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RAF-nacannonce

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  1. Heterodon nasicus nasicus Heterodon nasicus nasicus (Baird & Girard, 1852) Systématique/classification: Règne : Animal Groupe : Vertébrés Classe : Reptiles Sous-classe: Lepidosauriens Infra ordre: Aléthinophidiens Ordre : Squamates Sous-ordre : Ophidien Super famille: Colubroïdea Famille : Colubridae Sous-famille : Colubrinae Genre: Heterodon Espèce: Heterodon nasicus Sous-espèce: nasicus Nom scientifique : Heterodon nasicus Nom commun français : Serpent à Groin ou serpent à nez de cochon. Nom commun anglais: Western hognose snake Taille moyenne : 40 cm en moyenne pour les mâles et 0,80 cm à 1 m pour les femelles. Dentition : Opystodonte Description : Ce petit colubridés est doté de plein de petites particularités que vous pourrez découvrir tout au long de cette fiche. Ce serpent doit son nom à son rostre (sont petit nez est retroussé), ce qui lui permet dans la nature de creuser le sol pour y déterrer les proies qui s’y enfouissent, comme les crapauds par exemple. De taille plutôt petite mais trapue, il montre une livrée générale qui lui donne l’apparence d’un serpent venimeux. Sa coloration de base est beige avec de nombreuses taches brunes et sable à olive. Il possède deux rangées de taches latérales, sous forme de cercles. Sa surface ventrale est noire, parsemée de points jaunes orange. Ses écailles sont fortement carénées et rugueuses, une large bande brune la sépare au milieu. Sa tête est petite et très courte, elle est très peu démarquée du reste du corps, servant également de camouflage efficace. Sa bouche est de couleur noire et est pourvue de crochets venimeux situés à l’arrière. Nous reviendrons plus tard sur le venin. Sa queue minime, au bout pointu, est courte. Ses yeux avec une pupille de forme circulaire sont bruns dorés. Les personnes qui le voient pour la première fois en tombent systématiquement amoureux. Ce fût le cas pour ma femme ! Longévité : Les Hétérodons ont une espérance de vie moyenne de 15 à 18 ans. Le record de longévité est de 19 ans et 10 mois. Habitat : On le retrouve au Canada, au sud-ouest du Manitoba, au sud de la Saskatchewan, et au sud-est de l'Alberta. Aux États-Unis, il peuple de l'ouest du Minnesota à l'ouest du Texas. Des populations isolées sont aussi retrouvées à travers les États-Unis. Il habite les plaines sablonneuses, les collines rocheuses, enfin tous les endroits qui s'apparentent plus ou moins à un désert. Température : La température au point chaud sera entre 28 et 30°C et de 22 et 24°C au point froid. La nuit 23 à 25°C point chaud et de 22 à 20°C au point froid Éclairage : Cycle 12 heures de jour et 12 heures de nuit. Il n’est pas obligatoire de fournir un éclairage direct à l’intérieur du terrarium si la pièce dans laquelle il se situe est suffisamment éclairée par la lumière naturelle. Hygrométrie : Environ 30 % à 60 % est suffisant étant une espèce désertique. Alimentation : Des souris de taille adaptée conviennent parfaitement à raison d'une fois par semaine pour les adultes. Le fait de nourrir cette espèce uniquement de petits rongeurs présente quelques désavantages pour le serpent. Les souris sont beaucoup plus grasses que les crapauds qu'il mange dans son milieu naturel, le serpent peut donc souffrir de surpoids et mourir prématurément à cause des complications au niveau du foie, dues à un excès de gras. Il faut donc prendre garde à l'obésité. Petite particularité de l'espèce est que ce serpent est l'un des seuls à pouvoir manger une proie morte en état de décomposition. Il faut toujours se laver les mains lorsque l'on vient de toucher un rongeur et que l'on a l'intention de manipuler ou te toucher le serpent. Car les petites particules odorantes laissées sur la main par la proie aura vite fait d'être détecté par le serpent qui risque de prendre notre main pour un rongeur! C'est d'ailleurs la seule morsure que j'ai eue à déplorer lors d'un nourrissage. Il faut également impérativement le nourrir à l'extérieur du terrarium vu que cette espèce a besoin de substrat type copeaux (ou autre) afin qu'il puisse s'y enfouir, il aura donc toutes les chances d'ingérer un élément de celui-ci. Terrarium : L’heterodon est un fouisseur il n’a donc pas besoin de hauteur de terrarium, car il reste au sol. Il lui faudra par contre obligatoirement avoir un substrat type sable ou copeaux, certain éleveurs utilisent du papier journal coupé en lamelles, il lui faut de quoi s'enfouir car il aime ça et cela lui évitera un stress inutile (attention quand on le nourrit qu’il n’en avale pas !). Il est donc préférable de le nourrir à l'extérieur de son terrarium pour limiter tout risque. La taille préconisée pour un adulte est de 60 x 40 x 30 cm. Comme pour la majorité de mes serpents et plus particulièrement l'heterodon qui est terrestre, je chauffe le terrarium à l’aide d'un cordon chauffant ou une plaque relié à un thermostat. Les risques de brûlures sont ainsi écartés. Il faudra lui fournir également un bac à eau de taille adapté afin qu’il puisse s’y immerger lorsqu’il en a besoin. Le terrarium sera pourvu d’aérations permettant un brassage de l’air, ainsi que d’une serrure sur les vitres coulissantes car il risque de les ouvrir surtout quand il cherche à se débarrasser de sa mue. A noter : Tout élément introduit dans le terrarium devrait faire l'objet d'une désinfection rigoureuse, afin d'éviter d'amener toute sorte de parasites. Tempérament et manipulation : Cette espèce à un tempérament plutôt calme mais peut mordre notamment lors du nourrissage. Lorsqu'il est contrarié il le fait comprendre en aplatissant sa tête afin de lui donner une forme triangulaire, propre aux serpents venimeux. Il gonfle aussi son corps, afin de donner l'impression d'être plus gros. Ensuite, il siffle. Si tout ceci ne réussi pas à tromper le prédateur, il fera semblant de mordre. Il s'élancera, mais la bouche fermée. En captivité il se laissera manipuler sans aucun problème, il faudra juste éviter de le faire en période de mue. Autre petite particularité de l'heterodon s’il se sent menacé, il se retourne sur le dos, la bouche ouverte et la langue pendante, faisant ainsi semblant d'être mort. Ce spectacle est peu dévoilé si le spécimen est né en captivité, cependant, quelques uns plus agressifs ou nerveux n'hésiteront pas à le faire. Je vous recommande fortement de vous laver les mains, après avoir manipulé un serpent et avant d’en manipuler un autre et ce afin d’éviter de transmettre parasites ou autre problème non visible à l'oeil nu. Il est également important de vous désinfecter les plaies en cas de morsure. Reproduction : Du moment que les animaux sont sains et bien acclimatés elle est sans problème. L'idéal est d'avoir des sujets nés en captivité. Détermination des sexes : Pour distinguer les mâles des femelles rien de plus simple, ceci est une autre petite particularité du serpent à groin. Cela se fait à l’œil nu, il suffit simplement de lever la queue du serpent, la queue du mâle est nettement plus longue que celle de la femelle. Maturité sexuelle : La maturité sexuelle est atteinte au bout de 2 à 2 ans 1/2 minimum si le serpent est fort et robuste ; sinon il faut se contenter d'attendre une année de plus, afin de ne prendre aucun risque inutile pour le serpent. Préparation des futurs reproducteurs : Il faut tout d'abord s'assurer de la bonne santé et de l'âge de maturité sexuelle des futurs parents, en particulier la femelle qui aura la plus lourde tâche. Pour mon couple je nourris bien les futurs parents durant les mois d'octobre et novembre. Pour cela, il y a plusieurs possibilités, soit on augmente la taille des proies, soit on garde la même proie mais on en donne deux, soit on nourrit deux fois par semaine. Tous ceci dans le but de faire prendre « du gras » à mes futurs géniteurs pour qu'il puisse passer deux mois de repos sans risques. Une fois ces deux mois de sur nourrissage effectués, j'arrête de nourrir pendant au minimum trois semaines, pour qu’aucune proie ne pourrisse dans l'estomac pendant le repos hivernal qui dure deux mois. On peut éventuellement faire prendre un bain d'eau chaude tiède à ses serpents pendant 20 bonnes minutes afin qu'ils se vident entièrement. Il est très important que le serpent ait l'estomac entièrement vide. Ensuite je réduis la température et la lumière (si il y en a) à raison de 3 degrés et 3 heures d'éclairage tous les 3 jours, de manière à arriver à une température de 10 à 15°C et sans éclairage. Ensuite je laisse les serpents pendant deux mois sans manipulation (hormis urgence) je change uniquement l’eau. Ensuite vient la période de réveil. Pour cela j’effectue le cycle inverse en augmentant la température et la lumière (si il y en a) à raison de 3 degrés et 3 heures d'éclairage tous les 3 jours, jusqu'à arriver à mes températures normales. Une fois les températures redevenues normales je recommence à nourrir mes serpents avec des proies plus petites. Étant donné que le serpent n'a plus rien mangé durant 2 mois, son estomac s’est un peu rétracté et si l’on donne des proies trop grosses, celui-ci risque de régurgiter. La taille des proies est augmentée progressivement. Je nourris mon couple pendant un bon mois, comme pour la préparation pour la période d’ hibernation, afin de leur faire reprendre des forces Période d'accouplement : Une fois mon couple à nouveau dans de bonnes conditions je les remets ensemble. C’est en février qu’ont lieu les accouplements, ils durent plusieurs heures et s'étalent sur plusieurs jours. La ponte : Quelques jours avant la ponte la femelle se promène sans arrêt dans le terrarium afin de trouver un endroit adéquat pour y déposer ses œufs. Il est venu le temps de lui fournir une boîte de ponte ou la femelle pourra entrer entièrement et la garnir de mousse de sphaigne ou de vermiculite. Environ 40 jours après les accouplements la femelle pond entre 4 et 23 oeufs. Après la ponte je prends soin de laisser la femelle tranquille dans un terrarium et je la nourris pour qu'elle récupère toutes ses forces. Incubation : Il faut récupérer les oeufs et les mettre dans une boîte garnie de vermiculite. On mettra les oeufs dans l'incubateur réglé entre 28 et 29°C en général 28°C à environ 90% d'humidité. Il est très important de ne jamais retourner les oeufs lors de la manipulation de ceux-ci sinon la membrane aura vite fait de se déchirer tuant ainsi les embryons. Éclosion : Environ 50 à 60 jours après la ponte arrive le moment de l'éclosion. 24 à 36 heures après le début de l'éclosion tous les serpents devraient être sortis de leur œuf, si tel n'était pas le cas, inciser très légèrement l'oeuf pour aider le serpenteau à sortir à l'aide d'un ciseau à bout rond pour ne pas blesser nos nouveaux petits. Les serpenteaux mesurent en moyenne 15 à 18 cm pour un poids de 7 à 10 g. Soins des nouveaux-nés : Une fois les serpenteaux sortis de l'œuf, je les place dans des boîtes individuelles de 20x20 cm (type boîte à bonbons). On y placera une cachette (j'utilise un rouleau de papier toilette coupé en deux) et une feuille de papier absorbant les deux premiers jours afin de voir si tout va bien. Ensuite j’ajoute une bonne épaisseur de copeaux afin qu'ils s'y enfouissent et s'y sentent en sécurité. Tout ceci à la même température que leurs parents. Encore une autre particularité de ce petit serpent, les bébés muent presque immédiatement après l ’éclosion et au maximum dans les 24 heures. Je nourris les petits nouveaux nés deux fois par semaine. Ce serpent peut poser des problèmes pour s'alimenter des souriceaux. Il existe plusieurs solutions pour palier à ce problème, en voici deux qui ont souvent porté leurs fruits. La première consiste à frotter le souriceau sur la peau d’un lézard (ou sa mue), une grenouille ou un crapaud (cela fonctionne très bien étant son repas en milieu naturel). La seconde consiste à donner des morceaux de filet de poisson saupoudré d’un peu de calcium. Fonction venimeuse : Une petite polémique sur le venin est née tentons ici de vous en expliquer les fonctions. Deux rôles ont été attribués à ces crochets. Le premier rôle est du faite qu'à l’état sauvage ce serpent se nourrit de crapauds, ces derniers, comme moyen de défense, se mettent à gonfler. Les crochets permettraient au serpent de percer la peau du crapaud pour le dégonfler afin de pouvoir l'ingérer. La deuxième fonction vient essentiellement de la salive qui contient des substances toxiques et permet aux serpents de tuer plus vite leurs proies. Un cas de morsure circule souvent sur Internet et montre une personne avec les mains très gonflées. Je pense que cette personne a du laisser la main un certain temps dans la bouche du serpent. Étant opystodonte le venin n'est pas injecté mais s'écoule lentement il faut donc que le serpent saisisse sa proie un certain temps pour que le venin puisse entrer et faire son effet. Les morsures sont dues à des erreurs grossières de la part des éleveurs, mais jamais d’une attaque spontanée du serpent. Dans le pire des cas, si une personne déclare une allergie après morsure au bout d’un doigt, la main enfle, se couvre de plaques rouges, et hormis la douleur importante, tout est rentré dans l’ ordre dans les 6 heures après la morsure ; mais n'entraîne en aucun cas la mort. Pour conclure je pense que c'est un serpent facile d'élevage de part sa petite taille et sa facilité de maintient. Je recommande toutefois d'avoir un minimum d'expérience et de responsabilité du fait qu’il soit " légèrement " venimeux. Il existe à ce jours trois sous-espéces: Heterodon nasicus nasicus (Baird & Girard,1852) Heterodon nasicus kennerlyi (Kennicott, 1860) Heterodon nasicus gloydi (Edgren, 1952) On peut trouver quelques phases : Amenalistic ou Albinos Pink pastel albinos Hypomelanistic Leucistic Blonde Jungle Green Red Copyright (c) 2007Total Taeniura. Tous droits réservés.
  2. Hyla arborea Distribution : Europe et Asie Taille : jusqu'à 5 cm Régime alimentaire : petits invertébrés. Arboricole. Température : 21°C Hibernation : oui Dimorphisme sexuel : les mâles sont m=plus minces que les femellesà la saison des amours. Le mâle chante. Reproduction : Jusqu'à 1000 oeufs ou plus par frai. En grand nombre, toutes ont les doigts modifiés ce qui leur permet de grimper à des surfaces verticales. Elles passent le plus clair de le temps des les arbres où elles peuvent se reproduire dans les trous remplis d'eau. Robuste et facile à élever, l'été, elle se débrouille bien en liberté dans un abri de jardin et peut se reproduire surtout si elle a ccès à une pièce d'eau raisonnable qui ressemble à une mare avec des plantes. source photo google source texte : guide du proprietaire "reptiles et amphibiens"
  3. Cynops pyrrhogaster Nom scientifique : Cynops pyrrhogaster Nom commun : Triton à ventre de feu Famille : Salamandridae Répartition : Japon Biotope : Points d'eau stagnante ou à faible courant des régions montagneuses. Taille adulte : 10 cm environ Température : Température ambiante de la pièce, si possible assez fraiche (18 à 20°c) Eclairage : Par tube ou néon Difficulté : Espèce trés facile Description et biologie : Ce triton a une face doresale et les flancs marron foncé uniforme, avec une peau granuleuse, contrastant fortement avec la face ventrale rouge-orangé trés vif avec des taches marron. Contrairement à d'autres tritons qui mènent une existence plutôt terrestre en dehors de la période de reproduction, le triton à ventre de feu est beaucoup plus aquatique et ce, tout au long de l'année. Terrarium : Le plus simple est d'élever en permanence cette espèce dans un aquarium de 60x40 cm, avec un fond de sable de Loire, des plantes aquatiques, une petite partie terrestre assurée par des rochers ouo des racines de bois pétrifié sur lesquels on dispose de la sphaigne. Maintenance : Cette espèce accepte tous les invertébrés aquatiques que l'on peut lui proposer, ainsi que des vers de terre. Reproduction : Comme pour nos tritons indigènes, les femelles enferment leurs oeufs un par un dans une feuille de plante aquatique (notamment Elodea). Les larves, qui éclosent au bout de 15 jours environ, sont carnivores et achèvent leur métamorphose au bout de quatre à cinq mois environ, mesurant alors 4 cm. Images prises sur Google Fiche descriptive tirée du livre : Le terrarium
  4. Tylotriton verrucosus Nom scientifique : Tylotriton verrucosus Nom commun : Triton empereur, salamandre Famille : Salamandridae Répartition : Partie sud du continent asiatique : du sud de la chine à la Thaïlande et au Vietnam. Présente également en Inde Biotope : De montagne assez frais et humide Taille adulte : 18 cm environ Température : 20 à 25°c Eclairage : Par tube ou néon Difficulté : espèce facile Description et biologie : Trés belle espèce : la couleur de fond marron trés foncé contraste avec une ligne vertébrale orange vif, ainsi que des ponits orange sur les flancs. Les glandes parotoïdes, au niveau du cou, sont particulièrement dévelloppées. En effet, cette espèce, comme beaucoup d'amphibiens, possède des sécrétions cutanées trés toxique pour les prédateurs. Sa coloration vive et tres contrastée a d'ailleurs valeeur d'avertissement à l'attention de ces derniers. On parle de couleur aposématique. L'activité est essentiellement nocturne. Contrairement au mode de maintenance que l'on observe parfois, le triton empereur est surtout terrestre. Terrarium : Idem que pour les jeunes adultes de Cynops pyrrhogaster : terrarium de type tropicale humide. Maintenance : Cette espèce est peu sélective et accepte pratiquement toutes les proies de taille et de mobilité adaptée. Reproduction : Période de repos indispensable : deux mois à 18°c environ. Les reproducteurs devront avoir à disposition un petit aquarium où déposer leurs oeufs. Le cycle de dévelloppement est un peu particulier : les larves émergent des oeufs rapidement, en quatre jours. Ensuite, le processus se ralentit puisque la métamorphose ne s'accomplit qu'au bout de 4 à 6 mois, généralement. Des durées encore plus longues, jusqu'à un an, ont été rélevées. Image prise sur Google Fiche descriptive tirée du livre : Le terrarium
  5. Triturus vulgaris J. Pellet - Randonature.ch Généralité Répartition géographique: La plus grande partie de l'Europeet de l'Asie occidentale. Taille: Le mâle 5 à 8 cm de long. La femelle 7 à 11 cm. Biologie: Ce triton est le plus terrestre d'Europe. Reproduction: Le mâle en premier rejoint les eaux de reproduction de février à mai. Selon le climat. La femelle pond 200 à 400 oeufs qu'elle fixe à l'aide de ses pattes postérieures aux plantes aquatiques. La phase larvaire dure quelque trois mois. Photo source: Google Copyright (c) 2007 Total Taeniura. Tous droits réservés.
  6. Hyla chinensis Hyla chinensis Guenther, 1858 Classe : Amphibien Ordre: Anura Famille : Hylidae Genre : Hyla Nom scientifique : Hyla chinensis Nom commun : Grenouille chinoise des feuillages Répartition : Chine; Taiwan, Province de la Chine Hygrométrie : L'hygrométrie devra être importante de l'ordre de 80 à 100% que l'on pourra obtenir en chauffant un bassin d'eau et y associé des pulvérisations quotidiennes. Biotope : Terre en contrebas moite forêt subtropicale/tropicale Habitat : Hyla chinensis habite les forêts tropicale, les champs cultivés, et les abords des piscines et petit bassin type marécage d'eau douce, ou elle y pond ces œufs Taille moyenne : 2.5 cm à 3 cm environ Température : Une température comprise entre 22 et 25° C, avec un point chaud à 28° C est recommandé (Un simple tapis chauffant devrait suffire). D'après ce que j'ai réussi à trouver elle supporterai un point chaud allant jusqu'à 30°C. Il faut tout de même faire attention à ne pas la surchauffé. Eviter donc de placé le terrarium à proximité d'une fenêtre plein sud ou d'un radiateur. Eclairage : Par tube ou néon qui son souvent les meilleures sources lumineuse, puisse qu’ils délivrent beaucoup de lumière et peu de chaleur avec une consommation électrique relativement faible. Difficulté : Le niveau de difficulté de cette jolie espèce est plutôt facile. Description : Cette petite grenouille est de couleurs majoritairement vertes (couleur vive). Le coté de la tête est munie d'une bande de couleurs brune avec un liseré noire qui traverse l'œil pour se rejoindre à l'avant de la tête. L'extrémité des pattes peut être de couleurs brun, jaunâtre voir un peu orangée. La face ventrales et de couleurs blanc/blanc crème jaune voir même orangée. On peut également y trouvé des petites taches noirs qui se situe en général au niveau des cuisses pour s'étendre légèrement sur les flancs. Terrarium : Le terrarium devra être d'une taille d'environ 30 x 30 x 50 cm voir même plus grand, on privilégiera la hauteur pour cette espèces vu ces mœurs arboricole. Ces dimensions seront suffisantes pour y loger un couple. Le sol, sera garni de terreau pour y permettre la plantation de plantes. On y disposera également une couche de mousse (saine). La décoration du terrarium devrai être faite de nombreuse plantes grimpante ainsi que de branche pour permettre à l' Hyla chinensis de s'y caché. Maintenance : Nourriture : La nourriture est assez varié elle est constitué de mouches, vers de farine, grillons, vers de terre, scarabées, chenille etc. Reproduction : Le mode de reproduction de cette espèce reste inconnu à ce jour. Elle pond ces œufs dans des petits bassins d'eau. Espérance de vie : 2 ans voir plus ce sont les donnés connu à ce jour. Le chant : Cliquez sur ce lien pour entendre son chant: http://www.froghome.idv.tw/html/class_1/hylidae.html Source photo : Google Copyright (c) 2007 Total Taeniura. Tous droits réservés.
  7. Bombina orientalis nom scientifique: Bombina orientalis nom courant: crapaud sonneur asiatique. répartition géographique: Asie orientale, de la Sibérie du sud-est à la Corée. mœurs: très aquatique, le sonneur passe la plus grande partie de son temps dans l'eau ou sur les bords; ses mœurs sont très proches de celles de son cousin Européen, le Bombina variegata et Bombina bombina. Il est essentiellement diurne, mais le mâle continue à chanter la nuit à la période des amours. Il vivent généralement en petites colonies. habitat: étangs frais des collines ou cours d'eau à débit calme. Il peut monter jusqu'à 3000m d'altitude. dimorphisme sexuel: mâles sensiblement plus petits que les femelles, présence des callosités noires sur les doigts des mâles en période de reproduction. L'accouplement est de type amplexus lombaire (le mâle saisi la femelle à la hauteur du haut des cuisses en la prenant avec ses avant-bras). chant: le cri d'appel ressemble au cri d'une chouette et n'est pas trop bruyant. nourriture: tout ce qui bouge et qui est de la taille de sa bouche sera accepté: insectes volants et rampants, mouches, tebos, vers de farine, papillons, vers de terre et grillons. terrarium: Les animaux aiment l'eau , ce terrarium (en fait un aquaterrarium) devra avoir environ 70 à 75 % de sa surface occupée par l'eau. Les Bombina viennent de régions tempérées, voire froides. Il est d'ailleurs possible que selon les régions d'origine et leurs climats y ait des variétés avec des besoins ou des tolérances différentes. La personne qui ne souhaite pas faire de reproduction peut les laisser à la température ambiante de la pièce , c'est à dire 17 à 19° l'hiver (selon le chauffage de la maison) et 23 - 27° l'été. Pour la repro, il est plutôt conseiller d'organiser une période fraîche de 2-3 mois à 15-17°, puis une hausse régulière et assez rapide (en 1 ou 2 mois) jusqu'à 25°-28°. Dans ce cas, un chauffage spécifique au bac permet de mieux régler. Un chauffage aquatique (achetable en magasin d'aquariophilie) suffira. reproduction: Les Bombina se reproduisent plutôt au printemps. Il faut respecter une période de 2/3 mois à 15/17°, puis remonte en 1 ou 2 mois vers 25°-28°, puis redescendre en fin d'année en 1 ou 2 mois. Faire varier la durée d'éclairage de 10 à 13/14H (vois plus haut) est un plus. particularités: Les B. orientalis, lorsqu'ils sont dérangés ou agressés, présentent un comportement défensif: les crapauds ainsi dérangés s'arc-boutent sur leur dos et présentent leur face ventrale à leur assaillant, tandis qu'ils rapprochent leurs membres. L'agresseur est alors averti par le rouge du ventre que s'il va plus loin, il risque d'avoir des problèmes. Et c'est ce qui ne manque pas d'arriver si l'agression continue : les sonneurs à ventre rouge produisent alors un produit laiteux, toxique, qui a un goût âcre et putride, et qui a pour effet de faire gonfler les muqueuses. Source : http://gutt.sg.free.fr/amphibiens.htm
  8. Varanus auffenbergi [i]Varanus beccarii Varanus bengalensis Varanus boehmei Varanus bogerti Varanus caerulivirens Varanus cerambonensis Varanus doreanus Varanus dumerili Varanus finschi Varanus flavescens Varanus indicus Varanus jobiensis Varanus juxtindicus Varanus komodoensis Varanus kordensis Varanus mabitang Varanus macraei Varanus melinus Varanus olivaceus Varanus panoptes Varanus prasinus Varanus rudicollis Varanus salvadorii Varanus salvator Varanus similis Varanus spinulosus Varanus telenesetes Varanus timorensis Varanus yuwonoi Source : Google
  9. Hydrosaurus weberi * Photo gutt.sg.free.fr Hydrosaurus weberi est originaire d’Indonésie. Nous ne connaissons malheureusement pas la localité exacte d’où proviennent nos reproducteurs. C’est le plus grand représentant de la famille des agamidés, les mâles peuvent atteindre 120 cm. Ce lézard impressionnant par sa taille et son allure, possède, chez les mâles adultes, une crête sur la nuque, une sur le dos et une troisième haute crête soutenue par des vertèbres à la base de la queue. Autre caractéristique liée à ses mœurs aquatiques, les doigts de ses pattes postérieures sont « palmés ». Principalement insectivore quand il est jeune, il devient végétarien à l’âge adulte. Les animaux issus d’importation sont souvent très parasités et farouches, difficiles à acclimater. En revanche, les hydrosaures d’élevage sont très robustes et familiers. AMENAGEMENT DU TERRARIUM Les dimensions minimales pour garder correctement un couple d’Hydrosaurus adultes sont 2 m x 1 m x 2 m ; un vivarium mesurant 2,0 m x 2,0 m x 2,5 m serait toutefois préférable. Pour accueillir un couple d’hydrosaures, par exemple, j’ai fermé un coin de ma salle d’élevage avec des plaques de « placo » de manière à agencer une pièce de 3,0 m x 2,0 m x 2,3 m, dans laquelle on entre par une porte. Le carrelage, une haute plinthe et la peinture lavable sur les murs garantissent hygiène et étanchéité. Un grand bassin d’eau, qui ait au moins les dimensions de l’animal, est indispensable. Etant donné que Hydrosaurus défèque dans l’eau, le nettoyage sera quotidien, pour cela il est préférable d’équiper le bassin d’une bonde d’évacuation. Pour ma part, j’ai installé une baignoire reliée au tout-à-l'égout et qui est remplie par un tuyau raccordé au robinet. Des rondins sont vissés aux murs à une distance de 30 cm environ des tubes néon (type Reptisun) fixés au plafond : l’animal, installé sur ces perchoirs, peut ainsi bénéficier du rayonnement UV. Une lampe à vapeur de mercure mixte (type Powersun) de 150 W est suspendue au-dessus de la baignoire. Quand le lézard se repose sur la grande écorce en chêne–liège qui de la baignoire atteint le plafond, il profite pleinement du rayonnement de la lampe, il se chauffe et absorbe en même temps les UVA et UVB, indispensables à une bonne absorption du calcium. D’autres branches et souches permettent à l’hydrosaure de monter jusqu’aux poutrelles qui traversent, en haut, son vivarium. La température dans le vivarium varie, au printemps et en été, entre 35 et 25° C ; en automne et en hiver, elle varie entre 28 et 18° C. La photopériode est de 14h en été et de 8h en hiver. Les changements dans la durée du jour sont programmés en ôtant ou en ajoutant une demi heure de lumière par semaine. Je pense que ces changements favorisent la reproduction. De fait, les accouplements en captivité, à ces conditions, ont toujours lieu au printemps et en été. Un autre facteur qui marque la succession des saisons est l’hygrométrie. Au printemps–été je vaporise quotidiennement les animaux et le vivarium, tandis que le restant du temps l’hygrométrie est déterminée uniquement par la présence de la baignoire remplie d’eau. La boite de ponte est constituée par une bassine (45 x 35 x 25 cm) remplie de tourbe humide. Les plantes véritables sont à éviter car pour Hydrosaurus elles ne sont que des garde–manger. Les plantes en plastique ne sont pas une solution non plus, puisque les hydrosaures en mangent les feuilles sans difficulté et ils s’exposent ainsi aux dangers d’une occlusion intestinale. D’après mes observations, les hydrosaures passent le plus clair de leur temps en hauteur, sur les branches et poutrelles. Dès qu’ils se sont accoutumés à leur environnement, ces lézards assez paisibles et calmes ne craignent plus la présence du soigneur, ni d’éventuels "visiteurs". Toutefois, ils acceptent toujours mal les manipulations et, si on essaye de les toucher, ils réagissent souvent par la fuite ou par un coup de queue d’avertissement. Très territoriaux, deux mâles Hydrosaurus adultes ne peuvent cohabiter, l’agression est inévitable. En revanche, un mâle peut partager le vivarium avec plusieurs femelles (tout dépend naturellement des dimensions de la surface occupée), notamment si les animaux ont grandi ensemble ou s’ils ont été introduits au même moment dans leur nouveau territoire. ALIMENTATION Hydrosaurus juvénile, c’est–à–dire jusqu’à l’age d’un an environ, est presque exclusivement insectivore. Sa diète comprend grillons (Acheta domestica, Gryllus assimilis), blattes (Nauphoeta cinerea), criquets (Locusta migratoria, Shistocerca gregaria) de taille adaptée. De temps à autre, je donne aux juvéniles également des souriceaux, pinkies ou blanchons selon la taille du lézard, et des végétaux. Au fur et à mesure que l’animal grandit, il devient de plus en plus végétarien. A l’âge adulte, 95 % du régime alimentaire d’Hydrosaurus est composé de végétaux, à savoir : légumes (haricots verts, carottes, petits pois, tomates…), fruits (figues, pêches, abricots, mangues, raisins…) et feuilles (les salades qui ont un bon rapport calcium/phosphore (2/1), comme la romaine, la frisée, la mâche, le pissenlit…). Le restant 5 % est constitué par des blattes (Blaptica dubia, Nauphoeta cinerea, Blaberus atropos, Gromphadorrhina (blatte souffleuse de Madagascar), grillons (Gryllus bimaculatus), larves de Zoophobas morio, souris, cuisses de grenouilles que je propose aux hydrosaures une ou deux fois par mois. Si je nourris de cette manière mes lézards, c’est en raison d’observations accomplies au cours de 7 années d’élevage. Quand la nourriture animale était abondante, les pontes n’étaient pas viables, les œufs étaient déformés –peut être en raison de la masse trop importante des lobes de graisse dans la cavité abdominale– et ils moisissaient en quelques jours. De plus, certains signes d’obésité, comme la déformation de la crête dorsale, non plus droite mais ondulante, commençaient à se manifester. De ce fait, en connaissant les dangers d’une excessive accumulation de graisse chez les reptiles, j’ai changé le régime alimentaire de ces lézards et, depuis, non seulement ils sont en parfaite santé mais les pontes ont été toutes productives. Les proies, ainsi que les végétaux, sont saupoudrés de carbonate de calcium deux fois par semaine et de vitamines (Petphos croissance pour chiots mélangé avec Ocevital pour oiseaux) tous les 15 jours (une fois par semaine pour les juvéniles). REPRODUCTION Bien qu’on ne puisse pas parler d’hivernage pour cette espèce tropicale, je lui impose cependant un changement saisonnier par une modification dans la durée du jour. A partir de la mi–septembre, quand la photopériode est de 14h, je diminue progressivement d’une demi heure par semaine la photopériode, jusqu’à avoir des journées de 8h au début décembre. Cette condition dure un mois. Début janvier, les journées rallongent d’une demi heure par semaine jusqu’à avoir 11h30 de lumière à la fin février ; ensuite la photopériode est encore augmentée au début mars (12h), à la mi-mars (12h30), à la fin avril (13h), à la mi–juillet (13h30) et finalement au début août (14h). Pendant cette période hivernale, les températures demeurent relativement hautes : de 18 à 25° C. Pour ce faire, je remplace la lampe Powersun par une lampe à vapeur de mercure mixte de 250 W (type Osram), le rayonnement UV étant toujours assuré par les tubes néon. D’après mes observations, les accouplements commencent fin–janvier/février. La femelle peut pondre 4 à 5 fois par saison. La période de gestation est de 37–38 jours. Les œufs sont déposés dans un trou creusé jusqu’au fond du pondoir. Le nombre d’œufs n’est pas très important, de 4 à 8. Les œufs sont mis en incubation dans une boite, fermée par un couvercle troué, contenant 5 cm de tourbe humide et ils sont recouverts de tourbe. Cette boite est placée soit dans un incubateur à une température stable de 28° C (au début de saison), soit, dès que la température ambiante devient trop élevée (+ de 30° C), sur une étagère dans la pièce d’élevage. De cette manière, les œufs ne sont pas exposés à des valeurs trop hautes trop longtemps, puisque la nuit la température baisse (28° C environ). C’est pour cette raison que la durée d’incubation est plus longue en début de saison (86 à 90 jours) et plus courte en plein été (72–74 jours). Les nouveau–nés, assez craintifs, sont installés au calme, dans un terrarium mesurant 60 x 30 x 12 cm, avec beaucoup de branches, feuilles et cachettes. Un bassin d’eau relativement grand (50 x 20 x 30 cm) sera nettoyé quotidiennement. En grandissant, les juvéniles deviennent de moins en moins farouches, mangent à la main et, certains individus, grimpent sans problème sur l’épaule du soigneur. Cependant, j’évite toujours de les manipuler. En effet, un "stress" trop important peut provoquer un prolapsus ( descente d’organes) cloacal qui peut se solder avec la mort de l’animal. Chez les juvéniles il n’existe pas de dimorphisme sexuel. Ce n’est qu’à partir de l’âge d’un an, voire deux ans, que la crête dorsale commence à se développer, en permettant ainsi de différencier les mâles et les femelles. Pour en savoir plus : BIBLIOGRAPHIE · BARTLETT R. D., BARTLETT P. P., 1997. Anoles, Basilisks, and Water Dragons. Barron’s Educational Series : 96 p. · BROGARD J., 1992. Les maladies des reptiles. Collection Médecine Vétérinaire : 320 p. · COBORN J., 1996. Water Dragons, Sailfins Lizards and Basilisks. TFH : 12–13. · DE VOSJOLI P., 1997. The lizards keepers handbook. Advanced Vivarium Systems. 176 p. · GERARD P., 1997. L’élevage des lézards. Philippe Gérard Editions. 82 p. · GERARD P., 1998. L’élevage des agames aquatiques et des basilics. Philippe Gérard Editions. 66 p. · GERARD P., HUSSARD N., ROSSELLE S., SAVARIN P., SCHILLIGER L., 2003. Atlas de la terrariophilie. Les lézards. Animalia Editions Vol. 3 : 192 p. · MANTHEY U., SCHUSTER N., 1996. Agamid Lizards. TFH : 95-98. · MATTISON C., 1989. Lizards of the world. Blandford : 192 p. · MATZ G., VANDERHAEGE M., 1978. Guide du Terrarium. Delachaux et Niestle : 350 p. · OBST F. J., RICHTER K., JACOB U. 1988. Atlas of Reptiles and Amphibians for the Terrarium. TFH : 437. · ROGNER M., 1997. Lizards. Krieger Vol. 1: 160-163. · SCHILLIGER L., GERARD P., 1998. Allo, véto! Philippe Gérard Editions. 82 p. · SCHILLIGER L., 2004. Guide pratique des maladies des reptiles en captivité. Editions MED'COM : 224 p. · SPRACKLAND R. G. 1992. Giant Lizards. TFH : 177-180. · VISSER G., 1984. Husbandry and reproduction of the sail-tailed lizard, Hydrosaurus amboinensis (Schlosser, 1768) (Reptilia: Sauria: Agamidae) at Rotterdam zoo. Acta Zool. Path. Antverp. 78 : 129-148. · WERNING H., 2002. Wasseragamen und Segelechsen. Natur und Tier-Verlag - Münster : 126 p. Source : bebesaurus
  10. Leiolepis belliana guttata (Hardwicke & Gray, 1827) Synonyme: Leiolepis belliana belliana (Smith, 1935) Leiolepis bellii (Gray, 1845) Liolepis belliana (Boulenger, 1890) Liolepis bellii (Cantor, 1847 ) Uromastyx belliana (Hardwicke & Gray, 1827) Classe: Reptilia - Reptiles. Sous-classe: Lepidosauromorpha - Lepidosauriens. Ordre: Squamata - Squamates (Sauro-ophidiens). Sous-ordre: Sauria - Lézards (lacertilia). Ordre intermédiaire: Iguania - Iguanes. Famille: Agamidae - Agamidés. Sous-famille: Leiolepinae - Leiolepinés. Genre: Leiolepis. Espèce: belliana. Sous-espèce: guttata. Nom vernaculaire: Agame papillon. Nom scientifique: Leiolepis belliana guttata. Répartition: Les espèces de Leiolepis se trouve sur la péninsule malaisienne et dans le Sud-est asiatique (Laotiens, Thaïlande, Vietnam, Birmanie [Myanmar], Sumatra, et île de Bangka) à l'est en Chine méridionale (île de Hainan). Biotope: Forêts ombrophiles. Les agames papillon habitent des secteurs tropicaux côtiers ouverts avec les sols arénacés. STATUT DE CONSERVATION : Non menacé. Biologie: Terrestre, fouisseur. Alimentation: L'agame de papillon est un insectivore, bien qu'ils s'alimentent d'insectes et de petits crabes dans la nature. En captivité un régime d'insectes, type criquets et autres font partie de leurs menu. Quelques fruits et légumes peuvent également être donnés comme festin. Comportement: Diurne. Ces beaux lézards, agiles, actifs creuse profondément. Ils sont réputés pour vivre en colonies. Ils sont en activité aux alentours de midi à températures élevées. Leurs nervures ovales leur permettent d'aplatir leurs corps ; elles sont même réputées pour pouvoir faire des sauts d'une certaine hauteur et longueur, bien que ce comportement exige la confirmation. Ce comportement peut etre lier à l'origine de leur nom commun, agame papillon. Ils préfèrent vivre dans des régions arides et ouvertes. Ce lézards est terrestres, Il vive souvent dans de profondes cavité, qu'ils creusent eux-mêmes. Description : L'agame papillon est récemment devenu plus populaire comme nouvelle animal de compagnie, cependant, très peu de chose sont connu au sujet de leur comportement dans leur environnement naturel. Il peut atteindre 50 centimètres de longueur. Ils ont un corps légèrement aplati et un contour arrondi. Leur queue est longue. Les taches sur le corps sont très petites et ressemblent à des grains de sable. Les pores fémoraux sont présents sur les mâles. Le dos de l'agame papillon est vert gris ou olive, Il y a trois raies dorsales jaune, encadrées avec des cercles jaunâtres dispersés à travers les taches arrières et rouge-orange et noires le long des côtés avec des raies noires. Les longues jambes de derrière sont tacheter jaune-clair identique au couleur dus dos voir un peu plus terne. Terrarium : Le Leiolepis belliana devrait être maintenu dans un terrarium aride avec beaucoup de substrat pour leur offrir de la profondeur pour qu'il puisse creuser. Ils devraient toujours avoir accès à de l'eau en abondance. Température : Les temérature devrait se situé le jour à 35°C au point chaud et 30°C au point. La nuit la température devra être abaissée à environ 10°C. Soit 25°C au point chaud et 20°C au point froid. Reproduction: Encore peu de chose sontconnu au sujet de leur biologie reproductrice. On rapporte que ces lézards sont strictement monogames. Ils sont ovipares, signifiant ils pondent des oeufs plutôt que de donner naissance à de jeunes nouveaux née. Peu est connu au sujet de leur biologie reproductrice, mais ils pondent des oeufs. Sujet : sub-adultes A noter: Il semblerait que leurs reproduction serait assez similaire à celle des uromastyx Sujet: juvenile [/i]Source photo : http://www.doornstaart.nl/leiolepis.htm Source fiche : Raf Si vous avez des precision à apporter à ce sujet elles sont les bienvenues Copyright (c) 2007 Total Taeniura. Tous droits réservés.
  11. Trimeresurus albolabris Especes venimeuse dangereuse Cryptelytrops albolabris (Malhotra & Thorpe, 2004) Généralité Répartition géographique: Originaire d'Asie, de Chine et du Népal. Taille: De 70 à 80 cm. Biologie: Arboricole. Nocturne. Nourriture: Rongeurs, Lézard, Oiseaux. Reproduction: Ovovivipare. La femelle donne naissance à 10 à 20 petits. Vie en captivité Terrarium: Un terrarium de 50x50x80 cm. Température: La température doit être de 26/28°C au point chaud et 24/26°C au point froid. La nuit la température doit être abaissée à 20/ 22°C au point chaud et 18/20 °C au point froid. Humidité: Hygrométrie haute (Environ 80 % à 90 %). Nourriture: Rongeurs et volaille ( poussin) Hivernation: Elle n'est pas necessaire pour cette espèces de simple pulvérisation plus fréquente pendant 3 ou 4 mois, afin de reproduire la saison des pluies suffira à faire que le couple ce mette à s'accouplé. Photo source: Google Copyright (c) 2007 Total Taeniura. Tous droits réservés.
  12. Pour moi c'est fait aussi Aller au suivant ça prend 2 minute et ça coute rien
  13. Il serait bon de ce donner un point de rendez vous
  14. Tu a vu ta femme c'est reconnaitre les talents
  15. Les croisements Contrairement à ce que L’on peut pensé on a trouvé des spécimens de Taeniura croisée entre elles. Taeniura yunnanensis x Taeniura mocquardi Photo source : Google Nous voyons bien là les dessins typiques des yunnanensis ainsi que le premier tiers du corps coloré également typiques des mocquardi. ------------------------------- Taeniura mocquardi x Taeniura taeniura Photo source : Google Ici nous pouvons observer des mélanges de couleurs plutôt intéressant. Copyright (c) 2007 Total Taeniura. Tous droits réservés. !!! Merci !!! A toutes et à tous.
  16. Les dessins de taeniura L’on peut trouver à ce jour des spécimens de Taeniura aux dessins lignée. Taeniura Taeniura " Striped " Source : Google C’est une des seuls photos que j’ai réussi à trouver de taeniura lignée J’ai également réussi à trouver des sujet de disponible mais chez un américain et qui les vends 395 livres. Copyright (c) 2007 Total Taeniura. Tous droits réservés.
  17. Taeniura " High contrast " • L’on peut trouver des spécimens de Taeniura très contrasté que nous nommerons High contrast. • Nous allons ici tenter d’en découvrir quelques spécimens. Taeniura Ridleyi " Orange " Source : Snake bar La taeniura Ridley orange et de toutes beauté nous voyons ici un magnifiques spécimen appartenant à Snake bar il a eu la grande gentilesse de m'autorisé l'utilisation de cette superbe photo. Elle est bien plus contrasté que certain spécimen qui sont beaucoup plus terne voir même pour certaine presque totalement blanche. ---------------------- Taeniura taeniura " High contrast " Source : Indiquée sur la photo J’ai eu la chance de rencontré des spécimens plutôt contrasté à la ferme tropical mais pas au point de ce spécimen. Qui est un pur merveille. -------------------------------- Taeniura yunnanensis " High contrast " Source : Indiquée sur la photo Je trouve ce spécimen tout simplement magnifique. On peut très bien voir les dessins typiques aux yunnanensis. Une photo de ce type ce passe de commentaire. --------------------------- Taeniura ssp. Bleue " High contrast " Source : Google Les ssp bleue High contrast se font plus fréquente que les autres sous espèces Stéphane roselle en possède d’ailleurs un jolie spécimen male qui n’est pas très bon reproducteur une repro tout les deux ans environ. ------------------------ Taeniura mocquardi " High-yellow " Source : Google Ce spécimen possède des couleurs magnifiques qui est sur le haut du crane superbement irisée. On peut trouver d’autres sous- espèces de taeniura high contrast comme les friesei mais je n’ai pas réussi à trouver de photos suffisamment explicites pour vous les faires partager. Copyright (c) 2007 Total Taeniura. Tous droits réservés.
  18. Les phases d’autres sous-espèces de taeniura Il existe une petite minorité de phase dans les autres sous-espèces qui devrait ce développé au courant des années à venir. Taeniura yunnanensis " Hypomelanistic " Source : Google Ce sont des spécimens encore très rare. Je n’ai encore trouvé aucun renseignement sur cette phase. ------------------------ Taeniura yunnanensis " Albinos " Source : Google Ce sont également des spécimens très rares. J’ai trouvé un anglais qui possède un couple d’hétéro albinos je vous en dirais un peu plus quand j’aurais réussi à rassembler d’avantage de renseignement sur ces spécimen. ----------------------- Taeniura Mocquardi " Albinos " Source : google Ce sont des spécimens encore très rare. Je devrais acquérir un couple cette année que j’ai réservé je pourrais vous en dire plus après l’avoir maintenue. Copyright (c) 2007 Total Taeniura. Tous droits réservés.
  19. Les phases de Taeniura taeniura • La majorité des phases actuellement rencontré sont des Taeniura taeniura. • Il existe une petite minorité de phase dans les autres sous-espèces qui devrait ce développé au courant des années à venir. • Je vais tenter par ces quelques photos que j’ai pu trouvé de vous faire découvrir quelques unes de ces merveilles. Taeniura taeniura "Albinos T-" Photo source: Google C'est un albinos de tyrosinase négatif. Les couleurs jaunes presque fluorescents combinés à des yeux blancs et rouges lumineux et une langue rouge. Il est plutôt difficile de faire ressortir ces véritables couleurs à l'appareil-photo. Animaux véritablement magnifiques. En outre chez l'albinos t- il y a beaucoup de différence dans la coloration. Il existe plusieurs colorations différentes. Michel klumpers détient un seul animal avec une coloration dont la plus grande du corps ou le blanc est remplacé par du jaune ayant pour résultat un animal plus orange avec un beaucoup de jaune et seulement un du blanc dans les lignes le long de la queue et du corps. ------------------ Taeniura taeniura "Albinos T+" Photo source: Google C'est un albinos de tyrosinase positif on pourrait le nommé également d’albinos pastel. Le corps est jaune avec un mélange de beige et légèrement de blanc. La région de la tête et du cou sont parfois admirablement orange. Les yeux sont comme des rubis rouge. Il y a beaucoup de différence dans l’intensité de couleurs chez l'albinos. ------------------------ Taeniura taeniura " Lavender " Photo source: Coxi.nl En 2005 Michel klumpers a fait l’acquisition d’une femelle qui a été vendu sous le nom d’hypomelanistic de 2004. Mais à son avis ce n'est pas un hypo mais un lavander. Cet animal a été accouplé avec des parents sauvages. Elle des couleurs sont juste comme d'un animal anytheristic, gris argenté avec des dessins gris sombre. La pupille n’est pas rouge foncé mais rouge ! ! ! Très spécial ! ! ! En 2007 il l’accouplera avec son mâle hypomelanistic --------------------------- Taeniura taeniura " Hypomelanistic " Photo source: Coxi.nl Celui-ci ressemble réellement à un Albinos T+, mais la coloration beige de la première partie du corps est plus foncée, jusqu'au brun foncé. La raie à travers les yeux est brun foncé, et les yeux et la langue sont noire. Voilà le meilleur moyen de les différencié. ---------------------- Taeniura taeniura " Calico " Photo source: Google Pour certains ces serpents serait d’un désordre génétique, mais pour d'autres ils sont la mutation extrême des patterns de couleur des serpents. Un bon nombre de couleurs font partie de la robe de ce serpent beige, jaune, brunâtre, orange sur un corps blanc lumineux. Il possède une multitude de couleurs dont les taches font un peu pensées à des confettis. Les spécimens juvéniles sont très colorés mais pendant qu'ils mûrissent la quantité de blanc augmentera. Il n’y a pas deux spécimens pareils. --------------------- Taeniura taeniura "Snow " Photo source: Coxi.nl En 2005 Michel Klumpers à commencer à accouplé ses premiers couples de double hétérozygotes anytheristic/albinos T+ ensemble afin d'avoir une petite chance d’obtenir des Snow. Ces 3 femelles doubles het ont eu trois pontes : Femelle 1 : 6 œufs tous fertiles Femelle 2 : 8 œufs avec seulement 4 œufs fertiles Femelle 3 : 10 œufs/tout fertiles De la femelle 1 et 2, il a seulement obtenu des normaux, l'albinos T+ et anytheristic. Le troisième ponte à contenu des normaux, des albinos T+, des anytheristic et le dernier œuf… a contenu un Snow….! ! ! Très très beau ! !! Avec le jaune, le crème, les couleurs saumonées et les yeux rouges lumineux. Cet animal est une vraie beauté. Le Snow semble être un mâle et devient un peu plus clair a chaque mue; Les bébés anytheristic, ont des couleurs un peu plus légere que la normale avec des reflets vert, mais après quelques mois il changerons pour venir à leurs coloration grise. Cela prendra 1,5 an pour qu'ils aient les couleurs anytheristic! Il vient d’avoir une ponte d’un accouplement de Snow et double hétéro albinos T+/anery) ----------------------------- Taeniura taeniura " Anerythristic" Sujet juvénile Photo source: Coxi.nl C’est un serpent avec une couleur de corps grise. Les bébés anytheristic, ont des couleurs un peu plus léger que la normale avec des reflets vert, mais après quelques mois il changerons pour venir à leurs coloration grise. Cela prendra 1,5 an pour qu'ils aient les couleurs anytheristic! Sujet adulte Photo source: Google Cette phase serait plutôt prometteuse elle offrirai de nombreuse possibilité d’en crée d’autre elle est à l’origine de la phase Snow. ----------------------- Taeniura taeniura " Abberant melanistic " Photo source: Google Comme nous pouvons le voir sur cette photo cette taeniura est presque totalement noir avec des reflets brunâtre. Je n’ai trouvé que très peu de renseignement sur cette phase. Je suis actuellement en contact avec un anglais pour en savoir plus. ------------------------ Taeniura taeniura" Hypomelanistic lavender" Photo source: Google Le premier tiers de ce spécimen fait penser à une mocquardi par sa teinte orangée. Sur le reste du corps nous voyons bien les couleurs lavande qui donnent une robe absolument sublime à ce serpent. --------------------------- Taeniura taeniura " platinum " Photo source: Google C’est une nouvelle phase, qui à l'aspect axanthic/patternless. Absolument sublime !!! Copyright (c) 2007 Total Taeniura. Tous droits réservés.
  20. L’espèce taeniura à été décrite pour la première en 1861 par Cope. • La sous-espèce Taeniura ce compose de deux groupe distinct. • Il y a le groupe des sous espèces Indo malaises et le groupe des sous espèces Indo chinoises Voici le groupe des sous espèces Indo malaises où l’on retrouvera la taeniura ridleyi, la taeniura grabowskyi et la taeniura spp. Ridleyi Photo source: Google Orthriophis taeniurus ridleyi à été décrite par (Butler, 1899) Description : Il s'agit d'une couleuvre asiatique aussi appelé couleuvre blanche cavernicole qui se nourrit essentiellement de chauve-souris à l'état sauvage. La sous- espèce ridleyi est l'une des plus répandue sur le marché avec ses cousines friesei et ssp. Bleue. La couleur de cette couleuvre est facilement reconnaissable des autres taeniura par sa couleur blanche crème tirant sur le beige voir ocre, du à sa vie en milieu naturel cavernicole, presque totalement dépourvu de lumière qui fait que ce serpent soit assez pâle sur une grosse partie du corps (absence de taches sur tout le corps). Avec pour certains une moitié de corps orange (plus où moins foncé) qui s'atténue jusqu'à la queue. La ligne sur le dos propre à toutes les taeniura est toujours présente du bout jusqu'au premier tiers du corps. La tête est coloré d'un magnifique bleue/bleu ciel brillant se démarquant du corps qui sera orangé ou blanc cassé et toujours la bande noire contournant l'œil typique à toutes les taeniura. Certains individus peuvent être très contrastés avec une partie du corps très orangée. L'Orthriophis taeniurus ridleyi occupe le plus souvent des endroits écologiques peu ordinaires pour un serpent. Elle vit dans les milieux à fort taux d'humidité et à des températures plus basses que les autres sous-espèces de serpent ratier telles les cavernes, grottes ou amas de rochers dans des forêts humides. Je la maintiens dans un terrarium sans aucun éclairage avec un taux d'humidité un peu supérieur à mes autres taeniura. Taille moyenne : De 1.6m à 2m avec une moyenne à 1.8m Dentition : Aglyphe. Habitat : Originaire de Malaisie, Thaïlande Température : 25-26°C au point chaud et 23/22°C au point froid. Hygrométrie : Environ 80 % à 90 % Terrarium : 120x60x60 cm au minimum Ponte : La femelle pond de 7 à 20 œufs rarement plus, en moyenne 10. ----------------------- Grabowskyi Photo source: Google Orthriophis taeniurus grabowskyi à été décrit par (Fischer, 1885) Très peu de renseignement son trouvé sur cette sous-espèces. Mais je suppose qu’elle est assez similaire aux autres sous-espèces. Biologie: Semi-Arboricole. Diurne. Description : Sa couleur bleu acier fait penser à la ssp bleu avec toute foi un bleu un peu plus soutenu que cette dernière. La queue est démunie de rayure contrairement à la grande majorité de taeniuras. La bande dorsale serait de couleurs bleus. Nourriture: Accepte toute sorte de proies vivante ou morte qu'elle chasse essentiellement dans les arbres. C'est une sous-espèce discrète qui se cache et chasse dans la végétation dense. Elle se nourrit surtout de rats et de rongeurs arboricoles. Humidité: Hygrométrie haute (Environ 80 % à 90 %). Cette sous espèces habite essentiellement les forêts de type tropicale. On pourra vaporiser le terrarium de façon journalière, en prenant les précautions de garder le sol sec. Nourriture: Tous types de Rongeurs. Possèdent un gros appétit. Taille moyenne : De 1.8m à 2.30m. Dentition : Aglyphe. Habitat : Originaire de Sumatra et de la provinces de l'Est de la Malaisie et Kalimantan et de l'île de Bornéo. Température : 26-28°C au point chaud et 24/26°C au point froid. Hygrométrie : Environ 80 % à 90 %. Terrarium : 120x60x60 cm au minimum. --------------------- Taeniura Ssp. bleue Photo source: Google Orthriophis taeniurus Ssp."Bleue" (???) cette sous espèces est non décrite pour le moment en 2005 une rumeur à circulé sur un nom scientifique mais qui na pas eu de suite il s’agit d’ Elaphe taeniura mourretti. Elle fait partie de la plus grande de cette sous-espèce. Elle est tout simplement superbe l'une des plus répandues sur le marché avec ses cousines friesei et ridleyi. La couleur de cette couleuvre est bleu/gris acier. La dernière partie du corps est constituée d'une ligne jaune sur le dos avec les côtés noirs rayé de blanc comme les friesei. Une bande noire contourne l'œil ce qui est typique à toutes les taeniuras. Certains individus peuvent être très contrastés avec beaucoup de jaune. On la trouve au Laos, Thaïlande, Vietnam et Birmanie, fréquentant les forêts et les champs, et se retrouvant aux abords des habitations en quête de nourriture. Taille moyenne : De 1,80 m à 2,50 m pour les mâles en moyenne 2,00m. Dentition : Aglyphe. Habitat : On la trouve au Laos, Thaïlande, Vietnam et Birmanie. Température : 28-29°C au point chaud et 25/26°C au point froid. Hygrométrie : Environ 60 % à 70 % Terrarium : 120x60x60 cm au minimum Ponte : La femelle pond entre 8 et 20 œufs, en moyenne 10. Les œufs sont de taille impressionnante. ----------------------------------- Voici le groupe des sous-espèces Indo chinoises, on y trouvera la taeniura taeniura, la taeniura yunnanensis, la taeniura mocquardi, la taeniura schmackeri et la taeniura friesei. Taeniura taeniura Photo source: Google Orthriophis taeniurus taeniurus a été décrite par (Cope, 1861) Description : Cette couleuvre asiatique est originaire de l’Est de la Chine. Encore massivement consommée pour l'alimentation humaine, elle n'est pratiquement plus exportée ces dernières années. Il s'agit de la plus petite sous-espèce de taeniura, elle est également la plus calme de toutes. Nous commençons à en trouver de plus en plus sur le marché, mais reste tout de même assez rare dans les élevages amateur. Il existe à ce jour très peu d'informations concernant cette sous-espèce qui mérite vraiment d'être connue. Doté d'un corps assez fin environ 4 voire 5 cm de diamètre maximum avec une tête relativement petite par rapport à ses cousines du même genre. La couleur de ce magnifique colubridé est très attrayante, démunie de tâche sur la première partie du corps hormis les deux bandes noires entourant l'œil, propre à toutes les taeniura. Le haut du corps est de couleur vert olive tirant vers le brun clair qui devient de plus en plus jaune au fur et à mesure que l'on descend avec des bandes noires un peu comme une échelle qui s'estompe vers la fin du dernier tiers pour laisser place à une ligne verte olive tirant vers le jaune. Les cotés sont parcheminés de dessins vert olive jaune avec de plus en plus de motifs noirs qui ont eux même des dessins blancs à l'intérieur, et parfois on décèle des couleurs orangées. Plus nous allons vers la queue plus les dessins s'atténuent et laissent place à des traits blancs verticaux qui s'arrêtent au niveau du cloaque. A environ la moitié du corps commence une ligne jaune pâle des deux cotés pour s'étendre jusqu'au bout de la queue et devenir jaune citron. Le ventre débute avec un jaune pâle pour finir par un jaune citron, avec sur le coté des motifs noirs un peu comme un damier pour finir un peu avant le cloaque par une ligne noire. Les yeux sont noirs avec un petit contour beige, et pour finir une superbe langue noire avec deux contours bleus ciel. Certains individus peuvent être très contrastés avec beaucoup de jaune. Habitat : Originaire de Chine dans les provinces : Anhui, Bijing, Fujian, Hebei, Hunan, Jiangsu, Jiangxi, Zhejiang. L'Orthriophis taeniurus taeniurus occupe des régions montagneuses aux abords des rivières et autres fleuves. Elle vit dans les milieux à fort taux d'humidité et à des températures assez basses en période hivernale. Taille moyenne : De 1.3m à 1.6m avec un maximum 1,8m Dentition : Aglyphe. Température : 26-28°C au point chaud et 22/25°C au point froid. Hygrométrie : Environ 70 % à 80 % Terrarium : 120x60x60 cm au minimum La ponte : La femelle pond de 5 à 15 œufs rarement plus, en moyenne 10. -------------------------------------- Taeniura Yunnanensis Photo source: Google Orthriophis taeniurus yunnanensis a été décrite par (Anderson, 1879) Description : L’Orthriophis taeniurus yunnanensis, de couleurs plutôt jaunes or. Les caractéristiques principale de cette sous-espèces sont les dessins dorsaux qui se compose des barres transversales ou des x en forme de papillon qui s’estompe au niveau de la queue pour laisser place à une ligne totalement démunie de tache de couleurs jeune. La tète est munie de deux bandes noires entourant l'œil, propre à toutes les taeniura. Les beautés de Yunnan sont beaucoup plus légères en couleurs, presque hypomelanistic à l’âge adulte. Etant jeunes la yunnanensis sont muni de couleurs un peu plus terne que leurs ainée. On peut si on a de la chance car très très rare trouvé des formes d’Orthriophis taeniurus yunnanensis Hypomélanistic. Que nous verrons plus tard. Habitat : La beauté de Yunnan, est trouvée dans toutes les provinces de Yunnan dans un éventail, de la Birmanie, de la Chine, d'Inde, du Laos, de la Thaïlande, et du Vietnam. Taille moyenne : De 1.4 m à 1.6 m avec un maximum 1,8 m. Dentition : Aglyphe. Habitat : La beauté de Yunnan, est trouvée dans toutes les provinces de Yunnan dans un éventail, de la Birmanie, de la Chine, d'Inde, du Laos, de la Thaïlande, et du Vietnam. Température : 26-28°C au point chaud et 22/25°C au point froid. Hygrométrie : Environ 70 % à 80 % Terrarium : 120x60x60 cm au minimum Ponte : La femelle pond entre de 5 à 15 œufs rarement plus, en moyenne 10. -------------------------- Taeniura Mocquardi Photo source: Google Orthriophis taeniurus mocquardi a été décrite par (Schulz, 1996) Très peu de renseignement son trouvé sur cette sous-espèces. Mais je suppose qu’elle est assez similaire aux autres sous-espèces. Description : Cette sous-espèce est trouvée en Chine méridionale et au Vietnam nordique. Le modèle dorsal montre 2 rangées des taches minces, qui peuvent être reliées entre eux (dans la même rangée) aux lignes minces. On pourrait aisément si on ne connaît pas un peu c’est espèces les confondre avec des taeniuras taeniura. Leurs coup que nous ne voyons pas sur cette photo à tendance à tiré plutôt vers le orangée. Taille moyenne : De 1.6 m à 1.9 m. Dentition : Aglyphe. Habitat : Cette sous-espèce est trouvée en Chine méridionale et au Vietnam nordique. Température : 26-28°C au point chaud et 22/25°C au point froid. Hygrométrie : Environ 70 % à 80 % Terrarium : 120x60x60 cm au minimum ------------------------ Taeniura Scmackeri Photo source: Google Orthriophis taeniurus schmackeri a été décrite par (Boettger, 1895) Très peu de renseignement son trouvé sur cette sous-espèces. Mais je suppose qu’elle est assez similaire aux autres sous-espèces. Description : Le modèle dorsal se compose des taches très indistinctes Ça couleurs est plutôt brunâtre sur l’ensemble du corps uniformément. Que l'on peu observer sur la photo ci-dessus. Taille moyenne : De 1.6m à 2.20m Dentition : Aglyphe. Habitat : Originaire du Japon (Archipel des îles Ryu Kyu) Température : 28-30°C au point chaud et 25/26°C au point froid. Hygrométrie : Environ 80 % à 90 % Pour obtenir ce taux d’hygrométrie on procédera à des pulvérisations journalières en gardant le sol sec. Nourriture: Tous types de Rongeurs. Possèdent un gros appétit. Terrarium : 120x60x60 cm au minimum ------------------------------ Taeniura friesei Photo source: Google Orthriophis taeniurus friesei a été décrite par (Werner, 1928) Description : Il s'agit d'une couleuvre asiatique. La sous- espèce friesei est la plus répandue sur le marché. La couleur de cette couleuvre vire du jaune à l'olive ponctuée de taches noires dessinant des formes ovales ou en forme de losange. La dernière partie du corps est constituée d'une ligne jaune sur le dos avec les côtés noirs rayé de petit trait blanc. Certains individus peuvent être très contrastés avec beaucoup de jaune. Habitat : Endémique à l'île de Taïwan, fréquentant les forêts et les champs, et se retrouvant aux abords des habitations en quête de nourriture, et parfois même à l'intérieur de celles-ci. Taille moyenne : De 2,40 m pour les femelles, 1,80 m pour les mâles. Dentition : Aglyphe. Température : 28-29°C au point chaud et 25/26°C au point froid. Hygrométrie : Environ 60 % à 70 % Terrarium : 120x60x60 cm au minimum Ponte : La femelle pond entre 4 et 15 œufs, en moyenne 10. Copyright (c) 2007 Total Taeniura. Tous droits réservés.
  21. Les sugar gliders sont de petits marsupiaux originaires d'Australie, de Tasmanie, de Nouvelle Guinée, Irian Jaya et quelques petites iles environnentes. Leur taille moyenne se situe aux alentour de 30 centimètres du museau au bout de la queue. La queue est au moins aussi longue que leur corps. Leur poids varie entre 90 et 150 grammes. Les mâles sont un peu plus lourds que les femelles. Ils sont arboricoles, font leurs nids dans les cavités les plus élevées des eucalyptus dans lesquels ils vivent en groupe de 7 à 15 individus. Ils peuvent planer entre des arbres sur une distance pouvant atteindre 50 mètres grace à une membrane appelée "patagium" qui s'étend de leurs mains à leurs chevilles Les sugar gliders sont nocturnes, ils possèdent de grands yeux sombres qui leur permettent d'avoir une excellente vision nocturne. Un sugar glider nourri correctement est un sugar glider en bonne santé. Les sugar gliders sont des animaux très résistants pour leur petite taille. La plupart des maladies courrantes des sugar gliders sont directement liées à leur régime alimentaire. Les sugar gliders sont de omnivores. Dans leur milieu natuel, ils se nourrissent d'insectes et de petits vertébrés, de sève d'eucalyptus, de gomme d'acacia et de nectar. Il est presque impossible de leur fournir ce menu en captivité. Ce que nous pouvons faire, c'est essayer de s'en approcher au mieux pour satisfaire leurs besoins nutritionnels. Le menu quotidien d'un sugar glider domestique se compose de fruits et légumes, d'insectes et de compléments alimentaires servis sous forme d'une mixture. Les sugar gliders ont besoin d'un espace suffisamment grand pour pouvoir y jouer et sauter comme ils le font à l'état sauvage. Ils ne doivent en aucun cas être abrités dans une petite cage à canari ou à hamster. Un vivarium ne convient pas non plus. Il leur faut une cage du type volière pour petits oiseaux d'une taille intérieure minimum de 1,20mètres de haut sur environ 80 centimètres de largeur et de profondeur avec un espacement des barreaux de 1 cm pour éviter qu'ils ne puissent se glisser entre. Source : http://www.sugar-glider.fr/
  22. Les différents différents poils, types et couleurs Les différents "Poils" * Le rat poil lisse (standard) a les poils raides et bien peignés. * Le rat poil rex a un pelage hirsute très mignon. * Le rat poil double rex a un pelage clairsemé par endroit et son poil ne cesse de pousser et tomber durant sa vie. * Le rat poil velours a les poils lisses mais légèrement ondulés. * Le rat nu n'a pas de poil. Les différents "Types" *Le rat bicolore a un pelage de deux couleurs *Le rat masqué a un masque sur la tête et le reste est blanc. *Le rat blaze a le museau blanc et le reste est d'une autre couleur. *Le rat dalmatien est blanc avec des taches noires. *Le rat capped a une capuche sur la tête car il n'y a que la tête qui est colorée, le reste du corps est dans une autre couleur. *Le rat bareback a la tête et les épaules colorées. Le reste du corps est d'une autre couleur. *Le rat hooded est bicolore. La tête et les épaules sont colorées avec un prolongement de couleur en une ligne dorsale. *Le rat british irish a une couleur uniforme avec sur le ventre une tache blanche en forme de triangle. *Le rat husky a le ventre blanc, le dos coloré et un marquage coloré partant des yeux vers le haut du crâne. *Le rat berkshire a le ventre blanc ainsi que les pattes et le reste du corps est d'une autre couleur. *Le rat siamois a le corps de couleur crème avec le bout du nez, les oreilles et le bas du dos plus foncé. *Le rat himalayen est un rat siamois avec le corps est blanc. Le rat normal a des oreilles qui sont haut sur le crâne. Le rat dumbo a les oreilles attachées plus bas sur le crâne. Les différentes "Couleurs" *Le rat albinos est tout blanc avec les yeux rouges. *Le rat noir a une couleur noire ébène. *Le rat agouti est obtenu par le mélange de poils noirs, marrons et gris. *Le rat bleu est obtenu grâce à une variante de gris comme le bleu américain qui est le plus clair, le bleu russe qui est le plus foncé, le bleu agouti qui est un mélange de couleurs agouti et de bleu. *Le rat blanc aux yeux noirs *Le rat abricot *Le rat chocolat *Le rat crème *Le rat gris. etc etc
  23. Analyse du comportement Une particularité anatomique chez le rat fait que, pendant son sommeil ou en cas de stress intense (bataille de domination, hypernervosité souvent due à une agressivité hormonale, etc.), on note l'apparition de sécrétions rouges au niveau des yeux et/ou du nez. On appelle cette particularité la "chromodacryorrhée". C’est le résultat de la fabrication d’un pigment rouge (porphyrine) qui colore les sécrétions aqueuses.[réf. nécessaire] À ne pas confondre avec une maladie virale qui provoque des symptômes équivalents. C'est pourquoi, si vous observez chez votre rat domestique des sécrétions trop importantes et en dehors des phases de réveil, il est important de consulter un(e) vétérinaire. Rate domestique, type irish. Agressivité Les signes d'agressivité sont à surveiller, car ils dénotent une mauvaise entente entre deux rats. L'incompatibilité d'humeur existe aussi chez les rats, il arrive que deux rats ne s'entendent pas et ne puissent jamais s'entendre. La rencontre ou la coexistence peuvent très mal se terminer si ces signes ne sont pas décelés à temps. Un rat est agressif quand son poil se hérisse, quand il souffle fortement par à coups par les narines et quand il « trépigne » des pattes avant ou qu'il sautille. Le rat peut également se "coller" à son rival et lui donner des coups de patte. Ce sont des signes d'intimidation qu'il ne faut pas prendre à la légère, et mieux vaut dans ce cas éloigner l'autre rat. Cela pourrait très vite dégénérer et finir par des blessures assez graves. C'est aussi pour cette raison qu'il est indispensable de présenter en douceur, et de préférence dans un endroit neutre: sur un lit, dans la baignoire, le tout sous surveillance. En effet, la plupart du temps, un rat attaque l'intrus du premier coup, et le premier coup de dent fait tout de suite des dégâts. Excitation Le rat a ses phases d'excitation. Un rat excité va sautiller, et va par exemple partir en trombe se cacher quelque part pour ressortir aussitôt quand on fait un bruit ou que l'on leur « pince » l'arrière train. Il aura les oreilles dressées avec parfois de petits mouvement attentifs et voudra jouer avec vos mains à « qui sera le plus fort », en mordillant les doigts. Peur Un rat qui a peur est assez démonstratif aussi. Il va tout d'abord avoir les oreilles qui se rabattent vers l'arrière de la tête. Dans le cas d'un homme qui prend un rat non habitué aux humains, il va crier comme on égorge un cochon (le cri y ressemble assez) et lâcher des crottes et de l'urine par peur. Chaleurs Une ratte qui a ses chaleurs sera excitée (voir plus haut) et fera de petits bonds rapprochés quand on lui touchera la croupe. Elle frétillera des oreilles et se cambrera quand on la caressera. Certaines rattes sont beaucoup plus démonstratives que d'autres, il se peut aussi que ce genre de signes ne se manifestent pas malgré une effective période de chaleurs. Contentement Le rat content est aussi assez expansif. Il va claqueter des dents, frotter ses dents les unes contre les autres comme tous les rongeurs. Ce frottement entraîne parfois l'exorbitation temporaire des yeux. À noter que le même comportement peut être adopté pour un rat stressé. Relations avec l'Homme Les relations d'un rat avec l'Homme sont généralement calquées sur les comportements entre rats. Ainsi en est-il de la domination : celui qui domine est celui qui met sur le dos ! Il faut cependant rajouter un bémol à cela. Les rapports de domination avec un rat bien apprivoisé sont quasi inexistants, il s'agit plutôt d'un rapport de complicité, d'égal à égal, qui garde cependant ses mesures. Ces rapports peuvent s'avérer nécessaires à mettre en place avec un rat presque sauvage ou très peu apprivoisé (venant d'animalerie par exemple et qui attaque ou mord à sang). De même, un rat qui vous apprécie vous toilettera minutieusement les mains en les léchant ou en les grignotant légèrement, curant les ongles etc. Il appréciera tout autant qu'on lui caresse la tête et qu'on lui gratte derrière les oreilles. Toutefois, le rat est aussi un animal intelligent, capable d'apprendre les codes humains et pas seulement d'enseigner les siens à son maître. Ainsi, un rat apprend facilement son nom par exemple. C'est le signe de ralliement pour le regroupement. Il sait également reconnaître une interdiction, un « non » au son de la voix et à l'intonation. Il va apprendre aussi des codes pour obtenir de la nourriture (exemple : le labyrinthe, appuyer sur une pédale, etc.). La connivence s'exprime par de nombreux signes : le pipi sur les mains comme marque d'affection (puisqu'il vous intègre dans son groupe), le toilettage, mais aussi la relation plus physique comme le jeu dans le pull et le partage d'odeur. Le rat est un animal affectueux et très attachant dans le sens qu'il partage cette relation : il y a échange et réponse. Après l'avoir caressé, il va vous faire une toilette rapide et sommaire ou une léchouille pour vous remercier ; il répond quand on l'appelle, il se réfugie sur vous ou dans votre pull quand un autre l'embête… Chaque rat a également un marquage laissant apparaître ou non des zones blanches à divers endroits : uni, berkshire, irish, hooded,... Divers éléments entrent en compte dans l'expressivité d'une couleur, ainsi un albinos sera blanc aux yeux rouges, un husky décolorera avec le temps et le siamois n'aura que les extrémités du corps colorées. Un rat peut avoir un poil lisse, rex (apparence frisée), double rex (frisé et clairesemé) ou nu. Les oreilles du rat peuvent également avoir différentes formes, certains rats sont "dumbo" avec les oreilles plus grandes et plus basses. Ces variétés domestiques sont apparues souvent spontanément et ont été ensuite sélectionnées par l'homme, c'est ainsi que sont aussi apparus des rats sans queue.. Caractéristiques Classification : Rattus norvegicus Durée de vie : entre 2,5 et 3 ans, parfois plus pour les plus résistants, mais dans la nature l'espérance de vie est inférieure à 2 ans (sensiblement moins chez les femelles) Mode de vie : semi-diurne Régime alimentaire : omnivore à tendance granivore (opportuniste) Poids moyen adulte : 200/600g pour les femelles, 300/700g pour les mâles Maturité sexuelle : 5 semaines chez les femelles, 6 à 8 semaines chez les males Âge conseillé à la reproduction : entre 8-10 mois pour la première portée (un poids minimum de 250 - 300 gr réduira les risques), plus de 1 an pour les mâles (pour écarter tout problème comportemental). Attention, après 10 mois, les problèmes de la femelle à l'accouchement sont beaucoup plus fréquents. Durée de la gestation : 21 à 23 jours Nombre de petits par portée : 1 à 25 (en moyenne 10-12) Quelques conseils Choisir son ou ses rats Si vous vous lancez dans l'aventure, orientez vous plutôt vers des éleveurs particuliers plutôt qu'en animalerie, vous serez ainsi sûrs de ne pas avoir la surprise de petits nouveaux nés dans la cage (femelles pleines à l'achat), et les animaux auront déjà été manipulés, sociabilisés… de plus, vous éviterez d'acquérir un animal malade. Vous pouvez aussi adopter des rats à l'APA (Association Protectrice des Animaux) où certains sont malheureusement abandonnés par des propriétaires insouciants ne sachant pas s'en occuper. N'oubliez pas que le rat est un animal sociable et qu'il déteste la solitude. Si vous avez peu de temps à lui consacrer, il faut impérativement lui donner un compagnon sous peine de le rendre très malheureux, pensez-y lors de l'acquisition. Ne mettez évidemment ensemble que des rats du même sexe, à moins de pouvoir assumer de nombreuses portées. Pour éviter les incompatibilités d'humeur, l'idéal est de les prendre ensemble dans la même portée. Choix et entretien de la cage - Litière Une fois chez vous, l'installation se fait en général en cage, qui doit être assez grande. Pour l'animal adulte, il faut compter un espace minimal d'environ 0.05 m³ par individu. Une cage à étages aura l'avantage de faire faire de l'exercice à votre animal, il ne s'en portera que mieux. Des échelles à oiseaux entre les étages, inclinées à 45°, conviennent tout à fait. La litière, à changer au minimum toutes les semaines sera à choisir parmi les non poussiéreuses et surtout, jamais de litière de copeaux (toxiques). Ce qu'il est possible d'utiliser à la place : de la litière de chanvre, de la litière de rafles de maïs, de la litière de lin, de la litière de pulpe de pomme, de la litière de paille et de blé aggloméré, ainsi vous ne prenez pas de risque et votre rat aura une espérance de vie plus longue (la litière de copeaux a un effet toxique chez le rat, ces copeaux ont un effet abrasif sur les cellules composant la paroi des voies respiratoires et, pour finir, le système immunitaire tournant à plein régime se fatigue, puis devient de moins en moins efficace…). Bien le nourrir Vous trouverez la nourriture adaptée dans le commerce, pour hamsters (à éviter car trop riche) voire directement pour rats. Vous pouvez aussi composer votre propre mélange (14 % de protéine, 4 % de matière grasse), de sorte qu'il soit assez varié. Il lui faut des carottes, de la salade, des endives, des pommes (éviter les agrumes trop acides et les fruits riches en eau pouvant provoquer une diarrhée, parfois mortelle). Le rat, omnivore, a également besoin de protéines : un peu de jambon, fromage (genre gruyère), de temps en temps du yahourt (utilisable par exemple pour administrer un médicament). De nombreuses informations sont disponibles également sur le net. Apprivoisement Pour l'apprivoiser, du temps, de la persévérance et des friandises, et votre rat vous le rendra bien… N'ayez pas peur de vous faire mordre, le rat n'a que rarement tendance à le faire. Au tout début, lorsque le rat arrive chez vous, laissez le tranquille : il vient de changer brutalement d'environnement, il doit s'habituer aux changements de bruits, d'odeurs. N'essayez pas de l'attraper et de le câliner à outrance dès le départ. Les choses doivent se faire progressivement. Petit à petit, parlez-lui, approchez votre main quelques fois par jour (en offrant une friandise pour lui montrer que vous n'êtes pas un monstre), de plus en plus près de lui. Vos gestes doivent être tranquilles, calmes, et assurés, vous devez savoir ce que vous faites sans hésitation, car votre rat va sentir votre degré de confiance, et cela influera sur son acceptation de vous. Le rat doit finir par venir naturellement vers votre main. À terme il vous montera de plein gré dessus, simplement lorsque vous mettrez votre bras dans la cage. Entretien et Santé L'entretien du rat lui-même est simple, ne le lavez pas sans nécessité, il s'en occupe très bien lui même, coupez-lui les griffes si vous le souhaitez… Attention ne prenez pas votre rat par la queue ! Cela lui ferait mal car la queue est un prolongement de la colonne vertébrale et elle risque de se casser! Ce qui peut entraîner la mort de l'animal ! N'hésitez jamais à aller consulter un vétérinaire qui saura probablement répondre à vos questions de santé, de comportement… Tout changement de comportement ou d'activité, appétit… brusque doit vous faire penser à prendre rendez-vous pour une consultation. Source : wikipedia.org
  24. Le rat domestique Rate domestique, type hooded. Le rat domestique est un animal attachant de plus en plus en vogue dans les foyers. Pâtissant trop souvent de l'image négative du rat sauvage, il est pourtant aussi affectueux qu'un animal de compagnie «classique», relativement simple à posséder et entretenir chez soi de par sa taille et sa relative robustesse. Biologiquement, il appartient à l'espèce du rat brun, mais contrairement à ce dernier, il peut se parer de diverses robes : Parmi les principales couleurs du rat domestique on trouve l'agouti (apparence du rat sauvage), le noir, le bleu, le mink, le beige et le champagne. Sens Odorat Comme chez beaucoup de rongeurs, l'odorat est le sens prédominant. C'est ainsi à leur odeur que le rat reconnaît ses congénères, et il reconnaît son territoire par l'odeur de son urine. L'odorat est également un sens essentiel pour la recherche de nourriture. Ouïe L'ouïe joue également un rôle social important. Les rats communiquent par une large panoplie de sons (y compris des ultrasons inaudibles pour l'Homme) à significations précises. Vue Le rat n'a pas une très bonne vue et se fie plutôt à son odorat et à son ouïe pour interagir avec son environnement. Il utilise aussi largement ses vibrisses pour compenser sa mauvaise vue. Les rats peuvent avoir soit les yeux noirs ou les yeux rouges. Le rat aux yeux rouges a encore une plus mauvaise vue que le rat aux yeux noirs. Lorsque ce dernier cherche à mieux percevoir un objet, on peut le voir faire un balancement horizontal pour mieux distinguer l'objet visé. Reproduction Une seule femelle peut donner naissance à une soixantaine de petits par an. La reproduction est très rapide, avec une maturité sexuelle à l'âge de 6 semaines seulement (voire 4 dans les grosses portées), 21 à 23 jours de gestation, en moyenne 10 jeunes par portée (de 1 à 25) et jusqu'à 5 portées par année. À ce rythme, une femelle pourrait théoriquement avoir 1000 descendants en une année et 2500 dans sa vie entière ! Mais une jeune femelle ne peut donner en principe qu'un maximum de 10 jeunes lors de sa première portée.[réf. nécessaire] Les signes de gestation La ratte prend du poids. Elle commence à faire un nid et ses mamelles grossissent. Il est fréquent que les signes de grossesse ne soient apparents que quelques jours avant les naissances. La naissance Les jeunes naissent dépourvus de poils. Ils ont la peau rougeâtre et sont entièrement dépendants de leur mère. La possibilité de toucher les petits dès le premier jour dépend de la confiance que la mère vous accorde. Celle-ci peut devenir agressive à l'approche de la mise-bas et quand elle a eu ses jeunes. Les petits du rats sont appelés "ratons". La femelle étant à nouveau féconde quelques heures après l'accouchement, il faut la séparer du mâle reproducteur qui pourrait non seulement la ressaillir avec succès, mais également blesser les petits.[réf. nécessaire] Alimentation Un rat mange l'équivalent de 8 à 10 % de son poids par jour, ce qui n'est pas très important. Il se nourrit principalement de grains : mais son caractère omnivore opportuniste ne lui fera pas dédaigner les croquettes du chat ou du chien, les fruits et légumes… son alimentation doit comporter 14 % de protides pour 4 % de lipides au minimum. Son caractère nuisible provient des dégâts indirects qu'il cause aux greniers : pour un grain dévoré, 10 à 15 grains sont souillés et rendus inconsommables. D'un autre côté, les rats de ville jouent un rôle important dans le traitement des déchets humains. Sans les rats, les égouts et canalisations seraient tout le temps bouchés. À Paris, les rats dévorent ainsi près de 800 tonnes d'ordures par jour[réf. nécessaire]. L'Homme et le rat sont donc en mutualisme : un état proche de la symbiose mais où chacun des deux êtres pourraient survivre sans l'autre (au prix cependant d’adaptations importantes). Ainsi, sans le rat, l'Homme devrait revoir profondément ses conditions de vie ; inversement, sans l'Homme, le rat ne serait resté qu'un petit rongeur d'Asie du Sud-Est.[réf. nécessaire] Certains aliments sont par contre totalement proscrits dans l'alimentation d'un rat : le chocolat (théobromine), le café et le thé (caféine), les agrumes (pour les mâles, car provoquant des tumeurs), tout comme les aliments pâteux, qui pourraient étouffer l'animal, les plats épicés, boissons gazeuses… Hygiène Contrairement aux idées reçues, les rats sont très propres : comme les chats ils se nettoient minutieusement plusieurs heures par jour, même s'ils vivent dans les égouts et les dépôts d'ordures. En revanche, les rats sauvages, comme d'autres espèces animales, (chiens, renards, mouches, cafards, etc.) peuvent transmettre de nombreuses maladies à l'Homme : salmonellose, leptospirose, typhus murin, sodoku, fièvres diverses, rages, trichinose, méningites… Les rats domestiques sont bien protégés de ces maladies, et sont porteurs de bien peu de zoonoses. Au sujet de la peste, il convient de préciser que le rat n'est pas l'agent transmetteur de la maladie, mais ce sont les puces que portent des rats malades qui contaminent les hommes à leur tour lorsqu'elles les piquent. C'est pour cette raison que les premières manifestations de la peste ont généralement lieu dans le bas du corps : là où les puces peuvent mordre. Le principal hôte de ces puces était d'ailleurs le rat noir (Rattus rattus) lors des grands épisodes de peste en Europe. L'arrivée du rat brun a contribué à la fin de ces épidémies, en supplantant le rat noir dans nos villes. Éthologie Le rat est un animal social, sujet d'étude privilégié en éthologie du fait de la complexité de ses mœurs et de sa faculté d'adaptation et d'apprentissage. La plupart de ces comportements s'apprennent quand le rat est très jeune, jusqu'à ses 6 semaines au sein de la portée (sevrage social). Si le rat a été séparé trop tôt de sa mère, de sa portée ou d'autres rats, il risque d'avoir mal appris ces « codes » et de ne pas pouvoir s'intégrer dans un groupe. Hiérarchie Lorsque deux rats se rencontrent et font connaissance, ils s'échangent des informations (essentiellement par leur odeur car un rat est assez myope). S'ils vont partager le même lieu de vie, certains principes devront se mettre en place. Généralement, s'ils sont du même sexe, deux rats qui sont en terrain neutre et qui ne se connaissent pas vont s'ignorer. Tout dépend évidemment de leur âge, deux rats jeunes s'intéresseront l'un à l'autre, un rat un peu plus âgé pourra rester indifférent avec un jeune (toujours sur terrain neutre). En terrain non neutre, c'est-à-dire sur le terrain d'un des rats (sa cage par exemple, un endroit qu'il aura marqué de son urine comme son territoire), celui-ci aura tendance à vouloir le défendre ; il risque donc d'attaquer le nouveau venu. Dans un lieu qui sera le territoire des deux rats, comme la cage qu'ils devront partager (et qui sera soigneusement nettoyée pour enlever toute odeur si un des rats y a déjà vécu), la hiérarchie du futur groupe ou couple se mettra en place. Cette hiérarchisation est essentielle au bon fonctionnement du groupe. Chacun y trouve sa place et connaît le comportement à adopter. Un groupe sans hiérarchie est un groupe instable qui peut vite tourner à la tragédie. On peut reconnaître le rat dominant du groupe à certains comportements : Pour mettre la hiérarchie en place ou la consolider ("c'est toujours moi le chef"), le dominant renverse le dominé sur le dos, les pattes avant posées sur le poitrail de l'autre rat. Le dominant présente son postérieur levé au dominé et le frotte sur le dos de celui-ci. Il le marque ainsi de son urine et se « l'acquiert ». Le dominé a ainsi une bonne odeur de pipi au bout d'un moment… Ce genre de comportement est surtout fréquent chez les mâles. Le « piquage » de nourriture aux dominés qui se laissent faire. Le rat soumis montre clairement sa soumission au dominant pour éviter toutes « représailles » : Dans la position sur le dos infligée par le dominant au moment de la mise en place ou de la remise en cause de la hiérarchie, le rat dominé ne doit plus bouger pendant quelques secondes. Il accepte ainsi sa place dans le groupe. Il arrive que certains dominés fassent des « offrandes » au(x) dominant(s) et leur apportent de la nourriture qu'ils déposent juste devant eux. Le couinement invétéré : le dominé couine par « prévention », par exemple quand le dominant veut lui prendre sa nourriture ou quand il lui cherche des noises. C'est un signe de protestation et de défense. C'est pour cette raison qu'il est le plus souvent inutile de s'affoler quand un rat couine, car la plupart du temps c'est du « cinéma ». Vie sociale Les rats ont aussi des comportements qui n'ont rien à voir avec une confrontation. Ils permettent de resserrer les liens entre les membres du groupe et d'assurer la cohésion de celui-ci. La toilette, par exemple, est un moment sacré pour les rats. Le rat est très propre et doit faire sa toilette environ 6 à 8 fois par jour. La toilette se fait par léchouillages et petit grignotage du poil avec les dents, un peu comme les chiens, avec lissage du poil avec les pattes de devant. Un rat peut très bien faire sa toilette tout seul, mais les membres du groupe se la font aussi entre eux. C'est un signe d'attachement entre les rats. C'est le dominant qui décide quand elle commence et quand elle finit, que ce soit lui ou l'autre qui la fasse. Le fait de dormir en « tas » resserre également l'union au sein du groupe. C'est un reste du temps où le rat était encore petit : les bébés de la portée se mettent en tas pour se tenir chaud, car au tout début le raton n'a pas de système de régulation de sa température corporelle. C'est aussi une façon de sentir la présence des autres, sentir que l'on est intégré. Le « montage » fait également partie des relations sociales. Une ratte qui aura ses chaleurs se fera monter par une autre qui la soulagera. C'est généralement la même ratte au sein du groupe qui monte toutes les autres ; bien évidemment, tout dépend du nombre de femelles dans la cage. On retrouve le même cas chez les mâles, mais le « soulagement » se fait bien entendu dans l'autre sens. Dans le cas des mâles, c'est le dominant qui monte le dominé. Les rats appartenant à un même groupe se marquent les uns les autres par quelques petites gouttes d'urine.
  25. RAF-nacannonce

    Corsica Iguana

    Ok impec vais aller voir ça
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