly, 1976) Ranitomeya virolinensis (Ruiz-Carranza and Ramirez-Pinilla, 1992) Genre Oophaga Oophaga arborea (Myers, Daly, and Martinez, 1984) Oophaga granulifera (Taylor, 1958) Oophaga histrionica (Berthold, 1845) Oophaga lehmanni (Myers and Daly, 1976) Oophaga occultator (Myers and Daly, 1976) Oophaga pumilio (Schmidt, 1857) Oophaga speciosa (Schmidt, 1857) Oophaga sylvatica (Funkhouser, 1956) Oophaga vicentei (Jungfer, Weygoldt, and Juraske, 1996) Genre Dendrobates Dendrobates auratus (Girard, 1855) Dendrobates leucomelas Steindachner, 1864 Dendrobates nubeculosus Jungfer and Böhme, 2004 Dendrobates tinctorius (Cuvier, 1797) Dendrobates truncatus (Cope, 1861) Genre Adelphobates Adelphobates captivus (Myers, 1982) Adelphobates castaneoticus (Caldwell and Myers, 1990) Adelphobates galactonotus (Steindachner, 1864) Adelphobates quinquevittatus (Steindachner, 1864 Voila pour les Dendrobates,le genre Phyllobates n'a pas subit de modifications,il en est apparement de meme pour Minyobates Pour le genre Epipedobates,des modifications ont été effectuées: Liste du genre Epipedobates a l'origine Epipedobates andinus Epipedobates azureiventris Epipedobates bassleri Epipedobates bilinguis Epipedobates bolivianus Epipedobates boulengeri Epipedobates braccatus Epipedobates cainarachi Epipedobates erythromos Epipedobates espinosai Epipedobates femoralis Epipedobates flavopictus Epipedobates hahneli Epipedobates ingeri Epipedobates macero Epipedobates maculatus Epipedobates myersi Epipedobates parvulus Epipedobates petersi Epipedobates pictus Epipedobates planipaleae Epipedobates pongoensis Epipedobates pulchripectus Epipedobates rubriventris Epipedobates rufulus Epipedobates silverstonei Epipedobates simulans Epipedobates smaragdinus Epipedobates tricolor Epipedobates trivittatus Epipedobates zaparo Genre Epipedobates actuel Epipedobates anthonyi (Noble, 1921) Epipedobates boulengeri (Barbour, 1909) Epipedobates espinosai (Funkhouser, 1956) Epipedobates machalilla (Coloma, 1995) Epipedobates tricolor (Boulenger, 1899) Genre Ameerega Ameerega andina (Myers and Burrowes, 1987) Ameerega bassleri (Melin, 1941) Ameerega bilinguis (Jungfer, 1989) Ameerega boliviana (Boulenger, 1902) Ameerega braccata (Steindachner, 1864) Ameerega cainarachi (Schulte, 1989) Ameerega erythromos (Vigle and Miyata, 1980) Ameerega flavopicta (Lutz, 1925) Ameerega hahneli (Boulenger, 1884) Ameerega ingeri (Cochran and Goin, 1970) Ameerega labialis (Cope, 1874) Ameerega macero (Rodriguez and Myers, 1993) Ameerega maculata (Peters, 1873) Ameerega parvula (Boulenger, 1882) Ameerega peruviridis Bauer, 1986 Ameerega petersi (Silverstone, 1976) Ameerega picta (Bibron In Tschudi, 1838) Ameerega planipaleae (Morales and Velazco, 1998) Ameerega pongoensis (Schulte, 1999) Ameerega pulchripecta (Silverstone, 1976) Ameerega rubriventris (Lötters, Debold, Henle, Glaw, and Kneller, 1997) Ameerega silverstonei (Myers and Daly, 1979) Ameerega simulans (Myers, Rodriguez, and Icochea, 1998) Ameerega smaragdina (Silverstone, 1976) Ameerega trivittata (Spix, 1824) Ameerega yungicola (Lötters, Schmitz, and Reichle, 2005) Sources: Wikipedia.org http://research.amnh.org/
  18. Taxonomie des Tritons et Euproctes d'Europe La taxonomie souvent utilisée a propos des tritons,euproctes et compagnie est désormais changée,certains tritons sont restés attachés au genre Triturus mais d'autres se sont retrouvés dans d'autres genres :Mesotriton et Lissotriton. Certains Euproctus sont desormais classés comme Calotriton Liste non actualisée du genre Euproctus Euproctus arnoldi Euproctus asper Euproctus montanus Euproctus platycephala Genre Euproctus actuel Euproctus montanus (Savi, 1838) Euproctus platycephalus (Gravenhorst, 1829) Genre Calotriton(anc. Euproctus) Calotriton arnoldi Carranza and Amat, 2005 Calotriton asper (Dugès, 1852) Liste non actualisée du genre Triturus Triturus alpestris Triturus boscai Triturus carnifex Triturus cristatus Triturus dobrogicus Triturus helveticus Triturus italicus Triturus karelinii Triturus marmoratus Triturus montandoni Triturus pygmaeus Triturus vulgaris Genre Triturus actuel Triturus carnifex (Laurenti, 1768) Triturus cristatus (Laurenti, 1768) Triturus dobrogicus (Kiritzescu, 1903) Triturus karelinii (Strauch, 1870) Triturus marmoratus (Latreille, 1800) Triturus pygmaeus (Wolterstorff, 1905) Genre Lissotriton Lissotriton boscai (Lataste in Tourneville, 1879) Lissotriton helveticus (Razoumovsky, 1789) Lissotriton italicus (Peracca, 1898) Lissotriton montandoni (Boulenger, 1880) Lissotriton vulgaris (Linnaeus, 1758) Genre Mesotriton Mesotriton alpestris (Laurenti, 1768) Sources: http://research.amnh.org
  19. RAF-nacannonce

    L'OBheN

    Bulletin de l'Observatoire Batracho-Herpétologique Normand, très interessant à lire à mon gout http://www.cpiecotentin.com/bulletin_information_onbaf.pdf
  20. RAF-nacannonce

    sugar glider

    http://www.veterinet.net/sante/nouvelle.asp?categ=4.4&no=506 Information à compléter par des textes législatifs plus récents concernant l'obligation de CDC au-dessus de 5 spécimens,sauf erreur de ma part
  21. voila en cliquant vous trouverez pas mal d'info et pour ceux qui ne parlent pas la langue les photos sont tres explicite. http://www.reptiles.de/Bissunf%C3%A4lle.htm
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