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Chance-reptil-virus

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Tout ce qui a été posté par Chance-reptil-virus

  1. Il n'y a pas eu d'incident particulier à tes yeux, mais peut-être pas pour la gutt. Elle a pu subir un grand stress. Ensuite, elle a aussi pu être tout simplement constipée. Un serpent dans cet état convulse aussi. Les convulsions font partie des signes de L'IBD, mais ils sont aussi des signes d'un tas d'autres maladies.
  2. L'arène n'est pas faite pour les règlements de comptes privés. Tout le monde a le droit de poster et d'être respecté ! Post qui risque d'être verrouillé car non respect de la charte.
  3. Cryptosporidium serpentis chez les reptiles. Infection parasitaire dont l'agent étiologique est un protozoaire intracellulaire du genre Cryptosporidium. Cryptosporidium est un parasite qui peut affecter les humains et les reptiles. Le terme Cryptosporidium signifie "sporocyste caché" car il se caractérise par l'absence du stade sporocyste retrouvé chez les autres coccidies. Il se caractérise également par l'absence de spécificité vis-à-vis de l'hôte, par des microgamètes aflagellés et par un développement dans les microvillosités des cellules épithéliales dans une vacuole parasitophore avec une localisation intracellulaire mais extracytoplasmique. Il existe deux sortes d'oocystes. Ceux à paroi épaisse qui sont directement éliminés avec les selles et ceux à paroi plus fine (environ 20 %) qui libèrent les sporozoïtes directement dans le tractus digestif et donnent lieu à une auto infestation et à un nouveau cycle de développement chez le même hôte. Schéma d'un oocyste. Il mesure 4 à 5 microns et renferme quatre sporozoïtes et un corps résiduel. L'auto infestation à partir des oocystes à paroi fine et à partir du recyclage des mérontes de type I est une particularité qui fait du parasite un genre unique et peut avoir des conséquences graves car elle allonge considérablement la période d'excrétion et l'intensité des symptômes et peut conduire à des maladies chroniques. Contamination Les reptiles peuvent s'infecter en buvant de l'eau contenant cryptosporidium, et/ou se nourrir de proies sauvages ou de mauvaises souches souillées. La contamination est liée au péril fécal, indirecte par ingestion d'eau ou d'aliments souillés (proies) par les oocystes, directe par les mains sales suite à un contact avec un animal infecté. Beaucoup de reptiles peuvent être porteurs du parasite, sans présenter aucun symptôme, et les symptômes les plus communs de Cryptosporidium sont semblables aux symptômes d'autres maladies des reptiles, la rendant extrêmement difficile à diagnostiquer sans faire un examen de selles au microscope. > Perte de poids > Régurgitation > Diarrhée En règle générale, les reptiles comme les serpents peuvent refuser de la nourriture pendant de longues périodes de temps (comme en mois) sans perdre du poids, ce qui n'est pas source d'inquiétude. Les oocystes peuvent résister jusqu'à six mois à une température de 20°C et conserver leur potentiel infectant. Quand un reptile se met à perdre du poids rapidement, au point de ne voir que la peau et les os, c'est une cause de préoccupation et en conjonction avec d'autres symptômes cryptosporidium, il pourrait effectivement être une infection parasitaire. Chez les reptiles à peau claire, comme le gecko léopard, le foie assombri est visible à travers la peau à l'œil nu. . Le foie assombri apparaîtra comme une tache bleuâtre/verdâtre sous la peau. Chez de nombreux lézards ou serpents, un extrême gonflement de la partie médiane et estomacs distendus sont également des symptômes d'une infection au cryptosporidium, selon le site Internet aviaire Biotech. Diagnostic Le diagnostic repose sur la mise en évidence du parasite dans les selles. Traitement Aucune thérapeutique curative n'a fait la preuve de sa constante efficacité tant sur le plan clinique que parasitologique. Traitement possible pour ralentir le processus de cette infection, cependant aucun traitement n'existe pour soigner cela. > Paromomicine, métronidazole. Prophylaxie Ne pas donner de proies infectées et/ou sales. (de qualité douteuse) Isoler le spécimen atteint. Désinfection totale et rigoureuse du terrarium et des décorations. Changer l'eau tous les jours. Hygiène alimentaire Eau propre et changée tous les jours. Faire bouillir l'eau de consommation si sa qualité est douteuse. Références: Read more: Cryptosporidium in Reptiles Symptoms http://www.ehow.com/list_6594836_cryptosporidium-reptiles-symptoms.html * Avian Biotech: Cryptosporidium * Veterinary Partner: Cryptosporidium * Virginia Department of Health: Cryptosporidiosis
  4. Infection parasitaire dont l'agent étiologique est un protozoaire intracellulaire du genre Cryptosporidium Pantherophis guttatus L'infection touche le foie, la bile a teinté les tissus autour de l'inflammation, le reste des organes sont sains. Symptômes avant le décès: > Le spécimen a mangé normalement pendant 1 an et demi. > En un mois : 2 repas régurgités - 2 repas de rosé acceptés. > Les 2 proies régurgitées peuvent être la cause de l'infection parasitaire. > Décès sans autre symptôme apparent. Malgré cette infection, le serpent peut manger normalement, avoir des périodes de jeûne ou régurgiter de temps en temps. En observant bien le serpent sur la partie ventrale, il aurait peut-être été possible de déceler visuellement la présence d'une tache verte devenant de plus en plus sombre et de plus en plus volumineuse car le foie est iinflammé et gonfle. Un sujet atteint par cette infection est voué à la mort. Impossible de le traiter.
  5. La parafine va aider à la digestion et ensuite à un meilleur transit. Mais si ton Pituophis est constipé, le mieux est de lui donner des bains d'eau tiède (28°) pendant 15 minutes en lui massant délicatement le bas ventre et le cloaque. Ça va lui permettre de s'hydrater et de déféquer dans l'eau. Tu peux faire les deux, parafine + bain. Sens tu des grosseurs au niveau de ses intestins ? Cloaque au palper ?
  6. Il est vrai qu'elle est très belle ! Ses couleurs sont éclatantes, elle est un peu plus orangé à présent, et j'adore sa tête marron/cuivrée. Très belle demoiselle ! J'aime les chaussons aux pommes ^^
  7. Exact, on ne verrouille pas, sauf non respect de la charte. Donc chacun, quel qu'il soit, est libre de s'exprimer en toute liberté dans l'arène. On peut trouver un autre blog à critiquer en cherchant bien. Si on peut déparasiter le net de ce genre de blog, pourquoi ne pas continuer ...
  8. J'espère aussi qu'il l'a tué, pauvre bête, c'est triste de voir ça ! Ta gutt n'avait elle pas eu un choc ? Ça arrive parfois et vu qu'elle n'avait pas de signe avant coureur, il se peut qu'elle ait eu un gros stress. J'ai déjà observé ce cas et un bain d'eau froide et ensuite d'eau chaude avait sauvé un jeune réticulé. Comme il avait eu un choc, il fallait le soigner par un autre choc. Ou alors, ta gutt a pu s'empoisonner ? Il y a tant de raisons à une mort subite.
  9. Donc, en toute cordialité et dans le respect de tous, on cesse de parler de ce blog qui n'est plus.
  10. Lucas, Je pense qu'on a tous eu des soucis, maladies, des choses qui nous ont fait souffrir dans la vie, des épreuves terribles ... C'est très difficile de les vivre sur le moment présent, mais au final, avec le temps, on en sort plus fort. En tant que fondatrice, j'ai aussi ma part de problèmes dans la vie mais dès que j'arrive sur le forum, je les mets de côté. J'estime ne pas avoir le droit d'avoir des sautes d'humeur envers les membres qui n'y sont pour rien, je reste neutre, juste, souriante et disponible pour tous autant que possible. Parfois, c'est très difficile de se retenir ... Alors, je respire un bon coup et hop c'est reparti ... Voilà ... A bientôt.
  11. Pfff ... Belles bêtes mais on ne voit même pas leur langue ...
  12. Sources : http://www.laboklin.de/pdf/fr/la_aktuell/lab_0801_fr_reptiles.pdf
  13. L’IBD : Inclusion Body Disease ou Maladie des corps d’inclusions D’après le « Guide pratique des Maladies des reptiles en captivité » - Lionel Schilliger – Editions MED’COM. Le terme de « Maladie des corps d’inclusions » est la traduction littérale de « Inclusion Body Disease », le nom donné Outre-atlantique à une maladie virale très répandue à travers le monde, affectant, semble-t-il, principalement les boïdés et caractérisée par la présence, dans la plupart des tissus de l’organisme, d’inclusions intra Cytoplasmiques éosinophiles assez caractéristiques. Etiologie La maladie des corps d’inclusions (communément appelée IBD, l’abréviation de Inclusion Body Disease) est provoquée par un virus de la famille des Retroviridae mesurant de 90 à 120 nm de diamètre. Le mode de transmission de ce rétrovirus est inconnu à ce jour, mais pourrait se produire par l’intermédiaire d’arthropodes hématophages tels que le célèbre acarien Ophionyssus natricis. On suppose que toutes les sécrétions de l’organisme sont contaminantes (sang, selles, urines, sécrétions respiratoires, sperme…) Les boas semblent jouer un rôle de réservoirs vis-à-vis des pythons. On a longtemps considéré que seuls les boïdés pouvaient être affectés par cette maladie mais il semble qu’elle puisse également concerner des vipéridés (Bothriechis marchi) (Raymond, 2001). Symptomatologie La durée d’incubation de l’IBD est inconnue à ce jour. Les pythoninés semblent beaucoup plus sensibles à l’égard de ce virus que les boas. Ils présentent généralement des signes cliniques au cours des deux semaines qui suivent l’infection, alors que les boïnés peuvent demeurer porteurs asymptomatiques pendant plusieurs mois avant de développer des signes cliniques. Les pythons présentent rapidement des troubles neurologiques centraux (myoclonies, troubles de l’équilibre et du positionnement dans l’espace, circonvolutions du corps « en spirales » et opisthotonos) tandis que chez les boïnés, cette virose se traduit souvent, dans un premier temps, par des régurgitations chroniques, suivies bien plus tard de symptômes nerveux qui apparaissent en phase terminale. Parfois, seuls les troubles du comportement et de l’extériorisation de la langue sont observés en tout début d’évolution de la maladie. Chez les pythons et les boas, diverses infections opportunistes (stomatites, pneumopathies, entérites…), septicémies (ex : ostéite déformante) et des néoplasies lymphoprolifératives ou sarcomateuses peuvent être associés à l’IBD (Schilliger, Selleri, Frye, 2004, Sous presse). Diagnostic Clinique : Il repose sur la constatation de symptômes fortement évocateurs chez un serpent particulièrement prédisposé (boa ou python) : parésie d’une partie du corps, déviation du port de la langue, tremblements, troubles de la constriction, convulsions…etc. Différentiel : L’IBD doit être différenciée, par élimination, de toutes les autres causes possibles d’encéphalopathies. Histologique : Le diagnostic de l’IBD repose essentiellement sur des examens anatomopathologiques. La première étape qui succède au diagnostic clinique consiste à rechercher la présence de corps d’inclusions dans le cytoplasme des globules rouges sur frottis sanguin. Ces corps d’inclusions sont entourés d’un halo clair. Si cette première recherche s’avère positive, l’euthanasie est recommandée pour éviter la transmission du virus à d’autres serpents. Si la recherche cytologique est négative avec des signes cliniques fortement évocateurs d’IBD, des biopsies d’organes doivent être pratiquées pour tenter de mettre en évidence les corps d’inclusions. Il est ainsi possible d’effectuer, chez les boïdés, des biopsies per-endoscopiques des « amygdales oesophagiennes », de multiples petites structures lymphoïdes de forme discoïde, réparties ça et là le long de la muqueuse oesophagienne (Innis, 2002). L’examen histologique de ces tissus semble être d’une grande sensibilité. Sinon, le pancréas, bien que difficile à localiser et à prélever, est le seul organe, à part l’encéphale, qui offre statistiquement 100% de chances de retrouver des corps d’inclusions à l’examen histologique (…). Une biopsie de foie ou de rein, beaucoup plus facile à réaliser qu’un niveau du pancréas, est fiable à 70%, une biopsie de l’estomac à 30%. Sérologique : Des tests sérologiques sont actuellement à l’étude aux Etats-Unis. Thérapeutique Il n’existe, à ce jour, aucun traitement de la maladie des corps d’inclusions. Le pronostic de cette infection est fatal et l’euthanasie est fortement recommandée si l’animal est susceptible d’être en contact avec d’autre boïdés. Prophylaxie La mise en quarantaine de tout boïdé devant intégrer un élevage est la seule méthode de prophylaxie efficace contre l’IBD. Compte tenu de l’absence de certitudes concernant la durée d’incubation de cette maladie, la quarantaine doit théoriquement être observée pendant plusieurs mois (4 à 6 mois minimum). Inclusions intra Cytoplasmiques éosinophiles dans cellules hépatiques Source photo : http://ex-epsilon.slu.se/archive/00000387/01/IBD-pdf.pdf[
  14. Ça va beaucoup mieux sa queue là ! Continue la bétadine encore deux jours. Surtout, veille bien à ce que ton boa mue bien au niveau du bout de la queue. Lol , cool, la photo de l'avatar d'Askook - Super boa Amérindien ^^
  15. Je le mets en post it , très bonne idée !
  16. + - Biafine - Dermaflon crème tube 30g - Renutryl - Sonde de gavage - Pansement liquide en spray + Pansement strip - Compresses - Petite lampe pour examen de la gueule - Loupe - Balance - Mètre Très bon post utile pour tous les membres. J'ai mis des X sur ce que j'ai aussi dans ma pharmacie et rajouté quelques autres choses dont je me sers.
  17. Oui, il ne vaut mieux ne pas le tuer en l'écrasant sinon, on a vite de la visite. Il me semble que c'est pareil pour les tiques, il ne faut surtout pas les écraser mais il me faut retrouver la raison.
  18. Tu nous tiens au courant sur son état Chloé hein ?
  19. Titre du document Cardioactive effects of hornet venom, Vespa mandarinia Auteur(s) / Author(s) - ABE T. ; KAWAI N. ; Affiliation(s) du ou des auteurs / Author(s) Affiliation(s) Inst. physical chemical res. Résumé : Séparation des différents composés présents dans le venin de V.m. qui affectent le système cardiovasculaire. L'un de fort poids moléculaire bloque le battement du cœur et l'autre de faible poids moléculaire accélère le rythme cardiaque. Revue / Journal Title Comparative biochemistry and physiology. C. Comparative pharmacology ISSN 0306-4492 CODEN CBPCEE Source / Source 1983, vol. 76, no2, pp. 221-225 (13 ref.) Langue / Language Anglais Editeur / Publisher Pergamon Press, Oxford, ROYAUME-UNI (1975-1982) (Revue) Lien: http://cat.inist.fr/?aModele=afficheN&cpsidt=9355711
  20. Le "Vespa mandarinia", surnommé "le tueur de yacks", n'est autre que le plus grand de frelon au monde. Ce frelon géant, qui mesure 4,5 cm de long, avec un dard de 6 mm, et une envergure de 8 cm, vit en Asie : Inde, Birmanie, Thaïlande, Laos, Viêt Nam, Cambodge, Chine, Corée du Sud et Japon. Son venin contient une enzyme assez puissante pour dissoudre les tissus humains ! La piqûre est particulièrement douloureuse à cause d’un taux important d’acétylcholine. Ses mandibules lui servent à dévorer abeilles et mantes religieuses. Cet insecte géant fait partie de l'étrange faune qui prospère dans l'Himalaya, répertoriée par une récente-expédition américaine. A noter que des chimistes de l'Université Tamagawa à Tokyo ont découvert les substances capables de donner l'alerte chez le Vespa mandarinia. Premier conseil : ne jamais écraser un frelon !! En effet, trois composés volatils contenus dans le venin du frelon s'expriment alors... et appellent ainsi une escouade entière de ses congénères !! Leurs recherches ont révélé également que ces mêmes composés volatils se retrouvent aussi dans certains parfums et additifs alimentaires ! Ce qui pourrait expliquer les dizaines d'attaques mortelles enregistrées chaque année sur l'île du Japon (où une espèce de Vespa mandarinia vit également). Sources : Wikipedia et autres recherches sur Google.
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